Histoire sainte biblique

HISTOIRE DE MIKHA - LE SÂMIRY.  

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Alliance ou Pacte, Engagement ?


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

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   Le Prophète Ahmad (sur lui la Paix !) a dit :

   "Faites parvenir de moi ne fût-ce qu'un verset, et entretenez-vous des Fils d'Israël sans la moindre gêne [afin de tirer leçon des évènements passés]. Quant à celui qui ment délibérément sur mon sujet qu'il se prépare à prendre place dans le Feu [infernal]." (Bokhari).

   De même :

   "En vérité, Dieu créa le monde et quand Il eût terminé, le Lien de Sang se leva et dit : " Ceci est la station de celui qui cherche refuge contre toute rupture."
  
Dieu dit : "Si ! Ne serais-tu pas satisfait que Je Me lie avec ceux qui te sont unis et que Je Me sépare de ceux qui ont rompu avec toi ?
   Il dit :
"Si !."
  
Il dit: "Il en sera ainsi pour toi !"
  
Ensuite le Messager de Dieu (exalté soit-Il !) dit : Récitez si vous le désirez :



Est-il possible, qu'investis de pouvoir vous causiez le désordre sur terre et rompiez les Liens du Sang. Ceux-là Dieu les maudit, les rend sourds et aveugle leurs regards. Ne méditeront-ils point le Coran ou ont-ils des coeurs verrouillés ?" (Coran. XLVII 22-24)


   "Ni leurs chairs ni leurs sangs n'atteignent jamais Dieu, mais c'est la piété qui, de votre part, L'atteint. Ainsi vous les a-t-Il assujetties, afin que vous proclamiez la grandeur de Dieu, parce qu'Il vous a guidés. Et fais bonne annonce aux gens bienfaisants." (Coran XXII. 37; comparer : Thora. Lév. 1: 1-17; Amos 5: 22-23)

  • Le sang des animaux domestiques et leur emploi selon le monde biblique.

   Dans la Bible, on constate que les animaux domestiques ont été associés au Culte, et aux gens de la Bible de leur accorder un pouvoir certain. Qu’on en juge :

   On nous dit : “Aaron doit recouvrir les cornes de cet autel avec le sang des offrandes expiatoires de propitiation (’hatat hakippourim).”
  
Autre : Alors Moïse prit la moitié  du sang (Ex. 24:6).
  
Rachi : Mochè prit la moitié du sang Qui donc l’avait partagé ? Un ange était venu et l’avait partagé (Zeva‘him 97b).
  
Dans des bassins Il y avait deux bassins, l’un pour la moitié du sang de l’holocauste et l’autre pour la moitié du sang des rémunératoires dont il aspergera le peuple. D’où l’enseignement de nos maîtres[5] : Nos ancêtres sont entrés dans l’alliance par la circoncision, par le bain rituel et par l’aspersion du sang, car il ne peut y avoir aspersion sans bain rituel (Kerithoth 9a).
   8 Moïse prit le sang, en aspergea le peuple et dit[6] : "Ceci est le sang de l'alliance que l'Éternel a conclue avec vous touchant toutes ces paroles."
  
Rachi : Il aspergea C’est l’acte de l’aspersion, que le Targoum Onqelos rend par : « Il aspergea l’autel en expiation pour le peuple
[7] . »   

   Selon Jacob ben Isaac : (…) Grâce aux sacrifices[8], Israël conclut une alliance[9] avec le Saint, béni soit-Il, d’après laquelle tout le peuple s’engageait à respecter la Torah[10]. L’alliance fut scellée par trois choses : la circoncision[11], le bain rituel (avant le don de la Torah, tout le peuple s’immergea dans un bain rituel)[12], l’offrande des sacrifices[13]. Cela est valable également pour tout prosélyte qui s’est converti. Il est tenu d’accomplir ces trois commandements : être circoncis, avoir trempé dans un bain rituel, offrir des sacrifices, notamment à la venue du Messie[14]. (Op. cit.).

