HISTOIRE

HISTOIRE SAINTE BIBLIQUE

Selon les Ecritures.

Au nom de DIEU,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Yehudi-Yehudim-Yahoud.

מיהו יהודי ؟
   من هو اليهودي؟


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Suite Page 2

   Les Fils d'Israël face à la judaïté.

    Nous dirons : la judaïté (sens religieux) est à attacher exclusivement à la religion. Dans les Écritures, en mentionnant les Fils d'Israël, on nous parle, par contre, des asbât : des Tribus d'Israël. Pour preuve :

 « Et Nous les découpâmes en douze, par tribus, par communautés… » (Coran VII 160). De même : « Et Dieu très certainement pris l'engagement[5] des Fils d'Israël. Et Nous suscitâmes d'entre eux douze chefs. Et Dieu dit : « Je suis avec vous, certes, pourvu que vous établissiez la Prière et acquittiez l'impôt et croyiez en Mes messagers et les aidiez et prêtiez à Dieu un prêt d'honneur. Alors, très certainement Je vous effacerai vos méfaits, et très certainement vous ferai entrez aux Jardins sous quoi coulent les ruisseaux. Et quiconque après cela mécroit, vraiment il s'égare de la droiture du sentier ! » (Coran V 12).

    Le Seigneur des mondes les a divisés en douze[6] sections, qui furent les douze Tribus d'Israël. Chaque tribu avait sa source pour boire, son passage pour traverser dans la mer, son responsable de tribu. Et chaque Tribu a (et avait) un nom particulier. Voir une fonction particulière au sein même de ce système très complexe[7]. Ainsi, dans la Bible, nous parlera-t-on pas de la Tribu de Juda, par rapport à Juda fils de Jacob, à qui fut donnée telle fonction, etc. Pour le monde arabe[8], on parlera plutôt de qabâïl. Et pour les autres Fils d'Adam de nations[9], (Coran XLIX 13). Enfin, et quand un peuple est loin d'une chose qui s'appelle la foi, il tombe nécessairement dans des idéologies athées et incroyantes, philosophiques ou autres comme : l'individualisme, le sectarisme, le nationalisme, le tribalisme, etc. Car pour lui, seul l'ici-bas compte. Et pour cet idéal certains n'hésiteront pas, le cas échéant, à imposer leurs points de vues, leurs croyances et leur idéal par la force, et si besoin est… Relisez l'Histoire !   

    Spécialité talmudique. La référence à la transmission du sang : ceux dont la mère est de confession juive. Patrilinéarité ou matrilinéarité ? Le débat.

   Cette loi est propre aux gens de la Synagogue et de la Thora[10]. Sous prétexte que la vie est donnée par la future mère, les gens de la Synagogue : les rabbis, les sages, les ravs, etc., ont cru bon de donner à la femme juive ce rôle de premier rang. Jules Ferry d'écrire à ce sujet dans son article :

 Mais d'autres, pas forcément antisémites, parfois même au contraire, font valoir qu'une des définitions traditionnelles du judaïsme se fait en référence à la transmission du sang : seuls ceux dont la mère est juive, et c'est pourquoi d'ailleurs on parle parfois de « demi-juifs » lorsqu'un des deux parents est « goy » [11]. De là aussi la prohibition des mariages mixtes, qui implique en quelque façon une définition biologique des peuples. A quoi l'on peut objecter bien sûr que les juifs d'aujourd'hui n'ont plus aucune goutte de sang ni le même héritage génétique en commun : il y a des juifs noirs, chinois, indiens, caucasiens, blonds aux yeux bleus, bruns aux yeux noirs, etc., si certains caractères ethniques ou phénotypiques se retrouvent parfois plus fréquemment dans certaines communautés comme dans toutes les autres communautés du monde, ni plus ni moins, aucun n'est commun à tous les individus qui les composent… pour ne rien dire de ceux qui descendent de familles converties au judaïsme (elle furent nombreuses entre le Ier et le Ive siècle) ou qui opèrent encore aujourd'hui une conversion, difficile certes, mais toujours possible et dont on voit mal comment on pourrait leur attribuer une quelconque filiation biologique... Rappelant ensuite les textes hébraïques, Luc Ferry fera mention des mariages de David et de Salomon. De leurs descendances. De Ruth, cette princesse dite moabite et de l'égyptienne, fille de pharaon qu'aurait épousé[12] Salomon[13].
 
 
Nous dirons : Que penser alors de Marie et de son enfant ? Elle est la seule femme au monde à avoir été gratifié d'une chose exceptionnelle en tant que femme. En effet, si nous lisons le Coran nous y voyons écrit ceci : Le Messie fils de Marie
[14] (Coran III 45). Elle est la seule, dans l'Histoire du monde, a qui fut dit ceci. D'habitude, le Droit  divin, le code de la famille veut que l'enfant porte le nom de son père et non celui de sa mère[15]. Marie, la pure, la chaste, la vierge, laquelle a enfanté son enfant miraculeusement, a vu son fils être appelé ainsi : le Messie fils de Marie[16]
. Quelle gratification !

