Croyances

SIGNES DE LA FIN DES TEMPS. ÈRE MESSIANIQUE. 

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU, Allaha,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


David, ou le mortel secret de sa descendance.


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Les Fils d'Israël d'avoir, dans leur Histoire sainte, de nombreux rois. Certains seront aimés, d'autres délaissés, mal aimés, à l'instar de deux rois célèbres : David et Salomon (sur eux la Paix !). Malgré les critiques de bon nombre de gens d'entre les Fils d'Israël à leur égard, David reste toutefois une référence. Surtout pour l'héritage qu'il laissera. Reste à savoir qui montera un jour sur son trône parmi ses descendants ? Qui est ce "messie" dont on dit, dans les Écritures, qu'il montera un jour sur son trône et gouvernera le monde ? Apportera-t-il avec lui la Rédemption ? Est-ce un homme de bien, un prophète, ou un homme du mal, un usurpateur ? Sujet qui, depuis des siècles, fait couler et fera couler encore beaucoup d'encre ! Tant chez les gens de la Bible (toranique & évangélique), que chez les gens du Coran, note l'observateur.
   En attendant ce jour (pour certains, mémorable), il existe une certaine frénésie chez les gens de la Bible dont les gens de la Synagogue et de la Torah, en particulier. Ainsi, à eux de tenir en haleine leurs disciples, leurs troupes… pour ce jour ultime tant attendu !  Mais clame Lucifer le désespéré, le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ?

  • David, le prophète roi. Ce que pense de lui le monde biblique, leur animosité.

   Parmi les prophètes rois de l’Histoire sainte des Fils d’Israël, David (sur lui la Paix !) est sans doute celui dont on parle le plus souvent au sein du monde biblique.
   Pour les uns, le monde de la Synagogue et de la Torah, il a le rôle le plus malmené qui soit et, de plus, il apparaît comme le roi prophète le plus mal aimé de l’Histoire sainte des Fils d’Israël. A un tel point qu’il sera déchu comme prophète, de ce grade, par eux-mêmes. Considéré toutefois à tort, et avec son fils, comme un maître de la Magie par excellence[5].
   Les seconds, gens de l’Évangile, on le mentionne souvent et on lit avec plaisir son livre lors des prières… De lui, clame-t-on, le Messie n’est-il pas venu ?
   Reste enfin un troisième groupe qui se réclame du roi David (sur lui la Paix ! ) : les gens du Dualisme, les gens de la Magie, les gens d’Hiram[6], gens de la Kabbale, etc. Son livre, le Psautier, n’est-il pas considéré par tout ce beau monde, dit-on, comme un recueil de Magie par excellence ?

  • Ce qu’attend le monde biblique de David et de sa descendance.

   La réponse : Tout et rien, nous dit-on ! Il est un sujet permanent de verse et de controverse au sein du monde biblique. Pour les gens de la Synagogue et de la Torah, nombre de leurs sectes attend en vérité de lui le messie[7] (ou le roi-oint) tant attendu. Celui qui restaurera le Culte et la splendeur du Yéhudisme d’antan. Reconstruira les 12 tribus d’Israël. Sera la cause de la Restauration du troisième Temple de Salomon[8]. Avec lui, on retrouvera la terre des ancêtres, les morts revivront dont ceux du Sinaï[9]. La terre de Palestine s’élargira et Jérusalem deviendra la capitale du monde[10]. Les personnes n’ayant pas comme confession le Yéhudisme serviront ce roi et ses gens, c’est-à-dire tous les gens du Yéhudisme de son époque. Ce sera une époque de gloire et de faste, dit-on encore ! Le messianisme sera jusqu’à ce que la terre elle-même sera transformée en une sorte de Paradis…[11]
   Pour d’autres sectes, de la descendance David, il y aura toujours des prophètes... D’autres, viendra un jour où enfin un héritier légal montera sur son trône. Est-ce à dire et signifier qu'en attendant ceux qui prétendent diriger les Yéhudim sont des usurpateurs ?
   Pour les gens de l’Évangile, le peuple d’Israël était dans l’attente du Messie, entendre un sauveur et libérateur pour lui. Et il sera à travers une personne féminine qui deviendra célèbre : la vierge Marie[12]. Ce que récuse d’emblée les gens de la Synagogue et de la Torah. D’où l’éternel conflit avec les gens de l’Évangile[13].
    En clair, le message éternel du monde toranique en direction du monde de l’Évangile ne semble-t-il être le suivant : ô  gens de l’Évangile, le Messie que vous suivez est un mamzer[14], un faux[15], un imposteur, un sorcier, un charlatan, etc. ? Réagissez ! Réveillez-vous !

