La différence entre le chemin de la Prophétie et le chemin de la Royauté | |
الفرق بين منهج النبوة و منهج الملك |
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Sommaire Histoire ancienne du monde biblique. - La Dispersion. - Le Coran : Nouvel axe historique de l'humanité. - La Nouvelle Torah : Le Coran est vrai en toute éternité. - Il y aura et il y eut un nouveau Sinaï : Paran. - Conclusion. L'histoire des peuples anciens présente pour nous un intérêt tout spécial, puisque les populations de ces temps anciens sont aujourd'hui encore mentionnés dans les Livres saints. Les Ecritures anciennes parlent de trois Monts de la Révélation. Deux pour le monde biblique : Sinaï et Séir. Un pour l'Islam traditionnel : le Mont Paran en Arabie, à Makkah. Pour le monde toranique et le monde de la Synagogue, l'Histoire nous enseigne, disent-ils, qu'un seul Mont, qu'une seule 'visite' de Hachem (le Nom), au Sinaï. Le monde de l'Evangile ignore totalement le Mont du Sinaï comme il ignore le Mont où fut révélé l'Evangile. Quant au Mont Paran, il est le Nouveau Sinaï, là où fut révélé la NOUVELLE TORAH : LE CORAN. |
Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4]. Le Mont Sinaï et le Mont Paran ou le Mont de la Nouvelle Torah. Le chemin de la Prophétie et le chemin du monde biblique. HISTOIRE BIBLIQUE UNIVERSELLE Seconde Partie
LA DISPERSION Les Juifs dispersés sur terre. Au Miséricordieux de révéler à l’encontre des Fils d’Israël :
Et Nous les avons découpés en communautés sur la terre. Commentaires. « Et Nous les avons découpés en communautés sur la terre. » Nous avons divisé les Fils d’Israël en groupes dispersés sur la terre. La subornation.
Les générations ultérieures pires qui se laissèrent suborner pour altérer le Livre[5]. Commentaires. Le Miséricordieux dit ensuite ceci[6] ; « Après eux »[7], après ces gens décrits précédemment, « vint les remplacer (khalafa) une génération (khalf) » c’est-à-dire une mauvaise génération (khalf[8] soû) qui les remplacèrent en mal [là où eux agirent en bien]. « des successeurs qui héritèrent du Livre » c’est-à-dire qu’ils l’étudièrent, mais en négligèrent la mise en œuvre et, dans les jugements qu’ils avaient à porter, s’écarter de son autorité (houkm) en se laissant acheter pour donner des jugements contraires à ce que Dieu y avait énoncés ; aussi, pour se faire laisser ainsi suborner, ils « saisissaient l’occasion qu’offrait » sous la forme de gratification vénale (rachwa)[9] « ce monde plus immédiat (hadhâ-l-adnâ) » parce que plus proche (aqrab) que ne l’est le Monde ultime [qui leur paraissait] plus éloigné, « en disant : "Il nous sera pardonné !" : Dieu nous pardonnera nos péchés ! et en disant cela, ils ne faisaient que forger de vains espoirs au sujet de Dieu. Ceci rejoint ce qui est dit dans cet autre verset : « Que le châtiment du "wayl" soit infligé à ceux qui écrivent le Livre de leurs mains et disent ensuite : « "Ceci vient d’auprès d’Allah", afin de l’échanger contre un prix infime. Que le châtiment du "wayl" leur soit infligé pour ce que leurs mains ont écrit et qu’il leur soit [encore] infligé pour ce qu’ils ont obtenu [en échange] ! » (Coran II 79). « s’il leur venait une occasion similaire, ils la saisissaient » : si, après cela, se présentait à eux l’occasion de commettre quelque autre chose interdite comme l’est le péché d’accepter de telles gratifications, ils la saisissaient aussitôt et considéraient sans la moindre hésitation la chose comme tout à fait licite. Dieu fait donc savoir que ces gens étaient obstinément ancrés dans leurs péchés et n’étaient en rien des