   Enfin, et contrairement à l'idée reçue, quand un enfant naît, il est obligatoirement « Soumis » [17]. Ce sont ses parents, son entourage, son milieu, l'enseignement qu'il recevra plus tard ; qui fera de lui un futur juif, un futur nazarénien[18], un futur hindou, un futur bouddhiste, etc. Telle est la parole que nous a fait comprendre et enseigné le Sceau de la Prophétie. Et contrairement à l'enseignement des gens de la Synagogue, l'enfant suit et suivra automatiquement dans ce domaine son père. En aucun cas sa mère. De plus, si son père est maintenant hébreu, il est un hébreu. Et cela quand bien même sa mère est originaire d'Afrique, d'Europe, d'Asie, de l'Amérique. Il n'y a pas ici de place pour le « demi », l'idée de partage. Dans le cas contraire, si une fille hébreue épouse un homme d'Afrique, d'Asie, d'Amérique ou d'Europe, ses enfants suivront leur père. L'enfant sera ainsi un chinois, un américain, un européen, un africain non un hébreu, il ne sera plus un fils d'Israël.
   Actuellement dans les mariages mixtes bibliques se pose avec cela l'épineux problème de la religion de l'enfant. Suivra-t-il la religion de son père ou de sa mère ? Livré à lui-même, ne risque-t-il pas de finir comme un futur athée ? Selon le Droit et le Code divins, l'enfant prend là encore et obligatoirement la religion de son père. Si sa mère est juive ou nazarénienne, il ne saurait être admis son contraire. Ainsi si un homme soumis épouse une fille du monde biblique
[19], son (ou ses) enfant(s) prendront obligatoirement la religion du père[20]
. Soumis il est né, soumis il le restera...

    Luc Ferry d'ajouter encore : Ce n'est pas ici une affaire de « politiquement correct », mais de simple bon sens : la définition par le sang n'est pas convaincante pour toute personne un tant soit peu douée de raison[21].
   Perplexité générale, qui conduit à abandonner l'orthodoxie pour une troisième perspective : celle qui prend en compte la seule notion de citoyenneté. Les « vrais » juifs, aujourd'hui, ce seraient donc les Israéliens. On serait juif par sa nationalité, comme on est italien, allemand ou français, voilà tout. Mais pour deux raisons au moins, la tentative ne tient pas bien longtemps non plus ; il y a en Israël des citoyens arabes, il existe ailleurs dans le monde des gens qui se disent juifs ou que l'on dit juifs et qui n'ont pas la citoyenneté israélienne. (…).
   ...De là l'idée que la judaïté ne tiendrait ni à la confession religieuse, ni à cette pseudo-appartenance biologique à une « race » introuvable
[22], pas davantage à une citoyenneté politique, ni à une histoire de la haine et des persécutions, mais au maintien, tout à la fois hérité et volontaire, par les différentes communautés qui se sont dispersées de par le monde, d'une certaine tradition culturelle centrée sur une civilisation du Livre. C'est là, par exemple, le point de vue développé par Marek Halter. C'est en ce sens qu'il peut déclarer « se choisir » juif… après être né juif. On objectera bien sûr que ce choix opéré après coup n'est pas tout à fait libre, qu'il laisse ouverte la question de savoir ce que signifie « naître juif », avoir des « parents juifs », porter un « nom juif », etc. Et c'est là, sans doute, que Sartre marque un point. Car c'est évidemment d'Histoire qu'il s'agit, et non de biologie, de tradition et non de nature, d'héritage invisible et non de transmission charnelle. En quoi, d'ailleurs, la judaïté entre aujourd'hui dans le lot commun : notre appartenance nationale elle-même[23], cela qui nous fait être citoyens d'une République française[24]
, n'est pas d'une autre nature : un composé mixte de passé et de choix, de patrimoine imposé et de décision libre. (Op. cit.).