  • Croyance du monde toranique et concernant leur messie (roi-oint-מָשִׁיחַ).

   L’avis du monde biblique : Comme maintes fois rappelé, les gens de la Torah ont opté généralement pour deux « messie » bien précis qui descendront d’eux, dont un qui doit mourir. L’autre sera le « roi oint » qu’on attend. Cela devra se passer avant la fin du monde.
   Pour le rôle à jouer du « roi-oint », Haï Bar-Zeev d’écrire[16] notamment : "(…) Mais quel est le rôle du Messie[17] ? D’après les prophètes juifs[18], il préservera le peuple juif de toute agression ou invasion[19]. Tous les juifs le considèreront comme leur roi[20] et ils vivront paisiblement en Israël[21], la terre de leurs ancêtres[22]. Le Temple rebâti à Jérusalem[23], l’humanité entière reconnaîtra les vérités proclamées par les prophètes juifs[24] ; elle se soumettra à Dieu et toutes les nations connaîtront la paix[25]. Les juifs, pour leur part, accompliront tous les préceptes de leur Torah[26] ; les autres nations[27] respecteront les sept lois et leurs compléments[28].
   Les Évangiles présentent Jésus comme le Messie : « En vérité, je vous dis que vous [mes adeptes] n’aurez pas achevé de parcourir les villes d’Israël, que le Fils de l’homme sera venu [le monde reconnaîtrait que Jésus, aura accompli les prophéties au sujet du Messie] » (Matthieu 10, 23). Mais l’histoire dément toutes ces promesses. Jésus ne devint jamais le Messie attendu par les juifs[29], le Temple fut détruit, les juifs malmenés, exilés ou massacrés[30]. Les chrétiens ne tiennent pas assez compte de cet avertissement, pourtant attribué à Jésus : « Si l’on vous dit alors : le Messie est ici, ou bien le Messie est là, ne le croyez point ; car il s’élèvera de faux messies et de faux prophètes, qui feront de grands miracles et des prodiges, au point de séduire, s’il était possible, les élus eux-mêmes : vous voilà prévenus »[31]." (Op. cit.).
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !

  • L’avis du monde de l’Évangile.

   Les gens de l’Évangile ont opté, eux, pour un seul « messie » : le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !). Et à eux de se diviser, après lui, en deux groupes distincts. Le premier, comprenant Zacharie et son fils, Marie et les Douze auxiliaires, leurs suivants[32]. Le second, il sera emmené par l’adversaire et opposant du Messie : Paul, le pharisien. Il fondra, avec ses frères du Yéhudisme de l’époque, une nouvelle secte, religion, le christianisme ; lequel se réclamant de Pharisianisme se fractionnera en trois sectes distinctes[33]. C’est Paul qui mettra le feu aux poudres, mettra la division, et ce qu’il pensait faire, lui et ses affidés, comme un bien pour ses coreligionnaires ; sera en fait une catastrophe pour le monde biblique[34] à venir, car tout cela se retournera, plus tard, contre leurs auteurs. Et il en sera ainsi pour les gens de la Bible, de vivre dans la tourmente, la menace et la peur permanente, jusqu’au retour du Messie en Terre sainte, et avant la fin du monde[35].

  • Le messie biblique, un roi oint ?

