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Etudes | L'endroit béni : Paran - Bakka - Makkah |
Selon les Ecritures. |
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Au nom de DIEU, Allaha !
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !
Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !
La localisation de Paran - Pharan - Fârân - Partie III |
Point de divinité
[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].L’enfant chassé. Son lieu de prédilection : l’Égypte (soit l’Afrique) ou l’Arabie ?
Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux
Décryptage :
a. Par le figuier et par l’olivier ! Deux arbres bénis, ou le fruit de ces arbres, selon Moujâhid. Allusion à la prophétie du
Messie fils de Marie, Ichoua' (Jésus) (sur lui la Paix !) au Mont des Oliviers.
b. Et par le Mont Sinaï ! Lieu béni où Dieu parla à Moïse.
c. Et par cette Cité sûre !
Makkah (La Mecque), territoire sacré où il est interdit de combattre. Allusion à la prophétie de Muhammad, qui y reçut les premières paroles révélées du Coran.
Nous avons vu qu’à Makkah (La Mecque) se trouve le Mont Parân. Et il est évoqué, selon les exégètes, dans la Bible. Au lieu même où Hâjar aperçut un puits et sauva ainsi son enfant Ismaël, qui allait mourir de soif. Qu’on en juge :
כ וַיְהִי אֱלֹהִים אֶת-הַנַּעַר, וַיִּגְדָּל; וַיֵּשֶׁב, בַּמִּדְבָּר, וַיְהִי, רֹבֶה קַשָּׁת.
20 Dieu fut avec cet enfant et il grandit; il demeura dans le désert, et devint tireur à l’arc
[5] . 21 II habita le désert de Pharan et sa mère lui choisit une femme du pays d'Egypte[6]. (Genèse, 21, 20-21. - sefarim.fr)Et le texte biblique de mentionner encore un autre désert, d’un autre nom, au même endroit. Qu’on en juge :
יד וַיַּשְׁכֵּם אַבְרָהָם בַּבֹּקֶר וַיִּקַּח-לֶחֶם וְחֵמַת מַיִם וַיִּתֵּן אֶל-הָגָר שָׂם עַל-שִׁכְמָהּ, וְאֶת-הַיֶּלֶד--וַיְשַׁלְּחֶהָ; וַתֵּלֶךְ וַתֵּתַע, בְּמִדְבַּר בְּאֵר שָׁבַע.
14 Abraham se leva de bon matin
[7], prit[8] du pain et une outre pleine d'eau[9], les remit à Agar en les lui posant sur l'épaule[10], ainsi que l'enfant et la renvoya. Elle s'en alla et s'égara[11] dans le désert de Beer Shava[12]. (Bible. Gen. 21 14).C’est-à-dire dans un désert là où se trouve plus précisément un puits. Aussi, Bersabée est-elle (était-elle à l’époque) une ville
[13], un hameau, un lieu désertique ou une bourgade de Palestine comme le laisse entendre les gens de la Bible ? Ou est-ce un autre endroit ? O existe-t-il deux endroits du même nom ?Conclusion.
Il existe dans le texte biblique deux endroits qui portent le même nom. L’un en Arabie, l’autre au Cham, en Palestine. Et chacun à sa propre histoire. Et la suite du texte biblique confirme qu’Hagar se trouve bien à Makkah, en Arabie, et non en Palestine comme le voudrait le monde biblique. Qu’on en juge :
טו וַיִּכְלוּ הַמַּיִם, מִן-הַחֵמֶת; וַתַּשְׁלֵךְ אֶת-הַיֶּלֶד, תַּחַת אַחַד הַשִּׂיחִם.
Traduction :
15 Quand l'eau de l'outre fut épuisée
[15], elle abandonna[16] l'enfant au pied d'un arbre. 16 Elle alla s'asseoir du côté opposé[17], à la distance d'un trait d'arc[18], en se disant: "Je ne veux pas voir mourir cet enfant"; et ainsi assise du côté opposé[19], elle éleva la voix et pleura. 17 Dieu entendit[20] le gémissement de l'enfant[21]. Un messager du Seigneur appela Agar du haut des cieux et lui dit "Qu'as-tu, Agar ? Sois sans crainte, car Dieu a entendu la voix de l'enfant[22] s'élever de l'endroit où il gît[23]. 18 Relève-toi ! reprends cet enfant et soutiens-le de la main, car je ferai de lui une grande nation[24]." 19 Le Seigneur lui dessilla les yeux[25] et elle aperçu une source ; elle y alla, emplit l’outre d’eau et donna à boire à l’enfant. 20 Dieu fut avec cet enfant et il grandit; il demeura dans le désert, et devint tireur à l’arc[26]. 21 II habita le désert de Pharan[27] et sa mère lui choisit une femme du pays d'Egypte. (Genèse, 21, 15-21. - sefarim.fr).La prophètie : Et il sera Mohammad
[28] :יח קוּמִי שְׂאִי אֶת-הַנַּעַר, וְהַחֲזִיקִי אֶת-יָדֵךְ בּוֹ: כִּי-לְגוֹי גָּדוֹל, אֲשִׂימֶנּוּ.
