NE CROYEZ RIEN DE CE QUE VOUS APPRENEZ AVANT DE L’AVOIR CONTRÔLÉ VOUS-MÊME DANS VOS ÉCRITURES !!!
Le livre de Daniel.
Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].
Daniel.
Le livre. Références historiques. Ce qu'on en dit.
Partie IV
Quand
la vision d'une statue aux pieds d'argile et d'un fils d'Adam sensibilisent , passionnent et
inquiètent sérieusement le
monde biblique (toranique + évangélique).
On nous dit
:
"Deux
visions, celle de la statue aux pieds d'argile[5] (chap. 2) et celle du «Fils
d'homme» (chap. 7) attiraient plus particulièrement l'attention car elles
semblaient contenir la clé de l'Histoire et de l'économie du salut." Aussi
: "Plusieurs passages du Talmud ou du Midrash mentionnent Daniel et ses
compagnons Azaryah, Mishaël et Hananyah jetés dans la fournaise comme
exemples de résistance à la tyrannie. Quant aux deux principales visions
relatives à l'histoire de l'humanité[6], c'est celle de la statue qui semble
avoir le plus d'impact dans la tradition rabbinique[7]. Au lendemain de la
destruction de Jérusalem et du Temple par les Romains[8], il ne fait plus de
doute que la pierre qui abat la statue représente le Messie[9] renversant le
dernier empire ou les royaumes[10] qui le servent (Midrash Tanhuma,
section Teruma 1, 6).
(La pierre glorieuse de Nabuchodonosor ou la fin de l’histoire au
XVIIe siècle de Menasseh ben Israël.)
L'auteur de ces lignes parle de tyrannie concernant Daniel et ses
compagnons, non de gens qui veulent garder intact leur foi, leur religion : la
Soumission ! Là où ils sont, les Mages (ou les Dualistes) règnent en rois,
maîtres absolus.
Selon les commentateurs et historiens, avant le Magisme (ou Dualisme), la
Perse aura comme religion le Sabéisme.
Aussi voudront-ils que leurs prisonniers adaptent leurs croyances et leur
religion. Ceci les gens de la Synagogue se gardent bien de le décrire
et de le mentionner ainsi. Ils voulaient garder intact leur foi en
l'Unicité du Dieu Vivant ! S'ils mourraient, ils seraient martyrs de leur religion : la
Soumission, non jamais du judaïsme. Ne pas confondre ! Secundo : La statue et la pierre inquiètent sérieusement les milieux rabbiniques et par extension les milieux évangéliques. Car
qui vient après ? Sinon un messie, un homme (en chair et en os) qui va recevoir un royaume,
une autorité de la part du Nom (Hachem), Allaha. Lequel individu pourra,
le cas échéant, combattre et conquérir le monde avec l'Epée à la main !
Soit, en clair, les conquérir. Et c'est d'ailleurs ce qui se passera après
la manifestation du Prophète Ahmad (sur lui Prière et Paix !). Châm sera
conquit, puis l'est et l'ouest de la Presqu'île arabe.
Aussi, pour le monde de la Synagogue et de la Torah (actuellement), il ne peut
s'agir qu'un futur roi, homme roi, non homme soldat. Non jamais aussi et
surtout un prophète-roi[11].
Et la peur envahit soudain le monde biblique (toranique + évangélique)...
Que va-t-il se passer pour nous ? Que va-t-on devenir ? Et à eux de faire
un black-out total sur les prophéties, leurs prophéties...!
Le chiffre
4. Un chiffre maudit ?
Certains
chiffres sont importants dans le monde de la Synagogue et de la Torah.
