Histoire sainte biblique

HISTOIRE DE MIKHA - LE SÂMIRY.  

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Mikha ou le Sâmiry, l'homme de tous les maux des Fils d'Israël. La tragédie d'un peuple.


  Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

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  • Peut-on accuser un prophète ou le rendre innocent ?

   Pour répondre à cette question, il est important de savoir dans quel camp on se trouve, se réclame. Pour l’homme biblique (toranique & évangélique) certainement. Pour l’homme du Coran, tout prophète est un homme inattaquable, intouchable, infaillible. Il est à l’image de ce qu’il représente. Loin de lui la Mécréance, l’Associationnisme, de faire et de commander le mal, la turpitude, le mensonge, la perfidie, le blâmable, etc. Cette notion les gens de la Bible ne l’ont pas. Pour eux, et selon eux, un prophète est avant tout un homme du commun, une personne attaquable et critiquable sur tous les bords. Aussi, il peut commettre des actes graves comme l’inceste[5], se saouler[6], et bien d’autres choses encore. Pour tout autre exemple voir la Bible entre les mains des intéressés. Enfin, l’Histoire sainte des Fils d’Israël et des Judaïsés, les Écritures, nous révèlent que les gens de la Torah n’ont pas hésité un seul instant de traiter de menteurs leurs prophètes et d’attenter à la vie d’autres[7]. Cas de Zacharie et de son fils (sur eux la Paix !) (Coran II 87, etc.). Ce qui signifie que le fossé entre les gens de la Bible et les gens du Coran est immense, insurmontable[8], sur ce sujet épineux.

  • Accusation gratuite, grave, lancée et portée contre Aaron. Accusation justifiée ?

   Selon les gens de la Synagogue et de la Torah donc, Aaron est un grand pécheur. Aussi ne lui pardonne-t-on pas ce qu’il a fait, à savoir : le ‘Veau d’or’. A entendre et à en lire, il a fait passé le peuple du Monothéisme pur à l’Associationnisme ! Et ce péché, selon les commentateurs hébreux, est loin d’être pardonnable, pardonné à tout jamais. Il a laissé de nombreuses séquelles, traces chez les Fils d’Israël et les Judaïsés, des traces ineffaçables, diront encore les commentateurs hébreux. Ainsi aurait dit leur Créateur à Moïse ! Qu’en en juge :
   Selon Jacob ben Isaac : APPROCHE DE L’AUTEL (Lév. 9:7). Le Midrach[9] dit[10] : Aaron eut une vision et crut que l’autel ressemblait à un veau, ce qui l’effraya. Il eut peur de se rendre jusqu’à l’autel, car il avait vu un veau surgir devant lui. Moïse vint vers lui et dit : « Mon bien cher frère, n’aie pas peur, va vers l’autel. » Le Ramban[11] écrit : N’allez pas vous imaginer qu’Aaron vit un veau, mais comme il était un parfait juste, à tout moment resurgissait en lui le souvenir de ce péché, d’autant plus qu’il n’avait jamais commis d’autre faute que celle du Veau d’or. D’où sa crainte permanente et les propos rassurants de Moïse lui disant que cette erreur avait été pardonnez depuis longtemps. (Op. cit.). 
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !

   Nous dirons : « Aaron eut une vision et crut que l’autel ressemblait à un veau… »
   Question : Se peut-il qu’Aaron ait eu pareille vision ? Nullement. Car, et à l’inverse du peuple, il n’a (n’avait) rien à se reprocher. Un prophète, et contrairement à l’enseignement du monde de la Synagogue et de la Torah, de l’Évangile, ne peut tomber aussi bas, commettre de tels actes, de tels péchés aussi graves. Secundo : A la lumière du Coran, ‘en prenant la tête de son frère en le tirant vers lui’, il montrait à son peuple, note le commentateur, qu’il innocentait par là son frère de toute faute qu’on pourrait l’accuser dans l’avenir. Troisièmement : Ce qui est à attribuer à un autre personnage de l’Histoire sainte : Mikha, le commentateur hébreu voudrait en fait l’attribuer à Aaron ! Ce qui est grave, une faute d'une extrême gravité, impardonnable. N’oublions pas ici qu’on parle d’un (ou de plusieurs) prophètes, et aux commentateurs hébreux de leur attribuer des actes, des faits et gestes, des paroles dont ils sont en fait purs, innocents. Quatrièmement : Chez l’homme biblique, on parle peu ou jamais de Lieux d’adorations, plutôt d’autels ! A croire que leur importance dépasse largement celle des Lieux de Culte[12].  

  • Plainte et supplication. Un péché grave plane en permanence au dessus de la tête des Fils d'Israël et cela pour toujours.