   Autre : La moitié du sang. Moïse partage le sang par moitié entre l'Éternel[15] et le peuple pour servir de lien éternel entre eux et faire de ces deux parties contractantes un tout unique et inséparable. Par le fait que le sang est celui d'une victime pure, consacrée au Dieu saint, et que Dieu en reçoit la moitié, l'aspersion faite sur le peuple de l'autre moitié, recueillie dans des bassins, a une action purificatrice et fait d'Israël un peuple pardonné et consacré à Dieu[16].
  
Verset 8 Voici le sang de l'alliance. Il semble que Jésus ait fait allusion à ces mots en instituant la sainte Cène (Matthieu 26.28). (levangile.com)

    Conclusion.

    Est-ce possible que le Prophète Moïse (sur lui la Paix !) fasse de tels actes, en soit associé ? Dise de telles paroles ? Oui, dira l’homme de la Synagogue et de la Torah, l’homme de l’Évangile. Non, dira l’homme de l’Islam traditionnel.
  
Un prophète comme Aharon[17] (sur lui la Paix !) ne peut recouvrir les cornes de ce prétendu autel avec le sang… d’un animal. De même, Moïse (sur lui la Paix !) ne peut pas prendre un sang d’animal, puis en asperger son peuple ? Le sang d’un animal aurait-il une spécificité et une vertu toute particulière ? Et peut-on vraiment entrer dans l’alliance ainsi ?
  
Le culte du ‘Veau d’or’ ne disparaîtra pas vraiment du cœur des gens de la Torah. Certes, le prophète Mochè détruisit l’œuvre de Mikha, son squelette, en aucune façon l’amour que lui portèrent certains d'entre. Son culte reviendra en force, et demeurera d’une certaine façon à travers ‘l’offrande des sacrifices’, les alliances[18]. Enfin, les cultes étrangers[19] finiront par avoir le dernier mot sur le Judaïsme et ses sectes.
  
Question : Comment fut conclu réellement l’Alliance ou plutôt le Pacte avec les Fils d’Israël ? Réponse : Par cette Montagne du Sinaï qu’on fera mettre au-dessus de leurs têtes[20]. Signe évident que le scribe dissimulateur mettra en sourdine[21]. L’emploi de la force s’avèrera nécessaire pour faire accepter et plier les gens de la Torah aux injonctions divines et à Ses ordres. Ceci, les gens de la Synagogue de le dissimuler...

  • La croyance erronée des Pharisiens, secte du monde biblique.

   On a dit d’eux : “les conservateurs du mystère du sang”, le “meurtre rituel”. Cette secte du monde toranique date de la nuit des temps, selon l’historien et chercheur. Selon elle, aucune ‘alliance’ ne peut être faite avec leur Seigneur sans l’écoulement d’un sang : du sang humain ou animal[22]. Aussi avec la circoncision, parlera-t-on de l’écoulement d’un sang humain. Avec le prophète Mochè (sur lui la Paix !), on parlera de l’écoulement d’un sang animal, et avec le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) de l’écoulement d’un sang humain.

  • L’Alliance, version biblique. Son interprétation.

   Selon les grammairiens bibliques, les Fils d’Israël avaient contracté, à différentes époques de leur Histoire sainte, des ‘alliances’ avec leur Seigneur [23] . Aussi nous dit-on :

   “Dans la Bible Hébraïque, le terme usuel pour désigner l’alliance[24] est berît[25] dont la signification n’est pas univoque[26]. Le sens originel était très probablement celui d’engagement[27] ou d’obligation ; il peut s’appliquer à des situations très diverses. On peut retenir trois usages : 1. l’engagement qu’un individu prend à l’égard d’un autre, 2. l’engagement[28] qu’une personne impose à autrui (obligation), 3. l’engagement mutuel de deux parties ; c’est alors mais alors seulement que, à strictement parler, on peut traduire berît par "alliance". Le mot comporte d’abord une valeur juridique ; de soi, il ne dit pas compagnonnage de vie, encore moins communion mystique. Il convient cependant de ne pas durcir ces distinctions, car l’engagement pris s’inscrit généralement dans un réseau de relations déjà existantes entre deux partenaires. Par exemple, l’engagement pris par Jonathan à l’égard de David en 1 Sam 23,18, scelle l’amitié déjà existante entre les deux partenaires (1 Sam 18,1-4). Il est donc tout à fait légitime de traduire alors ce mot par alliance, surtout en contexte religieux, même quand il n’est pas fait mention d’engagement mutuel explicite. Il convient cependant de garder à l’esprit les nuances que peut connoter ce terme selon les contextes sociologiques ou théologiques dans lesquels il se trouve présent. Notons aussi qu’au cours de l’évolution de la signification, berît peut passer de l’engagement au contenu de l’engagement (l’obligation) ; il équivaut alors à "loi" ou à "commandement" (cf. Ex 19,5). (bible-service.net)

