Au nom de DIEU, Allaha,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !
Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !
Les
Signes et Miracles du prophète messager le Messie fils de
Marie.
Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de
la Prophétie[4].
L'Evangile de Dieu et les miracles
du fils de Marie, version coranique.
Plan de l'Evangile avant la destruction du second Temple
: 1) Mention de la famille de Zacharie,
naissance d'un fils.
2) Mention de la famille de Marie fille d'Imrân[5].
Naissance du Messie, Ichoua'[6] fils de Marie[7].
3) Trois prophètes des Fils d'Israël font leur apparition. Le
Messie viendra se présenter comme prophète messager devant les
Fils d'Israël avec des signes et miracles. Face à cela le peuple
se rechigne, excepté un petit nombre.
4) Fin de leur Etat et destruction du Temple de Salomon.
Les compagnons du Messie fils de
Marie.
Envoyé en mission auprès des Fils
d'Israël[8],
il devra se choisir des Compagnons parmi les Fils d'Israël : Il
en choisira douze. Le chiffre 12 est très important pour
les gens de la Synagogue et de la Torah[9].
Autre chiffre : 70.
Pourquoi ce choix ?
Le verset coranique d'expliquer au sujet du Messie que
celui-ci va se présenter lui-même aux Fils d'Israël[10].
Qu'on en juge :
"Et Dieu lui enseigne le Livre et la sagesse et la Torah et
l'Evangile. Et le voilà messager aux Fils d'Israël : « En vérité,
si je viens à vous c'est avec un signe de la part de votre
Seigneur. En vérité, pour vous je pétris de glaise une figure
d'oiseau, puis je souffle dedans, et, par la permission de Dieu,
c'est un oiseau. Et je guéris l'aveugle-né et le lépreux, et je
ressuscite les morts, par la permission de Dieu. Et je vous
apprends ce que vous mangez et ce que vous amassez dans vos
maisons. Voilà bien un signe, pour vous, si vous êtes croyants
!"
Enfin autre étape tout aussi importante :
Et me voici pour confirmer ce qu'il y a devant moi du fait de
la Torah, et pour vous rendre licite partie de ce qui vous était
interdit. Et je suis venu à vous avec un signe de votre
Seigneur. Craigniez Dieu, donc, et m'obéissez ! En vérité, Dieu est mon Seigneur et votre Seigneur.
Adorez-Le, donc : Voilà un chemin droit. » (Coran III 48-49)[11].
Entre parenthèses.
La Religion divine est Une, indivisible, depuis la création
des cieux et de la Terre. Elle est divisée en deux parties
distinctes : 1) les croyances ; 2) la Loi divine. Les croyances. Elles ne bougent pas, soit pour chaque croyant
soumis la formule habituelle : J'ai cru en Dieu, en Ses anges,
en Ses Ecritures, en Ses messagers et prophètes, au Paradis, au
Feu infernal, à la Prédestination du bien et du mal... La Loi. Dieu a voulu être connu et se faire connaître de Ses
créatures, aussi a-t-il décrété pour elle, une loi, Sa loi
d'essence divine. Cette Loi peut-être (avec le temps) abolie,
changée, adoucie (Evangile), réformée. Fils d'Israël ou Fils de Jacob. A eux de connaître, en tout
premier la loi toranique : puis, après la Révélation de
l'Evangile, sceau de leurs Ecritures : la loi évangélique, loi
révélée. Ce qui verra du même coup certaines lois toraniques
modifiées, changées... Gens de la Torah. N'acceptent qu'un Livre divin : la Torah et
la Loi contenue en elle. Gens de l'Evangile. Acceptent la Torah en tant que Livre de
lecture. Rejettent en bloc, et sur ordre de Paul, toute loi
révélée pour les Fils d'Adam et pour les gens de l'Evangile. La
loi du pays, de la communauté, des gens, du peuple, c'est rien
d'autre que la loi de César, loi d'essence humaine.
"Et Dieu lui enseigne le Livre et la
sagesse et la Torah et l'Evangile."
Décryptage.
