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Comme nous le savons tous, l'activité en plein air attire bon nombre de gens en Europe. Des jeunes comme des personnes d'un certain âge. Il est vrai qu'il n'y pas d'âge pour ce genre d'activité...

L'activité en plein air, une chose exclusive pour les profanes ?

Nullement. En Extrême-Orient, toute activité sportive est en fait très liée avec la religion qu'on pratique. En Europe, notamment en France, les gens de la Bible (très laïcisés) préfèrent s'en remettre à ceux qui désirent développer ce genre d'activités. Il est vrai que les laïcs aiment s'approprier toute chose de ce genre pour en faire plus tard un bon moyen publicitaire, pour leur publicité et prouver ainsi leur amour sans fin pour ce bas-monde ! On croit rêver ! Dans les régimes dictatoriaux, toute activité sportive est souvent un moyen, un prétexte pour affermir sa place sur l'échiquier international. Pour montrer les héros de son peuple. Leur carrure, leur stature, etc. On a vu cela naguère avec les régimes athées, matérialistes, communistes, prolétariens, etc. Cela devient très vite un sujet de fierté et un enjeu national...

En Europe, une coutume grecque ? 

Sans nul doute. Alors national, elle a conquis de nombreuses nations. Dans l'Antiquité, avant et après l'ère évangélique, la Grèce, comme d'ailleurs l'Italie, étaient toutes deux célèbres dans ce genre d'activité. Le Dirigeant en place aimait se divertir et divertir ses sujets. Aussi, et grâce aux conquêtes, aux esclaves de montrer leur force et leur savoir faire... On mélangeait, dans ces temps anciens, l'utile à l'agréable. L'utile était d'avoir toujours un empire toujours plus grand, et l'agréable, à travers certaines manifestations plus ou moins entachées de sang, on se détendait allègrement...

L'Olympe.

On a dit : massif montagneux de la Grèce, aux confins de la Macédoine et de la Thessalie (alt. 2911 m). Les Grecs (du Sabéisme, et par extension du Paganisme) en avaient fait la résidence des dieux. (Auj. Olymbos). 2. Olympie. v. du Péloponnèse, centre religieux panhellénique, où se célébraient les jeux Olympiques. Nombreux vestiges. 3. Dieux olympiens, les douze principales divinités grecques. 4. Sport. anc. fr. desport, amusement. De nos jours. Discipline...   

Olympique, olympiade.

Europe. Antiquité : Jeux nationaux de la Grèce antique, qui se célébraient tous les quatre ans, depuis 776 avant l'ère évangélique à Olympie, en l'honneur de Zeus, Olympien, et qui comprenaient non seulement des épreuves sportives, mais aussi des concours musicaux et littéraires (ils furent supprimés en 393 par Théodose); auj. compétition sportive internationale, rénovée en 1893 par le baron Pierre de Coubertin et qui a lieu tous les quatre ans.
   * Historicité
   * 1500 av. J.-C.. Bas-reliefs crétois attestant de la pratique sportive : lutte, course et combat contre taureaux notamment. Certains historiens considèrent que les Crétois débarquèrent dès cette période à Olympie où ils érigèrent un stade et y disputèrent des courses à pied.

* 884 av. J.-C.. Légende faisant état d'une peste ravageant la Grèce. Iphitos, roi d'Élide, consulte la Pithye à Delphes qui lui conseille d’organiser des Jeux Olympiques afin d’apaiser la colère des dieux.

* 776 av. J.-C.. Selon Hésiode, reprit par Pierre de Coubertin, fondation des Jeux Olympiques. C’est l’an 1 du calendrier grec adopté en 260 av. J.-C.. Notons que les Jeux Olympiques sont les plus prestigieux, mais près de 300 compétitions du même type voient le jour par la suite : les Jeux Pythiques, les Jeux Néméens, les Panathénées et les Jeux Isthmiques notamment. Ces compétitions sont exclusivement réservées aux hommes et les femmes sont même interdites d'assister aux épreuves. Les femmes possèdent leurs jeux qui ont également lieu tous les quatre ans, généralement au mois de septembre sur le site d’Olympie, quinze jours après ceux réservés aux hommes : les Jeux Héréens.

Remarques.

Dans l'Antiquité, au temps du Sabéisme, ces jeux se célébraient, nous dit-on, en l'honneur du dieu de l'époque : Zeus. Et de nos jours ? Est-ce en l'honneur des rencontres internationales ? des athlètes internationaux ? La question reste posée dans un monde en pleine évolution, où religieux et irréligieux semblent s'affronter un peu plus chaque jour.

La flamme olympique.

