786
Lorsque les Nouveaux interpellent les
Anciens sur l'héritage religieux qu'ils proposent leur léguer au cours
de leur vie et après leur mort et s'étonnent que cet héritage est
un héritage bien peu satisfaisant, leur serait-il répondu : "
Débrouillez-vous !". C'est en fonction de ce seul critère qu'on
priera pour les Anciens ou on les maudira !
En terre des Gaules, quand Astérix et Obélix se débattent
pour...
Après plusieurs tentatives
d'établir une instance représentative de l'islam en France, va-t-on
vers l'union ou la dé-s-union la plus totale ? Et quel est le but
réel des pouvoirs publics, des gens de la Bible : servir ou asservir
? Et quel est le but réel de certaines gens de la Communauté : servir
autrui ou se servir ? L'avenir reste incertain, surtout quand des
gens veulent s'occuper absolument de choses qui ne les regardent pas
! Que doit-on laisser en héritage à tous ceux et à toutes celles qui viendront
après nous ? Un édifice, une maison lézardée ou un champ en ruine
?
Une opération
en forme de manipulation ? La consultation en vue d’établir une
instance représentative de l’Islam en France.
- La consultation
par son objectif : Selon Alain Billon : A sa création,
le but central de cette consultation était de remédier à la situation
d’anarchie que connaissait l’islam, devenu la deuxième religion de
France sans avoir aucune instance représentative.
Étonnant discours.
Depuis quand existe-t-il une « situation d’anarchie » ?
De plus, que faut-il entendre par « une instance représentative » ?
Est-ce à dire que celui qui ne croit pas, ne pratique pas, n’observe
pas son culte devra s’asseoir nécessairement à la table de ceux qui
croient, pratiquent et observent leur Culte ?
Comment une telle personne peut-elle s’occuper de culte et prétendre
parler au nom d’autres personnes
?
- par la doctrine qui le sous-tend :
Quant on reparle de laïcité. Nous savons tous qu’après l’an de grâce
1789, la nouvelle religion des gens de l’Evangile et de la Tora, née
de l’idéologie républicanisme, est le Laïcisme.
Lequel Laïcisme
tient sa source du Judaïsme.
Lequel le tient du Rabbinat. La façon de parler de Alain Billon semble
aller dans le même sens. Qu’on en juge : « L’idée était
qu’il fallait procéder à un rattrapage sur les autres cultes, dans
la mesure où il n’avait jamais été proposé aux musulmans de rentrer
dans le cadre de la loi de séparation des églises et de l’État, loi
fondamentale qui régit les relations entre les cultes et les pouvoirs
publics en France. » On notera au passage que Alain Billon
omet de nous signaler qui sont les auteurs d’une telle loi ?
Gens pratiquants de l’Evangile ou gens incroyants ? Gens croyants
de la Bible ou gens incroyants ?
Secundo : Pourquoi ne pas mentionner les Temples (car chez les
gens de la Réforme, le vocable temple est beaucoup plus usité), de
même les Synagogues ? Troisièmement : En l’an de grâce 1789,
le monde islamique était régit comment ? S’il n’existait pas,
pourquoi lui faire porter de nos jours une chose, un fardeau, une
faute, qui concerne en vérité et uniquement les gens de la Bible entre
eux ?
Séparation. Le 3 juillet
1905, quand il fut vers les minuit, à l’issue de longues séances houleuses
où le fanatisme abonda, et où plus d’une fois le ridicule ne manqua
point, 341 députés adoptèrent un texte qui, parut au Journal officiel
du 11 décembre de la même année, sous la signature d’Emile Loubet,
président de la République, de Rouvier, président du Conseil, de Bienvenue-Martin,
ministre de l’Instruction publique et des cultes,
de F. Dubief, ministre de l’Intérieur, de P. Merlou, ministre des
Finances, et de Clémentel, ministre des Colonies,
et que l’Histoire connaît sous le nom de « loi de séparation
de l’Eglise
et de l’Etat ».
Comme au temps de
la Convention, le « Marais » où figuraient quelques hommes
raisonnables mais timorés, avait cédé aux pressions de la « Montagne »,
c’est-à-dire des socialistes enragés et des délégués du Grand Orient.
[…]
Pour en revenir à
la loi de Séparation, il faut se rappeler qu’après les effrayantes
mesures antireligieuses de la Révolution, Napoléon avait donc renversé
la situation en concluant avec Rome un concordat qui établissait les
trois religions
de France (catholique, protestante et juive) dans une situation officielle
et stable.
Or, c’était cela que
les fanatiques téléguidés par la franc-maçonnerie
prétendaient abolir. […]
Cependant, ce que
n’avaient pas prévu tous ces beaux messieurs c’est que le pape Pie
X allait déjouer leurs calculs en interdisant aux catholiques de former
des associations cultuelles
prévues par la loi (et que constituèrent protestants et juifs).
Les catholiques se
trouvèrent ainsi rapidement forclos, de sorte que l’on fut dans une
situation difficultueuse de non-droit, et ce malgré la promulgation
d’une seconde loi de Séparation le 16 mars 1906, d’une troisième le
2 janvier 1907, enfin d’une quatrième le 13 avril 1908.
En fin de compte,
en dépit de tout ce remue-ménage, et depuis lors, l’Etat français
et l’Eglise de France vivent en fait sous le régime du modus
vivendi où l’on s’arrange pour régler ce qu’il peut y avoir
de problèmes sans faire trop de vagues en particulier électorales.
(Andrés Figueras dans un article : Juillet 1905 : la
loi de séparation. Présent. Samedi 28 juillet 2001).
La Séparation, une solution pour
tous ? Ce terme biblique et politique n’a rien à voir avec le
vocabulaire coranique. Tout au plus, il peut comprendre que cette
instance représentative comprendra deux parties distinctes. La première.
Elle sera et devra être gérée uniquement par des Savants religieux.
Des gens connus pour leur savoir et leur piété. Apolitiques.
La deuxième, pour parler un langage commun, gérer par des civils.
Elle ne s’occupe en aucune façon, de près ou de loin, de culte.
Mais des affaires courantes de la Communauté : le travail et
ses droits, l’éducation et les activités sportives, la culture, l’entre-aide,
le droit et la justice pour tous, etc.
Confusion.
Une confusion peut alors apparaître et s’installer, et elle est de
taille. C’est, toujours selon le langage du commun biblique, qu’on
nous demande, à travers cette consultation, de nous convertir au paulinisme,
à savoir, comme Paul
prendre de la religion divine que les croyances, et rejeter en bloc
la Loi.
Or, rappelons-le une fois encore, l’Islam c’est un tout. Aussi, nous
est-il demandé expressément du divin Législateur d’y entrer de plein
pied. En clair, on ne saurait avoir un pied dedans et un pied dehors.
Message.
A qui doit s’adresser ce message ? Selon Alain Billon, « Se
préoccuper d’intégrer l’islam dans les lois de la République, de façon
tout à fait visible, c’est s’adresser à l’ensemble des populations
de culture musulmane… » Nouvelle confusion.
Dans l’idéologie socialisante, on n’aime pas nous parler de
culte mais plutôt de « culture ». Or cette culture où puise-t-elle
sa source ? Le profane ou le sacré ? Mais là encore il faudrait
nous expliquer et définir surtout ce qu’on entend par « culture » ?
Car en langage biblique, ce mot est vaste. Il peut comprendre « l’ensemble
des structures sociales, religieuses, etc., des manifestations intellectuelles,
artistiques, etc., qui caractérisent une société » (voir à ce
sujet Dic. Larousse, etc.). Est-ce comprendre l’Islam en mettant la
foi en suspens ? Pour en faire ainsi, au plaisir de ses adversaires,
un pur objet culturel, au même titre que la peinture, la musique profane
ou la littérature anti-islamique, voir même un « objet pour la
raison » ? Est-ce à dire qu’il faudra, à travers une certaine
« culture », profaner le sacré comme il est de coutume et
courant de nos jours chez bon nombre de gens de la Bible, voire partie
des gens de l’Islam traditionnel, en terre des Gaules ? Là est
tout le problème. Secundo : les « populations musulmanes »
sont nombreuses en terre des Gaules, mais, dirons-nous, le bon peuple
des Gaules va-t-il accepter facilement cette façon de voir les choses ?
Rien ne nous le prouve. De plus, les lois sont une chose et la volonté
populaire une autre chose. Les lois ne sont nullement, dans le système
d’essence humaine, républicanisme, immuables,
éternelles. C’est là d’ailleurs la faiblesse de tout système d’essence
humaine. Rappelons encore que dans la « Déclaration des Droits
de l’homme » le mot Dieu n’y figure pas ! Pas plus que qu’au
niveau européen. L’idéologie ayant remplacée la « religion »,
l’Europe biblique se refuse de reconnaître en elle un héritage
religieux !
Et là encore, on préfère (et on a préféré) parler de « culture »
et de tout autre chose !
L’esprit
grec ancien trahi. Bon nombre d’Européens, du monde biblique,
aiment se réclamer de leurs ancêtres.
Mais il semble que ces derniers ne les suivent pas entièrement. Pour
preuve :
Selon François Chamoux :
Ainsi la plus importante des leçons de la Grèce, et en même temps
la plus méconnue, est que tout groupe social, du plus petit au plus
grand, de la famille à l’Empire ou à une confédération d’États, suppose
l’acceptation explicite ou tacite d’un code de valeurs qui sont d’essence
divine. Le respect de la vie, l’égalité, la liberté échappent aux
justifications rationnelles, où règne une lutte permanente et féroce
entre les espèces animales. C’est pourquoi les Grecs considéraient
les lois divines et les révéraient comme telles. Au reste, dans leurs
institutions, on n’établit aucune distinction entre le civique et
le sacré. Tout magistrat exerce à la fois une charge administrative
ou politique et des responsabilités religieuses.
Le premier devoir du citoyen, c’est de participer aux cultes de la
cité.
Les archives officielles sont conservées dans les temples. L’idée
moderne de laïcité est une innovation récente, tout à fait étrangère
à la pensée grecque, pour qui une communauté d’hommes s’organise autour
de ses dieux
et ne prospère qu’en assurant fidèlement leur culte. Dans les séances
de l’Assemblée du peuple, à Athènes, l’ordre du jour appelle d’abord
les affaires sacrées : les dieux
et la patrie
sont inséparables, et les dieux sont premiers servis.
C’est seulement au
siècle dit « des Lumières »
qu’on méconnut cette donnée essentielle de l’histoire ; pour
que naisse et survive toute forme de société humaine, il faut que
se réalise un accord sur un fonds de croyances communes qui n’ont
pas à être démontrées par le raisonnement.
Dans leur rationalisme naïf, les philosophes avaient oublié que la
raison ne rend pas compte de tout, comme nous l’enseigne l’histoire.
Ce faisant, ils ont créé une autre forme d’obscurantisme. Nos contemporains,
vaguement conscients de cette mutilation de la pensée, cherchent par
divers moyens, plus ou moins aberrants ou dérisoires, à retrouver
le sens du sacré.
Il suffit de garder à l’esprit la leçon des Grecs pour restaurer cette
valeur perdue.
[…] Telle apparaît,
réduite à ses traits essentiels, la leçon des Grecs. Leçon d’ordre
dans la pensée, servie par le langage et l’écriture ; leçon d’ordre
dans la société, où un pacte d’essence religieuse unit les membres
d’un groupe bien défini, qui mérite dévouement et sacrifice ;
leçon d’ordre dans l’art, qui se voue au service de l’homme et des
dieux.
La liberté
prospère sous la protection des lois, qui sont d’origine divine.
Les erreurs à proscrire sont la solitude, l’impiété et l’anarchie.
(La Nouvelle Revue d’Histoire. N° 1 Juillet-août 2002)
Conclusion :
Le monde biblique européen a commis sa première erreur avec Paul.
Lequel s’est inspiré du Judaïsme pour séparer le religieux du civil.
Plus tard, il commettra une autre erreur en suivant cette fois, le
monde biblique anglo-saxon, le monde de la philosophie et du Dualisme.
Pour appliquer la Religion du Messie, fils de Marie (sur lui la Paix !),
ne suffisait-il pas de purifier celle des Grecs associateurs, du Paganisme ?
Car tout ce qu’ils avaient n’était pas forcément mal, mauvais. Oui,
l’an de grâce 1789 et ce qui viendra après, est loin d’être des années
« lumières » pour les gens de la Bible. Qu’on re-lise l’Histoire !
C’est plutôt l’ère de l’Obscurantisme, par excellence, qui semble
y prévaloir !
Neutralité.
Double allégeance. Saïd Branine
avoue : Les seules informations qui nous parviennent, par le
biais des médias nationaux, sont celles de personnes qui se dénigrent
dès qu’elles ne sont plus réunies au ministère de l’Intérieur. La
deuxième critique majeure est que la plupart des grandes mosquées
et des grandes associations participantes sont sous l’influence d’États
étrangers. Comment l’État français accepte-t-il que des citoyens puissent
être représentés par des regroupements, pour beaucoup, sous l’influence
d’États étrangers qui, de plus, ne partagent pas nos valeurs démocratiques ?
C’est un point extrêmement grave. Je ne critique pas l’initiative
en soi : il y a beaucoup de choses à régler et il est important
d’avoir un interlocuteur officiel vis à vis des pouvoirs publics.
Mais ces interlocuteurs sont, pour la plupart, dans une logique de
pouvoir politique non de représentation. Le consulat d’Algérie mobilise
à Marseille, celui du Maroc dans le nord de la France… C’est l’islam
DE France qui est en construction. La majorité de ces consultants
ont plus de comptes à rendre à leurs pourvoyeurs de fonds (les Etats
étrangers)
qu’à la République ! Je ne sais pas si j’irai voter. On vote
sur un programme, sur des propositions, pas sur une étiquette. (propos
recueillis par M.C.S.)
