Histoire sainte biblique

LES TABLES DE LA TORAH

Selon les Ecritures.

Au nom de DIEU,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


La Repentance - Téchouvah (תְשׁוּבה)- et sa relation avec une prétendue mise en pièces des Tables de la Torah. Le geste désespéré de Moïse. Réfutations.


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

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  • Question : Peut-on suspendre la Loi divine ? Si cela est possible, comment s’y prendre ? Et comment Moïse a-t-il fait pour y arriver ?

   A cette question le monde de la Torah répond :

Question :
Pourquoi Dieu n’a-t’Il pas demandé à Moïse de briser les tables ?
Ici la Guémara[5] veut nous faire comprendre que Dieu approuve le geste de Moïse et n’attend que cela. La Guémara de Shabat[6] nous enseigne que Dieu est d’accord avec l’initiative prise par Moïse.

   Nous dirons : Leur Créateur peut-il faire faire, encore une fois, à Son prophète une action contraire à Sa règle ? Nullement. Concernant la Loi contenue dans la Torah elle a pour unique Auteur : leur Seigneur. Le Prophète ne peut que demander son application la plus stricte à son peuple.
  
La Torah sera écrite sur des Tables de pierre. Ces pierres sont sacrées. On ne peut y toucher sans en porter les conséquences qui s’en suivront. Moïse, le premier n’était pas ignorant à cela. Briser les Tables ne saurait être pour lui. Tel ne sera pas le cas des gens de la Synagogue et de la Torah, gens de l’Evangile, lesquels y voient une nécessité absolue pour défendre l’immunité de leur peuple[7] !  

   Autre question :

Question : Pourquoi Dieu n’a-t’Il pas demandé à Moïse de briser les tables ?
Reponse : Dieu ne peut pas s’opposer à la loi. Dieu ne peut pas porter atteinte à la vérité absolue. C’est pourquoi il faut que l’initiative vienne de Moïse. L’idée que Dieu suspende la loi est une idée impossible. C’est la stratégie de Moïse qui fait que c’est possible et Dieu est d’accord avec lui[8].

   Nous dirons : Comment peut-on attribuer au divin Législateur pareil propos ? Pour changer une loi, il faudrait détruire la Torah ! Et ceci pour faire plaisir uniquement aux opposants et adversaires de la Religion divine ? Où va-t-on ? Personne ne peut aller à l’encontre des Arrêts et Décrets du divin Législateur, du NOM. N’en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, opposants et adversaires de Sa Religion ! Et dans ce combat pour le Droit et la Justice du divin Législateur, comment apparaissent les gens de la Synagogue et de la Torah ? Sinon, note l’observateur, non comme des défenseurs et dépositaires de la Torah et de loi en elle ; mais bien comme des opposants et des adversaires farouches de la Torah et son contenu, des ergoteurs, gens à la critique facile !  

Midrash précédent :
 
C’est avec une intention très profonde que le Midrash a toujours éclairé et illustré ce genre de  situation avec le problème de la famille. Par exemple quand le père dit à la mère : « arrête-moi, sinon je... », ce qui signifie « arrête-moi ! ». C’est dire que la conduite du père doit être Midat Hadin et c’est la mère qui doit intervenir pour arranger les choses. Mais si la mère n’intervient pas alors les choses ne s’arrangent pas. Parce que la loi est comme cela.
 
Il n’est pas question que Dieu porte atteinte aux tables de la Torah, mais il attend que Moïse prenne l’initiative. Et lorsque Moïse prend l’initiative Dieu le félicite : c’est ce qu’il fallait faire.

    Nous dirons : Les gens de la Synagogue et de la Torah tiennent, enseignent, propagent là des croyances qui font froid dans le dos ! Et comment après cela peuvent-ils prétendre être des gens de la foi, défenseurs de la Loi contenue dans la Torah !? Peuple de prêtres du NOM ? En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !

Quelle est l’idée ?
 
C’est qu’il faut suspendre la loi en attendant que le peuple soit capable de la recevoir. Si la loi est donnée alors que le peuple n’est pas capable de la recevoir, cette loi va l’écraser.