   Selon Jacob ben Isaac : ET MAINTENANT SI TU SUPPORTAIS LEUR FAUTE (Ex. 32 :31). Moïse dit : « Pardonne le péché ; au cas où Tu ne voudrais pas, alors efface-moi de Ton livre de la Torah. » Dieu répondit : « Je te pardonnerai ce péché et Je me manifesterai à Israël qui devra expier sa faute petit à petit et pas d’un seul coup[13]. » Depuis lors, aucun tourment ne frappe le peuple juif qui ne soit pas en rapport avec le péché du Veau d’or. Le Saint, béni soit-Il, ne cesse de punir Israël à cause de cette transgression[14]. (Op. cit.).
   RACHI (Ex. 32 34) : Et le jour où je me souviendrai… Aujourd’hui je t’ai entendu et ne les détruirai pas tous définitivement. Mais toutes les fois que je me souviendrai de leurs fautes, je me souviendrai un peu de cette faute-ci en plus de leurs autres. Il n’est pas de punition qui frappe Israël qui ne contienne une part de punition pour le veau d’or (Sanhèdrin 102a). (sefarim.fr).

  • Pourquoi ce comportement éventuel et passif de la part d’Aaron ?

   Selon les gens de la Synagogue : Dans le commentaire de Rachi[15] : le Midrach se propose par ces trois explications différentes, de justifier la conduite d'Aaron dans ces trois ordres de choses :
   1) Pourquoi Aaron n'a-t-il pas refusé de faire ce que le peuple demandait ? Réponse : il a bien compris que ce serait parfaitement inutile, puisqu'ils avaient assassiné 'Hour pour cette raison[16].
   2) Mais pourquoi a-t-il lui même fabriqué l'idole ? Réponse : il préférait être seul responsable de la faute commise.
   3) Mais alors pourquoi avoir construit un autel[17] en plus du seul veau d'or ? Réponse : il avait la certitude que toute entreprise serait déjouée par le retour de Moïse, qui reviendrait avant que ne fût achevé le travail de longue durée qu'il voulait faire de ses propres mains.

   Question : Si on doit innocenter Aaron, qui est alors le coupable dans cette aventure rocambolesque ? De ce crime abominable ?
   La réponse : un dénommé Mikha pour le monde de la Synagogue et de la Torah, le Sâmiry pour le monde de l’Islam traditionnel. Un personnage mis en sourdine, rarement mentionné, ignoré complètement par bon nombre de gens de la Bible. Se retrouve uniquement dans les commentaires et écrits des gens de la Synagogue et de la Torah. Le texte officiel de la Torah entre leurs mains voit en Aharon le seul et unique responsable de la faute du 'Veau d'or' ! Ce que l'Islam traditionnel rejette d'emblée.

  • Le mystère de Mikha[18].

   Dans la Bible ces paroles :

א וַיַּרְא הָעָם, כִּי-בֹשֵׁשׁ מֹשֶׁה לָרֶדֶת מִן-הָהָר; וַיִּקָּהֵל הָעָם עַל-אַהֲרֹן, וַיֹּאמְרוּ אֵלָיו קוּם עֲשֵׂה-לָנוּ אֱלֹהִים אֲשֶׁר יֵלְכוּ לְפָנֵינוּ--כִּי-זֶה מֹשֶׁה הָאִישׁ אֲשֶׁר הֶעֱלָנוּ מֵאֶרֶץ מִצְרַיִם, לֹא יָדַעְנוּ מֶה-הָיָה לוֹ. ב וַיֹּאמֶר אֲלֵהֶם, אַהֲרֹן, פָּרְקוּ נִזְמֵי הַזָּהָב, אֲשֶׁר בְּאָזְנֵי נְשֵׁיכֶם בְּנֵיכֶם וּבְנֹתֵיכֶם; וְהָבִיאוּ, אֵלָי. ג וַיִּתְפָּרְקוּ, כָּל-הָעָם, אֶת-נִזְמֵי הַזָּהָב, אֲשֶׁר בְּאָזְנֵיהֶם; וַיָּבִיאוּ, אֶל-אַהֲרֹן. ד וַיִּקַּח מִיָּדָם, וַיָּצַר אֹתוֹ בַּחֶרֶט, וַיַּעֲשֵׂהוּ, עֵגֶל מַסֵּכָה; וַיֹּאמְרוּ--אֵלֶּה אֱלֹהֶיךָ יִשְׂרָאֵל, אֲשֶׁר הֶעֱלוּךָ מֵאֶרֶץ מִצְרָיִם. ה וַיַּרְא אַהֲרֹן, וַיִּבֶן מִזְבֵּחַ לְפָנָיו; וַיִּקְרָא אַהֲרֹן וַיֹּאמַר, חַג לַיהוָה מָחָר. ו וַיַּשְׁכִּימוּ, מִמָּחֳרָת, וַיַּעֲלוּ עֹלֹת, וַיַּגִּשׁוּ שְׁלָמִים; וַיֵּשֶׁב הָעָם לֶאֱכֹל וְשָׁתוֹ, וַיָּקֻמוּ לְצַחֵק.