ה וְעַתָּה, אִם-שָׁמוֹעַ תִּשְׁמְעוּ בְּקֹלִי, וּשְׁמַרְתֶּם, אֶת-בְּרִיתִי--וִהְיִיתֶם לִי סְגֻלָּה מִכָּל-הָעַמִּים, כִּי-לִי כָּל-הָאָרֶץ.

   Traduction :
  
5 Désormais, si vous êtes dociles à ma voix, si vous gardez mon alliance, vous serez mon trésor entre tous les peuples ! Car toute la terre est à moi,
  
Rachi : Et maintenant Si vous l’acceptez dès maintenant, cela vous sera agréable ensuite, car tous les débuts sont difficiles (Mekhilta).
  
Vous gardez mon alliance Que je conclus avec vous pour l’observance[29] de la Tora.
  
Un trésor Un trésor bien-aimé, comme dans : « et le trésor des rois » (Qohèleth 2, 8) constitué par les objets de valeur et les pierres précieuses amassés par les rois. De même serez-vous pour moi un trésor plus cher que les autres peuples. Mais ne dites pas que vous seuls m’appartenez, et que je n’en ai pas d’autres que vous ! Qu’ai-je d’autre qui puisse rendre évident l’amour que je vous porte ? « Car à moi est toute la terre ». Mais à mes yeux et devant moi ils ne comptent pas.
  
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !   

    Selon Jacob ben Isaac : VOUS SEREZ POUR MOI PRIVILEGIES PARMI TOUS LES PEUPLES (Ex. 19:5). Israël sera le plus précieux de tous les peuples[30] : c’est pourquoi le verset emploie le mot trésor précieux, comme un trésor de pierres très rares que le roi garde caché auprès de lui. Israël vit tout près de Dieu son protecteur[31]. Les nations idolâtres[32], par contre, sont entre les mains des anges[33] du ciel et de Dieu[34].
  
CAR TOUTE LA TERRE EST A MOI (Ex. 19:6). Dieu dit : « Vous devez Me servir. J’offrirai de belles récompenses. Toute la terre M’appartient pour que Je puisse accomplir le bien à quiconque Me sert avec fidélité. » (Op. cit.).

   Nous dirons : A ce genre d’arguments, de prétentions, leur Seigneur a répondu clairement : Coran V 18.
  
Autre : L'étymologie de ce nom est discutée :
  
- soit il dérive de
בּרה barah, "prendre un repas[35]", attesté dans la Bible ; il évoquerait alors le repas festif du cérémonial d'alliance;
  
- soit on l'associe[36] à la préposition akkadienne (sur l'akkadien, voir à cette page) birit, "entre", "parmi", indiquant ainsi la mutualité de l'engagement contracté; ou encore au substantif (construit sur la même racine) biritu, "lien", "attache", ce qui mettrait en évidence les exigences du pacte conclu.

   Conclusion.

   Le vocable hébreu "bérit", alliance, porte à confusion et ne peut-être une source de référence. Car il fait faire à des Prophètes des actes et tenir des propos qui sont contraire à la foi, la logique et l'éthique. Les gens de la Synagogue et de la Torah le lie au 'sang' humain ou d'animaux, ce qu'aucun humain censé ne saurait accepter. Il cache en réalité le terrible récit du mont Sinaï élevé au-dessus de la tête de leurs ancêtres, de ce qui se passa réellement ce jour-là ; et que le monde biblique cherche coûte que coûte à cacher au monde. Et Dieu est plus Savant !  (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !

[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Ces trois choses, importantes pour le judaïsme, se retrouvent d’une certain façon dans le christianisme voulu par Paul. Circoncision du ‘cœur’, baptême, mort [présumée] du Christ. Tout cela formera la ‘Nouvelle-Alliance’ paulienne.  
[6] Comment les gens de la Synagogue et de la Torah, de l’Évangile, peuvent-ils prétendre que le prophète Mochè (sur lui la Paix !) a dit de telles paroles ? En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[7] En expiation pour le peuple (d’Israël), pour le monde toranique. Pour le monde évangélique, le Messie en expiation pour le peuple (d’Israël), et le monde entier. Là, on parlera d’un sang animal domestique, ici d’un sang humain. Tout ceci selon la croyance erronée de la secte biblique dite pharisienne.
  
‘Le mot pharisien vient du terme hébreu péroushim (פרושים) qui signifie séparés. Le pharisaïsme est un courant de la pensée juive dont les adeptes sont appelés pharisiens.’ (fr.wikipedia.org)
  
Les gens de la Bible, en parlant de ces gens égarés, parlent d’un courant de pensée ; non d’une de leurs sectes, d’une secte en soi. Alors qu’ils sont certes d’un courant de pensée, qui fera d’eux ensuite une des secte du judaïsme. Idem pour le monde de l’Évangile. Dans ce milieu, on ne parle pas de sectes au sens propre du mot, mais plutôt de schismes, d’Églises, d’excommuniés, d’hérétiques…
[8] Nous, nous dirons : grâce aux Prophètes et aux Écritures. Ne pas confondre !
[9] Le monde de la Synagogue et de la Torah parle « d’alliance » avec leur Seigneur, le texte coranique de « pacte ». Ne pas confondre !
[10] Leur Seigneur ne leur demande pas de respecter la Torah seulement, mais surtout de la respecter en la pratiquant. Ne pas confondre ! (Coran V 66, 68 ; LXI 6).
[11] Selon l’Islam traditionnel, c’est une tradition abrahamique. Obligatoire pour tous les enfants mâles, non un signe d’alliance en soi.
   Si un pacte a été pris avec les Fils d’Israël et les Judaïsés, c’est celui-ci : l’Ange de l’Alliance biblique (ou le Messager de l’Alliance) est ici, et contrairement aux gens de la Synagogue et de l’Évangile ; uniquement le Sceau de la Prophétie, le prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !). Lire…
[12] Voir réfutation du baptême : lire…
[13] Pour nous, la prière est une offrande : qorbân. Elle remplace les sacrifices, les offrandes.
[14] Pour l’Islam traditionnel entendre : le FAUX-MESSIE, annoncé par tous les Prophètes du Seigneur des mondes, sans exception. Il sera mis à mort par le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) lors de son « retour » en ce bas monde.
   Les gens de la Synagogue et de la Torah croient, dur comme fer, qu’il sera vraiment le « messie » attendu et annoncé dans leurs Écritures. Mais à eux de faire fausse route !
  
 Moghîra fils de Cho’ba rapporte : "Nul n'a posé plus de questions au Messager de Dieu (sur lui Prière et Paix !) au sujet du Faux Messie, que moi-même. Et il m'a dit :
  
"Il ne te fera pas de tort". Je lui demandai : "On dit qu'il a avec lui une montagne de pain (soit il viendra avec beaucoup de nourritures) et un fleuve d'eau ?"
  
Le Prophète répondit : "Il est trop méprisable au regard de Dieu pour que cela soit une preuve de sincérité."
  
Abou Horairah rapporte ces paroles du Messager de Dieu (sur lui Prière et Paix !) :
  
"Vous dirai-je au sujet du Faux-Messie ce qu'aucun prophète n'a dit (auparavant) à son peuple ? Il est borgne et il dispose d'une représentation du Paradis et de l'Enfer. Ce qu'il prétend être le Paradis est en réalité l'Enfer." (Transmis par Bokhari et Mouslim).
  