    Nous dirons : Ce problème épineux se retrouve, à notre époque, dans d'autres parties du monde. Ainsi en Inde, par exemple, faut-il appeler les habitants de l'Inde des Indous ou des Indiens ? Les gens de l'Hindouisme ont une opinion, les gens de l'Islam ont, eux, une opinion diamétralement opposée. En Israël, tout habitant est israélien[25] : juif, arabe, etc. Le vocable juif, par contre, est un vocable propre aux Fils d'Israël, à tous ceux qui se sont judaïsés. Gens qui ont adoré le 'veau d'or', ce dieu animal'. Il appartient, en partie ou exclusivement, à l'Histoire sainte des Fils d'Israël. Le Judaïsme pour le commentateur coranique, comme pour tout Savant religieux du monde de l'Islam traditionnel ; est une secte de l'Islam[26], de la Religion divine à l'origine. Un message inachevé. Mais que le monde de la Thora vénère. On n'est pas juif à (ou par) sa naissance, mais uniquement après une chose qui viendra et après un certain âge. Soit par choix, et à travers une éducation juive, ou à travers de « parents juifs » [de religion]. Le grand problème du Judaïsme actuel est sans doute la disparition des Tribus d'Israël. On aborde que peu cette question dans le monde biblique. Pourtant, il serait bon d'en parler. Car qui à notre époque, après deux mille ans d'Histoire et plus, peut prétendre véritablement être un descendant direct des Fils d'Israël ? Pratiquement personne. On ne peut que supposer que... à l'instar de ce qui a été mentionné plus haut. A partir de là, on comprend pourquoi certains dirigeants de la communauté toranique ont trouvé bon de mettre l'accent uniquement sur le vocable « juif » (Yehudi). Et contrairement à une idée reçue ou en vogue, on ne peut être juif par sa nationalité. Prenons le cas simple d'un arabe israélien, dit d'Israël, de confession islamique. Peut-il être admis comme étant de nationalité juive ? Nullement. Tout au plus comme étant un individu de l'État d'Israël, un hébreu ou un israélien. Tout ceci, par rapport à la langue parlée du pays, la langue nationale ; et nullement à travers une religion pratiquée (ou non) par la plus grande partie de la population. Et dans le cas contraire, ne risquera-t-on pas de tomber un jour ou l'autre dans un problème que notre pays a vécu naguère. A savoir, un problème d'hégémonie ! La religion dominante faisant ce qui lui plaît[27]. Ainsi, et jusqu'à présent, peut-on imaginer en Palestine hébreue une police faite de gens de toutes confessions religieuses ? De même l'armée ? Et tout ceci allant jusqu'aux plus hautes sphères de l'État ? Jusqu'à nos jours ont été admis au sein de la nation formant l'État hébreu que les personnes de confession juive ou druze[28]. Gens de l'Évangile et gens du Coran nullement. Si ces gens ne sont pas partie intégrante de la nation et de l'État, alors qui sont-ils ? Des indigènes ? Des gens du voyage ? Quel est leur statut ? Dire qu'un tel ne fait pas partie intégrante de la nation sous prétexte qu'il n'est pas de votre religion, est-ce un acte de droit ? En France, par exemple, on parle le et de français, mais ce dernier (le français d'origine) peut-être de confession biblique ou coranique ou autre. Si l'arabe[29], selon certains, ne peut-être français, que faut-il penser alors de l'hébreu[30] ? L'un vient de l'Arabie, l'autre du Nord de la Péninsule arabique, de Châm, de Jérusalem ou de ses environs. L'un a, dans son histoire, un parcourt stable, l'autre chaotique. L'un a gardé sa Maison sainte et sa terre, l'autre a tout perdu. Deux peuples en réalité passionnent l'humanité : le premier est hébreu, le deuxième arabe. Dans un premier temps, le Seigneur de l'Univers a choisi le premier, puis Son choix s'est reporté au cours de l’Histoire sur  le second. Pourquoi s'en plaindre ? Dieu choisit ce qu'Il veut et qui Il veut d'entre Ses créatures. Pour le Seigneur de l'Univers nous sommes toutes Ses créatures, sans exception. Pour le Seigneur de l'Univers tous nous auront à comparaître devant Lui, sans exception. Mais une chose est évidente, l'Islam traditionnel ne peut accepter du "Judaïsme" certaines croyances, certaines définitions, certains points de vue et surtout certaines idées véhiculées qui sont erronées ou sans fondement... (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !
 

[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Le texte biblique parle d’alliance. Le texte coranique de pacte, d’engagement pris de leur Créateur à travers Ses Ecritures dont la Torah. Par contre, leur Créateur n’a pris aucun engagement avec eux d’être le ‘peuple élu’ à l’exclusion de tout autre peuple de la Terre (Coran II 94-5 ; V 18)  ou que le Feu infernal ne les touchera pas (Coran III 24, 116). Pure invention et prétention de la part des gens de la Synagogue et de la Torah que d’affirmer et de soutenir de telles croyances. Enfin, et selon les gens de la Synagogue, malgré toutes les désobéissances avec leur Créateur, Celui-ci ne serait mettre Son alliance avec eux en jeu. Elle est éternelle ! Ce qu’aucun homme censé ne saurait croire ! Le croire ne serait-ce pas rejeter l’Evangile et le Coran ?
[6] Le chiffre « 12 » a beaucoup d’importance pour le monde biblique et l’Histoire sainte des Fils d’Israël et des Judaïsés.
[7] Qui fait faire une certaine ressemblance avec l’Hindouisme et ses castes.
[8] Arabes et hébreux ont des points communs.
[9] Pour certaines gens de la Torah c’est ainsi qu’ils se représentent à notre époque. Le vocable ‘nation’ ayant été choisi à celui de ‘tribu’. Qu’on en juge :
  