Premièrement : Le texte coranique de spécifier que le Messie
n'a que pour enseignant que son Seigneur Lui-même[12].
Lequel lui apprendra le Livre : l'écriture[13] et la sagesse[14],
la Torah révélée à Moïse qu'il connaîtra par cœur[15] et l'Evangile (au singulier)[16] qu'Il lui révélera en une seule fois au Séïr. Ce Livre[17] annoncé au Sinaï[18] à Moïse et qui deviendra, avec le Messie fils de Marie, le sceau[19] des Ecritures des Fils d'Israël. Secundo : Très important : le Messie se présente auprès des
Fils d'Israël. Il va se présenter à eux, d'une certaine façon,
avec ses lettres de créance, c'est-à-dire : ses miracles et
signes divins pour confirmer sa mission légiférante. Si les gens de l'Eglise et de l'Evangile croient aux miracles
du Messie fils de Marie, tel n'est pas le cas des gens de la
Synagogue et de la Torah. Et c'est justement ce reproche que
Dieu leur fera[20]. Ce qu'en disent, à notre époque, les intéressés, la croyance
yéhudie. Qu'on en juge :
La croyance juive se
fonde uniquement sur une révélation nationale
Tout au long de l'histoire,
des milliers de religions ont été créées par des individus[21],
tentant de convaincre les gens qu'ils étaient les vrais
prophètes22] de Dieu[23].
Mais les fondements d’une religion basée sur une révélation
personnelle sont excessivement fragiles[24],
car il est impossible d’en vérifier la véracité[25].
En effet, n'ayant pu entendre Dieu parler à cette personne[26],
tous doivent la croire sur parole. Même si celui qui
proclame avoir reçu une révélation personnelle, accomplit
des miracles[27],
cela ne prouve pas qu'il soit un vrai prophète. Tout ce que
les miracles prouvent, - en supposant qu'ils soient
authentiques, est qu'il dispose de certains pouvoirs[28].
Cela n'a rien à voir avec sa revendication d’être reconnu
comme prophète[29].
Le Judaïsme,
contrairement à toutes les grandes religions du monde, n’est
pas une religion se reposant sur des "revendications de
miracles"30].
En fait, la Bible dit[31] que Dieu accorde[32] parfois aux charlatans[33] la possibilité d’accomplir des miracles[34],
dans le seul but de tester la loyauté juive[35] envers la Torah[36] (Deutéronome 13:4).
Parmi les milliers de
religions dans l'histoire de l’humanité, seul le Judaïsme
repose sur une révélation nationale37],
Dieu parlant à une nation toute entière[38].
Si Dieu s’apprête à lancer une religion, il est logique[39] qu’Il l’annonce à tous[40],
et pas uniquement à une seule personne[41].
Maïmonide[42] déclare (Fondements de la Torah, ch. 8):
Les Juifs n'ont pas
cru en Moïse, notre maître, à cause des miracles qu'il a
accomplis. Chaque fois que la croyance de quelqu'un est due
à l’observation de miracles, il entretient des doutes dans
son esprit, car il est toujours possible que ces miracles
aient été réalisés grâce à la magie ou la sorcellerie[43].
Les miracles accomplis par Moïse dans le désert étaient
nécessaires, mais ne constituaient pas une preuve de sa
prophétie[44].
Quel était donc alors
le fondement de la croyance [juive]? La Révélation au mont
Sinaï, que nous avons vu de nos propres yeux et entendu de
nos propres oreilles[45],
ne dépend pas du témoignage d’autrui ... comme il est dit,
« Face à face, Dieu vous a parlé ... » La Torah dit aussi[46] : « Ce n’est pas avec nos pères que l’Eternel a contracté
cette alliance, c’est avec nous-mêmes, nous qui sommes ici,
aujourd’hui tous vivants. » (Deut. 5:3)
Le Judaïsme n'est pas un
ensemble de miracles. C'est l’expérience personnelle vécue
par une nation dont furent témoins chaque homme, femme et
enfant, présents au mont Sinaï voici 3.300 ans. (aish.fr)
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des
mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui
associent !
Rite ancien pour départager le faux prophète du vrai.
