Histoire sainte biblique

PROPHÈTES, PROPHÉTIE. 

Selon les Ecritures.

Au nom de DIEU,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


L'âge de la brique, faire des briques.
La 'Tour de Babel' : infos ou intox ?


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   L’âge de la brique. Tour de Babel ou Tour de Pharaon ? A quelle époque apparue la brique sur terre ?

   Grâce au sceau des Ecritures, nous apprenons que l’âge de la brique, faire des briques, daterait de Pharaon (Coran XXVIII 6). Ce que conteste violemment les gens de la Synagogue et de la Torah, gens de l’Evangile, leurs scientifiques et autres. Raison ? Dire le contraire, cela mettrait en péril leur science, le mythe biblique sur la [prétendue] ‘Tour de Babel'[5], dont on dit : « Les hommes… dirent… "Allons ! Faisons des briques et cuisons-les au feu… Bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet pénètre les cieux !" (Bible. Gen. 11 3-4).

 
La Tour de Babel. L'exégèse toranique.

   Jacob ben Isaac d’écrire à ce sujet[6] : ALLONS, BÂTISSONS UNE VILLE (Gen. 11:4). Nous allons bâtir une tour[7] de vingt-sept lieues de haut jusqu’au ciel. A l’est et à l’ouest se trouvaient des escaliers ; celui qui montait des briques, allait par le côté est et celui qui descendait passait par le côté ouest afin que personne ne se gêne. Quand un homme tombait et se brisait le cou, on ne s’en souciait pas car il y avait des milliers d’hommes qui portaient des briques. Par contre, quand une brique tombait, tout le monde était très affligé ; les travailleurs se lamentaient en disant : « Quand donc une autre brique sera-t-elle posée au même endroit ? » Abraham s’insurgea contre eux et les tourna en dérision[8]. Les gens de la génération de la tour de Babel dirent[9] : « Pourquoi le Saint, béni soit-Il, devra-Il être roi des cieux, et nous rois de la terre ? Montons tout là-haut lui faire la guerre et nous deviendrons roi des cieux. » Ils placèrent une idole au sommet de la tour, une épée à la main, afin que le monde entier[10] croie que l’idole avait déclaré la guerre au Saint, béni soit-Il[11]. Le Midrach Rabba écrit[12] : La génération de Babel finit par être corrompue car elle était devenue trop riche[13]. Les gens coulaient des jours heureux, sans connaître la moins difficulté[14]. Rabbi Levi raconte[15] : Une femme avait un enfant en trois jours. Les rabbins disent même qu’on enfantait en un jour ; à peine venu au monde, le nouveau-né marchait et il avait l’intelligence de se rendre là où on lui disait d’aller. A sa naissance, il était envoyé à la recherche d’un couteau pour couper son cordon ombilical[16]. S’il naissait de nuit, on l’envoyait chercher du feu afin de pouvoir lui sectionner le cordon[17]. Une histoire raconte qu’une femme envoya son petit enfant chercher du feu la nuit afin de pouvoir sectionner son cordon. Il rencontra un démon[18] qui dit à l’enfant : « Va et dis à ta mère que le coq a poussé son cri. S’il ne l’avait pas poussé, je t’aurais tué. » Le fils répliqua : « Si ma mère m’avait déjà coupé le cordon, eh bien, dans ce cas, c’est moi qui t’aurais tué. » Ils n’avaient aucune peur des démons. Cette histoire nous enseigne qu’il ne faut pas errer la nuit avant que les coqs n’aient chanté[19]. En effet, aussitôt après le chant du coq, les démons perdent tout pouvoir[20]. Cela nous enseigne également qu’avant d’avoir sectionné son cordon ombilical, un enfant est en danger[21]. Pendant le déluge, tous les gens disparurent ; par contre, les gens de la génération de Babel, ceux qui, révoltés contre Dieu, construisirent la tour, survécurent. Tous ne périrent pas. Comme les gens du déluge avaient volé et pillé, ils périrent tous. Les gens de la génération de Babel s’aimaient beaucoup les uns les autres ; une parfaite entente régnait entre eux ; c’est pourquoi ils furent épargnés. Rabbi Juda ba Nassi dit : La paix est vraiment une grande chose. Le peuple d’Israël peut adorer des idoles, mais si la paix règne parmi eux, Dieu dit : « Je ne leur ferai rien. » La génération de Babel affirmait[22] : « Après mille six cent cinquante-six ans, le ciel s’affaiblira ; alors, nous construirons quatre hautes colonnes de briques de chaque côté afin que le ciel repose dessus et ne s’affaisse pas. » Ils ajoutèrent[23] : « Nous construirons une haute tour jusqu’au ciel ; nous y monterons et taillerons des fenêtres afin que les eaux s’y écoulent et que Dieu ne puisse plus provoquer de déluge. » Rabbi Yrmeyah dit : Les gens étaient divisés en trois groupes. Le premier groupe disait : « Nous monterons là-haut pour y demeurer » ; le Saint, béni soit-Il, dispersa ce groupe dans la terre entière. Le deuxième groupe dit : « Nous adorons les idoles à cet endroit » ; le Saint, béni soit-Il, mélangea leurs langues[24]. Le troisième groupe dit : « Nous irons guerroyer dans les cieux. » Ils furent transformés en singes, en chats et en toutes sortes de démons[25]. Rabbi Yohanan dit à propos de la haute tour : un tiers brûla, un tiers s’enfonça dans la terre et le dernier tiers resta debout[26].