S. Rokhomovsky, juif
  
Déclara dans « Le Peuple Juif » du 21 avril 1919 : « Nous avons le droit d’être ce que nous sommes : Juifs. Aujourd’hui plus que jamais : Nous tenons à l’affirmer haut et clair. Nous sommes une nation. »
  
« L’Univers israélite »
  
Cette revue de Paris, dans son numéro du 15 mai 1918, citait les Bulletins du comité central de la Ligue des Droits de l’Homme et du Citoyen, comité des questions juives. Selon ce Comité : « Le Judaïsme est un lien national et non religieux. Il se réclame donc du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Le sentiment national d’un Juif russe, ou d’un Juif roumain n’est ni russe, ni roumain, mais Juif. »
  
« Jewish World »
  
Extrait de son édition du 15 janvier 1919, page 6 : « Le nationalisme Juif est une question juive qui doit être gouvernée par des principes juifs et ne doit pas être subordonnée aux convenances ou aux exigences d’aucun gouvernement, si important soit-il. En tant que peuple, les Juifs n’ont pas fait la guerre entre eux. Juifs anglais, contre Juifs allemands ou Juifs français contre Juifs autrichiens ; diviser la Juiverie en allégeances à des différences internationales nous semble être l’abandon de tout le principe du nationalisme Juif. »
  
