Sectarisme

PROPHÈTES, PROPHÉTIE, HISTOIRE. 

Selon la Tradition.

Au nom de DIEU, Allaha,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Le Najd. Terre de sédition ?
نجد. أرض الفتنة ؟
Mise en garde !


    Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Suite Page 19

  • La fausse doctrine des gens de Mohammad le Najdite et de Mohammad fils de Sa'oud. La fausse interprétation du Monothéisme. L'inimitié et la haine du Salafisme envers le sceau de la Prophétie. Témoignage.

   A ce sujet, on nous décrit, en 1810, que les nouveaux endoctrinés n’ont rien de gens de bien, d’anges, de gens vertueux. Qu’on en juge :

   "Le nouveau schekh[5] conserva avec soin le dépôt que son père lui avoit (avait) laissé, et ne souffrit pas que sa doctrine éprouvât aucune altération. Cette doctrine se réduit à un seul dogme, l’existence et l’unité de Dieu. Quoique les Wahabis admettent une révélation, cette révélation ne leur enseigne pas ce dogme même. En adoptant la profession de foi des mahométans[6], il n’y a de Dieu que Dieu, et Mahomet (Mohammad) est son prophète ; ils en ont retranché la dernière partie, et l’ont réduite à ces paroles : Il n’y a de Dieu que Dieu. Aussi ont-ils été regardés[7] comme purs déistes[8], et quelques voyageurs ont prétendu faussement qu’ils n’admettoient (n’admettaient) que la religion naturelle[9].

   La principale différence entre les musulmans et les Wahabis consiste dans leur opinion sur la nature de Mahomet (Mohammad). Les premiers le regardent comme un prophète, les autres comme un sage[10]. Cette différence peut sembler assez foible (faible), pour qu’il soit facile de les réunir ; mais en matière de religion, les sectes sont d’autant plus éloignés par la haine, que leurs opinions les rapprochent d’avantage[11]. Les Wahabis ont donc les musulmans en horreur[12]. L’intolérance, à leur égard, est un précepte de leur loi ; ils l’exécutent à la rigueur. Le massacre d’Imam-Hussem[13] est peut-être l’excès le plus violent auquel le fanatisme[14] ne soit jamais porté[15]."

   Remarques.

   Les gens se réclamant de Mohammad le Najdite mettent (apparemment) l’accent uniquement sur cette première partie de la formule du témoignage. Ceci suite, et toujours selon eux, à l’état des Bédouins en terre d’Arabie à l’époque. Pour les gens de la nouvelle doctrine, on ne devra parler aux Bédouins que d’une chose d’actualité à l’époque : l’Unicité de Dieu ! Et cela plait (plaira) aux Bédouins ! Ce qui signifie, dans un deuxième temps, que toute allusion aux deux Ecoles du Monothéiste existantes est nulle et non avenue ! Une nouvelle doctrine étrangère à l’Islam traditionnel fera son apparition, en terre d’Arabie, à travers ce groupe déviant. Ainsi, l’Anthropomorphisme sera[16].
   Quant à la deuxième partie de la formule du témoignage, de nature leur chef doctrinal et religieux Mohammad le Najdite ne montre aucun signe apparent d’aimer le sceau de la Prophétie. Se rend-il sur sa tombe, c’est pour mieux la frapper avec son bâton[17], nous dit-on ! Secundo : Commence-t-il un ouvrage, c’est pour y omettre volontairement la mention et les salutations d’usage sur le Prophète (صلى الله عليه وسلم) ? On a dit :

L’aversion que l’on prête à Ibn ‘Abd al-Wahhâb envers le Prophète Muhammad est, « peut-être » exagérée, cependant certains indices témoignent d’un certain dédain vis-à-vis de sa Personne (صلى الله عليه وسلم). En effet, tous les livres des auteurs musulmans débutent invariablement par la mention du Nom d’Allâh (basmala) suivi de la prière sur le Prophète, sa Famille et ses Compagnons. Tous les livres, sauf les siens ! Dans le fascicule Kitâb attawhîd, nous lisons[18] : « Kitâb at-tawhîd, Au Nom d’Allâh, le Clément, le Miséricordieux, Allâh a dit […]. » Dans al-Usûl ath-thalâthâ et le Kashf ash-shubuhât : « Au Nom d’Allâh, le Clément, le Miséricordieux, sache que […] ». Dans le Shurût as-salât : « Au Nom d’Allâh, le Clément, le Miséricordieux, les conditions de la prière sont […] ». Dans Al-Qawâ‘id al arba‘a : « Au Nom d’Allâh, le Clément, le Miséricordieux, je demande à Allâh […] ». Quant à ses dévots, ils se contentent d’une simple profession de foi. (Op. cit.).

      Conclusion.

