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Etudes

Le Messie et sa nature. Le dogme évangélique.

Selon les Textes bibliques.

Entre déité et humanité.
selon les Ecritures bibliques

Au nom de DIEU,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée ! 

P

oint de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4]

   Le miracle ou le signe.  

   Nous savons tous que le reproche divin fait aux Fils d’Israël, aux Judaïsés c’est leur mécréance aux miracles, aux signes divins. Pour bon nombre d’entre eux, les prophètes et messagers divins ne sont pas venus avec des miracles mais plutôt avec des choses prisent de la Magie. Ainsi, les ouvrages bibliques, les commentaires, la cabbale, les Talmuds, etc, nous parlent plus d’un pouvoir issu directement de la Magie, plutôt que d’un pouvoir seigneural venant du divin Créateur. Certains intellectuels, chercheurs, scientifiques, philosophes du monde biblique sont allés jusqu’à remettre en doute les miracles du prophète Mochè (sur lui la Paix !). Pour eux tout peut s’expliquer ! Ne l’oublions pas les miracles sont les lettres de créance des prophètes auprès de leur peuple. Durant toute leur vie, ces derniers les accompagnent. 

   Les gens de l’Evangile. 

   D’un côté, ces derniers y croient, de l’autre, ils y mécroient. Ils croient aux miracles énoncés dans la Bible. Le problème ensuite est de savoir qui les a faits ? Est-ce le divin Créateur sous la forme du Messie ou est-ce le Messie lui-même ? A qui doit-on les rattacher ? Si on dit que c’est le divin Créateur « incarné » en le fils de Marie, consubstanciel, co-éternel, co-créateur avec Lui, alors on mécroit. Si c’est Dieu fait homme alors on mécroit. Si c’est le fils de Marie en tant que prophète, alors on croit. 

   Les choses extraordinaires

   Selon la science du Monothéisme, il y a sept sortes de choses extraordinaires[5] :

   1°) les miracles (mou'djizât) donné uniquement aux prophètes et messagers divins,
   2°) les signes précurseurs (irhâs) annonçant la future mission d'un messager.
   3°) les gratifications (karâmâts) accordées aux gens saints. Pour eux, le terme "miracle" (comme chez les gens de la Bible), ne saurait être.
   4°) l'assistance (i'anah) spéciale accordée à certaines gens du commun des croyants. Bien qu'ils n'arrivent au degré des gens saints, ils se voient ainsi assistés, sauvés, par leur divin Créateur, de situations périlleuses et dangereuses parfois pour eux.

   5°) le mirage (istidradj). C'est ce qui peut arriver à certains personnes mécréantes ou prévaricatrices suivant leurs propres volontés.
   6°) l'affront (ihânah). C'est ce qui peut arriver à certaines personnes mécréantes ou prévaricatrices également, et ceci à l'encontre de leur bon vouloir. Ex.: ce qui arriva au faux prophète : Moussailimah le Menteur. Il cracha dans un puits pour en faire monter l'eau douce. Celle-ci devint au contraire salée. Elle devint donc une épreuve pour lui. Ou comme puissance d'égarement à la main d'hommes menteurs : cas du Faux Messie à la fin des temps (comparer : Bible. 2 Thes. 2 1-12).
   7°) la Magie et le charlatanisme. Tous deux ne peuvent faire partie des choses dites extraordinaires, et sont des opposants aux miracles. Car ils proviennent de causes que leurs auteurs apprennent. Et leurs auteurs où qu'ils aillent ne seront jamais gagnants.

   L'ensemble de ces choses extraordinaires n'ont aucun effet de la part des esclaves du divin Créateur. Car elles ont toutes qu'un Seul et Unique Auteur, Dieu (exalté soit-Il !). 

   La main blanche du prophète Mochè (sur lui la Paix !). 

