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Etudes

L'endroit béni : Paran - Bakka - Makkah

Selon les Ecritures.

 

- Paran (מדבר פרא) - Pharan - Fârân (فا ران) - Ka'bah -

Le Mont Paran en Terre du Sinaï ou en Terre d'Arabie ?


Au nom de DIEU, Allaha !
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !
Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


La localisation de Paran - Pharan - Fârân - Partie II


   Point de divinité [1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4] .

   Paran dans les textes bibliques. Sens.

   Plusieurs sens et interprétations selon les commentateurs bibliques. Exemples.

   ג אֱלוֹהַּ מִתֵּימָן יָבוֹא, וְקָדוֹשׁ מֵהַר-פָּארָן סֶלָה; כִּסָּה שָׁמַיִם הוֹדוֹ, וּתְהִלָּתוֹ מָלְאָה הָאָרֶץ.

   3 L'Eternel s'avance du Têmân ; le Saint, du mont Parân[5], Sélah ! Sa splendeur se répand sur les cieux, et sa gloire remplit la terre. (Bible. Hab. 3:3).

   On a dit :

   Le Désert de Paran (Hébreu מדבר פראן Midbar Parean. Paran, souvent écrit Pharan, signifie "abondant" en feuillage ou en grottes[6]).
  
Dans le même sens : Habacuc 3, 3 Selon la Septante : Dieu viendra de Thaiman et le Saint, de la montagne[7] ombrageuse, épaisse[8].
  
La Septante de Qumrân[9] (Découverte en 1947).
  
On a dit : Et il dit : Le Seigneur est venu du Sina et il nous apparut de Sèïr et il s'est hâté depuis le mont Pharan avec les myriades de Kadês... (Deutéronome 33, 2).
   Kadês semble effectivement être une ville et la TM
[10] (Aquilla et Symaque) traduisent : saint par q-d-sh.

   Autre :

   Le mot Paran (de pa’ar, creuser) désigne un « lieu où abondent les cavernes ». Il s’agit d’une zone montagneuse désertique située au sud du pays de Cana’an, région où les fils d’Israël séjournèrent à plusieurs reprises après leur sortie d’Égypte avec Moïse, et où ils se trouvaient encore peu avant leur entrée en terre de Cana’an (Nombres 13, 3.26). C’est déjà au désert de Paran que s’étaient établis Ismaël et sa mère ’Agar, l’Égyptienne (Gn 21, 21), après avoir été chassés de chez Abraham. C’est au désert de Paran que David se retira, à la mort de Samuel (1 Sam 25, 1), avant de succéder à Saül.
  
En Dt 33, 2, alors qu’il bénit les fils d’Israël, Moïse leur enseigne, dans les premiers mots qu’il leur adresse, que YHWH est venu du Sinaï […] et qu’il a resplendi du mont Paran. Habaquq se réfère donc ici à la plus haute tradition d’Israël. (
hebrascriptur.com)

   Autre :

   Bible. Gen. 14. 6. El-Paran. El signifie grand arbre, et, se dit surtout des chênes et des palmiers, et Paran désigne le désert qui s'étend à l'ouest du pays d'Edom, entre la presqu'île du Sinaï et le pays de Juda. Ce El-Paran est probablement identique avec Elath, port qui a donné son nom au golfe élanitique, celui des deux golfes septentrionaux de la mer Rouge qui est le plus à l'Est (Deutéronome 2.8 ; 2 Rois 14.22). On comprend que Kédorlaomer ait tenu à la possession de ce port, qui lui donnait accès sur la mer Rouge. (levangile.com)

   Autre :

   Paul, le pharisien.
  
 «Maintenant, Hagar est
de Mont-Sinaï en Arabie et correspond à la ville actuelle de Jérusalem, car elle est dans l'esclavage avec ses enfants. (Bible, Galates 4:25)".
  
Paul, l'Iduméen semble voir le Mont Sinaï en Arabie non en Egypte ! Le Sinaï n'est donc pas une terre arabe. Pourquoi cette interprétation ?

   Autre :

   Selon Joseph H. Hertz, son nom actuel est Badiet et-Tih, signifiant “le désert des errances[11]". Le Désert de Paran est situé au nord-est de la Péninsule du Sinaï. La région est caractérisée par de très rares précipitations — moins que 10 pouces par an. Paran est souvent écrite "Pharan"[12].