L'auteur de ces lignes oublient un rite ancien, toranique,
que les Yéhudim d'Arabie connaissaient, eux, très bien. Ils se
permirent de le rappeler au sceau de la Prophétie. Aussi, à leur
Seigneur de leur révéler :
« Ceux-là mêmes qui ont dit : « Vraiment Dieu, dans Son
pacte, nous a enjoint de ne pas croire en un messager tant qu'il
ne nous a pas apporté une oblation que le feu consume.
»
- Dis [leur] : « Mais les messagers avant moi sont venus avec
les preuves, et avec ce que vous dites ! Pourquoi donc les
avez-vous tués, si vous êtes véridiques ? » S'ils te traitent de menteur, les prophètes avant toi ont
très certainement été traités de menteurs, qui étaient venus
avec des preuves et le Psautier et la lumineuse Prescription.
Toute âme goûtera la mort. Mais c'est seulement au jour de la
Résurrection que vos salaires vous seront payés pleinement.
Quiconque donc est écarté du Feu et introduit au Paradis, très
certainement voilà le gagnant. Car la vie présente n'est qu'un
objet de jouissance trompeuse.[47].
Dieu s'adresse ensuite à Son Prophète :
O Muhammad ! « Dis-leur : II y eut pourtant avant moi
des envoyés qui vinrent avec des preuves évidentes... pourquoi
donc les aviez-vous tués si vous étiez sincères ? » En d'autres termes, Dieu ordonne ici à Son Prophète de dire aux
Yéhudim de Médine qui le contestent : vous n'êtes pas sincères
lorsque vous parlez des prophètes qui m'ont précédé puisque vous
les tuâtes en dépit des Signes qu'ils vous avaient manifestés et
dont vous dites à présent que c'est Dieu qui vous recommanda de
les leur demander pour croire en eux[48].
C'est donc là une preuve de manque de sincérité de votre part et
de même, vous n'êtes pas sincères avec Mon Prophète, car vous
dissimulez ce que vous savez au sujet de sa fonction.
Ce que les gens de la Torah nous
cachent, dissimulent.
Certains Yéhudim s'excusent de leur mécréance en lui, sur un rite très ancien: ils veulent que soit établi pour eux et
devant eux la loi du sacrifice, de l’oblation par le Feu céleste. En clair, qu'il fasse comme d’autres prophètes du monde
toranique. Toutefois, ils se gardent bien de mentionner la
totalité de la phrase contenue dans la Thora et qui était :
"(Ceci) jusqu'à ce que vienne le Messie et Mohammad.
Sont-ils venus, alors à vous de croire en eux sans (leur
demander) d’oblation".
Conclusion : Comment dire après cela que les gens du
monde toranique ne sont pas des cachotiers, des gens injustes ?
Mais c’était penser sans la vigilance divine[49].
La prophétie du Messie fils de Marie bafouée.
On doit ajouter à cela que selon les gens de la Synagogue et
de la Torah, le fils de Marie n'est pas à la base un prophète
envoyé aux Fils d'Israël. Qu'on en juge :
A. Le Messie
comme prophète Jésus n'était
pas un prophète. La prophétie ne peut exister en Israël que
lorsque le pays est habité par la plus grande partie du
peuple juif[50].
A l'époque d'Ezra - vers l'an 300 avant l'ère commune -
quand la majorité des Juifs refusa de quitter Babylone pour
retourner en Israël, la prophétie prit fin avec la mort des
derniers prophètes - Aggée, Zacharie et Malachie[51]. Jésus est
apparu sur la scène de l'histoire environ 350 ans après la
fin de la prophétie.
Cette argumentation ne tient pas car le rôle des Douze sera
d'aller là où se trouve (se trouvait) les Fils d'Israël. Secundo
: Contrairement aux dires, la prophétie continuera bien après
eux et sans eux. Pour preuve : Avec Zacharie et son fils (sur
eux la Paix !). Le fils de Zacharie assistera le Messie dans sa
tâche prophétique. Et tous deux tomberont martyrs[52]. Question : Si la Prophétie n'est plus qui dirige le Yéhudisme[53] ? Quand le monde toranique dévie et se permet de dire sur leur
Seigneur, Ses prophètes des choses monstrueuses, abominables.
