Histoire sainte toranique, biblique.

SANGUINE, SANG, DAM, LOI. 

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU, Allaha
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Adam et le Pardon divin.
La Rançon contre le Feu infernal : pour quelle Communauté ?


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

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   Adam et le pardon.

   Source de division entre les gens de la Bible, d'une part, et les gens de l'Islam traditionnel d'autre part. Chacun campe sur ses positions. Exemples :
 
   Yéhudisme. Après l'attitude négative que les commentateurs toraniques ont adopté sur le prophète Adam, le pardon d'Adam et de sa femme reste en retrait, mis à l'index. C'est dans les apocryphes, les légendes du monde biblique, qu'un pardon apparait avec un rite millénaire : le baptême[5]. Exemple : Dans la tradition juive, Adam va se tenir dans les eaux du Guihon pendant sept semaines, comme pénitence, après quoi il demande à Dieu de lui pardonner ses péchés, ce que Dieu fait volontiers (Zohar Genèse 55b; Pirqe de Rabbi Eliézer 20)[6].
 
   Nazarénisme. On a dit[7] : La tradition chrétienne entretient une conception similaire. Ephraem de Syrie, auteur chrétien du 4e siècle, écrit : « Dans le Baptême, Adam retrouva – cette gloire qui était parmi les arbres d’Éden. – Il descendit et la reçut hors de l’eau ; – il s’en revêtit, monta et en fut orné... L’Homme est tombé au milieu du paradis, – et dans le baptême, la compassion l’a restauré »  (Cantiques pour la fête de l'Épiphanie 12:1-2). Parlant d’Adam et Ève, il écrit : « Ils se revêtirent des feuilles de la nécessité, – mais le Miséricordieux eut pitié de leur beauté, – et au lieu de feuilles d’arbres, – Il les revêtit de gloire dans l’eau »   (Cantiques pour la fête de l’Épiphanie 12:4)[8].
 
   Dans le document chrétien du 5e ou du 6e siècle connu sous le nom de Conflit d’Adam et Ève, 1:2-5, il est question de la mer que Dieu fit au nord du jardin d’Eden, dans laquelle, si Adam et Ève s’y étaient lavés, auraient été « purifiés de leurs péchés, auraient oublié la transgression qu’ils avaient commise, et ils ne se la rappelleraient plus dans la pensée de leur châtiment[9].
 
   Aux chapitres 32-33 du même ouvrage, nous voyons Adam et Ève aller dans les eaux, s’y tenir à une assez grande distance l’un de l’autre et prier Dieu de leur pardonner leurs péchés. Satan apparaît à Adam sous la forme d’un ange de lumière, lui disant de sortir de l’eau, car ses péchés lui ont été pardonnés. Mais Adam le reconnaît et sait qu’il ne peut recevoir le pardon tant qu’il n’a pas été plongé dans l’eau ; par conséquent, il réprimande Satan, qui va alors tenter Ève[10]. Elle se laisse séduire, sort de l’eau et va trouver Adam. Quand Adam, toujours debout dans l’eau, la voit, il se rend compte qu’elle a de nouveau cédé à la tentation. « Il la vit, et se frappa la poitrine ; et dans l’amertume de sa douleur, il s’enfonça dans l’eau. Mais Dieu posa le regard sur lui et sur son malheur et sur le fait qu’il était sur le point de rendre le dernier soupir. Et la parole de Dieu vint du ciel, le sortit de l’eau et lui dit : ‘Monte sur la haute rive vers Ève[11].’ » Ce texte ne parle pas du baptême d’Adam, mais il y a un parallèle partiel avec Moïse 6:64-65, où Adam est « sorti de l’eau »  par l’Esprit de Dieu[12].
 
On trouve la même histoire dans d’autres documents chrétiens anciens. Dans Le Conflit d’Adam et Ève 8:6-11 et son parallèle dans Apocalypse de Moïse 19:11-17, Adam et Ève décident de faire pénitence pour leurs péchés en se tenant de nombreux jours dans l’eau d’une rivière. Ève se tient dans le Tigre et Adam dans le Jourdain. Satan, sous la forme d’un ange, séduit Ève[13], qui sort de l’eau, croyant que ses péchés lui sont pardonnés. Elle va trouver Adam, qui est toujours debout dans l’eau et qui est déçu de voir qu’elle a de nouveau succombé aux ruses de Satan. La version gaélique (irlandaise) de l’histoire est essentiellement la même, bien qu’elle place Adam dans le Jourdain, tandis qu’Ève va au Tibre (La pénitence d’Adam 3-12)[14].
 