   Autre :

   PHARAN (1)

   Le géographe de la Bible de Vence distingue deux déserts de Pharan : le premier, au nord du Sinaï; les Israélites y entrèrent en sortant de Sinaï, (Nu X, 12); et là se trouvait la station des Sépulcres de concupiscence, (Nu XI, 34; XXXIII, 16).  Le second, au midi de la terre de Chanaan, où se trouvait Cadès-Barné[13], (Nu XIII, 1, 27). N. Sanson le confond avec celui dont ou vient de parler : cependant le texte sacré paraît le distinguer, puisqu'il dit que les Israélites vinrent de Sinaï, au désert de Pharan ; du désert de Pharan, à Haseroth; et de Haseroth, au désert de Pharan, où était Cadès, (Nu X, 12; XI, 34; XIII, 1, 27). Le désert de Pharan, au midi de la terre de Chanaan, paraît être celui dont il est parlé dans la Genèse, (Ge XIV, 6)
  
Le même auteur admet un troisième Pharan, « lieu qui paraît être situé dans le désert au delà du Jourdain, vers l'endroit où Moïse prononça son dernier discours. (De 1, 1). »

PHARAN (2)

Ville de l'Arabie Pétrée, située à trois journées de la ville d'Ela ou Ailat, vers l'orient. C'est cette ville qui donnait le nom au désert de Pharan. (456-bible.123-bible.com)

Autre :

   Et Mosé envoya du désert de Pharan douze hommes pour considérer la terre de Canaan... et ces hommes monterent du côté du midi, et vinrent à Hébron, qui a été bâti sept ans avant Tanis ville d’égypte (6).
   (6) on ne peut gueres excuser la méprise des copistes, qui sans doute ont pris ici le nord pour le midi. On va droit au nord du désert de Sin à celui de Pharan, de Pharan à Cadès-Barné à Azeroth, de ces déserts à celui de Bersabé au pays de Canaan. (fr.wikisource.org)

Autre :

   Voici les paroles que Mosé parla à tout Israël au-delà du Jourdain dans le désert près de la mer Rouge, entre Pharan et Thophel, et entre Laban et Azeroth où il y a beaucoup d’or. En la quarantieme année, le onze mois, le premier jour du mois, Mosé dit aux fils d’Israël tout ce que le seigneur lui avait ordonné de leur dire.

   Et Mosé commença à expliquer la loi et à dire... le seigneur notre dieu nous parla en Oreb, disant : il vous suffit d’avoir demeuré sur cette montagne ; retournez à la montagne des amorrhéens, et à tous les lieux voisins dans les campagnes (1) et les montagnes vers le midi, et le long des côtes de la mer, terre des cananéens et du Liban, jusqu’au grand fleuve de l’Euphrate (2)...

   (1) le savant La Croze s’explique ainsi sur ce commencement du deutéronome dans son manuscrit qui est à Berlin. "autant de paroles, autant de faussetés puériles, et autant de preuves sautant aux yeux, qu’il est impossible que Moyse ait pu composer aucun des livres que l’ignorance lui attribue." il est faux que Moyse ait parlé au-delà du Jourdain, puisqu’il ne le passa jamais ; et qu’il mourut sur le mont Nébo, loin, et à l’orient du Jourdain, à ce que dit l’écriture elle-même. " il est faux et impossible qu’il pût être alors dans l’autre désert de pharan, puisque l’auteur vient de dire qu’il gagna une bataille dans ce temps-là même dans le désert de Moab, à plus de cinquante lieues de Pharan. " il est faux et impossible qu’il ait été dans ce désert de Pharan proche de la mer Rouge, puisqu’il y a encore plus de cinquante lieues de la mer Rouge à ce Pharan. " il est faux qu’il y ait beaucoup d’or à Azaroth près de ce Pharan. Ce misérable pays, loin de porter de l’or, n’a jamais porté que des cailloux. " Don Calmet répete en vain les explications de quelques commentateurs, assez impudents pour dire qu’au delà du Jourdain signifiait au-deça du Jourdain. Il vaut autant dire que dessus signifie dessous, que dedans signifie dehors, et que les pieds signifient la tête. " l’auteur, quel qu’il soit, fait parler Moyse sur le bord de la mer Rouge dans la quarantième année et onze mois après la sortie d’Egypte, pour donner plus de poids à son récit par le soin de marquer les dates ; mais ce soin-même le trahit, et constate tous ses mensonges. Moyse sortit d’Egypte à l’âge de quatre-vingts ans ; et l’Ecriture dit qu’il mourut à cent vingt. Il était donc déjà mort lorsque le deutéronome le fait parler ; et il le fait parler dans un endroit où il n’était pas, et où il ne pouvait être. " ces critiques hardies, imputées au savant La Croze, peuvent n’être point de lui. On n’y reconnaît point son caractere ; il a toujours parlé avec respect de la sainte écriture.