   Pour le monde biblique (toranique «& évangélique), on constate que, malgré leurs profondes divergences, tous deux militent pour dire clairement au monde que : 1) le terme « messie » peut avoir plusieurs sens et pouvant signifier notamment : roi, oint, etc. ; 2) que le « messie » attendu est bien un individu qui sera, à son époque, roi du monde biblique notamment toranique.
   Le problème se corse ensuite pour eux quand il s’agit de définir cet individu hors de commun et de la fin des temps, ceci par rapport aux Écritures et aux prophéties en leur possession. La bataille fait rage aussi lorsqu’on parle de lui à travers lesdites prophéties bibliques. Chacun y va de son argumentation, de son cru et de ses preuves sans jamais s’entendre !
   Et quand il s’agit de le définir comme un individu devenant le roi futur des Yéhudim, le problème se pose là encore avec plus d’acuité, note l’observateur. Deux avis se font face sans jamais se rencontrer, note le Savant.
   Ainsi, pour le monde toranique, le « messie » est un individu normal de descendance des Fils de Jacob, davidique. Un jour viendra où il sera sacré comme tel !
   Pour le monde de l’Évangile, si on admet que le fils de Marie a été sacré roi des Yéhudim en son temps, c’est uniquement parce que le Christ (de Paul) est Dieu fait homme ! Un ‘dieu incarné’ qui est venu visiter Son peuple, le peuple d’Israël[36] !
   Là, on constate que le « messie » (le roi-oint) est un homme normal, et ici, il est un ‘dieu incarné’ ! Là,  le roi-oint est déjà venu en la personne du Messie fils de Marie (monde évangélique), là par contre, il reste à attendre (toranique) ! Deux notions qui s’affrontent sans jamais s’accorder, note l’observateur !
   Enfin, reste le problème du royaume lui-même. Quel royaume aura chacun d’entre eux ? Est-ce un royaume de l’ici-bas ou de l’Au-delà ? S’étendant sur une distance de combien de km ? D’une durée de combien ? Éphémère ou éternel ? Qui partage ce royaume et comment ? Comment, par exemple, sera traité l’Étranger par rapport aux Yéhudim, et inversement ? Sur un même pied d’égalité ou sous une loi différente ? Et à quel avenir est destiné l’Étranger ? Homme libre ou esclave ? Heureux ou damné ? Autant de questions que peut se poser le lecteur en lisant ce qu’écrivent et disent les gens de la Bible sur leur « messie » respectif. (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] V. Coran II 102 + commentaires.
[6] Ou gens du Dualisme : Les Mages de la Perse ancienne, les loges maçonniques, gens de la Kabbale, sectes occultes, gens de la Magie, etc. Ils sont considérés comme les affidés des gens de la Synagogue et de la Torah, et inversement.
[7] Le vocable a plusieurs sens en araméen, syriaque, hébreu, arabe. Si le FAUX-MESSIE, l’Anti-messie, l’Anti-Christ, l’Antéchrist porte également ce nom, c’est qu’il apparaît comme étant une redoutable caricature du Messie fils de Marie (sur lui la Paix !).
   En ce qui le concerne, le mot messie signifie : celui dont l’œil a été effacé (moussiha), le rebelle débauché, le menteur, celui qui parcourt la terre de long en large, le difforme, le dirham poli, dont l’usure a effacé toutes les inscriptions [allusion à son œil]. (Les signes de la fin des Temps).
   Notons ce que disent les gens de la Synagogue et de la Torah sur leur prophète, le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) : « Que son nom soit effacé » !
   Le nom « Yeshu » est le nom hébreu le plus commun pour «Jésus» ; pourtant les ancêtres du monde toranique en feront ‘un terme péjoratif terrible’, note-t-on !
[8] On a dit : La venue du messie marquera la rédemption du peuple d’Israël. En effet, rassembleur, il sera aussi le bâtisseur du troisième temple qui subsistera à jamais. Il constituera le sanctuaire où résidera la présence divine parmi le peuple, d’où s’étendra une influence spirituelle illimitée pour l’ensemble de l’humanité comme l’atteste le prophète.