   Nous dirons : Suspendre la loi toranique jusqu’à quand ? Ne l’oublions pas, pour accepter cette loi contenue dans la Torah, il faudra pour ce peuple employer les grands moyens, voir la contrainte[9], la force : le mont du Sinaï sera alors pris et élevé au-dessus de leurs têtes. Et « en dépit de cela ils s’en sont détournés par la suite » c’est-à-dire qu’ils ont abandonné l’application de la Torah et ils agirent ainsi[10], car ils eurent le front de Lui désobéir… Alors que leur Créateur de leur rappeler :

   « Et quand de vous Nous avons pris un engagement et brandi sur vous le Mont ; « Tenez ferme ce que Nous vous avons donné, et écoutez[11] ! » ils dirent : « Nous avons entendu et nous avons désobéi », tandis que, dans leurs cœurs, par leur mécréance on les abreuvait [de l’amour] du Veau. Dis : « Comme est mauvais ce qu’ordonne votre foi, si vous êtes croyants ! » (Coran II 93).

  • Problèmes d’actualité en terres bibliques. La peine capitale ou la peine de mort.

   Exemple :

La Guémara[12] nous append par ailleurs que très tôt dans l’histoire d’Israël on a suspendu la peine de mort. C’est un problème dans les temps contemporains dans la civilisation occidentale[13], ce n’est que très récemment que l’on s’est posé la question de la légitimité de cette peine de mort. Mais la raison pour laquelle le Sanhédrin a supprimé la peine de mort est toute autre[14]. Au point que la Guémara dit qu’un tribunal qui condamne à mort une fois en 70 ans peut être défini comme un tribunal d’assassins[15]. Mais que veut dire la suspension de la peine de mort ? C’est protéger les assassins ?

   Nous dirons : Le Midrash n’éclaire pas, il n’est pas une référence en soi. Il n’est pas question, nous dit-on, que le divin Législateur porte atteinte aux Tables de la Torah et à Son contenu, Moïse oui ! Et "Dieu le félicite : c’est ce qu’il fallait faire." L’idée ? C’est, nous dit-on, "qu’il faut suspendre la loi en attendant que le peuple soit capable de la recevoir. Si la loi est donnée alors que le peuple n’est pas capable de la recevoir, cette loi va l’écraser."
  
Quand le divin Créateur institue, programme une loi, personne ne peut l’assouplir, la changer, l’abolir, que Lui ! Et suite au drame qui se passe sous les yeux de Moïse (sur lui la Paix !), que peut-il faire sinon faire ce qu’il a fait : « « O mon Seigneur, pardonne, à moi et à mon frère, et fait nous entrer tous deux[16] en Ta miséricorde, cependant que Tu es le plus miséricordieux. » (Coran VII 155).

  • La peine de Mort.

On a dit :

"La peine de mort pose un véritable problème à la conscience morale pour nous[17], hommes du XXIe siècle. C'est d'ailleurs un signe de maturité de nos civilisations[18]. Il nous faut comprendre que dans la société juive, que j'appellerai biblique, le religieux et le politique sont intimement liés. Bien sûr, les instances du pouvoir sont séparées (la royauté, le Sanhédrin avec les juges et le Temple avec les prêtres) mais le religieux est le cœur de la cité autour duquel tout se vit comme le Miskàn [le Temple portable] était au centre du campement du peuple hébreu dans le désert. Toute transgression volontaire qui touche au fondement de la nature humaine et de la foi conduit à un rejet et même à un effondrement des valeurs sur lesquelles la société juive repose. Pour cela la peine de mort est donc invoquée. Cependant cette peine de mort ne fut, depuis toujours, que très rarement appliquée et les maîtres du Talmud l'ont pratiquement abolie[19], non pas en l'annulant mais en imposant un ensemble de conditions tellement difficiles et complexes pour émettre la sentence et l'appliquer, que cela devint impossible à mettre en pratique. Il ne faut pas penser que l'abolition « De Facto » portera en soit le risque d'une déliquescence et de recrudescence des transgressions[20]. En fait les maîtres avaient compris dès le départ, que la peine de mort n'existait pas comme peine dissuasive, en effet la peine de mort ne freine pas le transgresseur[21]. Il s'agit donc, pour les sages de travailler à un autre niveau et c'est celui de la formation éthique et morale du peuple juif[22]. C'est pour cette raison que se développe dans la culture juive le « culte » de l'étude et de l'éducation[23]. Faire accéder chaque juif à la connaissance deviendra un élément central du judaïsme et cette éducation fera que la non-application de la peine de mort « De facto », même si « De jure » elle ne sera jamais abolie, n'aura pas d'impact sur le concept de justice et continuera à avoir l'effet voulu qui est celui de faire comprendre la gravité de la faute. Le principe de peine de mort devient alors le " mètre étalon " qui met en évidence la gravité de la faute commise et non plus une peine réelle[24]. Et cela est vrai pour toutes les transgressions où la peine de mort est requise." (maimon.blog.lemonde.fr)

   La loi toranique a fait ses preuves ? Jusqu’au sceau des Prophètes d’Israël, le Messie (sur eux la Paix !), le monde biblique a pu la goûter, la connaître tout au long de son Histoire sainte.

