Au nom de DIEU, Allaha
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux ! Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !
Adam et le Pardon divin.
La Rançon contre le Feu infernal : pour quelle Communauté ?
Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau
de la Prophétie[4].
Suite page 7
Adam et le pardon.
Source de division entre les gens de la Bible, d'une
part, et les gens de l'Islam traditionnel d'autre part.
Chacun campe sur ses positions. Exemples :
Yéhudisme. Après l'attitude négative que les
commentateurs toraniques ont adopté sur le prophète Adam, le
pardon d'Adam et de sa femme reste en retrait, mis à
l'index. C'est dans les apocryphes, les légendes du monde
biblique, qu'un pardon apparait avec un rite millénaire : le
baptême[5].
Exemple : Dans la tradition
juive, Adam va se tenir dans les eaux du Guihon pendant sept
semaines, comme pénitence, après quoi il demande à Dieu de
lui pardonner ses péchés, ce que Dieu
fait volontiers (Zohar Genèse 55b; Pirqe de Rabbi
Eliézer 20)[6]. Nazarénisme. On a dit[7] : La tradition chrétienne entretient une conception
similaire. Ephraem de Syrie, auteur chrétien du 4e siècle, écrit :
« Dans le Baptême, Adam retrouva – cette gloire qui était
parmi les arbres d’Éden. – Il descendit et la reçut hors de
l’eau ; – il s’en revêtit, monta et en fut orné... L’Homme
est tombé au milieu du paradis, – et dans le baptême, la
compassion l’a restauré » (Cantiques pour la fête de
l'Épiphanie 12:1-2). Parlant d’Adam et Ève, il écrit : «
Ils se revêtirent des feuilles de la nécessité, – mais le
Miséricordieux eut pitié de leur beauté, – et au lieu de
feuilles d’arbres, – Il les revêtit de gloire dans l’eau »
(Cantiques pour la fête de l’Épiphanie 12:4)[8]. Dans le document chrétien du
5e ou du 6e siècle connu sous le nom de Conflit d’Adam et
Ève, 1:2-5, il est question de la mer que Dieu fit au
nord du jardin d’Eden,
dans laquelle, si Adam et Ève s’y étaient lavés, auraient
été « purifiés de leurs péchés, auraient oublié la
transgression qu’ils avaient commise, et ils ne se la
rappelleraient plus dans la pensée de leur châtiment[9]. Aux chapitres 32-33 du même
ouvrage, nous voyons Adam et Ève aller dans les eaux, s’y
tenir à une assez grande distance l’un de l’autre et prier
Dieu de leur pardonner leurs péchés. Satan apparaît à Adam
sous la forme d’un ange de lumière, lui disant de sortir de
l’eau, car ses péchés lui ont été pardonnés. Mais Adam le
reconnaît et sait qu’il ne peut recevoir le pardon tant
qu’il n’a pas été plongé dans l’eau ; par conséquent, il
réprimande Satan, qui va alors tenter Ève[10].
Elle se laisse séduire, sort de l’eau et va trouver Adam.
Quand Adam, toujours debout dans l’eau, la voit, il se rend
compte qu’elle a de nouveau cédé à la tentation. « Il la
vit, et se frappa la poitrine ; et dans l’amertume de sa
douleur, il s’enfonça dans l’eau. Mais Dieu posa le regard
sur lui et sur son malheur et sur le fait qu’il était sur le
point de rendre le dernier soupir. Et la parole de Dieu vint
du ciel, le sortit de l’eau et lui dit : ‘Monte sur la haute
rive vers Ève[11].’
» Ce texte ne parle pas du baptême d’Adam, mais il y a un
parallèle partiel avec Moïse 6:64-65, où Adam est « sorti de
l’eau » par l’Esprit de Dieu[12]. On trouve la même histoire dans
d’autres documents chrétiens anciens. Dans Le Conflit
d’Adam et Ève 8:6-11 et son parallèle dans Apocalypse
de Moïse 19:11-17, Adam et Ève décident de faire
pénitence pour leurs péchés en se tenant de nombreux jours
dans l’eau d’une rivière. Ève se tient dans le Tigre et Adam
dans le Jourdain. Satan, sous la forme d’un ange, séduit Ève[13],
qui sort de l’eau, croyant que ses péchés lui sont
pardonnés. Elle va trouver Adam, qui est toujours debout
dans l’eau et qui est déçu de voir qu’elle a de nouveau
succombé aux ruses de Satan. La version gaélique
(irlandaise) de l’histoire est essentiellement la même, bien
qu’elle place Adam dans le Jourdain, tandis qu’Ève va au
Tibre (La pénitence d’Adam 3-12)[14]. On trouve une forme abrégée de
l’histoire dans le texte copte Mystères de Saint-Jean le
Révélateur, où nous lisons que Dieu envoie un ange « à
Adam, et il le trouva dans le Jourdain[15],
et il n’avait plus mangé depuis huit jours[16].
