Loi d'essence divine |
ACCUSATIONS ET RÉFUTATIONS |
Selon les Écritures. |
Citation prophétique : "Celui
qui me garantit ce qu'il a entre les mâchoires (c'est-à-dire sa
langue) et ce qu'il a entre les jambes, je l'assure du Paradis"
Devoir de justice
oint de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4]. Comme nous le savons tous, Aïchah fille d’Abou Bakr (que Dieu les agrées !) est une Dame peu aimée. Tant du monde islamique que du monde biblique. Que n’a-t-on pas dit sur elle, et que ne dira-t-on pas encore ! En quartier chiite[5], une personne féminine portant ce nom, a toutes les chances de se voir détestée et de ne jamais trouver du travail, une place au sein de la société. Exemple : le Liban.
Sur le Net, on s’en donne à cœur joie de la part des adversaires et
opposants à la Religion divine : l’Islam. Dans leur extravagance,
ne va-t-on pas jusqu’à dire que le Prophète de l’Islam (sur lui la Paix !)
est (était) un p.é.d.o.p.h.i.l.e ! ? Que Dieu nous protège
d’une telle infamie ! Dans le monde biblique, actuelle, en terre d’Europe ; la foi ayant disparue du cœur de nombreux personnes bibliques, c’est le « Politique[6] » qui gère donc ce vide spirituel… Et les gens du Partissisme opposants et adversaires farouches de tout ce qui touche au religieux, à la Religion divine, aux lois divines, aux traditions prophétiques, n’ont donc que peu d’amour pour tout ce qui touche au féminin, version islamique ! Tout est fait pour détruire la cellule familiale et surtout pour monter les enfants contre leurs parents et leurs « traditions ancestrales » ! Incitation à la délation ! Eux savent, mieux que quiconque, ce qui est bon pour tout un chacun ! Concernant sur ce qui est dit sur Aïchah et le Prophète de l’Islam, à Israël Adam Shamir, juif israélien, d’écrire dans son ouvrage : « L’autre visage d’Israël », ce qui suit : "L’amour du Prophète pour sa jeune épouse, Aïcha, plonge l'Amérique dans la consternation. Et cela, près de cinquante ans après la levée par la Cour Suprême de l'interdit frappant le roman Lolita, de Vladimir Nabokov, ode aux amours pédérastes. Pour les prudes accusateurs, peu importe que Mohammed — que la paix soit sur Lui — ait été amoureux de la demoiselle, comme elle l'était de lui. Eux savent, mieux que quiconque, ce qui est bon pour tout un chacun. Si le Prophète avait jeté son dévolu sur un garçon de l'âge d'Aïcha, on peut imaginer que la crainte d'être accusé d'homophobie aurait atténué quelque peu les critiques. Mais il se trouve que le Prophète avait des goûts catholiques. Ayant été un modeste étudiant du Talmud, à Jaffa, je me lèverai pour prendre sa défense, au nom de nos traditions juives. Loin d'avoir été un pécheur, Mohammed - que la paix soit sur Lui - s'est comporté en accord avec la lettre et l'esprit de notre sainte foi. Le Jacob de la Bible tomba amoureux de Rachel[7], lorsqu'elle avait sept ans, et il engendra, avec elle, une lignée de saints au nombre desquels figure Marie, mère de Dieu[8]. Le Talmud[9] stipule que l'âge admis du mariage est, pour les filles, de trois ans et un jour. Cela nous vaut cette dispute, digne de Boccace, qui se tint à Séphoris, en Galilée. Justine, princesse romaine, fille de l'empereur Sévère, lui-même fils d'Antoine, demanda au rabbin Judah Princeps, autorité spirituelle et juridique suprême des Juifs dans la période post-biblique, quel était l'âge légal du mariage et du concubinage.
— Trois ans et un jour, avait répondu
le rabbin. L’épouse de Mohammed, Aïcha, avait perdu, quant à elle, six années de sa jeunesse, puisqu'elle avait été mariée à l'âge de neuf ans. Ainsi, le Prophète fit montre d'une grande sagesse, toujours en parfaite conformité avec nos enseignements juifs. Nos saints rabbins autorisaient les mariages très précoces, mais ils n'étaient pas absolument certains que des filles de trois ans eussent été suffisamment matures. Ils enseignaient que les prosélytes et les pédophiles ne faisaient que retarder la venue du Messie attendu et l'avènement du Royaume des Cieux. Qui sont les pédophiles, dans ce contexte ? s'interroge le Talmud. Il ne peut s'agir que de personnes ayant un comportement légitime, mais réprouvé. Par conséquent, il ne saurait s'agir des sodomites, puisque ceux-ci méritent d'être lapidés à mort, ni des onanistes[11], qui méritent de périr noyés. Il s'agissait, par conséquent, de ceux qui épousent des filles avant qu'elles aient atteint l'âge nubile, c'est-à-dire neuf ans. Ainsi, le Prophète est au-dessus de tout soupçon, à cet égard, si l'on s'en réfère à nos textes juifs. Il avait plusieurs épouses, persiflent ses contempteurs. Soit. La loi juive ne nous permet-elle pas d'avoir autant d'épouses que nous pouvons en avoir ? Aujourd'hui, un musulman doit se contenter de quatre épouses (en ce bas monde). Mais nous, les juifs, nous n'avons pas de telles restrictions. La coutume supposée barbare qu'ont les musulmans de voiler les femmes et de les tenir à l'abri des regards concupiscents de l'étranger est insupportable à leurs détracteurs. Un lecteur accro au Washington Post pourrait aisément penser que si les États-Unis ont attaqué l'Afghanistan, c'était juste pour faire tomber le voile, sous l'impact des bombes. En guise de premier fruit de la victoire américaine en Afghanistan, CNN a fait un reportage sur un marché de films pornographiques dans Kaboul en ruines. Là encore, notre loi juive est clairement du côté des talibans[12]. Un sage talmudique, le rabbin Isaac, professait: « Si un homme regarde le petit doigt d'une femme, c'est comme s'il regardait son vous-savez-quoi ! » (à ne pas confondre avec Vous-savez-qui d'Harry Potter). Rabbi Hisda avait déclaré, l'œil allumé, que la jambe d'une femme représente aussi une incitation non négligeable. Rabbi Sheshet surenchérit, rappelant qu'il en va de même quant à la chevelure de la femme. C'est pourquoi les femmes juives pieuses portent une perruque[13]. Maître dans l'art d'avoir le dernier mot, Samuel l'avait encore surpassé en déclarant que la voix même de la femme est un facteur d'incitation sexuelle, comme le disent les Saintes Écritures : « Douce est ta voix ». Ce débat fut conclu par la sentence « kvod bat ha-melech pnima », ce qui signifie : « Une femme juive qui se respecte doit rester à la maison », ce qui est finalement très proche de l'opinion des talibans." Conclusion.
Ce débat et cette défense de la loi coranique ne peut qu’augmenter,
faire croître la rébellion et la mécréance des opposants et des adversaires
de la Religion divine : l’Islam. Une personne mariée qui reste
à la maison, voilà là un enseignement contraire au Partissisme, à ses
femmes, à sa politique. Un individu masculin qui s’abstient de jeter
un regard sur une personne féminine (mariée ou non), sur une partie
quelconque de son corps (visage, yeux, chevelure, jambes dénudées, bras
dénudés, etc.) voilà là un arriéré mental. Que le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée ! [1]
Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable
divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement. Point
de divinité, de dieu, que Dieu ! *Droits de reproduction et de diffusion réservés ; © Le Carrefour
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17/01/07
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