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Au
nom de DIEU, Allaha,
Le TOUT-MISÉRICORDIEUX, le
TRÈS-MISÉRICORDIEUX !
Louange
à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes,
et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !
*.*.*
Le féminisme.
Et
la Religion, dans tout ça ? |
Et la religion, dans tout ça ? Etude faite sur une Eglise d'entre les Eglises de France. Ex.: L'Eglise romaine, vaticane, catholique. Généralement, il existe, chez bon nombre de gens de cette Eglise, une certaine notion de la pudeur et du respect d'épouser une fille de bonne famille. Subissant les attaques répétées de ses adversaires, le nombre de gens qui prêchent le célibat semble avoir fortement augmenté. De même, ceux qui se livrent à la luxure. On admet, pour certaines personnes, avoir fait le voeu de célibat non celui de chasteté ! Quand le monde biblique se penche sur le problème de la sexualité, sa sexualité. Attention, entre une partie seulement du monde évangélique et l'ensemble du monde islamique ! Question : COMMENT le catholicisme et l’islam dictent-ils la relation au sexe ? Autrement dit, comment les femmes et les hommes qui vivent en France et ont été interrogés dans l’enquête, interprètent-ils les préceptes de la religion à laquelle ils se réfèrent ? Réponse : « La soumission aux normes religieuses est extrêmement variable, note Janine Mossuz-Lavau. (...) L’enquête montre le détachement relatif des catholiques par rapport aux prescriptions de la religion dont elles se réclament. Les histoires de vie soulignent notamment qu’aucune (des interviewées) n’était vierge au moment du mariage et qu’à l’exception d’une seule, elles ont eu plusieurs amants. Quant à la manière dont elles vivent leur sexualité (qualité de celle-ci et fréquence), elles se distinguent peu des sans-religion. Elles s’en séparent en fait sur un point : le nombre de leurs amants. Il est nettement inférieur chez les catholiques lorsqu’on les compare aux sans-religion. La notion de fidélité est plus prégnante chez elles. (...) L’Eglise de Jean Paul II est en tout cas en totale perte de vitesse pour ce qui concerne la contraception et l’IVG. A de très rares exceptions près, les affinités religieuses n’empêchent pas d’y recourir. » Conclusion : Les sans-religion (comprendre les athées, les mécréants) ont donné libre court à leurs instincts animaux... Pas de limite. Dans ce cas, le nombre des bâtards ne risquent-ils pas d'augmenter ? Et de plus, dans ce genre de vie folle, on semble à la recherche d'un amour impossible. Car un individu (garçon ou fille) qui se lance dans ce genre de sport, peut-il un jour prétendre aimer ? Relation légale hors mariage, est-ce possible ? Oui, dira le sans-religion, le pervers, le prévaricateur. Aussi, la cul-ture proposée par ce milieu, ce genre d'individus, ne va-t-elle pas se limiter au culte du cul-turne ? au culte du cul-tue ? La première
fois.
Pour
le sexe féminin, la première fois compte beaucoup. Concernant les Arabes
(les vrais), on a dit donné cette image : qu'ils étaient les Fils du
ciel. Sous-entendu, ceux dont la descendance est et était la plus pure.
L'eau du ciel est-elle semblable à l'eau sur la terre ? De nos jours,
peut-on dire la même chose de ceux et celles vivant en terre d'Europe,
en terre de France, et nous venant le plus souvent de la terre d'Afrique
du Nord (partie comprise entre l'Egypte et le Maroc. Mot conventionnel.