» St Ephraem de Syrie, dans un de
ses cantiques, fait allusion en ces termes au baptême d’Adam
: « Dans le Baptême, Adam retrouva – cette gloire qui
était parmi les arbres d’Éden[17].
– Il descendit, et le reçut hors de l’eau... [Dieu] les
revêtit de gloire dans l’eau (Cantiques pour la fête de
l’Épiphanie 12:1, 4)[18]. Conclusion. Ces apocryphes
existent en différentes langues, toutefois les gens de
l'Eglise et de l'Evangile semblent y donner peu d'intérêt.
Leur intérêt se porte plus, pour bon nombre d'Eglises, sur
la Mort [présumée] du fils de Marie, ce dieu incarné, cette
divinité mi-homme mi-dieu ou divine. Islam. Contrairement à l'idée reçue, l'Islam traditionnel
et la Tradition ne donnent pas une description similaire de
la façon dont Adam reçut le pardon de sa faute[19].
Satan le lapidé a trompé l'épouse d'Adam, laquelle, par
ricochet, a trompé son mari ; elle a répondue ainsi à
l'appel du diable banni, appel lourd en conséquences[20] pour le couple et leurs progénitures. Pardon divin. Adam révolté par ce qui s'est(ait) passé,
se tournera vers son Seigneur. Celui-ci répondra à son appel
: Puis Adam reçut de son Seigneur des Paroles. Puis Dieu
accueillit son repentir. En vérité Lui, Il est le pardonneur
(ٱلتَّوَّابُ),
le miséricordieux (ٱلرَّحِيمُ).
(Coran II 37). « et Il revint (tâba) vers lui... » Et Dieu revint vers Adam[21]. Ce "Retour" de Dieu signifie qu'Il accorde le repentir (at-taouabah
- التوبة)
à Adam car dans le passage "fa-tâba 'alai-hi[22]"
({ فَتَابَ عَلَيْهِ }), le sujet du verbe "tâba"
est "Dieu" et le pronom "hi" (souligné) renvoie à "Adam"[23]. La "taoubah" (= repentir - التوبة)
est le fait de revenir vers Dieu[24] et vers l'obéissance qui Lui est due[25]. D'après Moujâhid ces "Paroles" sont les suivantes[26] :
« Mon Dieu, il n'y a pas
de divinité si ce n'est Toi ! Pureté et Louange à Toi !
J'ai été injuste à l'égard de mon âme ! Pardonne-moi car
Tu es le Meilleur des Pardonnants ! Mon Dieu, il n'y a
pas de divinité si ce n'est Toi ! Pureté et Louange à
Toi ! Seigneur ! J'ai été injuste à l'égard de mon âme !
Fais-moi miséricorde car Tu es le Meilleur de ceux qui
font miséricorde ! Mon Dieu, Pas de
divinité si ce n'est Toi ! Pureté et Louange à Toi !
Seigneur ! J'ai été injuste à l'égard de mon âme !
Reviens vers moi car c'est Toi Celui qui revient - sans
- cesse (vers Ses esclaves), le Très-Miséricordieux »[27]
اللهمّ لا إله إلا أنت
سبحانك وبحمدك، ربّ إنـي ظلـمت نفسي فـاغفر لـي إنك خير
الغافرين. اللهمّ لا إله إلا أنت سبحانك وبحمدك، ربـي إنـي
ظلـمت نفسي فـارحمنـي إنك خير الراحمين. اللهمّ لا إله إلا
أنت سبحانك وبحمدك، ربّ إنـي ظلـمت نفسي فتب علـيّ إنك أنت
التوّاب الرحيـم.
Conclusion. En supprimant le principe du péché et de la
culpabilité d'Adam, le Messie retrouve une nouvelle vie, un
nouveau souffle à travers Adam. Plus aucune prise véritable,
coercitive pourrait-on dire, sur les Fils d'Adam. Ils sont
libres et responsables de leurs actes. Certes, tous mourront
et tous ressusciteront, tous paraîtront devant le Juge
suprême. Ils seront élus ou damnés. Telle est la Justice
divine et Sa miséricorde envers Ses créatures !
Quel est la
rançon de tout soumis contre le Feu infernal ?
Un sujet abordé
par les commentateurs dont l'Imam Qortobi (Que Dieu lui
fasse miséricorde !). Jusqu'à maintenant nous avons abordé
la croyance de Paul et de ses affidés et suivants. Pour
Paul, la personne accréditée pour cela, et au nom des Fils
d'Israël et des Fils d'Adam, est le Messie fils de Marie
lui-même.