   (2) nous avouons au célebre La Croze, ou à celui qui a pris son nom, qu’il y a de grandes difficultés dans ce commencement du deutéronome ; Calmet en convient. nos meilleurs critiques, dit-il, reconnaissent qu’il y a dans ces livres des additions qu’on y a mises pour expliquer quelques endroits obscurs, ou pour suppléer ce qu’on croit y manquer pour une parfaite intelligence . Ce discours du commentateur Calmet ne rend pas l’intelligence plus parfaite. Si on a, selon lui, ajouté aux livres saints, le st esprit n’a donc pas tout dicté ; et si tout n’est pas du st esprit, comment distinguera-t-on son ouvrage de celui des hommes ? Peut-on supposer que Dieu ait dicté un livre pour l’instruction du genre humain, et que ce livre ait besoin d’additions et de corrections ? On ne peut se tirer de ce labyrinthe qu’en recourant à l’église, qui peut seule dissiper tous nos doutes par ses décisions infaillibles.

   Autre :

  Dès le IIe siècle en tout cas, est attesté le monastère de l'oasis de Wadi Feiran (Pharan, Firan, Faran), la Rephidim de la Bible, où Josué, soutenu par Moïse et Aaron, battit les Amalécites (Amalékites). (encyclopedie-universelle.com)

   Autre :

B- Principaux déserts bibliques

I - Déserts du Sud : nous y distinguons deux groupes :

1 - Dans le premier groupe nous avons la presqu’île sinaïtique et les limites méridionales de la Palestine. S’y trouve les déserts suivants : Etham (hébreu midbâr-Etâm), Sur (hébreu: midbâr-Sûr), Sin (hébreu: midbâr-Sîn), Sinaï (hébreu: midbâr-Sinâî), Pharan (hébreu: midbâr-Pâ’rân), Cadès (hébreu: midbâr-Qâdês), Sin (hébreu: midbâr-Sîn), Bersabée (hébreu: midbâr- Be’êr Sâba).

2 - Dans le second groupe nous trouvons : les déserts de Juda (hébreu: midbâr-Yehûdâh), Maon (hébreu: midbâr-Mâ’ôn), Ziph (hébreu: midbâr-Zîf), Engaddi (hébreu: midbâr-‘En Gédi), Thécué (hébreu: midbâr-teqô’a),  Jéruel (hébreu: midbâr-Yâr-Yerû’êl), Jéricho (hébreu: ‘arbôt Yerêhô), Béthaven (hébreu: midbâr- Bêt’Avén), Gabaon (hébreu: midbar-Gib’ôn).

II - Déserts de l’Est : ils sont mentionnés incidemment et plusieurs sont inconnus. Nous en connaissons: le désert d’Idumée (hébreu: midbâr-Edôm), le désert de Moab (hébreu: midbâr-Mô’âb), le désert d’Arabie  qui n’est pas expressément nommé dans le texte sacré (hébreu: hâ-éréb), Cadémoth (hébreu: midbâr-Qedêmôt), Déblatha (hébreu: midbâr-Diblâthâh), Bosor (hébreu: midbâr-Bosôr).

III - Autres déserts : le seul désert mentionné hors des frontières palestiniennes est le désert de la haute Egypte ou Thébaïde. D’autres sont simplement indiqués sans être cités par leurs noms comme Calirrhoé par exemple. (antoinefleyfel.com)

   Autre :

Voici les paroles que Moïse adressa à tout Israël, de l'autre côté du Jourdain, dans le désert, dans la plaine, vis-à-vis de Suph, entre Paran[14], Tophel, Laban, Hatséroth et Di-Zahab. (Deutéronome 1:1 LSG)
Son nom actuel est Badiet et-Tih, signifiant “le désert des errances". Le Désert de Paran est situé au nord-est de la Péninsule du Sinaï. La région est caractérisée par de très rares précipitations — moins que 10 pouces par an. Paran est souvent écrite "Pharan".
Le Désert de Paran contient le plateau Har Karkom. Un total de 218 sites, avec approximativement 1,300 rochers gravé avec des pétroglyphes—âgés de 13,000 à 1,500 ans—fut trouvé dans le désert et les vallées des alentours.
De nos jours cette région est toujours un site de bédouins errant, mais il y a une ville appelée Nekhl, la précédente capitale du Sinaï, construite en 1516 pour protéger les pèlerins traversant la région. (levraimessage.org)
D'où l'interprétation erronée du monde biblique :

Voici ce que donne la situation géographie de Paran (version biblique) :

 Carte Paran 1

Carte Paran 2

  

   Voici maintenant ce que donne la situation géographie de Paran (version islam).