gens se souciant de se rédimer[10] et de se repentir. « Ne comprennent-ils donc point ? » : ces gens dont il vient d’être question, qui prennent ce qu’offre ce monde plus immédiat pour infléchir leur jugement et qui disent qu’il leur sera pardonné[11], ne comprennent-ils pas (a-fa-lâ ya’ qiluôna) que ce qui est destiné auprès de Dieu dans l’Autre Demeure à ceux qui, emplis de crainte pieuse, sont justes (‘âdilîn) dans les jugements qu’ils prononcent entre les gens, est bien meilleur que ce peu négligeable que leur offre le monde immédiat et qu’ils s’empressent d’acquérir en dépit du fait qu’ils contreviennent à l’ordre de Dieu et prononcent entre les gens des jugements iniques ? Altération du Livre et subornation des juges chez les Fils d’Israël. Corruption des Juges et de la société biblique toranique. Avis divers de commentateurs : Moujâhid a commenté ainsi : « "Ils saisissaient l’occasion qu’offrait ce monde plus immédiat" : dans une journée, quel que fût la chose du bas-monde, licite ou illicite pour laquelle ils avaient quelque désir, qui se présentât à eux, ils la saisissaient aussitôt en espérant être pardonnés. Mais, si le lendemain ils trouvaient une occasion semblable, ils la saisissaient également ». Qatâda : « "Après eux vint les remplacer une génération" : j’en jure par Allah qu’il s’agit là d’une génération remplaçant la précédente en pire (khalf soû) ! « "qui, tout en héritant du Livre" : après les prophètes et les envoyés, c’est à ces gens-là qu’Allah transmit le Livre en le leur recommandant, or ils le négligèrent, comme le dit Allah dans cet autre verset : "Après eux vint les remplacer une autre génération de gens qui négligèrent la prière et suivirent les passions" (Coran XIX 59) et ils "saisissaient l’occasion qu’offrait ce monde immédiat…" » Suddiyy : « Les Fils d’Israël ne sollicitaient pas un jugement sans présenter au juge quelque gratification pour infléchir son jugement. Les meilleurs d’entre eux se mirent d’accord et s’engagèrent mutuellement à ne plus donner ni accepter de telles gratifications (rachwa). Il y eut pourtant l’un ou l’autre d’entre eux pour persister à obtenir un jugement en subornant[12] le juge. Quand il lui était dit : "Que fais-tu là ? Tu graisses la patte au juge ?", il répondait : "Il me sera pardonné !" Les autres Fils d’Israël l’incriminaient pour sa façon d’agir. Lorsqu’il mourrait ou se retirait en laissait à sa place l’un de ceux qui avaient déjà été incriminés, celui-ci agissait de même en disant : S’il vient aux autres l’occasion de saisir ce qu’offre la vie immédiate (ad-douniyâ), ils la saisissent également !" Il précise : Quant à « "ce qu’offre ce monde plus immédiat (hâdhâ-l-adnâ)" c’est ce qu’offre le monde immédiat (douniyâ) comme biens matériels[13] ». Conclusion. L’intégrité, la droiture des Juges dans une société, n’est-ce pas sacré ? Le texte coranique a mis en évidence une page sombre de l’histoire du monde hébreu. Et loin de suivre l’enseignement intégral des Prophètes dont Mochè (sur eux la Paix !), ils se sont dévoyés. Une justice corrompue, à deux vitesses, des juges corrompus et sous influences[14] ; que peu espérer le peuple ? Sinon sa descente aux enfers ! D’autant qu’il s’agit ici là d’une justice pas comme les autres. De rendre justice au nom de Hachem, du divin Législateur ! Et cette corruption, cette déviation, perdureront au fil des temps ! La colère du divin Créateur ne se fera pas attendre, le premier Temple verra et connaîtra alors sa première destruction… La crédibilité de la justice et des juges toraniques sera ternie à tout jamais… En