Qu'on en juge :
Selon Jacques
Grunewald dans son ouvrage, « Chalom Jésus ! » (en note) : le sage remplace le prophète : « Avec la
destruction du premier Temple, la prophétie a été enlevée
aux prophètes pour être offerte aux sages », disait Rabbi
Avidimi de Haïfa (Baba 12a et b). Une autre opinion (Yoma
21b) affirme que « l’Esprit saint » était absent du deuxième
Temple. Dans cette perspective, la passation des pouvoirs,
ou plutôt des derniers prophètes aux sages de la Grande
Assemblée, est pleine et entière. Les Cohanim y seront
présents eux aussi, mais leur influence diminue au fur à
mesure que les rabbins l’emportent sur l’école sacerdotale
déjà discréditée à l’époque de Malachie et dont les chefs
vont être nommés par Hérode puis par Rome. Cette évolution
est irrémédiable. En témoignage notamment une Baraïta (Yoma
71b) où l’on voit que même à Yom Kippour, seul jour où le
rôle du grand prêtre était vraiment déterminant, la foule
présente sur le mont du Temple accorda son attention et sa
sympathie à Chemaya et Abtalyion, deux sages précédant
l’époque des tanaïm, au détriment du grand prêtre qu’elle
avait suivi jusque-là. (Op. cit. Edit.
Albin Michel. p.196-197). De même : Quant au
deuxième principe, il montre clairement que la Tora et son
enseignement sont en phase de vulgarisation. Le temps des
prophètes est fini, comme va finir celui des prêtres, en
charge autrefois de la législation religieuse. Ces derniers
auront pour mission d’appliquer le rituel sacerdotal dans le
Temple reconstruit, sans plus. Quant à la Loi, ou Tora, elle
sera interprétée par la Grande Assemblée, puis par le
Sanhédrin ou les conseils des Sages, maîtres ou rabbins qui
en sont les héritiers. Ce sont eux, et personne d’autre, qui
vont tracer la voie royale sur laquelle Israël est tenu de
progresser. Il n’y a plus de prophètes, parce qu’on n’a plus
besoin d’eux[54].
Ni Israël ni Dieu n’ont besoin de prophètes[55].
(Op. cit. p. 70). En vérité, combien le Saint
et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de
ce qu’ils décrivent et Lui associent !
Si la croyance aux prophètes, leur prophétie, leurs miracles
ne fait plus partie du credo des gens de la Synagogue et de la
Torah, que reste-t-il alors de leur religion : le Yéhudisme ?
Les gens de la Synagogue se sont accordés au cours de leur
histoire des prérogatives en dehors du droit légal toranique et
de tout entendement, note le Savant ! (à suivre)
Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime
et agrée !
[1]Le Créateur des cieux
et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on
adore et qu’on se doit d’adorer véritablement. [2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est
employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue
arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement,
non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant
l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers. [3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée,
lui fasse miséricorde, etc., formules propres à
l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la
« prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et
la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les
créatures. [4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils
d’Ismaël, fils d’Abraham (sur eux la Paix !). Pour l’Islam
traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des
prophètes et messagers divins. [5] Coran III 33, Amram. `Amram (en hébreu : ʿamram, עַמְרָם,
c'est-à-dire "peuple élevé" ; En arabe : ʿimrān, عمران)
est un prénom hébreu et le nom d'un personnage biblique et
coranique. (fr.wikipedia.org) Le monde biblique (toranique & évangélique) ne connaît ni
ne reconnaît ce nom de famille pour Marie et ses parents
(Coran III 35) : Et cette Amramite : Anne mère de
Marie. [6] Nom inconnu du monde
biblique. Le monde biblique de faire un parallèle avec
Josué. On a dit : Josué, en hébreu יְהוֹשֻׁעַ (Yĕhōshúaʕ),
ou Josué fils de Noun (יהושועבןנון), est un personnage
biblique du Livre de l'Exode et surtout du Livre de Josué.