1 Le peuple, voyant que Moïse tardait à descendre de la montagne, s'attroupa autour d'Aaron et lui dit : "Allons! fais-nous un dieu qui marche à notre tête, puisque celui-ci, Moïse, l'homme qui nous a fait sortir du pays d'Égypte, nous ne savons ce qu'il est devenu." 2 Aaron leur répondit : "Détachez les pendants d'or qui sont aux oreilles de vos femmes, de vos fils et de vos filles et me les apportez." 3 Tous se dépouillèrent des pendants d'or qui étaient à leurs oreilles et les apportèrent à Aaron. 4 Ayant reçu cet or de leurs mains, il le jeta en moule et en fit un veau de métal; et ils dirent: "Voilà tes dieux, ô Israël, qui t'ont fait sortir du pays d'Égypte !" 5 Ce que voyant, Aaron érigea devant lui un autel et il proclama: "A demain une solennité pour l'Éternel !" 6 Ils s'empressèrent, dès le lendemain, d'offrir des holocaustes, d'amener des victimes rémunératoires; le peuple se mit à manger et à boire, puis se livra à des réjouissances.

وَلَمَّا رَاى الشَّعْبُ انَّ مُوسَى ابْطَا فِي النُّزُولِ مِنَ الْجَبَلِ اجْتَمَعَ الشَّعْبُ عَلَى هَارُونَ وَقَالُوا لَهُ: «قُمِ اصْنَعْ لَنَا الِهَةً تَسِيرُ امَامَنَا لانَّ هَذَا مُوسَى الرَّجُلَ الَّذِي اصْعَدَنَا مِنْ ارْضِ مِصْرَ لا نَعْلَمُ مَاذَا اصَابَهُ». فَقَالَ لَهُمْ هَارُونُ: «انْزِعُوا اقْرَاطَ الذَّهَبِ الَّتِي فِي اذَانِ نِسَائِكُمْ وَبَنِيكُمْ وَبَنَاتِكُمْ وَاتُونِي بِهَا». فَنَزَعَ كُلُّ الشَّعْبِ اقْرَاطَ الذَّهَبِ الَّتِي فِي اذَانِهِمْ وَاتُوا بِهَا الَى هَارُونَ. فَاخَذَ ذَلِكَ مِنْ ايْدِيهِمْ وَصَوَّرَهُ بِالْازْمِيلِ وَصَنَعَهُ عِجْلا مَسْبُوكا. فَقَالُوا: «هَذِهِ الِهَتُكَ يَا اسْرَائِيلُ الَّتِي اصْعَدَتْكَ مِنْ ارْضِ مِصْرَ!» فَلَمَّا نَظَرَ هَارُونُ بَنَى مَذْبَحا امَامَهُ وَنَادَى هَارُونُ وَقَالَ: «غَدا عِيدٌ لِلرَّبِّ». فَبَكَّرُوا فِي الْغَدِ وَاصْعَدُوا مُحْرَقَاتٍ وَقَدَّمُوا ذَبَائِحَ سَلامَةٍ. وَجَلَسَ الشَّعْبُ لِلاكْلِ وَالشُّرْبِ ثُمَّ قَامُوا لِلَّعِبِ. خروج 32

   Décryptage.

   1) version biblique.

   Pour rechercher une allusion à Mikha, il faut aller voir le texte officiel de la Bible[19], mais surtout faire appel aux commentateurs hébreux. Dans la Thora, on a dit concernant notamment le "Veau d'or" :
   "Aaron (Haroun) leur répondit : "Détachez les pendants d'or qui sont aux oreilles de vos femmes, de vos fils et de vos filles, et me les apportez." Et ils se dépouillèrent, tout le peuple, des pendants d'or qui étaient à leurs oreilles et les apportèrent à Aaron. Il le prit de leurs mains, et il forma dans un moule et en fit un veau en métal ; et ils dirent : "Voici tes dieux, Israël, qui t'ont fait monter du pays d'Egypte !" (Ex. 32: 2-4).
  