Hodhayfa rapporte du Prophète (sur lui Prière et Paix !), et concernant le Faux-Messie :
  
"Quand apparaîtra le Faux-Messie, il aura avec lui de l'eau et du feu. Ce que les gens prendront pour de l'eau sera en réalité un feu brûlant, et ce qu'ils prendront pour du feu sera une eau douce et fraîche. Que celui d'entre vous qui verra ce temps-là se plonge dans ce qu'il lui semble être du feu, car il s'agit d'une eau douce et agréable à boire. De plus, le Faux-Messie a un oeil éteint, recouvert d'une peau cornée et épaisse, et il porte écrit sur son front (litt : entre ses yeux) : "Kafîr" (mécréant). Tous les croyants (soumis) le verront, qu'ils sachent lire ou non." (Transmis par Bokhari et Mouslim).
[15] Comment peut-on attribuer à Dieu de telle chose ? En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[16] Rite païen ou mythique. Rite hérité des gens de Babel, d’une secte du Dualisme (ou Magisme) dénommée : Mithraïsme. Le séjour et l’exil des Fils d’Israël à Babel (Irak) aura une influence notoire et néfaste sur eux. Les survivants rapporteront dans leurs bagages d’autres cultes comme : l’Angéologie, le libre-arbitre… A l’instar, plus tard, des gens de l’Évangile (notamment ceux de l’Empire romain – Italie). Ils introduiront ainsi de telles croyances des gens du Dualisme dans leur religion respective, bien qu’ils s’en défendent.
  
Les gens des loges, maçons, cabalistes, sectes occultes, etc., se réclament tous du Dualisme. Les révolutionnaires de 1789 et +, leurs frères du Laïcisme d’après : prendront et adopteront des gens du Dualisme le célèbre bonnet phrygien !
  
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
  
« Jeune homme, il [Zarathoustra] décida de devenir prêtre (zoatar), mais il s'opposa vite à l'antique culte iranien de Mithra, caractérisé par de cruels sacrifices [de taureaux].(...) Il combattit les sacrifices animaux, du fait de sa conviction qu'eux aussi possédaient une âme. » — Encyclopédie des religions, Gerhard J. Bellinger.
  
Dans l' Ahunavaiti Gatha, Zarathoustra (ou Zoroastre) accuse en effet certains de ses co-religionnaires d'abuser de la vache (Clark, P. 13 Zoroastrianism). Le Dieu Ahura Mazda demande à Zarathoustra de protéger les bovins (Clark, P. 13 Zoroastrianism).
  
L'avènement du zoroastrisme (vers 558 av. J.-C.) qui domina en Iran (jusqu'en 651 ap. J.-C.) signe la fin du culte de Mithra dans sa région d'origine (Encyclopédie des religions, Gerhard J. Bellinger, éd. Livre de Poche.).
  
L’arrivée de l’Islam dans cette partie du monde, en terre Perse, mettra fin au Dualisme. Mettra fin à deux empires régionaux qui se combattaient sans cesse : 1) l’empire byzantin et 2) l’empire perse.
  
Les gens de la Bible, leurs historiens, se gardent bien de mentionner cela à leurs coreligionnaires. Pourquoi ? Ni Jérusalem ni Rome ni Athènes ni Byzance ne pourront mettre fin au Dualisme, au contraire, il sera pris en considération dans certaines de leurs croyances. Et ceci jusqu’à ce jour.
[17] Hébreu, francisé biblique : Aaron ; arabe, Haroun. Certains Dignitaires bibliques voient en lui : un prêtre (gens de la Synagogue), un sacrificateur (gens de l’Évangile). Pour l'Islam traditionnel, il est avant tout un prophète. Il assistera son frère dans la Prophétie. Il sera un Officiant.
[18] Notamment à travers les gens ayant été à Babel, après la destruction du premier Temple. Et c’est la secte des Pharisiens qui semble l’auteur de ces fausses croyances, rumeurs. Et la Bible entre les mains des gens de la Torah ne saurait être une référence pour infirmer cela.
  