 On trouve une forme abrégée de l’histoire dans le texte copte Mystères de Saint-Jean le Révélateur, où nous lisons que Dieu envoie un ange « à Adam, et il le trouva dans le Jourdain[15], et il n’avait plus mangé depuis huit jours[16]. »
 
St Ephraem de Syrie, dans un de ses cantiques, fait allusion en ces termes au baptême d’Adam : « Dans le Baptême, Adam retrouva  ­–  cette gloire qui était parmi les arbres d’Éden[17]. ­– Il descendit, et le reçut hors de l’eau... [Dieu] les revêtit de gloire dans l’eau (Cantiques pour la fête de l’Épiphanie 12:1, 4)[18].
 
   Conclusion. Ces apocryphes existent en différentes langues, toutefois les gens de l'Eglise et de l'Evangile semblent y donner peu d'intérêt. Leur intérêt se porte plus, pour bon nombre d'Eglises, sur la Mort [présumée] du fils de Marie, ce dieu incarné, cette divinité mi-homme mi-dieu ou divine.
 
   Islam. Contrairement à l'idée reçue, l'Islam traditionnel et la Tradition ne donnent pas une description similaire de la façon dont Adam reçut le pardon de sa faute[19]. Satan le lapidé a trompé l'épouse d'Adam, laquelle, par ricochet, a trompé son mari ; elle a répondue ainsi à l'appel du diable banni, appel lourd en conséquences[20] pour le couple et leurs progénitures.
 
   Pardon divin. Adam révolté par ce qui s'est(ait) passé, se tournera vers son Seigneur. Celui-ci répondra à son appel : Puis Adam reçut de son Seigneur des Paroles. Puis Dieu accueillit son repentir. En vérité Lui, Il est le pardonneur (ٱلتَّوَّابُ), le miséricordieux (ٱلرَّحِيمُ). (Coran II 37).
 
  « et Il revint (tâba) vers lui... »
 
   Et Dieu revint vers Adam[21].
 
   Ce "Retour" de Dieu signifie qu'Il accorde le repentir (at-taouabah - التوبة) à Adam car dans le passage "fa-tâba 'alai-hi[22]" ({ فَتَابَ عَلَيْهِ }), le sujet du verbe "tâba" est "Dieu" et le pronom "hi" (souligné) renvoie à "Adam"[23].
 
   La "taoubah" (= repentir - التوبة) est le fait de revenir vers Dieu[24] et vers l'obéissance qui Lui est due[25].
 
   D'après Moujâhid ces "Paroles" sont les suivantes[26] :

« Mon Dieu, il n'y a pas de divinité si ce n'est Toi ! Pureté et Louange à Toi ! J'ai été injuste à l'égard de mon âme ! Pardonne-moi car Tu es le Meilleur des Pardonnants ! Mon Dieu, il n'y a pas de divinité si ce n'est Toi ! Pureté et Louange à Toi ! Seigneur ! J'ai été injuste à l'égard de mon âme ! Fais-moi miséricorde car Tu es le Meilleur de ceux qui font miséricorde !
 
   Mon Dieu, Pas de divinité si ce n'est Toi ! Pureté et Louange à Toi ! Seigneur ! J'ai été injuste à l'égard de mon âme ! Reviens vers moi car c'est Toi Celui qui revient - sans - cesse (vers Ses esclaves), le Très-Miséricordieux »[27]

اللهمّ لا إله إلا أنت سبحانك وبحمدك، ربّ إنـي ظلـمت نفسي فـاغفر لـي إنك خير الغافرين. اللهمّ لا إله إلا أنت سبحانك وبحمدك، ربـي إنـي ظلـمت نفسي فـارحمنـي إنك خير الراحمين. اللهمّ لا إله إلا أنت سبحانك وبحمدك، ربّ إنـي ظلـمت نفسي فتب علـيّ إنك أنت التوّاب الرحيـم.

    Conclusion. En supprimant le principe du péché et de la culpabilité d'Adam, le Messie retrouve une nouvelle vie, un nouveau souffle à travers Adam. Plus aucune prise véritable, coercitive pourrait-on dire, sur les Fils d'Adam. Ils sont libres et responsables de leurs actes. Certes, tous mourront et tous ressusciteront, tous paraîtront devant le Juge suprême. Ils seront élus ou damnés. Telle est la Justice divine et Sa miséricorde envers Ses créatures !

    Quel est la rançon de tout soumis contre le Feu infernal ?

    Un sujet abordé par les commentateurs dont l'Imam Qortobi (Que Dieu lui fasse miséricorde !). Jusqu'à maintenant nous avons abordé la croyance de Paul et de ses affidés et suivants. Pour Paul, la personne accréditée pour cela, et au nom des Fils d'Israël et des Fils d'Adam, est le Messie fils de Marie lui-même.
 
