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Makkah (La Mecque, La Mekke, Mecca).
La ville sainte et le lieu du Pèlerinage. La Cité interdite...

Historicité.


Recouverte d'un brocart noir (la kiswa) brodé de versets coraniques, c'est autour de la Ka'bah que les pèlerins effectuent les sept tours du tawaf, également appelé la circumambulation.


Intérieur de la K'abah, du Cube.

De gauche à droite : L'angle yéménite, la Pierre noire, le Moulttazem, la Porte d'entrée de la Ka'bah, le Chadzawan, 

la porte du repentir, le muret (hatîm). (Voir plus bas la description détaillée).


Le Pèlerinage ou le chemin vers le divin Créateur. Son sens. Comprendre le sens profond du Pèlerinage et de sa place dans le culte de l’Islam : Dieu (exalté soit-Il !) a institué ce cinquième pilier afin que l’Homme se détache de tout ce qui est hormis Lui en se consacrant à son adoration. Tant que l’Homme est attaché à sa nature bestiale et noyé dans les illusions de l’éphémère et des désirs, il ne pourra cheminer vers Dieu (exalté soit-Il !). Secundo : Après avoir pris conscience de la valeur du Pèlerinage et de la portée qu’il aura dans son cheminement vers Dieu, alors un sentiment de nostalgie s’accapare de son cœur. Cette volonté d’aller à la rencontre de la Maison de Dieu n’est autre, au niveau du cœur, qu’un désir de la rencontre du Maître de cette Maison. Ce désir ardent apporte à son cœur une extraordinaire consolation, l’emplit de satisfaction et entretient son espoir. Quand bien même il rencontrerait en ce monde le découragement à chaque pas, que tout serait obstacle à ses desseins, que tout viendrait à lui manquer, sa foi en Dieu et sa confiance en Lui ne le quitteront jamais. C’est avec leur réconfort qu’il prépare son voyage. (Voir à ce sujet : Le Pèlerinage. Al-Ghazali, le Persan dans son livre « La revivification des Sciences de la religion »)

  1. La Pierre Noire (angle Sud-est) (arabe: الحَجَر الأَسْوَد [al-hajar al-aswad]). La Tradition est, si possible, de venir l'embrasser, voire de la toucher avec la main. On dit que 'Omar n’aimait pas embrasser cette pierre. Un jour, il lui dit : "Si le Messager de Dieu ne t’avait pas embrassée, je ne t’aurais jamais embrassée."

     و حدثني ‏ ‏حرملة بن يحيى ‏ ‏أخبرنا ‏ ‏ابن وهب ‏ ‏أخبرني ‏ ‏يونس ‏ ‏وعمرو ‏ ‏ح ‏ ‏و حدثني ‏ ‏هارون بن سعيد الأيلي ‏ ‏حدثني ‏ ‏ابن وهب ‏ ‏أخبرني ‏ ‏عمرو ‏ ‏عن ‏ ‏ابن شهاب ‏ ‏عن ‏ ‏سالم ‏ ‏أن ‏ ‏أباه ‏ ‏حدثه قال ‏
    ‏قبل ‏ ‏عمر بن الخطاب ‏ ‏الحجر ثم قال ‏ ‏أم والله ‏ ‏لقد علمت أنك حجر ولولا أني رأيت رسول الله ‏ ‏صلى الله عليه وسلم ‏ ‏يقبلك ما قبلتك ‏
    ‏زاد ‏ ‏هارون ‏ ‏في روايته ‏ ‏قال ‏ ‏عمرو ‏ ‏وحدثني ‏ ‏بمثلها ‏ ‏زيد بن أسلم ‏ ‏عن ‏ ‏أبيه ‏ ‏أسلم


