L'usure dans la Bible

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Commentaires

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

usure : sens

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

notes

La Bible, le Judaïsme et le Talmud.

Il est important de connaître ce que disent les commentateurs bibliques et autres personnages sur l'usure (et par extension : le prêt à intérêt). Mais déjà au VIIème siècle de l'ère évangélique, l'usure, ce fléau, semble être courante parmi les gens de la Torah de l'Arabie. Et le texte coranique est formel : il est absolument interdit à tous ceux qui se réclament de la Torah. Pour l'homme toranique comme pour l'Etranger à la Torah.


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Commentaire biblique.

    Selon Jacob ben Isaac : Au miséreux qui est avec toi (Ex. 22:24). Si tu refuses de prêter à un pauvre, tu deviendras pauvre à ton tour. Si tu prêtes au pauvre tu dois te comporter comme s'il ne te devait aucun argent. Tu ne dois pas lui réclamer d'intérêts, car l'usure[5] est un péché grave, comme nous le voyons avec le richissime Obadiahou[6], curateur dans la maison d'Achab, roi d'Israël. Grâce à son argent, il nourrissait les prophètes qu'il cacha dans une grotte, lorsqu'un souverain voulut les tuer[7]. Ils étaient au nombre de cent[8]. Une grande famine s'abattit sur la terre d'Israël ; Obadiahou dépensa tout son argent ; il se rendit auprès de Yoram, fils d'Achab, pour lui emprunter de l'argent, en lui promettant de lui payer des intérêts, bien que son coeur répugnât à le faire, puisque c'est un péché très grave de donner ou de recevoir des intérêts. Toutefois, Yoram tenait absolument à en recevoir de la part d'Obadiahou. C'est alors que Dieu envoya Yehou qui tua Yoram en lui transperçant le coeur d'une flèche, parce qu'il avait désiré à tout prix recevoir des intérêts. « A quelqu’un de Mon peuple. » Les pauvres sont appelés le peuple de Dieu[9], comme le dit le verset : « YHVH réconforte Son peuple, Il a pitié de Ses malheureux[10].» Généralement, lorsqu'un homme riche a des proches parents dans la misère, il les renie. Par contre, s'il a une riche famille, il s'en vante et la flatte. Pour Dieu, c'est tout le contraire : Il aime les pauvres et déteste les riches[11]. (Le commentaire sur la Torah. Edit. Verdier).

    Autre : Tu auras la crainte de ton Dieu (Lév. 25:36). La Torah dit : Tu dois craindre Dieu. Il existe de nombreuses personnes qui affirment qu'une somme d'argent appartient à un non-Juif afin de pouvoir la prêter à un Juif et de toucher des intérêts. En vérité, l'argent appartient à un Juif ; Dieu sait pertinemment à qui est l'argent et Il punit le coupable. (Op. cit.).

    De même : Tu ne laisseras pas entrer dans la maison de YHVH, ton Dieu, pour un voeu quelconque, le cadeau d'une prostituée (Deu. 23:19). Tu ne laisseras pas entrer le cadeau d'une prostituée car cela est répugnant. Après ce verset, la Torah écrit : Tu ne prêteras pas à intérêt à ton frère (Deu. 23:20). Cela nous apprend que beaucoup de Juifs obtiennent des gains grâce au prêt à intérêt[12] ; ils amassent ainsi de grosses sommes d'argent avec lesquelles ils achètent des misvot à la synagogue, notamment pour pouvoir aller lire la Torah. C'est comme ils avaient amené le présent d'une prostituée dans la maison de Dieu[13]. Le prophète dit à ce sujet : « Ne continuez pas à amener des oblations vaines[14]. » La Torah indique qu'on ne doit ni prêter à intérêt, ni percevoir d'intérêt[15]. Ces deux péchés sont punis par Dieu. On peut se demander ce qu'on gagne à ne pas pratiquer l'usure[16] ; la Torah explique à ce sujet : Afin que te bénisse YHVH, ton Dieu, en toute entreprise de ta main[17] (Deu. 23:21). (Op. cit.).

    La Bible, le Judaïsme et le Talmud.

