Croyances SIGNES DE LA FIN DES TEMPS. ÈRE MESSIANIQUE. 

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU, Allaha,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Le Serment divin (ou l'Engagement divin) ferme pris avec les Fils d'Israël, les gens de la Torah.

القسم الإلهي (أو المشاركة الإلهي) التعهد مع بني إسرائيل (بالعبرية: בני ישראל بنيْ يسرائيل)، أهل التوراة.


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Suite Page 2

  • Le serment des gens de la Synagogue et de la Torah.

   L’un des griefs fait aux gens du Yéhudisme : ce sont gens qui ne tiennent pas leur serment, leur engagement[5. Concernant la fin des Fils d’Israël en Terre sainte, le Talmud, nous dit-on, rapporte trois serments prêtés à la veille de la dispersion du reste du peuple d’Israël aux quatre coins du monde :
   1) ne pas acquérir une autonomie nationale,
   2) ne pas rentrer en masse et d’une façon organisée dans la Terre d’Israël même avec la permission des nations,
   3) ne pas se rebeller contre les nations.

   Ce genre de serments est peu connu du grand public dont le public européen biblique en particulier. Il reste qu’en le lisant, et suite aux évènements propulsés notamment par Herzl ; on voit combien les gens de la Synagogue et de la Torah sont peu emprunt à respecter leur serment. Seul un petit nombre reste à l’écart. Ainsi, on trouve parmi les gens du Yéhudisme des opposants farouches à Herzl ; gens qui vont jusqu’à s’opposer, par exemple, à l’existence d’un "État hébreu"[6] en terre de Palestine. Mais leurs voix sont étouffées, réduites au silence, note l’observateur ! Telle est l'Histoire des Fils d'Israël, des gens de la Synagogue et de la Torah tout au long de leur Histoire aux sein des Fils d'Adam, des nations.

  • Débat. Verse et controverse.

    Répondant à une question, Jacques Kohn z''l d’écrire :
   Un débat ancien oppose ceux qui considèrent qu’il est une mitswa de monter en Erets Yisrael pour s’y établir et ceux qui professent une opinion opposée.
   Selon les Tossafoth (Ketouvoth 110b s. v. Hou omèr la‘aloth), la mitswa n’a plus cours aujourd’hui, et ce pour deux raisons :
   – Les aléas du voyage.
   – L’impossibilité où nous sommes de respecter scrupuleusement les mitswoth liées à la terre d’Israël (mitswoth ha-telouyoth ba-arèts).
   Rambam (Maïmonide) n’a pas inclus la ‘aliya parmi les mitswoth.
   Ramban (Nahmanide) considère au contraire que le commandement de se fixer en Erets Yisrael est valable à travers toutes les époques.
   C’est dire que, sans vouloir nous engager ici dans une controverse qui dure depuis des siècles, les opinions de nos Sages, c’est le moins qu’on puisse dire, sont partagées.
   La création de l’État d’Israël n’a fait, comme nous pouvons le constater tous les jours, que raviver cette controverse sans en modifier la nature.
   Conclusion. Pour contourner les lois toraniques comme leurs propres lois talmudiques, on peut faire confiance au monde de la Synagogue, note le Savant.

   Autre réponse du même auteur[7]:

   La Guemara (Ketouboth 111a) interprète comme suit le verset : « Je vous en conjure, filles de Jérusalem, par les biches ou par les cerfs des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas [mon] amour, jusqu’à ce qu’elle le veuille » (Cantique des cantiques 2, 7) :
   « Hachem a adjuré les enfants d’Israël de ne pas monter en Israël en masse, et de ne pas se révolter contre les peuples du monde. Il a de même adjuré les autres peuples de ne pas asservir Israël à l’excès[8]. Et Il a averti Israël que s’il ne tient pas parole, Il fera de sa chair une proie comme celle des biches et des cerfs des champs. »
C’est ainsi que, déjà à l'époque du Talmud, les Sages débattaient du point de savoir si l'établissement en Erets Yisraël[9] constitue ou non une mitswa.
Ce débat ne sera clos définitivement qu'à l'époque messianique.
En attendant, il appartient à chacun de se déterminer selon ses propres convictions.

    De même :

   Ceux qui tiennent l’État d’Israël pour illégitime s’appuient essentiellement sur une Guemara (Ketouvoth 110b – 111a), qui interprète les trois versets suivants du Cantique des cantiques (2, 7 ; 3, 5 ; 5, 8) :

  1. Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas Mon amour, jusqu’à ce qu’il le veuille.

  2. Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas Mon amour, jusqu’à ce qu’il le veuille.

  3. Je vous adjure, filles de Jérusalem, pourquoi éveilleriez-vous, et pourquoi réveilleriez-vous Mon amour, jusqu’à ce qu’il le veuille ?

   Ces trois versets, commente la Guemara, expriment trois serments :

  1. Le serment imposé à Israël de ne pas monter en Erets Yisraël par la force.

  2. Le serment imposé à Israël de ne pas se soulever contre les peuples du monde[10].

  3. Le serment imposé aux idolâtres de ne pas assujettir Israël à l’excès.

    Et :

   Ceux qui contestent la légitimité de l’État d’Israël s’appuient sur la Guemara (Ketouvoth 110b – 111a) qui nous apprend que Rav Yehouda a enseigné : Celui qui monte de Babylone en Erets Yisraël transgresse un commandement actif, comme il est écrit : « Ils seront emportés à Babylone, et ils seront là jusqu’au jour où Je m’en occuperai, parole de Hachem, et où Je les ferai remonter et revenir dans ce lieu » (Jérémie 27, 22).
   Nous apprenons il est vrai, dans le même contexte que si « un homme veut monter en Erets Yisraël et que sa femme ne le veut pas, on oblige celle-ci et sinon il peut lui donner le divorce sans payer la ketouva ». A l’inverse, « si une femme veut monter en Erets Yisraël et que son mari ne le veut pas, on oblige celui-ci et sinon il peut lui donner le divorce sans payer la ketouva ».
   Il est de même enseigné qu’il est recommandé d’habiter en Erets Yisraël même dans une ville peuplée majoritairement de non-Juifs (Ibid.).