Avant le déroulement des jeux, la flamme olympique doit être ranimée. D'après ce qu'on dit, c'est une prêtresse de l'ancien culte, en l'occurrence du Magisme (ou Dualisme, par extension du Mithraïsme de l'époque) qui serait chargée de cette mission délicate. En Grèce, sur la montagne des dieux. Dans pareil cas, c'est en l'honneur de ce dieu antique qu'on ranime, aujourd'hui, cette flamme endormie. Il est vrai que bon nombre de gens de la Bible, en Europe, croyants ou mécréants ; ont toujours eu un pied dans leurs anciens cultes et un pied dans la religion nouvelle : la religion biblique. Ainsi sous l'Égide du Sabéisme ou du Magisme, des hommes du monde entier se réuniront et apporteront cette flamme de Grèce. Pour nous, ne voilà-t-il pas un sujet à réflexion ? Peut-on, oui ou non, participer à ce genre de rencontres ? Question à élucider, dirons-nous...  

Les différentes disciplines. Jeux et enjeux.

Dans ce genre de rencontres, elles sont variées. Il appartiendra au futur athlète de rejoindre sa catégorie ou sa formation... L'Athlétisme est devenu, pour certains États, un véritable enjeu national tant l'engouement populaire est grand. Dans certains pays, on vous parlera de ballon rond. D'autres, de criquet, d'autres, de pelote, etc. On est passé très vite passé, pour certaines disciplines, d'un sport local à un sport rémunéré. Les uns applaudissent, d'autres contestent.

Attitude à adopter.

Un homme soumis qui prie lors de ces rencontres, est souvent la cible des médias bibliques (croyants ou incroyants). On comprend mal pourquoi venir prier dans de pareils lieux ! La position de l'Islam est très mal comprise dans ce domaine. L'utile, dirons-nous, n'est-il pas de participer aux compétitions, et l'agréable de faire tout cela dans l'obéissance et l'obtempération aux ordres du divin Créateur non de Sa créature ? Rappelons-nous cette parole divine :

"Et la présente vie n'est que jeu et amusement. Meilleure, la Demeure dernière pour ceux qui se comportent en piété. Eh bien ne comprenez-vous pas ?" (Coran VI 32).

Paroles plutôt mal placées.

Accomplissez votre devoir religieux dans l'espace sportif, et on s'entendra dire : « Ultime prière [d’un tel sportif], avant l’épreuve... Mais son dieu ne l’a pas franchement entendu... [L’athlète] a plongé dans le doute (L’Équipe 19/09/2000. n° 62029), etc. Preuve que dans une discipline comme le sport, et dans une société où l'on prône l’Athéisme comme religion officielle ou cachée ; l’athlète croyant, pratiquant, n’est vraiment pas le bienvenu, voire n’a pas sa place... Est-ce à dire qu’on regrette et préfère plutôt les activités sportives de la Grèce antique...


Activités en plein air recommandées en Islam traditionnel.

Est recommandé notamment :

Parmi les activités dites nobles :

1°) l'équitation et ses dérivés (voir Page album-photo), 

2°) le tir à l'arc et ses dérivés,

3°) l'escrime et ses dérivés.

C'est ainsi qu'on nomme ce genre d'activités en France. Dans ces disciplines, en général, les français d'origines excellent. Il est vrai qu'on aime et on rêve d'appartenir à un ordre de chevalerie, à se représenter le meilleur de soi-même...

Autres :

 4°) la natation et ses dérivés ,  

 5°) la lutte et ses dérivés,

 6°) la course et ses dérivés,

 7°) lancement de javelot et ses dérivés.

Soit sept activités recommandées.

Conclusion : La Soumission (en arabe, l'Islam) intègre en son sein des choses bonnes pour la santé de l'homme, son développement et son épanouissement. Encore faut-il savoir l'utiliser... De plus, faire revivre une de ses activités, entraîne pour l'auteur (croyant soumis et pratiquant) une récompense dans ce monde et dans l'Autre. Alors, prêt... partez !


L'activité en plein air.

D'un pays à l'autre la conception n'est pas la même. Dans le monde allemanique, on aime faire par exemple différentes activités de détente après le travail. En France, nullement. Lors des repos dominicaux sans doute, ou alors à d'autres moments de la semaine, du mois ou de l'année. 

Afrique.

Le monde africain est un réservoir d'athlètes. En Afrique, on copie le monde européen. L'Europe (biblique) envoûte ce monde nouveau. Mais généralement le contexte se prête guère à ce genre d'activités. Manque de moyens, dirons certains, manque de volonté politique, dirons d'autres... 

Arabie.

En Arabie, l'activité est vue et est à voir selon l'environnement et le caractère et la mentalité arabes. On fera volontiers, dans certaines régions, des courses de chevaux comme des courses de chameaux. Le chameau est considéré à l'instar du cheval (le pur sang, khail), comme un animal noble. Avec la famille, on ira se détendre dans les aires de repos mis à disposition, les parcs d'attraction, etc. A cela, il faut comprendre, comme ces animaux font partie de la vie de tous les jours, on accorde aucune attention particulière comme celle portée en terre d'Europe. Parfois on chasse avec des oiseaux comme le faucon, etc. Au Yémen, on a gardé cette habitude de portée en permanence le poignard sur soi. Le sport comme nous le définissons en Europe apparaît plus comme une activité étrangère. 

Asie. Extrême-Orient.