   Rabbi Eli'ézer rapporte l’enseignement suivant : « Les portes ensevelies en terre d’Israël (au lendemain de la destruction du Bèt hamikdach) seront à nouveau restaurées chacune à son emplacement d’origine. Ainsi la porte de la cour intérieure située sur le flanc est du temple, sera inaccessible durant les six jours de la semaine, excepté le Chabbat où celui-ci s’ouvrira de lui-même annonçant au peuple l’arrivée du jour saint ! » (Op. cit.).
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
   Parole en l’air, note le Savant ! Tout cela, encore une fois, n’existe que dans la pure imagination des rabbanim pour tenir leurs adeptes sur le faux et en haleine, note l’observateur ! En effet, la Rédemption qu’attendait tant les Fils d’Israël, rédemption rappelée au passage par le Messie fils de Marie lui-même lors de sa mission légiférante ; est venue à travers le sceau de la Prophétie annoncé au Sinaï à Mochè et Aharon, aux Anciens (Coran VII 156-157). Elle n’est plus à attendre ! Est à attendre, plutôt des gens se réclamant du Yéhudisme, leur conversion à la Religion divine : la Soumission ! Rien de plus et rien de moins, notent les Savants !
[9] On a dit : Après un certain laps de temps (peut-être quarante ans - Zohar Béréchit 139a.), il y aura une résurrection, lors de laquelle tous les juifs (Voir le commentaire Yefeh Toar sur Genèse Rabbah 13:6, qui enseignent que les non-juifs vertueux ressusciteront également.) ayant décédé seront ramenés à vie (Voir le onzième chapitre de Sanhédrine.). À ce moment-là (Iguerot Kodech (correspondance du Rabbi de Loubavitch), vol. 2, p. 68.), il n’existera plus de désir de pécher (Talmud, Souccah 52a.). De plus, les commandements obligatoires seront annulés (Talmud Niddah 61b, dans l’explication de Tossafot, s.v. “Amar Rav Yossef”.). Cela signifie que le désir d’accomplir les commandements viendra naturellement. Dès lors, l’« obligation » sera superflue. (fr.chabad.org)
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[10] Comment cela sera ? La réponse : Néanmoins, cela est-il réalisable ? Jérusalem pouvait-elle accueillir tout un chacun à pareille fréquence ? Par ailleurs, Rabbi Lévi nous enseigne qu’à l’avenir Jérusalem s’élargira et atteindra les dimensions de la terre d’Israël, cette dernière atteignant pour sa part les dimensions de l’ensemble du globe du terrestre. (torah-box.com)
    Faut pas rêver ! Que les gens de la Synagogue et de la Torah se rassurent, tout cela n’existe que dans l’imagination de l’auteur de ces paroles !
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[11] Les rabbanim l’avouent : Il n’y a pas de description du paradis dans le Talmud. Il y en a quelques unes dans le Zohar, mais toutes ces descriptions sont imagées ( !!!). De même : Il est communément connu qu’il y a deux paradis, celui d’en bas et celui d’en haut, et il est aussi communément connu que chacun à une vision et une proximité d’Hachem correspondant aux mérites qu’il a obtenu dans ce monde. (Propos de Rav Ron CHAYA. leava.fr).
    Reste alors une question : Le Yéhudisme appelle à quoi exactement ? Il est vrai que pour l’adepte de la Kabbale, par exemple, chaque homme du Yéhudisme a une ‘parcelle de la Divinité’, en lui ! Et dans l’avenir à la créature humaine de devenir ‘comme’ le divin Créateur ! Et la créature humaine de se délecter, non dans une vie paradisiaque, mais plutôt dans une vie divine, qu’on partage (partagerait) avec Dieu Lui-même...! Comment est-ce possible ? Imaginable ? L’Essence divine a-t-elle un pouvoir d’enfanter de pareils enfants divins ?