    Et encore :

   Parmi les nombreuses controverses talmudiques relatives à l’avènement de l’ère messianique, il convient de citer tout particulièrement celle qui oppose Chemouel et rabbi ‘Hiyya bar Aba (Berakhoth 34b ; voir aussi Sanhédrin 99a).
Le point de vue du premier est qu’il « n’est d’autre différence entre ce monde-ci et les jours du Messie que “la domination des nations” (chi’boud malkhiyoth) », c’est-à-dire le colonialisme, la violence et l’oppression politiques[11].
Rabbi ‘Hiyya bar Aba considère, en revanche, que l’ère messianique résoudra les contradictions politiques et économiques[12] et annoncera, conformément aux promesses des prophètes[13], une ère où il n’y aura plus ni guerres ni pauvreté[14].
Il est intéressant de noter ici que Chemouel appuie son point de vue sur le verset qui annonce que « le pauvre ne disparaîtra pas du milieu de la terre[15] » (Devarim 15, 11), ce que l’on peut comprendre comme signifiant que les inégalités économiques ne disparaîtront pas, puisqu’il y aura toujours des pauvres…[16]
Faut-il interpréter l’opinion de Chemouel comme voulant dire, selon la jolie formule d’Emmanuel Lévinas dans « Difficile liberté », que les pauvres devront subsister pour que « les riches aient la joie messianique de les nourrir[17] » ?
Il est difficile de soutenir pareille idée aussi choquante, d’autant qu’un verset voisin (Devarim 15, 4) recommande qu’il « n’y ait pas d’indigent en Israël ».
La pensée de Chemouel mérite par conséquent d’être approfondie.
Rambam nous propose une description de l’ère messianique dans laquelle il semble se contredire lui-même. Dans les Hilkhoth techouva (8, 7), il affirme, comme rabbi ‘Hiyya bar Aba , que les prophètes n’ont prédit que pour les temps messianiques, et non pour le monde à venir. De même, dans les Hilkhoth melakhim (12, 5), il annonce qu’il n’y aura plus, lorsque viendra Machia‘h , ni guerres ni famines[18].
En revanche, dans le même chapitre (12, 1), il cite mot pour mot l’enseignement de Chemouel selon lequel « il n’y a pas d’autre différence entre ce monde-ci et les jours du Messie que la domination des nations »[19].
Rambam résout lui-même cette contradiction apparente en se référant à la prophétie (Isaïe 11, 6 et suivants) dans laquelle il est promis que « le loup habitera avec l’agneau, que le léopard couchera avec le chevreau… », cette image signifiant, à son avis, que l’agneau[20], symbole d’Israël, vivra en paix avec les soixante-dix « loups », c’est-à-dire les nations du monde[21].
Pour Maïmonide, partisan d’une thèse souvent appelée « minimaliste », rabbi ‘Hiyya bar Aba a annoncé que les prophéties se réaliseront à l’ère messianique[22], mais que l’ordre naturel des choses ne s’en trouvera pas modifié. Les prophéties qui annoncent des changements miraculeux dans cet ordre naturel ne sont que des métaphores.
Raavad (rabbi Avraham ben David de Posquières) s’en prend vigoureusement à cette thèse de Rambam. Il rappelle le verset : « … Je ferai disparaître les bêtes sauvages du pays… » (Wayiqra 26, 6) qu’il faut, selon lui, prendre ce verset au pied de la lettre : Les caractéristiques des animaux seront alors transformées, et donc le monde physique subira des changements importants[23].
Au delà de ces controverses, on peut considérer que la bonté (‘héssèd ) étant le fondement du monde (« Le monde a été créé sur la bonté[24] » [‘Olam ‘héssèd yibané – Psaumes 89, 3]), celui-ci ne pourra subsister, même lorsque sera venu le Messie, que grâce à la bonté que les humains se témoigneront les uns aux autres. Cette bonté devrait prendre, tout naturellement, des formes économiques[25], comme le prêt sans intérêt[26]. La société idéale sera tellement imprégnée de cette bonté qu’elle se traduira, sur un plan macro-économique[27], par la réalisation du verset : « … tu prêteras à beaucoup de nations, et toi, tu n’emprunteras pas » (Devarim 28, 12)[28].
Une autre manière de voir est celle qu’a proposée le Maguid de Khelm : En annonçant que « le pauvre ne disparaîtra pas du milieu de la terre », la Tora a voulu nous avertir qu’il y aura toujours des indigents[29]. Et si tu ne veilles pas à leur entretien, ils ne survivront pas[30]. Quelqu’un d’autre devra les remplacer, et ce quelqu’un sera peut-être toi-même.
Le Maguid de Doubno propose une explication proche de la précédente. Il est écrit : « Prends garde à toi, de peur qu’il n’y ait dans ton cœur une pensée perverse… » (Devarim 15, 9). Ce verset contredit ceux qui considèrent que l’inégalité des couches sociales dans la société est une chose normale. Cette conception, explique-t-il, est totalement erronée, car Hachem aime les pauvres et les soutient par notre intermédiaire[31]. C’est là un élément fondamental de notre obligation de « réparer » notre monde[32], de réaliser un tiqoun ‘olam.
Il semble, en conclusion, que la plupart de nos grands Maîtres, depuis les auteurs du Talmud jusqu’aux a‘haronim, s’accordent à conjecturer, au delà des controverses qui les opposent, que les temps messianiques installeront certes sur terre une époque où, dès lors qu’auront disparu le colonialisme, les guerres et les famines[33], cessera du même coup chez les hommes l’inquiétude du lendemain[34].
Cependant, l’existence juive est inséparable des notions de ‘héssèd et de tsedaqa[35]. Or, l’une et l’autre de ces deux notions impliquent l’existence simultanée de donneurs et de receveurs, inconciliable avec toute idée d’égalitarisme[36].