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[10] Dans ce domaine l’unanimité n’est pas de mise au sein des Synagogues (ou sectes) du monde toranique. N’oublions pas que la loi toranique n’est plus. Pour les gens de la Synagogue, il nous faut parler dorénavant de lois rabbiniques ou talmudiques uniquement. Et l’homme de la Synagogue dans ce domaine est jugé supérieur au prophète ! On se doit d’écouter le rabbin non le prophète !
[11] Demi, métis. Selon le Code divin, la Loi divine, le genre de vocable ‘métis’, ‘demi’ n’existe pas. La  Patrilinéarité faisant force de loi. Il reste un mot toutefois du vocabulaire biblique.
[12] Quelles épouses auront les rois David et Salomon ? Peut-on se référer à la Bible ? Les épouses sont inconnues, et la Bible n’est pas une référence en soi. Dieu est plus Savant !
[13] Salomon (sur lui la Paix !) est à la fois un roi des Fils d’Israël et des Judaïsés et un prophète de leurs prophètes. Il aura beaucoup de femmes légales comme son père, et beaucoup d’esclaves. La polygamie était de règle à cette époque lointaine. Ce seront les gens de la Synagogue qui l’interdiront à leurs communautés, à l’instar des gens de l’Evangile. Favorisant ainsi entre eux le péché de la chair, la prostitution, la fornication, l’adultère, les relations libres avant mariage, la perversion des mœurs, etc.
[14] Ce qui surprenant plus d’un d’entre les gens de l’Evangile. Bon nombre de gens de l’Evangile n’aiment pas cette appellation. Et pourquoi toujours le mentionner comme tel dans les écrits, le langage courant ! Pourtant, il n’est rien d’autre que cela ! Sa mère n’est pas « mère » de Dieu, ni lui un dieu, Dieu fait homme, le fils de Dieu. Autant de choses qui agacent singulièrement les défenseurs du Trithéisme (de la trinité) au sein du monde biblique, évangélique.
[15] Parole prophétique.
[16] Et non le fils de dieu… ou un dieu… Il n’est pas consubstantiel avec son Créateur. Il est un être créé dans le sein de sa mère miraculeusement. Sans une semence mâle. Sa mère n’a connue aucun homme durant son existence, n’a pas pratiquée la fornication avec aucun occupant de l’époque (soldat italien (romain) de l’époque ou autre individu) comme ose le prétendre à tort les écrits des gens de la Synagogue. Et leur Créateur a réfuté leurs propos mensongers et calomniateurs à son sujet (Coran XIX 27-33). Vierge elle était, vierge elle le restera même après la naissance de son fils. Elle n’aura aucun époux durant son vivant, et son fils n’aura, lui, aucun père adoptif au nom de Joseph ou autre individu, aucun père divin non plus : il sera un homme prophète créé miraculeusement et annoncé comme tel dans les Ecritures. Ainsi, le fils de Marie n’aura aucun frère et sœur. Marie ne se mariera jamais. Et au Jour des Comptes, elle deviendra l’une des épouses du Prophète Ahmad (sur eux la Paix !).
[17] muslim, en arabe. Vocable inconnu du monde biblique. Quand l’homme naît, il est soumis à son Créateur, bon gré mal gré. Libre, l’enfant ne le sera pas. Ses parents, la société, l’enseignement et son environnement le conditionneront. Qu’il le veuille ou non, il sera un objet de la société où il vit et gît. Son salut : La Religion divine qui fera de lui un homme libre. Exemple d’Avraham. Son peuple, le roi de l’époque, sa famille voulurent sa perte. Sa ténacité fasse aux épreuves, fera de lui un homme libre, un adorateur sincère du divin Créateur, un exemple pour tous ceux qui le suivront. Et de lui, la ‘Communauté mohammadienne’ héritera de ce nouveau nom : Soumis (Coran XXII 78). Tel ne sera pas le cas des gens de la Bible qui le refuseront. Prendront, eux, comme nom nouveau : Yehudim ou Nazarénien (Chrétien).
[18] Chrétien. Paul répète cette citation en Philippiens 2 : 10, 11. Il dit : « afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse, (…) et que toute langue confesse que le Seigneur, c'est Jésus Christ, à la gloire de Dieu le Père ». Paul disait que le culte qui appartenait seulement à Dieu dans l'Ancien Testament devait aussi être rendu à Jésus. En clair, à lui de suivre les gens de la Torah du vivant du Messie, lesquels voulaient bien 'adorer' Dieu mais en lui. C'est cette croyance qui fera qu'on remplacera, au sein des gens de l'Evangile d'Europe, le mot 'nazaénien' par 'chrétien'. Rattachant ainsi le fidèle exclusivement au Christ non à Dieu, lequel sera relégué en seconde position. La vraie connaissance du Créateur sera ainsi voilé aux yeux du croyant.
[19] Permis mais sous certaines conditions selon les Jurisconsultes. Et concernant la fille soumise, elle ne peut épouser qu’un homme soumis comme elle. Le mariage d’une fille soumise avec un insoumis, fait d’elle une fille fornicatrice et son mariage, au regard de la Loi divine ; est considéré comme nul et non avenue, ses enfants des bâtards.
   De notre temps, de nombreuses filles d’Afrique, d’Afrique du Nord, d’Arabie, ont bravé cet interdit… de leur Livre saint ! Notamment de filles d’immigrés. Pour certaines familles, pour certains parents, c’est au contraire un honneur pour eux que leurs filles travaillent et se marient avec un homme de l’Evangile d’Europe ou d’ailleurs, un homme de la Torah, un homme d’une autre religion, voir un athée ou un mécréant, le cas échéant ! Braver les interdits divins pour ces sortes d’individus, n’est pas grave ! C’est vivre avec son temps, avec l’évolution, le désir de jeunesse ! C’est répondre aux passions ! N'est-ce pas braver l'Interdit et précipiter le jour des Comptes plus vite ? Aussi, à Lucifer d’en rire ! 
[20] On attendra pas qu’il soit majeur pour choisir sa religion (entendre : 18 ans et plus pour les gens de la Bible ou sans religion). Comme pratiqué parmi les gens de la Mécréance, de l’Athéisme, de Laïcisme, gens du Dualisme, etc., au sein des communautés bibliques du monde.
[21] Que dire alors de ceux qui invitent à manger la chair et à boire le sang du Messie ? Exemple des Trithéistes parmi eux…
[22] Surtout pour les gens de la Torah. Gens nomades, ils durent subirent l’humiliation pour avoir été « infidèles » à leurs propres Alliances (Coran IV 153-159). Et ceci sera, selon les Savants, jusqu’à le fin du monde ainsi. D’élus qu’ils étaient, leur Créateur, les a damnés pour avoir été "infidèles" aux Alliances, pour avoir refusé le sceau de la Prophétie, le Prophète Ahmad (sur lui Prière et Paix !). Seule leur conversion peut les sauver, note l’observateur.
[23] On a dit : La théorie de la souveraineté nationale fut préférée à la théorie de la souveraineté populaire. En vertu de la théorie de la souveraineté nationale c'est bien le peuple qui est souverain mais le peuple dans son ensemble, pris globalement, ce peuple c'est la Nation, une entité considérée comme étant un être réel distinct des individus la composant. La Nation étant souveraine a évidemment un droit à l'exercice de cette souveraineté mais étant une entité ne peut l'exercer directement elle-même. Le gouvernement sera donc un gouvernement représentatif (pas de mandat impératif). Et les représentants ne seront pas nécessairement élus au suffrage universel qui ne s'impose pas logiquement dans ce système. C'est ainsi que les membres de l'Assemblée nationale constituante de 1789, non élus eux-mêmes au suffrage universel, introduisirent dans la Constitution de 1791 (décret du 22 décembre 1789) le suffrage restreint et censitaire.
   En langage coranique, on parlera de "peuple'. Soit : En vérité, Dieu ne change rien, en un peuple, tant qu'ils n'ont rien changé d'eux-mêmes. Et lorsque Dieu veut un mal à un peuple, alors, pas de détournement possible : ils n'ont, hors de Lui, aucun patron [refuge] (Coran XIII 11). Et au Jour des compte, par exemple, le 'peuple' de Pharaon, les Coptes de l'époque, aura pour place le Feu infernal. Voir notre étude : Lire...
[24] Principe remis en cause par certains. Qu’on en juge :
  
Max Nordau, juif
  
« Nous ne sommes ni Allemands, ni Anglais, ni Français. Nous sommes Juifs !
  