   Sur ces photos on remarque trois montagnes pour trois messages divins différents. Les gens de la Synagogue et de la Torah ne reconnaissent, eux, qu'une seule Montagne dans le Sinaï. Séir, comme leurs frères de l'Evangile, n'existant pas ! Quant à Paran, ce nom a été donné, volontairement ou involontairement, à divers lieux, contrées de la région. Pour mieux brouiller les pistes, dirons-nous. Prenons un exemple simple avec le vocable : Kadesh. En Palestine, nous dit-on, on recense trois Kadesh : Une Kadesh sur l'Oronte, Kadesh-Barnea et Kadesh de Galilée, ce qui à fait dire à plusieurs égyptologues que les trois grandes batailles, dites "de Kadesh", ne ce sont peut-être pas déroulées au même endroit. Ici, on admet cette thèse et cette version avancée par certains chercheurs et historiens. Pour Paran, on est plutôt sceptique, d'un tout autre avis : on refuse absolument la version proposée et avancée par les gens de l'Islam ! Et pour pour contrer leur version et interprétation du Texte biblique ; on avance aussi la Bible, mais seulement comme eux voudraient bien nous l'interpréter, le faire croire ! Mais comment pourrait-on prendre ce Livre comme preuve indiscutable, quant on sait nommément qu'il a été falsifié, soumis à la censure, tronqué ? Exemple : lors de leur sortie d' Egypte les Fils d'Israël sont allés où ? Quel a été leur intinéraire jusqu'en Terre sainte ? Le Texte biblique ayant été soumis à la censure et la falsification, aucun document en leurs mains peut nous donner une indication crédible et surtout exacte de lieux sur une carte de la région : on suppose que... Rien de moins, riens de plus ! De même, certains textes bibliques ajoutés à la Bible, que bon nombre de gens de la Bible chérissent, vénèrent ; ne sont rien d'autre que des livres d'histoires (appelés d'ailleurs livres historiques : Josué, Juges  Ruth, 1 Samuel2 Samuel, 1 Rois, 2 Rois, 1 Chroniques, 2 Chroniques, Esdras, Néhémie, Esther) écrits par des mains d'hommes, du monde de la Synagogue et de la Torah. Ce ne sont, en aucun cas, des livres révélés par le NOM (Hachem). Donc soumis à caution. Autre cas, on cherche à retrouver l'Histoire sainte des Fils d'Israël, de notre temps en Terre sainte, à travers les autres peuples de la région : le résultat est plutôt maigre voir catastrophique = rien ! Le mot Israël semble apparaître nulle part, de même et surtout les mots comme Yehud, Yehudim. L'archéologie reste muette... Logique, par deux fois le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, effacera toute trace et tout souvenir d'eux (Coran XVII 2-8), tant Sa colère sera immense contre / envers eux. Secundo : les gens de la Bible se disent un peuple de croyants, pourtant ils ne se gênent pas d'attaquer leurs prophètes ! De les dénigrer et surtout de mentir sur eux ! De porter atteinte à la Dignité du Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha ! Le plus gros mensonge des gens de la Synagogue et de la Torah envers leurs frères de l'Evangile, en leur histoire sainte ; n'aura-t-il pas été de leur faire croire, dur comme fer, qu'ils avaient vraiment tué le fils de Marie (soit par pendaison ou par crucifixion) (Coran IV 157-159) ? De même que sa mère n'était rien d'autre qu'une sorcière, une fille prostituée, de la rue (Coran IV 156) ? Et enfin, à eux de mécroire surtout aux miracles divins. Les Prophètes (sur eux la Paix !) peuvent se dépacer comme l'homme de la rue. Il peut aussi, et par la permission divine, franchir des espaces... Leur déplacement étonne bon nombre de gens de la Bible. Pourtant, le Seigneur du Cosmos n'invitera-t-il pas Son sceau à venir jusqu'à Son Trône (Coran XVII 1) ? Et avant cela, de l'Arabie jusqu'à Jérusalem ? Et tout ceci (l'aller et le retour) en un laps de temps. Car le temps ne compte pas pour le divin Créateur, ni le lieu, ni l'espace. Tout cela étant une chose créée, par Lui, et pour Sa créature. Très difficile est d'admettre aussi pour un homme de la Bible, qu'Agar et ses enfants aient été pris en considération par le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha ! Pour eux, seul l'enfant de la femme libre : Sarah et de sa descendance doit être pris en considération. Cette famille d'Abraham d'Arabie, les gens de la Bible auraient bien voulus, souhaités qu'elle soit pas, qu'elle disparaisse à tout jamais de l'Histoire des nations. Mais voilà, tel n'a pas été le dessein, le Décret divin. Ceux qu'on voyait disparu à tout jamais refont surface, et surtout font maintenant de l'ombre aux gens de la Bible. D'où leur haine et inimitié farouches envers les Croyants soumis de la Communauté mohammadienne. L'homme biblique doit bien comprendre que la descendance d'Abraham d'Arabie n'a jamais bougé de place. Elle sortira d'Arabie, dans son histoire, que pour diffuser le message coranique aux nations (surtout dans les premiers temps de l'Islam). Et n'ayant pas connu une histoire comme les Fils d'Israël ; le monde d'Arabie est plus à même d'expliquer au monde bon nombre d'évènements passés en terre d'Arabie et au Châm, terre de Canaan, Terre sainte. Après plus de 2000 ans vécu çà et là, les gens de la Synagogue et de la Torah peuvent-ils nous conter leur Histoire sainte comme la Torah originelle, ou nous la conte-t-elle selon la Torah made in rabbinique ? Aussi, les gens de l'Islam, suite à cela, ne peuvent les croire sur parole... N'en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux oppsants et adversaires de la Religion divine : la Soumission !   