effet, la venue de l’Evangile et de sa loi nouvelle, ne sera-t-elle pas une seconde chance mais aussi une causse de perte et de destruction pour le monde toranique ? La perte à tout jamais et la destruction du second Temple ? Encore une fois, il ne s’agit plus de contester la cause primordiale des malheurs d’un peuple déchu : elle est trop évidente. David et Salomon ont été et sont les Princes du jugement et de la science (Coran XXI 78-82), comme ils furent des Roi prophètes en Terre sainte. Il s’agit de mettre en évidence que là où ces Prophètes réussirent, d’autres succombèrent emportés par leur illusion[15], leur passion, la soif du pouvoir, le lucre. LE CORAN : Nouvel Axe historique de l’humanité La crédibilité des gens de la Bible remise en question. Les gens de la Synagogue sont fiers de nous montrer leur Livre la Torah. Fiers, à qui veut bien les entendre, d’exposer la Loi contenue en lui. Cependant, ils sont jaloux de voir qu’une autre Torah a pu être révélée : le Coran, et ceci conformément aux Ecritures. La Loi contenue dans cette Nouvelle-Torah est, comme l’ancienne, d’origine et d’essence divine. Elle émane du Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha. N’en déplaise aux ergoteurs, adversaires et opposants de la Religion divine : l’Islam ! Le mensonge rabbinique. A entendre des rabbis, gens de la Synagogue comme Rambam ; il n’y eu, dans l’histoire de l’humanité, "jamais de NOUVEAU SINAÏ" ! Pourtant, le Livre entre leurs mains dément pareille affirmation[16]. Après le Sinaï, il y eu pour le monde des fils de Jacob, le Séir avec la Révélation de l’Evangile au fils de Marie, le sceau des Prophètes d’Israël (sur eux la Paix !). Puis et enfin, il y eu le Paran[17] avec le Coran révélé au sceau de la Prophétie, le Prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !). Message universel. LA NOUVELLE THORA : L’idée des gens de la Synagogue dont Rambam que la Torah ne peut changer est fausse[18] : « La différence entre une révélation unique et une révélation qui pourrait être répétée est pareille que celle entre une Torah absolue et une Torah qui serait relative. L’idée que D.ieu puisse changer la Torah produirait le soupçon qu’elle puisse n’être vraie que pour une époque, une situation, ou un endroit particuliers. Par conséquent, elle ne pourrait pas être absolue. Dans une telle situation, la Torah ne serait plus le "plan de la Création", elle n’offrirait que des moyens temporaires pour satisfaire aux besoins de la société… En résumé, D.ieu garantit Lui-même qu’il n’y aura pas de changement dans la Torah. Elle est vérité absolue et invariable, et elle reflète la nature même de la Création, totalement pertinente à toutes les situations et à toutes les époques. » (Op. cit.) Premièrement : Parler ainsi, n’est-ce pas admettre d’emblée que par ‘Loi divine’, il faut entendre que celle-ci est (et a été) réservée uniquement, et depuis la création, qu’à un seul peuple parmi les nations : le peuple hébreu, les Fils d’Israël ? Position insoutenable. Surtout avec ce qui est advenu de la Torah (originelle), laquelle a disparue des mains des gens de la Synagogue, du monde toranique. Secundo : Les gens de la Torah ont poussé ‘dehors’ les gens de l’Evangile, à travers Paul, pour qu’ils se gardent de bien d’appliquer les lois toraniques à leurs sociétés et communautés à travers le monde. En agissant ainsi, n’ont-ils pas voulu s’accaparer la Torah pour eux seuls ? Secundo : La Torah (originelle) est vraie et les lois contenues en elle, pareillement. Ce qui est faux, c’est d’admettre qu’elle devait être, qu’elle est