   Rav Daniel Lévy : Nos maîtres rapportent dans le talmud (sanhédrin 98b) une discussion entre deux maîtres de la guémara. “Oula dit: qu’il (le machiah) vienne et que je ne le vois pas, de même Rabbah dit: Qu’il vienne et que je ne le vois pas, Rav Yossef dit: Qu’il vienne et que j’ai le mérite de m’asseoir même à l’ombre des déchets de son âne[37].
Abayé demanda à Rabbah: Pour qu’elle raison craints tu de voir sa venue? Si tu me dit à cause des souffrances (d’après le deuxième commentaire de Rachi) lors de sa venue? N’a-t-on pourtant pas enseigné: Les élèves de Rabbi Elazar lui demandèrent: Que doit faire un homme pour être sauver des souffrances de la venue du Machiah? Qu’il s’occupe de Torah et de Bienfaisance (gumilout hassadim)[38] !
Et toi (Rabbah) tu as et la Torah et la bienfaisance !? Rabbah répondit à Abayé: Je craints que la faute entraîne … (expression voulant dire que les fautes peuvent retarder ou empêcher, et dans ce cas empêcher la Torah et la Bienfaisance (gumilout hassadim) de protéger des souffrances de la venue du Machiah[39].
Nous voyons donc que même l’étude de la torah et les bonnes actions ne protègent pas à coup sûr des dangers de l’époque messianique[40]. Cependant dans le traité de chabat 118a il est dit: “Rabbi Chimone ben pazi au nom de Rabbi Yéhochoua au nom de Bar Kappara dit: Tout celui qui accomplit les trois repas de Chabat est sauvé de trois malheurs (souffrances): Des souffrances de la venue du Machiah, du jugement du guéhinam et de la guerre de Gog et Magog." Et cet enseignement est émis sans restriction et de plus il est rapporté comme halakha dans le Tour orah hayim 291 (décisionnaire fondamental sur lequel se reposent beaucoup de décisions du Choulkhane Aroukh).
Donc les trois repas du Chabat peuvent eux protéger des souffrances qui accompagnent la venue du Machiah[41] !
En résumé
L’étude de la Torah, la bienfaisance, la prière etc. n’assurent pas d’être préservé des souffrances de la venue du Machiah par contre celui qui est méticuleux dans le respect des trois repas du chabat lui est assurément protégé.
Comment comprendre cela? Le chabat est un peu du monde futur celui qui est lié profondément au chabat est au dessus des déboires de ce monde dont les derniers sursauts apparaîtront plus fortement lorsque le Machiah nous en délivrera bekarov Amen
Malgré tout cela n'oublions pas l'opinion de Rav Yossef quel que soit le prix, qu'il vienne au plus vite et nous libère car à la fin la guéoula sera complète.
   Jacques Kohn z''l : (…) Il existe, en revanche, de nombreux textes prophétiques qui annoncent notre retour en Erets Yisraël lorsque sera venu le Messie. Exemples : Isaïe 56, 7 ; Jérémie 31, 7 ; Ezéchiel 34, 13[42].
Ces textes sont exclusivement des messages d’espérance, et ils ne contiennent aucune mise en garde ressemblant de près ou de loin au verset cité du Cantique des cantiques.
Rav Avraham Dray : Le Talmud dans le traite de Sanhedrin 98b propose différentes dates et différents comptes a propos de l' époque messianique: le problème est qu'il les réfute tous avec une condamnation particulièrement violente "Qu'explosent les esprits de ceux qui s'adonnent a de tels comptes !..."; Telle est la sentence de la guemmara sur de telles pratiques de divination[43]. Ceci-etant, on aurait bien aime avoir un signe[44] pour nous éclairer dans les ténèbres de notre exil !
Précisément, la guemmara poursuit ainsi "et Rabbi Abba ajouta : il n'y a pas de signe plus évident que l'accomplissement des paroles du prophète Ézéchiel[45] ; Et vous, les montagnes d'Israël vous redonnerez vos feuillages, et vous abonderez de vos fruits car ils[les enfants d'Israël] sont de retour[46] !...". Autrement dit, voir le désert de Judee refleurir, au terme de deux millénaires ou il n'avait fait aucune grace a tous ses occupants, est le signe le plus flagrant de l'avènement de l'époque messianique[47] suivant le Talmud[48]. Notre maître le Rav Tsvi Yehouda Kook zatsal, aimait illustrer cette sentence talmudique ainsi: Les bananes et les oranges des marches d'Israël sont les preuves les plus flagrantes de la grandeur de l'époque que nous vivons[49] !
De plus le Talmud dans le traite de Berakhot, ramène une controverse entre Rav et Chemouel a propos de la différence essentielle entre ce "monde-ci" et l'époque messianique.
Le Rambam, Maimonide, le plus grand décisionnaire de ces sujets (Il les a légifères de façon systématique dans son recueil le code Michne Torah), tranche de la façon suivante : "Il n'existe aucune différence entre ce monde-ci et le monde futur excepte l'asservissement du Peuple d'Israël par les Nations"[50]. A savoir tant que le Peuple d'Israël ne dispose pas de lui-même et qu'il est a la merci des Nations qui l'accueillent on ne peut pas parler d'époque Messianique[51].
Comment appelle -t-on un peuple qui dispose de lui-même : l'indépendance d'une Nation!
Autrement dit, l'existence de l'État d'Israël est en elle-même un des signes les plus probants de l'avènement de l'époque messianique.
Le miracle du Désert qui refleurit[52], la création de l'État d'Israël, le retour des exiles[53] - plus de 5 millions de Juifs sur la Terre d'Israël - sont les preuves les plus colossales de l'appel que D., dans son Immense Bonté, nous adresse ; A nous de relever le défi, et surtout de ne pas rester sur le "banc de touche", en attendant que le train passe.
Il nous reste encore a oeuvrer et a prier pour le dévoilement et l'apparition de notre "Délivreur de Justice"[54], notre Machiah, Roi d'Israël qui révélera définitivement toute la véracité des Signes, si flagrants pour qui sait les voir, précédemment énonces.
En attendant a bientôt et bienvenue en Israël!.... (cheela.org) !"
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !

   (…) Cette Torah nous préparerait à recevoir la "Torah nouvelle qui sortira de moi", selon la vision prophétique[55].
De la destruction du 2ème Beith Hamikdach, à l’instar des premières Tables, peut naître une construction plus haute, au jour où les sources profondes de la Torah auront été diffusées au sein du peuple d’Israël. C’est là le sens des prophéties d’Isaïe et des midrachim que rapporte le Rabbi : "Dans les prophéties d’Isaïe relatives à la Délivrance messianique, il est dit « Car la Torah sortira de Moi » (Isaïe 51, 4)[56]. Les Sages ont enseigné à ce propos dans le Midrache « Une nouvelle Torah sortira de Moi, une compréhension nouvelle de la Torah sortira de Moi » (Midrache Vayikra Rabba 13, 3), « Dans les Temps futurs, D-ieu siégera et expliquera la Torah nouvelle[57] qui sera donnée à travers le Machia’h[58] » (Midrache Yalkout Chimoni § 429). " (Discours du Rabbi du 2e jour de Chavouot 5751)
Le mois qui suit Tamouz est le mois d’Av, durant lequel le Beith Hamikdach a été détruit. Et ce même mois deviendra, selon la vision prophétique, un mois de consolation, appelé "Mena’hem Av", "consolation de Av", car Machia’h se révélera[59]. (col.fr)
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !

  • Résumé.

    Le monde biblique a vécu ses propres « révolutions »[60]. Époque de 1800 et plus. Résultat. A l'Europe biblique de marcher en arrière et à grands pas vers l’abandon de sa religion (toranique & évangélique). Un fossé chaque jour va alors se creuser entre gens de la Foi, d'une part, et gens la Mécréance d'autre part. Un retour en arrière est même à craindre, note l’observateur, soit au temps antique du Paganisme ! Dans un même temps, deux idéologies athées vont mettre à feu et à sang l’Europe de l’Atlantique à l’Oural : le Nationalisme et le Socialisme. De 1800 à 1945, combien de guerres en terre biblique d’Europe ? Entre gens se réclamant tous d’un même Livre divin : la Bible ? D’une même confession ou religion : le christianisme ? Il semble que la « croix » loin d’assembler et de rassembler les gens de l’Évangile entre eux, les a amener au chaos, aux guerres à répétition, à répandre injustement le sang en terre d'Europe et d'ailleurs. Naguère, entre sectes. Exemple : catholicisme contre protestantisme et inversement. Puis, gens de la foi biblique avec les gens du Sécularisme et du Laïcisme d'entre eux ; c'est-à-dire de la Mécréance et de l'Associationnisme. Et ceci dure, nous dit-on, jusqu’à notre époque ! Et en terre d’Europe biblique, de nos jours, le combat fait rage entre gens de la Foi, d'une part, et gens de la Mécréance d'autre part61]. Et à Lucifer d’être en transes !       (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Être-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
 [3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] V. Coran II 87-88 ; IV 155, etc.
[6] Ou : yéhudi.
[7] Questions-réponses sur : Cheela.org.

[8] Voir ce qui se passa lors des deux Promesses divines (Coran XVII 2-8), l’une avec Nabuchodonosor, Babylone, l’autre avec la Perse et la Rome antiques (An 69/70).
[9] Soit : terre d’Israël. Incompatible avec la Torah et l’enseignement de leur prophète Mochè (sur lui la Paix !). La terre dont celui-ci parle(ra) sera uniquement la « Terre sainte » au Châm pour les Fils d’Israël (Coran V 26). Ne pas confondre !

