Croyances

SIGNES DE LA FIN DES TEMPS. ÈRE MESSIANIQUE.

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU, Allaha,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


L'Âne, ou le mortel secret de l'Antichrist.


   Point de divinité[1] excepté Allah [2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers dont le Sceau de la Prophétie[4].

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  • La libératrice du peuple hébreu, des Fils d’Israël, « Sera’h bat Acher » ? Son rôle bienfaiteur au sein des Fils d’Israël, selon les commentateurs toraniques.

   Il ne reste donc à mieux connaître cette « Sera’h bat Acher ». Et à en lire, on ne tarit pas d’éloges pour cette fille d’Israël hors du commun. D’ailleurs, on nous dit la concernant :

Tout élève ayant étudié le ‘Houmach connaît le nom de Sera’h, fille d’Acher, lequel fut lui-même l’un des douze fils de Jacob (« les Tribus d’Israël »). Elle est la seule femme dont le nom ait été mentionné parmi les enfants des douze Tribus, petits-enfants de Jacob. Son mérite a dû, en conséquence, être bien grand. Car l’aïeul avait beaucoup d’autres petites-filles dont nous ignorons les noms, à l’exception de l’une d’elles qui partage avec Sera’h ce privilège : c’est Yokhéved, fille de Lévi (mentionnée plus tard à l’occasion de la naissance de son fils Moïse). Seuls les petits-fils de Jacob sont cités nommément parmi les « soixante-dix âmes » qui se rendirent en Égypte.
…Les Sages qui nous le révèlent nous ont transmis beaucoup d’autres détails sur notre héroïne. La bénédiction de Jacob se réalisa et elle vécut plusieurs centaines d’années. Et même, selon certaines opinions, Sera’h ne mourut jamais ; elle fut l’une des neuf personnes qui entrèrent vivantes au Gan Éden (le Paradis). (fr.chabad.org)

   C’est elle qui indiquera à Moïse le cercueil de Joseph, fils de Jacob[5]. Elle vivra très longtemps et mourra en Perse, à Ispahan, dit-on. "Les Sages qui nous le révèlent nous ont transmis beaucoup d’autres détails sur notre héroïne. La bénédiction de Jacob se réalisa et elle vécut plusieurs centaines d’années. Et même, selon certaines opinions, Sera’h ne mourut jamais ; elle fut l’une des neuf personnes qui entrèrent vivantes au Gan Éden (le Paradis)[6]."
   Détail important. On a dit : "Selon une autre tradition, Sera’h vécut jusqu’à la destruction du premier Beth Hamikdache[7], subissant ainsi l’exil de Babylone. Avec beaucoup d’autres Juifs, elle s’installa à Ispahan, en Perse (actuellement l’Iran), où elle mourut et fut ensevelie. Un voyageur musulman, qui vécut il y a plus de sept cents ans, nous a laissé un récit de sa visite à cette ville et de ce qu’on lui avait relaté sur les circonstances qui avaient amené les Juifs à s’y établir. Selon lui, ces derniers, fuyant devant Nabuchodonosor, emportèrent de la ville sainte un peu d’eau et de terre. Après avoir erré longtemps, ils arrivèrent à Ispahan où ils découvrirent que la terre et l’eau y avaient la même haute qualité que les leurs. Ils décidèrent de s’y installer et y établirent leurs foyers et leurs familles. Le quartier juif était appelé Al-Yahoudiyah[8]. Non loin de cette ville qui est le jardin de l’Iran, dans un lieu nommé Ling’an, se trouve la tombe de Sera’h, que les Juifs connaissent bien.
Il y a de nombreuses années, encore qu’elle fût sacrée également pour les musulmans, cette tombe appartenait aux Israélites. Plus tard, elle leur fut enlevée par les Perses. Elle est aujourd’hui l’objet de beaucoup de récits et de légendes."

   Cette Judée (Al-Yahoudiyah) dont on nous parle ici semble se rapporter à ceci :

   On a dit dans l'Encyclopédie des nations : Lorsque les Yéhudim sortirent de Jérusalem, au temps de Bakhtanassar (Nabuchodonosor), et furent emmenés (en captivité) en Irak[9] ; ils emmenèrent avec eux de la terre et de l'eau de Jérusalem. Ils ne descendirent pas alors dans un endroit ou n'entrèrent pas dans une ville, sans en avoir, au préalable, pesés leur terre et leur eau. Ils agissaient de cette façon jusqu'à ce qu'ils arrivèrent à Ispahan. Ils descendirent alors en un lieu nommé : Bandjarou, mot hébreu signifiant : descendez. Ils se mirent alors à peser l'eau et la terre de ce lieu. Ils constatèrent qu'il existait une ressemblance identique avec la terre et l'eau de Jérusalem. Ils en furent rassurés, et se mirent alors à construire des habitations. Ils se marièrent, eurent des enfants et donnèrent naissance à une descendance. Ils nommèrent après cela ce lieu, la Judée[10].