Josué est le successeur de Moïse dans la conduite du peuple
hébreu vers la Terre promise. Il mène la conquête du pays de
Canaan puis y installe les tribus d'Israël. Etymologie : Josué s'appelle d'abord Hoshea, fils de Noun, הושע en hébreu.
C'est Moïse qui le renomme Josué dans le Livre des Nombres
13:16 : « Tels sont les noms des hommes que Moïse envoya
pour explorer le pays. Moïse donna à Hoshea, fils de Noun,
le nom de Josué. » Josué est écrit en hébreu יהושוע Yehoshua (Deutéronome 3:21), ce qui
signifie « Dieu sauve ». Le nom vient de la racine trilittère ישע, « sauver ». Le dictionnaire hébreu-français de Sander et Trenel traduit
ce nom par « Dieu est son aide », car il est théophore : il
contient יה (Yah,
abréviation de YHWH), comme Yehouda יהודה, « louange à
Dieu » ou Abadiah עבדיה , « serviteur de Dieu ». Autre : Dans la Septante, il est appelé Jésus fils de Navé
(᾿Ιησοῦς υἱὸς Ναυὴ = Iéssous Uios Naué). ΙΗΣΟΥΣ (Iéssous)
est le titre du Livre de Josué dans la Septante. C'est aussi sous cette forme grecque Iéssous (Ιησοῦς) qu'il
se trouve mentionné en trois passages dans le Nouveau
Testament (Luc 3.29, Actes 7.45, Hebreux 4.8). Or Iéssous (Ιησοῦς)
est aussi le nom de Jésus de Nazareth. Dans l'Epître aux
Hébreux en particulier est fait un parallèle entre "Josué"
et "Jésus" (Heb 4.8 et 4.14). À la suite de cette épître, de
nombreux auteurs chrétiens anciens ont mis en parallèle
"Josué fils de Noun" et "Jésus-Christ" pour en souligner les
similitudes et les contrastes. Par ailleurs, quoiqu'il ne soit pas directement nommé dans
le Coran, il y est implicitement mentionné au verset : « Et
lorsque Mûsâ dit à son valet. » (Sourate 18 - Verset
60). Il est à ce titre considéré comme un prophète en islam
sous le nom arabe : يوشعبننونYūshaʿ ibn
Nūn. (fr.wikipedia.org) Nous dirons : Se garder des noms "hébreux" et de leurs
sens, pas de similitudes et de correspondants parfois avec
l'arabe. L'hébreu originel n'est plus et a disparu. Les
grammairiens et linguistes hébreux ont donc du mal avec leur
propre langue. Secundo : "Par ailleurs, quoiqu'il ne soit pas
directement nommé dans le Coran, il y est implicitement
mentionné au verset : « Et lorsque Mûsâ dit à son valet. »
(Sourate 18 - Verset 60)." Il s'agit du Khidr et non de
l'interprétation donnée : Josué. On a dit : Al-Khiḍr (arabe : الخضر,
perse : خضر,
turc : Hızır, « Le Vert » ou « Le Verdoyant » [1]),
également orthographié Al Khadir, Khidr, Khidar, Khizr,
Khizar, ou Khoudar ; Khezr en persan... (fr.wikipedia.org) Tercio : Josué, hébreu (יהושוע Yehoshua) ; arabe : (يوشعبننونYūshaʿ ibn Nūn). Yoûcha'a ne peut correspondre avec
le nom du fils de Marie et inversement. Le monde biblique
toutefois le voudrait bien. [7] Ichoua Ichoûa' ou Ichoua'.
On a dit : Nom du fils de Marie en araméen et syriaque (إشوع - أيشوع) (Aichoûa'
Ichoûa'). On a dit également en hébreu : Aichou'a, أيشوع. Biblique :
inconnu. Francisé, évangélique (grec) : Jésus. Arabe
évangélique : Yassoua' (يسوع).