[10] Alors que dire concernant les Palestiniens ? De quelle catégorie sont-ils ? Gens de l’Évangile comme gens de l’Islam ?
[11] A l’instar des gens de l’Évangile de langue anglaise de nos jours, note l’observateur. Leur système de ‘domination’ s’accompagne nécessairement de : colonialisme, de violence et d’oppression politiques en tout genre, d’asservissement du peuple conquis, de destruction de ses infrastructures, d’abêtissement des gens du pays conquis, etc. Tout cela au nom de l’humanisme, du droit du peuple de disposer de lui-même, du droit et de la justice, etc.
[12] Option terre à terre. Démontre à quel point l’amour de ce bas monde est profondément ancré dans le cœur des rabbanim. Gens ‘amoureux’ de ce bas monde non de l’Au-delà !
[13] Lesquels ?
[14] Ère que risque pas de voir les gens de la Synagogue et de la Torah, selon nos sources.
[15] Laquelle ? Ne pas oublier que les ancêtres du monde toranique ne voulurent pas que le « pauvre » disparaisse totalement de la terre, de parmi eux. Pourtant à travers la manne et la salwa, à leur Seigneur de faire et vouloir, pour eux, une société où il n’y est plus d’inégalités. Et à eux de s’y opposer : Coran II 63. La lutte contre les inégalités, l’ayant pas voulu pour eux-mêmes, comment
peuvent-ils prétendre la combattre et y remédier, et la vouloir pour autrui, note l’observateur !
   Proche de nous, Karl Max le yéhudi, et d’autres comme lui de sa confession, n’ont-ils pas fait croire au monde qu’ils luttaient contre les inégalités, le bien du peuple biblique d’Europe ou autre ? Problèmes. Dans ce milieu, la foi en Dieu est folie et la religion est l’opium des peuples ! Résultat : combat perdu d’avance. Preuve : l’URSS et son régime de s’écrouler comme un château de cartes ! N’était-on pas, sous ce régime idyllique, incroyant, athée, pour le Nemrodisme (c’est-à-dire pour la dictature pleine et entière de la classe prolétarienne) ? But de la manœuvre : Mettre face à face le riche contre le pauvre ! Faire croire à l’ignare biblique, que prendre l’argent du riche serait une bonne chose pour la classe laborieuse ! Et à Lucifer d’en rire ! Comme à la fin des temps, le pouvoir revenant au va-nu-pieds… Les gens de la Bible (toranique & évangélique) voulant accélérer par là la destruction de leur propre société. Et pour le monde toranique, note l’observateur, Rothschild contre Max et inversement. Et aux peuples ignares et leurs dirigeants de les suivre aveuglément, note encore l'observateur.
[16] En contraction avec nos sources. Langage propre aux gens loin de la croyance en leur Seigneur et du Texte sacré entre leurs mains. Langage propre à ceux qui défendent le Pharaonisme (ou régime des partis) ou le Nemrodisme (régime dictatorial, militaire, parti unique : communisme, etc.).

[17] Parole en l’air ! A l’époque messianique, il n’y aura plus de pauvre et plus de riche. La terre offrira une telle bénédiction que le fils d’Adam présent n’aura pas à se préoccuper de sa subsistance. Problème du monde toranique, il croit trop en l’Homme, en sa capacité, peu ou pas du tout en son divin Créateur, Sa science, Sa capacité à l’instar de gens comme les précités : Chemouel et Lévinas !
[18] Nous dirons, après la mort de l’Antimessie et de ses adeptes.
[19] Le souhait toutefois qu’à travers le FAUX-MESSIE (ou le "roi-messie") à venir, l’Étranger au yéhudisme soit asservi !

[20] N’est-ce pas aussi le symbole du monde de l’Évangile, des adeptes de Paul ?

[21] En contradiction avec nos sources. L’Islam sera la seule religion restante et existante. Aucune autre religion pour partager la joie de ces gens à cette époque. Les rabbanim essayent coûte que coûte d’affirmer que seule la communauté toranique de l’époque sera agréée d’Hachem, réussira à combattre ses ennemis !? Ce qui laisse perplexe à la vue de nos sources, note le Savant.
[22] Petit rappel. Pour le monde biblique dont le monde toranique, les prophéties bibliques, leurs prophéties ont pris fin par la Révélation du Coran. Une seule reste pour eux et pour l’ensemble des Fils d’Adam : La venue du FAUX-MESSIE. Lorsque ce dernier apparaîtra, au monde toranique d’alors de se rassembler autour de lui et de lui faire allégeance. Puis apparaîtra celui qui confondra les gens de la Bible d’alors et tuera l’Antimessie : Le Messie fils de Marie lui-même. Ne pas oublier !
[23] Un leurre ! les animaux domestiques de vivre avec les animaux sauvages…
[24] Selon les gens de la Kabbale. Nous dirons plutôt, nous, sur l’Amour.
[25] L’Apogée du messianisme dépasse ce qu’enseigne les rabbanim. Gens retardataires attachés à ce bas monde et ce qu’il contient. Ne croient que peu aux bienfaits divins, les minimisent.
[26] Pratique interdite de la loi toranique. Loi transgressée allègrement par le monde toranique (Coran II 275-276 ; IV 160-161, etc.). Selon l’enseignement des rabbanim cette loi ne concerne que les yéhudim entre eux non jamais l’Étranger ! Et que fait le monde biblique face à ce fléau qu’il a légalisé à tous les niveaux de leurs sociétés ? Le ‘prêt à intérêt’ est un frein pour tout développement économique, note le Savant. Quelle place occupera l’actionnaire des banques, l’usurier, au Jour des Comptes ? Élu ou damné (Coran II 275, etc.) ?
[27] On ne voit pas le rapport avec l’ère messianique. Ère qui échappe totalement à la compréhension des gens de la Synagogue : On voit d’ailleurs par ces mots que les gens de la Synagogue vouent un amour sans borne pour ce bas monde et ce qu’il contient ! Très peu de foi ou pas du tout pour le signe ou miracle divins ! Croient en leur capacité non jamais en celle de leur divin Créateur !? Ce qui en dit long sur leur prétendue foi, note le Savant !
[28] Les gens de la Synagogue de méconnaître totalement l’Apogée de l’ère messianique. En ces jours, emprunter ne sera pas d’actualité. De plus, le monde biblique ne verra pas ces jours pour se délecter, selon nos sources !
[29] Preuve que les gens de la Bible ont perdu la clé de cette dernière.