   Les Hébreux sortent d’Égypte, ils emportent avec eux un important butin de guerre dont de l’or. Selon le commentateur hébreu, Aaron va demander au peuple de lui donner leur or pour faire un dieu en métal précieux, sous forme d’un veau. Toujours selon le commentateur hébreu, un groupe de sorciers égyptiens va aider Aaron à réaliser son œuvre. Et à eux, grâce à leur art de la magie, de faire sortir un veau des flammes… Qu’on en juge :
   Selon Jacob ben Isaac : AARON LEUR DIT : « ARRACHEZ LES BOUCLES D’OR QUI SONT DE VOS FEMMES, DE VOS FILS ET DE VOS FILLES, APPORTEZ-LES MOI. » (Ex. 32 :2) Aaron dit à Israël : « Prenez les pendants d’or[20] qui sont aux oreilles de vos femmes en j’en ferai un dieu[21] qui vous dirigera[22]. » Aaron se dit que les femmes allaient certainement refuser de donner leurs anneaux d’or et qu’en retardant ainsi l’exécution de l’idole, il ne serait pas obliger de le construire, d’autant plus qu’il savait pertinemment que Moïse allait revenir le lendemain matin. Mais Israël se conduisit mal et ne voulut rien entendre. Aaron eut alors peur d’être tué s’il s’opposait à la volonté de la foule, comme cela s’était passé avec son neveu Hour[23]. Le peuple s’était rendu chez cet homme respectable afin qu’il fasse une idole ; mais Hour refusa, si bien qu’il fut tué[24]. Voilà pourquoi Aaron prit peur et finit pas se rallier à leur volonté[25]. On voit que son intention était toute différente et qu’il ne voulait pas s’opposer à Dieu[26]. En fait, les femmes furent beaucoup plus pieuses que les hommes puisqu’elles n’acceptèrent pas de donner leurs pendants d’or. Les hommes les prirent de force et les apportèrent à Aaron pour faire l’idole[27]. Il les enveloppa dans un drap qu’il jeta dans le feu[28]. Les sorciers[29], ceux qui étaient sortis avec le peuple d’Israël hors d’Égypte et s’étaient convertis, arrivèrent[30] et, grâce à leur art de la magie, ils firent sortir un veau des flammes[31].
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !

  • Reconnaissance d’un intervenant de taille dans le déroulement de ce crime : Mikha. Seul et vrai coupable.

   Mikha pour accomplir son œuvre va se servir d’une sorte de plaque talisman. Aussi dit-on : il prit donc cette plaque et la jeta dans le feu d’où sortit un veau qu’Israël adora comme une idole…
   Certains disent : Un homme du nom de Mikha[32] fut délivré après avoir été emmuré par Pharaon, comme beaucoup d’enfants d’Israël qui n’avaient pas réalisé le nombre de briques exigé. Moïse s’adressa à Dieu : « Maître de l’univers, quels péchés ont donc commis ces enfants pour être ainsi emmurés ? » le Saint, béni soit-Il, répondit : « C’est parce qu’ils deviendront des impies. Si tu veux le vérifier, fais revivre un enfant et tu pourras juger toi-même. » Moïse ressuscita[33] celui qu’on appelait Mikha et qui avait été écrasé entre des murs[34]. Il s’avéra être devenu un grand impie[35] ; il déroba la plaque en métal[36] sur laquelle Moïse avait gravé un nom divin[37]. Elle devait servir pour le transport du cercueil de Joseph. En effet, après sa mort, les Égyptiens[38] le déposèrent dans un cercueil en fer qu’ils laissèrent dériver sur le Nil[39]. Quand Israël voulut sortir d’Égypte, il ne savait pas où trouver le cercueil. Moïse confectionna[40] alors une plaque sur laquelle on pouvait lire la dernière partie du verset : « Joseph est le fils d’une couche féconde, au-dessous d’une source, les branches ont grimpé sur un mur[41]. » « Sur un mur » peut également signifier : « Lève-toi, bœuf »[42] ; or Joseph était surnommé le bœuf[43]. Mikha prit donc cette plaque et la jeta dans le feu d’où sortit un veau qu’Israël adora comme une idole[44]. (Op. cit.)

   Le mal est fait que peut-on faire ? Peut-on l’arrêter ? Nullement. Le piège allait se refermer sur les auteurs de cette abominations dont Aaron, nous dit-on. Le commentateur hébreu va imaginer dans sa tête tout un scénario pour Aaron. En effet, s’il brave l’interdit que fera son Seigneur de lui ? S’il a désobéi à son frère, quelle réaction aura-t-il vis-à-vis de lui ? Le temps presse, il faut imaginer tout un plan pour la suite des évènements. C’est justement ce que fera, imaginera le bon larron, le narrateur biblique ici. Qu’on en juge :