   CONFONDONS LEURS LANGUES (Gen.11:7). Nous allons mélanger leurs langues[27]. Rabbi Eliézer dit[28] : le Saint, béni soit-Il, s’adressa[29] aux soixante-dix anges qui se trouvaient autour du trône divin : « Descendons et mélangeons les langues pour en faire soixante-dix langues. » Dieu tira au sort[30] avec les anges. Quand ce fut au tour de Dieu[31], il tomba sur Abraham et ses enfants comme dit le verset : « Car la portion d’Elohim c’est son peuple[32]. Jacob est la part de son héritage[33]. Comme ils péchèrent[34] en disant : « Construisons une tour », le Saint, béni soit-Il, les punit en confondant[35] leurs langues[36]. Avant la génération de la confusion, tout le monde parlait la langue sainte[37] grâce à laquelle le monde fut créé[38]. Chaque ange prit une nation et lui apprit une langue[39]. Dieu apprit au peuple d’Israël la langue sainte[40]. Comme Dieu mélangea les langues, quand quelqu’un demandait à un autre : « Donne-moi une hache », il lui tendait une pelle. Ils ne se comprenaient plus entre eux et ne pouvaient donc plus continuer à construire la tour. Ils croyaient qu’ils pourraient monter très haut pour tailler de grandes fenêtres afin que les eaux ne puissent plus déborder et que le Saint, béni soit-Il, ne puisse plus provoquer le déluge[41]. Le verset dit MAINTENANT RIEN N’EMPÊCHERA TOUT CE QU’ILS AURONT DESSEIN DE FAIRE (Gen. 11:6). Ils eurent beaucoup de chance de réussir à construire la tour ; c’est pourquoi le Saint, béni soit-Il, les dispersa, comme le dit le verset : ELOHIM LES DISPERSE (Gen. 11:8)[42]. Rabbi Néhémiah dit : Le Saint, béni soit-Il, rassembla tous les pays[43] dans le pays de Babel[44] ; chaque pays absorba une nation. Les rabbins dirent : Le Saint, béni soit-Il, les fit submerger par la mer et les noya tous sauf trente familles qu’il laissa vivre. (Op. cit.).

   Exégèse évangélique.

 
La Tour de Babel. L'exégèse évangélique.