    Dans l’histoire de monde biblique, chaque camp à tendance à jeter sur l’autre la responsabilité de ses propres malheurs. Si les gens de la Synagogue et de la Torah étaient gens qu’ils prétendent, ils mettraient en application la Loi toranique, quitte à y perdre leur vie. Même vivants en terre d’exil. Car transgresser les Ordres d’Hachem ne restent pas actes impunis. N’est-ce pas une des causes de la destruction du premier Temple ? Le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, a demandé aux gens de la Synagogue de suivre à la lettre les lois toraniques, non de les transgresser ou de chercher à les transgresser, à les interpréter comme bon leur semble, et surtout de les abolir…

   Le rabbin, l’homme de la Synagogue ne saurait être au-dessus des lois, un homme se prenant comme un législateur au-dessus du Seigneur et Législateur divin. Depuis le Prophète Mochè (Moïse – sur lui la Paix !) que reste-t-il au juste des lois contenues dans la Torah ? Pas grand-chose, sinon qu’une image de la réalité et non la réalité elle-même. Pour certains, n'est-ce pas le Talmud le plus important ?

   L’homme de la Synagogue aime nous rabâcher sans cesse et encore qu’il aime les lois, la Loi toranique, et qu’il n’y aura jamais d’autre loi donner à l’humain que celle contenue dans la Torah ! Mais à quoi bon se réclamer d’une chose qu’on ne pratique pas soi-même, sur soi-même ? Qu’on respecte à moitié ou pas du tout ? Est-ce pour suivre le dicton : faire ce qu'on vous dit non ce que nous faisons ? Les gens de la Torah ont détesté du fond d’eux-mêmes le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) et ses paroles à leur encontre, pourtant n’étaient-elles pas source de vie pour eux ? Et au lieu de l’entendre et l’écouter, ils prendront ses propos, leur propre religion en aversion. Ils prendront de la Loi une partie et laisseront l’autre ! Devenant ainsi mécréants, infidèles surtout aux Alliances...

    Devenir usurier malgré soi, est-ce possible ?

    On nous dit : Béatrice Philippe, professeur à l’INALCO, Paris, prétend que les juifs de France sont devenus ”usuriers malgré eux” au Moyen Age[18]. Bien sûr, le Talmud interdit formellement le prêt à intérêt, mais cela ne vaut que pour les juifs[19].

 - Le précepte 198 ordonne de pratiquer l’usure vis-à-vis des Gentils. Et le précepte 545 dispose ” Nous ne devons prêter de l’argent aux Gentils que moyennant intérêt “. “Cette obligation, précise le commentaire des mitzvot, se fonde sur le principe selon lequel les juifs ne doivent avoir aucune pitié des Gentils. “

 - Le précepte 219 enjoint au juif de se préoccuper de son prochain et de son argent comme il le ferait pour lui-même. Celui qui aime le prochain comme lui-même ne lui volera pas son argent. Mais, faut-il le rappeler, le goy n’est pas le prochain du juif.

 - Le paragraphe 322 traite du devoir de maintenir les Gentils en esclavage. “Cette obligation repose sur l’évidence que le peuple juif est le meilleur de tous les peuples de la terre, créé pour connaître son Créateur et l’adorer et digne de posséder des esclaves pour le servir”. C’est dans la revue des Loubavitch (*7) que Gilles Kepel (*8) a trouvé le concept suivant :

 - ” L’ECART QUI SEPARE LE PEUPLE JUIF DU GENRE HUMAIN N’EST PAS MOINDRE QUE L’ECART ENTRE L’HUMAIN ET L’ANIMAL. “

 - Paragraphe 239. L’interdiction de maudire le prochain, de lui donner de mauvais conseils, de le haïr, de le couvrir de honte, de tirer vengeance ne s’applique qu’au juif. Contre les goyim, en revanche, toutes les mauvaises actions sont vivement recommandées par la Halakha.

     Nous dirons : Est-ce possible que le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, commande la turpitude et le blâmable à Ses esclaves, à ceux qui prétendre à la face du monde être le ‘Peuple de Hachem’ ? Nullement. Aussi qui autre que le Démon et ses affidés peuvent commander la turpitude, le mal, agir en mal et le blâmable ?

   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui attribuent !

    Autre :

   Selon Richard Ayoun : Autrefois le mot usure ne représentait aucune mauvaise acceptation ; il signifiait simplement intérêt quelconque. L'expression d'usure ne peut plus rendre le sens du texte hébreu ; aussi la Bible d'Osterwall et celle des Juifs portugais appellent intérêt ce que Sacy, d'après la Vulgate appelle usure.

    Ainsi, par la loi de Moïse, le simple prêt à intérêt, non seulement entre Juif et Juif, mais encore entre un Juif et un compatriote, sans distinction de religion, est défendu. Il doit être gratuit toutes les fois qu'il s'agit d'obliger celui qui réclame notre secours, et que l'emprunt n'a pas pour objet une entreprise de commerce[20].