Selon le texte coranique :
  
"tandis que, dans leurs coeurs on les abreuvait (de l'amour) du Veau."
  
Soit : son amour est entré dans leurs coeurs et l'avidité à l'adorer, exactement comme l'effet de la teinture avec le vêtement. D'après le récit, on a dit que le prophète Mochè a commandé qu'on lime le ‘Veau d’or. Puis, qu'on répande la limailles de celui-ci dans la rivière. Ensuite à lui de donner l'ordre qu'ils en boivent. Celui dont il restait un peu d'amour du Veau dans le coeur, vit apparaître la limailles de l'or sur ses moustaches.
  
Dis (leur) : "Comme est mauvais ce que vous ordonne votre foi, si vous êtes croyants !" (Coran II 88-96)
  
Leurs ennemis ne leur reproche-t-il pas d’aimer l’or outre mesure, et tout ce qui a un rapport, de près ou de loin, avec ce métal précieux ? D’où leur colère ! N’est-ce pas un héritage du temps passé avec les Coptes, gens de l’Égypte ancienne et de sa religion ? Les Coptes de l’Égypte ancienne avaient pour l’or un regard particulier notamment pour leurs défunts.
[19] Selon Haï Bar-Zeev : Lorsque le Coran rapporte l’histoire de la faute du veau d’or, il précise que c’est le Samiri – le Samaritain – qui a fait le veau (20, 85-87). Indication pour le moins surprenante, car les Samaritains ne faisaient pas partie de ceux qui accompagnèrent le peuple hébreu dans le désert. Ils ne furent judaïsés qu’à l’époque du roi Osée, huit siècles après Moïse. Mais l’expression Samiri du Coran n’est pas fortuite. En fait, les deux histoires y sont amalgamées : celle qui est relatée par le livre de l’Exode et celle que rapporte le livre des Rois. D’après le Midrach, ceux qui fabriquèrent le veau d’or furent les non-juifs qui accompagnaient les Hébreux. Convertis théoriquement au judaïsme comme la plus tard les Samaritains, ils restèrent pourtant attachés au culte des idoles. Le roi Jéroboam instaura le culte d’un veau d’or et le roi Achab le poursuivit dans sa capitale, la ville de Shomron, qui devint plus tard celle des Samaritains. (Une lecture juive du Coran. Edit. Berg international).
  
Nous dirons : 1) Lorsque le Coran rapporte l’histoire de la faute du veau d’or… Certains sages disent : Un homme du nom de Mikha  (San. 101b.) (…) prit donc cette plaque et la jeta dans le feu d’où sortit un veau qu’Israël adora comme une idole. (Jacob ben Isaac. Le commentaire sur la Torah.). Fait mis en sourdine par les gens de la Synagogue et de la Torah. Le Coran ici ne fait que dévoiler ce que cache en leurs écrits le monde de la Synagogue aux gens. 2) Concernant la secte dites des « samaritains », elle fait partie intégrante (de nos jours) des sectes du judaïsme. Au même titre que : les pharisiens, les esséniens, les karaïtes, les libéraux, les orthodoxes, etc.  Secundo : la religion de tous les Prophètes envoyés aux Fils d’Israël et aux Judaïsés a toujours été la Soumission (l’Islam), non jamais le judaïsme. Le Seigneur des mondes n’ayant qu’une seule Religion : la Soumission. Ne pas confondre ! Tertio : ‘Ils ne furent judaïsés…’. Faut-il comprendre qu’ils viendront grossir les gens du judaïsme et de ses sectes de l’époque ? Époque où la déviation du peuple d’Israël et de ses dirigeants se faisaient durement sentir. Mais on ne peut prêter attention à de tels propos. Les gens de la Synagogue ayant frelatés leur Histoire sainte, ils ont donc perdu, aux yeux des gens, toute crédibilité. Quatrièmement : D’après le Midrach, ceux qui fabriquèrent le veau d’or furent les non-juifs… Celui qui fabriqua de ses mains le veau d’or, nous le connaissons. Qu’il soit ou non du peuple d’Israël, cela ne change rien à l’affaire. Car fabriqué par un autre : c’est le peuple tout entier qui l’adorera ensuite ! Preuve de faiblesse de sa foi et de sa certitude en leur Seigneur. Est-ce cela que leur commandait leur foi, s’ils étaient de véritables croyants en leur Seigneur ? Facile d’accuser autrui, clame l’écho !
  