immuable. Instituée jusqu’à la fin des temps. Son époque, n’en déplaise aux gens de la Synagogue, au monde toranique, est révolue. Et d’ailleurs Paul l’a lui-même reconnu[19]. Troisièmement : Depuis la destruction du second Temple bon nombre de lois sont impraticables. Le monde de la Synagogue a du mettre au point des lois ‘nouvelles’, de substitutions. Des lois émanant du monde de la Synagogue, non jamais du Miséricordieux et de Ses Envoyés, puisque la plupart des gens du monde toranique refusèrent l’Evangile et ses nouvelles lois. Ne pas confondre ! Quatrièmement : N’étant pas absolue, le ‘plan divin’ (et non le ‘plan de la Création’) était, pour l’ensemble de l’humanité, qu’une NOUVELLE THORA allait voir le jour et serait d’une portée universelle, protégée, cette fois, par le divin Créateur et Législateur. Et ceci allait être réalisable à travers la Femme Délaissée : Agar. En résumé, Dieu garantit Lui-même, naguère, qu’il y aura du changement dans la Torah révélée au Sinaï. La NOUVELLE TORAH est vérité absolue et invariable, et elle reflète la période où nous vivons et où nous sommes, totalement pertinente à toutes les situations et à toutes les époques. IL Y AURA ET IL Y EU UN NOUVEAU SINAÏ : PARAN On a dit que Dieu le Très-Haut a dit : "O Mohammad ! Abd Allah fils de Kathîr rapporte avoir entendu Moudjâhid expliquer ainsi ce verset : « Ils n’ont pas apprécié Dieu à Sa juste Valeur quand ils ont dit : « Dieu n ’a jamais rien fait descendre sur un homme ! » : c’était là les paroles dites par les associateurs [arabes] qoreichites ; « Dis [leur] : Qui donc fit descendre le Livre que Mochè a apporté en guise de lumière et de guidance pour les hommes, qu’ils [les judaïsés] mettent en des parchemins qu’ils exhibent tout en dissimulant beaucoup ? » : il s’agit là des Juifs qui exhibent ces parchemins tout en dissimulant une grande partie [de ce qui s’y trouve énoncé]. « Il vous a été enseigné ce que vous ne saviez pas ni vous ni vos pères » (Coran VI 91) : ce passage concerne les gens soumis ». Le fils d’Abbas a dit : « Ils n’ont pas estimé Dieu à Sa véritable Toute-Puissance » : c’est là les propos des impies [mecquois] qui ne croyaient pas à la Toute-Puissance de Dieu sur eux. En effet, celui qui croit que Dieu est sur toute chose Tout-Puissant estime vraiment Dieu à Sa juste Valeur et celui qui ne croit pas à cela ne L’estime pas à Sa juste Valeur ». Selon les gens de la Synagogue[20] : Le principe précédent posait la croyance que la Torah ne peut pas être changée par la prophétie[21]. Un prophète n’a pas le droit d’innover, d’ajouter, ni de diminuer quelque mot ou quelque idée que ce soient, ni de la Loi Ecrite ni de la Loi Orale. On peut cependant se demander s’il est concevable que D.ieu puisse ramener le peuple juif au Sinaï ou au Temple, son équivalent, et que, en présence de tout Son peuple, Il modifie Sa Torah. Nous dirons : Mais il nous faut examiner pourquoi la Révélation au Sinaï doit être nécessairement un événement renouvelable. Pourquoi cela doit-il faire partie de Ses principes ? Concernant le Messie, par exemple, on nous dit : tant que les Juifs s’imaginèrent qu’il n’ajoutait rien à (la Loi de Mochè (sur lui la Paix !) – ce cas est analogue à ce que nous disions de la relation du Califat d’aujourd’hui avec l’Envoyé – ils crurent en lui et le reconnurent ; par contre, dès qu’il ajouta des prescriptions nouvelles ou abrogea celles qu’avait établies Mochè (sur lui la Paix !) – car le Messie avait qualité d’envoyé – ils ne le supportèrent pas, parce qu’il s’opposait (ainsi) à l’idée qu’ils s’étaient faite de lui. Les