   On a dit : 11.1-9 La tour de Babel et la dispersion des peuples
Plusieurs interprètes ont trouvé une contradiction entre ce morceau et le chapitre 10[45]. D'après le chapitre 10, disent-ils, l'humanité s'étend par un développement naturel ; d'après le chapitre 11, au contraire, sa dispersion est subite et survient à la suite d'une catastrophe[46]. Mais en réalité, cette contradiction n'existe pas, car l'état de dispersion des peuples décrit au chapitre 10 est le résultat du fait raconté au chapitre 11. L'auteur a placé l'effet avant la cause pour rattacher directement à l'histoire de Noé le catalogue de ses descendants. On comprend d'autant mieux cette anticipation[47] que le chapitre 10 est un morceau spécial pouvant facilement être détaché de son contexte.
Divers indices, en particulier la présence du nom de Jéhova (l'Éternel), nous montrent que le commencement du chapitre 11 appartient au document jéhoviste.
Verset 1
La narration reprend au point où l'avait laissée le chapitre 9. Ce verset décrit l'état de l'humanité dans les temps qui suivirent immédiatement le déluge. Cet état ne dut pas être de longue durée, puisqu'au moment de la catastrophe, l'humanité tout entière était encore réunie dans le même campement.
La plupart des commentateurs rapprochent l'événement qui va être raconté de la répartition de la terre (mentionnée selon eux 10.25) au temps de Péleg. D'après cela, la période depuis le déluge à la tour de Babel aurait duré une centaine d'années, si du moins on suit la chronologie du texte hébreu. Mais nous avons vu à 10.25 que ce passage doit être interprété tout différemment et que la dispersion était un fait déjà consommé an temps de Péleg[48].
La tradition qui attribue à Nimrod l'initiative de la construction de Babel[49] n'a également aucun fondement solide[50]. Nous avons vu, au contraire (10.10), que Babel devait déjà exister quand il y établit son empire.
La même langue et les mêmes mots : une même prononciation et les mêmes termes. Plusieurs commentateurs, s'appuyant sur l'origine hébraïque des noms propres du commencement de la Genèse, ont supposé que cette langue primitive était l'hébreu qui se serait conservé dans la famille de Sem. Mais rien n'appuie cette supposition, et les noms propres ont fort bien pu être traduits en hébreu au cours de la tradition.
5-9
Avant même que la construction soit achevée (ils bâtissaient), l'Éternel intervient. Son plan doit s'exécuter : les hommes se disperseront, qu'ils le veuillent ou non. C'est en se séparant en groupes distincts que les hommes arriveront à développer dans toute leur diversité et leur richesse les facultés dont le Créateur les a doués ; et ce sera là également le moyen de les préserver de la corruption totale qu'aurait amenée leur concentration en un même lieu.
L'Eternel descendit. Nous rencontrons ici un anthropomorphisme, c'est-à-dire l'expression en langage humain de quelque chose qui appartient au domaine divin. Dieu n'a pas besoin de descendre pour savoir ce que font les hommes (Psaume 33.13-44). Mais chaque fois qu'il agit d'une manière sensible, ces derniers ont l'impression qu'il se rapproche d'eux, qu'il descend.
Verset 6
Rien ne les empêchera. Ce que Dieu craint[51], ce n'est pas que les hommes échappent à sa souveraineté, mais qu'ils n'en arrivent à ce point d'orgueil et d'impiété où il serait obligé de les détruire de nouveau, contrairement à la promesse faite à Noé après le déluge. Et pour les arrêter sur cette voie, il choisit un moyen qui les forcera précisément à réaliser leur destination primitive, celle de peupler la terre. Ainsi, par leur désobéissance même, ils reviendront à l'obéissance.
Verset 7
Allons ! Ce mot répond aux deux allons ! prononcés par les hommes (versets 3 et 4) : entreprise contre entreprise.
Descendons. Pour ce pluriel, voir 1.26, note. L'Eternel a manifesté d'une manière sensible, dont nous ignorons le mode, sa présence, afin que la vraie cause de la catastrophe fût comprise. D'après une tradition rapportée par Bérose et par Josèphe, un vent furieux aurait renversé la tour.
Confondons là leur langage. La différence de langage repose sur une manière différente de penser, de raisonner et de concevoir les choses. C'est donc dans ce domaine intérieur de la pensée et de la conscience qu'a dû se produire l'acte divin d'où est résultée la formation des langues diverses.
Comment cela s'est-il passé ? C'est ce qu'on ne saurait expliquer, pas plus qu'on ne peut expliquer le phénomène inverse qui s'est produit à la Pentecôte, (Actes 2), et qui est le gage certain qu'un jour les conséquences de la catastrophe de Babel disparaîtront, comme toutes les autres conséquences du péché. Dans tous les cas, il n'y a pas à douter de la réalité du fait, puisque l'unité primitive de la race humaine, par conséquent aussi de sa langue, nous paraît positivement établie.
On peut penser, il est vrai, que la multiplicité des langues ne s'est produite que graduellement et a été le résultat plutôt que la cause de la dispersion des hommes. Le texte scripturaire ne dit pas non plus que le résultat se soit produit instantanément. Il attribue seulement à une action divine et momentanée la multiplicité des langues et la dispersion des peuples. Ces deux effets se sont sans doute produits graduellement et en réagissant constamment l'un sur l'autre.
Verset 9
Babel. Ce nom se rattache en hébreu au verbe balal, qui signifie confondre. Mais le nom primitif Babîl ou Babilou, qu'on retrouve dans les inscriptions, signifie dans la langue babylonienne : porte de Dieu. Que l'auteur ait ou non connu ce sens primitif, il a mis en rapport le sens hébreu de ce mot (confusion) avec l'événement qui s'était passé en cet endroit.
Remarquons la quadruple répétition de l'adverbe là dans les versets 7 à 9. L'auteur veut insister sur le fait que c'est là à cet endroit nommé désormais confusion, que s'est passé l'événement à jamais mémorable de la séparation des peuples par la confusion de leur langage.
Il est bien probable que la tradition consignée dans notre récit se rattachait à un édifice ou à une ruine existant à Babylone. On voit fort souvent représentées, sur les bas-reliefs babyloniens, des tours à trois, cinq ou sept étages superposés de telle manière que chaque étage est plus étroit que l'étage inférieur. On a retrouvé également les ruines d'une tour de ce genre construite au moyen de briques et de bitume, sur la rive occidentale de l'Euphrate, à l'endroit nommé par les inscriptions Borsippa, au sud de Babylone. Cette ruine, qui porte le nom de Birs-Nimroud, doit être identique avec un temple de Bel que décrit Hérodote et avec un temple dédié à Bel-Nébo, dont parle une inscription de Nébucadnetsar.
Dans cette inscription, ce roi raconte qu'il fit restaurer le temple des sept luminaires du ciel et de la terre, la tour de Borsippa qu'un roi ancien avait fait élever, sans l'achever, et qui, dès longtemps, était tombée en ruines. La légende arabe[52] et le Talmud identifient cet édifice avec la tour de Babel. Mais comme il était en dehors de Babylone, d'autres préfèrent rattacher la tradition biblique à l'édifice dont les ruines immenses, sur la rive orientale de l'Euphrate, portent aujourd'hui le nom de Babîl ; car cet édifice était situé dans la ville même. Cependant, les détails qui nous ont été transmis sur le Birs-Nimroud présentent tant d'analogies avec la tour dont parle le récit biblique qu'il est plus naturel d'en rester à la première manière de voir.
Les traditions des autres peuples ne renferment que des traces peu sûres du fait raconté ici. On a cru en retrouver quelques-unes chez les Grecs, chez les Babyloniens et jusqu'en Chine et en Amérique. Mais il n'est pas certain que ces légendes n'aient pas subi l'influence du récit biblique. (levangile.com).

