Histoire sainte biblique

HISTOIRE DE MIKHA - LE SÂMIRY

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


L'Histoire d'un homme énigmatique : Mikha ou Le Sâmiry. Verse et controverse.


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   L’Histoire de Mikha dans la Bible est une histoire qui mérite qu’on l’étudie. Elle met en lumière le récit d’un peuple qui, bien qu’il soit une branche de la famille abrahamique, a dérivé et a entraîné dans son sillage bien des gens dans l’égarement. Le problème toutefois, c’est que les personnes concernées ont caché une partie de la vérité, voir la vérité toute entière. Elles en porteront seules la haute responsabilité au Jour des Comptes.
   Nous savons tous que le Seigneur des mondes a donné et révélé la Torah à Moïse (sur lui la Paix !) et, que celui-ci, contrairement à l’idée reçue, n’en est ni l’auteur ni l’écrivain, ni le copieur. Nous savons tous aussi qu’avec la destruction du premier Temple, la Torah disparaîtra, sera détruite, brûlée. Elle sera reconstruite, remise en service à travers un homme qui l’a connaissait par cœur : Esdras
[5] ou Ozair (Coran IX 30). Loin de reconnaître ce miracle divin, les Fils d’Israël et les Judaïsés de l’époque le prendront pour un fils du NOM !  
   Puis, viendra le sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !). Lui aussi connaissait la Torah par cœur. Loin de le reconnaître comme un prophète et un messager du NOM, ils le traiteront de menteur et chercheront à le faire périr. Ils refuseront sa mission prophétique et le Livre divin descendu sur lui : l’Évangile.

  • La Torah de nos jours. 

   Une question se pose : La Torah descendue sur Moïse (sur lui la Paix !) et entre les mains des gens de la Bible, est-elle celle gravée sur les Tables ? Ou est-ce une autre ? 
   Pour l’homme biblique aucun doute à avoir : la Torah entre les mains des gens de la Synagogue, de l’Évangile, est bien cette Torah là. 
   Pour l’homme coranique : ce n’est pas l’original. Ce n’est qu’un Livre divin arrangé au goût et au désir des gens de la Synagogue et de la Torah. Pour preuve :
    ̶  Les contradictions la composant. Altérations, légendes, histoires tronquées, etc.
    ̶  Attaques en règle contre les Prophètes du NOM, récits tronqués, atteinte à leur dignité, les mensonges et calomnies les concernant, leurs assassinats, tentative de meurtre, etc. 
   ̶ Enfin la disparition totale et entière de la venue du sceau de la Prophétie, le Prophète Ahmad (sur lui Prière et Paix !). Sa description, ses attributs, les attributs de sa communauté, tout cela manque au Texte entre les mains des gens de la Bible. La faute en revient à qui, demande le lecteur ? A leurs ancêtres ayant côtoyés le Prophète Ahmad (sur lui Prière et Paix !). En effet, ce sont eux qui enverront des missives à leurs coreligionnaires à travers l’Arabie et autres continents, les invitant à ne pas suivre le prophète apparut, sa religion et surtout le Livre descendu sur lui : le Coran.

  • Le problème.

   Le problème entre les gens de la Torah et les gens du Coran n’est pas un problème de croyances, mais un problème de personne. Jusqu’au dernier instant, les gens de la Torah vivants en Arabie, à Médine notamment, espèreront que le sceau de la Prophétie serait l’un des leurs. Mais à leur grand regret, le plan divin fera que c’est un fils de la Délaissée, Agar qui sera choisi par le divin Créateur. Et cela, aucun homme de la Torah ne l’acceptera, ou aura du mal à l’accepter. Leur jalousie les perdra. Et à eux de se consoler toutefois par la venue d’un Messie [fictif] qu’ils attendent, disent-ils, avec impatience...

Raisons de l'écart entre la vérité historique et les textes bibliques.

   On a dit : On a longtemps supposé que les recopieurs de la Bible suivaient scrupuleusement à la lettre près ce qu’avaient écrit leurs prédécesseurs. Les premiers auraient été directement inspirés par Dieu. Or, on constate qu'en fait, ces textes sont très éloignés de la réalité, voire contradictoires entre eux. Quand et comment cette évolution des textes a eu lieu et surtout pourquoi ? Thomas Römer, professeur d'ancien testament à la faculté théologique de sciences des religions de l'université de Lausanne, Professeur au collège de France, donne les grandes lignes des réponses à ces questions. (fr.wikipedia.org)

   A la lumière du Coran, nous apprenons pourquoi la Bible n’est pas restée ce qu’elle est, intacte. Ce qu’ont fait les Fils d’Israël et les Judaïsés après Moïse (sur lui la Paix !). Qu’on en juge :

   « Parce qu’ils rompirent leur engagement, Nous les avons honnis et Nous avons rendu leurs cœurs durs. Ils détournent les termes [de la Torah] de leurs significations et ils abandonnèrent une partie de ce à quoi ils avaient été exhortés.
   Tu ne cesseras pas d’éventer quelque trahison de leur part excepté d’un petit nombre d’entre eux. Fais leur grâce et ne leur tiens pas rigueur, car en vérité Dieu aime ceux qui agissent parfaitement ! » (Coran V 13).