Problèmes au sein de la diaspora
des gens d’origines d’Afrique du Nord. L’influence des États étrangers
dans les affaires de la diaspora des gens d’origines d’Afrique du
Nord, vient en partie du fait que la plupart des grandes Mosquées
métropolitaines sont des tiroirs sans fond. Une Mosquée pour bien
fonctionner à besoin de personnels. De plus, elle a à faire face à
de nombreuses dépenses :
eau, électricité, chauffage, etc. Au départ, l’idée d’avoir une « grande
Mosquée » était l’idéal de/et pour tous. Toutefois, une fois
terminée de nombreux problèmes allaient brusquement surgir. Problèmes
concernant le bureau, puis problème d’argent. Au départ donc, et pour
la construction, on est tous frères ! Terminée, très vite des
conflits vont apparaître. Les fidèles vont alors s’apercevoir qu’une
communauté dominante veut s’accaparer tous les pouvoirs. Peu à peu,
les gens d’autres communautés seront mis à l’écart, voire chassés
de toute responsabilité au sein de la Mosquée ! Cet état de fait
peu alors entraîner la partie restante, laquelle ne pouvant plus faire
face aux nombreuses dépenses ; à se tourner vers le pays d’origine
ou un pays arabe riche ou une organisation caritative arabe pouvant
les assister. L’état d’indépendance est alors fictif. Très vite dans
les quartiers vont même surgir des Mosquées, des salles de prières,
portant des noms comme : Mosquées algériennes, Mosquées marocaines,
Mosquées…, etc. Est-ce l’émergeance d’États dans l’État ? Le
monde arabe d’Afrique du Nord, en France, est ainsi fait.
Second commentaire :
Pour M. Aouri, le processus est d’emblée biaisé par la nature « des
fédérations invitées à l’istichara qui sont d’essence
communautaire et très liées aux pays d’origine. La consultation
est finalement une consultation des étrangers musulmans de France.
Cela aurait pu être évité avec une participation privilégiée de Français
issus de l’immigration ». Par ailleurs, l’intérêt appuyé des
services consulaires marocains et algériens pour les prochaines élections
(respectivement dans le Nord et la région marseillaise), laisse planer
un sérieux doute quant à l’indépendance du culte voulue par les initiateurs
du processus. ( Op. cit. Article : Vers un islam
français. Farid Mebarki.)
L’Immigration. Un vivier à double
tranchant pour les politiciens de tout bord du monde biblique. Les
gens issus de l’immigration ne peuvent se séparer ni de leur terre
d’origine ni de leurs familles. Ce que les « vieux » disent,
les enfants l’appliquent, de gré ou de force. Entre vouloir et pouvoir,
il existe un fossé infranchissable dans la diaspora nord-africaine.
D’ailleurs, une haute personnalité marocaine m’a avoué, qu’il ne faut
pas croire à l’indépendance des bi-nationaux ou toute personne hors
du territoire national. Tous sont sujets du royaume, et il en est
ainsi pour tout pays d’Afrique du Nord.
Rappel. Il ne faudrait surtout
pas croire que les gens de la Communauté islamique de France n’ont
jamais tenté de s’unir en vue de parler d’une seule et même voix.
Des Fédérations ont vu le jour en ce sens, mais très vite les problèmes
de fond, du bled (pays d’origine : politique et autres)
ont resurgi sur les problèmes d’intérêts communs. La colonisation
a laissée des traces mortelles. L’Afrique du Nord comprend plusieurs
États qui sont loin de s’aimer.
Ajouter à cela, et comme l’a si bien noté Lawrence ; la mentalité
de l’Arabe n’a rien de commun avec la mentalité de l’Étranger (du
non arabe). L’étranger reconnaît son chef et le respecte comme tel.
Dans la mentalité arabe, chaque individu est chef, se déclare comme
tel ! Aussi, en face de vous, vous avez une multitude de chefs
qu’il sera très difficile à convaincre, et à qui il sera très difficile
ensuite de faire comprendre, qu’il faut nécessairement respecter l’autorité
du chef en place. Parallèlement, le (ou les) gouvernement(s) en place
n’ont jamais voulu reconnaître les efforts d’union et les organisations
en place. Pour preuve, ne veut-on pas faire une nouvelle représentation
à type gouvernementale cette fois ? Assujettie au pouvoir en
place ?
Troisième commentaire.
Le pouvoir hégémonique de certains. Selon Madame Rabha Attaf :
« …A Marseille, on ne peut aborder l’islam en France sans se
heurter aux relations franco-maghrébines et en particulier à la Françalgérie.
Nous en avons un condensé dans cette région, du fait de la proximité
du Maghreb.
Ici nous pouvons observer comment les autorités algériennes et leurs
relais contrôlent les populations musulmanes. Afin d’imposer son influence,
l’Algérie
envoie des imams, n’ayant aucune connaissance du terrain, dont la
mission est d’encadrer, à travers des lieux de culte ou des associations,
ceux qu’elle considère toujours comme ses sujets.
Il existe en effet un accord tacite entre les pouvoirs publics français
et l’État algérien, via la mosquée de Paris, concernant l’affectation
de ces imams.
Ce privilège permet à l’Algérie de rémunérer, tels agents consulaires,
des imams en France ! En fait, l’islam en France est encore abordé
dans un état d’esprit colonial. On constate, à Marseille, la collaboration
des services policiers de tous les pays concernés, au nom de la lutte
contre l’islam-terrorisme. Dans ce contexte, toute consultation est
vouée à un échec. Car à travers elle, ce sont des États qui se battent
pour le contrôle des populations.
Nous appelons de nos vœux une représentation des musulmans de France,
mais dans la légitimité et la transparence. Pour ce faire, il faudrait
un acte symboliquement fort du gouvernement français : restituer
la grande mosquée de Paris afin qu’elle serve de socle à leur union.
(Op. cit.)
Rivale,
rivalités ? La Mosquée du Vème arrondissement
de Paris, est-ce la Mosquée de l’Entente cordiale ou la Mosquée de
la Division par excellence ? Et pourquoi ne porte-t-elle pas
un autre nom que la Mosquée de Paris ?
N’existe-t-il pas d’autres lieux de Culte à Paris ? Est-ce à
cause de la nostalgie de certaines gens du monde biblique
qui regrettent l’Empire colonial, biblique, en terre d’Islam ?
Depuis son existante, l’hégémonie algérienne a toujours été dominante.
Certes, bon nombre d’algériens protestent volontiers contre le conseil
d’administration, ses dirigeants, mais uniquement, selon les observateurs,
pour que tout cela reste algérien, fait de gens à majorité
algérienne, d’origines algériennes ! Les gens de
la Bible de France se flattant d’être les auteurs de ce lieu de culte,
ne veulent nullement voir et entendre quelle que chose concernant
l’Islam et sa pratique en terre des Gaules, en dehors de ce lieu de
culte !
Leurs médias les relaient. Mais bon nombre de gens soumis, pratiquants,
observateurs de leur culte, se refusent de se reconnaître à travers
ce lieu de culte et ses dirigeants. Ce sont pour bon nombre d’entre
eux que des « ma-ri-on-nettes » du pouvoir en place, en
terre des Gaules comme en terre d’Algérie. L’hégémonie s’étend même
sur l’émission religieuse du dimanche, la prière du vendredi… Et toutes
les protestations n’ont jamais abouties. La devise semble être pour
beaucoup : Algé-rien-ne tu étais, algé-rien-ne tu resteras !
Un
Représentant officiel du Culte à l’Ambassade. Chaque pays
islamique devrait avoir, pour éviter toute confusion, la pression
de consulats, de politiques ou toute autre chose ; un représentant
(ou plusieurs) Religieux à son ambassade. Ainsi, telle ou telle Mosquée
de France ne serait plus le relais, indirect ou direct, du pays d’origine.
Et cela permettrait de mieux harmoniser les rapports entre les responsables
des États concernés et leurs ressortissants. Entre l’État français
et les différents États islamiques, notamment d’Afrique du Nord.
Autres
problèmes graves à l’horizon.
Le monde du
Dualisme et de la Magie. Ce monde a toujours été la bête noire de
nombreux croyants de l’Evangile.
Et en particulier, ceux du catholicisme. Actuellement, et grâce à
l’an de grâce 1789, il est bien intégré. Et pour lui, il est pour
« une stricte séparation des domaines publics et privés et
une laïcisation des institutions ». Pour preuve :
« Le Grand
Orient de France a rendu sa copie (de quatre pages) fin juin, se prononçant,
sans surprise, pour une « stricte séparation des domaines publics
et une laïcisation des institutions » : « Actuellement,
en Europe, la place des religions est reconnue mais celle des non-croyants,
agnostiques ou athées est quasiment ignorée.
Le GODF affirme la liberté absolue de conscience et d’expression,
l’émancipation à l’écart de tous les dogmes, la liberté de croire
ou de ne pas croire, l’autonomie de la pensée vis-à-vis des contraintes
religieuses, politiques et/ou économiques, ainsi que l’affranchissement
par rapport aux tabous,
idées dominantes et règles dogmatiques. Cette liberté, condition d’une
cohabitation harmonieuse,
implique de la part de l’État et de ses représentants la neutralité
confessionnelle et philosophique.
La stricte séparation des domaines publics et privés en est la seule
garantie véritable.
La sphère publique, espace de rencontres et d’échanges, est commune
aux hommes par-delà leurs différences et ouverte à tous sans discrimination.
La sphère privée est le domaines des opinions spirituelles, philosophiques
et de vie dans leurs diversités individuelles et collectives.
La séparation des Eglises
et de l’État et la laïcisation des institutions qui en découle, inscrite
dans la future constitution, clarifieraient, simplifieraient et harmoniseraient
les législations existantes.
Elles permetteraient à des peuples appelés à vivre ensemble de se
reconnaître dans un espace commun,
sans pour autant renoncer aux legs de leurs origines. » (Source :
F&D. N° 139).
A. Crémieux
de déclarer : « La République fera ce que fait la Maçonnerie :
elle deviendra un gage éclatant de l’union des peuples sur tous les
points du globe, sur tous les côtés de notre triangle,
et le Grand Architecte de l’Univers,
du haut du ciel, sourira à cette noble pensée
de la République qui, se répandant de toutes parts, réunira dans un
même sentiment tous les citoyens de la Terre. Citoyens et frères de
la Franc-maçonnerie, Vive la République ! » (L’Histoire
n° 256 Juillet-août 2001). Comme homme toranique, ne semble-t-il pas
suivre, en tout point, la religion de ses ancêtres ? (Coran II
102). Et combien le prophète Salomon
est au-dessus de ce qu’ils décrivent et lui associent !
Le politiquement
incorrect. Les gens du Dualisme et de la Magie sont littéralement
subjugués par la politique, le lobbying. « Oui, le Grand Orient
fait du lobbying. Nous sommes un lobby parce que si nous avons un
pouvoir d’influence indiscutable, nous avons
un vrai pouvoir de nuisance […] Dans ce cas, nous
exerçons un vrai pouvoir de nuisance, d’abord de manière très publique,
et ensuite très privée. » Extrait d’un entretien d’Alain
Bouer, Grand Maïtre du Grand Orient de France au quotidien de l’île
Maurice (22 avril 2001). (Source : F&D, 1er
au 15 juin 2001). Parallèlement à cela : Le rapport parlementaire
consacré à la délinquance financière sur la Côte d'Azur vise explicitement
la maçonnerie : "Ainsi, l'existence, à Nice, de relations sociales
parallèles qui se sont instaurées, par exemple, dans le cadre de loges
maçonniques où se côtoient, se fréquentent et s'entraident, un certain
nombre de personnes que tout devrait opposer dans la société civile,
entrave le fonctionnement régulier des institutions de la République."
(Source : F&D, le 1 au 15 mai 2002). Preuve que les magiciens
restent bien des magiciens, soit des affidés d'une science maléfique.
Franc-Maçon,
l'émir Abd el-Kader ?
Convocation émise par la Loge
« Henri IV » à l’occasion de la proclamation solennelle de
l’initiation de l’ émir Abd-el-Kader. Ce document daté du 19 août 1864 est
signé par le F :. Poullain ,Vénérable de la Loge, et par les Officiers
Acany, Arnoult, Duboc et Bertin. Sous le second empire, Abd-el-Kader était,
dit-on, devenu une véritable « star » de la vie mondaine parisienne que l’on
s’arrachait dans les salons à la mode et dans les manifestations publiques.
Interné en France jusqu’en 1853, il se fit admettre au sein de la
Franc-Maçonnerie. D’abord initié par la Loge « Les Pyramides
d’Egypte », il sera finalement reçu au grade de maître par la Loge
« Henri IV » de Paris (le 1er septembre 1864). D’aucuns prétendent que
c’est en sa qualité de Franc Maçon qu’il sauva de nombreux chrétiens menacés par
des musulmans (notamment lors des massacres de Damas, en
1860).
La
court-i-s-ane-rie de certains membres de la diaspora nord-africaine
avec… Voyons poussez pas, il y aura de la place pour tout
le monde… quand même…
« Deuxième ligne de l’équipe
de France de rugby, Abdelatif Benazzi
va être prochainement initié à la Grande Loge nationale française ».
(Source : F&D).
Le 18 mars, Mer
Soheib Ben Cheikh, grand mufti de la mosquée de Marseille,
planchait sur Islam et modernité : peut-on moderniser l'islam ?,
devant la loge Le Général Peigné. (Source : F&D du 15 au
30 avril 2002).
Grande Loge de France. Le 5 avril,
le professeur émérite à la Sorbonne Mohammed
Arkoun traitera d’Islam et Dignité humaine, Averroès,
médiateur intellectuel et culturel dans l’espace méditerranéen,
en tenue blanche fermée, devant la loge Oui ? Vérité. Directeur
scientifique de la revue Arabica, il appartient notamment au
Haut Conseil de la famille et de la population et au Comité d’éthique
pour les sciences de la vie et de la santé. (Source :
F&D).
Le 15 mars, le frère Brahim
Hadj Smaïl
(il est l’un des francs-maçons qui font la navette avec l’Algérie
où le GODF tente de jouer un rôle dans la coulisse) traitait, devant
la loge Solidarité Laïcité, L’Algérie de Bouteflika à l’ombre de
la concorde civile. (Source : F&D).