   La Bible parle de lèpre, le Coran de sa main devenue blanche. L’Imam Ghazalî, le Persan a traité de ce problème dans son ouvrage : « Belle Réfutation de la divinité de Ichoua (sur lui la Paix !) d'après le texte même de l'Evangile. » Aussi, nous dit-il :   

   Louange à Dieu et prière sur Mohammad[6], le meilleur d'entre Ses créatures et sur sa famille ! 

2 - Les miracles du Messie

   Mais on dira peut-être qu'on veut parler ici d'une relation manifestée par la dérogation aux lois ordinaires, comme la résurrection des morts et autres choses pareilles, et que cela indique bien ce que l'on a en vue. 
   A quoi il faut répondre qu'une telle relation qui met celui qui la possède en état de déroger aux lois ordinaires (de la nature) se retrouve chez d'autres que lchoua (sur la Paix !). 

   En effet, eux-mêmes reconnaissent que Mochè[7] (sur lui la Paix !) a transformé la verge en serpent. Or la résurrection d'un mort qu'est-ce autre chose qu'un être inanimé acquérant la qualité du vivant ?  Bien plus, l'acte de Moïse manifeste davantage le miracle, car conférer la vie à ce qui ne la possède d'aucune manière, témoigne d'une plus grande puissance que le rappel d'une chose à son état premier. En outre, fendre la mer et en dresser chaque partie[8] comme une muraille gigantesque constitue un miracle inouï. Et la Thora[9] à laquelle ils[10] ajoutent foi, témoigne aussi que Mochè (sur lui la Paix !) retira sa main couverte de lèpre, blanche comme la neige, puis la ramena de nouveau à la couleur de son corps. Dans les livres des Rois[11] et des Juges, qui comptent parmi leurs livres vénérables et dont la lecture se fait dans les églises[12], il est dit que Elie[13] et son disciple Elisée[14], ont ressuscité un mort. La résurrection du fils de la veuve par Elie est également admise par eux ; de même, Josué[15] arrêtant le soleil[16] jusqu'à ce qu'il se fût emparé de la ville de Jéricho[17], est un miracle des plus rares.
   Il y a en outre des prophètes qui n'ont pas été chargés de mission. Quel empêchement à ce qu'ils aient eu, eux aussi, une pareille relation, à cela près qu'elle ne se serait pas manifestée au dehors, puisqu'aucune mission n'est venue exiger de telles preuves. 

3 - La main blanche de Mochè. Verse et controverse

   Une question délicate sur laquelle il faut attirer l'attention, c'est le mot du Livre Saint[18] : « Porte ta main dans ton sein, tu l'en sortiras toute blanche, mais sans mal[19] », alors que la Thora porte[20] « Wa Hann-Yadou Masoura'eth Kal Sûlag », ce qui veut dire : « Et voici que ta (sic) main est lépreuse[21], blanche comme la neige ». La Thora parle traitement de lèpre, alors que le Livre Saint dit que sa blancheur n'est pas le fait du mal. 

   Cela fait difficulté à un examen superficiel, mais celui qui a l'esprit exercé n'a pas de peine à faire la conciliation. Elle consiste en ce que la lèpre est un mal produit par une indisposition qui provoque un épaississement des humeurs, que la force transformante se trouve alors incapable de ramener à la couleur de la chair. Or l'on sait que la blancheur de la main de Moïse (sur lui la Paix !) n'a pas résulté d'une indisposition. En effet, quiconque se trouve indisposé de la manière que nous avons décrite, est atteint de ce mal. Si la force transformante prend le dessus, elle le supprime, mais alors ce qui faisait le propre du prodige disparaît. (Dans notre cas) au contraire, la blancheur était le fait d'un miracle extraordinaire, et le propre d'un miracle extraordinaire est d'aller à l'encontre de ce qui est habituel et accoutumé[22]. C'est cela qui est indiqué par le Livre Saint quand il dit : « sans mal », c'est-à-dire que Dieu a donné à Mochè (sur lui la Paix !) le pouvoir de rendre sa main lépreuse, sans mal cependant, et de la ramener à la couleur de sa chair, sans le secours d'une force transformante, afin qu'il ait ainsi le privilège de posséder le miracle extraordinaire accompli par l'intermédiaire de sa main. Il n'y a, en effet, de miracle extraordinaire que si l'effet se produit séparé de sa cause habituelle et qui est seule à le produire. Sinon il ne peut avoir de miracle. Cet effet a été ensuite désigné ici par la blancheur, qui est l'une de ses propriétés.  La conciliation est évidente… 