   Décryptage.

   « Les gens de la génération de la tour de Babel dirent : « Pourquoi le Saint, béni soit-Il, devra-Il être roi des cieux, et nous rois de la terre ? Montons tout là-haut lui faire la guerre et nous deviendrons roi des cieux. »
   Cela fait penser à la génération des gens de 1789, en l’Hexagone. La génération de 1789, sous prétexte de faire la révolution, a elle de déclarer en fait la guerre à leur Créateur !

Ces Païens, en effet, véritables Casuistes “de robe courte” – ce qui veut dire laïcs de l’armée Jésuite – déclarent en fait la guerre contre la religion ; et ils la mènent sur deux fronts : d’une part, ils bannissent Dieu du monde, l’émasculent de son attribut de Créateur ; et d’autre part, ils réhabilitent Satan, le chef des anges rebelles déchus, auquel ils transfèrent l’attribut de Providence.

Dans Paris Maçonnique : « ...La symbolique révolutionnaire cachait mal une religion antédiluvienne : la Liberté de Lemot n’était qu’un des nombreux masques d’Isis, la Veuve, la mère des Fils de la lumière. Osiris de substitution, Louis XVI allait être la victime sacrificielle de rites remontant à la nuit des temps : « La tête de l’homme qui roule dans le panier, éclaboussée de sang, se substitue au globe éclatant qui roulait dans les cieux : tel est le sacrifice humain, d’une aveuglante clarté, par lequel l’Homme établit son règne sur la Terre en même temps qu’il vide les cieux de la présence divine ». (Op. cit.).

   « …Comme les gens du déluge avaient volé et pillé, ils périrent tous. » Nullement. La raison véritable : leur mécréance et d’avoir donné des Associés, des Egaux à leur Créateur, leur refus d’obéir à l’invitation de Noé (sur lui la Paix !).
   « Rabbi Juda ba Nassi dit : La paix est vraiment une grande chose. Le peuple d’Israël peut adorer des idoles, mais si la paix règne parmi eux, Dieu dit : « Je ne leur ferai rien. » Nullement. A en lire et à entendre, il serait permis aux Fils d’Israël ce qui ne serait pas permis aux autres Fils d’Adam !? Cela est impossible. Que les rabbanim se rappellent de l’adoration du ‘Veau d’or’ ! Peut-être ceux qui s’adonnent à pareilles pratiquent sont tranquilles, vivent en paix, mais nullement avec leur Créateur. Ce genre de déclaration émise par ce rabbi est une véritable déclaration de guerre envers son Créateur, et il ne pèse pas la gravité de telles paroles ! Là où il est maintenant, sans doute la comprend-il mieux ?