Pour l'Islam traditionnel et la Tradition, changement de
décor. Et à l'Imam d'écrire notamment[28] :
"D'après le père de Bourda d'après son père, le Messager
de Dieu (صلى
الله عليه وسلم) a dit : « Quand Dieu réunira les
créatures au jour de la Résurrection, Il autorisera la
communauté de Mohammad (صلى
الله عليه وسلم) à se prosterner. Ils se
prosterneront longtemps, puis on dira : « Levez la tête !
Nous avons fait de votre nombre votre rançon contre l'Enfer
».
D'après Anas fils de Malik, le Messager de Dieu a dit : «
Cette communauté bénéficie de la grâce. Son tourment est
entre ses mains[29].
Au jour de la Résurrection, on remettra à chaque homme
soumis un homme parmi les associateurs[30],
et on dira : « C'est ta rançon contre l'Enfer ».
Bien que les chaînes de ces deux paroles ne soient pas
assez solides, Dâraqoutni ayant déclaré que Jibâra fils de
Mougallis n'était pas autorisé, leur signification est
cependant exacte[31],
en référence à la parole rapportée par Mouslim : D'après le
père de Bourda d'après le père de Moussa, le Messager de
Dieu (صلى
الله عليه وسلم) a dit :
« Au jour de la Résurrection, Dieu remettra à chaque
soumis un yéhudi ou un nazarénien et dira : « Voilà ton
affranchissement de l'Enfer ! » Dans une autre transmission,
il y a : « Quand un (homme) soumis[32] meurt, Dieu fait entrer à sa place en Enfer un yéhudi ou un
nazarénien ». Il (le transmetteur) déclare : « 'Omar fils d'Abdal
'Aziz lui a fait jurer trois fois par Dieu, nul dieu ce
n'est Lui, que son père (le père de Moussa) le lui avait
rapporté du Messager de Dieu (صلى
الله عليه وسلم). Il le lui jura.
Et en note, l'Imam de commenter : Nos savants ont dit :
Ces paroles, bien qu'ils signifient dans leur forme la
globalité et la généralité, désignent en fait des pécheurs à
qui Dieu a accordé Sa grâce et Son pardon.
Il a ainsi donné à chacun d'eux le moyen de s'affranchir
de l'Enfer par un incroyant comme rançon. Ils s'appuient en
cela sur la parole du père de Bourda, d'après son père[33] qui a relaté que le Prophète (صلى
الله عليه وسلم) a dit : « Des gens parmi (les
gens) soumis viendront le jour de la Résurrection avec des
péchés comme des montagnes. Dieu leur pardonnera pour eux et
les mettra à la charge des Yéhudim[34] et des Nazaréniens[35] ».
Ils déclarent que le sens de « il leur pardonnera pour
eux » est qu'il ne leur en tiendra plus rigueur, comme s'ils
n'avaient pas péché.
Les termes « il les mettra à la charge des Yéhudim et des Nazaréniens » signifient qu'il
multipliera le châtiment de leurs péchés, au point que leur
tourment équivaudra à leur crime et au crime des pécheurs
soumis, si ceux-ci en avaient été sanctionnés, En effet, le
Très-Haut ne tient rigueur à personne du péché d'autrui, tel
qu'Il l'a dit :
« et aucun porteur de péché ne portera le péché d'un
autre »[36].
Le Glorifié détient cependant le pouvoir de multiplier le
tourment ou de l'alléger pour celui qu'il veut, par l'ordre
de Sa volonté et de Sa décision, car on ne saurait
l'interroger sur Ses actes.
A propos de la signification des termes de l'autre
relation de la parole « Quand un (homme) soumis meurt, Dieu
fait entrer à sa place en Enfer un yéhudi ou un nazarénien
», ils affirment : le soumis pécheur qui méritait une place
en Enfer du fait de ses péchés et auquel Dieu pardonne,
laisse sa place vide. Dieu le Très-haut affecte alors
celle-ci à un yéhudi ou un nazarénien pour qu'il y soit
tourmenté en plus du tourment qu'il subit déjà, selon son
incroyance.
La parole du Prophète (صلى
الله عليه وسلم) relaté par Anas, sur le croyant
qui reste ferme lors de l'interrogatoire de la tombe,
corrobore cela. On lui dit notamment : « Regarde ta place en
Enfer. Dieu t'a donné en échange une place au Paradis ».
Je noterai pour ma part qu'il y a des paroles indiquant
qu'il a été assigné à tout (homme) soumis, pécheur ou non,
une place au Paradis et une autre en Enfer. C'est le sens de
la parole du Très-haut : « Ceux-là sont les héritiers »[37].