   Conclusion. Étrange ce lien intime entre « Sera’h bat Acher »[11] et Ispahan !? Elle mourra là où sortira l’Antimessie ? Enfin, l’importance accordée des rabbanim pour elle dans l’Histoire sainte des Fils d’Israël !?

  • Ispahan. Ville du Serpent et de l'Antichrist.

   Et ceci de nous ramener maintenant à un point important : Ispahan ou la ville de l’Antimessie. A ce sujet le fils de Mâdjâ de dire notamment : Au courant de la troisième année de sécheresse [précédent l’arrivée de l’Antimessie], Dieu retiendra la pluie et empêchera la croissance des plantes. La terre stérile ressemblera alors [à une plaque de] cuivre, et les cieux seront pareils à un verre. Les hommes mourront de faim ; les troubles se multiplieront, et les gens s’entretueront. La Terre entière sera soumise à l’épreuve : c’est sur ces entrefaites qu’apparaîtra l’Antimessie, du côté d’Ispahan, dans une campagne connue sous le nom de Al-Yahoudiyah « la Judée ». Il sera monté sur un âne stérile, semblable à un mulet ; la distance qui sépare ses oreilles sera de cinquante coudées[12].
   Dans une autre parole : L’Antimessie sera suivi de soixante-dix mille hommes porteurs d’un turban[13]. La plupart de ses auxiliaires seront des yéhudim et des femmes…[14]
   Selon une parole prophétique : « Soixante-dix mille yéhudim d’Ispahan, portant le tayâlisân[15], suivront l’Antimessie[16].
   Conclusion. Nous connaissons maintenant d’où vient l’Antimessie, tel n’est pas le cas du monde biblique qui le voit volontiers venir d’ailleurs, notamment d’Europe dont Rome[17], ceci pour les gens de la Synagogue et de la Torah !

  •  Question : Pourquoi un âne comme moyen de locomotion pour l’Antimessie ? Pourquoi une telle monture ? Est-ce possible ?

   Le Créateur et Roi du monde a lié étroitement l’homme à l’animal domestique. Il lui doit beaucoup. A l’heure où le monde a choisi comme moyen de locomotion des formules diverses et évolutives, peut-on parler ainsi ? Est-ce un retour à plus de 100 ans en arrière ? A la lointaine Antiquité ? Est-ce revivre l’époque des transports avec des animaux domestiques ? La réponse : Sans aucun doute. Fini l’époque de la recherche, de la haute technicité, d’une telle civilisation18]. Toute chose a une fin, note l’observateur lucide ! Tout cela sera révolu. L’époque du Faux-Messie sera une époque d’injustice où l’homme ne se souciera plus guère de ce qui l’entoure tant la perversité, la transgression, la mécréance, l’athéisme, l’associationnisme, la turpitude, le blâmable, l’injustice, le mal, l’avarice, l’arrogance, etc., règneront en rois sur l’ensemble de la planète Terre. L’homme se complaira dans le mal et au diable banni de mener le bal, note le Savant ! Le combat entre forces du Bien et forces du Mal sera. D’un côté, les forces du Mal seront représentées par l’Antimessie lui-même, un yéhudi d’Ispahan ou de cette région du monde, nous dit-on. De l’autre, les forces du Bien représentées par le Commandeur des Croyants soumis, le Mahdi. Et pour l’épauler, un prophète sera à ses côtés en la personne du fils de Marie (sur lui la Paix !).

  • Rachel. L’Antimessie est-il un descendant de Rachel, de Joseph ? Joseph était-il un messie ?

   Autre personnage important dans le Yéhudisme et chez les gens de l’Évangile : Rachel. Qu’on en juge :