    Bienfait. Embrasser la pierre noire (1), tient lieu d’un pacte d’allégeance donné à Dieu (exalté soit-Il !) pour se vouer entièrement à Lui. Se rappeler par conséquent que la Pierre noire sera témoin le jour de jugement en faveur du pèlerin ou en sa défaveur. La Pierre noire était un diamant éblouissant de lumière lorsqu’elle était descendue du Paradis puis est devenue progressivement noire du fait de l’idolâtrie et des péchés des humains.
    (1) La célèbre parole (hadith) rapportée par au moins quatre compagnons : « La pierre noire représente la main droite de Dieu » (rapporté par le fils de Madja, Tabarani et le fils de Khouzayma). Concernant le Pacte d’allégeance (Al-Mithaq) contracté entre Dieu et les hommes dans le monde des esprits. Dieu dit : « Et quand nous prîmes des reins d’Adam sa descendance et nous fîmes témoigner : Ne suis-je pas votre seigneur ? » Ils répondirent : « Certes oui, nous en témoignons ! » Et ce afin que vous ne disiez pas au jour du jugement dernier : « Nous ne savions pas ! » (Coran II 197).

    Lorsque Omar Ibnou Al-Khattab a embrassé la pierre noire, il a beaucoup pleuré en affirmant à ‘Ali fils du père de Talib : « Ô père de Hassan ! C’est ici où les larmes se versent et les prières s’exaucent ». Ensuite Ali précise : « Quand Dieu a eu le pacte d’alliance de la descendance d’Adam. Il l’a écrit et l’a déposé dans cette pierre et depuis, elle témoigne la fidélité pour le croyant et l’ingratitude pour le mécréant (2) ».
    (2) Rapporté par Al-Hakim, dans une autre variante, Ali dit : « Mais si ! elle peut profiter car le Prophète (sur lui Prière et Paix !) a dit : « Le jour de la Résurrection, Dieu lui donnera une langue prompt à la répartie pour témoigner en faveur de celui qui y aura posé la main pour faire le contrat de fidélité, tout en croyant dans l’Unicité de Dieu » (rapporté par le fils de Madja, Tirmidhi, Darimi et Ahmad).
  2. La porte de la Ka'bah (mur Est).
  3. Gouttière (en or) pour évacuer les éventuelles eaux de pluie (mur Nord) (arabe: ميزاب [mīzab], gouttière).
  4. Le châdharwân est une partie du soubassement de la Kaaba (الشاذَروان). Il protège le soubassement des eaux de ruissellement.
  5. La zone appelée hatîm (arabe: الحَطيم [al-hatīm] est délimitée par le muret appelé pierre d'Ismaël (arabe: الحَجَر إسماعيل [al-hajar ismā`īl]), selon d'autres sources le mot hatîm désigne aussi le muret. Lors de la dernière restauration (avant lère islamique), quelques cinq ans avant l'Islam, la pénurie de bois amena les Mecquois à laisser une partie de la Ka'bah sans toit. Il en est encore ainsi aujourd'hui. Cette partie, appelée Hatîm, est non pas angulaire, mais circulaire, le reste de l'édifice étant carré : un carré superposé d'un demi-cercle, le tout ayant l'apparence d'un cœur. On dit que dans l'Antiquité, il y avait dans cette partie un puits circulaire, où les pèlerins jetaient leurs offrandes à la Maison de Dieu.  
  6. Al-Multazam désigne le pan de mur entre la porte de la Ka'bah et la pierre noire (مُلْتَزَم [multazam], lié par un engagement). 
    Bienfait et recommandation. Y faire des implorations et des supplications pour tous les péchés antérieurs, en se collant à la Ka’bah à l’endroit appelé Moultazam, entre la Pierre noire et la Porte de la Maison sacrée.
  7. La station d'Abraham, où Abraham a laissé l'empreinte de ses pieds dans la pierre (arabe: مقام إبراهيم [maqām ibrāhīm], station d'Abraham).
  8. Angle de la Pierre Noire (Sud-est).
  9. Angle du Yémen (Sud-ouest). 
  10. Angle de Châm (Syrie) (Nord-ouest).
  11. Angle de l'Irak (Nord-est).
  12. Voile brodé d'or, recouvrant la Kaaba (arabe: سِتار الكعبة [sitār al-ka`aba], voile / tenture de la Kaaba) (arabe: كِسْوة [kiswa], vêtement, habit, draperie).
  13. Bande de marbre marquant le début et la fin des tours.
  14. Cet emplacement est parfois appelé la station de Gabriel (arabe: مقام جبريل [maqām jibrīl], station de Gabriel).