Arabe coranique : 'Issa (عيسى),
avec un s. Ichoua' (إشوع)
s'écrit avec un ain à la fin (ع). [8] V. Coran III 49 ; V 110. [9] Les Fils de Jacob seront
divisés en 12 tribus. [10] Au pluriel. [11] Version biblique inconnue. [12] Et sa mère de savoir ceci. [13] Ecrire, écriture de la
main. Soit : (يعني
الكتابة والخط باليد). Ou : (أيالكتابةوالخط). Ou : (الكتابَ
: أي الكتابة وكان أحسن الناس خطاً في زمانه. وقيل: كتب الله.
النسفي.). c'est-à-dire : écrire. A son époque, il
était le meilleur des hommes en écriture. Ou : (الخط)
ورد أنه كان حسن الحظ جداً، وكان يعلمه للصغار في المكتب.
تفسير الجلالين.) A été transmis (...) il
l'enseignait, pour les petits, à l'école. Enfant super doué. Les apocryphes de mentionner cela
d'une certaine façon. [14] La Sagesse. Soit : (العلموالفقه). Ou : (وَٱلْحِكْمَةَ
: أي الْفِقْهَ؛ وهو فَهْمُ الْمَعَانِي. للإمام الطبراني),
c'est-à-dire : : la compréhension de la Sémasiologie, la
sémantique. Ou : (والحكمة }
يعني العلم والسنة وأحكام الشرائع. الخازن.)
c'est-à-dire : La science, la Tradition, les lois divines.
Ou : قوله: { وَٱلْحِكْمَةَ } أي
النبوة. تفسير الجلالين. : la prophétie. [15] A été transmis : (روي
أن عيسى كان يستظهر التوراة، ويقال لم يحفظها عن ظهر قلب غير:
موسى، ويوشع، وعزير، وعيسى. ابو حيان)... les
personnes donc connaissant par cœur la Torah sont : Moïse,
Josué (Youcha'a), 'Ozair (Esdras), Ichoua (fils de Marie). On a dit : (قيلَ: علَّمَه
اللهُ تعالى التوراةَ في بطنِ أمِّهِ. للإمام الطبراني)
Dieu (تعالى) lui
appris la Torah (alors qu'il était) dans la matrice de sa
mère. [16] Actuellement, les gens de
l'Eglise et de l'Evangile, de Paul, parlent d'évangile(s) au
pluriel. Ainsi, il existe pour eux deux sortes d'évangiles en circulation : les canoniques et les apocryphes. L'Evangile originel quant à lui a disparu de la
circulation, il a été détruit par les partisans de Paul, le pharisien, nous dit-on. Tous ces textes sont en
grecs ou d'autres langues, tous sont des traductions
uniquement. Ajouter à cela, les gens de l'Eglise et de l'Evangile
n'ont pas de langue sacrée, et aucun d'entre eux pour nous
dire en quelle langue l'Evangile de Dieu a été révélé au Messie ! On
suppose l'araméen, d'autres, l'hébreu, d'autres, le
syriaque. Enfin, le mot 'révélation' n'existe que dans un
seul évangile : l'Evangile
de Barnabé (évangile jugé apocryphe). Ce vocable n'a pas
cours entre les églises (ou temples) du fait que le Messie
est déclaré officiellement par eux comme : dieu incarné,
fils de Dieu, Dieu Lui-même... On a dit : Une vieille tradition hébraïque identifie le
messager (l'ange) à son message, ceci semble d'ailleurs se
retrouver à travers le dogme catholique. Qu'on en juge : Selon le dogme catholique, « le Verbe, coéternel
au Père préside à la Création dans le temps. C’est lui
qui envoie les Prophètes et qui les inspire. Par suite
de son Incarnation, il est devenu le Rédempteur de
l’humanité. Il sera le Juge du Jugement dernier et la
contemplation de sa face fera partie du bonheur sans
fin. » ! Question : Qui parmi les trois dieux de la Trinité
commandent ? Mystère insondable, clame l'écho ! En clair,
pour les Trinitaires c'est le Messie (dieu incarné) qui se
déplace pour aller à la rencontre des Fils d'Israël. Quant à
nous, c'est le Messie, prophète messager aux Fils d'Israël
qui va se présenter à eux. Lequel prophète messager n'agit,
lors de sa mission légiférante, que sur l'Ordre divin et
avec la permission divine. Langage inconnu du monde de
l'Evangile. Bien sûr, pareil langage ne peut que déplaire
aux Trinitaires de l'Evangile, les exacerber ! [17] Soit : L'Evangile (au sing.). [18] V. Coran VII 157. La Bible
actuelle est muette sur ce sujet. Pourtant, ils étaient dans
l'attente de ce Livre divin. Les gens de la Synagogue et de
la Torah connaissaient, depuis le Sinaï, qu'un Livre divin : l'Evangile, allait être
révélé. Lorsque ce jour viendrait, aucune excuse ne sera
prise en considération de leur part. Ne reste (ne restait)
donc pour eux que de croire en ce Livre sacré ! Chose, sauf
un petit nombre, se gardera bien de croire ! [19] De nos jours, les gens de
la Synagogue et de la Torah disent ne reconnaitre et croire
qu'en un seul Livre divin : la Torah. Le Psautier, lui, est
classé parmi les hagiographes, L'Evangile n'est pas reconnu ni le Coran.