    Idem pour le monde de l’Évangile. Celui-ci croit au rassemblement ‘autour’ du Messie, de Dieu fait homme ! En son Temple ! Quant aux personnes féminines, enfants, la Bible ne dit rien à ce sujet. Et le Dignitaire religieux de rester mal à l’aise pour répondre à ses ouailles, note l’observateur ! C’est pourquoi, bon nombre de gens de la Bible, croit au paradis sur terre et surtout pas de résurrection ; d’où leur slogan de profiter de la Vie au maximum, temps qu’on vit et peut s’y adonner !
   Enfin, même si on croit au Paradis, le monde biblique (toranique & évangélique) ne croit pas aux jouissances et plaisirs paradisiaques ! Et il se plaît à tourner en dérision le Coran et ses adeptes sur ce sujet brûlant ! Surtout lorsque le sujet abordé est la personne féminine ! Ce monde ne peut accepter qu’il existe au Paradis d’autres personnes féminines que celles que nous connaissons tous, d’Adam et Ève ! Pour lui, le dire et l’affirmer, ne fait que croître en lui que répulsion et mécréance !
   Haï Bar-Zeev d’écrire à ce sujet : Les délices du Paradis sont décris dans le Coran : des rivières prodiguant bienfaits, des fruits et du vin(1). Cela est relaté dans la Genèse(2), comme souvent dans le Talmud(3) et les Midrachim. Le Coran décrit aussi es affres des flammes de l’enfer, mentionnées aussi par les prophètes(4) et le Talmud(5).
   Néanmoins, le Talmud précise que les plaisirs au Paradis ne sont pas matériels : « Le monde à venir ne comprend ni nourriture, ni boisson. Les justes, leur couronne sur la tête, sont assis et se délectent de la splendeur de Dieu »(6).
   Entre autres délices réservés aux bons croyants, le Coran évoque de belles femmes(7). Il est possible que cette idée provienne d’une source juive adaptée par le maître de Mohammed. Rabbi Akibah enseigne(8) : le Cantiques des Cantiques (qui compare l’amour entre Israël et Dieu à l’amour de deux époux) est un chant sacré. Le maître de Mohammad déduisit peut-être que ce chant pouvait s’appliquer aussi au Monde futur. (Le Paradis et l’Enfer. Op. cit.).
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
Notes : 1. 37, 41-46. 2. Genèse 2, 8-10. 3. Talmud Baba Batrah 75 A et autres. 4. Isaïe 66, 24. 5. Talmud Péssahim 54 A et autres. 6. Talmud Bérahoth 17 A ; voir aussi Maïmonide, Yad Hazaqah/Teshuvah 8, 2. 7. Coran 37, 47. 8. Talmud Yadaïm 3, 5.
   « Le maître de Mohammad déduisit peut-être… » L’auteur fait partie de ceux qui attribue au sceau de la Prophétie un maître, c’est-à-dire un enseignant yéhudi ou nazarénien (chrétien), rabbin, prêtre ! Ce qui est faux. Son maître et enseignant ne sera que l’Ange Gabriel lui-même (Coran LXXXI 20).
[12] Ceci en raison des prophéties bibliques censées l’accompagner. Enjeu de la bataille pour ces deux religions de la Bible.
[13] Exemple notoire : Esaïe 7 14. Monde évangélique : "la vierge sera enceinte." Le rabbin de traduire, lui : "le jeune femme", etc.
[14] Vocable ayant des sens divers. Lire… On remarque que sur le Net, peu d’informations filtre sur ce vocable en langue française, plutôt en anglais, note l’observateur ! Mais qu’est, qu’était le fils de Marie pour les gens de la Synagogue et de la Torah de son époque, et après lui et jusqu’à ce jour ? Un mamzer (Coran XIX 27-28), rien de plus et rien de moins, note le Savant ! Et qui peut prétendre, parmi les religions, défendre et prendre la défense de Marie ? N’est-ce pas la Religion divine : la Soumission !
   De nos jours, (et surtout depuis une continuation, dit-on, de Nostra Aetate, la déclaration du concile Vatican II (pour la secte du catholicisme)), la plupart des Églises du Christianisme (de Paul) et leurs sectes semblent oublier comment les gens de la Synagogue et de la Torah considèrent et traitent le Christ ! Le souilleront-elles, elles aussi ? Selon le Vatican, ne dit-on pas, "les Juifs n'ont pas besoin de se convertir pour aller au Paradis" !? D’où leur vient cette certitude ? Cette légende ? Cette allégation mensongère ? Ont-ils tous oublié ce qui fut dit à leurs Ancêtres et devant Mochè au Sinaï, leur engagement (Coran VII 156-157) ?