   Pour l'Islam traditionnel et la Tradition, changement de décor. Et à l'Imam d'écrire notamment[28] :
 
   "D'après le père de Bourda d'après son père, le Messager de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Quand Dieu réunira les créatures au jour de la Résurrection, Il autorisera la communauté de Mohammad (صلى الله عليه وسلم) à se prosterner. Ils se prosterneront longtemps, puis on dira : « Levez la tête ! Nous avons fait de votre nombre votre rançon contre l'Enfer ».
 
   D'après Anas fils de Malik, le Messager de Dieu a dit : « Cette communauté bénéficie de la grâce. Son tourment est entre ses mains[29]. Au jour de la Résurrection, on remettra à chaque homme soumis un homme parmi les associateurs[30], et on dira : « C'est ta rançon contre l'Enfer ».
 
   Bien que les chaînes de ces deux paroles ne soient pas assez solides, Dâraqoutni ayant déclaré que Jibâra fils de Mougallis n'était pas autorisé, leur signification est cependant exacte[31], en référence à la parole rapportée par Mouslim : D'après le père de Bourda d'après le père de Moussa, le Messager de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit :
 
   « Au jour de la Résurrection, Dieu remettra à chaque soumis un yéhudi ou un nazarénien et dira : « Voilà ton affranchissement de l'Enfer ! » Dans une autre transmission, il y a : « Quand un (homme) soumis[32] meurt, Dieu fait entrer à sa place en Enfer un yéhudi ou un nazarénien ». Il (le transmetteur) déclare : « 'Omar fils d'Abdal 'Aziz lui a fait jurer trois fois par Dieu, nul dieu ce n'est Lui, que son père (le père de Moussa) le lui avait rapporté du Messager de Dieu (صلى الله عليه وسلم). Il le lui jura.
 
   Et en note, l'Imam de commenter : Nos savants ont dit : Ces paroles, bien qu'ils signifient dans leur forme la globalité et la généralité, désignent en fait des pécheurs à qui Dieu a accordé Sa grâce et Son pardon.
 
   Il a ainsi donné à chacun d'eux le moyen de s'affranchir de l'Enfer par un incroyant comme rançon. Ils s'appuient en cela sur la parole du père de Bourda, d'après son père[33] qui a relaté que le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Des gens parmi (les gens) soumis viendront le jour de la Résurrection avec des péchés comme des montagnes. Dieu leur pardonnera pour eux et les mettra à la charge des Yéhudim[34] et des Nazaréniens[35] ».
 
   Ils déclarent que le sens de « il leur pardonnera pour eux » est qu'il ne leur en tiendra plus rigueur, comme s'ils n'avaient pas péché.
 
   Les termes « il les mettra à la charge des Yéhudim et des Nazaréniens » signifient qu'il multipliera le châtiment de leurs péchés, au point que leur tourment équivaudra à leur crime et au crime des pécheurs soumis, si ceux-ci en avaient été sanctionnés, En effet, le Très-Haut ne tient rigueur à personne du péché d'autrui, tel qu'Il l'a dit :
 
   « et aucun porteur de péché ne portera le péché d'un autre »[36]. Le Glorifié détient cependant le pouvoir de multiplier le tourment ou de l'alléger pour celui qu'il veut, par l'ordre de Sa volonté et de Sa décision, car on ne saurait l'interroger sur Ses actes.
 
   A propos de la signification des termes de l'autre relation de la parole « Quand un (homme) soumis meurt, Dieu fait entrer à sa place en Enfer un yéhudi ou un nazarénien », ils affirment : le soumis pécheur qui méritait une place en Enfer du fait de ses péchés et auquel Dieu pardonne, laisse sa place vide. Dieu le Très-haut affecte alors celle-ci à un yéhudi ou un nazarénien pour qu'il y soit tourmenté en plus du tourment qu'il subit déjà, selon son incroyance.
 
   La parole du Prophète (صلى الله عليه وسلم) relaté par Anas, sur le croyant qui reste ferme lors de l'interrogatoire de la tombe, corrobore cela. On lui dit notamment : « Regarde ta place en Enfer. Dieu t'a donné en échange une place au Paradis ».
 
   Je noterai pour ma part qu'il y a des paroles indiquant qu'il a été assigné à tout (homme) soumis, pécheur ou non, une place au Paradis et une autre en Enfer. C'est le sens de la parole du Très-haut : « Ceux-là sont les héritiers »[37].
 