   Décryptage.

القول فـي تأويـل قوله تعالـى: { يُحَرّفُونَ الكَلِـمَ عَنْ مَوَاضِعِهِ }.
يقول عزّ ذكره: وجعلنا قلوب هؤلاء الذين نقضوا عهودنا من بنـي إسرائيـل قسية، منزوعاً منها الـخير، مرفوعاً منها التوفـيق، فلا يؤمنون، ولا يهتدون، فهم لنزع الله عزّ وجلّ التوفـيق من قلوبهم والإيـمان يحرّفون كلام ربهم الذي أنزله علـى نبـيهم موسى صلى الله عليه وسلم، وهو التوراة، فـيبدّلونه ويكتبون بأيديهم غير الذي أنزله الله جلّ وعزّ علـى نبـيهم ويقولون لـجهال الناس: هذا هو كلام الله الذي أنزله علـى نبيه موسى صلى الله عليه وسلم والتوراة التـي أوحاها إلـيه. وهذا من صفة القرون التـي كانت بعد موسى من الـيهود مـمن أدرك بعضهم عصر نبـينا مـحمد صلى الله عليه وسلم، ولكن الله عزّ ذكره أدخـلهم فـي عداد الذين ابتدأ الـخبر عنهم مـمن أدرك موسى منهم، إذ كانوا من أبنائهم وعلـى منهاجهم فـي الكذب علـى الله والفرية علـيه ونقض الـمواثـيق التـي أخذها علـيهم فـي التوراة. تفسير جامع البيان في تفسير القرآن/ الطبري

   « Ils détournent les termes [de la Torah] de leurs significations ». Dieu veut dire ceci : Nous avons endurci le cœur des Fils d’Israël qui ont rompu leurs engagements avec Nous, de telle sorte que leur cœur devînt impénétrable au moindre bien et que la réussite en fût retirée ; c’est ainsi qu’ils perdirent la foi et cessèrent d’être bien guidés. Dieu Tout-Puissant et Majestueux ayant retiré de leurs cœurs la réussite et la foi, ce qui les amena à altérer la Parole que leur Seigneur avait révélée à Moïse, c’est-à-dire la Torah, à en modifier les termes et à l’écrire de leurs mains sous une forme autre que celle sous laquelle elle avait été révélée de la part de Dieu Tout-Puissant et Majestueux à leurs prophètes. Et les ignorants de dirent après cela que :  ceci était bien la Parole que Dieu avait fait descendre sur Son prophète Moïse (sur lui la Paix !), la Torah qu’Il lui avait révélé !

   Tabari précise : Cette description [ne fait pas à proprement parler partie de la description des Fils d’Israël contemporains de Moïse, mais] concernant ceux des siècles suivant notamment ceux d’entre eux qui vécurent à l’époque de notre Prophète Mohammad (صلى الله عليه وسلم). Dieu les compte en quelque sorte ici au nombre des contemporains de Moïse qu’Il a décrits en premier lieu et qui rompirent les engagements qu’Il prit dans la Torah, car ces Juifs qui refusaient de reconnaître le Prophète, non seulement étaient des descendants de ces gens-là, mais suivaient aussi la même voie qu’eux pour ce qui est du mensonge et de l’imposture envers Dieu, rompirent leur engagement qu’Il prit d’eux dans la Torah.