VII – Conclusion

   Nous avons terminé notre tâche et nous avons rempli notre promesse, de montrer que les passages (scripturaires) n'indiquaient pas la divinité (de Ichoua) et n'étaient pas à prendre dans un sens que réprouve la saine raison, et de concilier ce qu'ils croient être inconciliables, cherchant en tout cela la Face de Dieu.  Que Dieu nous mette parmi ceux qui se conduisent à la lumière de Ses conseils et qui sont préservés de toute faute dans leurs paroles et leurs actions, grâce à son assistance favorable, à sa sollicitude ainsi qu'à la miséricorde qu'Il a témoignée à la meilleure de ses créatures, à Mohammad, à sa famille et à ses familiers. (Explicit). 

   Conclusion. 

   Rappelons, une nouvelle fois : Le miracle vient du divin Créateur. Contrairement à l'idée généralement reçue, il n'est pas dû à une cause ou un phénomène naturel explicable. Il n'a rien à voir également avec le charlatanisme ou la Magie. Quand Mochè (sur lui la Paix !) vint aux peuples d'Egypte : les hébreux et les coptes[23], sa mission a été, à l'époque, de confondre la Magie et leurs maîtres. Ne dit-on pas de l'Egypte, à l'époque, qu'elle en était le berceau ? Jusqu'à nos jours, on trouve des gens, parmi le monde biblique, qui croient avec certitude que les miracles des prophètes ; sont en fait qu'une pure émanation, non de la Prophétie, mais de la Magie ! Prophétie et Magie sont pourtant deux choses qui ne peuvent s'accorder. En effet, la Prophétie appartient au divin Créateur, la Magie, au Démon et à ses alliés et affidés. Elle pousse l’homme au pouvoir, au désir de commander, de domination[24]... Toujours selon les gens du monde biblique, soit en particulier, les gens de la Thora : le Maître de la Magie n'est-ce pas Salomon ? C'est d'ailleurs ce que dirent leurs ancêtres au temps du Sceau de la Prophétie, le prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !). Ne lui attribue-t-on pas, à tort, un livre : "Les Clavicules de Salomon" ? Mais à tout cela, il fut répondu. (Coran II 102).

Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée ! 