Parmi eux, le chiffre quatre. Aussi :
"En un temps où l'oppression romaine est durement ressentie, le
schéma quaternaire repris de la succession des empires en Daniel 2 à 7
inspire plusieurs exégètes rabbiniques. Il s'applique à tout verset
biblique renfermant quatre éléments sans qu'il y ait un lien apparent avec
les empires : les quatre chars de la vision de Zacharie (chap. 6), les
quatre fleuves de l'Eden (Genèse 2, 10), les quatre rois en guerre contre
Abraham (Genèse 14, 1). S'il n'y n'y a pas à proprement parler de groupe
d'éléments semblables, le commentateur s'ingénie à dégager rythmiquement
quatre termes, et le texte biblique est forcé pour être adapté au schéma
des quatre empires dont le quatrième est désormais toujours Rome, appelée
souvent «royaume impie». Edom est aussi un équivalent constant de Rome,
car juifs et Romains sont présentés comme les frères ennemis Jacob et
Esaü. De même que Jacob a un second nom, Israël, Esaü a un second nom,
Edom dans la Genèse. L'Edom biblique apparaît comme un ennemi héréditaire
qui a harcelé Israël tout au long de son histoire ; les nombreux oracles
bibliques annonçant sa ruine certaine et irrémédiable laissaient espérer
la fin prochaine de Rome, accompagnée de la venue du Messie qui inaugurera
le Cinquième empire. C'est donc un nouveau message consolateur
qu'apportait l'exégète actualisée du livre de Daniel." (Op. cit.).
Tout au long de leur
Histoire sainte, le monde de la Synagogue et de la Torah ont commis de
nombreuses fautes, faux pas, erreurs. Et concernant la science des rêves,
Joseph fils de Jacob (sur eux la Paix !) possédait cette clé. Eux
nullement ! Nous avons vu, et contrairement à l'idée reçue, la Torah
(originelle) annonçait, noir sur blanc, la ruine certaine et irrémédiable
du royaume des Fils d'Israël. Ce fut qu'une fois accompli ce Décret divin
qu'ils durent se rendre à l'évidence. Le royaume de Rome devra rester, en
terre de Canaan,
jusqu'à Héraclius. Dominant sur l'ensemble de bassin méditerranéen. En
face de lui, le monde du Magisme (ou du Dualisme), le monde Perse avec
toutes ses dépendances. Et pendant des siècles, ces deux supers puissances
se feront une lutte et guerre sans merci. L'arrivée de l'Islam dans cette
partie du monde allait changer
totalement la donne. Et peu à peu ces deux empires allaient être réduits à
un mouchoir de poche. Telle était la Prophétie !
Ce coup mortel porté aux
gens de l'Evangile de l'époque sera ressenti durement par leurs
Dignitaires religieux et leurs communautés, les monarchies bibliques. En un temps record Babel et Rome fondaient,
s'effondraient face à la puissance de la Prophétie ! Le rêve de
domination du bassin méditerranéen touchait à sa fin, pour l'un comme pour
l'autre.
Quant à Daniel (voir les prophéties, version islamique), il
apportait un message de consolation pour l'humanité toute entière, mais
aussi et surtout une mise en garde sévère de la part de son Seigneur pour
les gens de la Torah. Allaient-ils le comprendre ?
Les gens de la Synagogue ont eu raison de
s'intéresser aux visions du livre de Daniel : celle de "la statue aux
pieds d'argile (chap. 2) et celle du «Fils d'homme» (chap. 7)", car toutes
deux contenaient en elles la clé de l'Histoire de l'humanité et de
l'économie du salut. C'est-à-dire et surtout de leur propre histoire, et de
leur propre salut, de leur propre avenir... Et par extension, l'avenir
des gens de l'Evangile (d'Edom), leur salut et leur histoire.
La fin de ces deux empires n'allaient-ils pas inaugurer une
nouvelle ère ? Et c'est Le messie (entendre : le prophète) fils d'Abd
Allah qui inaugurera cette nouvelle donne et cette nouvelle ère.
Contrairement aux espoirs du monde biblique (toranique + évangélique) la
fin de ces deux empires ne laissera pas espérer la fin de Rome, ceci pour
le monde toranique. Le monde de l'Evangile demeurera. La capitale Rome
aussi, de même Athènes. Pas plus que le Messie fils de Marie, le sceau des
Prophètes d'Israël (sur eux la Paix !) inaugurera cette nouvelle ère. La
sienne ayant débuter bien avant et ayant pris fin par la venue du Messager
de l'Islam conformément à sa parole (Coran LXI 6). Et comme il fut dit :
"il ne fait plus de doute que la pierre qui abat la statue représente le
Messie renversant le dernier empire ou les royaumes qui le servent".