Rachel est un personnage séduisant. Elle meurt en étant encore jeune et belle. Elle laisse deux fils adorés de leur père. Mais sa naïveté cache l'essentiel. Ses descendants (Joseph et Benjamin, mais aussi, aux générations suivantes, Saul, Juda, David, Esther), sont des initiateurs, aussi fragiles qu'elle. Ils aiment le secret, l'obscurité, le silence. A partir du néant ou d'un simple souffle, ils sont capables de restaurer la présence.
Retirée sur le chemin de l'exil, absente, elle pleure ses fils perdus.
Pourquoi Rachel n'est-elle pas enterrée dans le caveau de Makhpela, mais sur la route de l'exil? Pour accompagner ses enfants sur cette route. Elle pleure, inconsolée, car ils ne sont plus. "Ils reviendront du pays de l'ennemi, ils reviendront vers leurs frontières", dit Jérémie (Jer 21.14-16).
Dans les larmes jaillit l'espoir, dans l'anéantissement s'engouffre la réparation.
Enterrée sur la route de l'exil (galout), Rachel représente le néant. Selon le Maharal, c'est à partir de là qu'on peut reconstruire. De même c'est à partir de la destruction du temple qu'on peut penser la rédemption, gueoula.
En Rachel se recueille l'intériorité, l'essence de la nation. Elle unifie et rassemble. Elle accorde les membres de la famille en vue de la construction d'un monde humain. (idixa.net)
.

Selon le Zohar, le Machiah est caché dans un palais appelé Eden [19] . Jusqu’au jour où il révélera au monde. Dans cet endroit se retrouvent reproduites les images de tous les peuples qui se sont ligués pour détruire Israel. Chaque fois que le Messie entre dans ce palais, il lève les yeux et aperçoit les patriarches qui pénètrent dans les ruines de la maison du Sei-gneur. Enfin, il aperçoit Rachel qui a les larmes aux yeux. Le Saint Béni Soit-Il la console [20]  ; mais elle ne veut point être consolée. Alors, le Messie lève la voix et pleure et tout le jardin d’Eden est ébranlé [21] . Lorsque le Saint Béni Soit-Il décidera de perfectionner le monde et lorsque les lettres du nom sacré seront complètes [22] , une étoile de couleur pourpre apparaîtra au milieu du firmament et sa vive lumière sera visible à tout le monde. En même temps une traînée de lumière apparaîtra au nord en face de l’étoile mentionnée. Cette apparition durera 40 jours et tout le monde sera effrayé. Au bout de 40 jours l’étoile et la traînée se livreront bataille (LA VRAIE GUERRE DES ETOILES) ; la traînée de lumière s’efforcera de détruire l’étoile. De nombreux souverains seront épouvantés de cette apparition. L’étoile remportera la victoire sur la traînée de lumière qui s’effacera. L’étoile sillonnera l’espace en 12 endroits différents où elle laissera douze traces lumineuses qui seront visible pendant 12 jours. Il y aura un TREMBLEMENT DE TERRE et une ECLIPSE de soleil au milieu du jour, pareille à celle qui eut lieu au JOUR DE LA DESTRUCTION DU TEMPLE. L’obscurité sera totale [23]  ; un grand orage s’élèvera, qui fera trembler la terre et qui fera périr de nombreuses armées. La foudre tombera sur Rome [24] et incendiera plusieurs tours et plusieurs palais ; de nombreux princes périront ce jour. A partir de ce jour, tous les rois de la terre feront des décrets iniques contre Israel et s’efforceront de le détacher de sa foi [25] . Ceci durera 12 mois. C’est pourquoi il a été dit : Heureux le sort de ceux qui ne vivront à cette époque, et heureux le sort de ceux qui n’y vivront pas. CE SERA L’EPOQUE MESSIANIQUE [26] .
  
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !

   Les gens de l’Évangile et Joseph fils de Jacob.

16. Alors Hérode, voyant qu'il avait été joué par les mages, fut fort en colère ; et il envoya mettre à mort tous les enfants qui étaient dans Bethléhem et dans tous ses environs, depuis l'âge de deux ans et au-dessous, selon le temps dont il s'était exactement enquis auprès des mages. 17. Alors fut accompli ce qui avait été dit par Jérémie le prophète, disant : 18. Une voix a été ouïe dans Rama, des pleurs et de grands gémissements : Rachel pleurant ses enfants ; et elle ne voulait pas être consolée, parce qu'ils ne sont plus.

19. Or Hérode étant mort, voici un ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph, en Egypte, 20. disant : Lève-toi, prends le petit enfant et sa mère, et va au pays d'Israël ; car ceux qui cherchaient la vie du petit enfant sont morts. 21. S'étant donc levé, il prit le petit enfant et sa mère, et alla au pays d'Israël. 22. Mais ayant appris qu'Archélaüs régnait en Judée à la place d'Hérode son père, il craignit d'y aller ; et ayant été divinement averti en songe, il se retira dans les quartiers de la Galilée ; 23. et y étant allé, il habita dans une ville appelée Nazareth ; afin que fût accompli ce qui avait été dit par les prophètes : Il sera appelé Nazaréen.