    Conclusion.

   Paran est un mot à étudier avec d’autres mots connus comme : Sion, Moriyya, Bakka, Bersabée. Ces noms, pour l’Islam traditionnel, sont tous en Arabie, et sont liés avec l’Histoire d’Abraham et Agar et leur fils Ismaël (sur eux la Paix !). N'en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux opposants et adversaires de la Religion divine : la Soumission !  (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et qu'Il agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2]
En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3]
Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Paran. Arabe, Faran. On a dit : Le livre Sacré nous a habitué aux fautes géographiques et autres. Elles sont nombreuses et très souvent, répétées. Le Dr Sabrî Djawharah a écrit, résumant ainsi l'opinion de l'Eglise : « Dieu pardonne à l'homme qui enregistre le Livre Sacré en y introduisant ses sensations, ses expériences, ses sensibilités et ses penchants tant que cela n'altère pas les idées morales et religieuses que Dieu veut inculquer à ses serviteurs. L'Eglise reconnaît donc, ainsi, le manque de précision du Livre Sacré dans ses informations astronomiques, géographiques, historiques, géologiques et autres. L'objectif du Livre, c'est d'enseigner la religion et la morale et d'aider le croyant à emprunter le chemin des bonnes qualités et du bonheur – Les différences dans les traductions du Livre Sacré par Ahmed Abdelwahâb- pages : 61/62
[6] Paran, avec la préposition entre, ne peut désigner qu'une localité déterminée, et non toute une contrée comme le désert de Paran. Le mot signifie un lieu riche en cavernes ; et l'on sait qu'elles abondent en Palestine. (Dt. 1. 1. - Note. - levangile.com).
   On a dit : Le désert du Paran qui, selon le tableau géographique No 3 / Parcours d'Israël / Bible Segond éd. Genève 1979 est situé dans la péninsule arabique, est d'après les Bibles actuelles au-dessus du Mont Sinaï, alors que l'emplacement du Mont Paran, mentionné au chapitre 33 du Deutérononme, n'est indiqué nulle part.
   On a dit : Le désert de Paran (de l’hébreu
מדבר פראן Midbar Par'an)), est l’endroit où les Israélites ont passé 40 années d’errance. Le Roi David a passé quelques temps dans le désert de Paran après que Samuel mourut :
Samuel mourut. Tout Israël s'étant assemblé le pleura, et on l'enterra dans sa demeure à Rama. Ce fut alors que David se leva et descendit au désert de Paran. (1 Samuel 25:1 LSG)
   Paran : la contrée déserte au sud de la tribu de Juda était, paraît-il, envisagée comme appartenant encore au vaste désert de Paran. Voir la note en fin du chapitre 10 de Nombres. (levangile.com)
   On ne peut ni confirmer ni infirmer de tels propos. Le livre mentionné étant un livre d’histoire : l’Histoire sainte des Fils d’Israël et des Judaïsés, non un Livre divin. Donc sujet à caution quand on sait le peu d’estime qu’ont et qu’avaient les Fils d’Israël et les Judaïsés envers leurs rois prophètes : David et Salomon (sur eux la Paix !). En aucun cas, de tels ouvrages peuvent être pour nous une source réelle de références.
   Question : David s’est-il rendu en Arabie ? Sans aucun doute. Ceci pour se rendre à Makkah. Pour y visiter la Première Maison sur terre : la Ka’bah. Comment ? Nous savons parlé de boraq, l’animal de déplacement des Prophètes (sur eux la Paix !). Ou tout autre moyen. Et Dieu est plus Savant !
[7]
Irénée, Adu. haer. III, 20, 4 :
De même encore, que Celui qui devait nous sauver ne serait ni purement un homme, ni un être sans chair - car les anges n'ont pas de chair -, Isaïe l'a annoncé en disant: "Ce n'est pas un ancien, ni un ange, mais le Seigneur lui-même qui les sauvera, parce qu'il les aime et qu'il les épargne, lui-même les délivrera Is 63,9." Et qu'il serait un homme véritable et visible, tout en étant le Verbe Sauveur, Isaïe le dit encore: "Voici, cité de Sion, que tes yeux verront notre Salut Is 33,20." Et qu'il n'était pas simplement un homme, Celui qui mourait pour nous, c'est ce que dit Jérémie: "Le Seigneur, le Saint d'Israël, s'est souvenu de ses morts endormis dans la terre du tombeau, et il est descendu vers eux pour leur annoncer la bonne nouvelle du salut qui vient de lui, pour les sauvera." C'est identiquement ce que dit le prophète Amos: "Lui-même se retournera vers nous et aura pitié de nous; il immergera nos iniquités et jettera au fond de la mer tous nos péchés Mi 7,19." Il indique encore le lieu de sa venue: "De Sion le Seigneur a parlé, et de Jérusalem il a fait entendre sa voix Am 1,2." Et que de cette région qui est au midi de l'héritage de Juda viendrait le Fils de Dieu, qui serait Dieu - région à laquelle appartenait Bethléem, où est né le Seigneur, qui a répandu de la sorte sa louange sur toute la terre -, c'est ce que dit en ces termes le prophète Habacuc: "Dieu viendra du côté du midi, et le Saint, du mont Éphrem; sa puissance a couvert le ciel, et la terre est remplie de sa louange; devant sa face marchera le Verbe, et ses pieds avanceront dans les plaines Ha 3,3; 3,5." Il indique clairement par là qu'il est Dieu; ensuite, que sa venue aura lieu en Bethléem, du mont Éphrem, qui est vers le midi de l'héritage; enfin, qu'il est homme, car "ses pieds, précise-t-il, avanceront dans les plaines", ce qui est la marque propre d'un homme. (Irénée,Contre les Hérésies Liv.3 ch.20)
[8]
Selon la Septante :
Dieu viendra de Thaiman et le Saint, de la montagne ombrageuse, épaisse. (Diapsalma)
Sa valeur à recouvert les cieux et la terre est pleine de sa louange. (Habacuc 3.3)

