Croyances

PROPHÉTIE, PROPHÈTES, RÉDEMPTION, SAUVEUR. 

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


La Rédemption (Gué’oulah). « la rédemption pour la gloire de Ton Nom, גאולה למען שמך ». 
(الفداء لاسمك)
Qui sera pour les Fils d'Adam le vrai Sauveur de l'Humanité : le futur "messie-roi" attendu du monde toranique ou le fils de Marie ? Ou existe-t-il encore un troisième personnage inconnu par bon nombre de gens de l'humanité ? 


    Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

Suite de la Page 14

   Nous savons vu que si quelqu'un attendait avec impatience la Rédemption, la Réparation du péché commis au Sinaï ; c'était bien, et à l'origine, le peuple hébreu : les Fils d'Israël et les Yéhudim. Tous attendaient le "sauveur" ! Reste à savoir maintenant de quelle famille abrahamique il sera ? Le monde se réclamant d'Isaac, le voit des Fils d'Israël. Certains lui donneront une envergure purement nationale (monde toranique), d'autres, universelle (monde évangélique). Mais tout ceci est-il une parole de l'Écriture, ou bien une parole des partisans d'Isaac fils d'Avraham (sur eux la Paix !) ? Et s'il existait un autre 'sauveur' pour le monde biblique et l'humanité, qui serait-il donc ?

  • Quel Sauveur choisir ?

   Les gens de la Bible de nous déclarer : Le Messie ? Et pour l’homme de la Torah d’ajouter : « Quand Juifs se cherchent un sauveur, ils aspirent au Messie. Il est important de se rendre compte que la notion de Messie n’a pas été inventée par le christianisme. C’est une idée juive ancienne l’un des « 13 articles de foi » professés par le judaïsme. Elle figure à maintes reprises dans les livres des prophètes, notamment Isaïe, Michée, Sophonie, et Ézéchiel. » Et l’homme de l’Évangile de lui répondre, que celui qu’ils attendent et cherchent, est déjà venu depuis plus de 20 siècles ! Un dialogue de sourd entre deux communautés qui n’arrivent pas à s’entendre et se comprendre mutuellement[5].

  • Pourquoi un sauveur ?

   A la lumière du Coran, et après l’adoration du Veau, on s’aperçoit qu’une clause datant du Sinaï a été instituée pour les Fils d’Israël et les Yéhudim (Judaïsés). Elle sera prise en présence de Moïse (sur lui la Paix !), par son intermédiaire, et en présence des 70 personnes l’accompagnant. Elle sera, en outre, mentionnée dans la Torah, c’est-à-dire écrite noire sur blanc pour lui donner plus de valeur, d’assurance auprès du peuple (Coran VII 156-157).  
   Cette clause divine dans le Pacte divin passé avec les gens de la Torah, là présents ; stipulait que pour atteindre un Pardon divin complet, une Rédemption véritable et une Réparation totale : qu’il fallait croire nécessairement au Créateur, aux Livres divins
[6], aux prophètes Moïse et Aaron (sur eux la Paix !), et y ajouter également et nécessairement la foi au sceau de la Prophétie (صلى الله عليه وسلم). Est-il venu ? Alors on devra nécessairement croire en lui, le suivre… Condition sine qua non pour atteindre ce Pardon, cette Repentance, cette Réparation, cette Rédemption tant espérée !
   Pendant des siècles, les gens de la Torah vivront ainsi, dans l’attente du jour fatidique. Et, comme nous l’avons vu, à travers chaque prophète et sa communauté, le Pacte divin sera constamment renouvelé.
   Viendra alors une annonce avertissant que la fin est proche. C’est le sceau des Prophètes d’Israël, le fils de Marie (sur eux la Paix !) qui sera chargé de l’annoncer. Il avertira les Fils d’Israël que le sceau de la Prophétie viendra après lui ; son nom Ahmad (صلى الله عليه وسلم) (Coran LXI 6). Mais là où tout devait bien se passer, des évènements tragiques vont arrivés.

