Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].
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L’abattage d’animaux. L’abattage rituel. ذَبِيْحَة
Question : les gens de l’Évangile, à notre époque, pratiquent-ils un sacrifice rituel sur leurs animaux ? Proclament-ils à haute voix le nom de la divinité à laquelle ils sacrifient ?
Réponse : Nullement. Il n’existe aucune règle pour l’abattage de leurs animaux. La seule règle existante, comme en Europe, semble être dictée, soit : 1) par leurs sentiments d’où leur phrase au quotidien : évitons de faire souffrir la bête ! ; 2) soit par des consignes ou directives venant de leurs vétérinaires ou autres prétendants. Et à partir de là leur législateur (humain) se positionne.
Question : comment les gens de l’Évangile abattent-ils leurs animaux ?
Réponse : il existe deux sortes d’abattage : 1) l’abattage personnel, 2) l’abattage industriel.
L’abattage personnel ou manuel.
Il peut se faire en assommant (au préalable) la bête avec un bâton ou maillet (porc). Exemple pour le lapin. Par étouffement. Exemple pour des oiseaux comme le pigeon. On sert alors l’oiseau sous son aisselle jusqu’à étouffement[5].
Emploi d’un couteau. Ceci pour des abattages précis, dans un but de récupérer son sang. Exemple du porc lequel couine horriblement (s’il n’est pas assommé au préalable), puisqu’on perce l’animal au niveau du coup sans nécessairement trancher la gorge. On parle ainsi, dans leur jargon, d’abattage saignée de porcs, d’un bœuf aussi écorché lors d’un abattage.
L’abattage industriel.
La demande de marché a fait qu’on parle de plus en plus d’abattage industriel[6]. Là encore selon le ‘rite païen’ des gens de l’Évangile, c’est-à-dire en dehors de toute loi divine[7], de toute considération de la voie prophétique. Avec des méthodes et des moyens en vigueur que le monde de l’Islam traditionnel ne saurait reconnaître, appliquer[8], souscrire.
Parmi les gens de l’Evangile, on trouve de plus en plus de gens qui se mettent au goût de l’Hindouisme, c’est-à-dire à la cuisine végétarienne. On ne saurait manger de la chair animal… parler d’abattage d’animaux, d’égorgement rituel[9].
Abattage clandestin.
Il est en milieu de gens soumis, et concerne en particulier, la diaspora des gens d’Afrique du Nord en Europe dont en terre des Gaules. L’abattage clandestin[10] n’étant pas toléré[11] dans certains pays bibliques européens comme en l’Hexagone, il sera demandé alors qu’il soit pratiqué par un professionnel de la boucherie[12]. Ce qui paraît logique.
La viande porcine et ses dérivés.
Les abatteurs-découpeurs. Spécialisés dans le porc, ils sont bien connus sous le nom traditionnel de « gargots », ils vendent des carcasses et des pièces de découpe destinées à la fabrication, ainsi que de la viande fraîche.
Le ‘sang’ du porc servira notamment pour la fabrication des fameux boudins[13].
Formule prononcée lors d’un abattage d’un porc ou tout autre animal : Elle n’existe pas chez les gens de l’Évangile. On tue seulement pour se nourrir, se faire plaisir[14]… En aucun cas pour plaire au divin Créateur et Le remercier. Surtout, parmi eux, les adorateurs de ‘Dame Nature’, de la ‘Raison’, gens du Laïcisme, de l’Athéisme et de la Mécréance, hypocrites, gens se disant sans-religion, etc.
Séparations des viandes.
Peut-on imaginer en chambre froide des viandes, pour l’homme croyant soumis, mélangées : porcines et autres ? Problèmes d’actualité qui mérite qu’on s’y penche véritablement en terres d’Europe biblique. D’où l’importance d’avoir des abattoirs qui soient conforme avec le rite d’abattage du monde islamique[15]. Pas de mélange avec des animaux abattus non rituellement, car en milieu industriel la traçabilité reste à faire et à être respectée de tous.
La viande des gens de l’Évangile à notre époque.
Question : Licite ou illicite ?