Le messie ici représente le Prophète Ahmad (sur lui la Paix !),
ceci conformément aux Ecritures et aux prophéties. Il ne s'agit nullement
d'un Messie à venir, comme le pense à tort, le monde toranique encore de
nos jours ; ou le Messie venu en la personne du fils de Marie (sur lui la
Paix !), comme le pense à tort également le monde de l'Evangile. A lui
aucun empire en ce bas monde. Que les gens de l'Evangile relisent leurs
Ecritures !
L'empire
éternel donné par Dieu à un fils d'homme.
"L'interprétation messianique du
«Fils d'Homme» de Daniel 7, pour être moins fréquente que celle de la
pierre, n'est pas inconnue des rabbins : le Fils d'Homme est le Messie
glorieux (Neziqin 98b) par opposition au Messie humble monté sur un
âne de Zacharie 9, 9." (Op. cit.).
En clair, il s'agit de deux personnages distincts. Pour nous, le
"Messie glorieux" est représenté par le fils d'Abd Allah, le Prophète
Ahmad (sur lui la Paix !). Le second : 'Omar fils de Khattab (que Dieu
l'agrée !). C'est à lui qui sera donné les clés de Jérusalem, et ceci
conformément aux prophéties.
L'Elu du
livre 1 d'Hénoch.
Hénoch (Enoch, Idrîs, arabe),
selon la Tradition, recevra des feuillets. Le monde biblique parle, lui,
d'un livre. Le livred'Hénoch,disentlesgens
de la Bible,est un écrit pseudépigraphique de l'Ancien Testament
attribué à Hénoch, arrière-grand-père de Noé. Il fait partie du canon de
l'Ancien testament de l'Église éthiopienne orthodoxe mais il est rejeté
par les Juifs et n'est pas inclus dans la Bible des Septante. Il a été
officiellement écarté des livres canoniques vers 364 lors du concile de
Laodicée (canon 60), et il est considéré depuis comme apocryphe par les
autres Eglises chrétiennes. Mais il était connu en Occident, au moins
indirectement, et on retrouve par exemple son influence sur les passages
consacrés au calendrier dans les textes hiberno-latins, comme Altus
prosator. (fr.wikipedia.org). Livre apocryphe qui, de nos jours,
semble passionner bon nombre de chercheurs. Aussi :
"Le livre qui nous est
parvenu sous le nom d'Hénoch est un ouvrage composite dont la
datation de chacune des parties est très incertaine. Cette compilation
anonyme est rapportée à un personnage mystérieux, Hénoch père de
Mathusalem (Genèse 5, 21-22), qui semble avoir été enlevé au ciel. Le
judaïsme tardif lui a attribué de ce fait toutes sortes de révélations sur
la constitution de l'univers et le sens de l'histoire. La deuxième
section du livre 5 (27-72), connue sous le titre de "Paraboles", est la
plus riche en notions nouvelles et la plus difficile à dater.
Les paraboles mettent en scène un personnage eschatologique nommé «l'Elu
de justice et de fidélité». Cet "Elu", appelé aussi «Fils d'homme» comme en Daniel 7, siège auprès de Dieu appelé «prince des jours» ou
«Seigneur des esprits», et rend la justice à ses côtés. Cependant il ne
représente plus symboliquement «le peuple des Saints du Très Haut» comme
en Daniel 7 ; c'est une figure individuelle salvatrice,
préexistante au monde. La fin des "Paraboles" nous réserve une surprise :
c'est Hénoch lui-même qui, après être remonté vers le séjour de Dieu,
reçoit le titre de «Fils d'homme» (71, 14). On peut voir là une
manifestation de l'idée messianique. C'est à l'Elu qu'est promis l'empire
universel : «Tout ce que tu as vu servira à l'autorité de Son Messie pour
qu'il commande et exerce le pouvoir sur la terre» (52, 4)...
(Op. cit.).