   La loi d’essence humaine, la loi des gens de la Synagogue, a montrée ses lacunes, ses faiblesses, ses impossibilités, ses contradictions, ses effets nocifs à long terme au sein d’une société dite évoluée, moderne et en cours d’une évolution permanente. Elle n’égalisera jamais la loi de la Torah. Et ‘le « culte » de l'étude et de l'éducation’ ne saurait la remplacer. Pure illusion de la part de leurs auteurs !

   De nos jours, la société sécularisée, laïque, qui refuse l’Autorité du divin Créateur sur elle ; s’est profondément imprégnée des conceptions talmudiques, des gens de la Synagogue (aussi et comme leurs ancêtres d’Arabie cette parole : « que la plupart d’entre vous sont prévaricateurs (fasiqoûn) » : qu’ils contreviennent à l’Ordre de Dieu et “sortent” de ce fait de l’obéissance qu’ils Lui doivent). Les gens du Talmud, de la Synagogue ont tous fini par rejoindre Paul, le pharisien, le Pharisianisme. Qu’ils le veuillent ou non !

   Parler, au sein des sociétés bibliques du monde entier, de la loi de la Torah : c’est se déconnecter de la société, clame le laïcard affidé de Lucifer ! C’est retourner au Moyen-âge ! Que dire de la Loi coranique !?

   Celui qui a créé l’homme, n’a-t-Il pas fait descendre avec lui une loi pour régir sa vie quotidienne ? Sa vie en société, ses relations, etc. ? En vérité, cette Divinité que nous adorons et louons, est une Divinité puissante, savante, capable, juste ! Et Sa Loi se veut bonne, saine, éducative, protectrice, dissuasive pour tout fils d’Adam. Mais pour le monde de l’Athéisme, de la Mécréance, de l’Associationnisme, du Dualisme, de la Philosophie, du Politique, Intellectuel, du Sécularisme, de l’Argent, du Laïcisme… tout cela n’a aucun sens ! Et à eux de suivre et d’inviter à suivre la voie : 1) du Démon, de Lucifer, lequel invite le fils d’Adam au mal, à la turpitude et au blâmable, à la Mécréance. 2) De leurs lointains ancêtres. 3) De leurs penchants, de leurs aspirations…

  • La peine de Mort, ce qu’en dit la Torah.

   A ce sujet, on a dit :

La Thora présentera une série précise de cas où cette peine sera requise.

La peine de mort est encourue pour :

§                      Le viol

§                      L'enlèvement des personnes à fin de gain

§                      La sorcellerie

§                      L'Avodà Zarà (le culte païen impliquant des sacrifices humain ou la prostitution sacrée)

§                      La violation du Shabbath publiquement

§                      Le fils rebelle (Ben Sorer Ou-Moreh)

§                      La ville qui se convertit en entier au paganisme (‘Yrat Dakhat)

§                      Le meurtre avec préméditation

§                      L'adultère

§                      L'homosexualité

§                      La fille du prêtre prostituée

§                      Le blasphème du nom de D.

§                      L'inceste

§                      Pour quiconque frappe ou maudit ses parents

§                      Pour quiconque s'accouple avec une bête

Et évidemment il existe plusieurs types d'exécution en fonction de la faute :

§                      par le feu (bûcher)

§                      par lapidation

§                      par pendaison

§                      par l'épée

La question qui vient automatiquement à l'esprit est : Ces peines ont-elles été appliquées ? Et comment ?

   A suivre les commentateurs hébreux, la peine de mort fut abolie très tôt[25]. Une choses est sûre, pour les Prophètes de l’Evangile la peine de Mort sera appliquée de la manière la plus stricte. Exemple concernant les Prophètes Zacharie et son fils (sur eux la Paix !) que les gens de la Synagogue et de la Torah refusent de reconnaître, et qui mourront assassinés. Quant au fils de Marie, il en échappera. Toutefois, son sosie nullement : jugé, il sera condamné.
  
On nous dit : Talmud : « On a enseigné : 40 ans avant la destruction du Temple de Jérusalem, le droit de prononcer les sentences capitales a été enlevé aux Israélites, et au temps de Simon b. Schetah on leur enleva le droit de connaître des questions pécuniaires. »
  
Ne pas oublier cette parole du Messie aux Fils d’Israël aux Fils d’Israël :

   "Et quand Ichoua (Jésus-Issa) apporta les preuves (aux Fils d'Israël), il dit : "Je suis venu à vous avec la sagesse, certes, et pour vous exposer en partie ce en quoi vous divergez. Craignez Dieu, donc, et m'obéissez." (Coran XLIII 63).