   Quand l’homme biblique est pris à son propre piège, à lui à faire appel à ses scientifiques en tout genre. Le change pour ce récit mythique, légendaire : Les ziggourats !  Les ziggourats de Mésopotamie, nous dit-on, était le lieu de rendez-vous du dieu de la cité et du roi. Rien de tel ici, cette tour doit toucher le ciel et ainsi faire incursion dans le monde de Dieu. Accéder à la Porte de Dieu, dira l’observateur ! (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] La Torah place, après le Déluge et avant l’époque d’Avraham, la construction de la Tour de Babel.
3 Et ils se dirent entre eux : Allons, faisons des briques et cuisons-les au feu. Et la brique leur servit de pierre, et le bitume leur servit de mortier.
 4 Et ils dirent : Allons, bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet soit dans les cieux, et faisons-nous un monument, de peur que nous ne soyons dispersés sur la face de toute la terre.
   Rachi : Allons Préparez-vous. L’interjection hava (« allons ») est une invitation à travailler tous ensemble soit pour travailler, soit pour délibérer, soit pour porter un fardeau. En français : « appareiller ».
   Des briques Parce qu’il n’y a pas de pierres à Bavel, qui est une vallée.
   Cuisons-les au feu
C’est ainsi que l’on fabrique les briques, en français : « tuiles ». On les fait cuire au four.
   Pour mortier Pour crépir les murs.
   On a dit : Un monument. D'autres traduisent : un nom, c'est-à-dire une grande réputation. Mais aux yeux de qui ? Ne sont-ils pas les seuls habitants de la terre ? Le mot hébreu schem, qui signifie nom, a aussi le sens de signe, monument (2 Samuel 8.13 ; Esaïe 55.13). Ce sens est le seul possible dans ce passage ; ce que veulent les hommes, c'est un monument qui soit pour eux un constant moyen de ralliement.
A cette explication conviennent les mots suivants : De peur que nous ne soyons dispersés. C'est donc à tort qu'on a supposé que les hommes voulaient ou bien escalader le ciel ou bien se mettre à l'abri d'un nouveau déluge. Cette tour sera le point, visible de partout, qui dirigera les hommes au retour de leurs excursions. Mais c'est précisément dans ce dessein que consiste leur péché ; car, par là, ils transgressent l'ordre que Dieu leur avait donné : Remplissez la terre. (1.28 ; 9.1) (sefarim.com)
   On a dit : (…) D'ailleurs l'étrange mot-à-mot des matières employées dans la construction insiste d'abord sur cette bêtise des bâtisseurs : Le mortier, °hemar, est aussi l'âne, °hamor, tandis que °himer signifie faire avancer un animal. Ce n'est pas tout, °homer désigne à la fois l'argile, la glaise, et le tas, l'amoncellement. Le même mot est employé à propos de la seconde plaie d'Égypte, lorsque les grenouilles sont entassées « par monceaux », qu'elles se mettent à pourrir et infectent le pays. °Homer correspond, par opposition à l'esprit (roua°h), à la matière, comme aussi au joyau et à la parure. Le signifiant « mortier » dénonce un leurre, celui universel d'une magnificence de la communauté rassemblée, entassée, que sa splendeur grégaire immortalise et préserve de la décomposition. (parolesdesjours.free.fr).
   Notons qu’en arabe, ‘âne’ se dit aussi, comme en hébreu, himâr (حِمار).
[6] Voit son ouvrage : Le commentaire sur la Torah. Edit. Verdier.
[7] Concernant la tour de Babel, voir A.Z. 53b, Pes. 94a-b, Er. 53a, Gen.R. 23.7, 26,4, 42,4, PRE 34.
[8] Selon l’exégète toranique cet évènement semble se dérouler au temps du prophète Avraham (sur lui la Paix !). N’engage que son auteur. Car le problème du prophète Avraham (sur lui la Paix !) est avant tout avec le roi de son époque, non avec le peuple lui-même. S’il devait tourner en dérision quelque chose, n’est-ce pas leur adoration ?
[9] Remise en cause de l’ordre établi par le divin Créateur. Les gens de la Synagogue et de la Torah, peuple contestataire, jamais content de lui-même, qui murmure en permanence, à la nuque raide (voir Torah), nous ont habitué avec ce genre de langage, notent les Savants.
   On retrouve ce genre de langage et d’habitude avec Coré ou Koré, en hébreu קרח, Qora'h, Qaroûn en arabe, est un personnage de l’Histoire sainte biblique, chef d'une rébellion contre Moïse et Aaron, dit-on, pendant la traversée du Désert (Nombres, 16). Il donne son nom à la parasha Qora'h. Toutefois, et à la lumière du Coran, on apprend que sa perdition n’est pas à cause de cela, et que le récit toranique, une fois de plus est un récit frelaté.
[10] A l’époque, ces gens représentent-ils le monde entier ? Quel monde existe-t-il vraiment à cette époque ?
[11] Sanh. 109a, Gen.R. 38.1, 5, 7.
[12] Gen.R. 38.6.
[13] Donc comme toute l’histoire de l’humanité, ce sont les riches censés semer la zizanie. Ce qui obligera à une époque passée, un homme de la Torah comme Karl Max d’entrer en guerre contre ses coreligionnaires et autres personnages de l’humanité et de son temps.
[14] Rachi : 5 Le Seigneur descendit sur la terre, pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils de l'homme; (Gen. 11 5-6).
Hachem descendit pour voir