Le Maghreb islamique, comprenant gens d'origines et de langues différentes
: coptes, berbères, arabes, etc.) ? Ou sont-ils devenus pires que les
gens de la Bible, les sans-religion ? On nous dit : Les femmes cadres. Travailler, dit la chanson, c'est la santé, et ne rien faire c'est la conserver... Une femme de l'Au-delà, qui croit sincèrement, qui observe son culte, ne peut ressembler à une femme que ce bas-monde a pris. La première est attachée à son avenir dans l'Au-delà et à plaire à son époux. La seconde emportée par ses illusions et ses fantasmes semble être prisonnère d'un cyclone... Les femmes d'origines d'Afrique du Nord, croyantes et pratiquantes, préfèrent généralement, en terre d'Europe et de France, prendre pour époux un européen. Ceci pour deux raisons : 1) ses qualités : gentillesse, douceur de caractère, etc. 2) parce que ce dernier la respectera comme femme avec ce qu'elle a acquis lors de ses études : ses diplômes. Qualité qui semble totalement manquée et faire défaut à bon nombre de garçons d'origines d'Afrique du Nord. Même si on admet que madame travaille ou aille travailler, on s'accorde un droit de regard sur ce qu'elle gagne, rapportera au foyer. De plus, monsieur, vaincu par une paresse étonnante, se donnera-t-il demain le courage d'aller, lui-même, travailler ? Question posée for embarrassante ! Nous savons tous que dans les études, le sexe féminin est généralement beaucoup plus attentionné, studieux. Que penser alors du père de famille qui pousse ses filles à étudier puis à travailler ; alors que ces garçons traînent la rue et délaissent leurs études dès leur plus jeune âge ? Là, on travaille pour y arriver, ici, vaincu par un virus bizarre, on flâne du matin jusqu'au soir, on embête son voisin la nuit, on vole çà et là, on parle vulgairement, on copule avec la première venue, on fume, on boit, en un mot on se couvre de ridicule. Quant au père, pense-t-il donner l'exemple en allant lui-même travailler ou vit-il sur le dos de ceux (ou celles) qui travaillent de son foyer ? La main qui travaille n'est-elle pas meilleure que celle qui fait la manche ou vit aux crochets des autres, vole ? L'émancipation.
Verse et controverse.
Elle
existe depuis quatorze siècles. Depuis la naissance de l'Islam. L'absence
de l'étude du droit islamique et surtout son application fait simplement
jaser les gens. Depuis la chute de l'empire ottoman, l'absence d'un
retour aux sources, d'une étude approfondie de ce problème n'a-t-il
pas donné des arguments à nos adversaires ? Avant cela, les femmes de
ces époques lointaines, n'étaient-elles pas femmes ? Enfin, une femme
simple ne peut ressembler à une femme cultivée, ayant un niveau d'études
assez élevé. Son époux doit être un semblable à elle. On ne peut marier
une femme savante à un sot, et inversement. Et c'est normal que les
rapports changent. Sans doute, la femme simple deviendra plus femme
au foyer, femme attentive à son époux. La femme savante, elle, vivra
dans un tout autre univers. A chacun ses goûts. Mais une règle demeure
pour elles deux après la foi : la virginité avant mariage et la fidélité
jusqu'à la mort. Hymen
à coudre et à recoudre en terre tunisienne, arabe.
Avis aux amateurs. "Lors
d'un voyage, j'ai appris que des jeunes filles [entendre : d'Afrique
du Nord] vivant une sexualité normale se faisaient recoudre l'hymen
pour le jour de leurs noces. Je suis tombé des nues. Je ne savais pas
que cela pouvait exister, s'étonne Khaled Ghorbal. La Tunisie
est le seul pays arabe où, dans la loi, la femme est légale de l'homme
depuis l'indépendance, depuis 1956. Comment, dans un pays comme celui-là,
est-il possible qu'une jeune femme n'ait pas le droit de disposer de
son corps ? Je suis allé voir des médecins. Au-delà de l'acte de rafistolage,
je me suis demandé ce que cela pouvait signifier quant à la relation
de la femme à son corps, de l'homme à son corps, du corps de l'homme
au corps de la femme." ...Khaled ne comprend pas cette Tunisie
qui refuse de voir la poutre dans son oeil : ces jeunes femmes qui fument,
boivent comment les hommes, sont et doivent être libérées. Mais, qui,
pour se marier, se soumettent encore à des exigences immémoriales. "C'est
une abdication aussi", un petit arrangement qui satisfait tout
le monde, tant qu'il est tu. Fatma, elle, pourrie par son mensonge,
avouera sa trahison. "La fin est très ouverte, pas pessimiste.
Fatma se libère. Peut-être que ça lui fera du bien. J'espère."