Commentaire :
Selon le Talmud de Babylone, ici commence la haphtarah lue pour la fête de Pentecôte (v. 3-11) : voir Intr., p. 244 et la note au v. 9. — « Dieu viendra de Thaiman » — TM « Eloah vient [ou est venu] du Sud ». On note le contraste entre la déité ici nommée et YHWH au début de la prière. La venue « du Sud » est parfois considérée comme une allusion à la conduite du peuple hors d'Egypte, mais pour les lecteurs de la LXX où les verbes sont au futur, il s'agit de l'annonce d'une épi-phame. Puisque « Thaiman » désigne le Sud (voir Ab 9*), les chrétiens lisent ici une prophétie de la venue du Christ, né à Bethléem, au sud de Jérusalem (Irénée, Adu. haer. III, 20, 4 et IV, 33, 11 ; Cyrille d'Alexandrie, Théodoret, etc.). Pour Eusèbe de Césarée, « Thaiman » signifie « achèvement », suntéleia (selon un rattachement à la racine t-m-m) : « c'est à l'achèvement des temps [...] que la bienveillance du Dieu de l'univers s'est manifestée pour nous par notre Sauveur » (Dem. VI, 15, . Nombreuses autres citations. ~ « [la montagne] ombreuse, épaisse » (katâskion dasù) — TM « [le mont] pa'rân ». Ce nom hébreu, qui désigne le désert du Sud, près du Sinaï, lieu d'installation d'Ismaël (Gn 21, 21), est translittéré « Pharan » ailleurs dans la LXX (Gn, Nb, Dt, 3 R...) comme ici par Théodotion, Aquila, Symmaque (Ceux qui ont falsifié...). Il est absent du texte ancien de la LXX selon J. Ziegler qui s'appuie sur le texte attesté et commenté par Eusèbe de Césarée ; il a été rajouté dans la traduction manuscrite avant les deux adjectifs juxtaposés qui « traduisaient » pa'rân : de sens à peu près identique, ces adjectifs qualifient dans la LXX les arbres touffus sous lesquels il est interdit de rendre un culte idolâtrique (par exemple dasûs en Dt 12, 2 et katâskios en Je 2, 20 pour l'hébreu ra'anân, «verdoyant»). T. Muraoka a relevé l'usage en doublet de sûskios et de dasûs en Ez 6, 13 A, qui justifierait l'emploi de suskiâzon en Os 4, 13 pour le nom du térébinthe ignoré du traducteur (« Literary Device in thé Septuagint », Textus 8, 1973, p. 23-24). Ici, plusieurs hypothèses peuvent expliquer la traduction de pâ'rân par l'idée d'ombre et de verdure (voir T. Muraoka, Lexicon..., s. v. katâskios et J. Lust, Lexicon..., s. v. dasûs). Il paraît étonnant que le traducteur n'ait pas identifié le désert bien connu et l'ait remplacé par l'image d'un lieu d'ombrage touffu : avait-il l'intention de faire allusion à un autre lieu ? — Eusèbe de Césarée utilise la rareté de l'adjectif katâskios (4 occurrences LXX) pour rapprocher ce verset de Za 1, 8 où, en un texte différent de l'hébreu, katâskios qualifie les montagnes entre lesquelles se tient « un homme monté sur un cheval couleur de feu ». Pour lui, ces deux versets concernent l'Incarnation du Sauveur. Ce qui est « ombreux » est soit le paradis, soit la Jérusalem céleste. Pour d'autres, la montagne « ombreuse » est Jérusalem qui jouit de la protection de Dieu (Théodore de Mopsueste ; Théodoret). ~ « Diapsalma » — TM sèlâh, Théodotion eis télos ; Aquila et Symmaque aei (voir aussi en 3, 9 et 13). Sur le sens très incertain de sèlâh, voir S. Mowinckel (II, p. 211 avec la bibliographie). Le mot grec diâpsalma, dérivé normal de diapsâllô, intensif de psâllo attesté anciennement dans la langue grecque, est un néologisme forgé par le traducteur du Psautier, qui ne se retrouve jamais dans la littérature profane à quelque époque que ce soit (O. Munnich, Étude lexicogra-phique du Psautier des Septante, thèse de Pans-Sorbonne, 1982, p. 72-75). Les Pères y voient parfois le signe d'un changement de mélodie ou de sujet. ~ « Sa valeur » (arête) — TM « sa magnificence » (hôd). Seul autre exemple de cette équivalence en Za 6, 13 ; ce mot hébreu est rendu dans le Psautier notamment par megaloprépeia, « magnificence », ou par exomolôgësis, « reconnaissance ». Le mot avetê n'apparaît que quatre autres fois dans les livres dont nous connaissons l'original hébreu, seulement en Isaïe et au pluriel (42, 8 et 12 ; 43, 21 et 63, 7), en correspondance avec tehillâh, habituellement rendu par ainesis, « louange ». Ici areté~est en parallèle avec ainesis, la « louange », et n'a donc pas exactement le même sens. Les traducteurs ont pu prendre arête en un sens attesté dès Homère : la « majesté » des dieux, leur puissance, ou la qualité par laquelle un homme excelle. ~ « a recouvert » (ekâlupse) : ici ce verbe (voir 2, 17*) est compris par les Pères au sens de « envelopper », « dépasser » : pour Eusèbe de Césarée (Dem. VI, 15, 13), ce stique et le suivant montrent la royauté glorieuse du Christ, l'expansion de sa prédication ; pour Cyrille d'Alexandrie, le Fils, dont le rôle de « propitiation » a d'abord été évoqué, est également « dieu », « au-dessus » de toute création, ciel et terre. [Explicit].