Mentionnons au passage que bon nombre d'activités sportives du monde anglophone biblique vienne directement d'Asie centrale, du monde chinois, tibétain, turcophone. Ex.: le polo. Actuellement d'Asie, a été importé des disciplines comme le judo, le karaté pour ne citer qu'eux. A l'origine, ce genre d'activités populaires fait et faisait parties intégrantes, et ceci jusqu'à nos jours ; de la religion pratiquée et de la société asiatique bouddhiste, etc. C'est pour cela qu'arrivé à un certain degré, le maître pourra vous dire que ces degrés là ne sont accordés qu'aux initiés. L'européen a toujours été fasciné par l'Asie. Notons que le chinois de nature, à l'inverse de l'européen et du japonais, n'a jamais cherché à dominer, à conquérir des terres. Il aime aussi faire ses activités sportives avant le travail du matin, voire sur son lieu de travail. Chose inconcevable en Europe dont dans l'Hexagone.     

L'Évolution.

S'il était permis à nos ancêtres de revenir voir leurs familles que diraient-ils ? Hier une épée, un arc étaient considérés comme des armes de défense. De nos jours, elles font la joie des enfants européens. On aime jouer à Guillaume Tell, à Robin des bois, Zorro, Tarzan, etc. Le cheval et les animaux de trait se retrouvent, eux aussi et bien malgré eux, être les nouveaux habitants de parcs zoologiques, etc. Ils servent de spectacle pour les enfants. Les machines ayant pris, dans de nombreux cas, leur place ! Telle est la situation dans certaine partie du monde dont l'Europe. Mais, dirons certains, il faut bien vivre avec son temps...

La pudeur. l'impudicité.

Paroles sages et prophétiques : 

La pudeur fait partie de la foi, celle-ci est au Paradis.

L'impudence est l'acrimonie, celle-ci est en Enfer. (Transmis par Ahmad).

Autre parole : La pudeur et la foi son inséparables : si l'une fait défaut, l'autre aussi. (Hakim).

Il semble qu'elle n'a jamais été la bien-aimée dans certains milieux sportifs. Bon nombre de jeunes de notre Communauté, pratiquants, s'étonnent et se plaignent souvent du peu de pudeur existant chez bon nombre de gens du monde biblique (croyants et incroyants). Il est vrai que celle-ci n'est pas de règle chez eux. Il faut, dirons certaines mauvaises langues, combattre ce tabou... Pour cela, la devise de 68 reste de rigueur : il est interdit d'interdire ! 

Attitudes blâmables. Inconvenances. La nudité.

L'homme biblique a du mal à comprendre pourquoi l'individu soumis n'aime pas ce qu'il aime. Pourquoi empêcher à la jeune fille, à la jeune femme, par exemple, de se baigner nue ou à demi nue ? Son corps lui appartient, et à elle d'en faire ce qu'elle veut dirons certaines personnes en colère. Pourquoi faire des aires pour le monde religieux ? Pourquoi autoriser, dans les piscines : pantalons mi-mollets, vêtements spéciaux pour toute personne féminine ? Pourquoi interdire la mixité ? Autant de questions qui montre bien qu'une barrière infranchissable se dresse, en permanence, entre nous et le monde biblique. A eux leur religion, dirons-nous, et à nous la nôtre. Nous n'adorerons pas ce qu'ils adorent et eux n'adorerons pas ce que nous nous adorons. 

Oui, la jurisprudence exige en ce domaine des règles strictes pour toute personne féminine qui voudrait se baigner. De même, est exigé pour les personnes masculines de cacher la partie dite "nue" (ou honteuse) de leur corps, allant de leur nombril jusqu'à le dessous de leurs genoux. Se référer pour cela aux ouvrages juridiques traitant de ces sujets. Secundo : ce qui signifie aussi que se doucher ou se baigner ne peut se faire qu'individuellement et non en collectivité. Et à ce sujet, le monde du sport à de de sérieux progrès à faire...

Baignade. Baigner. Se baigner... Bains publics.

