Loi d'essence divine

ACCUSATIONS ET RÉFUTATIONS

Selon les Écritures.

Citation prophétique : "Celui qui me garantit ce qu'il a entre les mâchoires (c'est-à-dire sa langue) et ce qu'il a entre les jambes, je l'assure du Paradis

Devoir de justice

P

oint de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Comme nous le savons tous, Aïchah fille d’Abou Bakr (que Dieu les agrées !) est une Dame peu aimée. Tant du monde islamique que du monde biblique. Que n’a-t-on pas dit sur elle, et que ne dira-t-on pas encore ! En quartier chiite[5], une personne féminine portant ce nom, a toutes les chances de se voir détestée et de ne jamais trouver du travail, une place au sein de la société. Exemple : le Liban.  

   Sur le Net, on s’en donne à cœur joie de la part des adversaires et opposants à la Religion divine : l’Islam. Dans leur extravagance, ne va-t-on pas jusqu’à dire que le Prophète de l’Islam (sur lui la Paix !) est (était) un p.é.d.o.p.h.i.l.e ! ? Que Dieu nous protège d’une telle infamie !
   
   Linguistique. Pédophile : (gr. pais, paidos, enfant, et philo, ami), pédophilie : Attirance sexuelle, dit le dictionnaire, de l'adulte pour les enfants. Entendre : abuser d'eux pour commettre un acte blâmable, répréhensible. Certaines personnes ont même admis que cette forme de comportement n'est en fait qu'une branche du saphisme et de l'h.o.m.o-sexualité (coït anal). Par contre, ne pas confondre avec le mariage légal de prophètes comme : Jacob (Yacob) et Mohammad (sur eux la Paix !), avec des personnes féminines beaucoup plus jeunes qu'eux. 
   Le monde biblique, à notre époque, a délaissé le licite pour l'illicite. On comprend mal, chez les peuples bibliques européens, qu'un homme puisse se marier avec une fille jeune, beaucoup plus jeune que lui. Par contre, pour les gens pervers, débauchés, sans scrupule ni loi, inculte, licencieux d'entre-eux, bien que mariés ou non ; avoir des relations sexuelles avec personnes féminines beaucoup plus jeunes qu'eux, n'a rien de condamnable, n'a rien d'illicite, de mal en soi, d'illégal. Bien au contraire... Le pire ! Aucune véritable condamnation du monde biblique pour ce genre d'attitude. On a même dé.pénalisé l'adultère, de notre temps ! De même, le fait de se promener nu, en publique ou chez soi, comme l'animal ! De faire du théâtre, de la danse ou du cinéma nu comme l'animal. C'est l'évolution, s'entend-on dire ! Les gens du Partissisme jubilent ! Eux qui refusent d'entendre parler de péché et condamnation dans l'Au-delà ! Aussi, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !        

   Dans le monde biblique, actuelle, en terre d’Europe ; la foi ayant disparue du cœur de nombreux personnes bibliques, c’est le « Politique[6] » qui gère donc ce vide spirituel… Et les gens du Partissisme opposants et adversaires farouches de tout ce qui touche au religieux, à la Religion divine, aux lois divines, aux traditions prophétiques, n’ont donc que peu d’amour pour tout ce qui touche au féminin, version islamique ! Tout est fait pour détruire la cellule familiale et surtout pour monter les enfants contre leurs parents et leurs « traditions ancestrales » ! Incitation à la délation ! Eux savent, mieux que quiconque, ce qui est bon pour tout un chacun !  