   AARON LE VIT (Ex. 32:5). Quand Aaron vit le veau vivant en train de sauter[45], il n’arriva plus à dissuader les gens de l’adorer.
   Rachi : Aharon vit Il vit qu’il portait un souffle de vie, comme il est écrit : « …sous forme d’un bœuf mangeant de l’herbe » (Tehilim 106, 20). Et il vit que l’entreprise de Satan avait réussi et que lui-même n’avait plus d’argument pour les repousser totalement.
   ET BÂTIT UN AUTEL DEVANT LUI (Ex. 32:5). Aaron construisit un sanctuaire[46], pensant qu’il fallait gagner du temps jusqu’à l’arriver de Moïse[47]. Il se dit : « Si Israël participe à la construction, chacun va amener une brique[48] et ce sera très vite terminé. Je vais le construire moi-même très lentement[49]. » Il craignait d’être tué comme son neveu Hour et pensait que, si cela arrivait, Israël disparaîtrait en raison de cette faute. Il se dit : « Mieux vaut que ce soit moi qui commette un péché[50], car le Saint, béni soit-Il, me le pardonnera aussitôt[51]. Il ne me reste donc plus qu’à ériger moi-même cet autel. » Le Behaye écrit également : Aaron dit[52] : « Mes intentions envers Dieu sont irréprochables même si, en construisant cet autel je pêche, puisque j’enfreins une des Dix paroles[53] : "Tu ne feras pas d’idole, ni aucune image". »
   Rachi : Il érigea un autel Pour retarder l’échéance.
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
      Que conclure ? Pour passer le temps, on fait construire par Aharon (sur lui la Paix !) un prétendu autel ? Ce qui suppose qu'il servira de support pour le futur 'veau' ! On lui fait porter le péché de ce qui arrive, aucune "présomption d'innocence" pour son humble personne pour le monde de la Synagogue et de la Torah ! Mais "à qui profite le crime" comme dirait Agatha Christie ? Et pourtant, dans une démocratie dite biblique, la présomption d’innocence est une valeur sacrée, clame-t-on encore ! On lui fait enfreindre la loi sur le Monothéisme ! Dérapages inquiétants quant au respect des principes élémentaires des droits de toute personne prophétique. Tout cela n'est en fait que pures calomnies et mensonges de la part des gens de la Synagogue et de la Torah, notent les Savants. (à suivre)  

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !

[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Ex. de Loth.
[6] Ex. de Noé.
[7] Bien que leurs propres Écritures témoignent contre eux, bon nombre de gens de la Synagogue et de la Torah répugnent d’aborder ce sujet, d’accepter que ce sont bien des gens des Fils d’Israël et des Judaïsés, du peuple, qui attentèrent à la vie de leurs prophètes dont celle de Zacharie et son fils (sur eux la Paix !).
[8] Et on l’a vu en Europe avec les ‘caricatures’, et le ‘Coran brûlé’ en terre d’Amérique. Et les plus virulents et extrémistes dans ce domaine ce sont révélés être des gens se réclamant de la foi biblique ou gens de la sécularisation, notamment de cercles philosophiques, politiques ou autres. Pas question pour toutes ces sortes de gens de parler d’une loi dite du « blasphème » ! En clair, sous la loi de la liberté de pensée : on se réserve le droit de décharger sur les prophètes du Créateur toute la haine, toute la rancœur, toute l’inimitié qu’ils nous inspirent ! Et surtout : La liberté des Croyants soumis doit s’arrêter là où la leur commence ! Et à cette bévue, à cette abomination, des gens d’origines d’Afrique, d’Afrique du Nord, de le apporter leur soutien plein et entier dont bon nombre de personnes féminines !
[9] Disons plutôt les gens qui l’ont écrit, mis en pages : les rabbanim.
[10] Ibid.
[11] N’est pas une référence, excepté pour le monde de la Synagogue et de la Torah. Homme très apprécié de nos jours dans les cercles philosophiques, rabbiniques et autres. Il était à la fois : Médecin, exégète de la Bible et du Talmud, poète liturgique, philosophe et kabbaliste…
[12] Les animaux, selon eux, servant pour le pardon des péchés, à porter leurs fautes bénignes ou graves. Pour les gens de l’Évangile, et selon Paul le pharisien, ce sera par contre un homme dieu : le Messie fils de Marie, de porter leurs fautes !
[13] Peut-on imaginer que leur Créateur parle ainsi ? Nullement.
[14] Ce qui signifie jusqu’à maintenant. En terre de Canaan comme sur l’ensemble de la Planète terre.
[15] En note.
[16] N’engage que leurs auteurs. Source peu fiable. En effet, n’est-ce pas plutôt à Moïse qu’ils demanderont des divinités autre que le NOM (Voir Coran VII 138) ? Sur le chemin les menant au mont Sinaï, et bien avant cette mésaventure.
[17] Selon leur tradition, on fait reposer le ‘veau’ adoré sur un autel ! Voir sur le trône divin !
[18] Ou Mica, Michée, Micha, Mikha, Mikhah. Arabe, le Sâmiry, le Samiri.
[19] v. Juges, 17.
[20] Preuve que les Fils d’Israël, comme les Égyptiens de l'Antiquité, sont peuples qui aiment le métal : or ! Et les garçons aiment aussi l’or puisqu’on dit : : "Détachez les pendants d'or qui sont aux oreilles de vos femmes, de vos fils et de vos filles, et me les apportez." ! Mode toujours de rigueur dans les sociétés bibliques : le garçon comme la fille portent l’or : anneaux, boucles d’oreilles, alliances, chaînes, montres, médaillons, piercings, etc.
   Plusieurs siècles après, les garçons de notre époque, les jeunes voir les adultes, n’imitent-ils pas une habitude vieille de nombreux siècles ? Prise à ceux qui sortirent d'Égypte ? 
[21] Rachi : Que Mochè tardait (bochéch) à descendre Il s’agit, ainsi que le rend le Targoum Onqelos, d’un mot contenant une idée de « retard », comme dans : « Pourquoi son char tarde-t-il (bachach) à venir ? » (Choftim 5, 28), « Ils attendirent jusqu’à ce qu’il fût tard (boch) » (Choftim 3, 25). Lorsque Mochè était monté sur la montagne, il leur avait annoncé : « Je serai de retour après quarante jours, dans les six premières heures. » Mais ils croyaient, eux, que le jour de son ascension faisait partie du décompte. Or, il avait parlé, lui, de jours complets, à savoir quarante jours avec les nuits qui les précédaient. La nuit qui a précédé le jour où il est monté, à savoir le 7 siwan, n’en faisait pas partie, de sorte que le quarantième tombait le 17 tamouz. Le 16 est venu le Satan qui a jeté la confusion dans le monde. Il lui a donné l’apparence de ténèbres, d’obscurité, de brume et de désordre, de sorte qu’ils se sont dit : « Mochè est sûrement mort, pour que le monde soit ainsi déréglé ! » Il leur a alors annoncé : « Mochè est mort, puisque six heures se sont écoulées et qu’il n’est pas arrivé… » C’est ce que nous enseigne le traité Chabath (89a). Et il n’est pas possible de soutenir que leur erreur ne serait provenue que d’une confusion due à la présence de nuages, qui les aurait empêchés de faire la distinction entre le matin et l’après-midi. Mochè n’est redescendu, en effet, que le lendemain, comme il est écrit : « Ils se levèrent de bon matin à partir du lendemain, ils élevèrent des holocaustes… » (verset 6).
Qui marchent devant nous Ils visaient à de nombreuses divinités.
Car celui-ci, Mochè, l’homme Le Satan leur a montré une forme ressemblant à Mochè, que l’on portait en l’air dans le firmament céleste (Chabath 89a).