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Evangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Quatre sont à retenir. Les trois autres appartiennent au domaine de l'imagination, aux adversaires de la Religion.
[6] Formules d’eulogies : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à l’Islam traditionnel. Le terme “prie” s’emploie pour le divin Créateur, les Anges. Les exégètes interprètent la “prière” divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la “prière” angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[7] En hébreu et copte, Mochè. Francisé, Moïse, en arabe, Mouça (ou Moussa, avec un seul s).
[8] la mer se fendit en douze parties. Chaque tribu d'Israël avait son propre passage. Dans la Bible, la mer se fendra en une seule partie. Toutefois dans les commentaires bibliques, on admet que la mer se fendra en 12 parties. Pour preuve : Les eaux se fendirent (Ex. 14:21). Dix miracles s’accomplirent : (...). (g) La mer se divisa en douze parties, afin que chaque tribu puisse emprunter un itiniraire différent. Le commentaire sur la Torah. Jacob ben Isaac. Edit. Verdier).
[9] Ou Torah.
[10] Les gens de l'Evangile considèrent avant tout, les Anciennes Ecritures (A.T.), comme propriété exclusive du peuple hébreu. Certains y croient, d'autres, non. Et ils ne prendront d'ailleurs, de ces Ecritures, que ce qu'il leur plaît.
[11] Bible. 17/17-24.
[12] A son époque notamment et spécialement.
[13] En arabe, Iliyas. (Coran VI 85, XXXVII 123,  130).
[14] En arabe, Al-yasa’a. (Coran VI 86, XXXVIII 48).
[15] Youcha'. Ainsi connu dans l’histoire sainte. Quant à Jésus : Ichoua.
[16] 10/10-15. Marie Vidal d’écrire concernant Josué : (…) En effet, la Torah, parlant de Josué, dit souvent Josué bin Noun, et non ben (fils de) Noun. Ou bien il est fils de Noun, son père s’appelle donc Noun. Ou bien il vient, spirituellement, de noun, la fameuse première lettre de Notsérêt, Nazareth, et du Nom du Seigneur, “Notsêr, qui garde l’amour pour les milliers” (Ex 34,7).
   Or, les noms de Jésus et Josué se prononcent de manière identique en hébreu, Yéhoshouah… (V. Un Juif nommé Jésus. Edit. Albin Michel).
   Selon Rachi, commentateur de la Thora : Car le YOD enlevé au nom de SARAI devenu SARA avait protesté et il a fallu le rétablir en l’ajoutant au nom Yeochoua. Ainsi qu’il est dit : Moïse donna à Hochéa fils de Noun le nom de Yeochoua (NMB., 13:6). Chap. XVII Lekh-Lekha. v. 5. p. 93). Selon un midrash : “D’Abraham aucune lettre ne fut enlevée, mais la lettre yod du Nom de Sarah est tombée. La lettre yod vit qu’elle était sortie du Nom de Sarah la Juste. Elle partit se dresser devant le Seigneur. Elle pleura et dit : Seigneur mon Dieu, je suis petite, et je n’ai pas une place appopriée pour être avec les grands ! Cependant, puisque j’ai habité autrefois dans le Nom de la Juste, veuille par Ton grand Amour avec cette fois de la Tendresse pour moi, et place-moi dans le Nom d’un homme béni ! Le Seigneur entendit la voix et le cri de la supplication de la lettre yod et Il lui dit : Puisque tu as bien parlé, Je grandirai mon Amour pour toi. Et au lieu d’être la dernière des lettres de Saray, dès maintenant, tu seras la première dans le Nom d’un Homme Juste et Puissant en vaillance ! C’est Josué qui au début fut appelé Hoséa, et quand il sortit pour explorer la terre avec les autres explorateurs, Moïse pria pour lui : Le Seigneur te sauvera (yod du futur) du conseil des autres explorateurs (Nb 13,16) ! Dès lors, la lettre yod fut ajoutée en tête de son Nom, Yéhoshouah, Josué.
   Nous dirons : La langue hébraïque n’est plus ce qu’elle était. Et la seule langue, parmi les langues sémitiques à rester intacte au cours des siècles ; est sans nulle doute, la langue arabe. Ceci, nous le devons, à travers le Coran, non à nous-mêmes ; mais uniquement à notre divin Créateur.
   On notera que l’un des reproches fait par le Saint et Seigneur d’Israël aux Judaïsés, c’est justement “qu’ils détournent les mots (bibliques) de leur sens” (Coran IV 46). En l’occurrence ici, ceux-ci semblent avoir déplacé la lettre yod (en arabe, ya) dans un sens qui n’a pas lieu d’être. Qu’on en juge : 