Réponse : pour la Jurisprudence islamique, l’animal doit nécessairement être égorgé, on ne saurait mangé un animal quelconque dont le sang est resté ‘bloqué[16]’ en son corps de quelque façon que ce soit[17]. Ce qui signifie clairement que les viandes actuelles des gens de l’Evangile ne sont pas licites à la consommation du véritable croyant soumis[18], et surtout pratiquant de son culte[19]. Que de nombreux points de restauration non plus ne sont pas licites à la consommation. Exemples[20] de centres comme : KFC, Quick, Macdonald, etc.
Ne pas se laisser abuser, tromper par les mots.
Courant : Exemple : Vous partez, par avion, pour votre Pèlerinage, voir un voyage quelconque. Vous demandez à l’hôtesse si votre repas est licite à la consommation[21]. A elle de répondre que évidemment, et de plus, c’est bien marqué sur l’étiquette de l’emballage !
Réponse : Nullement. Selon le jargon et la législation en vigueur chez les gens de la Bible de l’Hexagone, un repas licite (ou hallal) signifie uniquement un repas sans porc ! Ce qui signifie nullement pour vous que votre poulet ou votre viande que vous allez manger maintenant, et se trouvant devant vous, sont égorgés rituellement. Prenez garde !
Autre exemple courant : Prendre, de nos jours, une compagnie aérienne arabe pour voyager[22].
Même son de cloche, note l’observateur. Le milieu commercial arabe, du monde des affaires, riche, n’est pas un milieu où l’on peut y placer une confiance aveugle, fréquentable. C’est un monde, à notre époque, sans foi ni loi, irrespectueux de sa foi et de sa Loi divine. Il semble vivre et calquer sa vie, sa façon de voir les choses et surtout de vivre au quotidien, comme celle des ses frères du monde biblique, anglophone en particulier. De plus, ses centres d’approvisionnement sont, pour la plupart, en terres bibliques ou autres[23]. D’où une méfiance doit être de rigueur selon les Savants !
Le milieu commercial arabe a une confiance aveugle envers les gens de la Bible (toranique + évangélique). D’ailleurs, des produits interdits à la vente ne sont-ils pas servis et vendus à bord des compagnies aériennes arabes comme l’alcool, le tabac ? Et pourquoi ce silence de mort de la plupart des Savants du monde arabe ? Qu’attendent-ils pour interpeller leurs frères[24] de sang ? Où est la foi du monde arabe et surtout où est l’obéissance à l’Ordre divin ? L’application de la Tradition prophétique ? Le dicton : l’argent ne fait pas le bonheur ! Dicton connu de tous, surtout si cet argent est acquis illicitement. De plus argent et religion ne seraient cohabiter ensemble, dit l’observateur, surtout si la Loi divine est transgressée, bafouée.
Autre cas : les cantines. Le piège.
Les cantines[25]. Les gens de la Bible de l’Hexagone, certains gens d’entre eux, maires, responsables d’établissements, etc., ont du mal à gérer et accepter parfois cet "accommodement" : une cuisine « made in ‘islam’ », "sans viande". C’est-à-dire : Etrangère à la leur[26] ! Et ce problème commence de plus en plus à prendre de l’ampleur. Il devient national, car il touche, avec la Communauté mohammadienne (nouvelle venue dans la sphère cultuelle), toutes les sphères de la société biblique.
Gens amoureux de… gens à problèmes permanents.
Gens ‘amoureux[27] de la viande porcine’, pour certains, cela leur est insupportable[28]. Aussi leurs gens parlent-ils, à qui veut bien les entendre, d’apartheid[29], de repli communautaire, voir de communautarisme !? Et à leur presse[30] de leur emboîter le pas, de même leurs gens de leur monde politique, de la politique, gens du Partissisme, idéologues, philosophes, etc. Les extrémistes d’entre eux, de tout bord, les la.ï.cards, gens sans foi ni loi, ne pouvant accepter que les gens de l’Islam traditionnel pensent, agissent et ont un comportement différent du leur. Ils n’acceptent pas qu’ils ne s’alignement pas sur leur façon de voir, de penser et surtout de croire[31]. Cela les exaspère ! Les rend malade !
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent ! (à suivre)
Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !
Légal ou illégal ?
Selon la direction des services vétérinaires de la Haute-Garonne, l'abattage du cochon à la ferme est une activité tout à fait légale. Il est autorisé quand cela concerne des animaux élevés sur place et destinés à la consommation familiale. Voici ce que dit le code rural en la matière :
« Article R231-15. Sans préjudice de l'application des dispositions particulières prévues par le présent code, les animaux de boucherie ne peuvent être abattus hors d'un abattoir que dans les cas suivants :
1/Lorsque l'abattage doit être pratiqué d'urgence pour cause d'accident. Dans ce cas, l'inspection sanitaire et qualitative de l'animal sera obligatoirement effectuée dans un abattoir ;
2/Lorsqu'une personne pratique l'abattage d'animaux des espèces caprine, ovine et porcine qu'elle a élevés ou entretenus et dont elle réserve la totalité à la consommation de sa famille. L'abattage ou la mise à mort des volailles et des lapins domestiques par la personne qui les a élevés ou entretenus est autorisé lorsque cette personne en réserve la totalité à la consommation de sa famille. »
es premiers chrétiens ne mangeaient que des animaux préalablement saignés:
Le naturaliste Pline, contemporain des apôtres, et le médecin Aretê, qui vivait au IIe siècle, précisent qu’on employait le sang humain pour soigner l’épilepsie. Tertullien parlera par la suite de “ ceux qui, lors d’un combat de gladiateurs, ont sucé avec une soif avide, pour guérir la maladie comitiale [l’épilepsie], le sang tout chaud, coulant de la gorge des criminels ”. Il opposera ces gens aux chrétiens, qui ne regardent “ pas même le sang des animaux comme un des mets qu’il est permis de manger ”. Il ajoutera un peu plus loin : “ Pour mettre les chrétiens à l’épreuve, vous leur présentez des boudins gonflés de sang, bien convaincus que ce mets est défendu chez eux. ” Par conséquent, les premiers chrétiens étaient prêts à affronter la mort plutôt que d’absorber du sang.
Eusèbe raconte que, vers la fin du IIe siècle, une jeune femme, au moment de mourir sous la torture, déclara à propos des chrétiens : “ Il ne leur est même pas permis de manger le sang des animaux. ”
Martin Luther a tiré les conséquences du décret apostolique cité plus haut, disant : “ Si donc nous voulons une Église qui soit soumise à ce concile (...) il nous faut enseigner et exiger que désormais ni prince, ni seigneur, ni bourgeois, ni paysan ne mangent de l’oie, du daim, du cerf ou du porc cuit dans le sang (...). Bourgeois et paysans doivent surtout s’abstenir de saucisse noire et de boudin. ”
Parlons d’ailleurs d’éducation ! Lorsque des enfants en viennent à refuser de manger des légumes entrés en contact avec de la viande, quitte à avoir faim tout l’après-midi, sous prétexte que cette viande ne serait pas religieusement correcte, il ne s’agit plus d’éducation, mais de bourrage de crâne ! Des parents d’élèves créent volontairement chez leurs enfants une phobie alimentaire aboutissant à un refus de s’alimenter, phobie relevant de la psychopathologie. Il s’agit-là non plus de religion, mais de mauvais traitement à enfants. Il n’est pas normal ni acceptable dans une société moderne qu’un enfant, à l’école primaire, soit, par la faute de ses parents, terrorisé à l’idée qu’il sera l’objet de la vindicte d’un dieu cruel s’il se trompe d’aliments, au point de refuser de s’alimenter !
En cas d'adoption, on convertira l'enfant sans lui demander son avis, mais on lui dévoilera ses origines avant l'âge de 12 ans pour une fille et celui de 13 ans pour un garçon. Il aura le droit à ce moment de renoncer à appartenir au peuple juif (Igrot Moché Y. D. 1, chapitre 162) (cheela.org) ?
Le grand rabbin a par exemple détaillé les contraintes de la "kasherout" tout en reconnaissant que l’école n’avait pas à s’y plier.