Le 29, le cheikh
Khaled Bentounès s’exprimait devant la loge Thetys, associée
à une vingtaine d’autres loges, sur La Voie soufie
constitue-t-elle une démarche humaniste ? (Source :
F&D, du 15 au 28 février 2002). La diaspora nord africaine, notamment
arabe, ne cessera pas de nous étonner ? De quoi réjouir le cœur
de ceux et celles qui ont lutté pour la chute de l’Empire ottoman
et l’unité du monde islamique. Affaire à suivre…
Trompe
l'œil ! Invité
à Thé ou Café (France 2, 7H, 14 juin 2003), le Grand Maître
du Grand Orient de France Alain Bauer a indiqué que le gouvernement
actuel comptait cinq maçons et que son obédience était à l'origine
de la législation sur l'immigration ainsi que de la nouvelle organisation
du culte musulman en France. (Source
: F&D, n° 157)
Pas de quoi
pavoiser ! Surtout d'un milieu dualiste qui refuse de reconnaître la
révélation, les Livres saints et enfin les prophètes. On ne peut
oublier le rôle du monde dualiste lors de la chute de l'Empire ottoman,
le massacre des arméniens, etc. Croire au divin Créateur implique
nécessairement de joindre la pratique à la parole. Et les magiciens
où qu'ils aillent et fassent, ne seront jamais les gagnants !
Problèmes
au quotidien. Vous avez dit problème de ministres du Culte.
N’oublions pas que Officiant n’est pas une fonction en soi. C’est
la nouveauté et la différence notoire entre les gens du Coran,
d’une part et les gens de la Thora et gens de l’Evangile d’autre part.
Actuellement, le problème se pose plus, en France métropolitaine,
au niveau du manque de gens ayant étudié leur religion auprès de gens
compétents.
Cause. Notamment chez les gens
de la diaspora d’origines nord-africaine. L’indépendance des pays
d’Afrique du Nord a jeté les gens dans les bras d’une idéologie nationaliste,
socialisante, arabe, du partissisme, dictatoriale, etc., pour certains.
Après l’indépendance, le seul souci semble avoir été l’acquisition
de biens divers. Et ceci à tous les niveaux de la société. Le comment
importait guère ! Les idéologues en place ont voulu faire croire
que le paradis terrestre est bien meilleur que celui promit !
Allons profitez-en ! L’Ère rouge bonbon. Cette ère a vu apparaître
une guerre sans merci contre les Représentants religieux, lesquels
seront accusés, par les politiciens en place, de tous les maux de
la société. D’être un frein pour l’évolution de la société. Ce refrain
n’est pas nouveau. Résultat. Absence d’écoles, absence d’études sérieuses,
absence de gens pouvant répondre aux angoisses et aux demandes pressantes
des gens. L’État, cette machine terrible allait broyer le fruit de
plus de 1000 ans d’efforts et d’existence. Autre constatation. Cela
allait faire ricochet. Si au pays, les gens n’envoyaient leurs enfants
aux écoles religieuses, aux études, la diaspora d’origines nord-africaine
d’Europe et de France allait-elle faire mieux ? Nullement. C’est
la dure constatation que l’on observe aujourd’hui dans cette diaspora.
Autre erreur fatale. Pour bon nombre de gens, le seul souci semble
être comment « devenir » français, à l’instar du monde biblique !
Le reste est sans valeur. Garder une certaine identité religieuse,
sa personnalité, son honneur, autant de chose qu’on ne semble pas
près à assurer et à faire respecter. Invitation. L’Invitation (arabe,
da’wah) est au cœur du message coranique. L’expérience du terrain
prime, dans ce domaine, sur tout autre chose. Là encore, si certains
l’ont bien compris, bon nombre de gens sont assez réservés voir hostiles.
Certes, on vous dira : « Nous sommes bien conscients qu’il
y a une mission, un devoir, en terre d’Europe et de France, mais…
c’est pas pour nous ! » Résultat. Si certains se soumettent,
embrassent l’Islam parmi les Insoumis, d’autres, chaque jour, rêvent
de devenir comme le monde biblique… Conclusion. Une porte béante a
été ouverte par partie de la Communauté sur le monde extérieur, sur
le monde biblique, se fermera-t-elle un jour ? L’avenir nous
le dira…
Le
monde toranique. Le 13 septembre, Jean-Pierre Raffarin
a reçu, à Matignon, le Grand Rabbin de France, Joseph Sitruk. A l’occasion
du futur centenaire de la loi de 1905 sur la séparation de l’Église
et de l’État, le Grand Rabbin a demandé au Premier ministre d’entreprendre
une réflexion sur la redéfinition de la stricte notion de « laïcité ».
Un sujet qui, comme par hasard, est actuellement discuté dans les
loges maçonniques et souhaité par la communauté musulmane (qui souhaite
en fait une reconnaissance du « communautarisme », avec
autorisation du tchador,
l’aménagement religieux des repas dans les écoles, l’interdiction
de certains sports pour les filles,
etc.). (Source : F&D. N° 139).
Rappel. Ceux qui sont pour le « Laïcisme »
sont généralement gens de la Réforme, chez les gens de l’Évangile,
les Dualistes (loges, sectes occultes, etc.), et les gens de la Tora.
De même, les mécréants, les sans-religion, les athées, les libertaires,
les pervers, les prévaricateurs, etc., du monde biblique. Tous veulent
être associés au fonctionnement de l’État, et ceci à tous les niveaux
que ce soit. Jusque là, le monde « laïc » vivait en paix
et heureux. L’arrivée dans l’espace européen et français de gens du
monde islamique, a bousculé les « bonnes vieilles habitudes »,
cette tranquillité tant recherchée. Le religieux ne semble-t-il pas
revenir en force par une porte qu’on s’attendait pas ? D’où l’appel
pressant lancé aux gens de l’Islam d’être comme « nous ».
En clair, déshabillons Pierre pour habiller cette fois, Ahmad à notre
façon…
Entretien.
Actualité Juive de poser ces questions à J.P. Chevènement,
ancien ministre des Cultes et de l’Intérieur :
A.J. : On dit souvent que
l’organisation du culte juif pourrait servir de modèle à l’organisation
du culte musulman. Le pensez-vous ? Vers quelle voie les musulmans
de France s’acheminent-ils ?
JPN : Je ne crois pas car
le modèle consistorial a été imposé par Napoléon à une époque où l’Église
et l’État n’étaient pas encore séparés. Le modèle que le musulmans
pourraient choisir aujourd’hui serait plutôt celui d’une association
volontaire comme la Fédération Protestante de France : c’est-à-dire
des sensibilités et obédiences diverses qui se mettent d’accord entre
elles pour créer un organe léger de coordination.
A.J. : Pourquoi seulement
maintenant ? La volonté gouvernementale d’avoir des « interlocuteurs
musulmans organisés » est réelle, semble-t-il. Où en êtes-vous ?
JPC : La prochaine réunion
aura lieu le 20 avril. Nous avons paraphé un document le 28 janvier
dernier. Les sensibilités musulmanes les plus diverses (cela va de
la Grande Mosquée de Paris au Tabligh) reconnaissent et approuvent
l’ensemble des principes républicains et des dispositions de droit
actuellement applicables en France à l’organisation des cultes.
A.J. : Pensez-vous que l’organisation
de la communauté juive est un bon exemple à suivre pour les musulmans ?
JPC : Je me garderai bien
de donner des conseils. Encore une fois, le modèle consistorial n’est
pas reproductible.
A.J. : Pensez-vous qu’il
faudrait modifier l’organisation de la communauté juive et s’orienter
vers un système de fédérations ?
JPC : Non, pas du tout. Je
ne prétends pas du tout intervenir dans l’organisation des religions,
c’est la raison pour laquelle je ne donne pas de conseils. J’ai dit
aux musulmans : « vous avez reconnu que nous pouvions fonctionner
dans un espace commun à la lumière de la « raison
naturelle » (c’est la définition de la laïcité
dans le Coran) donc vous devez pouvoir vous mettre d’accord ! ».
Le Coran ajoute qu’il n’y a pas de contrainte en matière de religion.
J’espère qu’à force de se fréquenter, nous finirons par nous mettre
d’accord. La République française repose sur peu de principes. Il
faut donc d’autant plus qu’elle les applique. (N° 652 du 6 avril 2000).
Prévenir qui
? Si on vous pose des problèmes, qu'allez-vous prévenir ? La Police ou
les RG (Renseignements généraux) ? La réponse :
Depuis le début du mois d'octobre, plusieurs responsables
de lieux de culte musulmans de Seine-Saint-Denis ont été
convoqués par les Renseignements généraux (RG). Ils dénoncent un
fichage et une intimidation de la communauté musulmane. Dalil Boubaker
donne son sentiment sur la situation des musulmans en Ile-de-France.
Déplorez-vous également ces "pressions" de
l'administration ? Dalil Boubakeur : J'aurais plutôt tendance à
prévenir les RG quand il se passe quelque chose. En France, on
ne sait pas d'où sortent la plupart des imams. N'importe qui peut
endosser la djellaba. Moi, jesais qui sot mes imams, et je les
contrôle. (Source : 20 minutes n°148)
http://www.20minutes.fr/20minutes/grand_paris/gestionArticles.svt?page=detail&code=16748
Avis aux amateurs. Autres articles :
http://www.20minutes.fr/20minutes/grand_paris/gestionArticles.svt?page=detail&code=16644
http://www.20minutes.fr/20minutes/grand_paris/gestionArticles.svt?page=detail&code=16745
L'Express.
"Non, le monde musulman n'est pas victime de son propre archaïsme
et de l'incurie de ses dirigeants. Non, les
musulmans ne doivent pas "adapter" la laïcité mais s'y plier."
Pour la première fois, un grand hebdomadaire (12 septembre) reprend les
thèses diffusées par la droite nationale depuis des lustres. (Source
: F&D. n° 138 du 15 au 30 septembre 2002). Preuve que, et comme le
note si bien les observateurs, lorsqu'on le monde politique, biblique,
veut attaquer l'Islam de front, les clivages gauche droite
disparaissent vite, sont inexistants... (Coran IX 33 . LXI 7-8). Avis
aux récalcitrants !
La
Tradition prophétique. Le défi. Cette dernière est inexistante
de nous jours chez les gens de la Bible. Chez les gens de la Tora,
il faut plus parler de tradition rabbinique
que de tradition laissée et héritée de Mochè et de Haroun
(sur eux la Paix !). Chez les gens de l’Évangile,
il nous faut plus parler de traditions héritées du Paganisme et que
le Christianisme a reconduit…
Soumission. Dans l’Islam traditionnel,
la Tradition, à notre époque semble faire peur à plus d’une personne.
Aussi bien dans l’Islam qu’à l’extérieur. Deux choses ont été léguées
à notre Communauté : Le Livre de Dieu, le Coran et la Tradition.
Les suivra-t-on ? Alors nous serons bien guidés et HEUREUX dans
ce monde et dans l’autre. L’inverse, nous nous égarerons et nous retomberons
dans l’ignorance la plus complète. Constatation. Les gens soumis,
non d’origines européennes, sont le plus souvent venus en terre d’Europe
et en terre des Gaules, avec leurs habitudes de leurs pays respectifs,
qu’avec la Tradition prophétique. Certains, dans leur égarement, ont
même confondu « habitudes locales, traditions locales, mœurs »
avec Tradition prophètique ! Faute impardonnable, car ils ont
donné à la Religion divine, une image dénaturée, fausse.
L’impact
de la Tradition prophétique. Elle touche tous les niveaux
de la société et de la vie courante de l’homme soumis, croyant, pratiquant,
observateur de son culte.
Ex. : le manger doit être sain. Commandement divin (Coran II
57, 60 ; V 88, etc.). De même, s’habiller correctement pour le
monde féminin comme masculin. Commandement divin (Coran VII 26 ;
XVI 14, etc.). Le port de la barbe pour les garçons, la façon de manger,
rapports entre époux, etc. Exaspération.
La personne ne comprennent pas forcément le sens et la valeur de la
Tradition prophétique est obligatoirement exaspérée. Pour elle et
selon elle, ne saurait-on pas proclamer, comme d’aucuns le voudraient
aujourd’hui, la mort pure et simple de la « Tradition prophétique »
et sa réforme sous la houlette d’une idéologie unitaire : le
Laïcisme, qui n’a jamais existé que dans l’imagination de ses partisans.
L’unité n’est pas l’uniformité et ce n’est pas en mettant tout le
monde au pas d’un « nouvel ordre » laïc ou républic-ain
que l’on obtiendra l’unisson. La peur.
L’obéissance à la Tradition, n’est-ce pas l’Obéissance au divin Créateur ?
N’est-ce pas l’obéissance à Son messager ? Que dire du contraire ?
Cette distinction, il est bien évident, que comme Coré,
les gens hostiles à elle, n’en veulent pas. Car ne permet-elle pas
de distinguer l’obéissant du désobéissant au divin Créateur et
Législateur
?
Voter.
Le vote à bulletin secret. Voter pour ou contre… Ce genre de pratique
nous vient droit du monde biblique. Pour consulter sur tel ou tel
projet précis, on a pensé à ce genre de mode de scrutin. Est-ce bien
efficace ? En accord avec notre Tradition ? Ce qui est valable
pour le monde in-soumis, peut-il devenir une règle générale pour tous ?
Selon l’idée reçue, sans aucun doute. Toutefois, et à la lumière de
l’enseignement laissé par nos pieux Anciens, on notera qu’à ce genre
de consultation, une autre forme de consultation a été proposée. Plus
efficace et en accord avec notre Tradition. Et là, il faut bien le
reconnaître peu de gens connaissent cette forme de consultation. Efficacité.
Le mode proposé de vote à bulletin secret n’a jamais montré son efficacité.
La fraude étant son lot permanent de malheurs. De plus, les adversaires
à tel ou tel projet, personne, parti, etc., accepteront-ils le résultat
des urnes ? L’histoire de ce mode de consultation n’a-t-il pas
montré ses limites, son incapacité, sa faiblesse ? Alors pourquoi
ne pas revenir au mode proposé par notre Tradition ? Les votants.
Qui votera au projet proposé ? Est-ce seulement les personnes
concernées : les croyants, soumis, pratiquants, observateurs
de leur culte ou tout le monde ? Et où se déroulera cette consultation,
ce vote ? Dans les Lieux de Culte ? Autant de questions
qu’on est en droit de se poser.
Déroulement des élections. Avant
goût de ce que pourrait être cette future assemblée. Alain Billon :
On ne participera pas à ces élections de façon individuelle nominative,
comme en Belgique. La laïcité
interdit que l’on puisse, sous le couvert de l’État, dresser une liste
de membres d’un culte quel qu’il soit. Il ne peut donc y avoir de
listes électorales nominatives, ce qui a posé lourd dans la façon
d’organiser l’élection.