C'est-à-dire que les croyants hériteront des places des
infidèles, alors que ces derniers seront mis à leurs places
en Enfer, comme cela sera mentionné plus loin. C'est ce qui
ressort aussi de la parole d'Anas déjà cité, d'après le
Prophète (صلى
الله عليه وسلم) qui a dit : « Quand une personne
est mise dans sa tombe... ».
Cependant, cet héritage diffère. Parmi eux, il en est qui
héritera sans rendre de compte, d'autres hériteront en ayant
à rendre des comptes et après leur interrogatoire ou
hériteront après leur sortie de l'Enfer, selon ce qui a été
mentionné des divers états des personnes. Et Dieu est plus
Savant !
Il est possible de comprendre le gain du Paradis comme un
héritage, du fait qu'ils le gagneront à l'exclusion des
autres. C'est le sens de la parole du Très-Haut : « Et ils dirons : "Louange à Dieu qui nous a dit vrai
dans Sa promesse et nous a fait hériter de la terre ; nous
allons au Paradis où nous voulons !..."[38] ». [Explicit].
Conclusion.
Rançon contre le Feu infernal. Pour Paul et ses affidés,
un seul individu suffira pour être la rançon des milliers,
des millions de personnes. De plus, c'est l'homme de bien
qui est une rançon pour l'homme mauvais[39].
Pourtant, Paul ne peut en donner de preuve de ce qu'il
avance mais cela ne le trouble pas, lui et ses affidés[40].
Leur Seigneur n'a-t-Il pas révélé à l'encontre du monde
biblique, leur parole :
« En vérité, nous avons vraiment tué le Messie » ;
Ichoua', fils de Marie, le messager de Dieu !...[41]
Démenti formel de la part de leur Seigneur :
"Or, ils ne l'ont ni tué ni
crucifié : mais on leur a été donné le semblable[42].
En vérité, et ceux qui divergent à son sujet[43],
en ont certainement un doute[44] : ils n'en ont d'autre science que la poursuite d'une
conjecture[45]."
Rappel des faits :
"Car ils ne l'ont certainement pas tué[46],
mais Dieu l'a élevé vers Lui[47].
Et Dieu demeure puissant, sage.[48]"
Pour conclure :
"Tel, parmi les gens du Livre[49],
sûrement croira, avant sa mort. Et au jour de la
Résurrection il sera un témoin[50] contre eux."[51]
Islam traditionnel. La rançon du Croyant soumis peut-être
un associateur, un yéhudi ou un nazarénien. Gens qui, au
départ, donnent, ont donné durant leur vie sur Terre, des
associés, des égaux[52],
des semblables à leur divin Créateur.
L'associateur n'as pas de place enviable avec la
multitude de dieux fait de pierres ou de bois qu'il
fabriquait et adorait. Le yéhudi ou le nazarénien ont suivi
un chemin qui les mènera tous deux au Feu infernal, notent
les Savants. Leurs dieux ou leurs fils de Dieu sont de purs
humains[53] à l'instar de cultes anciens. Passage d'un état à un autre,
dira-t-on, mais le résultat est le même : le Feu infernal
pour toute personne qui se divinise ou divinise autrui.
Ajouté à leur drame un complément de péchés comme
souligné :
« Des gens parmi (les gens) soumis viendront le jour de
la Résurrection avec des péchés comme des montagnes. Dieu
leur pardonnera pour eux et les mettra à la charge des Yéhudim[54] et des Nazaréniens[55] ».
Enfin, le Seigneur d'Adam a ainsi donné à chacun d'eux[56] le moyen de s'affranchir de l'Enfer par un incroyant comme
rançon.
C'est un homme incroyant, mauvais, pécheur, qui sera la
rançon de l'homme croyant et non l'inverse. L'erreur de Paul
est monumentale. Naguère, ses frères en religion sont tombés
maintes fois dans l'Associationnisme, péché mortel et
impardonnable. Exemple avec le 'Veau', un dieu fait en métal
précieux l'or. Avec 'Ozair qu'ils déclareront fils du Dieu
suprême. Avec le Messie en voulant adorer leur Seigneur en
lui. L'idée que Dieu n'est pas seul semble avoir un impact
dangereux et non négligeable sur le monde biblique. L'idée
aussi qu'Il dispose d'un "corps" à Lui, puisse se
métamorphoser en une créature créée par Lui. Se déplacer du
Ciel, de Son trône, à travers les cieux et la terre. Puisse
venir, après s'être métamorphosé, visiter Ses créatures dont
un peuple particulier : les Fils de Jacob, d'Israël. Manger,
boire, dormir, aller aux lieux d'aisance. Habiter (ou venir
habiter) dans Son temple fait par Ses esclaves. Autant de
croyances que l'homme doué d'intelligence et de raison ne
saurait croire et suivre...
L'oubli. Le sang véritable versé.