Il n’avait pas besoin de descendre pour cela, mais le texte vient ici enseigner aux juges qu’ils ne doivent pas condamner l’accusé avant de l’avoir vu et d’avoir compris [l’objet du litige]. C’est ce qu’enseigne le Midrach tan‘houma (58, 18).
Les fils de l’homme
De qui auraient-ils pu être les fils ? D’ânes ou de chameaux, peut-être ? ! Ce dont il est question, c’est des fils du premier homme qui a dénié le bien [dont il avait été comblé] et qui a dit : « la femme – que tu m’as donnée avec moi –elle, m’a donné de l’arbre, j’ai mangé » (supra 3, 12). Eux aussi ont dénié le bien en se révoltant contre Celui qui les avait comblés de bienfaits et sauvés du déluge (Beréchith raba 38, 9).
6 et il dit: "Voici un peuple uni, tous ayant une même langue. C'est ainsi qu'ils ont pu commencer leur entreprise et dès lors tout ce qu'ils ont projeté leur réussirait également.
Voici un peuple uni
L’avantage dont ils disposent, c’est d’être un seul peuple et d’avoir tous une même langue, et c’est ainsi qu’ils ont pu commencer à faire [le mal].
« Commencer » (ha‘hilam) est un infinitif, comme dans amaram (« leur dire »), équivalent de : « ils ont dit ». ‘Assatham (« leur faire »), équivalent de : « ils ont fait ». De même ici : « ils ont commencé à faire ».
Ne se dressera-t-il pas devant eux un obstacle C’est une question. Le mot yibatsér (« se dresser un obstacle »), comme le rend le Targoum, marque une idée d’empêchement, comme dans : « Il arrête (yivtsor) la superbe des princes » (Tehilim 76, 13).
[15] Selon les exégètes, les rabbanim ne sont pas à un mensonge prêt ! Etonnant qu’ils puissent raconter de telles idioties alors qu’ils refusent de croire avec certitude en la création et la naissance miraculeuses du sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) !?
[16] Voir un docteur pour confirmer de telles paroles…
[17] Combien de mètres mesurait ce prétendu cordon… ?
[18] L’époque entre Adam et Noé, les commentateurs et historiens admettent que les hommes avaient puissance sur les démons et Satan lui-même. Ils les humiliaient, les faisaient travailler… Ils durent fuir dans les déserts, montagnes, lieux isolés pour leur échapper. Cette époque est révolue.
[19] Le coq a été créé pour annoncer l’aurore, et permettre à l’orant de se lever pour y prier la prière du matin.
[20] Gen.R. 36.1, PRE 22, Yom. 21a.
[21] Un conseil : De préférence se référer à l’avis des médecins dans ce domaine, nullement des rabbanim et de leurs réponses et avis.
[22] Un véritable roman et conte mythologique !
[23] Ils pensent vaincre leur Créateur, Le braver !
[24] PRE 24. Nous dirons : Suite à leur péché d’avoir donné à leur Créateur des Associés et des Egaux, Il mélangea leurs langues ; ce qui signifie qu’après cela restèrent-ils dans leur égarement ou retrouvèrent-ils le chemin du vrai Monothéisme ? La question reste posée !
[25] Sanh. 109a. Nous dirons : Les gens de la Synagogue et de la Torah, comme les gens de l’Evangile, sont friands de ce genre de paroles. Par contre, quand la vérité vient à eux, ils mécroient ! Quand partie de leurs ancêtres transgressèrent le sabbat (le samedi saint), le châtiment divin voulut qu’ils furent transformés en singes et en porcs (Coran II 65). Quand la Mense fut descendue du ciel au temps du Messie, ils mécrurent. Et les négateurs, une fois de plus, furent transformés en singes et en porcs (Coran V 60, 112-115). Quand la nouvelle de ces évènements passés fut transmis aux gens de la Torah de Médine, ils furent ébahis, stupéfaits, et se demandèrent entre eux qui a bien pu informer le fils d’Abd Allah d’un pareil secret que les rabbanim se cachaient entre-eux depuis des siècles ? Et à ceux qui déclarent ces paroles coraniques véridiques, aux gens de la Synagogue et de la Torah de les traiter comme ennemis de Sem et de sa descendances !? Alors que bon nombre d’entre eux ne sont pas de sa descendance, notent les Savants.
[26] On retrouve ce genre de discours chez les commentateurs, mais uniquement pour la ‘Tour’ de Pharaon.
[27] Rachi : 7 Or çà, paraissons! Et, ici même, confondons leur langage, de sorte que l'un n'entende pas le langage de l'autre." (Gen. 11 7).
Allons, descendons
Dieu, dans Son extrême modestie, a consulté Son tribunal (Midrach tan‘houma 58, 18).
Allons
Mesure pour mesure. Ils avaient dit : « Allons, construisons ! ». Dieu leur a rendu la pareille en disant : « Allons, descendons ! » (Midrach tan‘houma).
Confondons
- Le noun de nivla (« confondons ») indique le pluriel, et le hé final est un hé supplémentaire comme dans nérda (« descendons ») [du même verset].
Afin qu’ils n’entendent pas Lorsqu’on demandera une brique, on apportera du mortier. L’un se dressera contre l’autre et le blessera à la tête (Beréchith raba 38, 10).