   A la lumière du Coran, il fut clairement notifié pour le monde biblique d’alors que pas de rédemption effective et de salut tant qu’ils ne se convertiront pas et ne suivront pas, le moment venu, “le prophète illettré qu’ils trouvent en toutes lettres chez eux dans la Torah et l’Évangile”. Et c’est seulement après cela qu’on peut prétendre aller effectivement en Paradis, note le Savant ! Sans cette miséricorde divine, que peuvent assurer les Dignitaires religieux du monde biblique à leurs adeptes et suivants ? Des paroles en l’air, note le Savant !
   Sur la Planète Terre beaucoup de religions. Une seule est la Religion du Seigneur et Saint d’Israël et des mondes, Allaha : la Soumission (Coran V 3, etc.) ! N’en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, adversaires et opposants de la Religion divine : la Soumission !
[15] Exemple : Reniement de la divinité du fils de Marie par les gens de l’Ordre du Temple [anciennement dit « Milice des Pauvres Soldats du Christ et du Temple de Salomon].
   (…) Geoffroy de Charnay : « Après m’avoir reçu et imposé le manteau, on m’apporta une croix où il y avait l’image de Jésus-Christ. Le frère Amaury me dit de ne pas croire en celui-là dont l’image était peinte, car c’était un faux prophète, ce n’était pas Dieu… »
   Charles Guiguebert a démontré que les sectes ésotériques juives d’avant notre ère, invoquaient une entité nommée Ieshouah (Jésus en hébreu). Il ne s’agissait pas encore pour eux du Jésus de l’histoire, évidemment. Or Jésus-Christ, c’est, mot à mot : « Sauveur Sacré » (de l’hébreu Ieshouah, et du grec Khristos). (R. Ambelain).
[16] V. Une lecture juive du Coran. Édit. Berg International Éditeurs.
[17] Pour l’orthodoxie yéhudie, messie s’écrit toujours avec un m minuscule, non majuscule.
[18] Il n’y a pas de « prophètes juifs » au sens propre du mot. C’est une affirmation mensongère, note le Savant soumis. Affirmation démentie par le NOM dans le sceau des Écritures, le Coran. Dans l’Histoire sainte des Fils d’Israël, il n’y a que des prophètes issus des Fils d’Israël, de Jacob (sur lui la Paix !). Jacob ayant deux noms : Jacob et Israël. Secundo : La religion que professait tous les aïeux, les patriarches, les prophètes envoyés, de la part du Nom, aux Fils d’Israël ; était la Soumission ou l’Islam (Coran II 132-133, 140). Troisièmement : Ce qui signifie qu’aucun d’entre eux ne professait le Yéhudisme (Yahadout). Le sens de Yéhud-Yéhudim = Repenti(s) (Coran II 54 + commentaires). Leurs ancêtres n’ont-ils pas adoré un veau fait en métal précieux au Sinaï ? Et tout yéhudi de confession n’est pas forcément descendant d’une des 12 tribus d’Israël, un sémite. Au fil des siècles des gens venus d’ailleurs ne se sont-ils pas convertis au Yéhudisme ?
[19] Est-ce à dire : Adieu à l’armement, à la bombe atomique, à l’armée ?
[20] Ce qui signifie clairement que le fils de Marie ne répond pas à ce critère.
[21] En attendant, note l’observateur, cela ne semble pas être le cas ! D’aller dans cette direction ! Est-ce un leurre de la part des rabbanim ?
[22] D’où venait Avraham ? N’est-ce pas de la Perse ancienne, d’Irak ? Et où vécurent plus tard les fils de Jacob avec Joseph, n’est-ce pas en terre africaine : l’Égypte ? Est-ce à dire parce qu’on est né dans un endroit précis de la Terre, qu’on est forcément de cet endroit ? Un chinois né à Paris, comment doit-il être considéré ? Un blanc né en Afrique ? Un africain né en Europe ? Doit-on suivre, dans ce domaine, la logique et la croyance des gens du Sécularisme, de l’Athéisme et de la Mécréance, des ‘amoureux’ de ce bas-monde, du nationalisme ? Les gens de la Synagogue et de la