   Il ne faut pas perdre de vue que ces lois si belles et si humaines, à une époque si reculée, ont été faites pour un peuple qui formait un État, et tenait une place parmi les nations.

   Qu'on jette un regard sur les restes de ce peuple infortuné[21], dispersés chez tous les peuples de la terre[22] ; on verra que depuis que les Juifs ont été dépossédés de la Palestine, il n'y a plus eu pour eux de demeure commune, de propriété, d'égalité primitive à maintenir. Quoique remplis eux-mêmes de l'esprit de leur législation, ils ont senti que du moment où le principe de la loi n'existait plus, ils ne devaient plus la suivre[23] ; et on les a vus, sans aucun scrupule, prêter à intérêt aux Juifs commerçants, comme aux hommes d'un culte différent[24].

    Leur défend-elle ou leur permet-elle de faire l'usure aux étrangers ?

    Réponse : Nous avons vu, dans la réponse à la question précédente, que la défense de l'usure, considérée comme l'intérêt le plus modique, était moins un principe de commerce qu'un principe de charité et de bienfaisance[25]. C'est sous ce point de vue qu'elle est également condamnée par Moïse et par le Talmud, et que la défense, sous ce rapport, s'applique autant à nos concitoyens qui ne sont pas de la même religion, qu'à nos coreligionnaires.

   Cette disposition de la loi qui permet de prendre intérêt de l'étranger, ne se rapporte évidemment qu'aux nations avec lesquelles on a des relations de commerce[26] : autrement il y aurait une contradiction manifeste entre ce passage et vingt autres livres sacrés : Aimez l'étranger, parce que le Seigneur votre Dieu l'aime ; donnez-lui la nourriture et le vêtement. Il n'y aura qu'une même loi pour vous et pour les étrangers qui sont dans votre pays. Que la justice se rende également, parmi vous, aux étrangers et à vos concitoyens. Que maudit soit celui qui fera le moindre tort à l'étranger ! Traitez l'étranger comme vous-même[27].

   Ainsi la restriction, ou la défense, s'applique à l'étranger qui résidait dans Israël ; l'Ecriture le met sous la sauvegarde de Dieu : c'est un hôte sacré[28], et Dieu fait un devoir de l'accueillir comme la veuve et l'orphelin.

   Il est évident que le texte, Extraneo foenerabis, et frairi tuo foenerabis, ne peut s'entendre que des nations étrangères avec lesquelles ont fait le commerce ; et même en ce cas l'Ecriture, en permettant de prendre intérêt de l'étranger, n'entend point par-là aucun profit[29] excessif, oppresseur, odieux à celui qui le paye[30]. Non licuisse Israelitis, disent les docteurs, usuras immoderatas exigere ab extraneis etiam divitibus, res est per se nota.

   Moïse, s'il était le législateur[31] des Juifs[32], était-il le législateur de l'univers ? Les lois qu'il donnait au peuple que Dieu lui avait confié, allaient-elles devenir les lois du monde[33] ? Vous ne prendrez point d'intérêt de vos frères. Quelle garantie avait-il que dans les relations qui devaient naturellement s'établir entre la nation juive[34] et les nations étrangères, ces dernières renonceraient aux usages généralement répandus dans le commerce, et prêteraient qu'aux Juifs sans exiger aucun intérêt ? Et alors fallait-il qu'il consentît[35] à les sacrifier, à les appauvrir, pour enrichir les peuples étrangers[36] ? N'est-il pas absurde de lui faire un crime de restriction qu'il a mise au précepte du Deutéronome[37] ? Quel est le législateur qui ne l'ait regardée comme un principe naturel de réprocité[38] ?

   Combien, à cet égard, la législation[39] de Moïse est plus simple, plus noble, plus juste et plus humaine que celle des Grecs et des Romains[40] ! Vit-on jamais, parmi les anciens Israélites, ces scènes de scandale et de révolte provoquées par la dureté des créanciers envers les débiteurs ; ces fréquentes abolitions de dettes, pour éviter qu'une multitude appauvrie par les exactions des prêteurs ne se livrât au désespoir[41] ?