    Conclusion. La venue et l'ouverture de l'Islam en terre d'Arabie, et contrairement à ses détracteurs, effaça toutes les traces du paganisme arabe, et non seulement il brisa leurs 360 idoles (et dieux) autour de la Ka'bah, mais il effaça même les fresques (à l'instar de celle représentant Marie et son fils) à l'intérieur du bâtiment de la Ka'bah. Au Culte abrahamique de re-trouver sa place d'antan, sa lumière... N'en déplaise à ses détracteurs ! 

 L'évolution de Makkah, la Ville sainte, à travers les siècles. 

Vue 
De nos jours.

A une époque antérieure.


La Mecque et la Ka'ba aux environs du IXe siècle de l'ère évangélique.


La Mecque, illustration extraite de Mallet, Description de l'Univers, Paris, 1683


La Mekke à la fin du XIXe siècle – Dessin de Tomaskiewizc – 1886.


La Mecque 1920.

Un vendredi à la Mosquée de la Mekke pendant le Pèlerinage du « Hadj », 1924
Un vendredi à Makkah (La Mekke) pendant le Pèlerinage « Hadj ». Cette photo de 1924 montre la foule des pèlerins dans la cour de la grande mosquée, autour de la Ka’ba. Les textes qui suivent sont tirés, tout comme la photo reproduite ci-dessus, d’un article paru en octobre 1924 dans « Le patriote Illustré » (hebdomadaire belge appartenant au groupe de presse « L’Illustration européenne »). L’article s’intitulait « La Mecque, ville sainte de l’islam, objet des luttes actuelles en Arabie ».


Sur cette photographie, prise vers 1924, on voit des pèlerins campant à 'Arafat.


1924. Les pèlerins arrivaient à La Mecque de trois directions : ceux d'Asie et d'Océanie et du sud de la Perse passent le détroit de Bab-el-Mandeb pour débarquer à Djeddah, le port de La Mecque sur la mer Rouge ; les Musulmans d'Asie-Mineure, de la Perse septentrionale et d'Europe viennent par terre et par mer, et le troisième courant, par le canal de Suez, amène les croyants d'Égypte, du Maroc et d'Algérie.


La Ka’bah الكعبة en 1924.
Selon le monde biblique : Une partie de l’or qui recouvre la porte de la Ka’ba aurait pour origine la table sacrée (table des pains) qui se trouvait dans le temple juif de Jérusalem. Transportée à Rome puis emportée par les Wisigoth dans leur royaume d’Espagne, cette relique du judaïsme fut saisie par les Arabes à Tolède et fondue en pièces de monnaie. Une partie de ces pièces furent ramenées à La Mekke et servirent à fabriquer des feuilles d’or et des ornements pour la Ka’ba. Ce fut, pour les mahométans, une façon d’affirmer leur suprématie sur l’antique religion des Hébreux.