Le seul élément que les pouvoirs publics puissent reconnaître, ce
sont les lieux de culte gérés en associations déclarées auprès de
la préfecture : on ne peut pas faire la liste des musulmans,
mais on peut faire celle des lieux de culte musulmans. Cette contrainte
en amène une autre… Comme l’importance de ces lieux est très diverse,
il a fallu les pondérer, et la seule méthode possible, même si elle
n’est pas entièrement satisfaisante, a été la prise en compte de la
surface de la salle prière.
Les lieux de culte seront donc représentés selon leur importance,
elle-même déduite de leur taille, par un à quinze délégués. Exception
faite pour la Mosquée de Paris
qui a droit à trois points supplémentaires, en raison de son importance
symbolique et historique
(..) Les mosquées peuvent très bien désigner un converti parmi les
délégués, mais il n’y aura pas de représentants particuliers des convertis
(mis à part Eric Geoffroy, qui fait partie des personnes qualifiées).
De la même manière, nous avons souhaité qu’il y ait des délégués femmes,
et il y aura certainement quelques-unes, mais il n’y a pas de quotas,
ni de représentation particulière pour aucune catégorie. C’est à dire
probablement peu de femmes, et nous le déplorons fortement.
C’est une réalité à laquelle les pouvoirs publics ne peuvent rien.
Ce n’est pas à eux de décider
comment doit être l’islam.
Nous avons simplement à vérifier
que l’islam se conforme aux lois,
aux règles et à la jurisprudence
républicaines.
On peut souhaiter des choses, les dire, mais on ne peut pas aller
au-delà. (…)
Les personnalités qualifiées seront,
qualifiées seront, comme tous les participants à la consultation,
membres de l’assemblée générale qui élira les instances de l’association.
Les statuts, qui ne sont pas encore finalisés, veilleront à ce qu’elles
soient maintenues à tous les niveaux, jusqu’au bureau. » (Terres
d’Europe. N° 6).
Comédie
en trois actes. Selon
Alain Pascal : Depuis le début des Temps modernes, le plan des
initiés est la fin du politique en Europe. Pour ce faire, les forces
occultes ont d’abord renversé la monarchie franque pour lui
substituer une République qui leur a permis de tenir le peuple dans
l’illusion du suffrage… (La guerre des gnoses. Edit.
L’Aencre). Selon
Jean Izoulet : Les Philosophes
voulaient triplement
transformer l’Eglise :
1°
D’abord la nationaliser, en
la détachant de Rome ;
2°
Ensuite la démocratiser, en y
introduisant le suffrage universel
;
3°
Et enfin la socialiser, en
l’identifiant à la vie civile.
Par
cette dernière transformation, ils entendaient, disait-on, rendre
l’Etat Souverain en Religion comme en Politique, et ainsi refaire l’Unité de la Cité. (. « La
rentrée de Dieu dans l’Ecole et dans l’Etat ou la Philosophie de
l’Histoire de France. » Edit.
Albin Michel. 1925.)
N’est-ce
pas le sort qu’on veut réserver aussi à l’Islam en France ?
Qu’on en juge :
1°
D’abord la nationaliser, en
la détachant de La Mecque ;
2°
Ensuite la démocratiser, en y
introduisant le suffrage universel
(vote pour une consultation, formation d’un conseil représentatif,
etc.) ;
3°
Et enfin la socialiser, en
l’identifiant à la vie civile.
Par cette dernière transformation, le monde politique, biblique,
n’entendait-il pas rendre
l’Etat Souverain en Religion comme en Politique, et ainsi refaire à sa façon
l’Unité de la Cité ? Ce qui ne pourra
que ravir le cœur de ceux et de celles qui ont pris leur propre
religion en aversion.
L’avenir.
Vers quoi doit tendre l’avenir. Vers des jours meilleurs. Pour l’Europe,
biblique, vers une reconnaissance des messages toranique, évangélique
et coranique. Vers une reconnaissance pleine et entière de la Religion
divine à tous les degrés de la société. Pour cela, ne faut-il pas :
1°) un vrai ministère
du (ou des) culte(s). Tant en France qu’en Europe ?
2°) une loi qui élève
la Religion au degré non associatif mais d’une institution nationale
?
3°) une reconnaissance
officielle des ministres du Culte : biblique et coranique ?
4°) un changement
d’une mentalité suite à l’entrée dans différentes sphères de la société
d’éléments nouveaux. Nous sommes en l’an de grâce 2000 non en l’an
de grâce 1789. De grâce !
Non
à la République athée.
Faut-il associer sa voie à la clique laïcarde et maçonnique qui
hurle contre le port du voile islamique à l'école ? La seule chose
que ces gens-là veulent c'est de voir disparaître toute trace de
religion à travers la France, ainsi que toute trace de valeur
morales.
Avec
la complicité active de toutes les églises chrétiennes, ils y ont
parfaitement réussi. Aujourd'hui ils butent sur un problème qu'ils
n'avaient pas prévu : l'islam ! Par son absence de clergé et de
hiérarchie l'islam est beaucoup plus difficile à pervertir que le
catholicisme : on ne peut pas y pourrir la tête qui pourrira tout le
corps. C'est bien pourquoi la France laïque essaie de créer une
hiérarchie musulmane dans notre pays ; tant pis si au début ses
représentants sont des ultras conservateurs, l'or des palais
nationaux en a adouci plus d'un et un jour viendra, pensent-ils, ou un
genre de Paul VI musulman apparaîtra pour faire un « Coran II » et
se rallier à la République. (de Thomas Deymié. Rivarol. n°
2631)
Demande
de pardon. Très en vogue à notre époque. Dans ce cas, le
républicanisme, en terre des Gaules, ne devrait-il pas demander
pardon contre les atrocités commises à l’encontre d’une des parties
de sa population : la Royauté et l’Eglise catholique ? De
même, les gens de la Réforme, les gens du monde toranique, les gens
du Dualisme ne devraient-ils pas se joindre à cette demande de pardon
officielle ?
Nouvel
ordre mondial. L’Islam en ligne de mire. Les attaques,
depuis la chute du Nemrodisme russe, sont chaque jour de plus en plus
vives. Mais que rejettent donc les adversaires de l’Islam, tant à
l’intérieur qu’à l’extérieur ? La réponse : ce sont les
Signes de Dieu. Pour preuve :
Le père de Sâlih a dit : « L’ange Gabriel
vint un jour vers le prophète (sur lui Prière et Paix !) alors que
celui-ci était assis et triste. L’ange lui dit :
« Qu’est-ce
qui t’attriste ? »
Il dit : « ces
gens me déclarent menteur ! »
L’ange lui dit alors
:
« En
vérité, ils ne considèrent pas comme menteur ; ils savent que tu es
véridique, mais ce sont les Signes
de Dieu que les gens
injustes rejettent. »
Le père de Ishaq rapporte
que Nâdjiya a dit : « Abou Djahel
dit un jour au Prophète (sur lui Prière et Paix !) : « Ce n’est
pas toi que nous mettons en doute, mais nous mettons en doute ce que
tu transmets ». C’est alors que Dieu révéla : « Or, en vérité,
ils ne te considèrent pas comme un menteur, mais ce sont
les Signes de Dieu que les gens injustes rejettent ». (Coran
VI 34).
Secundo :
Pourquoi refuser la Toute-Puissance divine sur nous ? Et pourquoi
ne pas estimer Dieu à sa juste valeur ? Et pourquoi imiter les
gens de l’Ignorance ? La réponse :
Abd Allah fils de Kathîr rapporte avoir entendu
Moudjâhid expliquer ainsi ce verset : « Ils n’ont pas apprécié
Dieu à Sa juste Valeur quand ils ont dit : « Dieu n ’a
jamais rien fait descendre sur un homme ! » : c’était là
les paroles dites par les associateurs [arabes] qoreichites [mecquois]
;
« Dis [leur] : Qui donc fit descendre le
Livre que Mochè a apporté en guise de lumière et de guidance pour
les hommes, qu’ils [les judaïsés] mettent en des parchemins qu’ils
exhibent tout en dissimulant beaucoup ? » : il s’agit là des
Juifs qui exhibent ces parchemins tout en dissimulant une grande partie
[de ce qui s’y trouve énoncé]
« Il
vous a été enseigné ce que vous ne saviez pas ni vous ni vos pères »
(Coran VI 91) : ce passage concerne les gens soumis ».
Le
fils d’Abbas a dit : « Ils n’ont pas estimé Dieu à Sa véritable
Toute-Puissance » : c’est là les propos des impies [mecquois]
qui ne croyaient pas à la Toute-Puissance de Dieu sur eux. En effet,
celui qui croit que Dieu est sur toute chose Tout-Puissant estime
vraiment Dieu à Sa juste Valeur et celui qui ne croit pas à cela ne
L’estime pas à Sa juste Valeur ».
Que le Seigneur
des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !
Lire
et re-lire :
Les
RG convoquent l'islam à la préfecture
Libération - Société
Les personnes doivent se munir d'une carte d'identité
ou passeport, carte de séjour, de Sécurité (...) http://www.liberation.fr/page.php?Article=59260
http://www.liberation.fr/page.php?Article=59471
http://www.liberation.fr/page.php?Article=59493
Les
imams dénoncent un «processus colonial»
Libération - Société
après l'indignation, la mobilisation. L'onde de choc provoquée par la
convocation intempestive des (...) http://www.liberation.fr/page.php?Article=59982
MICHÈLE
TRIBALAT à propos des projets de Nicolas Sarkozy : « L'État
a beaucoup cédé aux fondamentalistes. Je lui reproche son manque de
fermeté » http://www.proche-orient.info/xjournal_pol_int.php3?id_article=5975
Les musulmans pressés de s'unir. Sébastien MARTI.
http://www.ladepeche.com/aff_art_rech.asp?Ref=20021022009&rub=&mots=Les+musulmans+press%E9s+de+s%27unir
Libération
: La consultation des musulmans ralentit Désaccord
d'une association sur le principe de cooptation voulu par Sarkozy. Par
Daniel LICHT jeudi 31 octobre 2002 ... http://www.liberation.fr/page.php?Article=62231
Les évêques de France réunis à Lourdes
RELIGION . A l'occasion de l'assemblée plénière des évêques
de France , leur
représentant Mgr Ricard a déclaré dimanche que "la religion ne
saurait être
cantonnée dans le pur domaine des opinions privées".
http://permanent.nouvelobs.com/societe/20021104.OBS2248.html
Point de vue : Michèle
Tribalat
«Au moins pour le moment, les Frères musulmans et le Tabligh ont plus
d’avenir en France que l’islam de Dalil Boubakeur» Article
paru dans le N° 771
Coran V 57.
« La composition de l’istichara marque une faible représentation
des femmes, ainsi l’absence de jeunes, et de musulmans non-pratiquants
bien que largement présents dans les associations culturelles. Ces
absences remarquées laissent augurer un futur C.F.C.M. ne prenant
pas en compte ces catégories participant pourtant à la vie du culte. »
(Farid Mebarki. Revue : Terres d’Europe. N° 6). Les
non-pratiquants, les non observateurs de notre culte se retrouvent
donc dans un vivier, celui de la culture !
Selon Michel Morineau : « D’abord cette idée que deux
systèmes de valeurs se partagent le monde : l’un issu de la
Révolution française et au-delà de la philosophie des lumières ;
l’autre s’incarne dans l’Église catholique, dans sa réalité de puissance
organisée entreprenant par tous les moyens (y compris la force) d’imposer
sa domination idéologique et temporelle sur l’esprit et le comportement
des individus : attitude caractéristique du cléricalisme. Quand
Gambetta s’écriait le 12 août 1881 :
« le cléricalisme, voilà l’ennemi », il exprimait l’opinion
commune de tous ceux qu’animait la conviction que l’homme est la
fin et la mesure de toute chose (…).
Au fond, Gambetta [homme
du monde toranique] n’allait pas encore assez loin dans son accusation :
c’est bien l’Église qui était l’ennemie du progrès et de la démocratie »
(Cité dans la brochure A.F.S. Vers une nouvelle religion :
la laïcité, p.6. Bulletin de commande en dernière page.).
Le monde de la Mécréance et de l’Athéisme a
toujours eu la haute main sur le Christianisme, en général et à
tout époque. Et ceci depuis que Paul a dénaturé le message évangélique.
Ce même discours n’existe-t-il pas envers l’Islam en terre d’Europe ?
N’accuse-t-on pas les Religieux d’avoir la main haute sur les faibles
d’esprit ? La politique n’étant là que le relais de la Mécréance
et de l’Athéisme. N’est-ce pas là le triomphe du Faux-Messie ?
Selon Arnaud de Lassus : Rappelons que le mot laïcité peut
être pris en deux sens. Il désigne :
- soit la saine laïcité (juste distinction
des rôles et des pouvoirs de l’Église et de l’État) ;
-
soit la laïcité issue des principes de 89, celle dont il
est question ici. Cette laïcité (mauvaise) est fondée sur un principe,
la religion est une affaire strictement privée, et deux corollaires :
l’État doit être séparé de l’Église ; il doit être neutre en
matière religieuse et philosophique. Il s’agit là d’une doctrine
à laquelle les francs-maçons sont très attachés : « La
laïcité reste (…) au cœur de la pensée et de l’action des francs-maçons
(…). L’ensemble des maçons, quelle que soit leur obédience, s’accordent
pour condamner toute immixtion d’une religion dans la vie politique,
économique, sociale, culturelle et en particulier dans le domaine
de l’éducation. « L’Église est une affaire privée, pas une
affaire publique » » (P. Burnat et C. de Villeneuve. Les
francs-maçons des années Mitterrand, p.63-64).
Conclusion : Les Loges, les sectes occultes
ont pour religion le Dualisme ou le Magisme. Deuxièmement :
Leur principale occupation : la Magie. Et comme tout magicien,
ils sont subjugués par le pouvoir, la politique… Ex. : voir
et étudier la vie de Pharaon, lequel s’entoure de magiciens. Le
combat du prophète Mochè (Moïse) (sur lui la Paix !)… Troisièmement :
Actuellement, le républicanisme les pouponne, les choie. N’occupent-ils
pas les plus hautes fonctions du républicanisme ? Les plus
hautes instances de l’État les reçoivent, les sollicitent... La
presse s’est faite l’écho de scandales, mais… Quatrièmement :
Ils ont pris leur passion pour dieu (Coran XXIV 43). « Si l’individu
se soumet à une autorité, quel que soit son nom : Dieu, Humanité,
Société, loi écrite, loi morale, il est infidèle à son « Moi »,
à son « Ego » » (Francis Viaud, grand-maître du
Grand-orient,
Mon itinéraire maçonnique, p. 83.) Autant de choses auquel tout
croyant soumis, observateur de son culte, ne peut adhérer. Oui,
à l’État, non aux adorateurs du Diable maudit et banni et à sa science
maléfique : la Magie et ce qui suit...