A noter que les Samaritains, secte du Yéhudisme, ont leur propre Torah. [20] V. Coran IV 155 et sv. [21] Seulement après qu'ils
eurent connaissance et conscience que la Religion divine
existe et qu'elle est Une et Unique. Puis, après Adam, les
Fils d'Adam se divisèrent... Généralement les historiens, les chercheurs en religions,
etc., considèrent que les Fils d'Adam sont passés de
l'Associationnisme au Monothéisme. L'Islam et les Savants du
Monothéisme considèrent, eux, que c'est l'inverse qui est
force de loi car tel est l'enseignement coranique. [22] Ce mot 'prophète' n'a pas la même signification au sein même du monde biblique
(toranique & évangélique). Pour le monde de l'Eglise et de
l'Evangile, de Paul, ce mot est propre aux gens de la
Synagogue et de la Torah. Pour les gens du monde toranique,
à la lecture de leurs Ecritures, si le monde toranique a
connu de nombreux prophètes, il a connu aussi de nombreux
faux prophètes : Comment les distinguer, les dénoncer, les
arrêter dans leur égarement ? Mais, dirons-nous, pour les
distinguer et séparer le faux du vrai, ne fallait-il pas
imiter Elie le prophète avec les faux prophètes de son
époque (Confrontation entre Elie et les prophètes de Baal (1
Rois 18.1-46)) ? [23] Cette présentation de
l'"Histoire de l'Humanité" est personnelle, elle ne
représente pas l'avis général. Avec Adam le Seigneur des
mondes fera descendre avec lui Sa religion et Sa loi. Chose
inconnue du monde biblique (toranique & évangélique). Dans
les écoles publiques du monde biblique l'Histoire de
l'Humanité ne commence pas avec Adam et Eve, elle commence
plutôt avec ce que la Philosophie et les sciences humaines
leur enseignent. Opposition entre créationnistes et darwinisme et scientifiques en tout
genre sur la création du monde au sein du monde biblique. [24] Dans ce cas, le cas proposé
de même. Quelle garantie ? On le voit avec les Fils d'Israël
qui suivirent Mikha et s'égarèrent ! Cas des 70, refus de faire la
guerre sainte, etc. Les faux pas des Fils d'Israël ne
manquent pas après leur sortie d'Egypte. Rien de ce qu'ils
virent et entendirent firent d'eux un peuple exemplaire et
obéissant. Loin s'en faux, note le Savant ! [25] Si, en premier lieu par leur
Seigneur, Dieu Tout-Puissant, note le Savant ! De même : Les
Anges, les prophètes, les gens... Les témoignages ne
manquent pas. Dieu est un dieu capable, Savant, Voulant et
Puissant. L'Impuissance, l'Incapacité ne L'enveloppent pas !