   Selon l'Imam Razi, la sagesse ici c'est la Connaissance (en arabe, ma'rifa) de l'essence de Dieu, de Ses attributs et de Ses actions. En un mot, la sagesse désigne ici les principes de la religion (ousoul al dîn, en arabe), et la partie de ce en quoi ils divergent est formée par les ramifications. (en arabe, fourou' al-dîn).
  
On a dit également que les Fils d'Israël ont divergé après la mort du prophète Mochè (sur lui la Paix !), sur des points qui concernaient leur religion et sur d'autres qui étaient en rapport avec leurs affaires en ce monde. Le prophète Ichoua (sur lui la Paix !), dit-on, ne leur éclairci que ce qui concernait leur religion. Et Dieu est plus Savant !

  • Aberrations.

   De même : « Et encore, dit R. Juda b. Pazi, même le Très-Saint ne juge pas seul, comme il est dit (I, Rois XXII, 19) : toute l’armée céleste était placée auprès de lui, à sa droite et à sa gauche ; les uns font pencher la balance de la justice en faveur de la grâce ; les autres la font pencher dans le sens de la culpabilité (de la condamnation). Cependant, bien que Dieu ne juge pas seul , il scelle l’arrêt, comme il est dit (Daniel, X, 21) : Mais je te dirai ce qui est marqué en écriture de vérité ; ce qui est le cachet divin. R. Yohanan dit : Dieu ne fait jamais rien dans ce bas-monde sans se concerter avec le tribunal d’en haut, selon ces mots (ibid.) : la parole est vraie, et l’armée est grande. Or, quand le cachet divin est-il la Vérité ? Lorsqu’il y a eu entente avec le tribunal d’en haut.
  
R. Eléazar dit : partout où il est écrit Et l’Eternel, cela indique que Dieu a été assisté du tribunal céleste, et on peut chaque fois le prouver. Ainsi il est dit (I, Rois, XXII, 23) : et l’Eternel a prononcé du mal contre lui (c’est l’Eternel, assisté de l’esprit sévère de la justice). Quel est le cachet de la Divinité ? Le mot Vérité, dit R. Bivi au nom de R. Ruben. Pourquoi ce mot ? Parce que, dit R. Aboun, il affirme qu’il est Dieu vivant et roi du monde... » (Talmud de Jérusalem. Traité Sanhédrin. V, VI, p, 228, 229).
  
Rachi (Genèse I, 26) explique que Dieu parle au nom de sa "famille", les êtres célestes. L'homme étant à l'image des êtres célestes, ceux-ci auraient pu être jaloux. Aussi Dieu a-t-il pris soin de les consulter. Et lorsque Dieu juge les rois de la terre, il prend également conseil de sa "famille". Selon Rachi, le monde «supérieur» est constitué d'une armée céleste, les anges, siégeant à droite et à la gauche de Dieu, assis sur son trône.
  
Telles sont les croyances du monde talmudiste ! En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
  
Au Jour des Comptes, les auteurs de ces paroles abominables, sans fondement, auront tout loisir de juger du bien fondé de leurs paroles ! Aussi pourront-ils constater si le Juge divin jugera Seul, ou accompagné d’une cour d’anges et d’humains ! Et après cela quel sera leur devenir pour avoir menti sur leur Créateur !
  
Elie Munk : « ...la sentence de mort proclamée pour le péché originel[26] et annoncée à Adam, sera commuée en celle de l’expatriation du paradis et de l’exil. Les sages d’Israël se sont inspirés de cet exemple de clémence et ils ont pratiquement aboli la peine de mort en lui substituant les peines de réclusion, d’internement dans les « villes refuge »[27] ou des châtiments d’un autre ordre. Ils ont, de même, atténué la règle de la peine proportionnée au délit, proclamée par la loi du talion, en ne faisant appliquer la réparation du préjudice causé que sous forme de dommages-intérêts[28]. (Gen. 2:4).
  
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
  
Des lois toraniques, l’homme du judaïsme a fait un grand saut dans l’inconnu en suivant aveuglément les gens de la Synagogue. Lesquels n’ont pas hésité un seul instant, et après l’élévation du sceau des Prophètes d’Israël, le Messie (sur eux la Paix !), de braver l’Ordre divin, de transgresser Sa loi...!
  