Selon Rachi : « A partir de David, ce sont les Exilarques qui
commanderont le peuple avec leur spectre. Car ils seront nommés
par le roi. » Selon E. Munk (Bible. Gén. 49:10) : « ...Ce
qui, en revanche, peut paraître dubatif, c’est la portée du Patriarche
a lui-même voulu donner à sa phrase. S’agissait-il d’un pronostic
de l’évolution future ou d’un ordre impératif qui instituait la
tribu de Juda en « tribu royale » à l’exclusion des autres
tribus ? Cette opinion est celle de Maïmoune (...) et de Nahmanide,
pour qui la souveraineté des rois issus d’une autre tribu que celle
de Juda représente un acte illicite d’usurpation. Aussi cette souveraineté
ne fut-elle généralement que d’une portée passagère. Tel fut le
cas de la dynastie des Hasmonéens, descendants des Lévites, dont
le règne s’effondra dans le déshonneur au bout de quelques générations.
(Elle s’était rendue coupable, en outre, du cumul des fonctionc
sacerdotales et royales, ce qui est contraire à la loi exprimée
à Nbr. XVIII, 7).
Mais R. Nissim de Gerondi objecte que si les
paroles du Patriarche équivalent à un commandement, il faudrait
admettre que tous les rois du royaume d’Israël furent usurpateurs,
et que, d’autre part, son ordre ne fut jamais pleinement exécuté
sauf à l’époque de David et de Salomon qui régnèrent sur les douze
Tribus. Ainsi conclut-il que ces paroles ont le caractère soit d’une
prophètie soit d’une bénédiction qui se rapporte à une époque de
souveraineté nationale (ce qui met en cause les rois hasmonéens)
et qui n’envisage que la période historique « à partir de David »
(cf. Rachi), c’est-à-dire à partir du règne de Juda (ce qui met
le règne de Saül hors d’atteinte). Désormais, le spectre n’échappera
plus jamais entièrement à Juda (...). Les Tossaphites estiment que
notre phrase a la signification d’une bénédiction (Yoma, 26 a) dont
l’effet n’a cependant été que partiellement atteint en raison de
l’indignité de certains représentants de la lignée davidienne (II
Sam. 7)... »
Dans « L’avenir des religions en France », Charles Benamou
d’écrire : (…) Quelle que soit la religion, catholicisme, protestantisme
ou judaïsme, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen
ne la reconnaît qu’en tant qu’opinion dont l’État se réserve le
droit de contrôler l’expression. La religion n’est donc plus
qu’une affaire privée.
La Révolution place ainsi toutes les religions sur
un plan d’égalité. C’est un changement considérable pour le catholicisme,
qui y perd tout ses privilèges et ses moyens de contrainte, et doit
par ailleurs affronter de nombreuses offensives laïques. (Op.
cit. Ed. du Rocher).
Constat. Dans la société biblique actuelle,
pour partie de cette dernière, la « religion » est donc
une « opinion » ! Idée et croyance, dirons-nous,
très ancienne du Sabéisme (par extension du Paganisme). En clair,
par question d’admettre qu’au-dessus de l’homme, il existe un dieu,
un divin Créateur, un divin Législateur, un divin héritier des cieux
et de la terre : Dieu (exalté soit-Il !). Des messagers
à Lui, des Livres révélés ? etc. ! Combien Dieu est au-dessus
de ce qu’ils décrivent et Lui associent ! Et au Jour des Comptes,
tous ces genres d’idéologues et leurs affidés ne verront-ils pas
leur « opinion » se transformer en cauchemar ? Secundo :
l’auteur de cet ouvrage fait la même erreur que l’idée répandue
parmi les gens de la Bible, à savoir : le catholicisme est
une religion, le protestantisme une autre ! Nullement. Tous
lisent le même Livre : la Bible. Tous s’en réclament. Le Protestantisme
n’est rien d’autre qu’une secte du Catholicisme (ou une sous-secte).
Tous forment le Nazarénisme (ou le Christianisme ou la Chrétienté
ou le monde chrétien). Tous sont gens de l’Evangile. Troisièmement :
Comment ces mêmes gens qui demandent à grands cris, la séparation
du spirituel et du temporel ; osent-ils encore demander, et
ceci à travers l’État, « que l’État se réserve le droit de
contrôler l’expression » ! Comment comprendre que nous
ne sommes pas dans un État policier, à l’instar de l’État bolchévique
d’antan ? Les lépreux de la société ?
D’où l’importance d’une nouvelle loi concernant les Cultes. Loi
ayant un rapport avec notre époque et notre environnement. A cette
question posée à Michèle Tribalat : C’est pourquoi une procédure
qui peut marquer un début de transparence… R. : Il faut donner
à l’islam les moyens d’exister. Pour l’heure, on se contente de
faire voter les musulmans sur leur future organisation mais, en
même temps, on les oblige à panacher les listes pour écarter ceux
que l’on considère comme islamistes… On ne peut pas instaurer des
procédures démocratiques et en même temps vouloir tout contrôler.
On peut dire en l’occurrence, l’État manque singulièrement de courage.
Pourtant la loi de 1905 contient assez d’articles permettant d’assurer
l’ordre public. Au lieu de cela, comme par reflexe postcolonial,
on assiste à un dévoiement complet d’un texte législatif fondamental
– la loi de 1905 – mais visiblement inadapté à l’islam, et pour
cause puisque le contexte historique est radicalement différent.
Cela se caractérise entre autres par un faible nombre de lieux de
prière, peu de ministres du culte, bref par une religion désorganisée,
sans rapport avec les cultes reconnus en 1905… Ce détournement
législatif fait qu’aujourd’hui, l’immense majorité des associations
musulmanes relève du statut de la loi 1901 sur les associations.
Quand on organise l’islam, on le fait passer du cultuel au culturel.
Les pouvoirs publics peuvent donc exercer les pressions qu’ils
veulent sur des associations loi de 1901 auxquelles on accorde ou
non des subvensions. C’est un pouvoir énorme entre les mains des
maires. On peut dire qu’il y a un sacré contraste entre la générosité
dont on prétend faire montre en matière de liberté religieuse et
la liberté du traitement de l’islam…
Autre question : Vous n’avez de cesse de pointer le
traitement inégalitaire auquel l’islam est en fait soumis. R.: Au
lieu d’adapter une loi faite pour régler une situation historique
précise il y a un siècle, on veut à tout prix faire entrer l’islam
dans le moule existant, quitte à être en contradiction avec la jurisprudence
européenne. Nous courons le risque d’être accusés par celle-ci de
traitement discriminatoire pour ne pas accorder le statut de « vraie
association cultuelle » à tel ou tel. Il ne s’agit pas de rattraper
l’histoire mais de traiter enfin l’islam comme les autres religions.
Ce ne peut être le début d’une refonte de la loi de 1905. (Op.
cit.)
Ministère ne relevant pas de l’Intérieur. A quand ce retour ?
On note qu’à cette époque, le Bouddhiste, l’Islam, etc., ne font
pas partie de cette règle.
Entendre : catholique.
L’idéologie maxisante ou socialisante, d’obédience juive, semble
être le fer de lance de l’Athéisme et de la Mécréance. « Le
mouvement socialiste est pour sa plus grande partie, une œuvre des
Juifs. » Alfred Nossig, Juif, dans son livre « Intégrales
Jdentum » (Berlin 1992). N’a-t-on pas pris, dans ce milieu,
sa passion pour un dieu (Coran XXVIII 50 ; XLV 23) !
Nouveau rappel : Les catholiques et les protestants, et contrairement
à l’idée reçue, ne forment qu’une seule et unique religion. Le problème
est de savoir qui détient la vérité entre gens de l’Evangile, d’une
même confession. A l’époque, il y a donc deux religions : gens
de la Tora + gens de l’Evangile. Reste à savoir à qui allait-on
tordre le cou ?
la franc-maçonnerie qui a pour religion le Dualisme, n’a jamais
eu envers les autres religions une grande sympathie et notamment
envers certaines gens du monde de l’Evangile. Qu’on se rappelle
les guerres incessantes entre la Chrétienté, d’une part, et les
gens du Dualisme, la Perse antique d’autre part. L’arrivée de l’Islam
dans cette partie du monde mettra fin à ce conflit perpétuel… Le
combat nouveau sera cette fois, pour les gens de l’Evangile, à travers
le Dualisme enseigné par les loges, les sectes occultes et autres.
Combat qui fera de nombreux dégâts de par et d’autre. Qu’on re-lise
l’Histoire du monde évangélique européen !
Si tel était le cas, l’Eglise de France allait perdre son autorité,
son unité, à la grande joie de ses adversaires.
Sans plus attendre !
La Religion divine, la Religion révélée, la Religion de Mochè, la
Religion du Messie, fils de Marie, la Religion de la Soumission
ne peuvent être une loi de telle année de l’an de grâce de.. Ni
une simple loi associative. Une simple loi mettant la Religion divine
au même plan, au même niveau que toute autre association :
sportive, culturelle, athée, philosophique, etc. Ou sur un même
pied d’égalité. Si tel est le cas, n’est-ce pas avoir de son divin
Créateur et Législateur la plus mauvaise des opinions ? La
Religion divine mérite plus de respect, plus de valeur. Elle est
une institution de l’État, une partie intégrante, et non « chose »
à part ou réservée à un cercle privé ou à des gens bien spécifiques
ou à des gens atteints par l’âge ou des pauvres d’esprit.
Actuellement, il apparaît clairement qu’on veuille gérer le Culte,
non par des religieux, mais uniquement par des gens laïcs d’origines
d’Afrique du Nord, de la diaspora. Ainsi verra-t-on, le boucher,
le dentiste, le cultivateur, le pharmacien, le docteur, etc., gérer
ce qui ne les regardent pas ! Du jamais vu, sauf dans les régimes
de la pensée marxistes-léninistes, et que partie du monde arabe a
ajouté foi et loi !.
Art. 2. Ce choix se fera sur une base cultuelle, à partir des édifices
du culte musulman. (Accord-cadre sur l’organisation future du culte
musulmuman en France.)
En clair, on élie une assemblée n’ayant aucun
rapport avec les Savants religieux. En langage laïc, biblique, ce
sont les laïques, les personnes n’ayant jamais étudié notre religion
qui la dirige ? Du jamais vu ! Cela ressemble-t-il pas
à d’autres religions comme : le Sikkhisme, le Bahisme, le Druzisme,
etc. ? En fait, ne va-t-on pas, pas à pas, vers une dé-sislamisation
de la Communauté ? N’oublions pas ce qui c’est passé avec la
Révolution. Pour preuve : Les comportements sexuels se libèrent,
la pratique décroît, le livre religieux ne se vend plus aussi bien…
tous les indices concordent. (…)
L’apogée du sentiment antireligieux est atteint
avec la révolution jacobine, qui impose une laïcisation de la vie
publique. Les registres de l’état civil sont retirés à l’Église,
le divorce est institué, le calendrier chrétien et les fêtes catholiques
supprimés. Mais surtout, la déchristianisation vise les objets du
culte et le clergé. Des cultes de substitution sont mis en place :
le culte de la Raison, le culte de Marat et le culte de l’Être suprême
sont autant de signes de rejet de la religion.
Après 1830, une direction des Cultes, autonome,
est instituée et elle sera, jusqu’à la séparation des Églises et
de l’État, l’intermédiaire obligé (Op. cit).
« Il est invraisemblable, dit C. Guignebert, que des Juifs,
même convertis au christianisme, en soient venus à ce degré d’audacieuse
impiété : l’exemple de Paul suffit à nous en persuader, il vénère
la Loi, tout en déclarant insuffisante pour assurer à l’homme le
salut ». (Le monde juif vers le temps de Jésus (1969),
p. 228).
C’est pourtant ce à quoi appelle les gens de la Bible, et partie
de la diaspora des gens d’Afrique du Nord en terre des Gaules. Dans
cette communauté n’a-t-on pas vu certains de leurs représentants
s’exprimer contre la Loi ? La décrire comme étant une Loi ringarde,
inadaptée pour/à notre siècle ? Lire la presse…
Constat. Michèle Tribalat, directrice de recherches à l’Ined (Institut
national d’études démographiques), ex-membre du Haut Conseil à l’intégration,
de déclarer concernant son ouvrage, et à cette question : Votre
ouvrage insiste beaucoup sur les passerelles organiques entre islam
et islamisme. R. : Nous nous sommes contentés d’écouter les
discours et nous avons remarqué que même les milieux dits modérés
développent une sacralisation de l’histoire, du Coran, et un attachement
profond à la charia (la loi islamique, ndlr). Autant de modalités
qui quadrillent la vie de l’individu sans favoriser la liberté d’opinion
ni l’inventivité, etc. L’islam orthodoxe se donne à voir comme une
pensée close. (Propos recueilli par Daniel Licht. Libération, 6
octobre 2002).
Nous dirons : Nous ne sommes pas Fils d’Israël
d’antant, Judaïsés, gens du monde biblique, pour contester ce qui
vient de la part de notre Seigneur et Législateur : Dieu (exalté
soit-Il !) (Coran II 61). C’est cette « soumission »
qui semble mettre en colère et exaspère bon nombre des adversaires
de la religion divine et bon nombre de gens hypocrites du monde
islamique. Pourtant ne méditeront-ils pas sur cette parole coranique :
Coran III 64. Sans doute, nous ressemblons, d’une certaine façon,
aux Grecs de l’Antiquité. Ces Grecs que le monde européen ne connaît
ne reconnaît plus. Alors pourquoi se réclamer d’eux ?
La valeur des mots a son importance. Qu’on en juge : « Il
y aurait beaucoup à dire sur la faveur présente dont bénéficie un
certain christianisme culturel. Réduit à lui-même, celui-ci consiste
à comprendre le christianisme en mettant la foi en suspens. On en
ferait alors un pur objet culturel, au même titre que la peinture
ou la littérature, voire même un « objet pour la raison ».