Juifs ignoraient son statut réel et exigèrent sa mort[22]. Allah a rapporté son histoire dans Son Livre vénéré[23], à son sujet et au leur[24]. C’est parce qu’il était un Envoyé qu’il avait le pouvoir d’innover, de supprimer des prescriptions qui avaient été établies ou d’en ajouter d’autres ; du reste (dans ce domaine) supprimer c’est, sans nul doute, ajouter une règle… Le problème des gens de la Synagogue ici, c’est qu’ils refusent obstinément de reconnaître l’autorité et le pouvoir[25] d’un Envoyé de leur Seigneur, Elohîm, sur eux, et de se conformer aussi à Ses exigences[26] ! Ils refusent de reconnaître aux Envoyés ce qu’ils s’accordent pour eux-mêmes et à eux-mêmes : un pouvoir absolu, plus et surtout des prérogatives étendues ! Aussi ont-ils peur, de tout temps, de les perdre ! Ce pouvoir étendu, ces prérogatives n’existent que dans leur intellect, la soif d’un pouvoir et surtout dans leur passion. En vérité, ils refusent aussi d’aller de l’avant[27], pour eux et ceux qui les suivent[28], et donnent de l’importance à ce qui n’a pas lieu d’être… Pour eux, et à les entendre, tout le plan de la Création tourne (tournerait, tiendrait) autour d’un jour de la semaine appelé le ‘Samedi’. Pourtant, combien de gens parmi leurs communautés respectent réellement ce jour déclaré ‘saint’ et inviolable pour eux ? Notamment au sein des sociétés bibliques évangéliques, en Terre sainte, etc. ? Le trouble du monde toranique. Ce qui est absolu. On nous dit : La simple possibilité qu’il pourrait y avoir un jour une autre révélation, bien qu’il n’y en ait pas encore eu[29], troublerait profondément le Juif[30]. Cette possibilité l’inciterait à penser que si elle n’a pas encore eu lieu c’est parce que le peuple juif ne s’en est pas rendu digne. Il serait alors tenté de raisonner et de se suggérer à lui-même que s’il en avait été digne, D.ieu Se serait certainement révélé et aurait adapté la Torah à sa manière de vivre du moment. Un tel raisonnement serait le commencement de sa fin, car plus rien ni personne n’attendrait du peuple juif qu’il devienne digne d’une révélation[31]. La Torah cesserait d’exister parce que tout ce qu’elle contient de contraire à une manière de vivre donnée[32] commencerait de paraître dépourvu de pertinence. Nous dirons : Deux remarques importantes. Première remarque : le trouble jeté au sein des Fils d’Israël et des Judaïsés, partie d’entre eux, après la Révélation de l’Evangile et surtout après la Révélation du Coran. Deuxième remarque : Elle complète la première : du fait que les Fils d’Israël et les Judaïsés ne se sont pas montrés à la hauteur, digne de ce que le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, attendait d’eux. Aussi à Lui de décréter que, la Prophétie et l’Ecriture passeraient de leurs mains, pour aller dorénavant dans les mains des Fils d’Ismaël. Les Prophéties ne l’annonçaient-elles pas ? Ainsi le Maître nouveau de la Justice et le Salut des nations, que tous attendaient avec impatience, viendraient, non comme l’idée reçue de la communauté toranique ; mais bel et bien des Fils d’Ismaël, de la Communauté mohammadienne. Et nul besoin enfin pour toute personne non ismaélite de rester dans sa religion ou d’aller embrasser une religion dite Noachide. Oui, l’homme biblique, toranique, doit se remettre en question. Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée ! [1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
Point de divinité,de dieu que Dieu ! *Droits de reproduction et de diffusion réservés ; © Le Carrefour de l’Islam
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