[30] Lors de l’Apogée de l’ère messianique il y aura tellement de bienfaits que pauvre et riche disparaîtront comme souligné.
[31] V. Coran CIII.
[32] Lequel ? De la Torah ou le monde entier ?
[33] Et qui sont atteints par ces fléaux ? Qui en sont la cause ? Qui en sont les meneurs ? Les gens de la Torah semblent s’oublier dans tout cela, note l’observateur. Exemple : la Palestine. Se peut-il que le Machia’h, s’il venait maintenant, s’allie avec le monde toranique et ce qu’il fait subir aux gens de Palestine ? Serait-il du côté de la justice ou de l’injustice ? Et qui serait du côté de l’injustice sinon l’Antimessie ? Et qui serait du côté de la justice sinon leur prophète, le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !).

[34] A l’instar des gens de la manne et la salwa. Cette époque sera lors de l’ère messianique. Les gens n’auront pas à se soucier de leur lendemain tant la profusion de nourriture en tout genre sera.
[35] A Dieu seul de le connaître !
[36] Encore une fois, au temps de l’ère messianique l’égalité sera pour tous les Fils d’Adam présents. Pas d’autre Donneur que le Seigneur des cieux et de la terre ce jour-là !

[37] Il faudrait qu’il explique comment il s’y prendra ?
[38] Vœu pieux qui ne se réalisera jamais, selon nos sources. A cette époque, les gens auront d’autres choses à s’occuper… Enfin, la Torah n’ayant plus court, comment peut-elle avoir un effet ? Étant entendu qu’elle est un Livre divin frelaté !
[39] Les rabbanim cherchent donc à diminuer, à travers l’étude de la Torah, la bienfaisance : leurs souffrances comme celles de leur Machia’h. Alors que le monde de l’Islam traditionnel voit, lui, un moyen à travers un chapitre du Coran de se préserver de l’Antimessie (Coran XVIII). Deux notions diamétralement opposées !
[40] Comment cela pourrait-il être puisque le monde toranique sera occupé à servir l’Antimessie, qu’il prendra pour le messie (le roi-oint) attendu de ses prophéties ?
[41] Idem. Tout cela n’a aucune valeur pour le monde de l’Islam traditionnel. On attribue au Samedi ce qui n’a pas raison d’être. Parole de rabbanim et non parole toranique. Ne pas confondre !
[42] S’il s’agit d’un retour après la destruction du premier Temple, sans doute. S’il s’agit de celui après la destruction du second Temple, non jamais. Ne pas confondre ! Voir notre étude : Lire…
[43] Sorcellerie, magie.
[44] Un signe, il se trouvait dans la Torah originelle. Quant à la venue de l’Antimessie, la science appartient au divin Créateur et Seigneur du Cosmos. Déjà, à l’époque de leur prophète le Messie fils de Marie, leurs ancêtres de lui demander sans cesse des signes pour l’éprouver ; non jamais pour croire en lui et reconnaître qu’il était un prophète messager à eux !
[45] Les rabbanim sont des fans d’Ézéchiel. Si ce dernier devait parler des signes de la fin des temps, c’est bien la fin du premier exil non du second. La première promesse divine : Coran XVII 2-8.
[46] Cela fait penser à la parole d’Ezra (Esdras-‘Ozair) : Coran II . Son Seigneur de lui faire voir comment Il allait faire revivre Ilyâ après la destruction par Nabuchodonosor. A méditer ! Récit inconnu de la Bible.
[47] Le contraire peut arriver pour les Yéhudim de Palestine. Pharaon ne se vantait-il pas devant Mochè (sur lui la Paix !) ? Comment, lui Pharaon, il avait fait de sa ville et de sa terre, une terre riche et verdoyante. Et après ? Là où il pensait réussir, n’est-il pas venu la perdition pour lui et son peuple ? A méditer donc ! Et s’abstenir de pavoiser, note le Savant !

[48] Et comme celui-ci n’est pas un livre de référence, on comprendra que la parole des rabbanim est parole en l’air !
[49] Les gens d’avant eux n’ont pas attendu leur arrivée pour qu’il en soit ainsi. Nous savons tous que la Terre de Châm est une terre bénie, qu’elle est le grenier de l’Arabie. L’agriculture y est florissante suite à l’invocation des Prophètes dont Avraham et le sceau de la Prophétie.

   Mais les Palestiniens qui veulent cultiver légalement leurs terres, la terre de leurs ancêtres ; que font d’elles les gens venus d’ailleurs ? Ils pillent leurs richesses, les détruisent avec l’accord tacite des gens de l’Évangile d’Europe et d’ailleurs dont gens de langue anglaise. Et cela dure depuis plus de 60 ans, note l’observateur !
[50] Rambam ne dit pas que des vérités, loin s’en faut ! Loin de guider son peuple, il l’égare ! Et il n’a pas (n’avait pas) entre ses mains la clé de la Bible… Il n’a pas reconnu les prophètes : le Messie fils de Marie et le sceau de la Prophétie en son temps ! Pas plus que les livres divins : l’Évangile et le Coran. Enfin, il avait un doute certain sur les signes et miracles. Comment après cela en faire un homme de référence ? De plus, comment sont perçus les nouveaux arrivants en Palestine : Gens de bien ou gens de mal ? Gens justes ou gens injustes ?
   Les gens de la Bible (toranique & évangélique) contre l’Islam traditionnel font toujours cause commune ; ont toujours fait cause commune pour détruire la Religion divine : la Soumission ! Depuis plus de 14 siècles à eux d’agir ainsi, et se sera l’arrivée du Commandeur des Croyants, le Mahdi et le Messie fils de Marie qui mettra un terme à leurs agissements contre la Religion divine : la Soumission. A méditer !