    La législation mosaïque et ses interprètes ont distingué, avec une humanité digne d'éloge, les divers usages de l'argent emprunté[42]. Est-ce pour soutenir la famille ? Cela est défendu. Est-ce pour entreprendre un commerce qui fait courir un risque aux capitaux du prêteur ? L'intérêt est permis, même de Juif à Juif. Prête au pauvre, dit Moïse[43]. Ici le tribut de la reconnaissance est le seul intérêt. Le salaire du service rendu est dans la satisfaction de l'avoir rendu. Il n'en est pas de même du riche qui emploie des capitaux dans l'exploitation d'un grand commerce : là, il permet que le prêteur soit associé aux profits de l'emprunteur ; et comme le commerce était, pour ainsi dire, nul parmi les Israélites, exclusivement abandonnés au labourage[44] et qu'il ne se faisait qu'avec les étrangers, c'est-à-dire les nations voisines, il fut permis d'en partager le profit avec elles.

   C'est ce qui fit dire à M. de Clermont-Tonnerre, dans l'Assemblée Constituante, ces paroles remarquables : « L'usure, dit-on, est permise aux Juifs. Cette assertion n'est fondée que sur une interprétation fausse d'un principe de bienfaisance et de fraternité, qui leur défendait de prêter à intérêt entre-eux ».

   Cette opinion est celle du Puffendorff, et d'autres publicistes[45].

   On s'est fort étayé contre les Juifs, d'un passage de Maïmonide, qui semble avoir fait un précepte de l'expression l'anochri tassich. Mais si Maïmonide n'a pas craint de soutenir cette opinion, on sait que le savant Rabbin Abrabanel [Abravanel] a réfuté ce sentiment d'une manière victorieuse. On trouve encore dans le Talmud, traité de Macot, que l'un des moyens d'acquérir la perfection, est de prêter sans intérêt à l'étranger, même idolâtre[46]. Au reste, quelle que fût, s'il est permis de s'exprimer ainsi, la condescendance de Dieu pour les Hébreux, on ne saurait raisonnablement soutenir que ce Père[47] commun des hommes a pu dans aucun temps commander l'usure[48].

   Le sentiment de Maïmonide, qui avait soulevé contre lui tous les docteurs juifs, fut principalement condamné par les fameux Rabbins Moïse de Gironda [Joseph ben Moïse de Gérondi, seconde moitié du XIIIe siècle] et Salomon Benadaret [Salomon ben Abraham Adret (1235 env. - 1310)] : d'abord, sur ce qu'il s'était appuyé du sentiment de Siffri, docteur particulier dont la doctrine n'a pas été sanctionnée par le Talmud ; car il est de règle générale que toute opinion rabbinique qui n'est pas sanctionnée dans cet ouvrage, doit être considérée comme réfutée ; en second lieu, parce que si Maïmonide a entendu que le mot nochri, c'est-à-dire étranger, regardait le Cananéen, peuple proscrit de Dieu, néanmoins il n'aurait pas dû confondre le droit public qui dérivait d'un ordre extraordinaire de Dieu aux Israélites considérés comme nation, avec le droit privé d'un particulier contre un autre particulier de cette même nation.

   Il est incontestable d'après le Talmud que l'intérêt même entre Israélites est permis lorsqu'il s'agit d'opérations de commerce[49], dans lesquelles le prêteur, en courant une partie des risques de l'emprunteur, s'associe aussi à ses profits. C'est l'opinion de tous les docteurs juifs.

   On voit que les opinions absurdes et contraires à la morale sociale que peut avoir avancé un Rabbin, ne doivent pas faire porter un jugement défavorable sur la doctrine générale des Juifs, de même que les idées semblables avancées par des théologiens catholiques ne doivent pas être mises sur le compte de la doctrine évangélique. On peut en dire autant de l'imputation faite aux Hébreux d'avoir une disposition naturelle à l'usure ; on ne peut pas nier qu'il ne s'en trouve quelques-uns, mais en bien plus petit nombre qu'on ne pense, qui se livrent à ce honteux commerce, défendu par leur religion.

   S'il en est quelqu'un qui s'écarte à cet égard des lois de la délicatesse, n'est-ce pas injuste d'imputer ce vice à cent mille individus[50] ? Ne le serait-il pas de l'imputer à tous les Chrétiens, parce qu'il s'en trouve qui se le permettent ? [Explicit] (Les juifs de France. De l'émancipation à l'intégration (1787 - 1812). de Richard Ayoun).

   Conclusion.

   Il est à craindre que chez les gens de la Synagogue et de la Torah seule une parole compte : : "la vente est semblable à l'usure". Alors que le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, a rendu le commerce licite, l'usure illicite.

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !  