Votre mentalité de Chrétien n’est pas la nôtre ».
  
« Jewish Chronicle »
  
Numéro du 8 décembre 1911, page 38 : « Le patriotisme juif n’est qu’un manteau dont il se couvre pour faire plaisir à l’Anglais. Les Juifs qui se targuent d’être à la fois des Anglais patriotes et de bons Juifs, sont tout simplement des mensonges vivants. »
  
Wodislawski, juif
  
Article publié dans « Jewish World » du 1er janvier 1909 : « Enlevons le masque, jouons donc au lion de Judas pour changer. Arrachons notre faux patriotisme. Un Juif ne peut reconnaître qu’une seule patrie : la Palestine. »
  
« Sunday Chronicle »
  
Ce journal de Manchester a publié le texte suivant le 26 septembre 1915, page 4 : « Que nous soyons naturalisés ou non dans ce pays, nous ne somme pas du tout des Britanniques. Nous sommes des nationaux, Juifs, par la race et par la foi, et non des Britanniques. »
  
Pas plus que d’intégration (ou assimilation), on ne saurait parler. Qu’on en juge :
  
« Pro-Israël »
  
Pour cette Association sioniste de Paris : « Israël est une nationalité, comme la France. Le vrai Juif ne s’assimile pas. »
  
Comment l’homme biblique philosophe, le politique, humaniste, traduisent-ils cette phrase ?
  
Max Nordau, juif
  
Dans son livre « Le peuple Juif », Max Nordau déclare : « Les Juifs sont un peuple, un seul peuple. Herzl a compris la faillite de l’assimilation. »
  
Ludwig Lewinsohn, juif
  
Dans son livre « Israël », paru en 1926, ce Juif déclare : « Le Juif reste Juif. L’assimilation est impossible parce que le Juif ne peut pas changer son caractère national. Quoi qu’il fasse, il est Juif et reste Juif. La majorité a découvert ce fait comme elle devait le découvrir tôt ou tard. Juifs et non Juifs s’aperçoivent qu’il n’y a pas d’issue. Tous deux crurent en une issue : il n’y en a aucune, aucune. »
  
Clair comme de l’eau de roche, clame Lucifer !
  
« Archives israélites »
  
Extrait de cette publication de Paris en date du 24 mars 1864 : « …ce miracle unique dans la vie du monde d’un peuple tout entier dispersé depuis 1800 ans dans toutes les parties de l’univers, sans se confondre ni se mêler nullement avec les populations au milieu desquelles il vit… »
  
Ce qui fait dire à leurs adversaires et opposants depuis des siècles qu’ils forment, eux-mêmes au sein de l'Etat, un Etat dans un Etat… Et ceci depuis la destruction du second Temple. Et dans leur nouvel Etat qu'ils se proposent de faire et de réaliser en Palestine, sont admis au sein de l'Etat que l'homme toranique et l'homme druze. L'homme de l'Evangile est exclu, que dire de l'homme de l'Islam traditionnel ?! Par contre, et depuis l'Emancipation en terres évangéliques d'Europe, si les gens de la Synagogue et de la Torah sont exclus de la vie publique ; on tonne, on revendique, on parle d'antisémitisme ou autre slogan en vogue, on menace, on se lève comme un seul homme contre cette injustice flagrante... Preuve que l'Injustice est appliquée en Palestine, et que les gens de la Torah ne se sont pas donnés comme religion la vraie Religion de leur Créateur, qu'ils prétendent être et suivre aux yeux des nations !
[25] Ce qui pose problème. Si on considère être des Fils d’Israël, c’est-à-dire des fils de Jacob ; il est bien évident que l’Arabe n’est pas dans ce cas : israélien, descendant du prophète Jacob (sur lui la Paix !). Il ne peut-être qu’hébreu, et seulement par la langue. Citoyen hébreu, en aucun cas il ne peut-être "Yehoudi" qui est un vocable rattaché, à notre époque, à une religion très précise, à une communauté religieuse précise, à un mode de vie très précis. Comme dit l’adage : il ne faut pas mélanger torchons et serviettes ! Enfin, la terre de Canaan, la partie de Jérusalem et ses alentours forment la « Terre sainte » (Coran V 21). Son nom ne peut-être « Israël », nom donné par des gens ignorants, n’ayant aucune connaissance de leur Créateur et de Sa religion. 