   Exégèse : epelorient.free.fr

2.18

Une voix a été ouïe dans Rama, des pleurs et de grands gémissements : Rachel pleurant ses enfants ; et elle ne voulait pas être consolée, parce qu'ils ne sont plus.

 

Le texte de l'Ancien Testament Jérémie 31.15 au lieu de gémissements, dit amertume et ajoute lamentations avant pleurs. Les meilleurs manuscrits du Nouveau Testament omettent le mot lamentations.

-Encore ici la formule : Alors fut accompli n'indique point une prophétie directe, mais l'application de la pensée de Jérémie au tragique événement de Bethléhem.

Le prophète, pour donner une émouvante expression aux douleurs de son peuple emmené en captivité à Babylone, rappelle que la voix de ses gémissements a retenti vers le septentrion jusqu'à Rama, ville de la tribu de Benjamin Josué 18.25, sur les montagnes d'Ephraïm. Juges 4.5 Par un symbolisme plein de poésie et de vérité, il personnifie toutes les mères israélites dans la mère de la tribu, toutes leurs douleurs dans ses douleurs, mais c'est pour les consoler en ajoutant "Ainsi a dit l'Eternel : Retiens ta voix de pleurer et tes yeux de verser des larmes, car ton travail aura son salaire et on reviendra du pays de l'ennemi." Jérémie 31.16 Telle est la belle pensée que l'évangéliste rappelle en faisant à son tour de Rachel le type des mères bethléhémites qui pleurent leurs enfants égorgés par le tyran. Ces enfants étaient réellement ceux de Rachel, mère de toute la tribu de Benjamin et morte à Bethléhem où elle fut enterrée Genèse 35.16-19 Aucune prophétie ne s'accomplit, hélas ! plus rigoureusement que la voix de nos douleurs qui retentit de siècle en siècle.

2.19

Or Hérode étant mort, voici un ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph, en Egypte,

 

Il mourut peu après le meurtre ici raconté, d'une maladie horrible, objet de dégoût pour tous ceux qui l'approchaient, le désespoir dans l'âme et le cœur rempli d'affreux projets de vengeance. (Voir, sur cette fin du tyran, Josèphe, Antiq., XVII, 8 et 9, et Guerre des Juifs, 1, 33.)

Soukka 52b:
Il est écrit (Michée 5:4): "C`est ainsi qu'il y aura la paix. Lorsque l`Assyrien viendra dans notre pays, et qu`il pénètrera dans nos palais, nous ferons lever contre lui sept pasteurs et huit oints".
Qui sont les sept pasteurs ? David au centre; Adam, Seth, Mathusalem à sa droite; Abraham, Jacob, et Moïse à sa gauche.
Et qui sont les huit oints ? Jessé, Saül, Samuel, Amos, Sophonie, Sédécias, le Mashia'h et Élie.
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
   Parmi les huit oints, le Machia’h est mentionné, toutefois il ne s’agit pas, pour le monde de la Synagogue et du Talmud, de leur prophète, soit le Messie, Ichoua, fils de Marie (sur lui la Paix !). Mais le messie (le roi-oint) à venir.

   Rachel pleure, alors elle devra pleurer par deux fois. La première fois lors de la première Promesse divine[27] faite aux Fils d’Israël puis la seconde fois[28] après la disparition des prophètes d’Israël : Zacharie et son fils, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !).
   L’auteur de "l’évangile selon Matthieu" a voulu sans doute signaler que, proche était la venue de la seconde Promesse divine. Mais au faussaire de le devancer. Ainsi, parlera-t-on dans le texte évangélique d’Hérode de Palestine au lieu de Khardos[29]. Le texte d’être soumis volontairement à la censure pour cacher au lecteur biblique une vérité évidente qui allait être en Terre sainte en l’an 69/10 : La fin de la présence du monde toranique en Terre sainte, en Palestine, au Châm. Période dramatique que vivront ceux et celles qui refusèrent l’Évangile de Dieu et assassinèrent, sans droit, le fils de Zacharie (sur lui la Paix !).

  • Joseph fils de Jacob. Lien avec la lumière du Roi Messie.