  • Le faux pas.

   Un prophète exceptionnel allait naître. Un prophète ayant une mère mais pas de père biologique. Sa création était annoncée telle quelle dans les Écritures. On allait donc pas prendre par surprise les Fils d’Israël et les Yéhudim. Tous savaient que cela se passerait chez les Fils d’Israël, descendants de Jacob. Au passage, point important, ce prophète ne serait descendant d’aucune des 12 Tribus. Pour lui donc, pas de généalogie, excepté pour sa mère. Il ne sera donc pas descendant de David ou de Joseph (sur eux la Paix !), pas Yehudi, pas de confession Yéhudite (juive) comme le prétendre et l’affirment à tort bon nombre de gens de la Bible.

   On aurait pu penser que les choses se passeraient bien, que les Fils d’Israël et les Yéhudim auraient été heureux qu’un tel évènement se passent parmi eux. Pourtant, c’est exactement le contraire qui se produisit. Quand Marie présentera l’enfant au peuple, l’accueil sera glacial, violent, et de lourdes accusations seront portées contre elle (Coran XIX 27-34). Elle et son fils devront alors trouver un refuge devant cette contestation populaire (Coran XXIII 50). Leur vie était en danger.

   Pour un temps, leur Créateur les soustraira à la vue du peuple d'Israël. Puis, quand l’heure viendra, le fils de Marie apparaîtra au grand jour et se manifestera aux Fils d’Israël et aux Yéhudim. Il viendra avec de nombreux miracles. Mais à part quelques-uns dont ses 12 compagnons, le peuple lui, ses dirigeants politico-religieux ; tous s’opposeront ouvertement à lui et le rejetteront. Ils nieront sa mission prophétique, rejetteront l’Évangile. Et comble d’ironie voudront sa mort ! L’abomination sera au comble quand les prophètes Zacharie et son fils seront assassinés (sur eux la Paix !). C’est alors que Colère et Vengeance de la part du Créateur, d’Élohim, s’abattront sur les Fils d’Israël et les Yéhudim d’alors. L’heure de la seconde Promesse avait sonnée pour ce peuple négateur (Coran XVII 2-8), à la nuque rude. Le Temple ne serait plus qu’une ruine ! Le peuple et ses dirigeants politico-religieux seront décimés, humiliés, livrés à leur pire ennemi… et personne pour venir à leur secours.

  • Second faux pas.

   Mais comme dit le dicton : un malheur n’arrive jamais seul ! En effet, on aurait pu penser que les partisans du fils de Marie relève le défi. C’est vrai pour un temps ceux-ci relèveront le défi. Mais c’était sans compter sur la présence effective des opposants et adversaires des gens de la Torah qui feront tonner de leur voix, étaient à l’affût pour perdre cette communauté naissante.

   Dans un premier temps, nous dit-on, on poursuivra les suivants du fils de Marie jusqu’à Damas. On cherchera à les éloigner coûte que coûte de Judée, de Jérusalem et de ses environs. Un homme sera à la tête de cette opposition, de cette lutte armée, de cette attaque ciblée, de cette guerre larvée : Paul le pharisien. Très vite, il comprendra que la lutte armée, le face à face n’aboutira à rien. Il changera de tactique. Il se proposera d’infiltrer lui-même les forces ennemies de l’intérieur. Pour cela, il quittera l’uniforme, les armes, tout… et ira rejoindre les fidèles du fils de Marie, leurs suivants, dans leur retraite, leur refuge.

   Comme le FAUX-MESSIE de la fin des temps, Satan lui-même ; il se présentera à eux sous les meilleurs auspices ! Leur dira qu’il est venu à eux en ami, repentant ! Étudiera leur moindre faits et gestes. Se fera, pour l’occasion, ermite, il s’enfermera pour un temps dans une cellule pour étudier ce livre nouveau : l’Évangile du NOM. Et quand son heure viendra, arrivera, il mettra à exécution son plan machiavélique, satanique. Il se fera trois disciples, dit-on, et à chaque disciple, il lui apprendra secrètement une fausse croyance concernant le fils de Marie. Ceci étant fait, il ira jusqu’à prétendre avoir vu le fils de Marie ! Prétendre aussi qu’il doit se sacrifier, se donner la mort pour le Créateur !     