18
Relève-toi! reprends cet enfant et soutiens-le de la main, car je ferai de lui une grande nation[29]."Variante :
"(يا هاجر قومى سى هاعر و هاجر يقى اث نادح يولى لفى دل اتمى مايو)"
و تفسيره قومى احملى هذا الطفل و احتفظى به فان منه محهدا و ذريته كنجوم السماء.
"O Hagar, lève-toi et porte cet enfant.
Cette version (ou cette forme de traduction) n’apparaît pas chez les gens de la Bible, pourquoi ?
L’arrivée d’Hagar et Ismaël à Makkah. Autre version :
Le fils d'Abbâs rapporte qu'Abraham - sur lui la Prière et Paix
! - vint avec la mère d'Ismâ’îl[30] et son fils[31], qu'elle allaitait encore et qu'il la laissa auprès de la Ka'bah sous un grand arbre[32] s'élevant au-dessus de Zamzam dans la partie la plus haute de la mosquée. En ce temps-là, il n'y avait personne à Makkah (La Mecque) et il n'y coulait point d'eau. Abraham les laissa sous l’arbre et déposa auprès d'eux une besace contenant des dattes et une outre remplie d'eau ; puis il prit le chemin du retour et partit[33]. Mais la mère d'Ismâ’îl le suivit et lui demanda : "Abraham où vas-tu ? Nous abandonnes-tu dans cet endroit désert où rien ne nous est familier ? » Elle lui posa plusieurs fois la question. Mais il ne se retournait pas[34]. Alors elle lui demanda: "Est-ce Dieu qui te l'a ordonné ? - Oui, répondit-il. - Il ne nous abandonnera donc pas[35]", conclut Hâjar[36]. Puis elle revint auprès d'Ismâ’îl.Abraham partit donc ; quand il parvint à la colline qui le dissimulait à leurs regards, il tourna son visage en direction de la Ka'bah et prononça cette invocation en levant les mains (au ciel) : « Mon Dieu ! J'ai établi une partie de ma postérité
[37] dans une vallée stérile auprès de Ta Demeure sacrée, Seigneur, afin qu’ils accomlissent la prière ! Fasse que le cœur de certains hommes ait pour eux l'affèction et gratifie-les de fruits, peut-être seront-ils reconnaissants. » (Coran XIV 37) La mère d'Ismâ’îl se mit à allaiter son enfant ; elle but l'eau de la gourde jusqu'à épuisement. Puis elle eut soif et son fils aussi. Elle le regardait se tordre de douleur. Elle s'éloigna pour ne plus avoir à supporter ce spectacle et arriva à Safâ' qui était la plus proche colline. Elle y grimpa et fit face à la vallée pour la scruter. Verrait-elle quelqu'un ? Elle ne vit personne. Elle descendit de Safâ' dans la vallée. Quand elle l'eut atteinte elle releva le pan de son habit et, avançant à grand peine, elle traversa la vallée. Puis elle se rendit à la colline de Marwa qu'elle escalada. A nouveau elle promena le regard. Verrait-elle quelqu’un ? Mais elle ne vit personne. Elle fit le parcours sept fois de suite."
Le fils d'Abbâs (à cet endroit du récit) rapporte ce commentaire du Prophète - sur lui Prière et Paix - : "C'est la raison pour laquelle les hommes refont ce parcours entre les deux collines
"Quand elle fut au sommet de Marwa (pour l'ultime fois) elle entendit une voix. "Tais-toi !" se dit-elle en elle-même, et elle tendit l'oreille. Elle entendit à nouveau la voix. Alors elle appela : "Je t’ai hien entendu, si tu as de l'eau (viens à mon secours !)" Brusquement elle se trouva en présence de l'Ange
[39] à l'endroit même de Zamzam. Il gratta (la terre) de son talon ou de son aile et l'eau finit par jaillir."Puis elle but et donna le sein à son enfant. L'Ange lui dit : "Ne craignez pas d'être perdus, car ici-même s'élèvera une maison consacrée à Dieu. Elle sera construite par cet enfant et son père. Et Dieu n'abandonnera point les Siens." (l'endroit où devait s'élever) le temple formait une proéminence au-dessus du sol
[40], pareille à un monticule, aussi était-il érodé par les torrents qui se déversaient de toute part. Il en fut ainsi jusqu'à ce qu'une caravane (ou des membres) de la tribu de Jourhoum[41] venant par la route de Kadâ' fasse une halte dans la vallée de Makkah (La Mecque). Ils virent un oiseau qui planait et en conclurent : "Cet oiseau a repéré un point d'eau ; or à notre connaissance, il n'y a pas d'eau dans cette vallée." Ils envoyèrent un ou deux éclaireurs qui, ayant découvert le point d'eau, revinrent pour les en informer. Ils s'y rendirent tous alors que la mère d'Ismâ’îl était près de l'eau. Ils lui demandèrent : "Nous permets-tu de nous installer près de toi ? – Certes ! répondit-elle, mais vous n'avez aucun droit sur l’eau. - C'est entendu !" répondirent-ils." Le fils d’Abbâs rajoute à cet endroit ce commentaire du Prophète : "Cela plut à la Mère[42] d’Ismâ’îl car elle aimait la compagnie." ILs s'installèrent donc (en ce lieu) et le firent savoir à leurs familles qui vinrent les y rejoindre. Quand plusieurs familles s'y furent établies et que l'enfant, devenu adulte, eut appris à leur contact la langue arabe, il gagna leur estime et fit leur admiration. Lorsqu'il eut atteint la puberté ils le marièrent à une de leurs femmes. La mère cl'Ismâ’îl mourut. Abraham, après le mariage de son fils, vint s'enquérir de son héritier. Il ne trouva point Ismâ’îl et demanda de ses nouvelles à son épouse. Elle lui répondit : "Il est allé quérir notre subsistance" - et dans une autre version: "Il est allé chasser pour nous."