Quand le sceau de la Prophétie, le Prophète Ahmad (sur lui Prière et Paix !) se manifestera, en son temps, à la communauté judaïsée d’Arabie ; ils voulurent le tester dans un arbitrage qui les opposait entre eux. Or ils savaient tout cela[29] et « en dépit de cela ils s’en sont détournés par la suite » c’est-à-dire qu’ils ont abandonné l’application de la Torah et ils agirent ainsi, car ils eurent le front de Lui désobéir

   Que le Seigneur nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !

[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Drôle d’ouvrage est-ce ?
[6] Sabbat, samedi.
[7] A notre époque deux peuples défendent cette notion : les Hébreux de Canaan, gens de la Torah et les gens de l’Evangile de l’Oncle Sam ! Au Jour des Comptes, tous pourront voir l’absurdité d’une telle notion et croyance.
[8] En Religion, la ‘complicité’ ne saurait être ! Ce vocable ne fait pas partie du vocabulaire divin ni prophétique. Surtout en pareil cas, qui consiste à échapper au Jugement divin, à la Loi ! Oui, les coupables doivent être punis sévèrement pour ce qu’ils ont fait, à savoir : Donner à leur Créateur un Associé, un Egal à Lui !
[9] Rappelons ce témoignage d’Internaute cité plus haut : "D’autre part, et je ne voudrais pas prêcher pour une paroisse que je n’honore pas, la religion juive a un certain nombre de trucs assez rigolos et sympathiques (même si ça reste une religion).
Par exemple, mon rabbin me disait souvent, “Fais-toi ton Dieu”, il tirait ça du Talmud, j’ai toujours aimé cette manière de donner au fidèle l’impression de ne pas le prendre pour un con. Il me disait aussi que les Juifs, plutôt que de se considérer comme un peuple élu (ce qui rassure en cas de pogrom, faut bien avouer), devraient se considérer comme un peuple DÉSIGNÉ, au motif que dieu ne leur a pas donné la Torah comme un cadeau à un bon élève, mais leur a littéralement collé sur la tronche, parce que de tous les peuples, c’était eux les pires et qu’ils avaient vraiment besoin d’un guide pour les diriger."
   Comprendra qui voudra !
[10] Eux, et une secte comme les Samaritains. La parole divine concerne ici l’ensemble de gens se réclament de la Torah. Qu’ils soient gens se disant : orthodoxes, samaritains, libéraux, pharisiens, sadducéens et autres…
   Quand les gens de la Torah parlent de nos jours de leurs communautés, ils se gardent bien de mentionner eux-mêmes, eux gens de la Torah ! On assiste systématiquement à la même mise en scène depuis des lustres : le monde de la Synagogue et de la Torah, sa pièce préférée, c'est la victimisation.
   Pour éviter que la faute du peuple soit générale, on met toujours en avant les autres, note l'observateur ! Ceux qui ont déviés de la communauté judaïsée, gens des sectes comme les Samaritains ou autres ; non jamais l’ensemble des gens de la Torah au sens propre du mot ! Une façon comme une autre, note encore l’observateur, pour s’échapper et fuir un peu mieux ses propres responsabilités. Exemple d’échappatoire fameux et rapporté au sein du monde biblique de métropole : Et cette formule rendue célèbres par Georgina Dufoix lors du scandale du sang contaminé. La formule « responsable mais pas coupable » qu'elle employa pour sa défense sur TF1 en novembre 1991 est restée fameuse…
[11] Haï Bar-Zeev d’écrire : En fait, la discussion porte sur un certain passage du Pentateuque. Lorsque les juifs, au pied du mont Sinaï, entendirent les Dix commandements, ils éprouvèrent une terrible crainte. Les chefs des tribus demandèrent alors à Moïse d’être le seul à écouter la suite des paroles de Dieu qu’il transmettrait tandis que le peuple s’engagea à s’y soumettre : « Véshamanou véassinouet nous écouterons et nous exécuterons » (Deutéronome 5, 19-29). (…) Nous écouterons et nous exécuterons est à comprendre ainsi : nous écouterons ce que Moïse nous dira au nom de Dieu et nous l’exécuterons ! Il est précisé : « Approche-toi [Moïse] et écoute ce que Dieu l’Eternel dira, et c’est toi qui nous parlera de tout ce que Dieu te dira et nous écouterons et nous exécuterons ! (Deutéronome 5, 24).
  