Torah ont-ils oublié les deux promesses du Nom à leur encontre, se trouvant dans la Torah (originelle) (Coran XVII 2-8) ? Où Adam était-il avant qu’il descende sur terre ? Et où fut-il créé, lui et son épouse ? La vraie terre du Croyant, n’est-ce pas le Paradis ? La vraie terre pour les gens sans-religion, de l’Athéisme, de la Mécréance, de l’Agnosticisme, de l’Associationnisme : n’est-ce pas le Feu infernal et cela pour l’Éternité de l’Éternité ? Et quelle garantie le Saint et Seigneur avait-Il accordé pour que les Fils d’Israël, professant le "Yéhudisme" ? Pour qu’ils restent à tout jamais en Terre sainte ? Que les gens de la Bible apportent leurs preuves, notent les Savants ! La Terre est au Créateur, et à Lui de la donner à qui Il veut d’entre Ses esclaves, les Fils d’Adam ! Et loin de Lui d’avoir, parmi les Fils d’Adam, un peuple élu, ayant une partie de Sa divinité, de Son Essence en eux ! N’est-ce pas Le faire menteur ?
[23] On a toujours le droit de rêver, note l’observateur. Les Prophéties n’annonçaient-elles pas plutôt que ce serait la Communauté mohammadienne qui reconstruirait le Temple vrai de Salomon (troisième Temple) ? Qu’on étudie et relise bien les Prophéties ! Lors de la ‘Première Promesse’, leur Seigneur accorda aux Fils d’Israël revenus en Terre sainte de « reconstruire » leur Temple, c’est-à-dire la Mosquée de Salamon. Lors de la ‘Seconde Promesse’ (Coran XVII 2-8), le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, de prendre aucun ‘Engagement’ ferme de ce genre avec les Fils d’Israël. Ne pas confondre et supputer, note le Savant !
[24] Quelles vérités, si vérités il y a ?
[25] Pour le monde vivant avec eux en Terre sainte, cette parole est du genre insensée, n’a pas de valeur, clame-t-on haut et fort ! En effet, note l’observateur, qu’endure au quotidien les gens de l’Évangile et du Coran en Terre sainte, en Palestine ? Prélude de quoi ? De paix ou de guerres permanentes ? Pour préparer la venue du messie (roi-oint), faut-il comprendre qu’il faudra faire table rase avant cela ? Comment expliquer les paroles des rabbanim et leurs croyances fausses et erronées, leurs contradictions sur le terrain, note encore l’observateur ? Au quotidien, le Nom n’est-Il pas blasphémé par les Yéhudim de Terre sainte, de Palestine ? Sa loi, etc. ?
   Pour l’Islam traditionnel, l’arrivée du FAUX-MESSIE (que les gens de la Torah prendront, eux, comme leur roi oint attendu) verra des guerres se faufiler à l’horizon dont celle mémorable qui aura lieu avec le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !).
[26] Reste à le prouver ?
[27] Que les rabbanim se rassurent, cela n’aura jamais lieu ! Le Seigneur est Un, et Sa religion est Une ! Non double, triple, quadruple, etc.
[28] Est-ce à dire qu’il y aura deux religions avant la fin du monde ? Et que promet-on aux gens du Nohachisme ? Quelle sorte de Paradis ? Si Paradis, il y a pour eux ? Voir notre étude : Lire…
[29] Disons qu’il y a eu une erreur d’appréciation et de jugement le concernant. Son nom : le Messie, Ichoua, fils de Marie (sur lui la Paix !) a troublé les esprits ! Et il a été une occasion de chute et de perdition pour les Fils d’Israël. Enfin, n’était-il pas annoncé dans les Écritures qu’un prophète naîtrait sans père biologique ? Qu’il deviendra un pierre d’achoppement pour les Fils d’Israël ? A-t-on oublié, à ce sujet, les paroles qu’on prête à Esaïe :
12 N'appelez pas conjuration tout ce que ce peuple appelle conjuration ; ne craignez point ce qu'il craint, et ne vous effrayez pas.
13 L'Éternel des armées, c'est lui que vous sanctifierez ; c'est lui qui sera votre crainte et votre frayeur !
14 Et il sera un sanctuaire, une pierre d'achoppement, un rocher de scandale pour les deux maisons d'Israël, un filet et un piège pour les habitants  de Jérusalem.