[Sources : Cécile Deffontaines. TéléObs Cinéma.] L'émancipation. L'émancipation de la femme soumise ne peut être semblable et comparable à l'émancipation de la femme biblique notamment de la femme évangélique. Ce mot "émancipation" ne peut être un mot du vocabulaire coranique. En effet, si les femmes de l'Evangile se plaignent en permanence de leur état, il serait bon qu'elles adressent leurs plaintes et leurs complaintes à leur "saint" : Paul. N'est-ce pas lui qui a demandé la suppression totale de la loi divine pour l'ensemble de la communauté évangélique ? De bons conseils sans une loi les accompagnant, sans une loi les protégeant, est-ce possible ? Les hommes de l'Evangile se sont donc attribué un droit, le droit de légiférer dans ce domaine, mais arriveront-ils un jour d'être plus juste que leur divin Créateur, leur divin Législateur, leur Seigneur, Dieu (exalté soit-Il !) ? Nullement. Marie n'est-elle pas l'exemple même de la femme de l'Evangile ? Une matriarche, une sainte. Mais qui peut maintenant prétendre la suivre parmi bon nombre de femmes de l'Evangile ? Oui, le femme évangélique a du lutter, auprès de leurs maris, pour obtenir ses droits. Mais l'injustice demeure. Elle est même devenue, dans certains milieux, source d'exploitation. Et le droit de la femme, bien qu'ayant évolué, reste instable, car partisans et adversaires de la religion s'affrontent dans ce domaine. Femme au foyer. Sur ce problème, les gens de la Bible et les gens de la Soumission ne se mettront jamais d'accord. L'homme soumis est plus pour une femme au foyer qu'une femme au travail. Quand il rentre le soir, il aime trouver sa femme l'accueillir. Il aime, quand les enfants rentrent de l'école, que leur mère soit là pour les accueillir. Une mère qui élève et prend soin de ses enfants, est-elle pareille à mère qui les délaisse ? L'éducation des enfants, et contrairement à l'idée reçue, se fait en premier lieu au foyer. Arrivé à une certaine période de leur vie, les enfants ont besoin de leurs parents. Mais si l'un et l'autre déserte leurs droits, déserte leur foyer, que peut-il arriver à leur ménage ? à leur progéniture ? Non, la responsabilité des enfants ne peut reposer sur l'Etat ou la société. Les parents ne doivent pas fuir leurs responsabilités ou la donner à la société ou à toute autre personne. La faute. Le tort de nombreuses femmes du monde biblique (croyantes & incroyantes), c'est, pour bon nombre de gens mariés soumis, de se mêler de ce qui ne les regarde pas. Une femme biblique ne peut parler et se mettre à la place d'une femme soumise. De prétendre subvenir à ses besoins, de comprendre et interpréter pour elle le Coran, l'Islam, et surtout comprendre ses problèmes, etc. Pourquoi elle veut porter le voile. Pourquoi elle ne voit pas, pour elle, la nécessité de travailler. Pourquoi elle refuse le contraceptif ou l'avortement. Le plus souvent, loin de régler des problèmes, elles les aggravent au contraire. Dans les cités, les femmes de l'assistance sociale, les gens du social, sont jugées, le plus souvent personnes non désirables. Motif. Ces personnes sèment la cisanie dans les ménages. Cherchent à mettre dos à dos le père et la mère. La mère et ses enfants, le père et ses enfants, les enfants et leurs parents. Cherchent surtout à désislamiser la mère et les enfants. A en faire des gens païens, incultes, prévaricateurs, gens désobéissants envers leur Créateur. Cherchent à imposer des règles contraire à l'éthique et à la bonne marche des ménages. Une fille mariée jeune et la terre s'enflamme ! Une fille qui traîne le soir, délaisse le foyer de ses parents, copule avec le premier venu, boit, fume, s'habille d'une façon dénudée, alors un large sourire apparaît sur le visage du monde biblique... Motif. Elle est des nôtres ! Autant de vexations qui irritent un peu plus bon nombre de gens mariés, de ménages, de gens censés. Si le monde biblique juge que notre société n'est pas un modèle à suivre, que dire de la leur ? Jusqu'à présent aucun d'entre eux n'a pu surmonter des problèmes graves comme : la délinquance, la drogue, le sida et bien d'autres fléaux de la société. Pire ! Chaque jour qui passe apporte son lot de soucis supplémentaires, car le mal à tous les niveaux est banalisé ! Et l'injustice a fait place à la justice... Alors que pouvons-nous attendre après cela ? Est-ce le déluge ? La fin du monde ? (à suivre...) Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée ! |
Le droit biblique en France Deux
cents ans 1792
Apparition du divorce en France. |
Attrape-moi ! Attrapons-nous !
Point
de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes,
ultima necat. »
Nous
ne le dirons jamais assez.
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17/01/07
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