[26] On a dit :
 
  Arthur D. Lawis, juif
  
Texte publié par la « West London Zionist Association » : « Considérer les Juifs comme une secte religieuse semblable à celle des Catholiques ou des Protestants est une inexactitude. Si un Juif est baptisé, il n’y a guère de gens qui croiront qu’il n’est plus Juif. Son sang, son caractère, son tempérament, ses caractéristiques intellectuelles ne sont en rien modifiés. »
  
Léon Simon, juif
  
« L’idée que la Juiverie est une secte religieuse comparable aux Catholiques ou aux Protestants est une absurdité. »
  
Ne pas oublier : le judaïsme c’est fractionné en 71 sectes. De plus, peu de gens change pour une autre religion, la vraie. Ils restent hostiles, réfractaires à la vérité quand celle-ci se présente à eux. Peuple à la 'nuque raide', (Dt. 9 6), ils se décrivent volontiers comme des prétendus guides et prêtres des nations ! Ne voyant pas que Lucifer se joue d'eux ! Ils sont jaloux de voir que leur Créateur a choisi comme sceau de la Prophétie, un fils de la Délaissée non un fils d'Israël. Et leur entêtement les égare et les perdra dans ce monde et dans l'Autre...
[27] Jusqu’en 1789, ce seront les gens de l’Evangile, de l’Eglise catholique, qui domineront. La Monarchie sera. Pour les gens de la Synagogue et de la Torah 'monarchie' et gens de l'Evangile d'une partie de l'Europe (entendre pour l'Ouest : Eglise romaine, siège d'Esaü) sont jugés gens indésirables. Pour leurs frères, les gens du Dualisme (loges, maçons, etc.), ils ne pardonneront jamais l'affront fait aux Templiers et leurs maîtres en Magie à une époque de l'Histoire de France. Et cette haine et inimitié demeurent jusqu'à nos jours réciproquement. Enfin, en terre de l'Hexagone l'un comme l'autre (gens de la Torah et gens du Dualisme et leurs sectes ou obédiences) ont une peur bleue que les temps changent. L'avenir les effraie. Et à eux de changer de fusil d'épaule et de diriger leurs critiques, leurs attaques contre la Religion divine : la Soumission et les Croyants pratiquants, soumis. 
[28] Lesquels se prétendre être les descendants du beau-père de Mochè (Moïse) (sur lui la Paix !). Leur haine et inimitié envers les gens de l'Évangile dont les maronites est sans égale. Ceux-ci considérant, au passage, le Messie fils de Marie comme étant le Faux-Messie en personne : ils vénèrent toutefois le fils de Zacharie Yahya (Jean) (sur eux la Paix !). Leur haine et inimitié s’étendent aussi aux gens Soumis (gens de l'Islam traditionnel) ; ils ont été la cause de nombreuses guerres en Péninsule arabique, dont le Liban, en particulier. Les relations entre les gens de la Synagogue et les Maîtres druzes sont excellentes, note l’observateur.
[29] Dans l'Histoire sainte, ceux convertis à l'Islam resteront ce qu'ils sont. Ainsi dira-t-on de certains compagnons : Bilal l'Abyssinien (ou l'Ethiopien). Salman, le Persan. Sohaib le Roumi (ou le Byzantin). Non jamais on dira d'eux : Bilal, l'Arabe, Salman, l'Arabe, Sohaib, l'Arabe. Et ceci est bien mentionné dans les écrits comme tel. Et quand bien même ils étaient et vivaient en Arabie et en parlaient la langue.
  