Puis il l'interrogea sur leur mode de vie et leur situation et elle lui répondit en se plaignant : "Notre situation est déplorable et nous vivons dans la gêne et dans la difficulté."
Abraham lui dit alors : "Quand ton époux rentrera, transmets-lui mon salut et dis-lui de changer le linteau de sa porte."
Quand Ismâ’îl revint, on eut dit qu'il avait pressenti quelque chose; il demanda: "Quelqu'un est-il venu vous rendre visite ?" Son épouse lui répondit : "Oui, un vieillard (dont elle lui fit la description) est venu nous voir et nous a demandé de tes nouvelles ; je lui en ai donné : puis il m'a demandé comment nous vivions et je lui ai répondu que nous vivions dans la gêne et dans la difficulté."
Abraham demeura absent le temps que Dieu voulut, puis il revint les voir. Ne trouvant point son fils, il entra chez son épouse et demanda de ses nouvelles. Elle répondit : "Nous sommes dans l'aisance et notre situation est bonne," puis elle rendit grâce à Dieu. Il lui demanda : "Quelle est votre nourriture ? - La viande" répondit-elle, "Et votre boisson ? - L'eau. Mon Dieu bénis-leur l'eau et la viande."
Abraham demeura absent aussi longtemps que Dieu le voulut puis il revint. Ismâ’îl était en train d'aiguiser des flèches sous un grand arbre près de Zamzam, Quand il le vit, il se porta à sa rencontre et ils s'étreignirent comme seuls un père et son fils peuvent le faire, puis Abraham, dit à son fils : "O Ismâ’îl ! Dieu m'a ordonné quelque chose, - Fais donc ce qui t'a été ordonné", lui répondit Ismâ’îl. "M'aideras-tu ? - Certes", répondit Ismâ’î1. "Dieu m’a ordonné
[43] de batir un lieu de culte ici-même," reprit Abraham en indiquant un tertre[44] qui dominait les alentours, Ils établirent alors les fondations du Temple: tandis qu'Ismâ’îl transportait les pierres, Abraham édifiait le sanctuaire et cela jusqu'à ce qu'ils fussent parvenus à une certaine hauteur, après quoi Ismâ’îl apporta à son père cette pierre[45] sur laquelle il monta et grâce à laquelle Abraham put poursuivre la construction avec les pierres que lui faisait passer Ismâ’îl, et tous deux répétaient cette invocation : “Seigneur accepte notre (œuvre) car Tu es l’Omniscient, le Très-Savant.” (Bokhari : 3184-3185).Contradictions. Corruption de textes bibliques.
Selon le texte biblique, un ange est censé s’adresser à Hagar au moins cinq fois[46] :
ז וַיִּמְצָאָהּ מַלְאַךְ יְהוָה, עַל-עֵין הַמַּיִם--בַּמִּדְבָּר: עַל-הָעַיִן, בְּדֶרֶךְ שׁוּר.
Traduction :
7
Un envoyé du Seigneur la trouva près d'une source d'eau, dans le désert, près de la source sur le chemin de Chour[47].13 Et elle proclama ainsi le nom de l'Éternel[49] qui lui avait parlé: "Tu es un Dieu visible[50] ! (Bible. Gen. 16. 13). (sefarim.fr).
Dans un cas comme dans l’autre, ne fait-on pas mentir le Seigneur, l’Ange et Hagar ?