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Le mot usure à donc un sens large ici. Et bien sûr, il comporte le prêt à intérêt. Le ribith (" usure ") est une interdiction de la Torah, mais le monde de la Synagogue saura l'interpréter, le moment venu, à sa façon et son avantage. Qu'on en juge : Lire...
[6] Récit propre aux gens de la Synagogue. On ne peut ni confirmer ni infirmer.
[7] Preuve est bien établie que les gens de la Torah tuèrent ou voulurent tuer leurs Prophètes (sur eux la Paix !). De notre temps, certaines personnes du monde de la Synagogue et de la Torah tentent coûte que coûte d'affirmer le contraire. A tout cela, la Bible et le Coran ont répondus. S'y référer.
[8] Nombre élevé, quant on pense que la grande majorité ne seront pas répertoriés dans la Bible !
[9] Remarque importante.
[10] Is. 49:13.
[11] Le commentaire de ce rav n'est-il pas à méditer parmi les gens de la Torah ? Notamment à notre époque ?
[12] Remarque importante.
[13] Remarque importante. Le salaire d’une prostituée ne saurait être de l’argent propre, licite à la consommation.
[14] Is. 1:13.
[15] B.M. 6.7 ; Ex.R. 31.13 et 15.
   Remarque importante. Avec un monde construit sur l’argent et son pouvoir, les gens ne peuvent amener que servitude, désespoir et souffrances. L’argent n’a jamais été source de bonheur. Qu’on se rappelle l’histoire de Coré. Elle fut, pour lui et sa suite, source au contraire de sa perte et de sa chute dans ce monde et dans l’Autre…
[16] Excellente question.
[17] Le fruit de ton labeur, non le labeur de ton frère. Lequel, s'il emprunte avec intérêts, risque de passer des nuits blanches. Ce qui est une injustice. Paroles discordantes : Talmud, Abhodah Zarah 54a: L’usure peut être pratiquée sur les Non-juifs, ou sur les apostats. Talmud, Iore Dea 159, 1: Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l’argent à un Non-juif avec intérêt. Toutefois, certains des anciens n’ont pas reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd’hui, ce droit est accordé dans n’importe quelle circonstance. Talmud - Babha Kama 113a: les incroyants ne bénéficient pas de la loi et dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël. Talmud, Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres. Talmud, Zohar II, 43a : L'extermination des goyim est un sacrifice agréable à Dieu. – Iore Dea (157, 2) H : On peut tromper les chrétiens qui croient aux principes de la foi chrétienne. Voir aussi : Palestine... Un destin fracassé... 
  