Nous remarquerons que l’auteur de ces lignes se garde bien de mentionner l’incident du Mont du Sinaï (Coran II 93), du même moment. Il est vrai que cet incident est mentionné en dehors de la Torah. Secundo : Concernant ‘ils éprouvèrent une terrible crainte’, on a dit aussi : Cette démarche du peuple effrayé auprès de Moïse, n'est mentionnée que brièvement Exode 20.18-19 ; elle est sans doute rappelée ici d'une manière plus complète dans le but, d'amener la réponse touchante de l'Éternel (verset 29) qui n'était point rapportée dans l'Exode : Oh ! s'ils avaient toujours ce même cœur...! Cette parole divine est une invitation à la génération actuelle de revenir aux sentiments de crainte profonde de l'Éternel et de sincère humilité, qui animaient en ce moment-là leurs pères. Il est difficile de croire qu'un autre que Moïse eût pu compléter par cette parole de Dieu lui-même le récit de cette scène. (levangile.com).
  
Conflit entre Exode et Deutéronome ? Sans aucun doute ! Le scribe dissimulateur, falsificateur étant passé par là. Il se garde de rappeler Bible (Exode 19/17). Le Deutéronome, entre les mains des gens de la Torah, nous montre une sorte de prophète, Moïse (sur lui la Paix !) en l’occurrence ; comme lisant les Tables de la Torah devant son peuple, en rappelant aux Fils d’Israël, au passage, les différentes étapes de l’Egypte au Sinaï, leur avenir si ces derniers n’observent pas et n’appliquent pas la Loi divine contenue dans la Torah.
  
L’incident du mont Sinaï censuré, jeté aux oubliettes, pourtant combien important. Une pièce importante de leur dossier, de leur Histoire sainte que les gens de la Synagogue et de la Torah ont cru bon de mettre en sourdine, censurer. Ressort-il ? Alors à eux dans donner une explication et interprétation qui fait froid dans le dos ! Encore une fois, on cherche les coupables mais venus d’ailleurs ! On refuse de reconnaître la faute pleine et entière du peuple d’Israël, des Fils d’Israël, des Hébreux. On refuse de reconnaître leur culpabilité !
  
En effet, dans la Bible, il y a un mot hébreu qui porte à confusion : TaCHTIT. Le verset, nous dit Ange-Mathieu Mezzadri, de la Bible (Exode 19/17) utilise en hébreu le mot TaCHTIT (partie inférieure d’un objet, bas) qui contient la racine TaCHT (sous) d’où la lecture que propose rabbi Abdimi fils de Hama fils de Hassa.
 
  
Dans la Thora, ne lisons-nous pas : "...et ils s'arrêtèrent au bas de la montagne." (Ex. 19: 17)
  
Et en commentaire, et selon la version biblique des faits :
   "Suivant le sens littéral : au pied de la montagne. Mais le Midrach explique que la montagne a été arrachée de sa base et s'est incurvée au-dessus d'eux comme ferait une coupole. Et Dieu a dit : Si Israël accepte la Thora, c'est bien. Si non, Je ramène le monde à son toho-bohu." (Rachi)
 
   Conclusion : le Midrach confirme le texte coranique, le texte toranique l’infirme !
   "Quand le Pentateuque (Deutéronome 18, 15-19) ordonne de respecter les déclarations des prophètes à venir, il ne mentionne pas de nouveaux commandements ou une quelconque abolition des anciens [comme Paul ose l’affirmer (Actes 3, 22)], mais exclusivement des instructions ponctuelles (L’explication que nous reproduisons est tirée de Maïmonide, Epitre au Yémen), comme nous l’avons rapporté dans le chapitre III, paragraphe « Le rôle des prophètes »."
   « Quand le Pentateuque (Deutéronome 18, 15-19) ordonne… » : disons plutôt quand les gens de la Synagogue et de la Torah font déclarer à la Torah entre leurs mains que… La Torah originelle n’étant plus, comment peut-on parler ainsi ?! Ce n’est qu’un Livre frelaté actuellement aux mains des gens se réclamant du judaïsme, et se disant judaïsés (Yehudim). Rien de plus, rien de moins !
   Les gens de la Torah, dans un premier temps refusent la Torah à cause des lois drastiques en elle… Quelques siècles plus tard, le sceau des Prophètes d’Israël, le Messie (sur eux la Paix !) leur proposa certaines lois assouplies, modifiées, abolies, qu’ils refusèrent ! Puis vint le fils d’Abd Allah qui voulut alléger lui aussi le joug de la Torah sur eux (conformément à la Prophétie) : leurs fardeaux et leurs carcans (Coran VII 157) ; mais ils refusèrent, sauf un petit nombre ! Face à ces deux Messagers du NOM, ils se montrèrent durs comme marbre, implacables ! Les Tables n’étaient-elles pas de marbre, à leur image, à l’image de leurs cœurs ? Ils optèrent pour le statu quo, pour rester dans l’état que les gens de la Synagogue leurs dictèrent ! Car ces derniers ne voulurent point perdre leurs prérogatives, notent les Savants. Et les gens de la Synagogue et de la Torah de notre époque veulent rester fidèles, eux aussi, à leurs aînés, soit : à ceux qui falsifièrent leurs Ecritures d’entre leurs ancêtres… Ils ne veulent, en aucun cas, changer l’état dans lequel ils vivent. Bien qu’ils prétendent, à tort, que le Jour de la Délivrance et de la Rédemption est à attendre, proche… !
  