   Pour les commentateurs toraniques : Pour Jacob, de tous ses fils, Joseph tout particulièrement, détient la clef de l'héritage de Jacob. Les descendances de Jacob seront accomplies en Joseph. Ses frères le vendront. Et selon un Midrash : Rabbi Shémouel fils de Na'hman a dit : "les frères s'occupaient de la vente de Joseph; Joseph s'occupait de son sac et de son jeûne (symboles du deuil); Réouven s'occupait de son sac et de son jeûne; Jacob s'occupait de son sac et de son jeûne; Yehouda était occupé à trouver une épouse; et D.ieu était occupé à créer la lumière du Roi Messie. 'Ce fut à cette époque : Yehouda descendit'... avant que le premier asservisseur ne soit né, le Rédempteur final est né." [Midrash Rabba 85:1]

    Nous dirons : De quel "messie" s'agit-il ici ? S'il s'agit du sceau de la Prophétie, sa création est ancienne et sa lumière. S'il s'agit du "roi-oint", aucune lumière se rattache à lui. Il est le mal en personne, selon nos sources. Et quand un être humain symbolise le mal, que peut-on espérer de lui ? Ahurissant. A la question : Où était D.ieu pendant la vente de Joseph ? La réponse des rabbanim est plus qu'étonnante. "D.ieu était occupé à créer la lumière du Messie" ! Donc tout lui échappe ! C'est évidemment une réponse courante chez les rabbanim, rien d'étrange pour des gens dont l'Anthropomorphisme et la Corporéité divine  règnent en roi. Enfin, pour les commentateurs toraniques, la théorie des deux "messie". Qu'on en juge :

   Il y aura deux Messies : le Messie descendant de Joseph, qui préparera la voie au Messie descendant de David, lui-même un descendant de Yehouda. Selon la tradition, le Messie fils de Joseph unira tout Israël pour préparer l'arrivée du Messie fils de David; mais le Messie fils de Joseph mourra dans le processus [Soucca 52a] dans un acte de sacrifice de soi pour son peuple. Tout comme son ancêtre Rachel, dont l'abnégation a permis la construction du Second Temple, le Messie fils de Joseph se sacrifiera et permettra la construction du Troisième Temple. Le modèle spirituel est Joseph, qui a choisi de ne pas contacter son père, alors que ces retrouvailles lui auraient procuré une vie "plus agréable".

   Le monde de l'Évangile. Sur recommandation de Paul, on verra en le Messie fils de Marie, "le Messie fils de Joseph" que les commentateurs toraniques signalent et attendent. Notion du sacrifice. Toutefois, on notera que leur sacrifice ne se ressemble pas. Les gens de la Synagogue le voient "dans un acte de sacrifice de soi pour son peuple", "pour permettre la construction du Troisième Temple". Les gens de l'Évangile, disciples de Paul, le voit pour son peuple pour racheter l'humanité.
   Ce qui donne : Pour les gens de la Synagogue et de la Torah : deux "messie" sont à attendre avant la fin du monde. Et jusqu'au jour d'aujourd'hui aucun est apparu. Pour les gens de l'Évangile. Le "messie" des Écritures est venu en la personne du Messie fils de Marie et point d'autre "messie" après lui. Est attendre : son retour en Terre sainte avant la fin du monde.

   Les gens de l'Islam traditionnel.

   Est à attendre, avant la fin du monde, l'Antichrist. L'Antimessie que le monde toranique prendra, le moment venu, pour son "roi-oint" tant attendu. Et est à attendre également, le retour du Messie fils de Marie en Terre sainte pour notamment : 1) confondre les gens de la Bible présents ; 2) Pour anéantir l'esprit du mal : l'Antimessie. Et un seul d'avoir en ces temps futurs un âne : l'Antimessie !