15 Et beaucoup parmi eux trébucheront et tomberont et se briseront ; ils seront enlacés et seront pris. (Esaïe 8.12-15).
   Et qu’arriva-t-il lors de la deuxième Promesse divine 69/70 ?
[30] A qui la faute ? Qui a refusé le sceau des Prophètes d’Israël, le prophète et messager, le Messie, Ichoua fils de Marie (sur eux la Paix !) ? Les prophètes Zacharie et son fils (sur eux la Paix !) ? Qui les a assassinés ? Qui a égaré les gens de l’Évangile ? Enfin, à qui était  destiné la seconde Promesse divine ?
[31] Et en note : Matthieu 24, 23-25. Voir à ce sujet Kaplan Aryeh, le Vrai Messie, Jérusalem, Emounah et I. M. Choucroun, le Judaïsme a raison, Paris, Sefer, 1955 ; Binyamin Shlomo Hamburger, les Faux messies, Editions du C.E.R.J., Bné-Brak, 1993.
[32] Point important à signaler et rappeler sans cesse : La religion de tous les Prophètes, sans exception, est Une : la Soumission ! Et le Messie fils de Marie, Zacharie et son fils, ne font pas exception à cette règle élémentaire (Coran IV 163 ; XLII 13). Le Messie fils de Marie et sa mère ne sont pas des Yéhudim, c’est-à-dire : gens du Yéhudisme (Yahadout, Judaïsme), le prêchant, l’ayant prêché. Leur religion à tous deux était : La Soumission ! Secundo : Marie est (et était) de descendance davidique, elle n’était pas yéhudie. Elle était une vierge et une fille d’Israël, une Matriarche (Coran LXI 12) ! Le Messie n’était pas un yéhudi (juif, langage commun, théologique, vulgaire, en langue française biblique), contrairement aux gens du Yéhudisme, partie des gens de l’Évangile (secte catholique). Il n’a pas de père charnel, biologique, ni de père divin. Il est celui annoncé à Marie comme étant : le Messie, Ichoua fils de Marie (Coran III 45), rien de plus et rien de moins ! Durant son séjour en Terre sainte, au Châm, à lui d’appeler à la Religion divine : la Soumission ! Idem pour ses 12 auxiliaires lesquels étaient des gens soumis (Coran V 111). Ils n’étaient pas des nazaréniens (chrétiens) et ne prêchaient pas le Nazarénisme (par extension : le Christianisme) comme religion. Cette dérive, cette innovation, tout cela vient d’un homme après la disparition des Prophètes Zacharie et son fils, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) : Paul. Un agent de la Synagogue d’alors, note le Savant ! Il s’égarera et égarera les suivants du Messie et de l’Évangile primitif, note encore le Savant !
[33] Voir notre étude : Lire…
[34] En tout premier pour les gens de la Torah.
[35] Hébreu אחרית הימים a'harit hayamim. L'expression est tirée de Genèse 49:1, mais sa dimension eschatologique est précisée dans le midrash Bereshit Rabba 98. Cette dimension est cependant manifeste dans le sens simple d'autres occurrences, notamment Isaïe 2:2. On trouve parfois simplement a'harit, par exemple dans Deutéronome 32:20 ou Psaumes 73:17. L'expression se retrouve dans la littérature non incluse dans le canon biblique hébraïque, notamment dans le Siracide 7:36, 28:6, ou dans le Didachè 16:3.
   La Fin des Jours est traditionnellement divisée en un nombre d'époques successives :
- Hevlei Hamashia'h et Ikveta deMeshi'ha (prodromes messianiques). C'est une ère de souffrances mondiales, dans laquelle s'inscrit notamment la guerre de Gog et Magog, prophétisée par Zacharie et Ézéchiel.
- Retour du prophète Élie, qui amène le Messie,
- les Temps Messianiques: il s'agit de l'étape la plus importante, au point d'être souvent confondue avec le processus entier.
- T'hiyat hamètim (Résurrection des morts)
- Yom HaDin (Jour du jugement)
- Établissement du Olam haba (monde à venir) pour l'éternité. (fr.wikipedia.org).
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
   Le déroulement des évènements à venir, selon nos sources, n’a rien de commun avec les gens du Yéhudisme et ses sectes. Voir à ce sujet notre étude : Lire…
[36] On a dit : Nous avons tous remarqué bien des fois au dessus du Christ en croix l’inscription « I.N.R.I. » et souvent les gens nous posent la question : « Que signifient ces quatre lettres là ? »
Cela signifie « Iesus Nazarenus Rex Iudeorum : Jésus de Nazareth, Roi des Juifs ».
Pilate fit rédiger et mettre sur la Croix un écriteau portant ces mots après la crucifixion de Notre-Seigneur Jésus-Christ pour bien montrer qui était le crucifié.
Voici ce que dit Saint Jean au chapitre dix-neuvième de son Évangile, versets 17 à 22 :
« Ils prirent donc Jésus qui, portant lui-même sa croix, sortit de la ville pour aller au lieu dit du crâne, en hébreu : Golgotha, où ils le crucifièrent et avec lui deux autres, un de chaque côté, au milieu Jésus. Pilate rédigea aussi un écriteau et le fit mettre sur la croix, portant ces mots : « Jésus le nazaréen Roi des Juifs ». Cet écriteau beaucoup de juifs le lurent car le lieu où Jésus fut mis en croix était proche de la ville et l’écriteau était rédigé en hébreu, en latin et en grec ». « Les grands prêtres des Juifs eurent beau dire à Pilate – il ne faut pas écrire : « Le Roi des Juifs » mais : « Cet homme a dit : Je suis le Roi des Juifs ». Pilate répondit : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit », ce qui signifiait : « Écoutez, laissez-moi la paix », il en avait plus qu’assez, on l’a vu encore hier sur le film « La Passion » de Med Gibson. Je crois qu’il ne faut pas juger Pilate, il avait peut être de la faiblesse, c’est certain ; mais il a quand même essayé longuement de sauver le Seigneur.
   Mais remarquons tout de suite que Jésus n’a jamais dit ce qui est écrit : « Je suis le Roi des Juifs ». Il a dit : « Je suis Roi » et Il a bien précisé : « Mon royaume n’est pas de ce monde » ; et ces paroles sans équivoque de Jésus contiennent l’affirmation nette que le caractère lié à la mission du Christ-Messie envoyé par Dieu ne peut pas être compris dans un sens politique comme s’il s’agissait d’un pouvoir terrestre, et pas même dans sa relation avec le peuple élu, Israël.
   La suite du procès de Jésus confirme l’existence du conflit entre cette conception que le Christ a de Lui-même comme Messie-Roi, et celle, terrestre et politique, commune dans le peuple, pour laquelle on a voulu aussi Le condamner. Jésus donc est condamné à mort sur l’accusation qu’Il « s’est fait Roi ». Et l’accusation placée sur la croix : « Jésus le  nazaréen, Roi des Juifs » prouvera que, pour l’autorité romaine, c’est bien là le crime qu’Il a commis. (icrsp.org) Lire la suite…



Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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14/02/16 .

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