   Comme promit, il se rendit à Jérusalem, et se sacrifia lui-même au Lieu des Sacrifices. Ses disciples étant tous venus avec leurs propres disciples, ne pourront constater que les faits. C’est alors qu’ils se disputèrent entre eux sur la personnalité, la nature même du fils de Marie (sur lui la Paix !). Chacun prétendant détenir la vérité. D’où cette parole divine : « Puis Nous aidâmes ceux qui crurent, contre leur ennemi ; ils devinrent triomphants. (Coran LXI 14). Et aussi :

« A Ichoua (Jésus) fils de Marie Nous avons apporté les preuves, et l’avons fortifié par l’esprit de sainteté (l’ange Gabriel). Et si Dieu avait voulu, les gens qui vinrent après eux ne se seraient pas entretués, après que les preuves leur furent venues ; mais ils se mirent à disputer : tel des leurs crut, et tel autre mécrut. Si Dieu avait voulu, ils ne seraient pas entretués ; mais Dieu fait ce qu’Il veut. » (Coran II 253). De même : « Puis Nous aidâmes ceux qui crurent, contre leur ennemi ; ils devinrent triomphants. (Coran LXI 14)[7].

  • La descente aux...

   La communauté du fils de Marie, dans sa forme originelle, ne vivra pas très longtemps. Petit à petit, les forces du mal auront le dessus. Peu en échapperont[8]. Alors les fausses croyances concernant le fils de Marie entreront de plein pied chez les gens de l’Évangile.
   Première fausse croyance établie : sa mort réelle et le pourquoi de cette mort
[9] ! Elle sera établie après et sur une fausse parole et rumeur, le mensonge des gens de la Torah de l’époque (Coran 157-159).
   Deuxième fausse croyance : sa filiation divine qu’il a pourtant contestée dès sa naissance, comme le mensonge concernant sa propre mère
[10] (Coran XIX 27-34 : IX 30).
   Troisième fausse croyance : sa divinité du fait notamment qu’il ressuscitait les morts (Coran V 17, 72) !
    Quatrième fausse croyance : Sa nature qu’on dira à la fois humaine et divine ! Apparaîtra alors de fausses croyances comme l’Incarnation et la Réincarnation. Marie ‘mère’ de Dieu (Coran V 116). La consubstantialité
[11]ou homoousia, le Trithéisme ou l’Associationnisme de la Distinction[12] (Coran V 73 ; IV 171), Dieu esprit[13]
   Conclusion. De nos jours, toute personne qui refuse ces croyances de Paul, est jugée comme hérétique, antimessie, antichrétienne... ! Affiliée à des sectes de l’Antiquité… ! Pourtant les vrais défenseurs du fils de Marie qui sont-ils ? Sinon les Croyants soumis. Au Jour des Comptes, ils témoigneront contre les déviationnistes
[14], ils seront des témoins à charge.

  • La finalité.