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Être-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Ce dernier, dit-on, voulait être enterré en Terre sainte.
[6] A la lumière du Coran, une seule personne féminine est connue pour être ainsi en Paradis, la femme de Pharaon (Coran LXVI 11 + commentaires).
[7] Maison sainte. Temple de Jérusalem pour le monde toranique.
[8] Voir aussi : Yehoud Medinata (Province de Juda ) (Livre d'Esdras 5:8), ou simplement Yehoud est le nom araméen d'une province de l'empire perse achéménide formée à partir de l'ancien royaume de Juda. (…) Yehoud — la Judée — devient une province de l'Empire perse achéménide et ses habitants sont désormais appelés les Yehoudim — les Juifs. Ceux-ci forment le noyau de la population juive de Judée de la période du Second Temple.
   Les frontières de la province de Yéhoud font l'objet d'un débat entre archéologues. Si les frontières nord et est peuvent être simplement définies, les frontières ouest, avec la plaine côtière, et sud, avec l'Idumée, restent plus complexes à identifier par les archéologues.
   La période perse pose les fondations de la religion juive. Selon la tradition rabbinique, c'est la période où la Grande Assemblée travaille à la fixation du canon biblique. Culturellement, cette période voit le remplacement de l'hébreu par l'araméen comme langue usuelle des Judéens, bien que l'hébreu serve toujours pour dans la religion et dans la littérature. (…).
   Yehoud est désormais gouverné, politiquement, par des hauts-commissaires désignés par l'autorité perse et, religieusement, par les prêtres. Il s'agit d'un changement crucial puisque toute trace de la monarchie davidique a disparu... Le nom Yehoud commence à apparaître à partir du milieu du ve siècle av. J.-C. sur des sceaux et des monnaies. Il est écrit en araméen יהוד, יהד ou seulement יה. Ce changement témoigne d'une réorganisation du gouvernement perse. À partir de cette période, la Judée semble avoir gagnée en autonomie. (fr.wikipedia.org)
   La monarchie davidique a peut-être disparue, non les descendants de David eux-mêmes. On les retrouve d’ailleurs à l’époque du Messie fils de Marie, à travers Mathan (Bible. Mt. 1 15). Deuxième constatation : Les Fils d’Israël changent leur langue sacrée l’hébreu et se mettent à l’araméen. Ce qui reste incompréhensible ! Troisième constatation : Les Fils d’Israël reçurent leur nouveau nom : Yéhud, Yéhudim, Yehoudim, non pendant ou après leur ‘retour’ de Perse, mais depuis leur adoration du ‘veau d’or’. Le fait d’avoir été exilés, déportés en Perse, semble les avoir marqués profondément et à eux d’opter pour ce nom dès leur retour, pour certains, en Terre sainte.
   Yehud, Yehoudah, Yehudim. Le sens du mot Yehoudim signifiant : Repentis (Coran II 54 + commentaires). Fait inconnu de la Bible. Il est à noter que le monde biblique ignore le sens exact de ce mot ou fint de l’ignorer, note le Savant. Toujours est-il, et selon les sources bibliques, une partie de la Palestine se fera appeler également : Judée, après le retour à Sion (en hébreu : שיבת ציון, Shivat Tzion ou שבי ציון, Shavei Tzion, « rapatriés de Sion »). On aura également un lieu qui portera ce nom en Perse, à Ispahan. Judée en Palestine. Territoire revendiqué de nos jours avec la Samirie par les Yéhudim de Palestine, les gens du Yéhudisme. Quatrième constatation : Pour la restauration d’un État en Terre sainte, la reconstruction du Temple de Salomon, l’application de structures et de lois nouvelles ; de nombreux personnages sont mis en avant dont : Zorobabel et Esdras. Et comme le Yéhudisme est accroc, pour son Histoire sainte, de l’archéologie, on nous dit : Bien que Zorobabel soit qualifié dans la Bible hébraïque de gouverneur de la Judée dès la fin du VIe siècle av. J.-C., il n'y a pas de trace archéologique de l'existence d'une province indépendante de Judée au début de la période perse. Elle est subordonnée à Samarie. Leurs sources, deux livres de leur Histoire sainte : Le livre dit livre d'Esdras et le second dit le livre de Néhémie, qui font partie de la Bible hébraïque. (fr.wikipedia.org) Coup dur pour ces qui défendent leur religion et leur existence à travers de tel procédé ! Terrible et compréhensible. Quand la Colère du Saint et Seigneur d’Israël s’abattra, par deux fois (Coran XVII 2-8), sur les Fils d’Israël ; il ne restera rien d’eux, aucune trace de leur passage, de leur existence, tout sera détruit de fond en comble, note l’observateur. Preuve que la Colère divine était à son comble ! Pour le Savant de l’Islam traditionnel, les ouvrages précités ne peuvent servir de référence, la Bible étant et restant un livre frelaté du début en sa fin. N’en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux opposants et adversaires de la Religion divine : la Soumission !