Obligation est fait pour tout nageur, croyant soumis, de se cacher nécessairement la partie dite "nue" (ou honteuse - aourah) du corps, allant du nombril jusqu'au dessous des genoux. Cette partie peut-être cachée par un pagne (izar-longui), un pantalon bouffant (qui ne colle pas à la peau), etc. Le slip de bain (ou short) est interdit, prohibé par la loi. Tout vêtement 'collant' faisant apparaître les parties intimes de l'individu est aussi prohibé, à bannir. Les Juristes sont unanimes dans ce domaine. 
Pour toute personne féminine, la loi est beaucoup plus stricte. Elle ne saurait exposée son corps soit sa nudité en plein air, à autrui. Et la nudité féminine commence de la tête à ses pieds. Le maillot bain, seins à l'air, jambes nues, torse nu, poitrine nue, bras nus, dos nu, tête nue, ne saurait être pour une baigneuse, croyante soumise. La loi demande au garçon comme à la fille d'apprendre la natation. Toutefois tout cela ne saurait être qu'en conformité avec la loi, soumise à certaines règles très strictes. 
Enfin, l'Imam Ahmad (que Dieu lui fasse miséricorde !) a dit : « Si tu es sûr que chaque personne se trouvant dans la douche municipale (bain public - hammâm (1)) est vêtu d’un izâr (habit qui couvre les parties intimes depuis le nombril jusqu’aux genoux), alors tu peux y entrer ; sinon, n’entre pas ».
Bouhz fils de Hakim a raconté, d'après son père, que le père de ce dernier avait demandé au Prophète : "Ô Prophète de Dieu ! Que peut-on montrer ou cacher de nos parties intimes." Le Prophète lui avait répondu : "Garde tes parties intimes des regards de tous, excepté ton épouse (...) !" Et de dire : "Et si on se trouve avec d'autres personnes ?" Le Prophète lui avait répondu : "Fais en sorte que personne ne te voit nu !" Il avait encore demandé : "Et si on se trouve seul ?" Le Prophète lui avait répondu: "Dieu mérite le plus que l'on soit pudique envers Lui". (Boukhari et Mouslim)
(1) lieu de bains publics. Très connu en terres d'Islam dont en Turcophonie (Turquie, etc.), Châm (Syrie, Liban, Palestine, Jordanie), Afrique du Nord. En terres européennes, bibliques, on parlera plutôt de douches municipales ou privées. En Asie, les gens fréquentent plus les cours d'eau à disposition : rivières, étangs, etc. 

Douches, se baigner... Prendre un bain après une épreuve ou un entraînement...

Le lieu pour se doucher, prendre un bain, se laver doit être un lieu pudique, intime. Tel n'est pas le cas, note l'observateur, actuellement dans de nombreux stades, lieux d'entraînement du monde biblique (toranique & évangélique) ou autres. Y compris dans l'armée. Selon la façon (du monde biblique) de voir et d'interpréter les choses de la vie courante et en société : La douche est censée être un lieu collectif où le "nu" est quelque chose de naturel, entré dans les moeurs... ! Parfois, la douche ne dispose d'aucune porte ! Que dire aussi des lieux de massage... Dans l'armée, la douche est un lieu collectif où la pudeur n'existe pas. Où on force l'individu à se dévêtir, avant d'entrer, pour aller ensuite rejoindre ses camarades à l'intérieur.
Le Prophète a dit : "Lorsque l'un d'entre vous se lave, qu'il se cache du regard des gens" (Rapporté par Abou Daoud ).

N'allez pas à la plage. Ne pas imiter les gens pervers et prévaricateurs, sans-religion.

Ou vous vous retrouverez entourés d'une pléthore de femmes en maillots de bain, bikinis, seins à l'air et d'hommes en slips ou shorts de bains. Voir, en certains lieux, gens dénudés. Lucifer est en transes devant un tel spectacle, il jubile !

Protéger vos yeux dans ces lieux est pratiquement impossible. Vous pourrez vous retourner, en pensant que vous êtes tranquille, mais dans la minute qui suite, vous ne pourrez plus y poser vos yeux.

La même recommandation est à appliquer aux parcs publics. Même si cela ne veut pas dire qu'on ne peut plus sortir les enfants pour pique-niquer, courir et jouer, cela signifie pourtant qu'il est préférable de fréquenter ces endroits dans des périodes plus tranquilles, plus fraîches de la journée, ou des journées moins ensoleillées (tôt le matin, ou un peu avant le coucher du soleil)

De cette manière, la plupart des bronzeurs (hommes blancs) seront partis, ou bien ils auront mis des vêtements décents sur eux !

Règles.

La fornication des membres : Images obscènes, photos osées, tenues dépravées, indécentes... Programmes télévisés pervers, films ou dessins animés qui pourraient faire tomber l'âme dans le mal, le péché et la perdition. Protégez vos yeux, baissez le regard !

Abou Horaïrah rapporte que le Prophète (sur lui Prière et Paix !) a dit: "... la fornication des yeux est de regarder ce qu'il n'est pas permis..." (Bukhari, Muslim)

Lorsque Fadhl fils d'Abbas (que Dieu l'agrée !) était sur une monture en compagnie du Prophète (sur lui Prière et Paix !) le jour du sacrifice, de Mouzdalifah à Mina, des femmes en litière passèrent en courant. Et Fadhl se mit à les regarder. Le Prophète (sur lui Prière et Paix !) détourna alors (de sa main) la tête de Fadhl de l’autre côté. (Boukhari)

Jurayr rapporte que "J'ai demandé au Messager d'Allah (sur lui Prière et Paix !) si on regardait accidentellement quelque chose qu'il n'était pas permis de regarder et il dit, 'Détourne tes yeux ' " (Muslim)

le Prophète (sur lui Prière et Paix !) a dit à son cousin : « Ô Ali ! Ne fais pas suivre ton (premier) regard d’un (autre) regard ! Il y a pour toi le premier mais pas le second ! » Le premier regard est donc pardonné : c’est le regard non intentionnel. C’est lorsque tu vois. Ensuite, si tu regardes, et bien, c’est le deuxième regard, et il est blâmable.