C’est, me semble-t-il, faire abstraction de la spécificité du religieux
dans la culture humaine. Un enseignement ainsi inspiré des sciences
religieuses ou de l’histoire religieuse fait courir le risque de
donner à entendre que l’enjeu dont les religions sont porteuses
pourrait être appréhendé par une démarche neutre, ou pseudo-objective.
En cette matière, il convient de se méfier du discours en survol,
du mirage du spectateur absolu et de la fausse neutralité. Il reste
que, dans l’étude du passé culturel, l’importance de l’impact du
christianisme soit pleinement reconnue. Cela n’impose pas l’introduction
d’une discipline séparée, mais plutôt un changement, une ouverture
dans plusieurs disciplines existantes. Procéder ainsi ne consiste
pas à séparer le fait religieux pour en faire un objet autonome,
mais à explorer tous les faits de civilisation, sans occulter la
manière dont le christianisme les a marqués en s’y inscrivant »
(La démocratie rend-elle l’éducation impossible ?, Édit. Parole
et Silence, 1999 – p. 155-156). Affaire à méditer !
à l’instar des lois d’essence divine.
Selon Alain Bauer – Grand maître du Grand Orient de France :
En outre, la France républicaine et laïque n’est pas un modèle en
Europe ; elle serait plutôt une exception. Le meilleur exemple,
l’actualité nous l’a fourni récemment lors de la rédaction de la
Charte des droits fondamentaux supposée devenir le préambule de
la Constitution européenne. On a assisté à une coalition de forces
conservatrices pour retirer du texte l’expression « héritage
humaniste » au motif que celle d’« héritage religieux »
n’avait pas été retenue. L’héritage humaniste prenait pourtant en
compte l’humanisme chrétien, juif, musulman… Quel pourrait être
le contenu d’un héritage religieux commun en Europe, marquées par
les guerres de religion ? Enfin, ce que nous croyons chez nous
un débat d’hier garde toute son acuité ailleurs, en Turquie, au
Proche-Orient, en Afrique du Nord, etc. (L’Histoire n° 256, juillet-août
2001). Alain Bauer commet la même erreur que ses frères. Les guerres
européennes dont il parle, ont été surtout des guerres entre gens
d’une même religion et suivant le même Livre : l’Evangile ou
la Bible. C’est et c’était une guerre entre sectes (ou schismes).
Ajouter à cela, le monde européen à l’esprit guerrier. Il a toujours
voulu conquérir, dominer au delà de ses frontières. Par terre, par
mer et par air.
« A la surprise de ses collaborateurs, dès sa nomination comme
président de la Convention sur l’avenir de l’Europe, Valérie Giscard
d’Estaing avait très nettement sollicité l’avis de plusieurs obédiences
maçonniques européennes (qui avaient déjà été très influentes lors
de la rédaction du projet de la Charte des droits fondamentaux,
d’où toute allusion à la dimension chrétienne de l’Europe fut alors
soigneusement éliminée) sur la construction de l’Europe future (Source :
F&D. N° 139). Preuve que le monde du Dualisme et de la Magie
s’impliquent à fonds dans la politique… Çà promet des jours heureux
pour Satan le lapidé et ses affidés !
Exemple : Jean-Yves Le Gallou de dire dans un entretien avec
Minute : L’Europe, c’est 4000 ans de civilisation ! […]
Nous devons défendre aujourd’hui la civilisation européenne, à la
fois parce que c’est la nôtre et parce qu’elle est aujourd’hui attaquée !
[…] L’islam est une religion conquérante qui a toujours été en conflit
avec l’Europe. Il véhicule une culture et une vision du monde aux
antipodes de nos traditions et d’ailleurs contraires à nos lois…
(Op. cit. N° 2073). Il devrait
revoir son analyse !
excellente analyse.
C’est ce genre d’esprit qui est en quelque sorte définit en Islam,
et que bon nombre de gens du monde arabe et étrangers ont dénaturé
après la chute de l’empire ottoman. A l’origine, aucun conflit n’existe
et n’existait entre les activités journalières et la pratique de
la religion.
Nous nous dirons au Culte de la cité, car le divin Créateur
et Législateur est Un !
- Un seul Dieu tu adoreras, et aimeras
parfaitement.
Le père de Aliya a dit : « La Soumission
c’est le culte pur rendu à Dieu seul,
la dévotion à Son égard sans la moindre association, accomplir la
Prière, donner l’Aumône (légale) et s’acquitter des autres obligations
qui en découlent ».
Abd Allah a dit : « Celui qui vient avec
la « bonne action » est celui qui vient [devant Dieu]
avec « Point de divinité excepté Dieu » et celui qui vient
avec la « mauvaise action » est celui qui se présente
avec de l’associationnisme ».
Moudjâhid précise : « « La bonne
action » est la proclamation qu’il n’y a pas de divinité
si ce n’est Dieu, formule de la consécration pure du culte
; quant à la « mauvaise action » c’est l’associationnisme
et la mécréance.
idem. Autour de deux choses après l’obéissance à Dieu
: Le Coran et la Tradition. Dieu est Un !
Nous dirons : le divin Créateur et Législateur, l’Un !
la Communauté. Les affaires de la Communauté. La Soumission, religion
universelle réunissant en son sein des gens de toutes races, langues,
origines, couleurs, etc. Le nationalisme est étranger et en opposition
flagrante avec l’universalisme prêché et enseigné par le divin Créateur.
On s’ouvre au/et sur le monde au lieu de se renfermer sur soi-même.
Tout en respectant autrui et en lui donnant son droit. Pas de suprématie
de l’un sur l’autre. L’Arabe n’étant pas supérieur à l’étranger,
devant le divin Créateur, que par sa piété. Or, à celle-ci de comprendre
trois choses essentielles : Ne pas donner à Dieu des Associés
ou des Égaux ou des co-Créateurs… Ne pas Lui désobéir. Ne pas innover
(bid’ah) en matière de culte.
Ici, nous dirons : Dieu Seul (exalté soit-Il !).
Nous dirons plutôt : les « Lumières » de l’Obscurantisme…
Les idéologues, les philosophes, les adversaires de la Religion,
les Dualistes, etc. ; tous ont voulu renverser l’ordre établi,
l’ordre des choses. Résultat. L’Europe allait être placée dans un
désordre indescriptible. Le sang n’allait-il pas couler à flots
de l’Atlantique à l’Oural ? Qu’on re-lise l’Histoire de France
et de l’Europe ! Pourquoi ? Et pour quelle chose. L’Athéisme
peut-il vraiment remplacer la Religion divine, le sacré ? Être
une source de paix et d’entente cordiale ? Non jamais !
« Voilà pourquoi Dieu leur envoie une influence qui les égare,
qui les pousse à croire le mensonge, en sorte que soient condamnés
tous ceux qui auront refusé de croire la vérité et pris parti pour
le mal. » (Bible. 2. Thess. 2/11).
Uniquement par quelle que chose de plus élevée, plus haut, la Révélation.
Le sacré peut reprendre vit qu’à travers l’Obéissance divine, nullement
à travers une autre idéologie ou une autre philosophie. L’obéissance
divine amène la crainte, laquelle engendre le respect du sacré et
d’autrui. L’inverse, rien.
Et cette fois, à travers la Révélation. Et non, en prenant d’eux
(les Grecs anciens) des choses hors sujet comme la multitude des
dieux, etc.
Nous dirons de Dieu et de l’homme.
En 68, on n’a compris cela : sous le liberticide, le libertinage,
l’ordre libertaire, anarchique, la licence … Et depuis, les mœurs
n’ont fait que de dé-grader en terre des Gaules.
Point principal et central à tout Culte se réclamant de la Révélation.
Pourtant, force est de constater que les gens de la Tora s’en écarteront,
ils seront infidèles à leurs alliances, et plus tard leurs frères
de l’Evangile leurs emboîteront-ils pas le pas (Coran V 65,
66, 68) ?
La révolution venant de l’Angle-terre… Et jusqu’à maintenant, le
monde latin, européen, biblique, n’est-il pas tourné exclusivement
vers le monde anglo-saxon ?
homme très intégré apparemment. Voir ce qui suit.
des « valeurs » peuvent-elles exister dans ce sens ?
Si tel est le cas, comment peut-on parler et « valeurs »
et légaliser, à travers les lois, des choses que le divin Législateur
a interdit dans la Bible même ? Doit-on suivre la Religion
ou demander à cette dernière qu’elle nous suive ? Là est tout
le problème au sein des gens de la Bible, et notamment du pouvoir
politique.
Ne serait-il pas plus correct de dire : des Arabes faisant
appel, pour leurs besoins, à d’autres Arabes comme eux mais cette
fois beaucoup plus riches… Ceci, à travers des États en place…
il s’agit des États arabes riches. L’arabe vivant en terre étrangère
ne peut se détacher du monde arabe. Et si problème il y a, il fera
nécessairement appel à des âmes bienfaitrices de son monde, de son
clan. Ce qui a détruit le monde arabe, c’est son nationalisme à
outrance, rampant, après la chute de l’Empire islamique, représenté
par l’Empire ottoman. Ainsi ne voit-on pas un arabe algérien contesté
un autre arabe limitrophe ? Le dénigrer ? Contester son
origine ? L’ingérence dans ses affaires ? Pourtant, tous
ne font-ils pas partie du même monde, du monde arabe ? Alors
à quand ce « retour » à l’unité ?
des dérogations pourraient être faites dans ce sens, mais… Dans
un article : Les bâtiments des communautés chrétiennes sont
exemptés d'impôts locaux, privilège accordé par la Sublime Porte
[entendre : l’Empire ottoman) en son temps et qu'Israël continue
de respecter. Certains dignitaires ecclésiastiques jouissent de
l'immunité diplomatique et des droits qui en découlent… La plupart
des pays chrétiens n'accordent pas autant de droits et de privilèges
aux dignitaires chrétiens comme le fait l'État d'Israël.
(Les chrétiens, qui quittent les Territoires, sont de plus
en plus nombreux en Israël. Jean-Marie Allafort. Proche-Orient.info.
14 octobre 2002.)
Rappelons que le problème des Gaules est très différent avec celui
d’autres États européens. Ex. : En Belgique, les gens de confession
islamique sont plutôt d’origines marocaines et turcs. En Angle-terre,
d’origines des Indes (Hindoustan). Peu du monde arabe. Allemagne,
d’origines turcs et kurdes. Peu du monde arabe… D’un État à l’autre
les problèmes changent, les lois également, la façon de voir les
choses… La Gaule voit et traite, elle, l’étranger à travers une
idée idéologie et doctrine franco-française : l’assimilation,
l’intégration. On veut absolument que l’étranger mange, parle, réfléchisse
comme le bon gaulois… Les résultats sont plutôt décevants à une
époque où les moyens de déplacements et de communications changent
en permanence et sont de plus en plus rapide. L’erreur. On vit toujours
avec un siècle de retard, notamment en classe politique.
Pour traiter de ce problème épineux, il faut traiter le problème
à sa racine, c’est-à-dire directement avec les pays concernés. La
direction (qiblah) qu’a pris l’homme d’Afrique du Nord n’est nullement
Paris. Sa direction, c’est avant tout son pays d’origine :
Tunis ou Alger ou Rabat. Secundo : l’union fait la force. Le
changement de relations entre États d’Afrique du Nord, ne pourra
que favoriser une meilleure entente pour leurs ressortissants vivants
à l’Etranger dont ceux en terre d’Europe. Dans le cas contraire,
on sera toujours sujet à leurs différents.
A travers de gens d’Algérie, harkis. Lesquels vouent inimitié et
haine envers leurs propres frères d’Algérie. La colonisation, puis
la dé-colonisation, ont scindé en deux l’unité nationale algérienne.
Cela n’a pas fait que des heureux. Mais dans quel but, en terre
des Gaules, les po-li-ticiens veulent-ils les employer ? Pour
espionnage, pour leurs bons et loyaux services, pour devoir de mémoire,
pour diviser la Communauté ? Autant de chose qui laisse perplexe
bon nombre d’observateurs. Les relations avec les gens d’Algérie
ont toujours été conflictuelles et source de divisions… L’homme
d’Algérie, selon les observateurs, étant jugé comme un homme de
nature fier et prétentieux. L’humilité n’étant pas son apanage.
Fondation musulmane Arrahmanîya : Fondation.errahmaniya@wanadoo.fr
9 avenue Camille Pelletan. 13002 Marseille. Mme Rahba Attaf est
à l’origine d’une pétition contestant la légitimité de la consultation.
La diaspora algérienne en France est faite de nationaux, bi-nationaux
et harkis. Ces derniers sont jugés par leurs nationaux comme des
traîtres à l’Algérie algérienne, des collabos, etc. Les fils de
ces derniers peuvent toutefois retourner en Algérie, y aller en
visites, y demeurer, etc. Le problème reste donc, entre l’État algérien,
d’une part et leurs parents, ceux qui ont porté l’uniforme français.
Extraits de la Constitution Algérienne
Art. 2 L'Islam est la religion de l'Etat.
Art. 6 Le peuple est la source de tout pouvoir.
Art. 9 Les institutions s'interdisent les pratiques contraires à
la morale islamique [...]
Naguère, notamment à travers l’amicale des algériens en Europe.
Notamment avec les nostalgiques de l’Algérie. Ne pas oublier que
le monde biblique de France a occupé cette région du monde pendant
plus de cent ans. Tel n’a pas été le cas d’autres régions limitrophes
Et le rôle qu’ils doivent jouer auprès de leur communauté.
Réalité et non fiction. Qui prendra alors le contrôle de notre Communauté,
via cette représentation ?
Dans le climat actuel, en dehors de toute Mosquée. Le problème de
la restitution restant un autre problème à aborder. Pour éviter
surtout l’hégémonie d’une famille régnante, très liée aux gens de
la politique en place ; d’un homme disposant de faveurs de
deux États souverains, et ayant et étant au pays d’origine, responsable
d’une tribu au sahara !!! De quoi étonner Obélix et Astérix ?
il est vrai que les gens d’origines d’Afrique du Nord, ne cesseront
pas de nous étonner !
Au point de vue international, à l’extérieur de la France, bon
nombre de gens croient, par erreur, que la Mosquée du Vème arrondissement
de Paris est la mosquée centrale de la Communauté islamique de France.