[9] A l’époque, l’Irak n’existait pas encore.
[10] On a dit : Alexandre reconstruit la ville de Jay (Gabae), au lieu-dit al-Yahûdiyya (la Judée), ancien établissement hébreu près de l'actuel Esfahan, en Perse, "sur le lit de l'étang du serpent" ; la ville s'était effondrée plusieurs fois à cause d'un serpent. (M. Hamadâni, 'Ajâeb-nâme, p. 411-412) (Alexandre le "circumnavigateur" dans le roman persan de Tarsusi. Angelo Michele Piemontese).
   On a dit aussi : Le serpent fut descendu à Ispahan, et quelle en dénombre des sortes différentes, nombreuses.
[11] Les rabbanim semblent avoir un lien avec l’Antimessie avec plusieurs personnages féminins de leur Histoire sainte. Exemple : Rachel.
[12] Op. cit. n° 163.
[13] Quel sera le nombre de gens de Fils d’Adam avec l’Antimessie ? Personne n’en sait le nombre exact, si ce n’est son Créateur et Seigneur, note le Savant.
[14] Op. cit. n° 142.
   Certaines ont un amour intense, un engouement tout particulier pour singer et pour imiter la gente masculine. Par contre, ce qui est autorisé, par la Loi divine, à l’un ne l’est pas forcément à l’autre. Exemple : s’occuper de politique, en faire, au lieu de s’occuper de son couple, de son intérieur, de sa maison. Et la parole prophétique de mettre en garde les Fils d’Adam à ce sujet. Un État gouverné par la gente féminine ne serait réussir et aller de l’avant et vers le bien, dit-on dans ce sens ! Europe biblique. Voir le cas des femmes en république ou régime monarchique ou séculaire, laïque. Pour l’observateur, c’est égal à : blanc bonnet et bonnet blanc ! Bonnet d’âne et bonnet d’ânesse, clame Lucifer ! Et aux femmes d’être en nombre avec le FAUX-MESSIE à la fin des temps, selon nos sources. Parole à méditer !
[15] Op. cit. n° 146. Note : Voile empesé fait de mousseline, que l’on porte sur un turban ou sur ses épaules et qui retombe dans le dos. Il est porté essentiellement par les gens exerçant une fonction spirituelle ou juridique.
   Voir à ce sujet le talit. Lire… ; Lire…
   On a dit :
   Le commandement prescrivant de porter les tsitsit (franges) est donné dans les passages suivants de la Torah :
« Et l'Éternel dit à Moïse : Parle aux Enfants d'Israël et dis-leur qu'ils se fassent, de génération en génération, des tsitsit aux bords de leurs vêtements… »
— Nombres, 15:37-41.
« Tu mettras des franges aux quatre coins du vêtement dont tu te couvriras […] »
      Deutéronome, 22:12. (fr.wikipedia.org)
   Conclusion. A la lumière de ce qui vient être dit et concernant ceux qui seront avec le FAUX-MESSIE avant la fin du monde, est-ce vraiment un commandement divin, un commandement de la Torah ou un commandement des rabbanim ? Un mensonge de plus à mettre sur leur compte, note le Savant !
[16] Op. cit. n° 146. Sans compter ceux qui viendront s’ajouter à eux par la suite.
[17] Pour bon nombre de sectes bibliques, dont la secte du Protestantisme (d’obédience yéhudie) et ses sectes en particulier ; le trône de saint Pierre à Rome n’est rien d’autre que le trône de satan en personne, de Lucifer. Idem pour les gens d’Hiram. Alors que… le Décret divin est tout autre, note le Savant ! Concernant l'endroit où se trouverait le Machia'h, on a dit :
Sanh. 98a :
Rabbi Yehoshoua ben Levi, se promenant, rencontra adossé à l'entrée d'une caverne, le prophète Élie, à l'endroit où était enterré Rabbi Shimon Bar Yochaï.
Il lui demanda : Ai-je une part dans le monde à venir?
Il (Élie) répondit : si le Maître le veut.
[…]Il lui demanda ensuite : Quand viendra le Messie?
Il répondit - Va et demande-lui.
Où le trouverai-je?, s'enquit le Rabbi.
À la porte de Rome
Et comment je vais le reconnaître?
Il est assis avec les pauvres affectés de toutes sortes de maladies. Tous défont et refont leurs pansements en une seule fois, mais lui, il fait et refait ses pansements, les uns après les autres, en disant ceci:'Lorsque je devrai amener la Délivrance, il ne faut pas que je sois retardé à refaire tous mes pansements!'
Il (Rabbi Yehoshoua ben Levi) alla donc, et le salua :
Paix sur toi, mon maître et professeur
Paix sur toi, fils de Levi (Ben Levi)
Quand viendras-tu, Maître?
Aujourd'hui
À son retour auprès d'Élie, Élie s'enquit :
que t'a-t-il dit ?
Paix sur toi, fils de Levi
Par cela, il t'a assuré, ainsi qu'à ton père, une portion du monde à venir.
Il ne m'a pas parlé vrai, il a dit qu'il viendrait aujourd'hui, mais il ne l'a pas fait!
Il (Élie) lui répondit :
C'est ce qu'il t'a dit : aujourd'hui, si vous entendez Sa voix (Psaumes 95:7)