   Comment dire après cela qu’il est (était) une personne qui aimait le Prophète en son coeur ? Quant on sait très bien que dans la formule de Témoignage[19] : "Point de Dieu que Dieu et Mohammad est Son Messager", la première partie et intimement liée à la seconde selon les Savants. Et de plus, notent encore les Savants, l’avare n’est-ce pas celui qui, s’il a entendu qu’on prie sur le Prophète (صلى الله عليه وسلم), refuse de prier sur lui, de faire de même ? Pourquoi mentionner dans les écrits la première partie en négligeant la seconde ? Que recherche l’auteur des articles ledit Mohammad le Najdite ? Qu’on s’abstienne de prier sur le Prophète (صلى الله عليه وسلم), que comme lui on montre son avarice, le peu d'amour sincère qu’on lui porte ?
   Pour tout homme censé, et si telle est la description de ce piètre personnage[20], s’écarter de lui à tout jamais devient obligatoire pour tout Croyant soumis, sincère, pratiquant. De même d’acheter, de lire et d’étudier ses ouvrages… Et tous les ouvrages de ses adeptes, du Salafisme en général (ibn Taymiya, son élève ibn Qayim aljaouzi, ibn Baz, Othaimin, pour ne citer qu'eux). Encore une fois : "Point de Dieu que Dieu" et indissociable de "Mohammad est Son Messager". Faire et attester son contraire, n’est-ce pas encourir la Colère divine ? Avoir une foi boiteuse, douteuse !? 
   Et dans la foulée, un homme de lui emboîter le pas. L’Albanais Mohammad Nâsiraddîn, lui, va se donner aussi, auprès de ses partisans, des talents de réformateur de son temps[21] ! Dans son livre, par exemple, de "caractéristique de la prière sur le Prophète[22]", en page 19 de ce livre (en prenant au passage le propos tenu par le fils de Mas'oud) ; à lui de recommander à ses partisans (de dire lors de leur formule de témoignage[23]), et entre autre dans leurs prières quotidiennes :
   "as-salamou 'ala an-nabiy" (السلام على النبي), en lieu et place de[24] : "as-salamo alayka ayoha an-nabi" (السلام عليك أيها النبي) ! Différence notoire ! Mais pourquoi ce mode de préférence ? Voudrait-on détacher le Prophète de ses Compagnons dans cette manoeuvre et interprétation tendancieuse ? 
    Il est vrai que pour le monde du Salafisme, il y a bon nombre de choses[25] courantes qui ne passent pas pour ce groupe déviant, qui leur reste en travers la gorge, dit-on. Parmi elles, aux Savants, historiens, chercheurs, commentateurs, de noter :

   1 - Le fait de dire : ‘ô’ (يا) Prophète ! ô (يا) Messager de Dieu ! Dire : «يا رسول الله - Yâ rassoul Allah », par exemple, ne passe pas pour une personne du Salafisme ! De même : Ya Mohammad ! Idem pour le monde des Saints de l'Islam. Le monde du Salafisme ayant un doute sérieux concernant leurs possibilités et leurs dons - كرمات الاولياء
 
    2 - Aussi : L’emploi de (آل محمد) est-il considéré par ces gens et leurs maîtres vénérés comme propriété exclusive du monde chiite[26]. Par contre, que dire de l’emploi de (آل)[27] dans la famille de Mohammad fils de Sa’oud ? Quelle signification faut-il donner[28] ?

   3 - De même : L’emploi de superlatifs ne passe pas du tout.

   Pour les radicaux musulmans, faire précéder le nom du Prophète des superlatifs Sayyidinâ [seigneur] ou Mawlânâ [maître], est une innovation pernicieuse, voire de l’associationnisme (shirk). Ils considèrent que le vénérer et penser qu’il y a en sa Personne () et ses effets personnels une bénédiction (baraka) est du shirk, que rechercher cette bénédiction (tabarruk) et se rendre sur sa Tombe sont des innovations et du shirk. (Op. cit.)

   4 - Destruction de reliques, vestiges. On comprend pourquoi le monde du Salafisme donne une importance primordiale de détruire, au passage, toute chose ayant appartenu au Prophète (صلى الله عليه وسلم)[29]. Ayant un rapport direct avec lui ou sa descendance.
   Les descendants des Ottomans ont su garder les lieux et de nombreuses choses ayant appartenues à la famille du Prophète (صلى الله عليه وسلم) mais que les gens du Salafisme voudraient bien récupérer pour mieux les détruire ! Eux et leurs politico-religieux ! Ils ont déjà à leur actif de nombreuses destructions en terre d’Arabie, aux Lieux saints.
 