Pourtant, il n’en est rien. Elle est, depuis Hamza Boubakeur, et
après l’indépendance de l’Algérie, la mosquée de la diaspora algérienne,
harkie. Le différent entre Hamza Boubakeur et l’État algérien ayant
été réglé, cette mosquée ne cessera pas d’avoir pour responsables
que des gens d’origines algériennes. Les statuts ayant été rédigés
dans ce sens. La contestation de cet état de fait, n’a jamais ému
les pouvoirs publics. Certains politiciens voyant sans doute par
là, un devoir de mémoire envers les gens qu’ils occupèrent pendant
plus de cent ans. On fait plaisir aux uns, et on affiche clairement
son déplaisir pour les autres… Telle a toujours été la politique
des gens du partissisme. Tel Pharaon !
communément appelés : « pieds noirs ». Communauté
faites de gens divers : français, italiens, portugais… Les
gens du monde toranique, d’origine de cette terre, recevront lors
de la colonisation la possibilité de se faire « français ».
Cette attititude, blessante pour les citoyens de cette région du
monde, de même leur refus de voir une indépendance pour l’Algérie ;
verra leur non retour en la terre de leurs lointains ancêtres.
Multiplicité. La grande mosquée se pose en garant d’un islam
républicain respectueux de la laïcité. Elle revendique une place
de choix dans la future instance représentative des musulmans de
France. Cette prétention se fonde sur le poids symbolique de la
plus ancienne mosquée de France mais aussi, surtout, sur le fait
que cet établissement partiellement financé par l’État algérien
serait une référence naturelle pour les fidèles d’origine algérienne.
(Libération. Article : Michel Henry. 6 octobre 2002).
Cette façon de voir, cette prétention, comme
le note si bien Michel Henry, est contesté par bon nombre de gens,
associations, etc. (Voir son article). Secundo : un islam ne
peut être républicain ou d’une toute autre couleur. Au Liban, les
communistes revendiquaient ce genre de chose. Et avant eux, le communisme
mondial. Tel est l’attitude des idéologues. La Religion divine est
donc au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent. Le divin
Créateur a bien rappelé : Et Il M’agrée que la Soumission soit
votre religion. (Coran V 3 ; III 19). Tout
mot rajouté à Soumission n’a pas raison d’être. Si tel est le cas,
il s’agira de deux choses différentes. Le Laïcisme est une religion
que partie des gens de la Bible suivent et se réclament. De même,
partie du monde de la diaspora des gens d’origines d’Afrique du
Nord. Mais est-ce à dire que cette religion doit être universelle ?
Car deux lois s’affrontent. Celle d’essence humaine et celle d’essence
divine. Les créatures pensent-elles venir à bout de leur divin Créateur
et Législateur ? Sont-elles donc devenues comme Nemrod ou Pharaon ?
La créature s’en ira et le Créateur, lui, restera. Et où seront
ceux et celles qui s’opposent à Lui au Jour des Comptes ?
Pour preuve : Le recteur Dalil Boubakeur a reçu la visite
de Nicolas Sarkosy à la Grande Mosquée de Paris. Le ministre de
l’Intérieur a affiché sa volonté de favoriser l’émergence d’une
instance représentative de « l’islam de France », rejetant
le fondamentalisme et préfigurant un islam moderne. En choisissant
de s’exprimer dans la Mosquée de Paris, proche du régime algérien ;
le ministre a renforcé les inquiétudes de ceux qui le soupçonnent
de vouloir favoriser le recteur de la Grande Mosquée, qui se verrait
bien porte-parole de l’islam de France. (Libération –22-
Lundi 7 octobre).
On constate : Premièrement : une immixtion
flagrante d’un ministre dans les affaires du culte d’une communauté
bien distincte : la Communauté islamique de France. Est-ce
conforme à la Constitution ? Et doit-on prendre ses paroles
pour une mise en demeure ? Secundo : Bon nombre de gens
de la Bible, voire leurs affidés d’une partie de la Communauté ;
ne cessent de nous rabâcher ce slogan. Pourtant, l’Islam est une
religion universelle non nationale, non tribale non locale. ! Le
reproche de politiciens de tout bord, d’écrivains, chercheurs, etc.,
du monde biblique, repris quotidiennement par les médias bibliques ;
c’est ce refus du monde islamique de se réformer, de se laïciser,
de tendre vers un islam moderne ! Et les attaques de
ces gens sont surtout dirigés là contre la Loi divine. Le Prophète
(sur lui Prière et Paix !) de l’Islam a été envoyé comme miséricorde
aux mondes. Il nous a commandé à tous de rester unis et non de nous
diviser. Notre Livre divin c’est le Coran. Notre centre, c’est Makkah
(ou la Mecque) : lieu de Direction pour les Prières et lieu
pour le Pèlerinage. Pour partie des gens de l’Evangile, Rome reste
leur centre principal. Pour d’autres, c’est Jérusalem. Pour les
gens de la Tora, c’est Jérusalem. Personne conteste cela. Excepté
le monde du Laïcisme. Lequel monde fait de gens divers, mène une
lutte sans merci pour que les croyants abandonnent absolument leur
centre spirituel, leurs adorations, etc. Font-ils le contraire,
on les taxe alors de tous les noms ! Historicité. Il est vrai
que les divisions, naguère, entre les gens de l’Evangile a donné
naissance à une multitude de sectes ( ou schismes), de haines et
de rancunes. Rome s’est vu ainsi attribué pour rôle d’être le centre
des catholiques. Athènes, des orthodoxes. Londres, des anglicans.
La Suisse, du monde protestant, etc. Leur division a donc donnée
naissance a un culte local, qui très vite est devenu national non
universel. La France, fille de l’Église (romaine) se voyait ainsi,
et à travers la Royauté, la gardienne. Mais ses ennemis et adversaires
ne l’entendaient pas ainsi. Ils lui refuseront ce rayonnement. L’an
de grâce 1789 est là pour nous le rappeler. Maintenant, partie du
monde de l’Evangile de France verrait d’un bon œil ce genre d’alignement
sur leurs positions. En clair, Makkah ne doit pas rayonner et les
Soumis doivent se soumettre aux gens du monde biblique de France,
non au divin Créateur ! Nous devons revenir sur nos pas, abandonner
la Religion divine ! Du jamais vu en matière de Culte !
La maçonnerie à la conquête de l’Église. Carlo
Alberto Agnoli. Ed. Publications du “Courrier de Rome”.
Naguère, le centre international de l’Athéisme n’était-il pas Moscou ?
L’idéologie du national-socialisme-communisme
n’a-t-il pas laissé l’Est de l’Europe, partie de son centre, dans
un état lamentable, catastrophique ? Et que dire de ses pays
satellites notamment partie du monde arabe : Algérie, etc. ?
Est-ce à dire que maintenant cela va être le tour de la partie restante
de l’Europe ? Ne l’oublions pas, le monde de la Magie est un
monde dualiste, un monde assujetti au Démon banni et à sa science
satanique (Voir Coran II 102 et commentaires).
Notamment la liberté sexuelle, l’avortement, la pilule, etc.
cela reste à prouver.
Du côté des gens de la Bible, elle peut, d’une certaine façon être
appliquée. Entre eux. Par contre, pour gens de l’Islam, cela reste
à prouver. Ni l’État ni ses représentants s’appliquent une stricte
neutralité. Les événements de Palestine sont là pour nous le rappeler
au quotidien. Les gens de l’Evangile se rangeant le plus souvent
aux côtés de leurs frères du Judaïsme.
Notion très dualiste. Façon de mettre les gens dos à dos pour mieux
régner…
Nullement. La Religion divine dépasse largement ce cadre. Les gens
sans-religion, les athées, etc., voudraient bien la réduire à un
mouchoir de poche. Ce qui leur permettrait ainsi de mieux s’implanter,
s’imposer. « Ils veulent éteindre avec leurs bouches la
lumière de Dieu, alors que Dieu n’entend que compléter Sa lumière,
quelque répulsion qu’en aient les mécréants. » (Coran IX
32).
Semble concerner surtout ici l’Eglise vaticane, romaine et catholique.
L’Eglise dite de la Réforme, Anglicanne, etc., ne posent pas autant
de problèmes aux gens du Dualisme et de la Magie.
Apparemment. Mais tout cela est un leurre. Cette façon de penser
ne peut-il pas permettre à leurs auteurs de se présenter, auprès
d’un public non averti, comme les nouveaux prêtres de la société
modernes, d’éventuels médiateurs en temps de crises ou conflits,
et des réformateurs modèles, engagés de la société ? En clair,
à prendre part activement à une chose qu’ils leur tiennent à cœur :
la politique.
Nullement. Les gens qui refusent de reconnaître l’existence du divin
Créateur, Son autorité sur les cieux et la terre, Sa législation ;
peuvent-ils être Ses amis ou Ses ennemis ? Dans pareil cas,
comment le croyant sincère, soumis, pratiquant, observateur de son
culte, peut-il s’asseoir à leur table ?
A. Crémieux était grand maître du Grand Orient maçonnique, président
de l’Alliance Israélite universelle et ministre de la Justice. Lui
de déclarer un jour : « Un messianisme des temps nouveaux
va surgir, la Jérusalem d’un nouvel ordre, sainte fondation entre
l’Orient et l’Occident, doit se substituer au double empire des
papes et des empereurs. Je ne cache pas qu’au cours des années,
je n’aie jamais consacré ma pensée qu’à cette seule et unique œuvre.
A peine a-t-elle commencé son œuvre que l’influence de l’Alliance
Israélite Universelle s’est faite sentir au loin. Elle ne se restreint
pas seulement à notre culte, elle veut pénétrer toutes les religions
comme elle a pénétré tous les pays.
Les nationalités doivent disparaître, les religions
doivent être supprimées.
Israël, lui ne doit pas disparaître car ce petit
peuple est l’élu de Dieu… » (« Les archives israélites »
cahier n° 25 en 1861).
Le messianisme a attendre n’est-il pas celui
du Faux-Messie ? Les « nationalités doivent disparaître ».
Nullement. Pour preuve : Coran XLIX 13. « les religions
doivent être supprimés. Personne ne supprimera personne. Vœu pieux,
maçonnique, qui ne réalisera jamais. Elles disparaîtront seulement
lors de l’apparition du Faux-Messie et du « retour » du
Messie, fils de Marie sur terre, à la fin des temps. Décret divin.
Entre temps, on a toujours le droit de rêver et de se prendre pour
super – man ! A. Crémieux semble être de ceux qui aimaient
rêver, mais est-ce une ère messianique qui allait arriver en 40
ou un air terrifiant pour le monde de la Tora d’Europe ? Il
faut se garder de parler pour ne rien dire et surtout souhaiter
le mal pour autrui. Le dicton de dire : Qui sème les vents,
récolte la tempête ! Et lorsqu’elle vient du Saint et Seigneur
d’Israël qui peut l’arrêter ?
symbole essentiel dans la Maçonnerie, il renvoie à la fois à la
trinité chrétienne, au compas et à l’équerre, dont il est la stylisation,
à la devise « Liberté, Égalité, Fraternité »,
etc. Le chiffre 3 semble hypnotisé le monde biblique.
cette expression date du XVIe siècle. Ce sont les Constitutions
d’Anderson qui au XVIIIe siècle consacrent son usage maçonnique
pour désigner Dieu. En 1877, le couvent du Grand Orient supprime
l’article premier de ses statuts et toute référence au « Grand
Architecte de l’Univers ». Selon Alain Bauer : depuis
1877, les membres du Grand Orient sont libres de croire ou de ne
pas croire en Dieu, en un principe créateur, en l’immortalité de
l’âme et, à l’ouverture de leurs travaux, ses loges sont libres
d’invoquer ou non le Grand Architecte de l’Univers ; c’est
ce qu’on appelle l’« adogmatisme ».
Dieu ou Satan le lapidé ? Combien Dieu est au-dessus de ce
qu’ils décrivent et Lui associent !
« L’initié du rite du maître est appelé un humble représentant
du roi Salomon. » (The text book masonry »,
Londres p. 7. Voir Coran II 102 et commentaires.
« A partir de 1830, la France se lance dans la colonisation
de nouvelles teres, où la Franc-Maçonnerie s’implante immédiatement,
amorçant son renouveau. Dès 1831, une première loge militaire s’installe
à Alger conquise l’année précédente. Suivent des loges civiles,
d’abord sur la côte puis ves l’intérieur…
Société de bienfaisance dans les colonies, la
Franc-maçonnerie renforce dans le même temps son intérêt pour les
populations autochtones : les frères fondateurs estiment que
l’Ordre pourrait servir à « amalgamer les Arabes, les Kabyles,
les Turks, les Juifs et les chrétiens, c’est-à-dire les vainqueurs
et les vaincus », comme le déclare le frère H. de Brivazac.
L’assimilation est « le seul but légitime de la conquête » :
une quarantaine de musulmans le seront à leur tour à la même époque.
L’initiation, en 1864, de l’émir Abd el-Kader
(qui mena pourtant la guerre contre les Français en Algérie dans
les années 1840) est emblématique de cette aspiration d’un rapprochement
entre les communautés et aussi de l’admission des musulmans dans
les loges. Mais si les idées maçonniques ne rebutent pas des musulmans
ayant appris le français, les populations arabes ignorent, d’une
façon générale, jusqu’à l’existence de la Franc-maçonnerie… (Op.
cit Georges Odo – Spécialiste de la Franc-maçonnerie coloniale).
Aboû al-Walid fils de Rouchd, médecin et philosophe arabe, née en
Espagne, à Cordoue (1126-1198). Sympathisant et admirateur d’Aristote
et de ses thèses. Le monde nord-africain, intellectuel, lui
voue une véritable admiration et épouse volontiers ses thèses. Il
est, par contre, l’opposé farouche de l’Imam Ghazâli de Perse, voire
son adversaire.
Voir sa pièce de théatre : Jésus, Mahomet et Moïse se sont
expliqués sur scène ! (Source : Le Bien Public.
Vendredi, 3 mai 2002. Voir notre article : RAS6).
Combien le Soufisme (ou Mysticisme) est au-dessus de ce qu’ils décrivent
et lui associent !
Mot persan, et réservé uniquement pour le monde chiite.
Le sport n’est pas réservé à une certaine catégorie d’individus.
Ce qui peut le rendre caduc, c’est : le manque de pudeur et
la mixité. Autant de choses qu’exaspèrent bon nombre de gens hostiles
à la Religion.