[51] Le slogan biblique, de leur monde du Sécularisme : “L’autodertermination des peuples à disposer d’eux-mêmes” a fait des ravages et continue à faire des ravages au sein des Fils d’Adam, note l’observateur. Les gens de la Bible, les destructeurs de l’Empire ottoman ont su l’imprégner, par contre, dans le cœur des vaincus dont les Arabes en particulier de l’époque. Et après ? Plus de 60 ans après qu’est devenu l’Arabe ? Une sorte de jouet, de cow-boy Texan qui ne pense qu’à tuer là où il passe ou faire du mal à son frère sang ou autre fils d’Adam ? Pas très concluant comme résultat, note encore l’observateur !
    Les Arabes se réclamant du groupe déviant, de leur secte du Salafisme et ses ramifications (taymiyites, albanistes, bazistes, othaiminites, du Najd : Mohammad Abdal Wahhab, etc.) n’ont-ils pas embrasé leurs terres, la terre de l’Islam d’Est en Ouest, du Nord au Sud ? N’est-elle pas devenue une terre inculte où plus rien ne pousse pas même la foi ? Et dans leur égarement ne sont-ils pas épaulés par le monde biblique (toranique & évangélique) pour faire cause commune ? Et comment les gens de ce groupe égaré considèrent-ils après cela les gens de l’Islam traditionnel, les gens de la Tradition et du consensus ? N’est-ce pas comme des gens malfaisants, associateurs, égarés, innovateurs… ? Et comment traitent-ils les Savants, les Jurisconsultes ? Qui les assassinent et au nom de qui et de quoi ? Le meurtre, répandre injustement le sang, voler, piller, mentir, commettre le mal, la turpitude et le blâmable, le confessionnalisme, etc., ne sont-ils pas attachés à leurs pas, leur lot ? Et à qui profite le crime, note l'observateur ? Ne sont-ils pas devenus comme Attila, Nemrod ? Et comment après cela ose-t-on prendre l’Islam, la Religion divine, à témoin pour commettre avec les gens de la Bible autant d’injustice, d’atrocités ? En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[52] Il refleurit par les mains des hommes. A l’ère messianique, c’est au divin Créateur de le faire refleurir. Nuance !
[53] Lesquels ? Bon nombre de gens de Synagogue ne peuvent faire ce pas. Les différents courants du yéhudisme n’ont pas tous accès à leur "loi du Retour". Entre venir visiter et habiter, il y a une barrière immense, note l’observateur !
[54] Ceci se retrouve dans leurs Écritures, écrits, etc. Le ‘Délivreur de Justice’ est venu avec la Nouvelle Torah, toutefois, ni eux ni leurs ancêtres de le reconnaître en la personne du sceau de la Prophétie ! Et après lui, pas d’autre ‘Delivreur de Justice, à attendre ! Et le messie (ou roi-oint) ne sera être cet homme, lui un borgne, le mal, un égaré, un anti messie… Ce sera un jour où le Faux et la Vérité seront une dure épreuve pour les Fils d’Adam présents.
[55] Donc preuve est établie qu’une nouvelle Torah à venir était annoncée par les Prophètes d’Israël. Elle sortirait de Sion, c’est-à-dire d’Arabie, de Makkah ; non jamais d’Iliya, Jérusalem. Ne pas confondre !
[56] Elle sortira en terre d’Arabie, à Makkah.
[57] Pour le monde de l’Islam traditionnel, il est for blâmable de parler ainsi. Comment dire que Dieu s’assied ? N’est-ce une atteinte à Sa dignité que de parler ainsi ? Quant à s’adresser pour Lui directement au fils d’Adam, le cas avec le prophète Mochè est unique. S’il veut enseigner Ses prophètes messagers, à Lui d’envoyer l’Ange de la Révélation : Gabriel. Et jusqu’à preuve du contraire, le machia’h attendu du monde toranique n’étant ni un prophète ni un messager de Dieu ; comment pourrait-Il s’adresser et faire connaître Son ordre à travers un homme du commun comme lui ? Un homme symbole du mal en personne ? Non, loin du Créateur de commander le mal à Ses créatures ! Tel n’est pas le cas de Lucifer, l’allié de l’Antimessie ! Ne pas confondre !
[58] Lequel ? Après la destruction du deuxième Temple sera la Révélation d’une Nouvelle-Torah, c’est-à-dire le Coran. Elle sera révélée par l’Archange Gabriel au sceau de la Prophétie à Makkah, soit au Prophète attendu des Écritures, Lemessie.