   5 - Et aussi de rappeler la naissance du Prophète. Les gens du Salafisme en agissant comme ils agissent semblent répondre d’une part aux gens du Chiisme[30], une secte comme eux, et d’autre part aux gens de l’Évangile[31]
   Nous savons tous que là où existe une forte communauté de gens du Chiisme, ils n’hésitent pas à montrer aux gens de l’Islam traditionnel qu’ils existent. Notamment à travers leurs fêtes à de nombreux personnages de leur communauté. Et à eux de prétendre, à tort, qu’ils manifestent là, et à travers ces différentes manifestations ; leur amour véritable pour le Prophète (صلى الله عليه وسلم) et l’ensemble de sa famille dont celle d’Ali et de Fatimah (رضى الله عنهما) !
   Ainsi, faire un "Rappel" de sa naissance, n’est-ce pas pour eux[32] leur faire de l’ombre ? La supprimer ne peut donc que les ravir et montrer par là que ce sont eux les véritables défenseurs des valeurs prophétiques ! Et les esprits faibles finiront par croire qu’ils ont raison !
   Pour les gens de l’Évangile, fêter[33] Noël comme il se doit, représente pour eux tout un symbole. Et malgré les tentatives des gens[34] de la Mécréance et de l’Athéisme, de la Philosophie et de l’Idéologie, du Sécularisme et du Laïcisme, de l’Antithéisme et de la Théophobie, aucun d’entre eux n’a pu supprimer cette fête[35].
   Quand Noël apparaît, le monde de l’Évangile est en ébullition, un air de fête se fait sentir dans l’air. Tous y participent à des degrés différents[36] toutefois. C’est le jour de la naissance du fils de Mairie et aussi, en pareille occasion, la fête[37] des enfants[38] du monde de l’Évangile.
   Rappeler (et non fêter[39]) le jour de la naissance du Prophète (صلى الله عليه وسلم) ne peut que faire de l’ombre aux gens de l’Évangile. Voir disparaître ce Rappel comme le prône ouvertement le groupe déviant du Salafisme ne peut que les ravir[40] !
   En terres bibliques d’Europe, on a vu des choses incroyables et surprenantes de la part des gens du monde arabe notamment. Dans les années qui ont vu l’indépendance de certains pays arabes, bon nombre de "colonisés" ont cru bon de suivre les colons et de venir s’installer sur leurs terres et être ainsi plus prêts de leurs ‘amis’[41] d’antan…
   Parmi eux des gens de tout âge, des gens peu pratiquants de leur Culte ou pas du tout. Ne connaissant absolument rien de leur Culte et surtout de leur Prophète ! L’ignorance couvait, l’insouciance et l’inconsciente aussi ! Ce qui ressemble, d’une certaine façon, à l’époque de Mohammad le Najdite. Ainsi, à eux de participer activement aux fêtes religieuses des gens de la Bible d’alors et de leur temps. On fêtait Noël, l’arbre de Noël était là ! On fêtait le jour de l’an du monde de l’Évangile comme on le fête toujours de nos jours. Mourrait-on, on se faisait laver par les gens de l’Évangile et enterrer entre leurs morts, souvent les pieds en direction de la Ka’bah, mais peu importe ! Le vin coulait à flot et manger "licite" était complètement inconnu au bataillon ! Le mal, la turpitude et le blâmable de suivre…
   Dans l’Islam traditionnel, il existe que deux fêtes traditionnelles : la fête de la Rupture du Jeûne et la fête de l’Immolation. Mais, comme note l’observateur, en terres bibliques d’Europe sont-elles là, aucun air de fête[42] existe dans l’air !? Les Arabes en terres bibliques d’Europe d’Afrique et d’Afrique du Nord notamment sont froids comme la glace, devenus froids comme le vent du nord ! Refroidis par le temps, note l’observateur ! Par contre, ils semblent chauds quand il s’agit de participer à des manifestations[43] du monde biblique qui les entoure[44] !
   Le monde du Salafisme, dit-on, néglige voir combat violemment tout rappel de la naissance du Prophète. Par contre, pour leur gourou de la secte du Najd, dit-on, dix jours de fête au moins lui sont attribués d’office ! On croit rêver, note l’observateur ! Là, un homme du commun est élevé, et dans un même temps, un homme prophète abaissé, honni ; à l’instar de ce qu’a fait, naguère, le monde toranique envers ses prophètes ! Comment après cela, le monde du Salafisme peut-il prétendre aimer le sceau de la Prophétie (صلى الله عليه وسلم) ? Qu’il le prouve, clame l’écho ?
    On notera que les gens de la Synagogue et de la Torah pensent, eux, que valoriser leurs fêtes religieuses est un bon moyen pour échapper à l'assimilation. C'est affirmer et garder aussi une certaine identité. Dans la Religion divine, la Soumission, c'est obéir au Créateur et à Son prophète (صلى الله عليه وسلم). Ces fêtes étant d'institution divine. Quant au rappel et la commémoration de certains évènements et faits historiques de l'Islam, cela n'a nullement un caractère blâmable ou d'interdiction absolue. Étant entendu que le Prophète et ses Compagnons ont, auprès de leur Créateur, un degré que chaque fils d'Adam leur envie et il est bon de le rappeler temps à autre. Et l'Islam en tant que religion officielle du Créateur n'est ni extrémiste ni laxiste, c'est plutôt la voie médiane pour tout Soumis croyant, sincère et pratiquant.

   6 - Autre point d’achoppement. Là où le Prophète (صلى الله عليه وسلم) est enterré, c’est devenu un sujet de verse et de controverse (après l’agrandissement notamment de la Mosquée prophétique). Certains du monde du Salafisme n’y prient plus ! Certains ne vont-ils pas jusqu’à demander de sortir le corps du Prophète (صلى الله عليه وسلم) de sa maison[45], là où il est enterré ; à l’instar de leurs maîtres vénérés comme Muqbil et l’Albanais, Mouhammad Nâsiraddîn[46] pour ne citer qu’eux ! Que Dieu les détruise !

    7 - Enfin, le summum de l'absurdité du monde arabe sera atteint par l’éviction pure et simple de Hu
ssein fils d’Ali[47], chasseur de primes à la solde du monde biblique anglophone, note l'observateur. Un chasseur en chasse un autre, clame l’écho ! Et à ce vassal d’être chassé deux fois dans sa vie : 1) à cause de sa descendance[48], 2) il n’était pas le "poulain" du monde biblique anglais de l’époque. Prix de sa fourberie[49] et de son affairisme, note l’observateur. Par sa cause, la Mécréance entrera en terre d'Arabie, l'unité de la Communauté sera brisée, rompue. Les Lieux saints et une partie de la terre de Châm passera sous occupation, le commandement et le contrôle du monde de la Synagogue et de la Torah. Il détruira l'héritage de sa descendance, de la Prophétie et de l'effort des Compagnons. Et depuis cette date combien de morts au Châm ? Pourquoi ? Et à son compagnon de route Abdelaziz ben Abderrahmane Al Saoud de le suivre aveuglément. L'un comme l'autre, pour des buts bien différents certes, mais peu recommandables au regard de la logique de la foi et de la Loi, note l'observateur. En réalité, tous deux n'ont-ils pas permis au monde biblique d'alors de détruire l'unité du monde islamique et de faire croire à leur monde : pas de salut pour le monde de l'Islam sauf "avec" le monde de la Bible (toranique & évangélique) ? Aurait-on changé, demande l'observateur, la formule du Témoignage : "Point de Dieu que Dieu et Mohammad est Son Messager" par : "Point de Dieu que Dieu" (soit la deuxième partie ici) par : "le monde biblique source de notre salut dans ce monde et dans l'autre" ? Avec le monde arabe et ses dirigeants, note l'observateur, il faut s'attendre à tout car avec eux on est à l'abri de rien à notre époque ! A bons entendeurs !

    Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. En ourdou, les dourouds.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Mohammad le Najdite ne suivra ni son père ni son frère… dans l’enseignement religieux. Son maître par excellence sera le très vénéré Kurde : ibn Taymiya qui fondera lui-même une secte qui portera son nom et laquelle sera affiliée au Salafisme par ses disciples et adeptes. Homme qui détestera les « Saints » de l’Islam traditionnel du plus profond de son cœur. Lui, ancien adepte pourtant d’une tariqah (chemin) des gens du Rappel (اهل الذكر) ! Lui qui cherchera, dit-on, a être enterré auprès du Cheikh ibn Araby (que Dieu lui fasse miséricorde !) à Damas. Auprès des gens de bien, des « Saints » de l’Islam traditionnel, de ceux qu’il a détestés et fait détester durant toute sa vie ! Quelle ignominie !
   Enfin, il serait bon de nous informer si ses adeptes, amis, sympathisants l’ont vu en rêve après sa mort ? Il est vrai, notent les Savants, que lui et les gens des « tombeaux » ne semblaient pas être amis de son vivant à l’instar de son adepte après lui ‘Mohammad le Najdite’ !
[6] Ou gens de l’Islam. Naguère mot employé par le monde biblique francophone, les personnes hostiles au Prophète parlaient ainsi de lui.
[7] On va chercher à leur donner une étiquette précise, à les classer par rapport au Monothéiste qu’ils prétendent défendre. Vu que ceux-ci en font leur appel (دعوة) de base.
[8] Déistes = Sabéens. On a dit : Le déisme, du latin deus (dieu), est une croyance ou une doctrine qui affirme l'existence d'un dieu et son influence dans la création de l'Univers, sans pour autant s'appuyer sur des textes sacrés ou dépendre d'une religion révélée. Pour la pensée déiste, certaines caractéristiques de Dieu peuvent être comprises par les facultés intellectuelles de l'homme.
   Le déisme prône une « religion naturelle » qui se vit par l'expérience individuelle et qui ne repose pas sur une tradition écrite. Pour certains déistes, on peut avoir une relation avec Dieu mais elle est directe (notamment par la contemplation). Il s'agit par conséquent d'une croyance individuelle et irréligieuse.
   Les déistes rejettent la plupart des événements surnaturels (prophétie, miracles) et affirment en général que Dieu (ou « l'Architecte suprême ») a un plan pour l'Univers que Dieu n'altère ni en intervenant dans les affaires humaines, ni en suspendant les lois naturelles qui régissent l'Univers. Le déisme n'est donc pas un théisme. Ce que les religions structurées voient comme révélation divine et livres saints, la plupart des déistes le voient comme des interprétations faites par l'homme, plutôt que par une source faisant autorité. (fr.wikipedia.org)
[9] Ce qu’ils admettent, bien qu’ils prétendent êtres de vrais monothéistes, à qui veut bien les entendre, c’est uniquement la voie et la doctrine nouvelle (منهاج) proposée par les nouveaux arrivants (ibn Taymiya, Mohammad le Najdite, etc.). Ce qui est vrai. Bien qu’on se réclame de l’Islam, ce groupe sera reconnu par les Savants comme un groupe déviant, dissident. Quant à la ‘raison’, elle semble leur faire cruellement défaut, note l’observateur. Et dans leur façon de raisonner, le raisonnement, on peut voir combien ils sont faibles et illogiques par nature…
[10] Point important.
[11] Point important.
[12] Déjà à cette époque lointaine, on faisait cette remarque importante. Deux noms signifient automatiquement deux choses bien différentes sinon le groupe dissident, déviant, n’aurait pas reçu ce nouveau nom. Le prophète Abraham (sur lui la Paix !), de qui vient ce nom "soumis", n’a pas donné d’autre nom à ceux qui suivent véritablement la Religion divine. Ici, c’est le problème du vrai Monothéisme que les Wahabis contestent dans sa forme et ses croyances. Et Abraham d’être le père du Monothéisme, le vrai.
   En attaquant de front et en excluant d’office de la Religion divine les gens du Rappel (اهل الذكر), les Saints (أولياء), les pères du Salafisme ancien et moderne, sont tombés de haut. Ils se sont exclus eux-mêmes de la Religion divine. Ainsi, la peine infligée de la part de leur Créateur : ils n’auront pas accès à Sa vraie connaissance, à Son trône. De ce fait, ils tomberont dans l’Anthropomorphisme (التجسيم), la Corporéité (الجسدية), donneront à leur Créateur une direction (جهة) bien distincte : le haut (les tayminites). Se référant pour cela, et comme les sectes anciennes, à une interprétation erronée et fallacieuse du Texte coranique et de la Tradition.
[13] Le petit-fils du Prophète (صلى الله عليه وسلم), fils d'Ali et de Fâtimah ().
[14] Venant du monde arabe lui-même à l’époque.
[15] Voir l’ouvrage : Histoire Des Wahabis. Depuis Leur Origine Jusqu'a La Fin de 1809. Par Louis Alexandre Olivier De Corancez.
   Cet ouvrage apporte et donne un aperçu de ce groupe déviant dès 1810.
[16] Bien qu’ils refuseront de le reconnaître. Pourtant, pour les Savants, les adeptes du Salafisme, ancien et moderne, ne sont rien d’autre que cela !
[17] Le docteur Jawâd Mashkûr précise : « […] On rapporte même que M. Ibn ‘Abd al-Wahhâb se rendait sur la Tombe du Prophète et qu’il frappait dessus avec son bâton en disant : « Ô Muhammad ! Lève-toi si tu es vivant ! » Qu’Allâh nous préserve de cela, afin de démontrer à ses adeptes, que [contrairement au hadith : « Les prophètes sont vivants dans leurs tombes (Abû Ya‘lâ) »] Muhammad était bien mort et que par conséquent il était inutile de s’adresser à lui. » (Jawâd Mashkûr. Al-firaq al-islâmiyya, page 523.).
[18] Reste une question : Est-ce bien lui qui a écrit ces ouvrages ou lui a-t-on dicté ? Ou ont-ils été écrits par ses disciples de son vivant, sous sa dictée, ou après sa mort ? Mystère ! Une chose est sûre, il était l’agent et le sbire du service biblique anglais de l’époque, de leur service secret !
[19] Ou la bonne parole : (لا اله إلا الله محمّد رسول الله).
[20] Et dire après cela qu’il était un homme bien guidé ? Un Imam et un Savant de la Communauté mohammadienne ? Permettre qu’il soit élevé à un pareil grade ? Et comment accepter qu’en mentionnant son nom, le faire suivre par : "que Dieu lui fasse miséricorde !" N’est-ce pas, au contraire, s’attirer la Colère divine ? Comment employer sur lui (pour lui) ce qu’il a refusé pour le Prophète lui-même ? Et comment prier sur lui alors qu’il s’est égaré et a égaré les gens à son époque jusqu’à ce jour ? A formé dans sa foulée, notent les Savants, des gens extrémistes, radicaux, insociables, invivables, brutaux, sanguinaires, violents, amoureux de ce bas monde, pilleurs, menteurs dans tous les domaines, n’acceptant aucune remarque et recommandation d’autrui ! ?
[21] A l’instar des Dignitaires du monde biblique, note l’observateur !
[22] "sifat as-salat an-Nabi".
[23] En fin de prière et en position assis à même le sol, on récite la formule du Témoignage (تشهد). Exemple :