   Concernant sur ce qui est dit sur Aïchah et le Prophète de l’Islam, à Israël Adam Shamir, juif israélien, d’écrire dans son ouvrage : « L’autre visage d’Israël », ce qui suit :

   "L’amour du Prophète pour sa jeune épouse, Aïcha, plonge l'Amérique dans la consternation. Et cela, près de cinquante ans après la levée par la Cour Suprême de l'interdit frappant le roman Lolita, de Vladimir Nabokov, ode aux amours pédérastes. Pour les prudes accusateurs, peu importe que Mohammed — que la paix soit sur Lui — ait été amoureux de la demoiselle, comme elle l'était de lui. Eux savent, mieux que quiconque, ce qui est bon pour tout un chacun. Si le Prophète avait jeté son dévolu sur un garçon de l'âge d'Aïcha, on peut imaginer que la crainte d'être accusé d'homophobie aurait atténué quelque peu les critiques. Mais il se trouve que le Prophète avait des goûts catholiques.

   Ayant été un modeste étudiant du Talmud, à Jaffa, je me lèverai pour prendre sa défense, au nom de nos traditions juives. Loin d'avoir été un pécheur, Mohammed - que la paix soit sur Lui - s'est comporté en accord avec la lettre et l'esprit de notre sainte foi. Le Jacob de la Bible tomba amoureux de Rachel[7], lorsqu'elle avait sept ans, et il engendra, avec elle, une lignée de saints au nombre desquels figure Marie, mère de Dieu[8].

   Le Talmud[9] stipule que l'âge admis du mariage est, pour les filles, de trois ans et un jour. Cela nous vaut cette dispute, digne de Boccace, qui se tint à Séphoris, en Galilée. Justine, princesse romaine, fille de l'empereur Sévère, lui-même fils d'Antoine, demanda au rabbin Judah Princeps, autorité spirituelle et juridique suprême des Juifs dans la période post-biblique, quel était l'âge légal du mariage et du concubinage.

   — Trois ans et un jour, avait répondu le rabbin.
   — Quel est l'âge légal pour la conception, persista la jeune princesse romaine.
   — Neuf ans[10], répondit le rabbin.
   — Ça alors; j'ai été mariée à six ans, et j'ai accouché à sept, pensa-t-elle, morose. J'ai donc gâché trois précieuses années de ma jeunesse ?

    L’épouse de Mohammed, Aïcha, avait perdu, quant à elle, six années de sa jeunesse, puisqu'elle avait été mariée à l'âge de neuf ans. Ainsi, le Prophète fit montre d'une grande sagesse, toujours en parfaite conformité avec nos enseignements juifs. Nos saints rabbins autorisaient les mariages très précoces, mais ils n'étaient pas absolument certains que des filles de trois ans eussent été suffisamment matures. Ils enseignaient que les prosélytes et les pédophiles ne faisaient que retarder la venue du Messie attendu et l'avènement du Royaume des Cieux.

    Qui sont les pédophiles, dans ce contexte ? s'interroge le Talmud. Il ne peut s'agir que de personnes ayant un comportement légitime, mais réprouvé. Par conséquent, il ne saurait s'agir des sodomites, puisque ceux-ci méritent d'être lapidés à mort, ni des onanistes[11], qui méritent de périr noyés. Il s'agissait, par conséquent, de ceux qui épousent des filles avant qu'elles aient atteint l'âge nubile, c'est-à-dire neuf ans. Ainsi, le Prophète est au-dessus de tout soupçon, à cet égard, si l'on s'en réfère à nos textes juifs.

   Il avait plusieurs épouses, persiflent ses contempteurs. Soit. La loi juive ne nous permet-elle pas d'avoir autant d'épouses que nous pouvons en avoir ? Aujourd'hui, un musulman doit se contenter de quatre épouses (en ce bas monde). Mais nous, les juifs, nous n'avons pas de telles restrictions.

   La coutume supposée barbare qu'ont les musulmans de voiler les femmes et de les tenir à l'abri des regards concupiscents de l'étranger est insupportable à leurs détracteurs. Un lecteur accro au Washington Post pourrait aisément penser que si les États-Unis ont attaqué l'Afghanistan, c'était juste pour faire tomber le voile, sous l'impact des bombes. En guise de premier fruit de la victoire américaine en Afghanistan, CNN a fait un reportage sur un marché de films pornographiques dans Kaboul en ruines.