   C'est-à-dire que les croyants hériteront des places des infidèles, alors que ces derniers seront mis à leurs places en Enfer, comme cela sera mentionné plus loin. C'est ce qui ressort aussi de la parole d'Anas déjà cité, d'après le Prophète (صلى الله عليه وسلم) qui a dit : « Quand une personne est mise dans sa tombe... ».
 
   Cependant, cet héritage diffère. Parmi eux, il en est qui héritera sans rendre de compte, d'autres hériteront en ayant à rendre des comptes et après leur interrogatoire ou hériteront après leur sortie de l'Enfer, selon ce qui a été mentionné des divers états des personnes. Et Dieu est plus Savant !
 
   Il est possible de comprendre le gain du Paradis comme un héritage, du fait qu'ils le gagneront à l'exclusion des autres. C'est le sens de la parole du Très-Haut :
 
   « Et ils dirons : "Louange à Dieu qui nous a dit vrai dans Sa promesse et nous a fait hériter de la terre ; nous allons au Paradis où nous voulons !..."[38] ». [Explicit].

   Conclusion.

   Rançon contre le Feu infernal. Pour Paul et ses affidés, un seul individu suffira pour être la rançon des milliers, des millions de personnes. De plus, c'est l'homme de bien qui est une rançon pour l'homme mauvais[39]. Pourtant, Paul ne peut en donner de preuve de ce qu'il avance mais cela ne le trouble pas, lui et ses affidés[40]. Leur Seigneur n'a-t-Il pas révélé à l'encontre du monde biblique, leur parole :
 
   « En vérité, nous avons vraiment tué le Messie » ; Ichoua', fils de Marie, le messager de Dieu !...[41]
 
   Démenti formel de la part de leur Seigneur :

"Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié : mais on leur a été donné le semblable[42]. En vérité, et ceux qui divergent à son sujet[43], en ont certainement un doute[44] : ils n'en ont d'autre science que la poursuite d'une conjecture[45]."
 
   Rappel des faits :
 
   "Car ils ne l'ont certainement pas tué
[46], mais Dieu l'a élevé vers Lui[47]. Et Dieu demeure puissant, sage.[48]"
 
   Pour conclure :
 
   "Tel, parmi les gens du Livre[49]
, sûrement croira, avant sa mort. Et au jour de la Résurrection il sera un témoin[50] contre eux."[51]

    Islam traditionnel. La rançon du Croyant soumis peut-être un associateur, un yéhudi ou un nazarénien. Gens qui, au départ, donnent, ont donné durant leur vie sur Terre, des associés, des égaux[52], des semblables à leur divin Créateur.
 
   L'associateur n'as pas de place enviable avec la multitude de dieux fait de pierres ou de bois qu'il fabriquait et adorait. Le yéhudi ou le nazarénien ont suivi un chemin qui les mènera tous deux au Feu infernal, notent les Savants. Leurs dieux ou leurs fils de Dieu sont de purs humains[53] à l'instar de cultes anciens. Passage d'un état à un autre, dira-t-on, mais le résultat est le même : le Feu infernal pour toute personne qui se divinise ou divinise autrui.
 
   Ajouté à leur drame un complément de péchés comme souligné :
 
   « Des gens parmi (les gens) soumis viendront le jour de la Résurrection avec des péchés comme des montagnes. Dieu leur pardonnera pour eux et les mettra à la charge des Yéhudim
[54] et des Nazaréniens[55] ».
 
   Enfin, le Seigneur d'Adam a ainsi donné à chacun d'eux[56] le moyen de s'affranchir de l'Enfer par un incroyant comme rançon.
 
C'est un homme incroyant, mauvais, pécheur, qui sera la rançon de l'homme croyant et non l'inverse. L'erreur de Paul est monumentale. Naguère, ses frères en religion sont tombés maintes fois dans l'Associationnisme, péché mortel et impardonnable. Exemple avec le 'Veau', un dieu fait en métal précieux l'or. Avec 'Ozair qu'ils déclareront fils du Dieu suprême. Avec le Messie en voulant adorer leur Seigneur en lui. L'idée que Dieu n'est pas seul semble avoir un impact dangereux et non négligeable sur le monde biblique. L'idée aussi qu'Il dispose d'un "corps" à Lui, puisse se métamorphoser en une créature créée par Lui. Se déplacer du Ciel, de Son trône, à travers les cieux et la terre. Puisse venir, après s'être métamorphosé, visiter Ses créatures dont un peuple particulier : les Fils de Jacob, d'Israël. Manger, boire, dormir, aller aux lieux d'aisance. Habiter (ou venir habiter) dans Son temple fait par Ses esclaves. Autant de croyances que l'homme doué d'intelligence et de raison ne saurait croire et suivre...