1 ( البخاري ومسلم ) ( تشهد ابن مسعود : قال :
(
علمني رسول الله صلى الله عليه وسلم التشهد - [ و] كفي بين كفيه - كما يعلمني السورة من القرآن :
(
التحيات لله والصلوات والطيبات السلام عليك أيها النبي ورحمة الله وبركاته السلام علينا وعلى عباد الله الصالحين [ فإنه إذا قال ذلك أصاب كل عبد صالح في السماء والأرض ] أشهد أن لا إله إلا الله وأشهد أن محمدا عبده ورسوله ) [ وهو بين ظهرانينا فلما قبض قلنا : السلام على النبي

1) Du fils de Mas'oud :
   Il a dit : le Prophète m'a appris le Tachahhoud - et mes mains étaient entre les siennes - comme il m'apprenait la sourate du Coran : "Les salutationsque la paix soit sur toi ô Prophète...
[Nous disons cela de son vivant, mais une fois décédé nous dîmes : السلام على النبي] : "Que la paix soit sur le Prophète." (Rapporté par Al Boukhari, Muslim, Ibn Abi Chaybah (1/90/2), As Sarraj, Abu Ya'la dans son Musnad (258/2) et il est référencé dans al Irwa' (321)).
[24] "Le salam sur toi, ô Prophète" est invalidé pour tout salafite ! Validé plutôt : « Le salam sur le Prophète ! ». Étonnant pour une personne qui prêtant ne suivre que le Prophète par nature et délaisse tout compagnon ! Ici, on note que le Prophète est bien relégué au second rang !
   Le Salafisme, en vérité, joue avec les mots et la religion. Il modèle sa pensée selon son ego, notent les Savants.
[25] Par la grâce divine, le divin Créateur a manifesté de nombreuses personnes parmi les hommes de science qui ont pu répondre et réfuter les allégations mensongères et calomnieuses du groupe déviant du Salafisme.
[26] Exemple : Discours de gens salafites comme Saleh Faouzan. Son discours n’est qu’un prétexte pour défendre une famille qu’il porte en son cœur : Mohammed ben Saoud ben Mohammed Al Mouqrin — en arabe : محمد بن سعود بن محمد آل مقرن —.
   Nous savons tous que la secte du Salafisme ne porte pas en son cœur la secte du Chiisme et vis versa. Et voudrait bien que le monde islamique se range à ses côtés. Et de plus, note l’observateur, ce n’est là qu’un prétexte pour faire (ou renouveler au passage, et dans les temps qui courent) l’allégeance portée à une famille régnante en terre d’Arabie, rien de plus rien de moins. Nous savons tous que le monde du Salafisme qui opte avec le monde biblique anglophone (toranique & évangélique) pour une confrontation directe, une solution militaire, avec toute personne du Chiisme ; voudrait en clair entraîner le monde de l’Islam traditionnel, les gens de la Tradition et du groupe, dans un conflit qui n’est pas le leur. Et de plus, profiter par là pour se présenter comme étant leurs défenseurs, qu’ils défendent le monde de l’Islam traditionnel, les gens de la Tradition et du groupe - أهل السنة والجماعة ! Mais qui peut croire, note encore l’observateur, à de tels gens qui mentent comme ils respirent du matin jusqu’au soir, répandent le sang et le désordre sur terre avec les gens de la Bible dont leurs gens se réclamant d’entre eux du Sécularisme ? Comment dans un problème intérieur au monde islamique peut-on faire appel au monde biblique (toranique & évangélique) ? Comment oser ? Les leçons du passé ne suffisent-elles pas au monde arabe et ses dirigeants politico-religieux ? Si les gens du Salafisme ont de sérieux problèmes avec les gens du Chiisme, les Noçairites du Châm ou d’ailleurs, qu’ils aillent seuls régler leurs problèmes avec eux. Non, nous n’avons pas à manger de ce pain là et ce n’est pas non plus notre tasse de thé, notent les Savants ! N’en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux adversaires et opposants de la Religion divine : la Soumission !
[27] Exemple : Mohammed ben Saoud ben Mohammed Al Mouqrin — en arabe : محمد بن سعود بن محمد آل مقرن — ou Ibn Saoud (1710 – 1765), est le patriarche de la dynastie des Al Saoud et le co-fondateur avec Ibn Abdelwahhab du premier État saoudien au milieu du XVIIIe siècle.
   Ou : Abdelaziz ben Abderrahmane Al Saoud, dit Ibn Séoud parfois écrit à l'anglaise Ibn Saoud, en arabe : عبد العزيز بن عبد الرحمن آل سعود), le fondateur du troisième État saoudien.
[28] Ils ressemblent aux gens du Noçairisme (ou Alévites, Alaouites). Les gens de la Bible de France leurs donneront, dit-on, un autre nom voulu par eux : Alaouites en place de noseïris ou nusayris (nuṣayrī, نصيريّ, nusayrite), ou ansariyas sont un groupe ethnique et religieux issu du djebel Ansariyya au nord de la Syrie. A leurs yeux, Ali (رضى الله عنه) est un homme important pour eux, une sorte de demi-dieu, dit-on.
   On a dit : Les Alaouites (ou alawites) également appelés noseïris ou nusayris forment une branche du chiisme et vivent principalement en Syrie. On en trouve aussi dans le sud de la Turquie, près de la frontière syrienne et à Tripoli au nord du Liban. (fr.wikipedia.org) Ne pas confondre avec les Alaouites du Maroc. Aucun rapport. Les Alaouites, Alévites, se rattachent, dit-on, au Chiisme. Non à l’Islam traditionnel.
   L’Alaouite Hafez Al-Assad et ses suivants, adeptes et gens du parti au pouvoir, ne permettaient pas, dit-on, que quelqu’un d’autre s’appelle comme lui "Hafez" ! La personne pouvant éventuellement porter ce nom était invitée à le changer obligatoirement (sauf s’il était alaouite). Et le service secret intérieur, la police secrète, l’armée, le parti, etc., étaient invités à mettre en application sur le champ le changement de nom ou de prénom de l’individu. Et combien, dit-on encore, mourront pour avoir récidivés ou avoir émis un avis contraire…
   En Syrie, l’homme de l’Islam traditionnel devait éviter de porter comme nom "Hafez" de peur de perdre son âme, note l’observateur. Le culte de la personnalité est très présent en Syrie (au temps d’Hafez el-Assad) et cela suite à la présence du régime en place et de son parti unique qui se veut (voulait) être un parti nationaliste, socialiste, arabe.