Qui nous a fait monter du pays d’Egypte Et qui nous montrait la route par laquelle nous devions « monter ». Nous avons besoin maintenant de divinités « qui marchent devant nous ».
Aux oreilles de vos femmes Aharon s’est dit : « Les femmes et les enfants tiennent à leurs bijoux. Peut-être la chose traînera-t-elle en longueur, de sorte que Mochè aura le temps de revenir. » Mais ils n’ont pas attendu, et ils les ont enlevés.
Enlevez (parqou) C’est un impératif, de la racine paroq au singulier, tout comme barekhou vient de la racine barokh. (Ex. 32 1-2).
[22] Les commentateurs toraniques ont emprunté des mots et des phrases de Mikha pour les attribuer ensuite au prophète Aaron (sur lui la Paix !) ! Quelle infamie ! Quelle manque de respect envers Aaron (sur lui la Paix !).
[23] Rajout et version purement rabbinique.
[24] PRE 45, Ex.R 41.5, Sanh. 7a, Lév.R. 10.3.
[25] Pure invention du narrateur. Un prophète n’a pas à suivre les passions ou aspirations d’un peuple. Surtout comme celle proposée : de façonner une idole pour l’adorer.
[26] Commanderait-Il la Mécréance, de Lui désobéir, de Lui associer une idole à Son adoration ? On le voit les rabbanim ne connaissent pas leur Créateur, ne Le craignent pas. Disent des paroles d'une extrême gravité !
[27] Le peuple, sans doute. Aaron, non jamais. En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[28] Peut-être traduit autrement selon Rachi.
[29] Ils ne peuvent pas être là puisqu’ils seront mis à mort sur l’ordre de Pharaon ( Voir Coran XX 70-71). Récit imaginé, tronqué.
[30] Ils ne seront pas de la fête, car morts depuis longtemps. Crucifiés par Pharaon.
[31] PRE 45, Mid.Cant. 13a-12b.
[32] Sanh. 101b.
[33] Comment a-t-il fait ? Les gens de la Synagogue n’ont pas cru aux miracles du fils de Marie notamment celui de ressusciter des morts ! Nous savons tous que Celui qui donne la Vie et la Mort, c’est uniquement le divin Créateur.
[34] De makhah, écraser, voir Mekh.Bechallah 24a-24b, Mekh.(5) 24, Ex.R. 20.19.
[35] Ce qui suit a été imaginé par l’auteur. Fait partie des récits propres aux gens de la Synagogue. N’a aucun rapport avec la réalité, la vérité prophétique.
[36] Nous verrons plus loin que l’histoire de cet homme est tout autre.
[37] Dans le Texte sacré, le reproche fait aux gens de la Synagogue et de la Torah, c’est de donner (d’avoir donné) foi à la Magie non aux miracles divins. Pour bon nombre de gens de la Torah, Moïse n’a-t-il pas été initié, dans les Temples égyptiens, aux mystères d’Isis ? Ne l’oublions pas, les gens de la Torah comme les gens du Dualisme, comme les gens de l’Hindouisme et d’autres gens encore, sont connus, notent les Savants pour être de fins sorciers, magiciens, gens de la Magie. Aussi, fera-t-on faire à Moïse des talismans ou autre chose ayant un rapport avec la Magie ! Ici graver  un nom divin sur une plaque en métal ! Ce qui est faux !
[38] Pourquoi les Coptes (Égyptiens) ? Peuple idolâtre à l'époque ? Comment pareil peuple pourrait-il s’occuper des funérailles d’un personnage comme Joseph, un prophète ? N’était-ce pas la place de son peuple, les siens, gens de sa tribu ?
[39] Légende et conte rabbinique. Joseph est un prophète, il espère être enterré en terre de Canaan non en terre d’Afrique. On comprend mal un prophète mis dans une malle en fer et laissé au gré des courants ! De plus, le Nil est connu pour avoir un courant à fort débit. Et un coffre en fer mis à l’eau avec le temps ne peut que rouiller et disparaître. Pourra-t-on le récupérer en bon état ? Et surtout la dépouille va suivre les Fils d’Israël jusqu’en Terre sainte, où resta-t-elle pendant tout ce trajet ? Qui allait s’en occuper ? Et pourquoi ne fait-on pas cas, dans les textes bibliques, de ses funérailles nationales une fois arrivée en terre de Canaan ? Est-ce à cause de l’animosité et de la jalousie que certaines Tribus lui portèrent ? Animosité et jalousie portée et entretenue par les rabbanim au fil des siècles ?
[40] Moïse ici apparaît non comme un prophète mais une sorte de sorcier, un pur magicien. C’est connu, ce sont les gens de la Magie qui se livrent à ce genre d’activité. Les prophètes n’ont pas recours à ce type d’intervention. Voulait-il le savoir, il avait devant lui plusieurs solutions : 1) demander à son peuple si quelqu’un d’entre eux connaissaient l’emplacement du coffre. 2) Demander à son Seigneur lequel lui aurait parlé directement ou envoyé l’Ange de la Révélation : Gabriel.
   Encore une fois, le monde de la Synagogue semble donner libre cours à ce genre de récits fantaisistes, à la foi en la Magie, plutôt qu’une foi pure et sincère en leur Créateur ! Enfin, on trouve ce genre de récit aussi avec le Messie fils de Marie. Les gens de la Synagogue et de la Torah ne l’accusent-ils pas d’avoir abusé du NOM sacré ? D’Israël ?
   Selon les commentateurs coraniques, Joseph sera mis dans un coffre en marbre. On dit que c'est une vieille femme qui indiquera l'endroit à Moïse. On le sortira du Nil pour l'emporter en terre de Canaan.
[41] Gen. 49:22.