   Pour les gens de la Torah la finalité de la venue du "Messie –roi - attendu" : la Rédemption[15] ! Pour les gens de l’Évangile la finalité de l'Incarnation : la Rédemption ! A chacun son opinion, sa croyance.
   En étudiant de près la Rédemption du monde de l’Évangile, on voit combien ces derniers ont été abusé, trompé, par les gens de la Torah d’alors, par Paul
[16] en particulier. On a voulu les faire tomber dans le même péché que ceux qui adorèrent le ‘Veau’, à savoir l’Associationnisme[17]. Devant cette catastrophe, la seule issue, la seule source de salut pour tous allait être la venue du sceau de la Prophétie (صلى الله عليه وسلم). Seul recours ultime, seul vrai Sauveur des gens de la Bible[18], de l’Humanité, que les gens de la Bible l'acceptent ou pas ! N'en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux opposants et adversaires de la Religion divine : la Soumission !         (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] A coup sur, la jésumanie est en partie due au succès du livre de David Klinghoffer paru en 2005, «Pourquoi les juifs ont rejeté Jésus.» (Réponse : Nous sommes le peuple élu – une nation, pas des universalistes.) Mais je pense qu’elle est en bonne partie liée au renforcement de notre confiance en tant que minorité assimilée aux États-unis. Si à une époque nous aurions pu être torturés ou placés sur le bûcher pour le fait de ne pas accepter Jésus, nous pouvons maintenant publier des livres qui le critiquent. (…)
   L’image de Jésus qu’on retire du Talmud est celle d’un hors la loi, un maniaque sexuel adepte de la magie noire qui recourait à la tromperie pour égarer Israël. Dans BT [Talmud de Babylone] Sanhédrin 103a, Jésus est représenté comme un mauvais disciple qui a « gâché sa nourriture, » ce qui, spécule Schafer, pourrait être un euphémisme pour l’inconduite sexuelle : « manger le mets » étant un euphémisme talmudique connu pour désigner l’acte sexuel lui-même. Une correction ultérieure ajoute qu’il « pratiquait la magie et a égaré Israël. » Et la naissance virginale est ridiculisée comme un camouflage de la véritable filiation de Jésus : sa mère était une « femme illicite » (autre locution talmudique), peut-être même une prostituée.
C’est du lourd – pas étonnant qu’on ne l’enseigne pas dans les cours du dimanche. Mais fascinant aussi, à condition bien entendu, de ne pas le prendre trop au sérieux (ce que certains juifs font, à n’en pas douter). Les textes étudiés par Schafer – tous relativement tardifs, remontant au 3ème ou 4ème siècle après JC, suggérant un effort conscient pour combattre la montée de la secte – montrent que les rabbins talmudistes n’ont pas rejeté Jésus pour les nobles raisons suggérées par Klinghoffer et ses émules. Selon ces textes tout au moins, ils l’ont rejeté parce qu’ils pensaient qu’il incarnait le mal ou le percevaient comme une menace.
De manière choquante, cependant, le Talmud ne fuit pas la responsabilité de la mort de Jésus. Au contraire, il dit qu’il l’avait méritée et qu’elle est l’œuvre des juifs eux-mêmes. Jésus était, indiquent les textes, un sorcier, un idolâtre et un hérétique qui guidait Israël dans l’idolâtrie. Sa condamnation était absolument justifiée et son exécution – lapidation puis pendaison – a été effectuée en stricte conformité avec le droit rabbinique.
Pourquoi le Talmud fait-il cette revendication ? Schafer suppose que c’est pour saper le récit des Évangiles et affirmer le pouvoir des rabbins. Dans le récit des Évangiles, les rabbins sont pratiquement des instruments de Rome. Dans la version du Talmud, ils sont tout puissants – si puissants qu’ils condamnèrent le héros de la secte chrétienne à une mort brutale (croyez-le ou pas, il y a en fait des textes encore plus crus et que Schafer a inclus dans son livre. Il suffit de dire que l’enfer de Dante n’est rien à côté de leur horrible récit. Mais je n’en parlerai pas dans ce journal familial.)