"Les directives instituées par les soixante-dix Anciens nommés par Moïse, le Sanhédrin de Jérusalem, jusqu’aux Sages du Talmud et même plus tard, ne relèvent pas de la prophétie.
  
Ces prérogatives des Sages sont justifiées par les paroles du Pentateuque (Deutéronome 17, 8-13) et leurs explications transmises par la tradition orale." (Une lecture juive du Coran. Edit. Berg International Editeurs).
  
Disons qu’elles sont ‘justifiées’ d’après l’interprétation qu’en a donné le monde de la Synagogue (rav, rabbanim, sages). En clair, la Prophétie s’arrête là où le judaïsme commence…
[12] Toujours elle ! Non jamais les gens de la Synagogue et de la Torah.
[13] Problème mis en avant par les gens de la Torah vivants au sein des peuples évangéliques. Ayant le bras long au sein de ces sociétés sécularisées, note l’observateur, ils ont su amadouer, convaincre les gens de l’Evangile de s’aligner sur leurs positions, du bien fondé de l’abolition de la peine de Mort au sein de leurs sociétés. D’accepter, pour eux, la loi du Talmud, leur loi. De faire et de devenir comme eux. Les premiers ayant une emprise certaine sur les seconds.
  
Paul, de son vivant, avait commencé à égarer la communauté évangélique en leur demandant expressément d’abonner les lois toraniques. Les lois des gens du Paganisme de l’époque devenant leurs lois du façon définitive ! A la loi divine, on demandera donc à cette toute jeune communauté du Messie de la subsister par la loi de Rome, d’Athènes ou d’ailleurs. A savoir qu’ils se doivent, eux aussi, d’imiter les gens de la Torah, leurs frères, lesquels comme leurs successeurs : « en dépit de cela ils s’en sont détournés par la suite » c’est-à-dire qu’ils ont abandonné l’application de la Torah et ils agirent ainsi, car ils eurent le front de Lui désobéir… Et de tout temps, les gens de la Torah veilleront tout particulièrement sur les gens de l’Evangile ; pour qu’ils ne leur fasse de l’ombre, pour éviter coûte que coûte que deux communautés religieuses ne se réclament d’une simple et même Loi révélée : la Loi divine contenue dans les Tables et modifiées par la suite par le Messie (sur lui la Paix !), en l’Evangile.
[14] Ainsi la peine de mort a été abolie, De Facto, dans son application vers 30 e.v c'est-à-dire durant la période du début de la rédaction de la Mishnà et bien avant la rédaction du Talmud. En fait tout ces éléments ont été renforcés plusieurs fois et ont donné lieu à des prises de position très claires contre la peine de mort. Ainsi dans le Traité Makkot (7a) du Talmud il est écrit :
« Un Sanhédrin qui prononce une condamnation à mort en sept ans est appelé sanguinaire, selon d'autres opinions, une fois tout les soixante dix ans. Rabbi Tarphon et Rabbi Akivà ont enseigné : « Si nous avions siégés dans un Sanhédrin, il n'y aurait jamais eu de condamnation ».
[15] Puisqu’ils ont la loi contenue dans la Torah pour juger, faut-il comprendre qu’à travers cette parole que leur Créateur en leur demandant cela est Lui-même un ‘assassin’ ? La question reste posée !
[16] Le peuple n’est pas mentionné ici.
[17] Gens de la Bible. Gens sécularisés ou non. L’intellect ayant l’autorité sur la Loi divine. N’oublions pas la notion de libre-arbitre défendue par les gens de la Bible. Ici à elle d’être mise en avant par l’intellect, le rationnel. Ceci pour échapper à cette notion étrangère aux gens de la Bible la ‘soumission’ pleine et entière au Créateur. D’où leur esprit de rébellion, ergoteur…
[18] De dégradation et d’éloignement chaque jour venant de la Loi divine des gens de la Bible. Les gens de la Synagogue se disant au-dessus de leurs lois, aussi à eux de se prendre comme « seigneurs », des « législateurs » à part entière au-dessus de leur divin Créateur et Législateur (Coran IX 31) ! Et ceci depuis tout temps.
[19] Et à eux d’en voir et de goûter ce qui leur arrivera au Jour des Comptes !
[20] Façon de raisonner comme Paul, le pharisien.
[21] Poser la question au transgresseur lui-même. Une fois la peine capitale appliquée, qu’en pensera ceux qui voulaient ou voudraient l’imiter ?