[42] Comme on le voit, on peut faire dire plusieurs choses complètement différentes, n’ayant aucun rapport.
[43] Deut. 33 :17 ; alei chour, « sur un mur », peut se dire ale chor, « Lève-toi bœuf  ! », Tanh.Ki.tissa 9. 
   Chour – sour (سور) = mur, muraille. Chor – Thor (ثور), bœuf. Toutefois, ils ne s’écrivent pas pareils. A noter enfin que c’est la spécialité des rabbanim de jouer avec les mots hébreux, leur donner un non sens, etc. (Coran IV 46, etc.). Quelle indécence !
[44]   On comprend mal ici le rapport entre Mikha l’alchimiste et Joseph le prophète ! Ce récit n’est qu’une légende de plus du monde de la Synagogue n’ayant aucun rapport avec une quelconque réalité.
[45] Ce n’est donc plus une masse de métal fondu, c’est un animal en chair et en os.
[46] Le vocable ‘sanctuaire’, chez les gens de la Synagogue prévaut au vocable ‘lieu’ de Culte. Tout se passe, lors des étapes, comme si le peuple, ce peuple n’accomplit aucune obligation religieuse dont la Prière ! Pourquoi ?
   A noter que Rachi a donné un autre sens à la phrase hébreue : "D’où les mots wayivèn mizbéa‘h lefanaw (« il érigea un autel devant lui »), que l’on peut lire également : wayavèn mizavoua‘h lefanaw (« il comprit en le voyant égorgé devant lui »)." Deux sens bien différents, le second ayant toutefois un sens plus approprié, car il signifierait une falsification du texte initial biblique.
[47] Le narrateur fait réagir ce personnage biblique, non comme un prophète, mais comme un homme du commun ! Un simple homme ! Un homme incapable de réaliser que son acte peut entraîner sa perte définitive dans ce monde comme dans l’Autre ! On semble prendre tout cela comme une sorte de jeu, d’amusent, acte sans gravité !
   Preuve que les gens de la Synagogue et de la Torah ne connaissent pas leur Créateur et que Sa crainte est bannie de leurs cœurs. Ils parlent de la manière de leurs frères de l’Évangile qui, eux, croient, dur comme fer, que l’amour bannit la crainte ! Et que commettre l’Associationnisme n’est pas un péché d’une extrême gravité !
[48] L’âge de la brique commence avec Pharaon, reste à savoir maintenant comment le prophète peut trouver des fabricants, la fabriquer et surtout de la terre pour en fabriquer ? Nous sommes en zone désertique ou semi-désertique. Le narrateur omet une réalité sur le terrain.
[49] Le narrateur n’hésite pas un seul instant de faire mentir ce prophète, et surtout de lui faire accomplir des actes dont il est pur, innocent. Des actes et des paroles qui feront de lui un mécréant, un associateur, un exclu de la Maison de la Prophétie ! Un transgresseur à l’image, au même titre de ceux qui transgressèrent l’ordre de Moïse (sur lui la Paix !) et adorèrent le ‘Veau’ !
[50] Comme leurs frères de l’Évangile, les gens de la Synagogue et de la Torah ont l’habitude de faire porter les péchés, les fautes, sur les autres. Pèchent-ils ? Alors des ‘animaux’ choisis d'entre eux porteront leurs fautes et leurs péchés pour l’expiation et le pardon ! Chez les gens de l’Évangile, ce sera un humain en la personne du fils de Marie qui portera leurs fautes, leurs péchés pour l’expiation et le pardon !? Se laissant aller à ce genre de raisonnement, cela permettra à l’un comme à l’autre d’espérer, de vivre dans l’espoir d’accéder sans peine au Paradis ! Pour les premiers, l’intercession des animaux sera (aura été dès ce bas monde), pour les autres, l’intercession du fils de Marie sera (aura été dès ce bas monde). Ce qui rassure et donne à l’auteur d’un tel raisonnement : En attendant vautrons-nous dans le péché, le mal, la turpitude et le blâmable ! Que peut-on entendre au Jour des Comptes ? Sinon qu’un recours en grâces, clame Lucifer ! On joue ici et on se joue de la Religion du divin Créateur, au passage. Les chemins de Lucifer sont multiples, clame l'écho !
[51] Là encore on minimise le degré d’une faute, d’un péché de ce genre. On joue avec la vie d’une personne, et là il ne s’agit pas de n’importe qu’elle personne, il s’agit d’un prophète ! Et de plus, le monde de la Synagogue et de la Torah n’hésitent pas un seul instant à faire faire cette faute grave, ce péché mortel à un prophète, à une personne déclarée et reconnue comme telle ? Pour pouvoir plus tard s’innocenter, et dire à la face du monde : les Prophètes sont pas meilleurs que nous, ils sont comme nous ! Comme nous, ils tombent dans le péché ! En clair, ce genre d’individus ne prêchent pas le Monothéisme mais l’Associationnisme de la Proximité, le mal, la turpitude et le blâmable !
[52] Nous dirons plutôt : Le Behaye fait dire… ne pas confondre !
[53] On peut se demander comment peut-il parler ainsi alors que la Torah n’a pas encore été révélée et surtout donnée aux Fils d’Israël ! Il parle par anticipation, dira-t-on ? Mystère insondable, clame l’écho !



Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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18/11/11.

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