   On a dit : Selon la Bible, les hommes de Babylone ne parlaient auparavant qu'une seule langue et ne formaient qu'un seul peuple. Un jour leur vint à l'idée de construire une tour qui atteindrait les cieux par sa hauteur, et leur permettrait ainsi d'accéder directement au Paradis. On nomma cette tour la "tour de Babel", "babel" signifiant "porte du ciel". Mais Dieu, les trouvant trop orgueilleux, les punit en leur faisant parler des langues différentes, si bien que les hommes ne se comprenaient plus. Ils furent alors contraints d'abandonner leur entreprise et se dispersèrent sur la Terre, formant ainsi des peuples étrangers les uns des autres. C'est en référence à ce récit de la Genèse que l'on utilise parfois le terme "tour de Babel" pour parler d'un lieu où règnent le brouhaha et la confusion. (linternaute.com)
   Babel. Ce nom se rattache en hébreu au verbe balal, qui signifie confondre. Mais le nom primitif Babîl ou Babilou, qu'on retrouve dans les inscriptions, signifie dans la langue babylonienne : porte de Dieu. Que l'auteur ait ou non connu ce sens primitif, il a mis en rapport le sens hébreu de ce mot (confusion) avec l'événement qui s'était passé en cet endroit. (levangile.com)
   Reste une question : Faut-il lire : Porte de Dieu ou confusion (par mélange) ? Ne l’oublions pas, les gens de la Synagogue et de la Torah sont des spécialistes pour déformer le sens des mots de leur propre langue (Coran IV 46 ; V 13, 41). Suivis de près en cela par les gens de l’Evangile. Exemple : Eve et le serpent
   Intimement lié au récit précédent, l'histoire d'Eve et l'interprétation juive de son nom méritent que l'on s'y arrête. D'après Gen 3 , 2 0 « L'homme donna pour nom à sa compagne: Eve, parce qu'elle fut la mère de tous les vivants ». Le nom d'Eve, Hava en hébreu, ne s'explique pas par la racine haya, qui signifie « vivre ». D'un point de vue philologique le nom d'Eve ne peut que s'expliquer par la racine araméenne ou hava signifie à la fois « vivre, faire connaître, informer ». Plus intéressant est le fait que ce n'est qu'en araméen que l'on perçoit le jeu de mot « vie/serpent » derrière le nom d'Eve, car en araméen Hava signifie « vie », mais Heva ou Hivyah signifie « serpent »; la différence n'est que dans la voyelle! De plus, en Gen 4,1 de la Septante, traduction grecque de la Bible, devenue la Bible des Chrétiens, le nom d'Eve ne s'écrit plus Zωȵ « vie », mais Eva (Eva), simple transcription du mot « serpent » en araméen dialectal. Le texte grec de la Septante prouve qu'au IIIe  siècle avant notre ère la prononciation reflétait le mot « serpent », et non pas « vie », comme le suggère la vocalisation tardive du judaïsme rabbinique, que l'on retrouve dans la transcription Hava de la Vulgate. (documents.irevues.inist.fr)
   Alors Dames et Filles du monde biblique : Comment appellerez-vous votre mère ? Vie ou Serpent ? Car cela vous concerne personnellement... D’où l’importance, pour le lecteur croyant, de revenir au texte initial et au sens initial.
   Rattacher Babel en hébreu au verbe balal, qui signifie confondre, n’a aucun sens car il reste à expliquer ensuite la place de "ïl - el" (nom de Dieu) dans le mot Bab-el. Quand les langues apparurent sur terre, le copiste fraudeur semble nous mener en bateau, se confondre dans ses dires. Donc rien de sérieux pour qu’on puisse croire ce qu’il dit et écrit !
[28] PRE 24. Nous dirons : Une fable de plus à mettre au compte des rabbanim.
[29] Courant en milieu biblique toranique. Le Créateur dialogue avec Ses anges comme un roi ou un chef d’Etat de ce bas-monde avec sa cour !
[30] Cette sorte de ‘Dieu’ n’a rien d’une divinité, il ressemble en tout point aux divinités de la mythologie égypto-gréco-romaine : moitié humain, moitié dieu ! Les rabbanim nous ont habitué à ce genre d’image dans leurs discours et écrits. Et après cela, ils osent prétendre être loin de tout anthropomorphisme !? Qui les croira ? En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[31] En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[32] Politesse oblige, le Créateur n’a pas de ‘peuple’, ni de ‘fils’ à Lui ! Le dire et le prétendre n’est-ce porter atteinte à Sa dignité ?
[33] Deut. 32:9. Nous dirons : Les prophètes lorsqu’ils décèdent ne laissent rien de biens matériels. Ils laissent simplement à leurs héritiers le Livre sacré et la Prophétie. Quand le sceau de la Prophétie apparut, il hérita de ces deux choses mettant fin aux prérogatives des Fils d’Israël et des Judaïsés.
[34] Entendre : Selon l’interprétation toute personnelle du monde biblique (toranique & évangélique).
[35] Les langues apparurent bien avant cela. Et en aucun cas, suite à une malédiction ou une Colère divine.
[36] Sanh. 109a.
[37] Qu’est-elle ? Cette science appartient exclusivement au Créateur et ne fait pas partie de la foi. Secundo : Pour les gens de la Synagogue et de la Torah, la ‘langue sainte’ est l’hébreu. Ce qui est que pure prétention ! D’Adam à Noé (sur eux la Paix !), les hommes de la Haute-Antiquité connurent quatre prophètes ; lesquels parlaient le syriaque.  Et c’est après Noé (sur lui la Paix !) que les langues apparurent dont l’hébreu. Et Dieu est plus Savant !
[38] Rachi : 1 Toute la terre avait une même langue et des paroles semblables. (Gen. 11 1).
Une même langue
La langue sainte.
Et des paroles identiques