Normalement, si les gens de la Bible voulait parler à
leurs communautés de sang, c'est bien celui des martyrs. Et
en l'occurrence celui des prophètes Zacharie et son fils,
son fils en particulier. Le fils de Zacharie était associé
avec le fils de Marie dans sa mission. Le fils de Marie
échappera à la Mort que lui voulait ses opposants et
adversaires d'entre les Fils d'Israël et les Yéhudim. Et sa
mort sera un signe terrible pour eux car elle débouchera
immanquablement sur un drame collectif et national : l'Etat
sera détruit comme le Temple, les rescapés, chassés de Terre
sainte, devront vivre parmi les nations sabéistes et
dualistes d'alors, seront emmenés captifs, réduits à
l'esclavage, etc. Humiliation sur humiliation, note
l'observateur !
Réécriture des Ecritures.
Des gens mal intentionnés d'entre les Fils d'Israël et
les Yéhudim ont cru bon de réécrire leur "Histoire sainte".
Ce qui a donné comme résultat :
- L'Evangile originel sera détruit et remplacé par des
textes, arrangés, remodelés, censurés.
Des évènements importants y seront censurés, omis,
détournés de leurs sens à l'instar de :
- la naissance miraculeuse du Messie qui verra entre
autre l'enfant de Marie parler aux Fils d'Israël pour
défendre sa mère accusée d'avoir commis la fornication
(Coran XIX 29-34).
- Les miracles. On refusera de croire en eux, on les
traitera et on les fera passer aux yeux du peuple de pure
sorcellerie (Coran LXI 6).
- L'incident de la Mense. Incident terrible pour les
mécréants d'entre elle (Coran V 112-115). Incident caché,
mis en sourdine, oublié avec le temps.
- Tentative d'assassinat du prophète messager, le Messie,
fils de Marie (Coran III 55-56 ; IV 157-159). Mort de son
sosie, Achoua le Yéhudi. Il sera la rançon du Messie contre
sa mort.
- L'assassinat du fils de Zacharie qui débouchera
immanquablement sur la réalisation de la "Promesse divine"
seconde (Coran XVII 2-8), soit : la fin de l'ère et du règne
toranique en Terre sainte.
Destruction.
Ajouté à cela, des hommes malfaisants apparaîtront pour
détruire la religion du fils de Marie à l'instar du dénommé
Paul et de ses disciples et affidés. Le prophète messager,
le Messie, fils de Marie, sera dégradé[57] de ce rang pour être élevé, par contre, au rang de dieu, un
dieu mi-homme mi-dieu, incarné, un fils de la Divinité
suprême. Semblable et Egal en tout avec Elle. Coéternel et
cocréateur. Consubstantiel à son Seigneur, de même nature
que Lui[58].
Héritier des cieux et de la terre après la Résurrection.
Intercesseur auprès de son Seigneur pour les Fils d'Adam.
Juge suprême des Fils d'Adam[59] après la Résurrection, le Jour des Comptes...
Point final.
Les Ecritures se verront amputées d'une chose extrêmement
salvatrice et combien importante, salutaire, pour chaque
fils d'Adam : la mention du prophète Ahmad(صلىاللهعليهوسلم) [60] ! Les faussaires supprimeront purement et simplement sa
description, ses noms, ses qualités des Ecritures[61].
Idem pour les gens de sa communauté. Et dans ce concert, cacophonie, les gens de la Bible (toranique & évangélique)
assembleront leurs forces et ne feront qu'un !
Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !
[1] Le Créateur des
cieux et de la terre est donc la seule et véritable
divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer
véritablement. [2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est
employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue
arabe. En français, le terme Dieu est compris
généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme
signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de
l’Univers. [3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui,
l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à
l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la
« prière » divine comme étant un octroi de Sa
miséricorde et la « prière » angélique comme une demande
de pardon pour les créatures. [4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils
d’Ismaël, fils d’Abraham (sur eux la Paix !). Pour
l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie,
le Sceau des prophètes et messagers divins. [5] Voir notre étude sur la
réfutation du baptême : Lire... Selon le Yéhudisme, on entre de plein pied
dans le Yéhudisme, dans l'Alliance, par la circoncision.
Idem pour le Nazarénisme : on ne naît pas chrétien,
mais on le devient à travers le baptême.
Adam comme le Messie, deux prophètes, n'ont rien à
voir, de près ou de loin, avec la notion de baptême.