   L'oubli. Le sang véritable versé.

   Normalement, si les gens de la Bible voulait parler à leurs communautés de sang, c'est bien celui des martyrs. Et en l'occurrence celui des prophètes Zacharie et son fils, son fils en particulier. Le fils de Zacharie était associé avec le fils de Marie dans sa mission. Le fils de Marie échappera à la Mort que lui voulait ses opposants et adversaires d'entre les Fils d'Israël et les Yéhudim. Et sa mort sera un signe terrible pour eux car elle débouchera immanquablement sur un drame collectif et national : l'Etat sera détruit comme le Temple, les rescapés, chassés de Terre sainte, devront vivre parmi les nations sabéistes et dualistes d'alors, seront emmenés captifs, réduits à l'esclavage, etc. Humiliation sur humiliation, note l'observateur !

   Réécriture des Ecritures.

   Des gens mal intentionnés d'entre les Fils d'Israël et les Yéhudim ont cru bon de réécrire leur "Histoire sainte". Ce qui a donné comme résultat :
 
   - L'Evangile originel sera détruit et remplacé par des textes, arrangés, remodelés, censurés.
 
   Des évènements importants y seront censurés, omis, détournés de leurs sens à l'instar de :
 
   - la naissance miraculeuse du Messie qui verra entre autre l'enfant de Marie parler aux Fils d'Israël pour défendre sa mère accusée d'avoir commis la fornication (Coran XIX 29-34).
 
   - Les miracles. On refusera de croire en eux, on les traitera et on les fera passer aux yeux du peuple de pure sorcellerie (Coran LXI 6).
 
   - L'incident de la Mense. Incident terrible pour les mécréants d'entre elle (Coran V 112-115). Incident caché, mis en sourdine, oublié avec le temps.
 
   - Tentative d'assassinat du prophète messager, le Messie, fils de Marie (Coran III 55-56 ; IV 157-159). Mort de son sosie, Achoua le Yéhudi. Il sera la rançon du Messie contre sa mort.
 
   - L'assassinat du fils de Zacharie qui débouchera immanquablement sur la réalisation de la "Promesse divine" seconde (Coran XVII 2-8), soit : la fin de l'ère et du règne toranique en Terre sainte.

   Destruction.

   Ajouté à cela, des hommes malfaisants apparaîtront pour détruire la religion du fils de Marie à l'instar du dénommé Paul et de ses disciples et affidés. Le prophète messager, le Messie, fils de Marie, sera dégradé[57] de ce rang pour être élevé, par contre, au rang de dieu, un dieu mi-homme mi-dieu, incarné, un fils de la Divinité suprême. Semblable et Egal en tout avec Elle. Coéternel et cocréateur. Consubstantiel à son Seigneur, de même nature que Lui[58]. Héritier des cieux et de la terre après la Résurrection. Intercesseur auprès de son Seigneur pour les Fils d'Adam. Juge suprême des Fils d'Adam[59] après la Résurrection, le Jour des Comptes...

   Point final.

   Les Ecritures se verront amputées d'une chose extrêmement salvatrice et combien importante, salutaire, pour chaque fils d'Adam : la mention du prophète Ahmad(صلى الله عليه وسلم) [60] ! Les faussaires supprimeront purement et simplement sa description, ses noms, ses qualités des Ecritures[61]. Idem pour les gens de sa communauté. Et dans ce concert, cacophonie, les gens de la Bible (toranique & évangélique) assembleront leurs forces et ne feront qu'un !

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
 
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
 
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
 
[5] Voir notre étude sur la réfutation du baptême : Lire... Selon le Yéhudisme, on entre de plein pied dans le Yéhudisme, dans l'Alliance, par la circoncision. Idem pour le Nazarénisme : on ne naît pas chrétien, mais on le devient à travers le baptême.
 
   Adam comme le Messie, deux prophètes, n'ont rien à voir, de près ou de loin, avec la notion de baptême. Les faussaires veulent coûte que coûte réécrire "l'Histoire sainte des Fils d'Israël" à leur façon.
 
[6] On a dit : De nombreuses références sont faites à Adam et Eve dans la littérature pseudépigraphique et midrachique, qui comprend un récit entier intitulé Le Livre de la vie d'Adam et Eve.
 
   Le Livre de la vie d'Adam et Eve, décrit cependant longuement le repentir des acteurs après leur expulsion du jardin (Adam, 1-11). (Voir Dic. encyclopédique du Judaïsme. 1996 Cerf/R. Laffont).
 
[7] V. Le baptême d'Adam.
 