(a‘hadim) Ils sont tous venus avec un même dessein et ils ont dit : « Dieu n’avait pas le droit de s’attribuer de manière exclusive le monde supérieur ! Montons au ciel et faisons-lui la guerre ! » Autre explication de l’expression « des paroles identiques (a‘hadim) » : des paroles s’adressant à l’Unique (è’had). Autre explication de l’expression « des paroles identiques (a‘hadim) » : Ils ont dit : « Le monde subit un cataclysme, comme cela a été la cas lors du déluge, une fois (è’had) tous les mille six cent cinquante-six ans. Nous allons donc nous construire des remparts pour soutenir le firmament ! » (Beréchith raba 38, 6).
[39] Comme mensonge, on trouve pas mieux ! La bêtise humaine n’a pas de limite, clame Lucifer !
[40] Si tel est le cas, la langue d’Adam n’était pas l’hébreu. Et se pose une question : Comment le Créateur a-t-Il fait pour leur apprendre l’hébreu ? S’est-Il assis avec eux ? Leur a-t-Il parlé face à face ? En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[41] S’ils voulaient éviter un deuxième déluge, à eux de rester en haut de la Montagne où le bateau de Noé s’était accosté. Plus efficace et beaucoup plus sûr qu’une pareille construction. Secundo : Que pouvaient-ils craindre ? Un nouveau déluge ? N’est-ce pas rompre l’alliance prise auparavant avec Noé et ses fils ? Qu’on en juge :
8 Et Dieu dit à Noé et à ses fils avec lui :
9 Et moi, je vais établir mon alliance avec vous et avec votre postérité après vous,
10 avec tout être vivant qui est avec vous, oiseau, bétail, et tout animal de la terre qui est avec vous, depuis ceux qui sont sortis de l'arche jusqu'à tout animal de la terre ;
11 j'établis avec vous cette alliance, que désormais nulle chair ne soit détruite par les eaux du déluge, et qu'il n'y ait plus de déluge pour ravager la terre.
 12 Et Dieu dit : Voici le signe de l'alliance que je mets entre moi et vous et tout être vivant qui est avec vous, à perpétuité.
 13 J'ai mis mon arc dans la nuée, et il deviendra signe d'alliance entre moi et la terre.
   Qui ment ici ? Et qui fait mentir le Créateur ? Preuve que le scribe faussaire est bien passé par là. Preuve aussi que cette prétendue ‘Tour’ est un leurre !
[42] Rachi : 8 Le Seigneur les dispersa donc de ce lieu sur toute la face de la terre, les hommes ayant renoncé à bâtir la ville. (Gen. 11 8)
Hachem les dispersa de là
Dans ce monde-ci (Sanhèdrin 107b). Ils avaient peur d’être dispersés (verset 4). Leur crainte s’est réalisée. Comme l’a écrit Chelomo : « Ce que redoute le scélérat lui survient » (Michlei 10, 24, Midrach tan‘houma).
9 C'est pourquoi on la nomma Babel, parce que là le Seigneur confondit le langage de tous les hommes et de là l’Éternel les dispersa sur toute la face de la terre.
Et de là Hachem les dispersa
D’où l’on apprend qu’ils n’auront pas de part au monde futur (Sanhèdrin 107b). Quel a été le plus grave péché, celui de la génération du déluge ou celui de la génération de la tour de Bavel ? Les premiers n’avaient pas récusé le principe de l’existence de Dieu, les seconds l’ont récusé en entrant en guerre contre Lui. Et pourtant les premiers ont été anéantis, alors que les seconds ne l’ont pas été ! C’est parce que la génération du déluge pratiquait le vol et se livrait à des violences, d’où sa destruction, alors que celle de la tour pratiquait l’amour et la fraternité, ainsi qu’il est écrit : « une seule langue et des paroles identiques » (verset 1). On peut en déduire que la division est haïssable et que la paix est la valeur suprême (Beréchith raba 38, 6).
[43] Cela suppose qu’à l’époque le nombre d’habitants était peu. Ce qui contredit bon nombre de propos soutenus par les rabbanim.
[44] Soit : à la Porte de Dieu ! Pourquoi ? Quant à la parole des rabbanim qui suit, cela suppose que Babel se trouve à côté de la mer pour que pareil évènement détruise les perturbateurs !
[45] Manquer de cohésion entre les chapitres de la Torah = falsification. Textes d’essence humaine.
[46] Selon l’interprétation de l’exégète biblique et la compréhension de son texte.
[47] Pour pallier à un manque, les exégètes bibliques aiment nous parler ainsi ! L’anticipation a bon dos chez eux, et savent surtout l’accorder à toutes les sauces ! Façon de se disculper !
[48] Selon l’exégète et le commentateur coranique deux évènements importants se passeront au temps de cet home : 1) répartition de la terre, 2) balbutiement des langues. Le texte toranique (du faussaire) met en avant que le premier évènement. Nuance notoire.
[49] Selon le fils de Kalby, c’est vers l’époque de Mahalaléel que fut construit deux villes : La ville de Babel en Irak et Sous au Khouzistan.
[50] On attribue à cet home une toute autre chose : Lire… et de même…
[51] Propos inadmissible ! Une atteinte à Sa dignité ! Celui qui craint, c’est la créature, le créé. Loin du Créateur une pareille attitude ! Il est une Divinité souveraine, puissante, capable, savante…
[52] SVP ! la référence ?



La tour de Babel peinte en 1587 par Lodewyk Toeput. Le dogme judéo-chrétien lui impute la confusion des langues.


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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25/07/12 .

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