Son épouse, Nisa Grünberg, psycologue, est née au Caire, où son
père, un gros promoteur immobilier, a présidé la communauté israélite.
Elle est la fille du directeur de Lazard-Frères, la plus puissante
banque d’affaires du monde, et proche de l’entourage de Bill Clinton.
Dans ce cas, pourquoi n’avoir pas reconnu une organisation comme
la F.N.M.F (Fédération nationale des musulmans de France) ?
Le culte de la Raison semble revenir en force parmi certaines gens
du monde du partissisme de gauche chez les gens de la Bible.
Quand l’auteur de ces paroles, se fait interprète du Coran !
Cela ressemble à une secte ancienne de l’Islam : les « Séparés »
(en arabe, mou’tazila).
En clair, est-ce à dire après cela, gardez-vous après cela de nous
inviter à votre Culte ? Et comment peut-il se faire l’interprète
de ce verset ?
Héritée du Talmud, notamment.
Francisé : Moïse et Aaron.
"Et me voici pour confirmer ce qu'il y a
devant moi du fait de la Thora, et pour vous rendre licite
partie de ce qui vous était interdit..." (Coran III 50).
Selon Wahab fils de Mounabbah :
"En vérité, Ichoua (Jésus - sur lui la
Paix !) suivait la Loi de Mochè (sur lui la Paix !) ; il respectait
le samedi, s'orientait pour prier vers Jérusalem et disait aux Juifs
:
"Certes, je ne vous invite pas à changer
d'un iota ce qui se trouve dans la Thora, mais (je suis venu à vous)
pour que (par là), je vous
rende licite partie de ce qui vous était interdit et ôte de vous
vos fardeaux". (Comparer : Mt. 11: 11 ; 28-30).
"O assemblée des Fils d'Israël ! craignez
Dieu en ce qu'Il vous a ordonné et en ce qu'Il vous a interdit dans
le Livre qu'Il révéla à Moché, respectez l'engagement que vous prîtes
avec lui et "obéissez-moi" (soit suivez-moi) lorsque je
vous appelle à reconnaître la vérité, et ce pour quoi j'ai
été missionné auprès de vous ! (Comparer : Bible. Mt. 5:17).
Notons au passage que :
1) selon les gens de l'Evangile, le fils de
Marie aurait aboli certaines règles relatives à la pureté corporelle
(Bible. Mt. 15:20) tout en édictant des prescriptions d'ordre
moral plus strictes (cf. Mt. 5:20-48). Paul, lui, a demandé
expressément de tout abolir ! ?
2) "Et quand Ichoua apporta les preuves
(aux Fils d'Israël), il dit : "Je suis venu à vous avec la
sagesse, certes, et pour vous exposer en partie ce en quoi vous
divergez. Craignez Dieu, donc, et m'obéissez." (Coran XLVII
63).
Selon l'Imam Razi, la sagesse ici c'est la Connaissance
(en arabe, ma'rifa) de l'essence de Dieu, de Ses attributs
et de Ses actions. En un mot, la sagesse désigne ici les principes
de la religion (ousoul al dîn, en arabe), et la partie de
ce en quoi ils divergent est formée par les ramifications. (en arabe,
fourou' al-dîn).
On a dit également que les Fils d'Israël ont
divergé après la mort du prophète Mochè (sur lui la Paix !), sur
des points qui concernaient leur religion et sur d'autres qui étaient
en rapport avec leurs affaires en ce monde. Le prophète Ichoua (sur
lui la Paix !), dit-on, ne leur éclairci que ce qui concernait leur
religion. Et Dieu est plus Savant !
Tel n’est pas le cas de l’hypocrite lequel s’emploie en permanence
de débaucher, de décourager les gens. Sa lutte n’est-elle pas l’abandon
pur et simple de la Tradition ? L’hypocrite connaît tel ou
telle chose de la Tradition, par contre, il n’en connaît pas leur
valeur.
Coran : Qaroûn (Coran XXVIII 76 et sv., etc).
Selon le Messager divin : « Dieu est jaloux et la jalousie
de Dieu ne tolère pas que l’homme transgresse Ses interdits ».
(Transmis par Bokhari et Mouslim).
Selon Abou Horeirah le Messager de Dieu (sur
lui Prière et Paix !) a dit :
« Quiconque m’obéit, obéit en fait à
Dieu et qui obéit à « celui à qui j’ai confié un commandement »
obéit en fait à moi. Qui me désobéit, désobéit en fait à Dieu et
qui obéit à « celui à qui j’ai confié un commandement »
désobéit en fait à moi ». (Coran IV 59).
En quoi consiste exactement l’obéissance au
Messager de Dieu ? Selon l’avis émis par certains Savants religieux,
en fait par ces termes Dieu ordonne de se conformer à la Norme (la
sounnah) de Son messager. D’après `Ata, obéir au Messager
c’est se conformer à sa « Norme ». Et selon une autre
version : « Obéir au messager c’est suivre le Livre (Le Coran)
et la Norme ».
Est-elle au-dessus de la loi ? Est-ce une religion nouvelle
créée de toute pièce par des hommes en colère contre leur divin
Créateur et les Dirigeants religieux du monde biblique ? Et en quoi
peut-elle concerner le monde islamique traditionnel ?
Cette façon alléchante de voir les choses est ni plus ni moins un
trompe l’œil pour mieux mettre à l’index les Dignitaires religieux,
les asservir, les dominer : officiants de lieux de Culte, Savants
religieux, jurisconsultes… En clair, ils seront bien là, mais comme
des pions dirigés par des gens d’en-haut, au-dessus d’eux n’ayant
aucun rapport de près et de loin avec le Culte, la Religion ! ?
Est-ce là un acte de justice ?
Donc, dans cette élection sont concernés uniquement ceux et celles
qui viennent emplir cette surface.
On ne nous dit pas sous quelle tutelle sont-ils ? Or, cela
est un secret pour personne, la plupart des « grands »
lieux de Culte sont sous tutelle direct ou indirect d’un pays Etranger,
d’un pays d’Afrique du Nord. Ce qui signifie que pareille consultation
doit être en dehors des lieux de Culte. De peur de se faire taxer
de tous les noms et de tous les maux. Les gens de la Bible, même
si nous faisons comme bon leur semble, seront-ils satisfaits de
nous ? Nullement. On ne peut changer la parole divine (Coran
II 120). Oui, les gens de la Bible seront satisfaits de nous quand
nous ferons exactement ce que leurs Dignitaires religieux ont fait
depuis la nuit des temps. On a adapté la Religion divine au goût
et aspirations des gens, et non l’inverse. Résultat. Que reste-t-il
de la religion de Mochè ? Que reste-t-il de la religion du
Messie, fils de Marie ? Des miettes pour les moineaux, dit
l’écho…
évidemment. Le monde biblique insiste, persiste et signe. Pourquoi ?
Lequel lieu de Culte se retrouve en des mains étrangères !
Race à part ? Voilà une chose qui semble satisfaire tout le
monde. Premièrement, le monde biblique, lequel ne veut pas reconnaître
ces « apostats », et partie enfin du monde de la diaspora
d’Afrique du Nord. Cette dernière considérant que leur religion
est la chasse gardée du monde « arabe » ! ?
L’arabe serait-il devenu, en terre d’Europe, en terre des Gaules,
colonisateur pour rejeter l’Etranger ? L’Islam, lui, nullement,
Dieu merci.
A quel degré ?
La Prophétie, le Culte sont l’affaire des hommes. Ceci, à l’inverse
du Christianisme et du Judaïsme. L’enseignement dispensé, lui, est
pour tous. Et aux femmes d’enseigner aux femmes.
là, on s’apitoye, là-bas.. on rejette ? Drôle est cette religion
du Laïcisme !
langage à deux tranchants. D’un côté, on assiste à une mise en demeure,
de l’autre : débrouillez-vous ? !
Apparemment. En voyant le chemin que cela prend, on se demande ce
que deviendra demain l’Islam en Europe et en terre des Gaules. Si
partie de la communauté d’Afrique du Nord penche vers l’opinion
et les propositions du monde biblique, d’autres, sont plus réservés
voire hostiles. Les manœuvres…
mot plein de sens. Paul a réussi à dénaturer le message évangélique.
Croyez, mais laissez le côté juridique, les lois bibliques pour
les Judaïsés ! Les Sages du monde toranique, et suite à l’expulsion
des Fils d’Israël et des Judaïsés, par le Saint et Seigneur d’Israël,
de la terre de leurs ancêtres ; ont du se positionner, légiférer
et demander à leurs communautés respectives de vivre en bonne harmonie
avec les autres nations de la terre. Dure humiliation pour un peuple
naguère héritier du Livre et de la Prophètie. Le contact maintenant
entre gens de la Bible, d’une part, et gens du Coran d’autre part
a changé les données du problème. Le point de friction n’est pas
du domaine de la croyance, mais vient plutôt et surtout du domaine
de la loi. Pour le monde soumis, croyant, pratiquant et observateur
de son culte, l’Islam c’est un tout. Et tout ce qui doit guider
et organiser la vie quotidienne de l’homme doit venir nécessairement
du divin Législateur, non du législateur humain. Ici, on croit au
miracle du Coran et ce qu’il contient dont Sa loi. Là, on juge qu’une
loi doit s’adapter à son époque, d’où le rejet catégorique de reconnaître
et de juger les gens avec des lois datant de plus de mille ans.
Dans les sociétés bibliques présentes, on ne croit plus au miracle.
Surtout dans ce domaine. D’où ce conflit permanent entre les gens
du Coran et les gens de la Bible. Les gens de l’Evangile voudraient
bien que dans ce domaine partriculier, les gens du Coran reviennent
sur leur pas et s’alignent en tout point sur le paulinisme.
En clair, croire en une partie du Coran et laisser l’autre (Coran
II 85). Dans le problème qui nous concerne, ne doit-on pas parler
de ce qui nous unis et non de ce qui nous divisent ? Sinon
et très vite, le doute de part et d’autre s’installera. Les procès
d’intention, les rancœurs, les ont dit, etc. Dialogue de sourd
qui n’aboutira qu’à marginaliser l’autre… Ne l’oublions pas, la
loi d’essence divine a donné un statut légal pour les gens de la
Bible. Et leur religion est reconnue comme telle. Une avance que
n’a jamais pu égaler les gens du monde biblique. Les gens de l’Evangile
d’Europe ont cru bon d’employer la force envers leurs frères du
Judaïsme. De même, aux Amériques. Et le statut des Indiens, des
vrais américains dans cette partie du monde reste précaire.
Le monde biblique, refusant de croire à/en la Prédestination, est
donc pour le libre-arbitre. De là, il croit donc à l’impuissance
et à l’ignorance la plus totale de leur divin Créateur. Ex. :
Dieu ne pouvait savoir qu’en l’an de grâce 2000, les gens auraient
des voitures, des avions, etc. ? ! Il croit plutôt à l’enseignement
de leur monde philosophique, idéologue, ect. Lequel monde leur enseigne
la toute-puissance et la capacité suprême et sublime de l’homme !
En clair, au Dualisme. Religion ancienne des Mages, adorateurs de
l’élément Feu ! ? Et qui gagnera dans ce combat ?
Le divin Législateur ou Sa créature ? Ceci expliquant cela,
il n’est donc pas prêt de reconnaître toute une législation, une
panoplie de lois venant de leur divin Créateur. Cercle vicieux.
Si un homme vit normalement : croit, prie, observe son culte,
ne tue pas, ne vole pas, ne fait pas de mal, etc., est-il conforme
à tout cela ? Sans aucun doute. Alors pourquoi lui en demander
plus et le considérer comme un lépreux de la société ? L’homme
pervers, prévaricateur, athée, mécréant, sans-religion serait-il
meilleur que lui ? A quel niveau ? L’Islam, et contrairement
à ses détracteurs n’enseigne-t-il pas cinq choses :
- Protection de soi-même. Défense de tuer autrui. Acte de
mécréance. Loi sur le talion.
- Protection des biens. Soit : Tout ce que l’individu
peut obtenir d’une façon légale. Peines et sanctions pour tout voleur
et bandit de grand chemin.
- Protection de la descendance. But. Établir ainsi un lien
solide entre les parents et l’enfant. Protection de la virginité,
de la chasteté. D’où la lutte contre la débauche, la prostitution,
l’adultère, la fornication, la luxure, les rapports sexuels hors
mariage, avant et après, sodomie, etc.
- Protection de l’intellect. Sain d’esprit. Peines encourues
pour tout buveur d’alcool. L’alcoolique boit, puis s’il trouve un
enfant avec sa mère, il le tuera. Et enfin, abusera de cette dernière.
Paroles prophétiques.
- Protection de son honneur. Sanctions légales à ce effet.
- Enfin, protection de la Religion. Pour le légiste,
sa définition : Ce que Dieu a tracé (légiféré) pour Ses esclaves
de lois, sentences. Bible. Le monde biblique a/et donne une toute
autre dimension et définition de ce vocable. Suivant la langue.
But. Protéger l’individu contre la Mécréance et la légalisation
de Ses interdits, de rendre les choses non obligatoires. Également,
légalise l’emploi de la force si nécessaire pour combattre les mécréants
armés, les apostats. Rôle de l’État.
Le mieux, ne serait-il pas de dire de l’État. Le républicanisme
serait-il, lui aussi, une religion ?
En Droit : ensemble des organismes et des règles établis en
vue de la satisfaction d’intérêts collectif : L’État, le
Parlement, une fondation, la tutelle, etc., sont des institutions.
Jusqu’à maintenant, et suite à une loi ancienne ou un concordat,
l’Islam a du mal à faire reconnaître ses Dignitaires religieux,
ministres du Culte : Savants et Jurisconsultes (Mouftis). Le
Jurisconsulte (arabe, moufti) est sans doute le plus approprié
à représenter le Culte. Lequel peut se faire assister de Mouftis
d’autres Ecoles juridiques. Tel est le cas dans le monde arabe.
En France, on a toujours
présenté le Culte à travers le monde ouvrier. Non jamais à travers
des gens compétents du Culte. Les médias, bibliques, hostiles ont
toujours relayé cette fausse image. Les raisons invoquées sont multiples.
Oncle du prophète. Un farouche opposant.
Rappel : Certains articles de journaux rattachés à un lien, et cités ci-dessus,
peuvent être payants voire supprimés. Le Carrefour de l'Islam ne peut être tenu responsable
du contenu de ces liens.
|