[8] Philip Schaff et Henry Wace, Nicene and Post-Nicene Fathers, Peabody, MA, Hendrickson, 1994 (orig. 1898), 13:282.
 
[9] S. C. Malan, The Book of Adam and Ève, also called The Conflict of Adam and Eve with Satan, Londres, Williams & Norgate, 1882, pp. 1-2. Voir aussi Conflict of Adam and Eve I, 28:5, p. 8.
 
[10] Nous pouvons comparer l’événement décrit dans 1 Adam and Eve 33:32-33 avec celui mentionné dans D&A 128:20, où Joseph parle de « la voix de Michel sur les rives de la Susquehanna, détectant le diable lorsqu'il apparut comme un ange de lumière! » Ailleurs, Joseph identifie Adam comme étant Michel (D&A 27:11; 107:54; 128:21; HC 3.385-6; 4.207-8).
 
[11] Conflict of Adam and Eve I, 33:10-11, S. C. Malan, The Book of Adam and Eve, also called The Conflict of Adam and Eve with Satan, p. 36.
 
[12] Les passages diffèrent en ce que l’un d’eux dit qu’Adam est soulevé hors de l’eau par « la Parole de Dieu » (un titre du Christ dans Jean 1:1, 14; 1 Jean 1:1; 5:7), tandis que selon l’autre, c’était «  l’Esprit de Dieu ». Il se peut que l’on entende par là le Christ sous sa forme spirituelle, comme cela peut désigner le Saint-Esprit. Dans un cas comme dans l’autre, l’acte est accompli par un membre de la Divinité.
 
[13] Selon l’Apocalypse de Moïse 17:1, Satan, venu tenter Ève dans le jardin, apparaît sous la forme d’un ange (voir aussi Conflict of Adam and Eve with Satan I, 27).
 
[14]Máire Herbert et Martin McNamara, dir. de publ., Irish Biblical Apocrypha: Selected Texts in Translation, Edinburgh, T & T Clark, 1989, pp. 8-11.
 
[15] Fleuve très important pour le monde biblique. Symbole de loi et de baptême.
 
[16] Sir Ernest A. Wallis Budge, Egyptian Tales and Romances, Londres, Thornton Butterworth, 1935, p. 207.
 
[17] Est-il sur terre ou à autre endroit ? Ce jardin d'Eden n'a rien de commun avec l'Islam traditionnel, la Tradition et les commentaires.
 
[18] Philip Schaff et Henry Wace, Nicene and Post-Nicene Fathers, Peabody, MA, Hendrickson, 1994 (orig. 1898), 13:282.
 
[19] Et non péché grave, capital. Les gens de la Bible de nous entretenir toujours et encore du "péché" d'Adam. Adam pour eux, père du genre humain, n'est pas un saint et surtout pas un prophète.
 
   Pour l'Islam traditionnel, les messagers et prophètes ne sont pas gens à tomber dans le péché grave ; ceci à l'inverse du monde biblique. Ce qui signifie que le Messie, pour le plaisir et recommandation de son Seigneur, n'a pas à mourir, à se donner la mort, pour un autre prophète comme lui en l'occurrence ici Adam. Le Seigneur des messagers et prophètes n'est pas une divinité qui commande à Ses créatures le mal, le blâmable, l'injustice et la turpitude. Tel n'est pas, par contre, le cas du diable banni ! Adam, prédestiné, est, a été, et restera pour le monde biblique une pierre d'achoppement. Idem pour le fils de Marie.
 
[20] Coran II 36 : Puis le Diable les fit broncher de là tous deux et les chassa du lieu où ils étaient. Le Diable banni et non le serpent (biblique). A noter que le texte toranique parle de deux arbres en Paradis, le texte coranique qu'un seul. Ne pas confondre ! Preuve de l'influence du Dualisme au sein du monde biblique.
 
   On a dit : l’Arbre de la Vie et l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal dont Dieu avait interdit à Adam et Ève de manger les fruits… L’Arbre de la Vie représente l’unité de la vie, là où la polarisation ne se manifeste pas encore, c’est-à-dire où il n’y a ni bien ni mal, une région au-dessus du bien et du mal. Tandis que l’autre Arbre représente le monde de la polarisation où l’on est obligé de connaître l’alternance des jours et des nuits, de la joie et de la peine, etc.
 
   Les arbres du paradis et ses fleuves : Torah. Genèse : 2.9 L'Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. 2.10 Un fleuve sortait d'Éden pour arroser le jardin, et de là il se divisait en quatre bras.
 