Les faussaires veulent coûte que coûte réécrire
"l'Histoire sainte des Fils d'Israël" à leur façon. [6] On a dit : De nombreuses
références sont faites à Adam et Eve dans la littérature
pseudépigraphique et midrachique, qui comprend un récit
entier intitulé Le Livre de la vie d'Adam et Eve. Le Livre de la vie d'Adam et Eve, décrit cependant
longuement le repentir des acteurs après leur expulsion
du jardin (Adam, 1-11). (Voir Dic.
encyclopédique du Judaïsme. 1996 Cerf/R. Laffont). [7] V. Le baptême d'Adam. [8] Philip Schaff et Henry Wace, Nicene and Post-Nicene Fathers, Peabody,
MA, Hendrickson, 1994 (orig. 1898),
13:282. [9] S. C. Malan, The
Book of Adam and Ève, also called The Conflict of Adam
and Eve with Satan, Londres, Williams & Norgate,
1882, pp. 1-2. Voir
aussi Conflict of Adam and Eve I, 28:5, p. 8. [10] Nous pouvons comparer
l’événement décrit dans 1 Adam and Eve 33:32-33
avec celui mentionné dans D&A 128:20, où Joseph parle de
« la voix de Michel sur les rives de la Susquehanna,
détectant le diable lorsqu'il apparut comme un ange de
lumière! » Ailleurs, Joseph identifie Adam comme étant
Michel (D&A 27:11; 107:54; 128:21; HC 3.385-6; 4.207-8). [11] Conflict of Adam
and Eve I,
33:10-11, S. C. Malan, The Book of Adam and Eve, also
called The Conflict of Adam and Eve with Satan, p.
36. [12] Les passages diffèrent en ce
que l’un d’eux dit qu’Adam est soulevé hors de l’eau par
« la Parole de Dieu » (un titre du Christ dans Jean 1:1,
14; 1 Jean 1:1; 5:7), tandis que selon l’autre, c’était
« l’Esprit de Dieu ». Il se peut que l’on entende par
là le Christ sous sa forme spirituelle, comme cela peut
désigner le Saint-Esprit. Dans un cas comme dans
l’autre, l’acte est accompli par un membre de la
Divinité. [13] Selon l’Apocalypse de
Moïse 17:1, Satan, venu tenter Ève dans le jardin,
apparaît sous la forme d’un ange (voir aussi Conflict
of Adam and Eve with Satan I, 27). [14]Máire
Herbert et Martin McNamara, dir. de publ., Irish
Biblical Apocrypha: Selected Texts in Translation, Edinburgh,
T & T Clark, 1989, pp. 8-11. [15] Fleuve très important
pour le monde biblique. Symbole de loi et de baptême. [16] Sir Ernest A.
Wallis Budge, Egyptian Tales and Romances,
Londres,
Thornton Butterworth, 1935, p. 207. [17] Est-il sur terre ou à
autre endroit ? Ce jardin d'Eden n'a rien de commun avec
l'Islam traditionnel, la Tradition et les commentaires. [18] Philip Schaff et
Henry Wace, Nicene and Post-Nicene Fathers, Peabody,
MA, Hendrickson, 1994 (orig. 1898), 13:282. [19] Et non péché grave, capital. Les gens de la Bible de nous entretenir
toujours et encore du "péché" d'Adam. Adam pour eux,
père du genre humain, n'est pas un saint et surtout pas
un prophète.
Pour l'Islam traditionnel, les messagers et prophètes
ne sont pas gens à tomber dans le péché grave ;
ceci à l'inverse du monde biblique. Ce qui signifie que
le Messie, pour le plaisir et recommandation de son
Seigneur, n'a pas à mourir, à se donner la mort, pour un
autre prophète comme lui en l'occurrence ici Adam. Le
Seigneur des messagers et prophètes n'est pas une
divinité qui commande à Ses créatures le mal, le
blâmable, l'injustice et la turpitude. Tel n'est pas,
par contre, le cas du diable banni ! Adam, prédestiné,
est, a été, et restera pour le monde biblique une pierre
d'achoppement. Idem pour le fils de Marie. [20] Coran II 36 : Puis
le Diable les fit broncher de là tous deux et les chassa
du lieu où ils étaient. Le Diable banni et non le
serpent (biblique). A noter que le texte toranique parle
de deux arbres en Paradis, le texte coranique
qu'un seul. Ne pas confondre ! Preuve de l'influence du
Dualisme au sein du monde biblique.
On a dit : l’Arbre de la Vie et l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal dont Dieu avait
interdit à Adam et Ève de manger les fruits… L’Arbre de la Vie représente l’unité de la vie, là où la
polarisation ne se manifeste pas encore, c’est-à-dire où
il n’y a ni bien ni mal, une région au-dessus du bien et
du mal. Tandis que l’autre Arbre représente le monde de
la polarisation où l’on est obligé de connaître
l’alternance des jours et des nuits, de la joie et de la
peine, etc.
Les
arbres du paradis et ses fleuves : Torah. Genèse : 2.9
L'Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute
espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de
la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la
connaissance du bien et du mal. 2.10 Un fleuve sortait
d'Éden pour arroser le jardin, et de là il se divisait
en quatre bras.