   Selon la version de l’Islam traditionnel, on dit que la femme d’Abraham s’appelait à l’origine Yasara, qui signifiait : “elle n’enfante pas”. Quand lui fut annoncé la bonne nouvelle d’Yts’haq (Isaac-Ishaq), elle fut alors appelée Sara par l’ange Gabriel. A elle, de dire à son époux : “Pourquoi manque-t-il une lettre à mon nom ?” Abraham (sur lui la Paix !) (lui) dit : “C’est une question à poser à l’ange Gabriel.” Gabriel (lui) dit : Cette lettre sera ajoutée au nom de l’un de tes fils qui sera parmi les grands prophètes, son nom sera : “Vivant” (en arabe, hay), mais il sera appelé : “il vivifie” (en arabe, Yahya, en hébreu, Hou Yéhyé).
   On notera au passage, qu’en araméen, “Vie”, se dit “’Ichâ”.  Nous savons tous que le Nom du fils de Zacharie a été rayé, par les Judaïsés, de la liste des prophètes d’Israël. Aussi, on verra son Nom être changé (comme mentionné ci-dessus) par celui de Josué fils de Noun. Notons que selon les gens de la Bible, le fils de Zacharie aurait plutôt eu pour  Nom : Yôhanan (francisé : Jean) (Lc. 1:13). Dans le Coran, il aurait, au contraire, un tout autre Nom : “…dont le nom sera Yahya.” Et surtout : “Nous ne lui avons donné auparavant d’homonyme”. (Coran XIX 7). Quant au nom hébreu, Yôhanan, on mentionne chez les historiens, qu’il était très usité, naguère, chez les Fils d’Israël. 
   Selon les grammairiens : Yôhanan (Jean) aurait pour signification : Favori. L’arabe hanan est, dit-on, de la même racine sémantique que l’hébreu hanoun qui signifie : “faire grâce, favoriser”, d’où viennent les substantifs hen, haninah, signifiant : la grâce, la faveur, favoriser”. La phrase coranique : “hanan min ladounna, aurait pour signification : “une faveur, une tendresse, une grâce d’auprès de Nous” (Coran XIX 13). Le fils de Zacharie se devait ainsi de délivrer les Fils d’Israël de la Mécréance et de l’Associationnisme.
   Conclusion : En parlant du fils de Zacharie, la Bible le nomme Yôhanan (Jean). Son Seigneur dans le Coran, Yahya (il vit, il vivifie). Lequel nom Yahya ne peut en aucun cas être traduit dans notre langue, comme l’ont fait malheureusement bon nombre de traducteurs du Coran, par : Jean. Et ceci quand il s’agit de la même personne.
   Enfin, et selon les commentateurs du Coran, “Noun” est aussi un énorme poisson qui supporte les sept terres. Et Dieu est plus Savant !
[17] En arabe, arîhâ.
[18] Soit, le Coran.
[19] Coran XXVII 12 ; comparer Bible. Ex. 6 4.
[20] On a dit : Maladie désignée dans la Bible par le terme hébreu tsara`ath et par le mot grec lépra.
[21] Bible. Ex. 4/6. L'un des miracles du fils de Marie, ne sera-t-il pas aussi de guérir les lépreux ?
[22] définition du miracle.
[23] Le prophète Mochè (sur lui la Paix !), et contrairement à l’enseignement biblique, des sages, rabbis, rav, de la Synagogue ; fut envoyé à deux peuples : les hébreux (ou Fils d’Israël) + les Coptes, habitants véritables de l’Égypte. De nos jours, l’Égypte regroupe en son sein des Coptes de confession évangélique et des Coptes de confession islamique. La langue copte sera une langue progressivement interdite par les Arabes, notamment Nasser. (1918-1970). Homme d’État dictateur et tyranique. On notera que les Arabes (et non les Compagnons et descendants) feront tout pour supprimer les langues locales d’Afrique du Nord : Egypte, Algérie... Berbères et Coptes seront-ils invités à s’arabiser non à s’islamiser ? Dans les écoles, (pour amasouer) n’a-t-on pas enseigné qu’ils seraient, eux aussi, arabes descendants du Yémen ! ?
[24] Comme chez les gens du Dualisme : franc-maçonnerie, kabbalistes, sciences occultes, etc. Ce sont les affidés du Démon et les futurs auxiliaires du Faux-Messie. 


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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10/08/06 .

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