   Nous savons tous que le national-socialisme-communisme (d’obédience yéhudie) a développé le culte de la personnalité en place du Culte divin ! A l’instar de Nemrod ! Et au monde arabe et ses dirigeants de leur emboîter le pas après leurs indépendances. Ainsi verrons-nous apparaître ce ‘culte’ rampant de l’Algérie en Irak. En Europe, bon nombre de gens d’Afrique du Nord (Arabes, Berbères, Kabyles) ne prendront-ils pas fait et cause pour le national-socialisme-communisme et ses dérivés jusqu’à nos jours ? Certains ne militent-ils pas au sein de ces partis ? Se disent gens engagés aux côtés des gaouris !
   Enfin, en Arabie, même son de cloche. La famille régnante de Mohammad fils de Sa’oud, à travers le Wahhabisme, ne semble pas tolérer, elle, l’emploi du vocable « famille » (آل مقرن) au coté de la sienne, autre que pour elle. Pourtant… En clair, voudrait-on l’affiler à la famille du Prophète (صلى الله عليه وسلم), la mettre sur un piédestal plus élevé ? Là est le mystère, note l’observateur.
   En vérité, combien le Seigneur des mondes est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[29] Lire…
[30] Leur calendrier commémore de nombreuses fêtes.
[31] Pour certaines sectes, Noël occupe une place central.
[32] Chiisme et gens de l’Évangile.
[33] Suivant les calendriers et la secte qu’on dit se réclamer, la date peut varier. Ajouter à cela, la crèche de Noël et le sapin de Noël selon la secte qu’on se réclame du christianisme.
[34] D’entre eux.
[35] Le monde de la Torah n’aime pas deux fêtes du monde de l’Évangile : Noël et Pâques. Et en ces jours, les gens de la Synagogue de prescrire pour leurs adeptes certaines choses à faire. Tant ces fêtes sèment le trouble chez bon nombre d’entre eux ! Et à eux dans les écoles de partir en guerre contre le sapin de Noël à l’école ou sur le lieu de travail, note l’observateur.
   Pour les gens de la Synagogue et de la Torah, l’accent doit-être mis sur une fête d’institution rabbinique qui prend de l’ampleur à notre époque auprès de bon nombre de pays ou gouvernements bibliques, évangéliques : Hanoucca (hébreu חג החנוכה Hag HaHanoukka, « Fête de l'Édification » ou « de l'Encénie ») est une fête juive d'institution rabbinique, commémorant la réinauguration de l'autel des offrandes dans le second Temple de Jérusalem, lors de son retour au culte judaïque, trois ans après son interdiction par Antiochus IV des Séleucides.
   Elle marque une importante victoire militaire des Maccabées et symbolise la résistance spirituelle du judaïsme à l'assimilation grecque. (fr.wikipedia.org)
   Et de nos jours, elle marque, note l’observateur, une importante victoire face au monde évangélique dont religieux et symbolise la résistance spirituelle du judaïsme à l'assimilation évangélique.
[36] Religieux et laïcs font la paix ce jour-là. Surtout en milieu européen biblique. De plus, il faut faire plaisir aux enfants… en ce jour !
[37] Cette fête a perdue en l’Hexagone beaucoup de son intensité. La raison : Le Laïcisme et ses adeptes, l’entrée de l’Islam dans la sphère religieuse.
   1789. Les ennemis de la Royauté et de l’Église sont là. Parmi ses ennemis déclarés, les gens d’Hiram et le monde de la Synagogue et de la Torah qui feront tout pour détacher le monde évangélique de l’Hexagone de Rome, du Vatican, leur centre religieux en terres d’Europe bibliques. Cette soi-disant ‘révolution’ va enfanter une nouvelle religion : le Laïcisme. (Lire… sur ce sujet, Lire…). Les gens d’Hiram, considéré comme le bras droit du Yéhudisme ont pour religion le Nohachisme. Religion fondée par le monde de la Synagogue pour toute personne n’étant pas de confession yéhoudie, d’une de ses sectes. Une façon comme une autre de détruire les gens de l’Évangile et de faire barrage à la propagation de l’Islam, note l’observateur.
   Dans le Laïcisme, il est vrai, note encore l’observateur, qu’il existe une véritable chasse aux sorcières contre le religieux datant de 1789. Les vieux démons ressortent, clame Lucifer en transes ! Et des lois tombent sur les contrevenants comme les grêlons ; elles sont là, dit-on encore, pour mieux combattre tout récalcitrant à l’Architecte Lucifer (que Dieu le maudisse !) ! La plupart d’entre eux étant considérés par leurs opposants comme : anticléricaux, xénophobes, théophobes, antithéistes, matérialistes, athées, incroyants, sans religion, intellectuels, philosophes, rationalistes (adorateurs de leur cervelle), agnostiques, gens du Partissisme… La liste est longue… La France n’apparaît-elle pas à notre époque comme un pays où l’Athéisme se développe à grands pas et où Lucifer et son armée, ses sbires diables et humains sont particulièrement actifs ?
   La sphère religieuse. Là où existe une présence plus ou moins importante de gens de confession islamique (et surtout pratiquante) ; cette fête perd nécessairement de son intensité, de sa valeur. De publique qu’elle était, elle reste limitée au domaine privé, à ceux se réclamant du monde de l’Évangile. Pourtant, le monde islamique a pour habitude de respecter les fêtes du monde biblique (toranique & évangélique), sans pour autant, il est vrai, d’y participer. Le monde des Croyants soumis et pratiquants se gardent bien d’y participer, le fils de Marie étant né à une date perdue du monde évangélique. La date (ou les dates) actuelle(s) étant d’institution religieuse du monde évangélique.
[38] Même si à notre époque, notamment pour partie des gens de l’Évangile d’Europe, cette fête a perdue de sa valeur spirituelle pour être une fête matérielle, qui fait marcher le commerce.
[39] Au sens que le font les gens de l’Évangile.
[40] Ils pourront ainsi mieux les évangéliser, comprennent-ils !
[41] Pour mieux s’imprimer de leur culture, de leur savoir faire, de leur façon de vivre au quotidien, pour mieux partager avec eux leur pain, pour bénéficier des avantages sociaux non négligeables pour eux…