[22] Est-il immunisé ? Incapable de tomber là où les autres créatures tombent ? Et que peut faire de l’enseignement, d’un enseignement une fois la faute commise ? N’est-ce pas mettre la charrue avant les bœufs ? L’enseignement d’abord, l’information d’abord, pour éviter toute dérive, acte grave, péché de l’être humain. Notons au passage que la notion de péché (au sens propre du mot) est inexistante chez les intellectuels, les Philosophes, gens de la Politique (laquelle est une branche de celle-ci). Ou plutôt existerait bien, mais chez autrui ! A eux de se juger, au sein du peuple, comme des gens à part, note l’observateur ! Au-dessus des lois qu’eux-mêmes créées !
[23] Les gens de la Synagogue donne beaucoup d’importance sur l’étude de la Torah (non sur la pratique). L’homme de la Torah ne devrait-il pas méditer sur cette parole divine :
   « L’exemple de ceux qui ont été chargé de la Torah puis ne l’ont pas portée, est comme l’exemple de l’âne qui porterait des livres ! Qu’il est mauvais l’exemple de ceux qui traitent de mensonge les signes de Dieu ! Dieu cependant ne guide pas les gens prévaricateurs. » (Coran LXII 5).
   Question : L’âne peut-il profiter des livres qu’il porte ?
[24] Ce n’est que scier la branche sur laquelle on est assis ! Si l’un manque, l’autre également. Ce genre de réflexion n’aboutit à rien sinon que de remettre en cause les lois contenues dans la Torah.
[25] Rappelons les paroles de Paul à l’encontre de ses frères : Toi qui te fais une gloire de la loi, tu déshonores Dieu par la transgression de la loi ! – LSG - Tu mets ta fierté dans la tora; mais en transgressant la tora, tu avilis Elohîms. - CHU – (levangile.com).
[26] Croyance purement biblique, prise du Pharisianisme. Elle connaîtra son apogée par Paul, le pharisien, agent (selon les historiens) des gens de la Synagogue et de la Torah de son époque. Et Dieu est plus Savant !
[27] On a dit : ('IR MiKLaT - ville de refuge) Dieu a ordonné à Josué de bâtir plusieurs villes de refuge en territoire conquis. Elles étaient destinées à accueillir ceux qui avaient commis un homicide involontaire, les étrangers et les enfants d'Israël.
   Dieu a donné des villes de refuge des deux côtés du Jourdain pour offrir une protection à ceux qui s'étaient rendus coupables d'un homicide involontaire. Nomb 35-9-14.
   Est-ce vrai ? On ne peut ni infirmer ni confirmer pareille pratique. La Bible encore une fois n’étant pas source de référence en soi, pour nous. Et ce qu’ont fait faire, dire à Josué, dépasse tout entendement ! Son règne reste un règne, à en lire la Bible, un règne où le sang coula à flot… Et aux Judaïsés d’acquiescer !
[28] Ceci appartient uniquement à la loi coranique. Les « sages » (gens de la Synagogue) transgressent, appellent leurs suivants à transgresser la loi toranique sur ce sujet brûlant. La loi du talion reste la loi du Talion ! N’en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux adversaires et opposants de la Loi divine.
   Nous savons tous que les gens de la Synagogue et de la Torah ont refusé la loi de l’Evangile (originel) et la loi toranique. Ils refusent que des messagers du NOM : le fils de Marie et le fils d’Abd Allah changent, modifient, assouplissent, abolissent la loi toranique ou certaines lois de la Torah. Par contre, à eux de s’approprier le droit d’interpréter la loi toranique comme bon leur semble ! De la modifier, de la supprimer, voir de l’abolir purement et simplement ! De quel droit ? Et comment après cela peuvent-ils prétendre être les dépositaires, les défenseurs, les établisseurs de la Loi toranique donné à Mochè (sur lui la Paix !) !? N’est-ce pas se moquer du monde ?
[29] Voir notre étude sur ce sujet : Lire… Et (…) enfin, que nous reprochez-vous si ce n’est aussi « que la plupart d’entre vous sont prévaricateurs (fasiqoûn) » : qu’ils contreviennent à l’Ordre de Dieu et “sortent” de ce fait de l’obéissance qu’ils Lui doivent ?  



Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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19/01/12 .

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