[59] Aux gens de cette époque d’en juger ! Mois de Consolation ou de Désolation ? Et comment prétendre que c’est dans ce mois spécialement que le machia’h se révèlera, alors que personne peut préciser le jour, l’heure, le mois, l’année où il sortira ? Il faut arrêter de divaguer, clame Lucifer !
[60] Révolution : Étymologie : du latin "revolvere", rouler en arrière. Et à eux de faire un virage spectaculaire de 360 degrés ! Et à eux de voir comme sens : révolte ! Entendre : le sens de révolte contre l'ordre établi, contre Dieu et Sa religion en tout premier. Soit pour l'Europe biblique d'alors contre leurs religions ou confessions existantes : le yéhudisme et le christianisme de Paul et de ses Dignitaires religieux, leurs sectes. Pour eux le slogan : Vive la liberté et l'Émancipation ! Cela au sens large du mot, comprenait-on, clamait-on, haut et fort ! Plus de joug divin, plus de joug venant de la Synagogue ou de l'Église ! Les nouveaux venus, dans leur furie, n'allaient-ils pas faire de leurs terres, une terre à feu et à sang ? Une terre où l'Athéisme deviendrait leur religion ou confession officielle ? Qu'on relise l'Histoire du monde biblique en terres d'Europe ! Ce à quoi ce monde tend de nos jours, aspire !
[61] Le monde de l'Émancipation, du Laïcisme et du Sécularisme d'entre les gens de la Bible, fait scandale avec leur déclaration permanente : "O ne croit pas aux racines chrétiennes de l’Europe" ! Naguère, avant l'arrivée du prophète, le Messie fils de Marie, l'Europe était partagée entre deux religions et leurs sectes : Le Sabéisme et le Dualisme. Puis, vers l'an 300, l'Europe du bassin méditerranéen adoptera pour une religion nouvelle, la religion créée par Paul et ayant pour nom nouveau : Le christianisme. Peu à peu, à elle de devenir la religion officielle du monde européen. Cette religion nouvelle se divisera, au fil des siècles en plusieurs schismes, sectes, tendances : la Grèce et les pays slaves adopteront pour l'Orthodoxie. Les pays latins, le Catholicisme. L'Angleterre, l'Anglicanisme. Partie des pays alémaniques et les pays nordiques : le Protestantisme de Calvin ou Luther d'obédience yéhudie.
    VIème et plus.
La venue de l'Islam en terre d'Arabie va mettre à mal le rêve, l'hégémonie et les vues expansionnistes d'Héraclius, de Byzance, du monde de l'Évangile d'Europe. La perte de Byzance sera un coup fatal, dur, pour l'ensemble des gens de l'Évangile de l'époque, d'Europe.
    1800 et plus. Le monde intellectuel biblique, européen, bouge et opte pour un changement radical. Petit à petit on se dirige vers une confrontation entre gens fidèles à la Bible et leurs institutions et gens refusant l'autorité de l'Église dans la sphère publique notamment. Cela débouchera sur des querelles et des guerres sanglantes, interminables, d'un type nouveau made in Sécularisme ou Laïc, entendre l'Athéisme pur et dur comme le veut notamment le fer de lance du Yéhudisme : le Dualisme et ses sectes (sectes occultes, loges, franc-maçonnerie, etc.). Les nouveaux venus ne faisant pas mieux que ceux chassés. Le cas échéant, pire, note l'observateur !

    Dire que l'Europe n'a pas de "racines chrétiennes", n'est-ce pas pour certains, jeter de l'huile sur le feu ? N'est-ce pas pour rappeler à tous que l'Europe d'aujourd'hui n'a pas d'autre religion officielle que la Mécréance, l'Athéisme, l'Associationnisme ? Qu'elle veut revenir au Sabéisme ou au Dualisme ? Plaire à certains, n'est-ce pas déplaire à l'autre ? Depuis plus d'un siècle, ce monde ne veut-il pas prouver que la paix des ménages passe nécessairement par l'Athéisme, non jamais la foi ? Que les croyants doivent se soumettre à eux et rester à jamais sous leur contrôle le plus strict, leur domination, en dehors de toute influence externe ! Nous savons tous que pour ces gens pas de salut qu'à travers eux ! Leur idéologie, leurs partis politiques, leur culte de la personnalité, enfin uniquement dans ce qu'ils croient et adorent... Et comme dans le Dualisme, à l'homme de demain d'être nécessairement un être qui permet tout, légalise tout, se vautre dans le péché et la désobéissance divine. La vertu, la retenue, la sagesse, le bon sens, etc., étant à nier et renier ! Le péché, pécher, transgresser étant leur devise ! De même, ni dieu ni maître ! Dans toute chose, discussions, Dieu, Sa religion, les hommes du Culte sont à bannir à jamais ! Pas d'autre vie que celle-ci s'entend on dire çà et là ! Pas de vie après la Mort à l'instar des Sadducéens du monde toranique ! A l'instar de Coré, on croit dur comme fer que tout ce que l'on a, l'évolution du monde ; on le doit uniquement à la science humaine, à sa propre science, à sa force, à son savoir faire ! Remercier le Créateur, de Ses bienfaits ? Non jamais ! De même et encore moins à se soumettre à Lui, Son autorité, L'adorer ! Notre dieu, Lucifer, notre passion, notre cervelle clame-t-on, haut et fort à la face du monde ! Et à eux d'avoir porté un coup fatal au yéhudisme comme au christianisme de Paul. Et alors qu'ils se croyaient tranquilles, être maîtres de leur destin, à l'abri de tout problème et danger ; la mention d'une nouvelle religion alors peu connu du monde européen biblique, croyants et incroyants, les dérange, les exaspère, les met hors d'eux, les rend fous de rage ! Ainsi, espèrent-ils faire à celle nouvelle venue ce qu'on fait leurs ancêtres avec leurs propres religions : le yéhudisme et le christianisme de Paul ! En ligne de mire donc pour eux : désislamiser le monde, le préparer vers la route qui l'emmènera vers l'antimessie à venir, l'Enfer !



Nakba.15 mai 1948, proclamation de l’Etat juif d’Israël: un douloureux anniversaire pour les Palestiniens | Arrêt sur Info


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

*Droits de reproduction et de diffusion réservés ; © Le Carrefour de l’Islam
  Usage strictement personnel. L'utilisateur ne peut traduire, exporter, publier tout document du site sans autorisation préalable. L’utilisateur du site reconnaît avoir pris
connaissance du droit d’usage, en accepter et en respecter
    les dispositions.
         Politique de confidentialité du site.


Retour au menu

Copyright © 2001 Le Carrefour de l'Islam. Tous droits réservés.
Cette page a été mise à jour le
25/05/16 .

annuaire