D. Masson : Cf. VII, 19-20; XX, 120 où il est
question de « l'arbre de l'immortalité ». - D'après la
Genèse (III, 6), Adam et Eve mangèrent le fruit de
l'arbre qui leur donna « la connaissance du bien et du
mal »; mais l'accès de « l'arbre de vie » qui les aurait
rendu immortels, leur fut interdit (III, 22 ; Cf. II,
15-17).
Rien de semblable avec le texte coranique.
D. Masson : La Genèse ne fait aucune allusion au
repentir d'Adam, mais plusieurs auteurs juifs et
chrétiens l'ont retenu en se basant probablement sur le
Livre de la Sagesse (X, 1). La Tradition juive cite Adam
comme un modèle de pénitence : Talmud, Erubin,
18b ; Aboda Zarab, 8a; Abot de Rabbi
Nathan, I; La Vie d'Adam et Eve, XLII,
XXVIII, Apocalypse de Moïse, XIII, XXVII; II Hénoch, XXXII. Voir, parmi les auteurs chrétiens :
Tertullien, De Panitentia, XII, P.L. I, 1248;
Irénée, Contra Haereses, III, 23, P.G. VII, 960;
Augustin, Epistula, CLXIV, 3, P.L.XXXIII, 711. (Commentaire
et traduction Coran. notes v. 34). [21] V. le Commentaire de Tabari. [22] Sa parole : (وقوله:
{ فَتَابَ عَلَيْهِ } يعنـي رزقه التوبة من خطيئته.).
Il revint vers lui (Adam), soit : Il l'a enrichi du
repentir suite à sa faute. [23] (قوله
تعالـى: { فَتَابَ عَلَيْهِ }. قال أبو جعفر: وقوله: {
فَتَابَ عَلَيْهِ } يعنـي علـى آدم، والهاء التـي فـي
«علـيه» عائدة علـى «آدم».* تفسيرجامع البيان في تفسير القرآن/ الطبري.) [24] Yéhudisme. La techouva (hébreu תשובה,
« retour » ou « réponse ») est le processus de repentance dans le judaïsme, tant dans la Bible
hébraïque que dans la littérature rabbinique.
Conformément à la pratique juive, une faute, une erreur,
un acte interdit, peuvent être pardonnés sous réserve
d'engager une démarche de techouva. (fr.wikipedia.org) [25] L'un et l'autre ne
saurait être séparé. [26] Fait inconnu du monde
biblique dont le monde évangélique, en particulier.
Accepter ceci reviendrait pour eux à menacer la théorie
du "péché originel", la justification de la Mort du fils
de Marie, dieu incarné, sa passion et sa résurrection. [27] Allusion à différents
passages coraniques : VII 23 ; XXI 87 ; XXVIII 16. [28] Voir son ouvrage L'édification dans les états des morts et les évènements
de l'Au-delà. [29] Soit : à sa
disposition. [30] Tout péché peut-être
pardonné excepté de donner un Egal, un Semblable, un co-créateur,
un coéternel, un Associé au divin Créateur, un fils, un
enfant parmi les Fils d'Adam, les Anges et les Génies.
Le péché des gens associés et affiliés à Paul : l'Associationnisme de la Distinction (soit : trois
dieux en un, trinité). Et pour que les deux
vivent et perdurent leur est associé un troisième dieu :
l'esprit saint. N'oublions pas que pour la théologie et
les textes bibliques : Dieu est esprit. Ce qui
signifie, au passage, que Dieu et le Messie ont un début
commun, un commencement. Tous deux sont donc mis au
degré des choses créées. [31] Dans la Tradition, elle
sera comparée avec un autre propos comme ci-joint. [32] Mouslim (sing.), vulgaire : musulman. [33] Soit : le père de
Moussa l'Ach'ari. [34] En hébreu, pluriel de yéhudi. [35] Arabe : Naçarâ (نَصَارَىٰ). [36] Coran VI 164 : XVII 15 ; XXXV 18 ; XXXIX 7. [37] Coran XXIII 10. [38] Coran XXXIX 74. [39] Baliverne, tromperie.
Contraire aux Ecritures. Torah : « Les pères ne
seront pas mis à mort pour les fils, ni les fils pour
les pères. Chacun ne mourra que pour son propre péché...