Réception de cette version historique par les gens de la Synagogue

   On a dit : Depuis trois siècles maintenant, les découvertes archéologiques et historiques remettent en cause un grand nombre des affirmations bibliques. Les récentes découvertes sont dans la continuité de cette remise en cause. Comme à chaque fois, les autorités religieuses se scindent en deux:

  • les traditionalistes qui croient à la lettre le texte biblique et qui donc réfutent en bloc les versions des historiens. Ce groupe des traditionalistes, se divise en nombreux sous-groupes, selon ce qu'ils sont prêts à concéder de non historique dans la Bible. Les puristes qui semblent cependant minoritaires ne concèdent rien et sont toujours convaincus de la fiabilité totale de la Bible et donc d’une terre monothéiste depuis ses débuts, il y a 5 700 ans. La majorité cependant reconnaît le côté mythique de l’histoire biblique de la terre et considère seulement comme vérité, la partie de l’histoire biblique qui commence à la naissance d’Abraham à Ur.
  • les mystiques, comme ils se nomment eux-mêmes, acceptent les versions des historiens tout en ne remettant pas en cause la Bible qui est, pour eux, comme par exemple le Rabbin Marc-Alain Ouaknin, "un ensemble de textes fondamentalement métahistoriques où tout l'intérêt consiste à aller à l'origine de chaque mot pour savoir comment ce mot fait sens, dans et au delà du récit que je lis. Dans la Bible le monde se mesure en pages et en lettres[6]". (…) (fr.wikipedia.org)

   Les gens de la Synagogue et de la Torah avec leur présence en terre de Canaan espéraient que les découvertes archéologiques et historiques seraient pour eux un puissant apport pour confirmer les textes bibliques et leur Histoire sainte en terre de Canaan[7]. Les recherches sont tellement pauvres qu’ils ont dû se rendre à l’évidence. Et voyant le danger de ne pas pouvoir prouver au monde la moindre preuves archéologiques plus favorables à la Torah ; ils se sont censurés, ont appelé avec une partie de leurs frères de l’Évangile, à ‘freiner la diffusion de "cette nouvelle histoire du judaïsme" dans le grand public. D’où :

Freins actuels à la diffusion de ces découvertes

"Certains, notamment dans les religions juives et protestantes évangéliques, jugent que ces informations nuisent à la légitimité de l'état d'Israël. Ils cherchent donc à freiner la diffusion de "cette nouvelle histoire du judaïsme" dans le grand public, tant qu'il existe la moindre chance de trouver des preuves archéologiques plus favorables à l'Ancien Testament." (fr.wikipedia.org)

Exemple d'une vision traditionaliste

"Le grand Rabbin Michel Gugenheim est le directeur de l'école rabbinique de France depuis 1992. Il a formé des générations de rabbins en France. Quand on lui parle de ces affirmations des historiens et archéologues, il répond :
   "Ces affirmations ne nous font pas sursauter. Personnellement, je n'y prête pas grand intérêt. Chacun est libre d'imaginer ce qu'il veut. Mais le peuple juif croit depuis des générations à ce qui est écrit dans la Torah et il s'y tient. Au fond l'enjeu est le suivant. Dire que la Torah a été écrite sous Josias, qu'elle transmet de simples mythes, c'est dire que le texte ment. Cependant, aucun archéologue ne pourra jamais prouver formellement que le texte de la Torah est faux. Dans ce texte, tout ce tient, il existe des calculs de dates qui le confirment. La Bible est un texte très ancien, qui donne des informations fiables sur le plan historique." (fr.wikipedia.org)

Exemple d'une vision mystique

   "Le Rabbin Marc-Alain Ouaknin est professeur associé à l'université de Tel-Aviv. Son livre "Mystères de la bible" tente d'expliquer comment quand et par qui les textes bibliques ont été écrits et transmis.
   "Savoir que Moïse n'a pas écrit la Torah ne me gêne pas. Et l'existence ou la non-existence des patriarches Abraham, Isaac et Jacob me laisse indifférent. Car pour le mystique, même l'existence de Dieu n'a aucune pertinence. Même Dieu est un "peut-être", une hypothèse. Il a inventé le doute, enseigne un maître hassidique, pour que nous puissions douter de lui". (fr.wikipedia.org)
   Autre exemple : Le rabbin Léonard Lévy a fait sermon le 7 novembre 1909, qui ne manque pas d’intérêt : « Autrefois on croyait que chaque mot de la Bible était la vérité absolue. Il n’en est plus ainsi. Le travail des chercheurs a établi que la Bible est un produit de l’intelligence humaine du commencement à la fin, contenant certaines erreurs, certaines vues inexactes, dues à la faillibilité de ses auteurs qui étaient des hommes. C’est un résultat des plus précieux. »

   Conclusion.