La ville est située dans une vallée étroite, sablonneuse et stérile, qu'entourent des collines dénudées ; un aqueduc, construit au neuvième siècle par Lobeida, femme du fameux calife Haroun-al-Roschid, la ravitaille en eau.
La grande mosquée de Beitu'allah, - maison d'Allah, - ou de Al_Haram - l'Inviolable - partage la capitale en ville haute et en ville basse. Les rues, non pavées, sont moins étroites que dans les autres villes d'Orient, et les maisons, en pierre, souvent à trois, quatre ou cinq étages, lui donnent un aspect presque européen.
Connue du temps des Romains comme centre du commerce de l'encens, La Mecque figure sous le nom de Makoraba dans la géographie de Ptolémée. [Explicit]

Dans le médaillon, un portrait du roi Hussein (1856-1931, roi du Hidjaz, en 1916) qui venait juste d’abdiquer à la suite de l’invasion de son royaume par les troupes du clan Ibn Séoud (appuyées par des éléments britanniques). Il fut renversé en 1924.
Document extrait d'un article publié par le groupe de presse « L’Illustration européenne » - Octobre 1924.
On a dit : En 1803, les Wahhâbites s'emparent de La Mecque d'où ils sont chassés dix ans plus tard par l'armée de Méhémet-Ali. Dès ce moment la puissance des chérifs ne cesse de diminuer; en 1840, la Porte envoie un gouverneur (vali) qui, jusqu'à la chute de l'empire ottoman, eut à lutter contre leur hostilité ; à la place de leur gouvernement personnel, tyrannique et capricieux, Istanbul s'efforça d'installer une administration régulière. Les chérifs cependant jouissaient encore d'une grande influence sur les Bédouins.
La haine qu'ils nourrissaient contre les Turcs fut d'ailleurs exploitée par les Occidentaux [entendre : le monde biblique de l'Europe de l'Ouest. De même, la secte du Wahhabisme allié du monde biblique anglophone d'époque]. Dès le milieu du XIXe siècle, l'Anglais Richard Burton écrivait déjà : 

« Il n'est pas besoin de la clairvoyance d'un prophète pour prévoir le jour où la nécessité politique nous obligera à
nous emparer de la source de l'Islam. »

L'activité déployée dans la région au début du XXe siècle par les agents de la Grande-Bretagne (T. E. Lawrence, notamment) s'inscrivait encore dans cette perspective. L'indépendance du Hidjâz en 1916, avec la Mecque pour capitale, puis son absorption (entre 1924 et 1932) par l'État féodal, d'inspiration wahhabite, fondé par Ibn Saoud en Arabie, et enfin les traités conclus à partir de 1927 par les Occidentaux ont sans doute permis à ces derniers de réaliser une partie de leurs ambitions. Le caractère ultra-religieux de l'État a cependant consacré la fermeture de la première ville sainte de l'Islam. A la fin du XIXe siècle, seulement une quinzaine d'Européens avaient visité La Mecque sous le déguisement de pèlerin. L'Italien L. Bartema (1508) , puis l'Espagnol Badia (Ali Bey), le Suisse Burckhardt, le Français Roches, les Anglais Burton, Keane, le Hollandais Snouck-Hurgronje, sont les principaux voyageurs qui l'ont fait connaître en Occident. Le dernier, qui put y passer six mois (1885), en a publié une excellente description topographique, historique et sociale, accompagnée de deux atlas de photographies. Au XXe siècle, des reportages et des documentaires audiovisuels l'ont également fait encore mieux connaître. Mais la Mecque reste aujourd'hui une ville au statut très spécial. Interdite au non-musulmans (dans un périmètre en forme de losange d'une dizaine de kilomètres de long, centré sur la Kaaba), et à l'accès aux musulmans eux-mêmes très surveillé. Il est vrai que ce haut lieu symbolique reste une poudrière : en novembre 1979 (hors de la période du pèlerinage), 200 activistes musulmans occupent la Grande Mosquée et en sont délogés par un massacre; depuis des violences y interviennent régulièrement, comme en 1987, par exemple. (L. Leriche). [Explicit]

Faits rarissimes et à des époques diverses. En 684 la Ka'ba est endommagée par un incendie. En 930 la pierre noire est prise par les Qarmates (secte extrémiste). Elle est restituée en 950. Inondation. En 1626 une inondation fait s'écrouler trois des quatre murs de la Ka'bah. Elle a été reconstruite en 1627. 1941. Inondation. Dure épreuve pour les pèlerins de cette époque. Verset ici (Coran XVII 1), non approprié. 