   D. Masson : Cf. VII, 19-20; XX, 120 où il est question de « l'arbre de l'immortalité ». - D'après la Genèse (III, 6), Adam et Eve mangèrent le fruit de l'arbre qui leur donna « la connaissance du bien et du mal »; mais l'accès de « l'arbre de vie » qui les aurait rendu immortels, leur fut interdit (III, 22 ; Cf. II, 15-17).
 
   Rien de semblable avec le texte coranique.
 
   D. Masson : La Genèse ne fait aucune allusion au repentir d'Adam, mais plusieurs auteurs juifs et chrétiens l'ont retenu en se basant probablement sur le Livre de la Sagesse (X, 1). La Tradition juive cite Adam comme un modèle de pénitence : Talmud, Erubin, 18b ; Aboda Zarab, 8a; Abot de Rabbi Nathan, I; La Vie d'Adam et Eve, XLII, XXVIII, Apocalypse de Moïse, XIII, XXVII; II Hénoch, XXXII. Voir, parmi les auteurs chrétiens : Tertullien, De Panitentia, XII, P.L. I, 1248; Irénée, Contra Haereses, III, 23, P.G. VII, 960; Augustin, Epistula, CLXIV, 3, P.L.XXXIII, 711. (Commentaire et traduction Coran. notes v. 34).
 
[21] V. le Commentaire de Tabari.
 
[22] Sa parole : (وقوله: { فَتَابَ عَلَيْهِ } يعنـي رزقه التوبة من خطيئته.). Il revint vers lui (Adam), soit : Il l'a enrichi du repentir suite à sa faute.
 
[23] (قوله تعالـى: { فَتَابَ عَلَيْهِ }. قال أبو جعفر: وقوله: { فَتَابَ عَلَيْهِ } يعنـي علـى آدم، والهاء التـي فـي «علـيه» عائدة علـى «آدم».* تفسير جامع البيان في تفسير القرآن/ الطبري.)
 
[24] Yéhudisme. La techouva (hébreu תשובה, « retour » ou « réponse ») est le processus de repentance dans le judaïsme, tant dans la Bible hébraïque que dans la littérature rabbinique. Conformément à la pratique juive, une faute, une erreur, un acte interdit, peuvent être pardonnés sous réserve d'engager une démarche de techouva. (fr.wikipedia.org)
 
[25] L'un et l'autre ne saurait être séparé.
 
[26] Fait inconnu du monde biblique dont le monde évangélique, en particulier. Accepter ceci reviendrait pour eux à menacer la théorie du "péché originel", la justification de la Mort du fils de Marie, dieu incarné, sa passion et sa résurrection.
 
[27] Allusion à différents passages coraniques : VII 23 ; XXI 87 ; XXVIII 16.
 
[28] Voir son ouvrage L'édification dans les états des morts et les évènements de l'Au-delà.
 
[29] Soit : à sa disposition.
 
[30] Tout péché peut-être pardonné excepté de donner un Egal, un Semblable, un co-créateur, un coéternel, un Associé au divin Créateur, un fils, un enfant parmi les Fils d'Adam, les Anges et les Génies. Le péché des gens associés et affiliés à Paul : l'Associationnisme de la Distinction (soit : trois dieux en un, trinité). Et pour que les deux vivent et perdurent leur est associé un troisième dieu : l'esprit saint. N'oublions pas que pour la théologie et les textes bibliques : Dieu est esprit. Ce qui signifie, au passage, que Dieu et le Messie ont un début commun, un commencement. Tous deux sont donc mis au degré des choses créées.
 
[31] Dans la Tradition, elle sera comparée avec un autre propos comme ci-joint.
 
[32] Mouslim (sing.), vulgaire : musulman.
 
[33] Soit : le père de Moussa l'Ach'ari.
 
[34] En hébreu, pluriel de yéhudi.
 
[35] Arabe : Naçarâ (نَصَارَىٰ).
 
[36] Coran VI 164 : XVII 15 ; XXXV 18 ; XXXIX 7.
 
[37] Coran XXIII 10.
 
[38] Coran XXXIX 74.
 
[39] Baliverne, tromperie. Contraire aux Ecritures. Torah : « Les pères ne seront pas mis à mort pour les fils, ni les fils pour les pères. Chacun ne mourra que pour son propre péché... » (Dt. 24 16).
 
[40] Lui et ses affidés sont démentis par la Parole divine : Coran IV 157-159. Et pas de contradiction ou d'erreur dans Sa parole. L'erreur et la contradiction viendront uniquement des Fils d'Israël et des Yéhudim eux-mêmes. Lesquels ont falsifié leurs propres Ecritures pour détourner ainsi la communauté messianique de la Vérité et du droit chemin menant à Dieu (exalté soit-Il !).
 