Les commentateurs ont trouvé
un rapprochement entre l'expression «Fils de l'homme» du livre de Enoch[5] et
«Fils de l'homme»[6] dans les Evangiles. Toutefois, il faut remarquer, nous
dit-on, que l'expression du livre d'Enoch est non pas «Fils de l'homme»,
mais «fils d'homme», ce qui tend à supprimer la portée messianique et
divine du Christ. Voilà qui risque de mettre
l'argumentation évangélique à bas. Secundo : Cet "Elu" est une figure
salvatrice, préexistante au monde. Ce qui correspond à la description du Prophète Ahmad
(sur lui Prière et Paix !). Lequel était déjà élu Prophète avant même la
création d'Adam (sur eux la Paix !). Il est Le messie, le Prophète annoncé
depuis Adam, mentionné dans les Ecritures, et enfin le Prophète attendu
des nations, le Prophète des pauvres, des pécheurs. Ce qui ne saurait être
pour le Messie tant attendu par les gens de la Torah ou le Messie fils de
Marie (sur lui la Paix !). Lequel n'est pas "fils d'homme", car il n'a pas de
père biologique ni un père d'une essence divine. Il fut créé par Sa parole
: "Sois" et il fut (Coran III 59). Il n'est pas, et contrairement à l'idée reçue,
consubstantiel, co-créateur, co-éternel avec son Seigneur. Il est un
humain, un prophète de son Seigneur, un simple mortel. Il est une substance certes,
son Seigneur par contre une essence, non jamais une substance qui est le propre des
choses créées par Lui. Ne pas confondre ! Troisièmement : Cet "Élu"
futur (au futur) à un rôle primordial à jouer dans l'histoire de
l'humanité : "C'est à l'Elu qu'est promis l'empire universel : «Tout ce
que tu as vu servira à l'autorité de Son Messie pour qu'il commande et
exerce le pouvoir sur la terre» (52, 4)." Voilà qui risque de mettre à mal
les croyances (enseignées depuis des siècles) du monde de la Bible (toranique
+ évangélique). L'idée d'"empire universel" ne passe pas, ni chez les gens
de la Synagogue ni chez les gens de l'Evangile. Les gens de la Synagogue
ne voient-ils pas cet "empire universel", leur revenir de droit (et dans
leur prétention), avec l'arrivée du Messie (lequel sera, selon les
Savants, le Faux-Messie lui-même) ? Selon les rabbanim, cet "empire
universel" ne saurait leur échapper ! Enfin ce futur "Élu" est difficile à accepter et à situer
dans l'histoire sainte des gens de la Synagogue et de la Torah, car il est
loin, bien loin, de leur Histoire sainte. Le judaïsme n'existant pas encore comme religion, de même Jacob et ses
descendants. Les gens de l'Evangile, pour certains, voient aussi cet
"empire universel" mais, pour la plupart, avec le 'retour glorieux' du
Christ ! La seconde parousie, soit vers la fin du monde, lequel 'retour' sera aussi
annonciateur d'un jugement, le 'Christ' venant alors pour 'juger' les
vivants et les morts...! Pour d'autres Eglises (T.J.), pour vivre avec
quelques élus, et voir la Terre se transformer en un paradis terrestre. (à
suivre).
Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et
agrée !
[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement. [2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers. [3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. [4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd
Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham
(sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la
Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins. [5] On a dit : La vision des quatre animaux et du
règne des saints. Ce chapitre est le premier de la partie prophétique,
mais il est encore écrit en araméen, et pourrait être aussi considéré
comme formant la conclusion de tout le groupe des chapitres 1 à 6. Il
est en tout cas le pendant du chapitre 2, et presque tous les
commentateurs sont d'accord pour reconnaître que les quatre bêtes
correspondent aux quatre parties de la statue et doivent être
interprétées de la même manière. Mais si l'objet des deux visions est
le même, le point de vue auquel il est contemplé diffère. La puissance
terrestre, qui dans la première vision apparaît sous la forme d'une
statue splendide, est représentée dans la seconde comme une succession
de bêtes féroces ; et d'autre part le règne de Dieu, qui avait été
contemplé là en quelque sorte du dehors sous l'image de la petite
pierre, est maintenant envisagé comme du dedans en la personne de
ceux-là mêmes qui le composent, le fils d'homme et les saints. Des
éléments nouveaux viennent aussi s'ajouter à la première révélation :
la petite corne et le jugement. Ces différences s'expliquent toutes,
si l'on tient compte du personnage qui reçoit la vision dans les deux
cas. Au chapitre 2, c'est Nébucadnetsar, le chef de la première
monarchie universelle, le plus brillant représentant de la puissance
terrestre ; au chapitre 7, c'est Daniel, le prophète favorisé, membre
lui-même du peuple des saints.