La "Pierre noire". Cette pierre descendue du Paradis avec notre aïeul, père et prophète Adam (sur lui la Paix !). La Pierre Noire est scellée dans le mur oriental et entourée d'un cercle d'argent. Cette "pierre", et contrairement à ses détracteurs, n'est pas une météorite et au quelle on ne voue aucun culte particulier. Le monde islamique traditionnel adore le Seigneur de la Ka'bah et non la Ka'bah elle-même. Il adore le Seigneur de la "Pierre noire" et non la "Pierre noire". N'en déplaise aux détracteurs de la Religion divine et universelle : l'Islam ! Combien le Seigneur de l'Univers et des Lieux Saints est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !

1. La Pierre noire a été descendue par Allâh le Très Haut depuis le Paradis et elle était plus blanche que le lait, mais ce sont les péchés des humains qui l’ont noircie. D’après le fils d’Abbâs (l’Agrément d’Allâh sur eux !), le Messager d’Allâh (Prière et Salut d’Allâh sur lui !) a dit :
« La Pierre noire est descendue du Paradis plus blanche que le lait, puis les pêchés des humains l’ont noircie. » (Rapporté par At-Tirmidhî, 877 et Ahmad, 2792 et An-Nasâï, 2935).
2. La Pierre noire intercédera le Jour des Comptes. D’après le fils d'’Abbâs (l’Agrément d’Allâh sur eux !), le Messager d’Allâh (Prière et Salut d’Allâh sur lui !) a dit à propos de la Pierre : « Au nom d’Allâh, Allâh la ressuscitera le jour de la Résurrection dotée de deux yeux avec lesquels elle verra, et d’une langue par laquelle elle témoignera en faveur de ceux qui l’auront touchée justement. » (Rapporté pat At-Tirmidhî, 961 et Ibn Mâdjah, 2944).
3. D’après Djâbir Ibn ’Abd-llâh -l’Agrément d’Allâh sur eux-, quand le Messager d’Allâh (Prière et Salut d’Allâh sur lui !) arriva à La Mecque, il se présenta à la Pierre et la toucha. Puis il passa à sa droite, pressa le pas pendant trois tours, puis marcha ordinairement quatre fois. (Rapporté par Muslim, 1218).
4. Il est rapporté que ’Omar (l’Agrément d’Allâh sur lui !) se présenta à la Pierre et l’embrassa en disant : « Je sais que tu es une pierre et que tu ne peux ni apporter profit ni porter préjudice. Si je n’avais pas vu le Prophète (Prière et Salut d’Allâh sur lui !) t’embrasser, je ne l’aurais pas fait. » (Rapporté par Al-Bukhârî, 1520 et Muslim, 1720).
5. D’après le fils de ’Abbâs (l’Agrément d’Allâh sur lui !) : « Durant le Pèlerinage d’Adieu, l’Envoyé d’Allâh (Prière et Salut d’Allâh sur lui !) fit les tournées rituelles sur son chameau et toucha la Pierre noire à l’aide d’un bâton présentant une extrémité recourbée. » (Muslim, 2233).
   Conclusion : La 'Pierre noire', contrairement à l'idée reçue et propagée par les adversaires et opposants de la Religion divine, n'a rien à voir, de près ou de loin, avec une prétendue météorite (!) venant de l'espace et adorée par le monde de l'Islam traditionnel ensuite !? En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !

Billet d'Iran (chiisme)

Oeuvre de sectes. Chose absolument à ne pas imiter. Les Lieux saints de l'Islam étant sacrés, il faut se garder de les profaner. Ne sont-ils pas autre chose que cela... ? Qu'un billet qu'on met en poche... ?  


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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Cette page a été mise à jour le
08/11/08.

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