[42] Les gens d’Afrique du Nord (Égypte au Maroc) vivants en terres bibliques d’Europe, ont appris leur religion bien tard. Les fêtes ne les connaissant pas à la base, ne les vivant pas ; comment pouvaient-ils les faire valoir à leurs progénitures ? C’est d’ailleurs pour cela que bon nombre d’entre eux, ceux qui le peuvent, s’en vont les passer au pays !
   De même, pour bon nombre d’entre eux, les fêtes c’est un jour ! Alors que pour la fête de l’Immolation, par exemple, le plus connu c’est plutôt quatre jours complets. Et pour la fête de l’Immolation, le plat préféré de certains d’entre eux (gens d’Afrique du Nord) sont les tripes de l’animal ! L’animal adopté en ce jour est le mouton. Les autres animaux comme le veau, bœuf, taureau, etc., sont peu connus. Ces animaux sont plus connus du monde asiatique en raison notamment des familles nombreuses et de nombreux avantages qu’ils offrent.
   Encore une fois, cette tradition abrahamique a pris du temps pour ceux venus s’installer, travailler, en terres bibliques d’Europe ou d’ailleurs. Même l’agriculteur du coin y trouve son compte en cette période de fête.
[43] Politico-religieuses. Quel est l’homme d’Afrique du Nord qui ne participe pas à la ‘politique’, au syndicalisme, aux élections en tout genre ? Il est subjugué, note l’observateur, par la ‘politique’ comme Pharaon ! Soucieux pour son avenir en terres bibliques d’Europe ! Ainsi croit-il dur comme fer, comme Pharaon, que l’avenir, son avenir se joue au sein du parti, de la lutte des classes, du syndicalisme, tout cela grâce à son engagement au quotidien… Espérant bénéficier ainsi et auprès de l’idéologie régnante d’une place de choix à l’instar des magiciens de Pharaon (Coran VII 113, etc.) ! Il fait fi de son engagement pour sa religion ! Ne croit pas que son avenir dépend d’elle, est en elle ; il doute sérieusement à l’instar de ceux qu’ils fréquentent et prend pour affidés, camarades, sympathisants du monde biblique ! Que tout succès et réussite dépend d’elle uniquement !
[44] Religieuses : noël : pas rare de trouver à l’entrée de certaines portes d’entrée de maisons ou en elles, des sapins (vrais ou en plastic) ! Et surtout le jour de l’an évangélique, alors que la plupart des Arabes vivants en terres bibliques d’Europe et d’ailleurs ne connaissent nullement la date, le mois du nouvel an islamique ! Ni les mois lunaires du calendrier islamique.
   Le jour de l’an évangélique est fêté aussi en terres islamiques arabes, çà et là. De nombreux personnes travaillant ou ayant travaillé en terres bibliques, ont gardé une certaine nostalgie des fêtes bibliques dont le jour de l’an. Ainsi, on sortira pour tirer en l’air avec son arme à feu notamment, pour faire la fête comme le monde biblique évangélique lequel est ravi devant un tel spectacle ! On viendra fêté joyeusement l’an en terres islamiques dont en Afrique du Nord avec ses ‘frères’, ‘amis’ du pays ! Façon pour se défouler, note l’observateur, aussi dans le mal, l’alcool, la turpitude et le blâmable pour certains festivants ! D’ailleurs, on comprend mal, note encore l’observateur, pourquoi choisir une terre islamique pour passer ses fêtes de fin d’année ! Quand on sait combien l’animosité et la haine sont entretenues en terres bibliques contre l’Islam et les Croyants soumis pratiquants !?
[45] Qui n’était autre que la chambre d’une de ses épouses Aïchah (رضى الله عنها). C’est endroit où se trouvait sa chambre et d’autres chambres, la maison d’Ali et de Fatimah (رضى الله عنهما) ; était juxtaposé à la Mosquée prophétique et formait deux ensemble indépendants. Après la mort des gens habitant ces lieux, leurs successeurs les garderont, et sera alors construit un ensemble en pierre dure pour les protéger. C’est cet ensemble que les fanatiques et extrémistes du Salafisme et leurs maîtres remettront en question ! Et dans leur folie (oubliant que là où un prophète meurt est décédé, là est sa tombe), ceux-ci exigent que son corps et ceux de ses deux compagnons soient extraits et mis dans le cimetière limitrophe de baqi (جنة البقيع) ! De quoi ravir le monde biblique lequel monde ne dispose pas d’un endroit à lui où sont morts leurs prophètes. Cas des Fils d’Israël ne connaissant pas les tombes de la plupart de leurs prophètes dont Mochè et Aharon (sur eux la Paix !). Cas des gens de l’Évangile ne connaissant pas les tombes de leurs prophètes Zacharie et son fils (sur eux la Paix !) assassinés par les Yéhudim de leur époque. Enfin, de quoi ravir le monde du Chiisme lequel verrait d’un bon œil l’évacuation de ce lieu d’Abou Bakr et ‘Omar (رضى الله عنهما).
[46] Réfutations. Sheykh Yousuf Hashim Ar-Rifa’i s’adresse aux Savants du Najd (les wahabites) en disant notamment :
   Dans son livre « ahkamou aljana-izi wa bida’ouha », Nâsiraddîn l’Albanais a également demandé à ce que l’on retire la tombe de Mustapha (صلى الله عليه وسلم), de la noble Mosquée ! Il dit la même chose dans son livre « tahdir assajid » pages 68/69. En plus, il considère la présence de la sainte tombe du Prophète (رضى الله عنهما), dans la Mosquée prophétique comme une innovation (voir son livre « houjat anabi sallalahou ‘alayhi wa salam, page 137).
   Selon des témoins oculaires, cette prise de position eu lieu entre autre lors d’un cours en Arabie ; elle lui vaudra son expulsion immédiate, pure et simple d’Arabie, la nuit même, dit-on. Il passera alors son temps au Châm, Syrie-Jordanie. Il vivra seul entouré de ses disciples, pas d’apparitions en public de peur de réactions violentes à son encontre. Vivant dans une peur certaine et constante, note l’observateur. Ses cours étaient privés, en privé, réservé aux sympathisants, sur recommandation.