Ce qui est fascinant dans la lecture de ces textes ainsi que des commentaires soigneux et méthodiques de Schafer, est que l’ambivalence envers jésus que j’ai ressenti dans ma jeunesse, semblait déjà présente dès le 4ème siècle. D’un côté Jésus est objet de mépris, de l’autre son pouvoir est dangereux. Ces textes ont été écrits avant que l’église devienne la plus grande force en ce monde, mais ils ne dépareilleraient pas dans la liste des livres que j’ai choisi de ne pas présenter ici. (Do Jews Have a Jesus Problem ? The Polymath By Jay Michaelson) (forward.com)
   Concernant ce qu’ont dit les ancêtres des Yéhudim sur le fils de Marie et sa mère : voir Coran XIX 28-34 ; IV 156-159.
[6] Torah + Évangile.
[7] Voir à ce sujet notre étude : Lire…
[8] Les gens de l’Évangile de Rome, d’Athènes, d’Alexandrie, de Byzance leurs livreront une guerre sans merci.
[9] Deux façons de voir cette mort : Maléfique, bénéfique ! Ainsi : 1) Pour les gens de la Torah, le fils de Marie méritait cette mort, car il avait durant sa vie en Terre sainte abusé d’eux. Il était un sorcier fils d’une sorcière... Non jamais un prophète auprès des Fils d’Israël ! Ainsi, et selon la loi en vigueur, de tel individu ne mérite rien d’autre qu’une mort par strangulation. 2) Pour les gens de l’Évangile la présentation n’est pas la même. Sa mort est vraie également, mort programmée, prédestinée, salutaire pour le genre humain. Autour de cela, Paul va donc développer toute une théologie dont les gens de l’Évangile se feront les défenseurs et propageront à travers le monde.
[10] Femme ou fille prostituée. Accusation portée contre Marie lors de la présentation de son fils au peuple. Parole toujours d’actualité chez les gens de la Torah.
[11] Identité de matière du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
[12] Ou en jargon biblique, théologique, la trinité.
[13] Pour tout vrai monothéiste, dire et prétendre que Dieu est esprit (Je. 4 24), signifie qu’Il a eu un commencement. Ce qui est faux. Et aux Trithéistes de l’Évangile de dire : « En vérité, Dieu est troisième de Trois ». (Coran V 73). C’est-à-dire par l’esprit. Et la trinité d’être faite de trois divinités distinctes dont le saint-esprit. Ce qui est faux et parole de mécréance.
   Autre : Le Saint-Esprit, en grec Πνευμα / Pneuma, est aussi appelé Παρακλητος / Paraclet, d'un mot qui signifie « avocat, intercesseur » (Jn 14 26), et se distingue du Père et du Fils (Jn 14 ; Jn 15 26 ; Jn 16 5s). Dans la doctrine chrétienne, il est l'« Esprit de Dieu » ou le « Souffle de Dieu » de l'Ancien Testament, hébreu רוח אלהים, Rûah, celui qui a inspiré les prophètes, s'est manifesté à la Pentecôte, et continue d'assister l'Église chrétienne. Il est surtout représenté par des symboles : la colombe, la tempête, le feu. Le texte évangélique précise : « Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l'Esprit ne sera point pardonné. » (Mt 12 31 ; voir aussi Mc 3 29). (fr.wikipedia.org)
   Paraclet : nom du sceau de la Prophétie. « … le blasphème contre l'Esprit ne sera point pardonné »
   Ainsi, celui qui blasphème contre (l’esprit) le sceau de la Prophétie ne sera point pardonné !
[14] Toute personne qui se sera écartée de la vraie doctrine du fils de Marie (sur lui la Paix !).
[15] L’Exil (Galout). La Rédemption (Gué’oulah). « la rédemption pour la gloire de Ton Nom, גאולה למען שמך ».
[16] Lequel apparaît pour bon nombre de gens de la Bible comme l’homme le plus important de leur histoire. Sans lui et ses écrits, le christianisme ne serait pas. Enlever ses écrits et son histoire, que resterai-il du monde évangélique ? Bon nombre de gens de l’Évangile accorde à ses [prétendus] écrits beaucoup plus d’importance que l’Évangile lui-même ! A l’instar des gens de la Synagogue et de la Torah qui accordent, eux, plus d’importance aux Talmuds que la Torah elle-même !
[17] Soit ici : l’Associationnisme de la Distinction.
[18] Toranique + évangélique.


מוחמד - נביא אללה
Mohammad prophète de Dieu (صلى الله عليه وسلم).


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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11/02/13.

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