   Là encore, notre loi juive est clairement du côté des talibans[12]. Un sage talmudique, le rabbin Isaac, professait: « Si un homme regarde le petit doigt d'une femme, c'est comme s'il regardait son vous-savez-quoi ! » (à ne pas confondre avec Vous-savez-qui d'Harry Potter). Rabbi Hisda avait déclaré, l'œil allumé, que la jambe d'une femme représente aussi une incitation non négligeable. Rabbi Sheshet surenchérit, rappelant qu'il en va de même quant à la chevelure de la femme. C'est pourquoi les femmes juives pieuses portent une perruque[13]. Maître dans l'art d'avoir le dernier mot, Samuel l'avait encore surpassé en déclarant que la voix même de la femme est un facteur d'incitation sexuelle, comme le disent les Saintes Écritures : « Douce est ta voix ». Ce débat fut conclu par la sentence « kvod bat ha-melech pnima », ce qui signifie : « Une femme juive qui se respecte doit rester à la maison », ce qui est finalement très proche de l'opinion des talibans."

   Conclusion.

   Ce débat et cette défense de la loi coranique ne peut qu’augmenter, faire croître la rébellion et la mécréance des opposants et des adversaires de la Religion divine : l’Islam. Une personne mariée qui reste à la maison, voilà là un enseignement contraire au Partissisme, à ses femmes, à sa politique. Un individu masculin qui s’abstient de jeter un regard sur une personne féminine (mariée ou non), sur une partie quelconque de son corps (visage, yeux, chevelure, jambes dénudées, bras dénudés, etc.) voilà là un arriéré mental.
   Les opposants et adversaires à la Religion divine n’ont jamais voulu, de près ou de loin, le bonheur de la cellule familiale. Pas plus que celui de toute personne féminine. Ils ne font que leurrer leur auditoire. Suivre leurs passions. Inviter les gens au mal et à la turpitude.
   Enfin, dans la Bible, et concernant les Fils d’Israël, au Saint et Seigneur d’Israël et des mondes de nous parler d’un « petit nombre » d’entre eux. Un petit nombre qui relèvera la tête et défiera, le moment venu, ceux hostiles à la vérité. A l’instar de Israël Adam Shamir...

   Que le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Dans tout milieu sectaire islamique…
[6] sous-entendu : l’Idéologie, le régime des partis ou le Partissisme.
[7] NdT : épouse de Jacob (Ya’qôb), mère de Joseph (Youssouf) et de Benjamin.
[8] NdT : pour l’Islam traditionnel : Marie mère de Ichoua (Jésus).
[9] NdT : ouvrage rabbinique.
[10] Douze ans, selon certaines interprétations.
[11] NdT : d’Onan, personnage biblique. Recherche solitaire du plaisir sexuel.
[12] NdT : Pour l’Asie centrale : étudiants des sciences religieuses islamiques. On notera que la loi toranique et la loi coranique sont proches. Le Coran ne confirme-t-il pas la Bible originelle ? Ce qui ne peut qu’exaspérer tout adepte de Paul, lequel, rappelons-le au passage, a invité toute personne le suivant à ne pas tenir compte des lois bibliques.
[13] NdT : Il y a divergences sur ce sujet entre les gens de la Synagogue. Selon une parole prophétique : "Dieu maudisse celle qui la porte et celle qui la pose" (Transmis par Mouslim et Bokhari).


Point de divinité, de dieu, que Dieu !
"Vulnerant omnes, ultima necat."
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

*Droits de reproduction et de diffusion réservés ; © Le Carrefour de l’Islam
  Usage strictement personnel. L'utilisateur ne peut traduire, exporter, publier tout document du site sans autorisation préalable. L’utilisateur du site reconnaît avoir pris
connaissance du droit d’usage, en accepter et en respecter
    les dispositions.
         Politique de confidentialité du site.


 Retour au menu 

Copyright © 2001 le Carrefour de l'Islam. Tous droits réservés.
Cette page a été mise à jour le 17/01/07 .
 

Classement de sites - Inscrivez le vôtre! annuaire