   Certes, aucun archéologue, scientifique, intellectuel, ne pourra jamais prouver formellement que le texte de la Torah est faux. Mais ce que l’on ne peut faire, son Seigneur le peut. Et avec la Révélation du sceau des Écritures, nous savons tous que la Torah originelle n’est plus : le Texte original a disparu. Et contrairement à l’idée reçue, dans ce texte, rien ce tient, il existe des dates, des lieux, des récits qui confirment le contraire. La Bible est certes un texte très ancien, mais qui donne des informations non fiables sur le plan historique. Et le monde de la Torah est incapable de nous indiquer, par exemple, où sont enterrés leurs Prophètes dont Mochè et Aharon, en particulier ! 
   Question : Se peut-il qu’on suive cet adage sur le Créateur : "Il a inventé le doute, enseigne un maître hassidique, pour que nous puissions douter de lui" ? Nullement. Dieu enseigne à Ses esclaves la certitude en Lui, le doute est une émanation de Lucifer, de Satan le lapidé (que Dieu le maudisse !). Ne pas confondre !

  • L’Histoire sainte du peuple hébreu. Chute et décadence d’un peuple. Pertes de ses prérogatives divines, de ses valeurs. Vouer à l'exécration.

   Quand on veut abattre son chien, on dit qu’il a la rage, dit le vieux proverbe. Les gens de la Synagogue et de la Torah, depuis des décennies, en leur grande majorité, se sont conduits vis-à-vis de leurs Prophètes comme s’ils voulaient les éliminer à tout jamais de la surface de Terre sainte, les faire disparaître de leur mémoire et certains d’entre eux ont fini par passer à l’action, en cette Terre des Prophètes, des saints et des martyrs. Cela reste dans l’Histoire sainte des Fils d’Israël et des Judaïsés comme une immense tâche immonde sur leur passé en Terre de Canaan, disent les Savants et les observateurs.

   Aux fins de préparer les esprits à ce qu’ils paraissent souhaiter, ils n’accusent pas leurs Prophètes et les gens du peuple qui les soutiennent (les soutenaient) d’avoir la rage, non, toujours pas : ils usèrent d’une panoplie de calomnies, d’insultes, de mensonges et de falsifications, de moyens de propagande et d’outils de désinformation extrêmement diversifiée.  
   De cette guerre et de ce combat sans merci contre leurs Prophètes du divin Créateur sont nés plusieurs contes, mythes, ragots, commérages, rumeurs, médisances, mensonges, calomnies, diffamations, procès d’intention, falsifications de l’Histoire sainte qui, à force d’être mille fois rabâchés par leurs auteurs, ont fini par devenir une sorte de « vérité ».
   Il est grand temps, disent les Savants, défenseurs du Droit et de la Vérité, de combattre ce genre de choses, de contrevérités. Grand temps aussi de renommer les choses telles qu’elles doivent être et se sont passées à la lumière du sceau des Écritures[8] et de la Tradition, de l’enseignement des Anciens. (à suivre)

Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !

[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.  
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] On t’enlèvera du milieu des hommes et tu resteras avec mon fils... Laisse les pensées humaines , rejette loin de toi le fardeau humain , revêts l’immortalité. (Livre d’Esdras 4 , 14 , 9 , 1). Trad. R. Basset.
   Autre : Car tu vas être retiré du milieu des hommes pour passer le reste du temps avec mon fils et avec ceux qui te ressemblent, jusqu’à ce que les temps soient achevés.
[6] Le monde des religions page 33 numéro 32.
   Et d’ajouter : L’absence d'une autorité suprême dans le judaïsme, à l'opposé du Vatican catholique, ne permet pas de savoir quelle est la voie officielle. Cependant le "Monde des religions" pense que les positions traditionalistes sont "représentatives du judaïsme français". (fr.wikipedia.org)
[7] De notre temps, les gens de la Bible misent tout sur les scientifiques, leurs recherches, l’archéologie, etc. Tous les espoirs se fondent sur ces données, leurs données. Tel n’est pas le cas des gens du Coran ! Ils croient avec certitude en l’Invisible, et ne s’attachent nullement à ce genre de choses, de données. Concernant l’histoire, l’archéologie, les gens de l’Islam ont leur regard sur deux choses principales :
   La première : L’Histoire du prophète Avraham et du prophète Ismaël, son fils.
   La seconde : Le centre du monde de l’Islam : Makkah, pour venir y effectuer des visites, et surtout une des bases de la Religion divine : le Pèlerinage.
   Enfin pour eux, la science humaine est basée sur la conjecture, la science divine sur la certitude. Quant au scientifique, à lui d'adorer son intellect non son Créateur ! D'où toute perte de crédibilité auprès des gens de son espèce... Et Lucifer se rit de lui !
 
[8] Le Coran.



Statue du taureau Apis
qui ornait une chapelle du dromos du Sérapéum de Saqqarah
qu
Rappelle-toi du 'Veau' de Mikha, ô homme de la Torah !


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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Cette page a été mise à jour le
18/11/11 .

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