Djarir (que Dieu l'agrée !) a dit : « J’ai interrogé le Messager de Dieu (
sur lui Prière et Paix !) sur le regard fortuit (soudain). Il me dit : « Détourne ton regard (aussitôt après) ». (Mouslim)

De même : « Le regard (avec insistance) est une flèche de Satan. Celui qui le délaisse par crainte de Dieu (exalté soit-Il !), Celui-ci le rétribuera par une foi dont il savourera la douceur dans son cœur.» Le Prophète (sur lui Prière et Paix !) a dit aussi : « Tout Soumis, qui a baissé son regard tombé sur les attraits d’une femme, Dieu (exalté soit-Il !) lui suscite un acte de dévotion dont il goûtera la douceur ».

Un homme est venu voir le Prophète (
sur lui Prière et Paix !) et lui a dit : « Ô Messager ! Je suis venu t’interroger au sujet du regard fortuit. Il (sur lui Prière et Paix !) lui dit : « Détourne-le aussitôt après ! Le premier regard est pour toi, mais pas le deuxième».

Dans une parole le Prophète a dit concernant la nudité : "Un homme ne doit pas regarder la nudité (arabe, aourah) d'un autre homme et une femme ne doit pas regarder la nudité d'une autre femme" (Muslim)

Le Prophète (sur lui Prière et Paix !) a dit : « …Et l’œil commet la fornication et sa fornication est le regard (illcite). Et la langue commet la fornication et sa fornication est la parole (illicite). Et le pied commet la fornication et sa fornication c'est les pas (vers l’illicite). Et la main commet la fornication et sa fornication est le toucher (illicite). Et le cœur se passionne et désire. La partie privée approuve cela ou le dément ». (Boukhari)

Règles et avis d'Ecoles de la Jurisprudence.

Nous citons :

1 - L'entrée du bain public est permise aux hommes à condition qu'ils baissent leur regard pour ne pas voir la nudité des autres et qu'ils portent un pagne (i'zar - longui (urdu)). Le Prophète a interdit aux hommes de se découvrir devant d'autres hommes et aux femmes devant d'autres femmes (rapporté par Ahmad, an Nassai et al Hakim)
On a rapporté que fils d'Abbas est allé à un bain public à Al-Jouhfa, de même que Khalid fils de Walid (que Dieu les agrée !).

2 - Aller au bain public est répréhensible pour les femmes, s'il n'y a pas de nécessité (maladie, fin des lochies ou l'impossibilité de se laver à domicile). Ceci est stipulé dans le une parole rapportée par Abou Daoud et d'autres, d'après le fils d'Omar (que Dieu l'agrée !).

C'est l'avis de la majorité y compris Ahmad, car les femmes ont tendance à se dénuder facilement les unes devant les autres. De plus, les paroles prophétiques concernant les limites des parties intimes à couvrir sont généraux : ils interpellent les hommes et les femmes.

Certains précisent que l'avis de l'imam Ahmad ne concerne pas les régions froides ou les cas de nécessité même pour les femmes.
L'Imam Ahmad a émis la même position (la répréhension) pour les hommes également, à cause du non-respect de la décence et du fait que les gens se dénudent facilement dans les bains publics. Et Dieu est plus Savant !

Les gens de la Bible et vous.

N'ayant aucune loi précise sur la 'nudité', les gens de la Bible font ce que bon leur semble. Toutefois, on nous dit : Parce que "la chevelure de la femme, c’est sa nudité", affirme le Talmud (commentaire, Apatridem : tiens, tiens, comme on s’y retrouve ! Du reste, saint Paul est passé par là : « Si une femme ne met pas de voile, alors qu'elle se coupe les cheveux. Mais si c’est une honte pour une femme d'avoir les cheveux coupés ou tondus, qu'elle mette un voile », 1. CO, 11.6...
   Aussi à notre époque, le mot 'pudeur' (et suite à la révolution "sexuelle" voulue par les gens du Partissisme des gaouches et leurs extrêmes) est à bannir de leur vocabulaire. Le 'nu' ayant pris le dessus sur tout autre chose. Ce qui réjouit le pervers, le débauché, le prévaricateur, le libidineux, le licencieux d'entre eux...