י וַיֹּאמֶר לָהּ מַלְאַךְ יְהוָה, הַרְבָּה אַרְבֶּה אֶת-זַרְעֵךְ, וְלֹא יִסָּפֵר, מֵרֹב.
Traduction :
10 L'envoyé du Seigneur ajouta: "Je rendrai ta race très nombreuse, tellement qu'elle ne pourra être comptée." (Bible. Gen. 16. 10).
Les gens de la Synagogue nous parlent de « race
[51] », les gens de l’Evangile de « postérité », d’autres, de « semence ». En arabe, on traduit : (نسْلكِ زرعك).Hagar s'est-elle égarée ?
Ceci c’est la version biblique, version tronquée et falsifiée par les gens de la Bible. Selon nos historiens, commentateurs et exégètes : Accompagné d'Abraham, Hagar et son fils se rendront tous les trois vers le lieu où l'ange Gabriel (Djibraïl) va les conduire : Makkah, en terre d’Arabie. En un lieu désertique, à l’inverse de Cham, Canaan, terre agricole… Leur monture sera borâq (de l'arabe البُراق
al-burāq, "l'éclair"). La monture par excellence des prophètes[53].
[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Selon Rachi : Tireur d’arc. Tirant des flèches de son arc.
Arc C’est le nom de l’activité, d’où la présence du daguéch dans le chin (deuxième lettre du radical), comme dans ‘hammar (« ânier »), gammal (« chamelier »), tsayyad (« chasseur »). Il demeurait dans le désert et dépouillait les passants, ainsi qu’il est écrit : « sa main sera contre tous » (supra 16, 12).
[6] Comprendre : d’en face l’Egypte.
[7] Dès le matin. Il paraît que c'était de nuit que Dieu avait parlé à Abraham. L'obéissance est immédiate. (levangile.com).
[8] Le mot l'enfant dépend du verbe prit, et non de mit, comme plusieurs le prétendent. (levangile.com).
[9] Selon Rachi : Du pain et une cruche d’eau. Et pas d’argent ni d’or, par aversion pour la mauvaise direction qu’il avait prise.
Propos inadmissible ! Inconcevable de la part d’un tel commentateur !
Selon Jacob ben Isaac : ABRAHAM SE LEVA DE BON MATIN, PRIT DU PAIN ET UNE OUTRE D'EAU (Gen. 21:14). Le matin de bonne heure, Abraham prit du pain et une outre d'eau; il les donna à la servante. Sur une épaule, il posa l'outre et sur l'autre, l'enfant qui se sentait faible. Sarah lui avait jeté un mauvais sort si bien qu'il ne pouvait pas marcher. Toldot Itzhak écrit : Ismaël, d'un naturel brutal, ne voulait pas quitter la maison d'Abraham; il refusait d'obéir à son père; Abraham dut l'attacher sur les épaules d'Hagar. Il est écrit : « Il la congédia », ce qui signifie qu'Abraham renvoya seulement Hagar. On peut alors se poser la question : on devrait lire « Il les congédia », à savoir il les renvoya tous les deux, l'enfant et la servante. L'explication est : Ismaël était attaché sur Hagar. Quand elle fut chassée, l'enfant le fut également. Le Behaye écrit : Abraham ne donna que de l'eau et du pain. En effet, il devina, grâce à son don prophétique, qu'Ismaël deviendrait un ennemi d'Israël. (Op. cit.).
Ces propos font froid dans le dos ! Comment le Behaye peut-il écrire de telles paroles concernant un prophète comme Avraham (sur lui la Paix !). De plus, si Isaac (sur lui la Paix !) fut un prophète envoyé à son peuple, il en sera de même d’Ismaël (sur lui la Paix !). Et comment peut-on attribuer à une Matriarche comme Sarah d’agir ainsi ? Celui-là même que les gens de la Synagogue et de la Torah ont pris en haine et dérision. En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[10] Selon Rachi : Ainsi que l’enfant. L’enfant aussi, il l’a placé sur l’épaule de Hagar, parce que Sara lui avait jeté le mauvais œil, de sorte qu’il avait attrapé une fièvre et ne pouvait plus marcher (Beréchith raba 53, 13).
Toldot Itzhaq écrit : Ismaël, d'un ton naturel brutal, ne voulait pas quitter la maison d'Abraham ; il refusait d'obéir à son père ; Abraham dut l'attacher sur les épaules d'Hagar. Il est écrit : "Il la congédia", ce qui signifie qu'Abraham renvoya seulement Hagar. On peut alors se poser la question : on devrait lire "Il les congédia", à savoir il les renvoya tous les deux, l'enfant et la servante. L'explication est : Ismaël était attaché sur Hager. Quand elle fut chassée, l'enfanr le fut également. Le Behaye écrit : Abraham ne donna que de l'eau et du pain. En effet, il devina, grâce à son don prophétique, qu'Ismaël deviendrait un ennemi d'Israël.