-آويتم (ناصر الألبانى )ونصرتموه وسمحتم له بنشر كتابه : (أحكام الجنائز وبدعها ) الذي طالب فيه جهاراً بإخراج قبر المصطفى صلى الله عليه وآله وسلم من المسجد الشريف ، وهذا الهراء ردده أيضاً في رسالته "تحذر الساجد" انظر (ص 68 ? 69 )، بل زادعلى ذلك حين عد في رسالته "حجة النبي صلى الله عليه وسلم " (ص137) من ضمن بدع المدينة المنورة كما يزعم "إبقاء القبر النبوي في مسجده " ا ه .
رسالة الرفاعي لعلماء نجـــد [الأرشيف] - منتديات وادي نجران

[47] Hussein ibn Ali (الحسي بن علي) est un hachémite, chérif de la Mecque jusqu'en 1924 et roi du Hedjaz de 1916 à 1924.
[48] Voir note ci-dessus.
[49] Il aura trahi le pouvoir central à Istanbul. Appelé à une doctrine n’ayant aucun rapport avec l’enseignement prophétique : le nationalisme arabe face aux Étrangers de l’époque, les non Arabes dont les ottomans en particulier. Il n’aurait pu servir équitablement sa propre religion avec de telles croyances, note l’observateur ! De plus, il ne répondait pas à un critère essentiel pour le monde biblique de l’époque : destruction de l’Islam de l’intérieur. Pour eux, Sa’oud et sa descendance répondait mieux à tout cela car il avait reçu l’aval et la formation d’Humpher et de son équipe depuis for longtemps, d’où leur choix. Les relations entre les Sa’oud, d’une part, et la famille et descendance Hussein, des Hachémites, d’autre part resteront des relations conflictuelles jusqu’à ce jour, note encore l’observateur. Des deux côtés ont revendiquent toutefois la responsabilité des Lieux saints.
   Enfin, et pour corser l’affaire, la famille des Sa’oud forgera de toute pièce, selon les chercheurs et historiens, un arbre généalogique remontant jusqu’au Prophète (صلى الله عليه وسلم) ! Une façon comme une autre pour asseoir leur autorité et domination sur l’Arabie. Pour mieux tromper son monde et servir leurs intérêts propres, également ceux de leurs amis du monde biblique anglophone, note-on. Le monde du Salafisme et leur monde du politico-religieux n’est vraiment pas un monde à fréquenter ! Que Dieu nous en protège !



Démystifié ! Débusqué !


Entre gens de même famille, qu'est-ce qu'on rigole !
En Soufisme, rappel (ذِكر) en groupe = démence !
En politik (et avec le monde biblique de langue anglaise), licite = à consommer sans modération !
Ainsi va le Salafisme... A bons entendeurs !


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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