On se souvient de notre temps, et dans une des doctrines et idéologies du judaïsme (le social-communisme), note l’observateur, où il fut dit : "responsable mais pas coupable" ! (23 nov. 2006 ... On se souvient de cette formule rendue célèbres par Georgina Dufoix lors du scandale du sang contaminé. Pour ma part c'était la première...) La polémique est devenue rapidement politique… au sein du Partissisme du monde biblique de l’Hexagone.
[20] Et qu’ils voudront quitter le plus vite possible : Ils partirent de la montagne de YHVH (Nom. 10 :33). Ils quittèrent sans tarder le mont Sinaï car ils craignaient que Dieu ne leur impose de nouveaux commandements. Ils ne souhaitaient plus en recevoir… (Op. cit.)
[21] Cet incident sera enlevé du texte officiel pour se retrouver sur la langue de certains rabbanim et de leurs écrits : Talmud, etc.
[22] On a dit : Dans le monde juif, en Israël, avaient également cours plusieurs coutumes.
Au temple de Jérusalem, de nombreux animaux étaient sacrifiés pour Dieu : certains en "holocauste" (entièrement brûlés) ; d’autres en "communion" (brûlés en partie seulement, le reste étant consommé par les offrants). Ces repas étaient appelés todah, ils symbolisaient une "action de grâce".

  
Par ailleurs, dans le milieu des scribes d’affinité pharisienne, les repas dits "de compagnons" permettaient de s’assurer des nourritures "pures" rituellement. Le but de ces rassemblements n’était pas tellement de souder entre eux les membres du groupe, mais de respecter au plus près tous les préceptes de Moïse touchant les règles de la nourriture. (croire.com)
[23] Voir la Bible.
[24] Mentionnons que le vocable hébreu "bérit", alliance, a pour racine : b,r,t, couper, diviser. Le bérit a été tout d'abord la victime coupée en morceaux, servant de signe au traité conclu ; puis ce mot a été employer pour signifier alliance d'un peuple avec un autre ; un pacte d'amitié entre deux individus ; un contrat de mariage. Il est enfin devenu le terme technique employé pour parler de l'alliance d'un caractère tout particulier, du convenant établi entre Dieu et son peuple.
[25] 1. Alliance. Hébreu BeRIT ; latin : foedus, testamentum, grec : διαθηκη (diathèkè). 2. Le vocabulaire utilisé en hébreu est « berît », et en grec, la Septante (ancien testament en grec) traduit par « diathêkê ». Cela signifie un pacte, un contrat entre deux parties. Le mot grec signifie aussi « testament » : c’est cette traduction qui a été retenue pour nommer les deux parties de la Bible : ancien et nouveau Testament qui signifient donc ancienne et nouvelle Alliance. 3. Ce qui est appelé Alliance en terme biblique ne correspond pas exactement au seul terme “mithâq - ميثاق” (engagement) car ce terme ne concerne à vrai dire que les Fils d’Israël qui “s’engagent”. C’est l’ensemble des deux termes, Engagement des Fils d’Israël d’une part et “prise” de cet Engagement par Dieu d’autre part qui forme ce qui est appelé en terme biblique l’Alliance.
  