Jusqu'à la fin du siècle dernier (XVII ième), on a été d'accord
pour voir dans les quatre empires représentés par la statue et par les
quatre bêtes les monarchies babylonienne, médo-perse, grecque et
romaine, et cette interprétation est encore celle de plusieurs
commentateurs modernes. Depuis lors, on a de plus en plus contesté que
ce dernier empire puisse être représenté par les pieds de la statue
et, par la quatrième bête. Partant de l'idée que le livre de Daniel
est l'œuvre d'un écrivain juif contemporain des Maccabées, et parlant
des événements, non pas en prophète, mais en historien, un grand
nombre d'exégètes ont cherché à démontrer qu'il faut appliquer
l'emblème des quatre bêtes aux empires qui se sont succédé jusqu'à
l'époque où vivait l'auteur, ainsi depuis Nébucadnetsar jusqu'à
Antiochus Epiphane seulement. D'autres, se fondant sur l'identité
prétendue du symbole des deux petites cornes, dans les chapitres 7 et
8, sont arrivés au même résultat sur une autre voie. Les explications
proposées sont du reste loin de s'accorder entre elles, ainsi que le
lecteur pourra s'en convaincre en parcourant le tableau suivant. (levangile.com) [6] Entendre : de l'Histoire sainte des Fils d'Israël et des Judaïsés
seulement. Les deux Décrets divins, dans la Torah (originelle), ne
concernaient qu'eux-mêmes (Coran XVII 2-8). Ne pas confondre ! Il
semble ici que le rabbin mette en sourdine partie de leur
Histoire pour élargir un débat qui n'a pas lieu d'être. Daniel va nous
entretenir de l'avenir de son peuple et de sa déchéance progressive,
pour tomber enfin sous la colère divine. [7] Normal et logique. Après la destruction du second Temple, les Fils
d'Israël et les Judaïsés perdront leur Etat, leur Temple et
connaîtront l'humiliation par l'exil. [8] Etonnant de passer d'un état à un autre aussi vite ! La destruction du
premier Temple semble occulter, oublier, mis à l'index ! Pourquoi
cette rapidité soudaine de la part des rabbanim ? [9] Eh oui ! Reste à savoir lequel ? Car il bien évident que la version
toranique n'a rien à voir avec celle des gens de l'Evangile, et
inversement. Qui est ce personnage renversant les royaumes ? [10] Il devra s'agir de deux puissances : 1) l'empire perse, l'empire des
Mages ou gens du Dualisme ; 2) l'empire gréco-romain-byzantin. Lequel
empire connaîtra sa décadence du temps d'Héraclius. [11] Les rabbanim, gens subjugués par le pouvoir en dehors de celui
du Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha (Coran IX 31), ont
opté, depuis Salomon (sur lui la Paix !) (depuis des siècles et des
siècles), pour un pouvoir en deux parties distinctes : le spirituel
réservé aux Prophètes, Dignitaires religieux, etc., et le temporel
réservé strictement et exclusivement aux hommes politiques (selon le jargon biblique) dont eux-mêmes (exception).
S'ils reconnaissent volontiers que Joseph (sur lui la Paix !)
occupait un poste important en terre d'Egypte (pour certains biblistes
: vice-roi) ; ils ne peuvent admettre que leurs Prophètes gravissent
un à un les plus hautes marches de l'Etat ! Et à eux d'insister, de
rabâcher (à qui veut bien les entendre) que des personnages de leur
Histoire sainte comme David et Salomon étaient bien leurs rois, non
jamais des rois-prophètes ! De plus, pour les gens de la Synagogue,
Salomon était un fin magicien et à lui un ouvrage tout aussi célèbre : Les Clavicules de Salomon ! Mais à leur Seigneur de répondre
par Sa révélation à ces allégations mensongères et fallacieuses (Coran
II 102). Et au Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, de
rappeler aussi qu'ils sont plutôt eux, les gens qui ont donné foi à la
Magie. Et qui dit Magie dit nécessairement soif du pouvoir à l'instar
de Pharaon. A l'instar des gens du Dualisme (gens et sectes occultes,
loges, etc.).