   On a dit : « à la porte de Rome ». La porte est l’endroit où la maison se termine et où commence l’extérieur. « La porte de Rome » symbolise donc la chute de Rome ou, plus généralement, la chute du royaume d’Édom, la quatrième et dernière puissance maîtresse de l’exil des Juifs.
   Élie donne ensuite des signes révélateurs de la nature profonde du Machia’h : « Il est assis parmi les pauvres affligés de maladies. »
   – « Les pauvres » symbolisent la séparation d’avec le monde, car les pauvres ne retirent pas de plaisir de ce monde.
   – « Affligés de maladies » représente la guerre avec le monde naturel, car ils ont été meurtris par le monde.
  
Ainsi, dans les mots du Maharal, « le niveau du Machia’h ne relève pas du monde de la nature » et, de plus, « le monde de la nature s’oppose à lui ». C’est-à-dire que le Machia’h se tient intrinsèquement au-dessus des limites du monde naturel, ce qui entraîne que le monde s’oppose à lui et lutte contre lui.
 
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
   Qu’on cite Élie ici est incorrect, un mensonge de plus à mettre sur le compte des rabbanim, note le Savant. En aucun cas, un prophète comme Élie peut parler ainsi du Messie à venir et confondre le faux du vrai ! Secundo : Quel lien existe-t-il avec le Machia’h et Rome ? Nous savons tous que les gens de la Synagogue et de la Torah n’ont que peu d’amour pour Ésaü et les siens. Pour Rome et les Romains en particulier Alors pourquoi ergoter ? Enseigner le faux ? Attribuer au Seigneur des mondes et Ses prophètes messagers ce qui est faux et mensonger ? Sème le doute et la zizanie ?
[18] Quand le fils d’Adam se tourne vers la mécréance, l’athéisme, l’associationnisme, l’ingratitude, l’avarice, etc., alors au divin Créateur de lui retirer toute bonne chose devant lui. De le soumettre à la diète ! A des épreuves sans fin. En effet, au Seigneur et Roi du monde de ne pas aimer, du fils d’Adam, la non reconnaissance, l’injustice, l’avarice et l’ingratitude, l’arrogance, la prétention… Il ne peut admettre le rejet du fils d’Adam de croire en Lui et surtout de L’adorer et de Lui obéir ! De se soumettre à Lui, à Ses injonctions et Ses commandements ! Enfin, à suivre Ses prophètes, à leur obéir sans broncher ni murmurer.
[19] Fait partie des récits légendaires des rabbanim. Aucun « messie » se trouve en ce lieu saint. Il est vrai que l'Eden est un sujet de verse et de controverse pour les gens de la Bible (toranique & évangélique). Certains d'entre eux de le voir se prolonger jusqu'à la planète terre. Ainsi : "
La plupart situent Éden dans le Moyen-Orient, près de l'ancienne Mésopotamie, même si le livre de la Genèse ne livre que peu d'informations sur le jardin lui-même." (fr.wikipedia.org)
[20] Drôle cette Divinité qui n’arrive pas à consoler une de Ses créatur
es ? Qu’est-elle ? Sinon qu'une pure imagination des rabbanim !
[21] Endroit où les pleurs n’existent pas mais la joie de vivre !
[22]
Les lettres de l’alphabet hébreu ont une grande importance pour les gens de la Synagogue, gens de la Kabbale.
[23] Similitude. Quand Achoua le Yéhudi mourra, en place et lieu, du Messie fils de Marie ; l’obscurité fut ! Preuve que les sources des textes évangéliques ont subi l'influence des gens de la Synagogue et de la Torah. Monde de l'Évangile : le Messie est venu. Monde toranique : le Machia'h reste à venir.
[24] Et pourquoi spécialement sur cette ville ? Nous savons l’inimitié et la haine que nourrissent les rabbanim envers cette ville, ville d’Édom, des Édomites, descendants d’Ésaü. Ville aussi où se trouve, selon partie du monde de l’Évangile, le siège de Pierre. Ceci expliquant en partie cela, note le Savant !
[25] Pas de crainte à avoir, ce n’est qu’une pure imagination des rabbanim, cela ne se passera pas. L’Antimessie d’assurer et d’étendre sa domination sur bon nombre de Fils d’Adam dont les Yéhudim en particulier. Et à eux de lui obéir au doigt et à l’œil, selon nos sources.
[26] Entendre : l’Antimessie !
[27] Les Fils d’Israël, certains, et après la première Promesse divine, revinrent en Terre sainte. Tel ne fut pas le cas après la seconde Promesse divine.
[28] Pour ces deux promesses divines qui verront la destruction de Temple et l’exil des Fils d’Israël : Coran XVII 2-8 + commentaires.
[29] Voir notre étude : Lire…


"يتبع الدجال 70 ألفًا من يهود أصفهان الواقعة اليوم في إيران"
Ispahan (en vert clair - région) - Perse.


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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