Rappelons qu’il existe dans le monde toranique une secte dénommée : les fils de l’Alliance. 2. B’nai B’rith signifient en hébreu « les Fils de l’Alliance ». C’est une organisation maçonnique n’acceptant que des Juifs et qui fut fondée le 13 octobre 1843 à New York au Café Sinsberner par 12 Juifs immigrés d’Allemagne in Tribune juive, n° 997, 13 au 19 novembre 1987, p. 18. (mecanopolis.org)
[26] Qui n’a qu’un sens.
[27] Qui correspond au terme coranique de : d’engagement (ميثاق), de nouveau pacte.
[28] Le terme coranique parle ici d’engagement (ميثاق), de nouveau pacte, plutôt que d’alliance. Soit : ce que toute personne responsable a contractée avec elle-même (أن الميثاق ما وثقه المكلف على نفسه،). Ne pas confondre !
   Et ce sens semble le plus proche puisqu’il est soumis à conditions. Si vous obéissez, en contre partie voilà votre récompense ! Dans le cas contraire, la punition vous attend ! Et contrairement à l’enseignement du monde de la Synagogue et de la Torah cela n’engage, n’oblige en rien leur Seigneur. Les concernés sont uniquement eux. Ceux qui trahiront ou ne respecterons pas leurs engagement, ce sera uniquement eux. Et à partir de là, leur Seigneur n’est redevable de rien et en rien envers eux.
[29] Le monde de la Synagogue et de la Torah préfère ce vocable à celui de « pratiquer », de « mettre en pratique » la Torah. Ne pas confondre ! D’où la parole de leur Seigneur à leur encontre : Coran LXII 5.
  
Selon Haï Bar-Zeev : Nous écouterons et nous exécuterons est à comprendre ainsi : nous écouterons ce que Moïse nous dira au nom de Dieu et nous l’exécuterons ! Il est précisé : « Approche-toi [Moïse] et écoute ce que Dieu l’Éternel dira, et c’est toi qui nous parlera de tout ce que Dieu te dira et nous écouterons et nous exécuterons ! (Deutéronome 5,25). (Une lecture juive du Coran. Edit. Berg international).
  
 Nous dirons : paroles en l’air ! Le peuple, décrit dans le texte biblique, n’a fait que murmurer contre son Seigneur et Son prophète. Quand il leur fut ordonné de combattre les géants de Canaan, ils se rebellèrent. Les exemples ne manquent pas dans la Bible. Ils ont accusé leur prophète d’avoir commis des fautes, des faux pas et des péchés ! Accusé injustement Aharon d’être l’auteur du ‘Veau d’or’, alors qu’il s’agit en vérité de Mikha. Et enfin, aux gens de la Synagogue d’avoir créés de toutes pièces les lois talmudiques et rabbiniques à la place des lois toraniques. Où est la prétendue obéissance à leur Seigneur et leur prophète Mochè (sur lui la Paix !) ? Où est leur soumission aux injonctions et institutions divines ?  
[30] Uniquement d’après le monde de la Synagogue et de la Torah. L’Islam traditionnel réfute de telle croyance.
[31] Est-ce le cas des Hébreux en Palestine, en Terre sainte ? Leur protecteur est-ce leur Seigneur ou les seigneurs du monde de l’Évangile dont ceux du monde anglophone, en particulier ?
[32] En clair, toutes les nations sont idolâtres dont la nation islamique puisque cette dernière croit à la Prédestination. Selon cette vision des choses : En aucune façon le Paradis pour toute nation ne professant pas le judaïsme !? Reste à savoir ensuite qui parmi les gens du judaïsme entreront au Paradis : serai-ce les libéraux, les orthodoxes, les séfarades, etc. ?
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !   
[33] Les Anges ne semblent guère être les amis des gens de la Synagogue et de la Torah. Toutefois, il existe un culte pour les ‘anges’ parmi les gens du monde toranique. Notamment auprès des gens de la Kabbale.
[34] Ce qui est faux. Tous les fils d’Adam sont sous Son autorité, sans exception. Et les anges également. Ils ne font rien sans Son ordre. Et les gens de la Synagogue et de la Torah n’échappent pas non plus à Son autorité. Quant aux anges, obéissants à leur Seigneur, ils s’occupent de tous les fils d’Adam sans exception.
[35] Remarque importante.
[36] Sens plus proche.



Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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21/11/11.

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