Enfin, par l’éducation, on apprend que
les protéines de porc sont constituées de la même vingtaine d’acides aminés que n’importe quelles autres protéines ! Il n’est pas du rôle de l’école de cautionner des superstitions quant à l’impureté supposée de certains aliments, quand bien même il s’agit de superstitions religieuses. En effet l’école est censée éduquer à la Raison et combattre les superstitions d’où qu’elles viennent. Donner des menus spéciaux dans les écoles, c’est accepter l’idée qu’une certaine catégorie d’enfants seraient, de par l’infortune de leur naissance, incapables d’accéder à la
Raison, c’est donc une discrimination insupportable. Il est déjà assez difficile pour des enfants diabétiques ou allergiques d’être soumis à des régimes spéciaux en raison de l’infortune de la maladie, pour qu’en plus on donne des régimes spéciaux à d’autres enfants en raison de l’infortune dont ils sont victimes du fait des superstitions alimentaires de leurs parents !
superstitions viennent de qui et de quoi ? De l’ignorance, du Démon qui les inspire à l’homme. L'auteur de ces lignes ne rejoint-il pas ce que nous avons dit des associateurs arabes, mentionné ci-avant (Coran II 172-3 + commentaires). En aucun cas du divin Législateur. Ne pas confondre ! Secundo : l’auteur de l’article a pour divinité : la Raison. Cette ‘Raison’, ce culte (des ‘révolutionnaires’ (gens sans foi ni loi) de 1789+) censé remplacer, chez les gens de la Bible (toranique + évangélique), la religion du monde biblique régnante !? Aussi, en l’Hexagone ne verra-t-on pas, note l’observateur, apparaître
l’abomination de Daniel, et ajouter à cela, au Dualisme (à travers la Franc-maçonnerie et les sectes occultes) également de triompher, elle, le bras droit des gens de la Torah et l’ennemi juré de la religion du Messie (sur lui la Paix !) ! Les gens de la franc-maçonnerie (dualistes) sont très anticléricaux. Pour eux, le Pape de Rome n’est-il pas l’Antéchrist en personne, le mal, sa représentation dans le christianisme, la Chrétienté ? Depuis la fin des croisades, la hache de guerre est déterrée, note l’observateur.
Troisièmement : Appel à la guerre entre ‘copains’, à la manipulation, à la haine et l’inimitié entre enfants, à manger surtout de la viande de ‘porc’ par un enfant du Laïcisme pour être ‘copain’... ! Qu’on en juge :
"Enfin , cette décision municipale va être à l’origine d’un véritable apartheid. Les cantines, pour éviter toutes contestations, finiront par faire deux services, l’un pour les "poissons", l’autre pour les "viandes", les enfants ne se mélangeront plus à la cantine. En cours de récréation, les "viandes" joueront avec les "viandes" et les "poissons" avec les "poissons", et formeront des bandes, d’où bagarres prévisibles. Les juifs, qui se retrouveront avec les musulmans dans les "poissons" se feront molester, on leur dira "va jouer avec les viandes".
(…) Eh bien, cette ségrégation alimentaire des enfants dans les écoles répond aux mêmes objectifs que l’apartheid.
(…) Pour conclure, je vous invite à réfléchir à l’étymologie du mot "copain", du latin "cum panem" : avec qui l’on partage le pain (pain pris au sens large d’aliments, à l’époque ou le pain était l’essentiel de l’alimentation). Faisons en sorte que les enfants à la cantine soient des "copains" au sens étymologique du terme, et qu’un enfant accepte, sans arrière-pensées religieuses le morceau de sandwich que lui proposera un "copain", quand bien même ce sandwich comporterait du bon saucisson ou de la bonne rosette de Lyon ! Que dans l’école de la République, les enfants ne se voient pas comme musulmans, juifs, catholiques, athées, mais comme "copains" ! (agoravox.fr)
Pour conclure, on ne saurait manger et faire manger à des enfants de confession islamique des mets interdits à la consommation, à l’instar de ce qui est ici proposé. En aucun cas, ils ne sauraient manger de ce pain là !
Il y a d’autres façons de partager son pain, et certainement pas de cette façon pour être de ‘bon copain’. N’en déplaise aux ergoteurs, opposants et adversaires de la Religion divine : la Soumission !
Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !
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