A notre époque l'Arabe immigré (comme d'ailleurs l'homme d'Afrique : africain, berbère, arabe, kabyle, etc.) en terres bibliques d'Europe et d'ailleurs, ne voudrait-il pas singer en se disant au sein des nations européennes comme être l'un des leurs ? Un complexe d'infériorité l'envahi ! Un arabe qui se dit, dit être français ou toute autre nationalité ou origine ; cela fait sourire et n’est-ce pas pour lui renier le sang qui coule dans ses veines ? N’est-ce pas pour lui renier la terre de ses lointains ancêtres : l’Arabie ? N’est-ce pas  pour lui renier la Maison : la Ka’bah ? N’est-ce pas pour lui renier ce peuple qui reçu le sceau de la Prophétie, le Prophète Ahmad (sur lui Prière et Paix !) ? N’est-ce pas pour lui renier le sceau des Ecritures : le Coran ? Un Arabe sur tout autre terre que l’Arabie est un hôte, un invité, rien de plus rien de moins ! S’il cherche plus que cela, c’est un amoureux des biens de ce bas-monde, il ne désire que la richesse et le bien-être d’autrui, le profit, exploiter et vivre aux crochets des autres, note l'observateur. Idem pour l'africain, l'homme berbère, l'homme kabyle, etc. (Coran XI 15-16). Berbère, il le restera jusqu'à la mort, de même tout homme kabyle ou africain. Ce qui exaspèrent d'ailleurs au passage bon nombre de gens ayant quittés leurs terres d'origines pour aller faire fortune ailleurs dont chez les gens de la Bible d'Europe et d'ailleurs. Pourtant, quoi qu'ils fassent : Ils ne pourront ni changer leur façon de vivre, ni la couleur de leurs peaux, ni le sang de leurs veines, ni leurs mentalités, ni leur façon de manger... Pourquoi se cacher derrière sa religion pour tromper autrui ? Le Marseillais à Paris que reste-t-il ? Sinon un Marseillais, note le Parisien ! Telle est la mentalité des gens d'Europe, mentalité qui exaspère une fois encore bon nombre de gens venus faire fortune en terres d'Europe dont gens d'Afrique du Nord... Comprendre bon nombre de musul...ments, note l'observateur.
   De nos jours, pourquoi leurs Savants ne condamnent-ils pas leur sortie en terres bibliques ou autres ? De vivre et s’installer en terres d’Europe et d’ailleurs ? La Loi divine ne l'interdit-elle pas, notent les Jurisconsultes ? Pourquoi leurs dirigeants politico-religieux ne l’empêchent-ils pas, ne le condamnent-ils pas ouvertement, ne font rien pour l’empêcher ? Ne se rappellent-ils de ce que firent leurs ancêtres en Espagne et au Portugal ? Ce qu'ils devinrent et advinrent ? Ne méditent-ils pas sur les leçons du passé ?
   Le monde arabe n’a-t-il pas assez de richesses sous ses pieds à extraire et à exploiter ou le réserve-t-il qu’à une partie de sa population, de lui-même ? Là est son problème, car lui-même ne s’est-il pas fractionné une multitude d’Etats qui se sont mis d’accord pour n’être jamais d’accord entre eux ?! Et personne pour former un seul et unique Etat, revenir à l'époque d'or !
   Les gens d’Afrique du Nord venus chercher l’Eldorado en terres bibliques d’Europe se plaignent toujours et encore qu’en leurs pays d’origines : ils sont mal vus, maltraités, considérés comme des moins que rien, des immigrés, non des nationaux. Quelle ignominie pour eux si tel est la parole des nationaux ! Idem pour leurs pays d’accueil en terres bibliques d’Europe ou d’ailleurs… Normal, note l’observateur, on ne peut avoir le beurre et l’argent du beurre ! Au départ, ils se sont mentis à eux-mêmes, quand ces derniers disaient aux autres, aux gaouris de l’Hexagone ; que demain c’est sûr ils rentrent (rentreraient) définitivement au pays ! Parole toujours d'actualité mais que les avantages sociaux font réfléchir plus d'un, notamment les personnes féminines d'entre eux, leurs femmes et enfants qui ne veulent pas abandonner la terre des 'gaouris' pour aucune raison ! Menteurs, leur mensonge leur pend au nez et est inscrit maintenant dans les cieux, pour eux et pour leurs descendances… D’où, note l’observateur, pour eux cette appellation nouvelle : musul…ments. Secundo : Ils n’ont fait, note encore l’observateur, que salir l’image des gens de leur pays en tombant et en se vautrant dans le péché, le mal, la turpitude et le blâmable. Quel est l’immigré, notent-ils, qui n’a pas un bar, vend et travaille dans l’interdit, l’intérêt. Manigance des manœuvres malhonnêtes, fornique, vole, trompe autrui dans ses transactions, etc. Troisièmement : Devenir européen, d’une de nos nationalités, clame le laïcard, a un prix. La nouvelle recrue si elle veut être 'copain' avec moi, être intégrée à 100%, devra nécessairement opter pour mes croyances et mes convictions, ma façon de vivre, de se vêtir... Comme moi, elle doit, devra nécessairement renier son Dieu, sa foi, son prophète, sa religion, ses coutumes, ses allégeances... Comme moi, elle doit commettre et braver l’interdit divin ! Et dans ce domaine, bon nombre de gens d’Afrique : africains, arabes, berbères, kabyles et autres ont rivalisés entre eux clame Lucifer en transe ! A la lettre ils ont suivi mes instructions, mes appels de pied, mes rappels, tonne-t-il ! Et Dieu est plus Savant !
[30] Soit : le fils d’Israël uniquement. Lequel a reçu à travers Ses prophètes plusieurs Livres divins : la Torah, le Psautier et l’Evangile. Ne les ayant pas suivis, il devra errer, être méprisé par les nations, et ceci jusqu'à la fin des Temps, notent les Savants. Et pour eux aucune Alliance éternelle à souhaiter et à attendre.



Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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26/04/12 .

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