[41] De nos jours, les gens de la Synagogue et de la Torah rejettent toute implication de leurs ancêtres dans ce qui c'est passé, notamment dans un plan prévoyant une mort réelle du Messie. Ils refusent toute condamnation de leurs ancêtres, préfèrent rejeter la faute de tout ce qui s'est passé sur les forces d'occupation d'alors : les Romains sabéistes. La responsabilité collective, de leur peuple, ne saurait être selon leurs dires ! Oui, pour la responsabilité collective pour les autres peuples de la Terre, des Fils d'Adam, non jamais pour le peuple d'Israël martèlent les gens de la Synagogue et de la Torah ! Pourtant, l'évènement de 70 de les condamner, de les contredire. La faute de ce qui s'est passé ne repose aucunement sur les forces d'occupation, des Romains sabéistes, mais bien sur les épaules des Fils d'Israël. Leur péché de les détruire, d'être la cause directe de leur destruction, leur malheur et désolation.
 
[42] En Achoua' le Yéhudi.
[43] Parmi le monde biblique.
[44] Le doute subsistera jusqu'à la seconde venue du Messie en Terre sainte. Ce jour-là, les gens présents seront confondus. Leurs propos démentis. Ils seront couverts d'humiliation !
[45] A l'appui de textes divers, d'apocryphes, le doute de les poursuivre. De plus, les contradictions des textes évangéliques sont nombreuses, contradictoires. Mais cela émeut peu ceux qui croient, avec certitude, à une mort réelle du fils de Marie. Pourtant, la vérité de leur Seigneur ne saurait être mis en doute, à rejeter !
[46] Les Yéhudim d'alors. Pas plus que les Romains.
[47] Soit : sain et sauf, corps et âme. Il sera élevé au Paradis non "assis à la droite de son Seigneur Dieu". Ceci par l'intermédiaire de l'ange Gabriel, ange de la Révélation.
[48] Le Dieu du monde biblique apparaît comme un dieu sanguinaire, impuissant face de tels évènements, ignorant, injuste. Pourtant, les Fils d'Israël et les Yéhudim d'alors n'arriveront pas à mettre la main sur leur Messie, leur messager prophète. Leurs efforts seront vains et leur Seigneur de les ridiculiser, note le Savant !
[49] Ou : la Bible. Soit : gens de la Torah et de l'Evangile car tous deux sont concernés dans ce drame.
[50] Place peu enviable !
[51] Coran IV 157-159.
[52] Paul fait du Christ (son christ à lui) un égal à son Seigneur, qu'on doit adorer en Lui ! Un personnage de condition divine, de descendance divine. Paroles de mécréance, note le Savant !
[53] Coran IX 30. Les associateurs arabes voyaient eux aussi des fils ou des filles au Dieu suprême parmi les anges et génies.
[54] En hébreu, pluriel de yéhudi.
[55] Arabe : Naçarâ (نَصَارَىٰ).
[56] Des croyants soumis.
[57] Dégradé par rapport à sa religion originelle, élevé par les autres religions existantes au rang d'un dieu, ou fils de cette dernière. Pratique coutumière. Il quitte ses habits prophétiques pour en hériter d'autres, pour devenir ainsi la risée des gens et avoir le même sort que les Associateurs au Jour des Compte : le Feu infernal et éternel...
[58] Suivant l'interprétation des Trithéistes, gens de la trinité.
[59] Parmi l'incohérence des Trithéistes, le Messie à la fois intervient pour sauver les Fils d'Adam tout en étant leur juge suprême ? Reste à savoir, au Jour des Comptes, Dieu sera toujours en 'Christ' ou séparé de Lui ?
[60] Ahmad (אחמד), dans le Coran (Coran LXI 6), Mohammad, dans la Torah. Il avait encore d'autres noms dans les Ecritures anciennes. Ceci étonne d'ailleurs bon nombre de gens de la Bible.
[61] La malédiction ou le wayl. "La malédiction est une montagne dans le Feu infernal où furent rejetés les Yéhudim qui altérèrent la Thora ; ils y avaient ajouté ce qu'ils espéraient y trouver et en avaient supprimé ce qui leur déplaisait. C'est ainsi qu'ils supprimèrent le nom du "Louangé" (Mohammad). Ceci suscita la colère de Dieu qui retira (du monde) une partie de la Thora et dit : "Que le châtiment "du wayl" leur soit infligé pour ce que leurs mains ont écrit et qu'il leur soit infligé pour ce qu'ils ont obtenu (en échange)".


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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Cette page a été mise à jour le 19/04/19.