Dans ce cas que penser du dernier repas (qu'on fait prendre) au Messie avec ses 12 compagnons ? N'y retrouve-t-on pas aussi de l'eau et du pain ? Et le Messie n'est-il pas devenu, au passage, l'ennemi juré des gens de la Synagogue et de la Torah ? Ismaël ennemi de quoi et de qui ? Lui, un prophète du NOM (Hachem), comment pourrait-être le mal, l'esprit du mal décrit par les gens de la Synagogue et de la Torah ? De même le sceau des Prophètes d'Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !). En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !
[11] Selon Rachi : Elle s’en alla, elle erra. Elle est retournée aux idoles de la maison de son père (Pirqé deRabi Eli‘èzèr 30).
Propos insoutenables ! Jamais Hagar retourna pour y adorer des idoles !? Mensonge rabbinique…
[12] Beer-Sheva ou Be'er Sheva (en hébreu : בְּאֶר שֶׁבַע - puits du serment ou puits des sept; arabe: بِئْرْ اَلْسَبْعْ Bir as-Saba’ ; Bersabée est une ville de Palestine.
Dans le désert de Béerséba, qui s'étend au sud de la localité ainsi désignée. Sur la position de Béerséba, voir au verset 31. L'auteur emploie ici ce nom par anticipation. Voir le même procédé 12.6, 8 ; 13.18, etc.
Béerséba = Makkah, non le lieu en Palestine.
"C'est ensuite de ce serment solennel que le puits en question a reçu le nom de Béerséba, puits des sept et en même temps puits du serment. Car, en hébreu, les mots que nous traduisons par serment et prêter serment dérivent du mot sept, comme si nous disions pour jurer : septenner. Sept est en effet le nombre sacré par excellence, et lorsqu'on prêtait un serment particulièrement solennel, on l'attestait par un acte symbolique où ce nombre jouait un rôle.
Béerséba, la localité la plus méridionale du pays de Juda, se trouvait sur la route des caravanes d'Egypte, à douze heures d'Hébron. On voit encore en cet endroit deux puits profonds qui fournissent une eau excellente et abondante et s'appellent Bir-es-Séba. Ils sont entourés des ruines d'une ville qui a existé jusqu'au moyen-âge et qui était le siège d'un évêché chrétien. " (levangile.com).
[13] Selon les gens de la Torah, le patriarche Abraham l’atteignit il y a 3700 ans. Il y creusa un puits pour donner à boire à son troupeau, y conclut une alliance et jura fidélité à Abimelech, le roi de Gherar mentionné dans la Bible. De là son nom (en hébreu shva signifie « serment ») comme l’indique Genèse XXI, 31.
Pour sceller la propriété de ce puits, Abraham planta à proximité immédiate un tamaris. Les descendants d’Abraham, Isaac et Jacob, firent étape à ce point d’eau qui devint le berceau du monothéisme. Le tell qui s’élève à cinq kilomètres à l’Est de la ville est généralement identifié à la Beershéva biblique.
[14] Hébreu et arabe : bir = puits. Sheva, le sîn en arabe devient chîn en hébreu. B = t. le mot hébreu et arabe ont donc le même sens. Ainsi l’hébreu dira : Tel Aviv, l’arabe : Tel Abib. Tel = monticule.
[15] Selon Jacob ben Isaac : L'EAU VINT À MANQUER DANS L'OUTRE (Gen. 21:15). Ismaël tomba malade or un malade boit beaucoup. Hagar abandonna son enfant sous un arbre et elle s'assit face à lui, à une distance d'un trait d'arc. Elle dit : « Puissé-je ne pas endurer le malheur de voir cet enfant mourir. » Elle fondit en larmes. (Op. cit.).
[16] Elle jeta. Il ne résulte point de ce mot qu'elle le portât, comme on l'a pensé pour en conclure que l'auteur de ce fragment regardait Ismaël comme étant encore un tout jeune enfant. Le mot jeter signifie qu'Hagar, après avoir soutenu Ismaël mourant de soif, l'abandonne et le laisse s'affaisser sous un arbrisseau du désert.
Hagar ne peut se résoudre ni à le voir rendre le dernier soupir, ni à le perdre entièrement de vue. (levangile.com).
[17] Rachi : Du côté vis-à-vis. A distance.
[18] Rachi : D’une portée d’arc Le mot kimta‘hawé (« d’une portée ») étant au pluriel signifie : « de deux portées ». Il exprime, dans le vocabulaire de la michna, l’idée de « lancement » d’une flèche : « Il a “lancé” sur sa femme » (Sanhèdrin 46a), la semence étant « lancée » comme une flèche. Et si tu objectes qu’il aurait dû être écrit kimta‘hé (au lieu de kimta‘hawé), je répondrai que l’on insère souvent un waw à l’intérieur d’un mot, comme dans : « dans les fentes (be‘hagwé) du rocher » (Chir hachirim 2, 14), le mot ’hagwé venant de la racine ‘haga, comme dans : « et la terre de Yehouda deviendra une brisure (le‘haga) pour l’Egypte » (Yecha’ya 19, 17), ou dans : « ils chancellent (ya‘hoggou) et titubent comme un homme ivre » (Tehilim 107, 27), ou encore : « les limites (qatswé au lieu de qetsé) de la terre » (Tehilim 65, 6).