Ne pas imiter les gens de la Bible. Au Seigneur de Moïse de révéler : "Ho, les croyants ! Ne soyez pas comme ceux qui ont fait de la peine à Moïse, puis Dieu le tint quitte de ce qu'ils avaient dit : celui-là, cependant, faisait figure auprès de Dieu ! (Coran XXXIII 69).
   Selon les commentateurs, les gens de son peuple se lavaient publiquement tout nus. Moïse (sur lui la Paix !) ne le faisait pas. D'aucuns pensèrent que Moïse (sur lui la Paix !) devait souffrir de maladies qu'il voulait cacher. Dieu prouva d'une façon miraculeuse que ce n'était point ainsi, mais pour le bon comportement que Moïse (sur lui la Paix !) ne se permettait pas la nudité devant autrui. Secundo : Ne suivez pas les gens de la Synagogue et de la Torah, les gens de l'Evangile, qui croient et enseignent à leurs communautés que nos parents Adam et Eve étaient nus, sans honte, dans le Paradis divin ! Se permettant ainsi de développer, au passage, toute une panoplie de tableaux, photos, images, statues, statuettes et autres les montrant nus ! Ce qui permet ainsi, note l'observateur, aux pervers, prévaricateurs et transgresseurs d'entre eux, d'appeler les gens au mal, au péché de la chair, à la licence, la dépravation des meurs, forniquer en plein air, la turpitude et le blâmable... A dépénaliser et légaliser le mal, la turpitude et le blâmable !    

Intolérable. L'image de la Soumission (ou l'Islam) torpillée par le cas de gens perturbateurs !  

Les périodiques "Rivarol" et "Présent" d'aborder un problème épineux : la piscine, le bain public. Aussi à "Présent" de titrer : Ces "jeunes musulmans de Lyon qui, au nom du Coran, refusent les slips de bain…  Et Alain Sanders d'écrire notamment : A Lyon, au centre nautique de la Duchère (…), les "jeunes musulmans" qui refusaient des maillots de bain au prétexte que cela serait contraire aux préceptes de l'islam (Mahomet [1] ayant consacré plusieurs sourates [2] aux slips comme on sait [3] …) ont eu droit [4] , histoire de préserver leur torride pudeur, de porter un boxer [5] . (Op. cit. N° 4875) Rivarol, lui, parle de : Spécial "invasion" : guerre des piscines, guérillas urbaines. Guerres des piscines ou guérilla ethnique (voir n° 2536). Combien le Seigneur des la détente et des mondes est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !

Un conseil : Ne jamais se moquer des autres.

Vers l'époque où la télévision faisait ses premiers pas en France, quand apparut pour la première fois les premières images montrant les africains dénudés ou à demi-nus, de même certaines tribus d'Amérique et d'Asie, les gens montraient leur désapprobation. On se moquait d'eux. Pourtant, trente ans plus tard, for est de constater que leurs propres enfants sont devenus maintenant ces gens mêmes que leurs parents tournaient naguère en dérision ! Preuve qu'il ne faut jamais se moquer d'un autre peuple. Certaines mauvaises langues dirons qu'il faut également mettre cela sur le dos de l'évolution des mœurs ! La pauvre... (V. aussi Coran XLIX 11). 

Le non recommandable. L'interdit. 

Certains sports sont interdits selon la jurisprudence. Ex.: la boxe. Le visage étant le siège de la beauté, il est fortement interdit de frapper un individu quelconque au visage. Et un homme soumis ne peut être et ne peut devenir un champion dans cette catégorie (à l'instar de certaines gens des diasporas d'Afrique du Nord). Le faire, c'est se mettre en contradiction flagrante avec la loi divine. De même, tout sport nu, dénudé, slip homme transparent, idem pour toute personne féminine, habit transparent. N'oublions jamais qu'il faut sacraliser le profane et non profané le sacré ! Autre article : Lire...

But du sport ?

Question très délicate de nos jours. Posez cette question à de nombreuses personnes de votre entourage, et vous verrez que peu d'entre elles sauront vous répondre positivement. C'est le mal de notre société actuelle. On ne sait pas pourquoi on fait telle ou telle chose ! Preuve qu'aucun repère n'existe en nous, et à partir de là qu'est-on ? sinon ni plus ni moins qu'un mort ambulant !

Posez de même la question suivante à quelqu'un, jeune, adulte, âgé : Pourquoi tapez-vous dans ce ballon ? Il répondra vaguement, je sais pas... Répondez-lui simplement : Parce qu'il est vide. Et comme votre tête est vide, mon cher ami, c'est pour cela que vous aimez taper dans le vide ! Voyez ensuite sa réponse ou son comportement. Bonne chance !

Les gens d'expérience, à l'instar de Baden Powell, vous diront que les sports dit à plat ont pour but principal de vous apprendre deux choses : 1°) l'esprit d'équipe, et 2°) la disciple. A vrai dire, avec les anciens il y a beaucoup à apprendre mais qui veut, de nos jours, les écouter ?  

Les stades. L'indécence.