En terres d'Europe, l'émancipation du monde toranique a permis
d'inculquer ces croyances, peu à peu, aux gens de l'Evangile et à
leurs dirigeants. Et à eux d'être séduits par leurs argumentations et
de se laisser convaincre ! Ne verra-t-on pas la religion d'alors,
régnante, des gens de l'Evangile réduite à un mouchoir de poche ? Des
royaumes renversés ? Des rois réduits à un simple rôle de gratte
papier ? Des gens bannis, humiliés, torturés, assassinés, jetés en
pâture aux chiens ? Des Dignitaires religieux jetés aux oubliettes,
confinés dans leurs Temples ou Eglises ? Interdits à tout débat de
société, à toutes responsabilités, à tout regard sur les affaires de
l'Etat et de ses dirigeants ? En l'Hexagone qu'à fait la (prétendue)
révolution (salvatrice) de 1789 ? N'est-ce pas de donner tout pouvoir
aux gens de l'Athéisme et de la Mécréance confinés dans le Partissisme
(régime des partis) sur les Croyants en l'Evangile ? Qu'on relise
l'Histoire de 1789 et ses retombées !
L'émancipation du monde toranique, note l'observateur, va permettre
à celui-ci d'accéder aux plus hautes charges de l'Etat en terres
d'Europe et d'ailleurs, et d'avoir ainsi leur mot à dire, d'avoir un
pied à terre et une représentativité reconnue... Mais si le monde de
l'ici-bas a été ouvert en grand aux gens de la Synagogue et de la
Torah, qu'en est-il du monde de l'Au-delà ? Leur a-t-il été aussi
ouvert en grand ? Non, disent les Savants ! Et au temps du Messie (sur lui la Paix !), à lui
de leur rappeler que l'amour de l'ici-bas et l'amour de l'Au-delà ne
peuvent cohabiter dans un même cœur... Aussi, l'amour de l'ici-bas les
perdra-t-il dans l'Au-delà !
Propos désabusés du monde toranique : « L'année 1789 est une nouvelle Pâques,
la révolution française a un caractère hébraïque très prononcé. »
(Archives israélites, 6 juillet 1889).
« La révolution avec son égalité et sa fraternité est l'étoile
d'Israël. » (L'univers israélite, 5 septembre 1867).
« Un messianisme des temps nouveaux va surgir, la Jérusalem d'un nouvel ordre, sainte
fondation entre l'Orient et l'Occident, doit se substituer au double empire des papes et des empereurs. Je ne
cache pas qu'au cours des années, je n'aie jamais consacré ma pensée
qu'à cette seule et unique œuvre. A peine a-t-elle commencé son œuvre
que l'influence de l'Alliance Israélite
Universelle s'est faite sentir au loin. Elle ne se restreint pas
seulement à notre culte, elle veut pénétrer dans
toutes les religions comme elle a pénétré dans tous les pays.
Les nationalités doivent disparaître, les
religions doivent être supprimées
Israël, lui ne doit pas disparaître car ce petit peuple est l'élu de Dieu.
Dans tous les pays nous devons mettre
les Juifs isolés en relation avec les autorités pour qu'à la première nouvelle d'une attaque nous puissions nous lever
comme un seul homme. Nos voix désirent se
faire entendre dans les cabinets des
ministres, jusqu'aux oreilles des princes et adviennent que pourra.
Tant pis si nous devons faire usage de lois de force incompatibles avec les progrès
de l'heure, nous nous joindrons alors à tous les protestataires. On adjure de pardonner le passé, le moment
est là où se crée sur des fondations inébranlables une alliance
immortelle. » (Adolphe Crémieux. Les archives israélites,
cahier n° 25, 1861.)
En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes,
Allaha, est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !
"Les nationalités doivent disparaître, les
religions doivent être supprimées" Que se rassure le monde de la
Synagogue et de la Torah, la Religion divine : la Soumission ne
disparaîtra pas de la surface du globe. Quant aux gens de la Bible (toranique
+ évangélique), ils auront, avant la fin des temps, droit à une dernière
rencontre avec le sceau des Prophètes d'Israël, le Messie fils de
Marie (sur eux la Paix !). Nul doute à avoir ! Puis, ce sera la fin,
leur fin... Telle est la Prophétie ! N'en déplaise aux critiques, aux
ergoteurs, aux opposants et adversaires de la Religion divine : la
Soumission !
Point de divinité, de dieu que Dieu ! « Vulnerant omnes, ultima necat. » Nous ne le dirons jamais assez. Explicit totus liber.