[19] Rachi : Elle s’assit vis-à-vis [Alors qu’il vient d’être dit qu’elle est allée s’asseoir.] : Comme il était sur le point de mourir, elle s’éloigna davantage.
[20] Dieu entendit. Nouvelle allusion au nom d'Ismaël (Dieu entend). Comparez 17. 20. (levangile.com).
Apparemment, et suivant la façon de s’exprimer du monde biblique, le Dieu d’Ismaël était jusqu’alors insensible au désespoir d’une mère et d’un enfant ! Puis… !
[21] Selon Jacob ben Isaac : ÉLOHIM ENTENDIT LE GÉMISSEMENT DE L'ENFANT (Gen. 21: 17). Le Saint, béni soit-Il, perçut la voix et la prière de l'enfant. Nos sages en déduisent : La prière d'un malade est exaucée plus rapidement que celle d'une personne qui prie pour ce même malade. (Op. cit.).
A en lire, le divin Créateur ne serait au courant des évènements à venir que bien en retard ! Comme s’Il ne connaissait pas ce qui va se passer !? Et son aboutissement !?
[22] Rachi : La voix de l’enfant. De là nous apprenons que la prière du malade lui-même vaut davantage que celle que les autres récitent pour lui, car elle est exaucée en premier (Beréchith raba 53, 14).
[23] Rachi : Là où il est [C’est-à-dire : « tel qu’il est ».] Il est jugé d’après les actes qu’il accomplit maintenant, et non d’après ceux qu’il exécutera plus tard (Roch haChana 16b). Les anges de service portaient accusation contre Yichma’él en disant : « Maître de l’univers ! Comment peux-tu faire apparaître un puits au profit de celui dont les descendants feront un jour mourir tes enfants de soif ? » Dieu leur a répondu : « Qu’est-il en ce moment ? Innocent ou coupable ? » « Il est innocent ! ont-ils convenu ». Et Dieu leur a fait observer : « C’est d’après ses actes présents que je le juge ». C’est ce que veut dire : « là où il est ». Mais où Yichma’él a-t-il fait mourir Israël de soif ? Quand Nevoukhadretsar (Nabuchodonosor) les a exilés, ainsi qu’il est écrit : « Oracle contre l’Arabie... portez de l’eau au-devant de ceux qui ont soif... » (Yecha’ya 21 13-14). Lorsqu’on les a exilés chez les Arabes, les Israélites ont dit à ceux qui les convoyaient : « Par pitié ! Amenez-nous chez les fils de notre oncle Yichma’él : ils auront pitié de nous », ainsi qu’il est écrit : « Caravanes de Dodanim [descendants de Yichma’él] ». Ne lis pas dodanim, mais dodim (oncles). Ils sont venus à leur rencontre chargés de viandes, de poissons salés et d’outres gonflées d’air. Les Israélites pensaient qu’elles étaient pleines d’eau, mais dès qu’ils les ont portées à leur bouche et les ont ouvertes, l’air a pénétré dans leur corps et ils en sont morts (Midrach tan‘houma Chemoth, Eikha rabathi 2, 5).
Selon Jacob ben Isaac : ÉLOHIM ENTENDIT LE GÉMISSEMENT DE L'ENFANT S'ÉLEVER DE L'ENDROIT Où IL GÎT (Oen. 21:17). L'ange dit à Hagar de ne pas avoir peur ; le Saint, béni soit-Il, avait entendu la plainte de l'enfant. « De l'endroit où il gît. » Ismaël deviendra un impie et infligera des tourments à Israël; les anges dirent : « Maître de l'univers, comment peux-tu avoir pitié alors que, plus tard, il tuera Israël en l'assoiffant ? » Le Nom Béni répliqua: « De l'endroit où il gît », c'est-à-dire: actuellement Ismaël est un jute et J'agis comme pour tout le monde; Je le juge tel qu'il est maintenant et non pas en fonction de ce qu'il fera dans l'avenir (Gen.R. 53.13, PRE 30, Ex.R. 3.2). (Op. cit.).
L’erreur ici, c’est que généralement les commentateurs de la Thora identifient à tort Ketoura, une des femmes d’Abraham ; à Agar, la mère d’Ismaël. Ce qui est faux. Les fils de Ketoura sont :
Zimrân, Yokchân, Medân, Midyân, Yichbak et Chouah. Yokchan engendra Cheba et Dedân ; et les fils de Dedân furent les Achourim, les Letouchim et les Leoummim... (Bible. Thora. Gen. 25 1 et sv.).