[9] On nous dit : Donc nous avons la septante traduite par 72 clerc juifs en 250 Av J.C. Les Esséniens cachent une vielle version dans une grotte à Qumrân en 70 donc bien avant toute falsification. Et cette version est retrouvé en 1947 traduite par des scientifiques du CNRS donc elle se veut impartiale ! Elle est traduite directement depuis sa langue de rédaction en Français.
   La traduction qui est à l'origine de la Septante à disparue et la version sacerdotale hébraïque à elle aussi été retraduite par Symmaque et Aquilla deux chrétiens apostat d'origine juive au passage. Ces deux personnages ont "gommé" tout les trait le plus fort prophétisant la venue de Jésus et plus encore, Sa nature divine.
[10] TM = Traduction Massorétique et LXX = Septante
[11] Kadesh (hébreu : le  קָדֵשׁ), également connu sous le nom de Kadesh-Barnea (קָדֵשׁבַּרְנֵעַ), était un endroit dans le sud de l'Israël antique. Le nom « Kodesh » signifie saint. Le « Barnea » nommé peut signifier le désert d'errer, (des errances).
[12] Le Désert de Paran contient le plateau Har Karkom. Un total de 218 sites, avec approximativement 1,300 rochers gravé avec des pétroglyphes — âgés de 13,000 à 1,500 ans — fut trouvé dans le désert et les vallées des alentours.
   De nos jours cette région est toujours un site de bédouins errant, mais il y a une ville appelée Nekhl, la précédente capitale du Sinaï, construite en 1516 pour protéger les pèlerins traversant la région. 
   Avec une telle description, on peut se demander ce que pouvait faire réellement Agar et son fils en un tel endroit ? Et pourquoi un tel retour en de telles terres ? N’aurait-elle pas craint pour sa vie et celle de son fils de la part du roi d’Egypte de l’époque ? Qu’était-elle pour le roi des Coptes ? Femme libre ou femme esclave ? Quel avenir pour elle et son fils ?
   Non, un avenir glorieux l’attendait pour être la future Matriarche de Makkah et ses environs, du peuple des Croyants soumis. Aussi, le monde de l’Islam traditionnel a vu juste lorsqu’il a vu « Paran » en Arabie, non dans la péninsule du Sinaï.
[13] RACHI :
Onze jours depuis le ‘Horev Mochè leur a dit : « Voyez ce dont vous avez été la cause ! Il n’est pas de plus court chemin de ‘Horev à Qadéch-Barné‘a qu’à travers le mont Sé‘ir, et le temps qu’il faut pour le parcourir, soit onze jours, vous l’avez réduit à trois ! » C’est en effet le vingt iyar qu’ils sont partis du ‘Horev, comme il est écrit : « Ce fut, dans la deuxième année, au deuxième mois, au vingt dans le mois […] les fils d’Israël partirent » (Bamidbar 10, 11 et 12). Et c’est le vingt-neuf siwan qu’ils ont envoyé les explorateurs (Ta‘anith 29a). Si l’on défalque les trente jours qu’ils ont passés à Qivroth Hataawa, où ils ont mangé de la viande pendant un mois (Bamidbar 11, 20), plus les sept jours passés à ‘Hatséroth pendant qu’était cloîtrée Miryam (Bamidbar 12, 14), il reste trois jours pendant lesquels ils ont parcouru tout ce trajet. « La chekhina était très impatiente d’accélérer votre venue dans le pays, mais parce que vous avez péché, elle vous a fait faire le tour du mont Sé‘ir quarante années durant. »  
  