En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !
[18] Le texte coranique affirme le contraire. Car l'usure est interdite entre gens de la Torah et autres gens de la terre. Le monde de la Synagogue a interprété l'usure comme bon lui semblait. En effet, le vrai croyant ne peut transgresser la Loi divine. Le fait-il ? Alors à lui d’en supporter les effets dans ce monde et dans l’Autre.
[19] Sujet de querelles permanentes entre les gens de la Bible (toranique + évangélique).
[20] Remarque importante. Quant il s'agit de commerce, la loi est différente selon l'auteur. Il faut faire une distinction. Ce qui revient à dire l'usure (et le prêt à intérêt) c'est comme le commerce ! D’où la parole coranique :
[21] Excellente question, mais à qui la faute ?
[22] Selon le décret divin : Coran XVII 2-8. A cause de leurs péchés et leur refus d'obéir et d'écouter le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha...
[23] Comme ils ont abandonné le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, à Lui de les abandonner et de les livrer à eux-mêmes.
[24] Remarque importante. En agissant ainsi ne feront-ils pas le malheur des autres et leur propre malheur ?
[25] Voir à ce sujet le texte coranique et ce qui était interdit aux gens de la Bible, de la Torah.
[26] Remarque importante.
[27] Les gens de la Torah de Palestine aiment-ils les habitants arabes, leurs voisins, leurs proches, leurs descendants de Sem fils de Noé ? Appliquent-ils, pour eux-mêmes et pour autrui, cette parole de leurs Écritures ? Et les gens de la Synagogue et de la Torah, de notre temps, peuvent-ils prétendre plus longtemps que leur Seigneur n'aime pas ceux comme eux : l'étranger ? S'abstiennent-ils de faire du tort à l'habitant palestinien (quelque soit son origine et sa confession) et le traient-ils comme eux-mêmes ? Paroles à méditer pour l'ensemble des gens de la Torah ! Car à cause du comportement, note l'observateur biblique, le Nom (Hachem) est blasphémé parmi les nations !
[28] Excellente question pour ceux et celles qui vivent en Palestine, de notre temps.
[29] S'il existe des gens honnêtes et pieux du monde biblique, peut-être et d'une certaine façon. Mais nous savons tous, note l'observateur, que l'argent n'a pas d'odeur chez les gens du commerce. Et que Religion et Argent (ou or) n'ont jamais fait bon commerce ! Exemple biblique de Coré (Qaroûn).
[30] Avec la Révélation du sceau des Écritures, nous savons tous que même cela était formellement interdit en loi toranique.
[31] Au sens figuré du mot. Au sens propre : celui qui a descendu Ses lois à Ses Prophètes, n'est-ce pas le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha ? Ces lois que, Paul a demandé, de ne pas suivre et d'obéir à ses suivants. Les lois toraniques étant réservées exclusivement aux gens de la Torah, selon son interprétation !?
[32] Nullement. Uniquement des Hébreux, car sa Religion était la Soumission non le Judaïsme.
[33] Pour certaines personnes de la Torah : sans aucun doute ! Mais la Révélation du Coran, cette NOUVELLE-TORAH, mettra un bémol à leur prétention et interprétation.
[34] hébreue non juive.
[35] Ce 'surplus' provenant du prêt à intérêt, contrairement à l'idée reçue, n'enrichit nullement. Il appauvrit, rend esclave autrui. Voir l'explication des versets coraniques à ce sujet. Tout cela n'est qu'un leurre, une fiction. Une erreur de jugement et d'appréciation. Car loin de développer le commerce, il le restreint au contraire. Est un frein, divise le monde en deux blocs distincts : les pauvres et les riches. Asservit l'emprunteur. D'où : exploitation de l'homme par l'homme en terres bibliques et ailleurs.
[36] L'Etranger qui s'est donné pour religion une autre que celle du Miséricordieux, n'est ni homme à envier ni homme à suivre. A lui sa religion, et aux esclaves du Miséricordieux la leur.
[37] Que les gens de la Synagogue ont mis... Ne pas confondre !
[38] C'est d'autant plus vrai que ceci a été 'légalisé' au fil des ans : en régime type Nemrodisme (Dictature) ou comme en un régime type Pharaonisme (régime des partis).
[39] Cette législation que les gens de la Synagogue ont cru bon de détourner et d'interpréter, au fil des siècles, comme bon leur semblerait ! D'où cette parole répandue : la loi rabbinique et non la loi toranique !
[40] Ennemis héréditaires du monde toranique : les Fils d'Esaü. Avant et après leur conversion au Christianisme.
[41] Excellente remarque. Les gens de l’intérêt (dont ceux du monde biblique (toranique + évangélique)) n’ont-ils pas divisés le monde en deux blocs distincts : le monde des riches ou du grand capital, d’un côté, et le monde des gens sans ressources, pauvres de l’autre ? L’un exploitant l’autre !
[42] Digne d'éloge, certainement pas ! Puisqu'il légalise, a eu pour but de légaliser l'interdit du prêt à intérêt parmi le monde biblique !
[43] A la lumière du Coran, nous savons que cette parole qu’on fait dire à Moïse (sur lui la Paix !) est sans fondement, fausse. Elle n’est que parole de gens de la Synagogue. Lesquels cherchent par là à se justifier, à braver l’interdit pour mieux répondre aux demandes pressantes des gens du commerçant, du grand capital, de l’usurier, de l’homme riche et autre. Donne au pauvre son droit, n’est-ce pas la meilleure des paroles ?
[44] Présenter les Hébreux, les Fils d’Israël et les Judaïsés comme un peuple de laboureurs est un très grand mot ! D’autant qu’ils ne sont pas présentés ainsi dans la Torah.
[45] Celui qui écrit sur le droit public, sur la politique. En ce sens il est vieux.
[46] Remarque importante.  Par contre, nous savons tous, note l'observateur, que, au fil des siècles, cette perfection disparaîtra peu à peu du monde biblique.
[47] Ou Seigneur. Nom divin dans les Écritures anciennes.
[48] Le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, ne saurait commander la turpitude et le blâmable à Ses créatures ! Tel n'est pas le cas de Lucifer, le Démon (que Dieu le maudisse !). En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !
[49] Donc et d’après cette opinion : la vente est semblable à l'usure !
[50] Pour détruire une société, un petit groupe suffit. Et s'il n'est pas repris à temps, toute la société sera emportée.


Point de divinité, de dieu que Dieu !
 
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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Cette page a été mise à jour le 13/11/08.

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