L'Afrique, par exemple, ne connaissait pas le sport. Par les médias d'Europe, bibliques, elle sera contrainte de l'admettre dans son espace. De nos jours, fait-il bon d'être joueur sur un stade ? Quand la colère populaire gronde, se déchaîne qui peu l'arrêter ? Quand la passion est prise pour un dieu où peut-elle conduire ? Le dicton populaire ne dit-il pas : il ne faudrait pas prendre ses désirs pour une réalité ? Les médias sportifs, bibliques, n'aiment-ils pas, de notre temps, nous parler encore et toujours des dieux du sport ? De faire, d'encourager la publication de journaux, revues, calendriers, albums, etc., où ces derniers aiment, comme au temps de la Grèce antique, poser nus ?  Même si ceux-ci sont frappés par leur dieu de la foudre, à travers la foudre tombée du ciel, comme en Afrique du sud ; ne restent-ils pas des supers-hommes, dieux ? Alors faut-il parler, dans le monde biblique (croyants & incroyants) des dieux du sport ou du Dieu unique (tout court) de l'Univers ? Posez-vous la question, et peut-être trouverez-vous la réponse...? Et dans l'espace européen, biblique, faut-il parler de nos jours de sport, d'activités sportives ou de commerce ?   

Le sport à notre époque : un bien ou un mal ?

Peut-on parler de sport, note l'observateur, à notre époque, de vraies rencontres et compétitions sportives ou de bisness juteux ? Ventes et achats de sportifs, etc. La question reste posée...

Avis d'experts.

   De l'avis d'un psychiatre qui exerce en Inde, "la société est en train de perdre ses amarres culturelles". Une cinéaste du même pays a tenu ce propos : "La conjonction d'une toxicomanie accrue et d'un vagabondage sexuel grandissant est un signe supplémentaire que l'Inde s'enfonce dans la 'débauche occidentale'." (entendre : du monde biblique de l'Europe de l'Ouest + l'Amérique du Nord).
   Hu Peicheng, secrétaire général de l'Association de sexologie de Chine, à Pékin, fait ce constat : "Avant, dans la société, nous avions une notion du bien et du mal. Maintenant, nous pouvons faire tout ce que nous voulons. "La revue La Chine au présent formule cela ainsi : "La société continue à tolérer l'amour extraconjugal." 
   "On dirait que tout le monde se déshabille et se sert du sexe pour vendre, observait récemment le quotidien britannique Yorshire Post. Ces comportements auraient fait scandale il y a une génération à peine. Aujourd'hui, on est bombardé de partout d'images sexuelles, et la pornographie s'est (...) impatronisée." Le même journal ajoute : "De nombreux écrits ou films autrefois interdits aux moins de 18 ans font maintenant partie des essentiels de la bibliothèque ou de la vidéothèque familiale et, au dire des militants antipornographie, ciblent nettement les enfants." 
   Le New York Times Magazine remarque : "[Des adolescents] parlent de [leurs rencontres sexuelles] avec autant de détachement que s'ils commentaient le menu du jour à la cafétéria." Tweens News, "le guide pour les parents d'enfants de 8 à 12 ans", raconte : "De son écriture enfantine, une fillette avait rédigé ce message déchirant : 'Ma maman insiste pour que je sorte avec des garçons et que je couche avec eux. Je n'ai que 12 ans [...] Aidez-moi !'"
   Comme les temps ont changé ! Il n'y a pas si longtemps, "la simple idée des gays ou des lesbiennes cohabitent au vu et au su de tous était scandaleuse", rappelle le Toronto Star, quotidien canadien. Mais "aujourd'hui, note Barbara Freemen, professeur d'histoire sociale à l'université Carleton (Ottawa), les gens disent : 'Ma vie privée ne regarde que moi. Personne n'a le droit de s'en mêler.' 
   Manifestement, depuis quelques décennies, les mœurs se détériorent rapidement en maints endroits du monde. Et ce fléau touche l'ensemble des communautés religieuses, y compris les gens de l'Islam. Et aux gens d'imiter en cela les Fils d'Israël, des temps anciens. Au début, ils condamnaient le mal, la turpitude, les désobéissances divines... Puis, leur vigueur s'arrêta, ils finirent par tomber dans le péché et imiter les gens pervers et prévaricateurs. La colère divine s'enflamma alors contre eux. (V. Coran). 

   Le Rév. H. R. Gough d’écrire :  « Un grand nombre de notre peuple ne possède guère le sens du péché ; ils peuvent ne pas être actuellement immoraux, mais ils n’ont pas de sens moral. La conscience s’est tellement ternie par une désobéissance continuelle à ses exigences qu’il n’existe plus un sens de bien et de mal. Nous semblons ne plus avoir honte de nos péchés. Lorsqu’un peuple parvient à cet état, le désastre est proche. » (The Watchman, Mars, 1941, p. 93, Londres).
   Au Prophète (sur lui Prière et Paix !) de déclarer : "Assister à une désobéissance de Dieu et la détester, c'est en somme n'y point assister. Mais n'y point assister et aimer cette faute, c'est comme si on y assistait."  Et dans une autre parole : "La malédiction s'abat sur celui qui assiste". Il n'est pas permis non plus de contempler, sans nécessité, des choses blâmables en donnant comme excuse qu'on est impuissant à les faire cesser.

   Oui, on dirait que le monde se déshabille pour mieux accueillir le Faux-Messie tant attendu ! En attendant, son ami le Diable banni se rit d'eux ! Bienvenue, leur dit-il, dans le bûcher infernal qui vous est dressé ! A bon entendeur, Salut !

Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !



[1] Noter cette impolitesse envers le nom de notre saint prophète (sur lui Prière et Paix !).
[2] Ou chapitres. Ce qui est faux.
[3] Sous-entendu qui en dit long…
[4] Et d'ajouter : Une décision qui fait doucement rigoler certains maîtres-nageurs de la Duchère :
   - Leur pudeur ? Tu parles… Dès qu'ils le peuvent, ils grimpent sur les plongeoirs et, de là haut, ils baissent culotte et montrent leurs fesses histoire de faire rigoler leurs copains…"
   (Si cela est vrai, ces gens sont des écervelés. En effet, une fois en groupe, ils en viennent à nous montrer que ce sont des gens peu sortables, peu fréquentables ; et de plus, par cette attitude, ils dénaturent surtout l'image réelle de la religion dont ils sont et se réclament).
   Et d'ajouter encore : "Et l'on aimerait que cette extrême sensibilité quant à l'islam se traduise plutôt par l'observation d'une conduite normale en société. La politesse, le respect, la civilité, les bonnes manières, ça doit se trouver aussi dans le Coran, non ?
   En tous les cas plus sûrement que des consignes théologiques sur le slip de bain… En tout état de cause, une telle sensibilité pudique devrait commander à ces "jeunes musulmans" de ne pas se découvrir - maillot de bain ou boxer - d'un poil.
   Ah, si seulement ces "jeunes musulmans" de Lyon pouvaient inspirer à d'autres "jeunes musulmans" une même rigueur islamique… On éviterait ainsi de retrouver certains "jeunes" d''"origine maghrébine" impliqués dans affaires de drogue, de "tournante", de racket, d'émeutes de rue…
   Maintenant que ces "jeunes musulmans" de Lyon ont obtenu, au nom de leur religion, de porter des boxers, on va voir si leur conduite dans et autour des piscines va s'amender.
   Ce n'est qu'une histoire de slip, dira-t-on peut-être. C'est beaucoup plus que ça : l'installation graduelle mais de plus en plus accentuée de règles qui, dans notre République laïque, sont étrangères à nos mœurs et à notre mentalité. Comme si l'islam nous marquait à la culotte. (Alain Sanders. Op. cit.).
   Nous dirons : L'arabe qu'il soit d'Arabie, d'Afrique ou d'ailleurs, n'a pas droit à l'erreur. Secundo : S'il demande un droit, parallèlement à cela, comme tout le monde ; il a des devoirs à accomplir envers les autres et la société dans laquelle il vit. Troisièmement : Cela ne sert à rien de demander une chose, si une bande d'écervelée veut en profiter ensuite pour y mettre un peu plus la pagaille et y faire sa loi. Quatrièmement : Prétendre que les "règles" de la République laïque prêchent la pudeur, il suffit de se rendre sur les plages en été pour y voir son contraire. De même, aller dans des lieux publics comme les écoles, etc. Dans ces lieux, bon nombre de parents d'élèves de notre confession, constate et se plaigne qu'il n'a pas de pudeur en ces lieux, et de plus n'y est même pas enseignée ! La mixité, pour les enfants mineurs, ne se retrouve-t-elle pas dans les lieux d'aisance ? Apprend-t-on à l'enfant d'aller aux toilettes, puis de fermer la porte derrière lui ? Ou fait-il ses besoins devant tout le monde ? Copains et copines de classe ? Pour des soucis d'économie, que ferait-on pas ? Après cela, comment oser dire que nos enfants sont et seront des modèles d'éducation ? Quatrièmement : C'est le mal et faire le mal qui doit être présenté comme "étranger à nos mœurs et à notre mentalité". Non la religion en soi. La religion biblique ou la religion coranique ne sont pas opposées en ce qui concerne la pudeur, sa pratique et sa mise en application. Oui, le Coran prêche la politesse, le respect, la civilité, les bonnes manières en société. Dans le cas contraire, ce n'est pas lui à mettre en cause, mais celui ou celle qui refuse de l'appliquer à la lettre. A lui-même. Encore une fois ne faisons pas l'amalgame entre arabe, d'une part, et musulman d'autre part. Ou nord-africain, d'une part, et musulman d'autre part. Cinquièmement : Si des gens se sentent gênés par notre façon de vivre, nous dirons : qu'ils n'adorent pas ce que nous nous adorons, et nous nous n'adorons pas ce qu'ils adorent. A eux, leur religion, et à nous la notre. 
[5] Ou port du bermuda. Habit non moulant, allant du nombril jusqu'à mi-jambe ou plus. Pratique l'izar (en arabe ou longui (ourdou)), sorte de pagne. Le torse peu rester nu. Pas besoin de chaussures ou chaussettes aux pieds. La jeune fille pubère et la femme devront avoir un vêtement qui cache l'ensemble du corps. Des personnes du sexe féminin n'est pas permis par la jurisprudence. Contrairement à d'autres religions.

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Cette page a été mise à jour le 17/06/10 .

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