Le géographe arabe médiévale al-Yaqut Hamawi (1229) identifie Pharan avec Makkah (La Mecque) elle-même (Volume III 834 de l'édition publiée à Leipzig dans les années 1860).
   On a dit :
Où Velikovsky place Kadesh Barnea, dans le lieu le plus improbable de tous pour un bibliste juif ? MECCA !!! LA MECQUE ! For him (and perhaps for me) it made perfect sense. Pour lui (et peut-être pour moi) il était parfaitement sensé. What was the holiest site in Western Arabia, Mecca? Quel a été le site le plus saint de l'Arabie occidentale, la Mecque ? (Lire…).
[14]
1. Rachi : Dans le désert Ce n’est pas dans le désert qu’ils se trouvaient, mais dans les plaines de Moav ! Pourquoi parler du « désert » ? Parce que c’est dans le désert qu’ils L’ont irrité, lorsqu’ils ont dit : « Si seulement nous étions morts par la main de Hachem dans le pays d’Egypte… » (Chemoth 16, 3).
  
Entre Paran et entre Tofel, et Lavan Rabi Yo‘hanan a enseigné : Nous avons parcouru tout le texte sans y trouver d’endroit appelé Tofel ou Lavan. Il s’agit ici, en fait, de reproches qu’Il leur a adressés pour avoir couvert (taflou) [d’injures] la manne qui est « blanche » (lavan) en disant : « … et notre âme est dégoûtée du pain misérable » (Bamidbar 21, 5), et pour s’être mal comportés dans le désert de Paran dans l’affaire des explorateurs. 2. Paran, avec la préposition entre, ne peut désigner qu'une localité déterminée, et non toute une contrée comme le désert de Paran. Le mot signifie un lieu riche en cavernes ; et l'on sait qu'elles abondent en Palestine. (levangile.com)
   Les commentaires se suivent mais ne se ressemblent pas. Là, on voit une contrée, ici, par contre, une localité déterminée. Ce qui signifie toutefois que les explorateurs sont proches de Jéricho
(en arabe : أريحا Er Riha ou Arīhā, en hébreu : יְרִיחוֹ Yériho, en grec : Iεριχώ) est une ville de Cisjordanie, située sur la rive ouest du Jourdain. De Terre sainte. Ville qui, dit-on, sera prise par Josué (sur lui la Paix !).
   VOICI LES PAROLES QUE DIT MOÏSE A TOUS LES FILS D'ISRAËL (DEU. 1:1). Arrivé au bord du Jourdain, Moïse recensa les péchés commis par le peuple juif : "Dans le désert, vous avez d'abord proféré des calomnies en affirmant : “Mieux aurait valu que nous mourions”. Ensuite vous avez adoré l'idole Peor à Chittim et à Arbot Moab, vous vous êtes livrés à la débauche. Près de la mer Rouge, vous avez dit : “N'y-a-t-il  donc pas assez de linceuls en Egypte pour nous faire ainsi sortir de ce pays ?” Puis vous avez décriez la manne pourtant si excellente, en prétendant qu'elle risquait de faire gonfler les intestins. Vous avez péché contre Dieu par la bouche des espions en dénigrant la Terre sainte. Vous avez mal agi avec Coré et vous vous êtes rebellés contre Moïse et Dieu. Vous avez fabriqué et adoré le Veau d'or. Cela fait en tout sept péchés." Sans cette remontrance, on trouve écrit : "Si, malgré cela, vous M'écoutez pas, Je vous corrigerai au septuble et pour qu'ils ne commettent plus de fautes. Lorsque le peuple pèche et que le chef de la communauté ou le rabbin ne s'y oppose pas, Dieu le châtie. (Le Commentaire sur la Torah. Jacob ben Isaac Edit. Verdier).


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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