Ce qui signifie en clair qu’Agar donnera naissance à un seul enfant : Ismaël, quant à Ketoura, elle aura donnera, elle, naissance à de nombreux enfants. Et tous sont (et seront) des proches des Fils d’Israël. Et contre ces derniers, Sarah ne dira rien, ni le texte biblique ! Pourquoi ?
Selon certains chercheurs, historiens, les enfants de Ketoura auraient habité la Mésopotamie, l’Asie centrale. Et Dieu est plus Savant !
Là où il est (Ismaël et non pas Dieu) : dans cette position désespérée, au milieu du désert, où il ne semblait pas que Dieu pût être présent. Elle semble penser que Dieu n'habite que dans la proximité d'Abraham, où il est adoré. Comparez 28.16. Soit : Et Jacob s'éveilla de son sommeil et dit : Certainement l'Éternel est en ce lieu-ci, et moi je ne le savais pas ! (levangile.com).
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent. Non, il ne sied pas de faire parler ainsi les Prophètes (sur eux la Paix !).
[24] Selon Jacob ben Isaac : CAR JE FERAI DE LUI UNE GRANDE NATION (Gen. 21:18). L'ange dit à Hagar : « Prends ton enfant ; je ferai de lui une grande nation. » Toldot Itzhak pose une question: Pour quelle raison l'ange affirme-t-il avec autant d'insistance à Hagar que son enfant deviendra une grande nation ? Le Saint, béni soit-Il, avait seulement à montrer la fontaine et Hagar aurait donné à boire à son enfant. L'explication est: Hagar avait l'intention de laisser Ismaël mourir. Elle dit : «Puisqu'Abraham, son père, n'a aucune pitié pour son fils, pourquoi devrais-je en avoir ? » ; et de fureur, elle abandonna son fils sous un arbre. Voilà pourquoi il est écrit: « Elle jeta l'enfant» et non pas elle le posa doucement. L'ange pensait donc que la mère allait laisser son fils mourir. On comprend mieux alors qu'il se soit exclamé: « Je ferai de lui une grande nation. » L'ange signifiait par là : « Reprends-le, donne lui à boire, car à l'endroit où tu te trouves il y a une source. » Elle puisa de l'eau et remplit son outre. Le Saint, béni soit-Il, aida le jeune, resta auprès de lui et de sa mère qui se rendit ensuite en Égypte. Hagar donna une femme à son fils (Gen.R. 53.14.). (Le Commentaire sur la Torah. Edit. Verdier).
On voit à quel point les gens de la Synagogue interprètent comme bon leur semble les paroles de leur Livre sacré ! Et le peu d’amitié qu’ils portent envers Hagar et son fils ! De plus, ne font-ils pas mentir l’ange ? En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[25] Ouvrit les yeux. Le calme une fois rétabli dans son cœur, elle aperçut ce que le désespoir l'avait empêchée de voir. (levangile.com).
[26] Qui correspond à la parole prophétique : "Fils d'Ismaël, tirez des flèches, car votre père était tireur à l'arc".
[27] Désert de Paran ; voir 14.6. Par ce mariage, Ismaël devient encore plus étranger à la race sainte et se rapproche de la race de sa mère. (levangile.com).
Nullement. La « race sainte » sortira des reins d’Ismaël. Ils recevront le Livre et la Prophétie. Quant à la descendance de Sarah, elle perdra toutes ses prérogatives divines, et la Colère divine s’enflammera contre elle : les Fils d’Israël et les Judaïsés.
[28] Ce noble nom que les gens de la Bible de l’Hexagone (toranique + évangélique) (de langue française) détesteront le plus au monde, et surnommeront : Mahomet !?
[29] Je ferai de lui une grande nation. Comparez la promesse 16.10-12. C'est tout ce que demandait Hagar pour son fils ; car elle n'avait aucun sens pour la promesse spéciale qui faisait de l'héritier d'Abraham l'instrument du salut du monde. (levangile.com).
[30] Orthographié en arabe. Francisé : Ismaël.
[31] Ismaël.
[32] Mention de l’arbre de haute taille.
[33] Pour la Palestine, entendre : Châm.
[34] Emporté par le chagrin et la tristesse d’un père.
[35] Noter la foi et la certitude ce cette mère.
[36] Ou Agar. Orthographié différemment.
[37] Celle d’Ismaël.
[38] Au cours de la visite (‘oumrah) ou du Pèlerinage (Hadj).
[39] L’ange Gabriel.
[40] Point important à retenir.
[41] Tribu arabe.
[42] Oumm : Mère... Habitude chez les Arabes de parler ainsi. Matriarche de l’Islam.