» (Dt. 24 16). [40] Lui et ses affidés sont
démentis par la Parole divine : Coran IV 157-159. Et pas
de contradiction ou d'erreur dans Sa parole. L'erreur et
la contradiction viendront uniquement des Fils d'Israël
et des Yéhudim eux-mêmes. Lesquels ont falsifié leurs
propres Ecritures pour détourner ainsi la communauté
messianique de la Vérité et du droit chemin menant à
Dieu (exalté soit-Il !). [41] De nos jours, les gens
de la Synagogue et de la Torah rejettent toute
implication de leurs ancêtres dans ce qui c'est passé,
notamment dans un plan prévoyant une mort réelle du Messie. Ils refusent toute condamnation de leurs
ancêtres, préfèrent rejeter la faute de tout ce qui
s'est passé sur les forces d'occupation d'alors : les
Romains sabéistes. La responsabilité collective, de leur
peuple, ne saurait être selon leurs dires ! Oui, pour la
responsabilité collective pour les autres peuples de la
Terre, des Fils d'Adam, non jamais pour le peuple
d'Israël martèlent les gens de la Synagogue et de la
Torah ! Pourtant, l'évènement de 70 de les condamner, de
les contredire. La faute de ce qui s'est passé ne repose
aucunement sur les forces d'occupation, des Romains
sabéistes, mais bien sur les épaules des Fils d'Israël.
Leur péché de les détruire, d'être la cause directe de
leur destruction, leur malheur et désolation. [42] En Achoua' le Yéhudi. [43] Parmi le monde biblique. [44] Le doute subsistera jusqu'à la seconde venue du Messie
en Terre sainte. Ce jour-là, les gens présents seront
confondus. Leurs propos démentis. Ils seront couverts
d'humiliation ! [45] A l'appui de textes divers, d'apocryphes, le doute de
les poursuivre. De plus, les contradictions des textes
évangéliques sont nombreuses, contradictoires. Mais cela
émeut peu ceux qui croient, avec certitude, à une mort
réelle du fils de Marie. Pourtant, la vérité de leur
Seigneur ne saurait être mis en doute, à rejeter ! [46] Les Yéhudim d'alors. Pas plus que les Romains. [47] Soit : sain et sauf, corps et âme. Il sera élevé au
Paradis non "assis à la droite de son Seigneur Dieu".
Ceci par l'intermédiaire de l'ange Gabriel, ange de la
Révélation. [48] Le Dieu du monde biblique apparaît comme un dieu
sanguinaire, impuissant face de tels évènements,
ignorant, injuste. Pourtant, les Fils d'Israël et les
Yéhudim d'alors n'arriveront pas à mettre la main sur
leur Messie, leur messager prophète. Leurs efforts
seront vains et leur Seigneur de les ridiculiser, note
le Savant ! [49] Ou : la Bible. Soit : gens de la Torah et de l'Evangile
car tous deux sont concernés dans ce drame. [50] Place peu enviable ! [51] Coran IV 157-159. [52] Paul fait du Christ (son christ à lui) un égal à
son Seigneur, qu'on doit adorer en Lui ! Un personnage
de condition divine, de descendance divine. Paroles de
mécréance, note le Savant ! [53] Coran IX 30. Les associateurs arabes voyaient eux aussi
des fils ou des filles au Dieu suprême parmi les anges
et génies. [54] En hébreu, pluriel de yéhudi. [55] Arabe : Naçarâ (نَصَارَىٰ). [56] Des croyants soumis. [57] Dégradé par rapport à sa religion originelle, élevé par
les autres religions existantes au rang d'un dieu, ou
fils de cette dernière. Pratique coutumière. Il quitte
ses habits prophétiques pour en hériter d'autres, pour
devenir ainsi la risée des gens et avoir le même sort
que les Associateurs au Jour des Compte : le Feu
infernal et éternel... [58] Suivant l'interprétation des Trithéistes, gens de la
trinité. [59] Parmi l'incohérence des Trithéistes, le Messie à la fois
intervient pour sauver les Fils d'Adam tout en étant
leur juge suprême ? Reste à savoir, au Jour des Comptes,
Dieu sera toujours en 'Christ' ou séparé de Lui ? [60] Ahmad (אחמד),
dans le Coran (Coran LXI 6), Mohammad, dans la Torah. Il
avait encore d'autres noms dans les Ecritures anciennes.
Ceci étonne d'ailleurs bon nombre de gens de la Bible. [61] La malédiction ou le wayl. "La malédiction est
une montagne dans le Feu infernal où furent rejetés les
Yéhudim qui altérèrent la Thora ; ils y avaient ajouté
ce qu'ils espéraient y trouver et en avaient supprimé ce
qui leur déplaisait. C'est ainsi qu'ils supprimèrent le
nom du "Louangé" (Mohammad). Ceci suscita la colère de
Dieu qui retira (du monde) une partie de la Thora et dit
: "Que le châtiment "du wayl" leur soit infligé
pour ce que leurs mains ont écrit et qu'il leur soit
infligé pour ce qu'ils ont obtenu (en échange)".
Point de divinité, de dieu que Dieu ! « Vulnerant omnes, ultima necat. » Nous ne le dirons jamais assez. Explicit totus liber.