[43] Ordre divin passé sous silence par les gens de la Bible dont les gens de la Synagogue et de la Torah, en particulier. Ces deniers ne pouvant accepter de passer au second rang.
[44] Colline, élévation, éminence, hauteur, monticule.
[45] La pierre connue sous le nom de station d’Abraham.
[46] Selon Rachi : N’ai-je pas vu, ici. Elle exprime ici sa surprise. Pouvais-je penser que même ici, dans le désert, je verrais les anges de Dieu, « après en avoir vu » dans la maison d’Avram, où j’avais l’habitude de voir des anges ? Et la preuve qu’elle avait l’habitude d’en voir, c’est que Manoa‘h, lorsqu’il en a vu un pour la première fois, s’est exclamé : « nous sommes morts ! » (Choftim 13, 22), tandis que Hagar en a vu à quatre reprises, sans manifester la moindre frayeur (Beréchith raba 45, 7).
[47] Autre variante : Achour : texte arabe
[48] Selon Rachi : D’où viens-tu Il le savait pourtant ! Mais c’était une manière d’engager la conversation avec elle. Quant à l’expression eï mizè (« d’où »), elle signifie : où est l’endroit dont tu puisses dire : « c’est de là que je viens » ?
[49] 13-14 Le nom donné à l'endroit de l'apparition
Hagar reconnaît Dieu lui-même comme l'auteur de cette révélation. Elle s'écrie : Atta-El-Roï : Tu es un Dieu de vision, c'est-à-dire un Dieu qui voit et qu'on voit. Elle explique cette exclamation en disant qu'elle a vu le Dieu qui la voyait.
Cette parole : Ai-je donc vu...? est l'expression de la surprise. Dans ce désert même, l'endroit ou l'on pourrait le moins s'attendre à une révélation divine, Dieu l'a suivie du regard, et elle-même l'a vu. La traduction littérale de la question est : Ai-je donc vu ici même après celui qui me voyait ? Elle l'avait vu et reconnu comme par derrière au moment où il disparaissait.
Sara avait employé pour désigner Dieu le nom de Jéhova (versets 2 et 5); Hagar se sert du mot El, le Puissant ; ce terme, qui désigne le Dieu de la nature, est celui qui convient dans la bouche d'une femme étrangère à l'alliance. (levangile.com).
Pour les gens de la Bible (toranique + évangélique), la Matriarche Hagar est une ‘femme étrangère’ à l’alliance. Pour nous, nullement. Elle fait partie de la Nouvelle Alliance.
La parole : Elle l'avait vu et reconnu comme par derrière au moment où il disparaissait.
لأنها قالت رايته ظهر قدامى [تك ١٦ :١٣ ] مع أن لام التعليل في قوله : "لأنها" لا وجه لها أصلا. الباجى الشافع.
Affirmation fausse. Si Hagar a pu voir quelque chose, c’est uniquement l’Ange de son Seigneur, et non son Seigneur Lui-même. Ne pas confondre !
[50] Selon Rachi : Tu es le Qél de ma vision Le mot roï (« de ma vision ») est ponctué d’un ‘hataf qamats (« petit qamats »), parce que c’est un substantif. C’est le Dieu de la vision, qui voit les blessures faites aux humiliés (Beréchith raba 45, 10).
[51] Bien que le mot a plus le sens de « semence ». - 9 זֶרַע : semence (anastesontai.com). Etonnant est là le choix du traducteur à notre époque. Epoque, comme en terre des Gaules, certaines gens n’aiment que peu employer ce mot qu’ils trouvent péjoratif. Exemple, race blanche, race, noire, etc. L’homme
arabe algérien (pourtant
muslim – soumis), lui, aime ce mot pour l’envoyer au visage de son adversaire,
d’où à tour de bras : n.i.k.e ta race !
Par extension : mère !
Grands et petits, parents et enfants ! Vulgarité interdire en Islam.
Aussi, les Berbères d'Algérie n'aiment-ils pas employer le mot (nakaha -
nikah) lors des cérémonies de mariage. Aussi préfèrent-ils le mot : zawaj,
ziwaj, etc.
[52] Et autres personnes ayant l’autorité…
[53] Récit inconnu pour les gens de la Bible. Borâq, selon eux, animal féerique, légendaire, mythique ! Selon 'Anas fils de Mâlik (qu'Allah soit satisfait de lui !), le Prophète (sur lui Prière et Paix !) a dit: "Al-Burâq" - une monture blanche, plus grande qu'un âne et plus petite qu'une mule, qui se trouvait d'un bond où son regard s'arrêtait - me fut amenée. Je la montai et fus transporté à Jérusalem. Là-bas, je l'attachai à l'anneau destiné à l'usage des prophètes. Je pénétrai dans la Mosquée où je pria deux cycles (rak`a)... (Rapporté par Mouslim).
Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.
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Cette page a été mise à jour le
13/10/10.