A l'inverse du monde biblique, comme ci-joint. [26] La Révélation varie d'une
personne à une autre. Il y a des règles strictes à suivre et
à Dieu seul elles appartiennent. [27] S'il est prophète et avec
la permission divine. Quant au faux prophète que peut-il
proposé sinon sa magie. Ne pas confondre ! [28] Celui qui tient ces propos,
croit-il, à la base, aux miracles et signes divins ?
Nullement. Le Rabbinisme ayant abolit pour tout
fidèle toute foi en eux ! [29] Propre aux gens du monde
toranique lesquels refusent la foi aux signes et miracles
divins. Dialogue de sourds, note l'observateur ! [30] En parlant ainsi le monde
toranique a une foi boiteuse, note le Savant. Ce n'est pas
ce que leur Seigneur attendait de lui. La foi aux miracles
et signes divins est nécessaire pour tout Croyant véritable,
sincère. Le contraire, c'est s'attirer la colère divine sur
soi ! Cas des peuples anciens, du peuple de Sodome et
Gomorrhe, Pharaon, etc. Cas de ceux qui vécurent au temps du
sceau de la Prophétie : Le père de Sâlih a dit :
« L’ange Gabriel vint un jour vers le prophète (sur lui
Prière et Paix !) alors que celui-ci était assis et triste.
L’ange lui dit : « Qu’est-ce qui t’attriste ? » Il dit : « ces gens me
déclarent menteur ! » L’ange lui dit alors :
« En vérité, ils ne considèrent pas comme menteur ; ils
savent que tu es véridique, mais ce sont les SignesdeDieu que les gens injustes rejettent. » Le père de Ishaq rapporte
que Nâdjiya a dit : « Abou Djahel dit un jour au prophète
(sur lui Prière et Paix !) : « Ce n’est pas toi que nous
mettons en doute, mais nous mettons en doute ce que tu
transmets ». C’est alors que Dieu révéla : « Or, en
vérité, ils ne te considèrent pas comme un menteur, mais ce
sont lesSignes de Dieu que les gens
injustes rejettent ». (Coran VI 34). Rejeter les Signes divins où cela peut-il bien mener ? Le
Yéhudisme, à notre époque, de s'aligner sur l'enseignement
des Anciens. Et où cet enseignement a-t-il mené les Fils
d'Israël sous Titus ? [31] Ce n'est pas la Torah qui dit mais plutôt le(s) "faussaire(s)". Ne pas
confondre ! La Torah révélée à Mochè n'existe plus, ce qui
en reste n'est qu'un livre frelaté, réécrit (pour
l'occasion) par les faussaires de l'Histoire sainte des Fils
d'Israël... [32] Parole en l'air ! Dieu
commanderait-Il le mal et le blâmable, la turpitude à Ses
créatures ? Pour le Yéhudisme, à entendre et à en lire, sans
aucun doute ! En vérité, Dieu ne commande pas le mal et le
blâmable, la turpitude à Ses créatures. C'est uniquement
l'œuvre du diable banni, Satan (que Dieu le maudisse !) (V.
Coran XXIV 21 ; VII 28 ; II 168, etc.). Et depuis la venue
de l'homme sur terre, à Lui de le mettre en garde contre
toute dérive à travers Ses prophètes et Ses Livres révélés. [33] Faux. Ce sont les
faussaires qui ont écrits sous son nom. Ne pas confondre ! [34] Faux. La Bible n'est pas un
livre de référence pour qu'on s'y réfère. Secundo :
Concernant l'acte venant de tout faux prophète, il nous
faudra alors parler de "mirage"
(istidraj) ou d'affront (ihanah) ), non jamais
de miracle (ou de signe) lequel est le propre des prophètes
envoyés aux nations. Ne pas confondre ! [35] N'existe pas auprès du Nom
(Ha Hachem) , sauf pour les gens de la Synagogue qui ne
reconnaisse pas d'autre religion que la leur ! [36] L'accent est mis uniquement
sur la Torah : loi rabbinique. Cette Torah que les Fils
d'Israël ont su trahir, corrompre, transgresser... [37] Le Judaïsme (Yahadout)
n'est pas et n'était pas la religion des prophètes Mochè et
Aharon (sur eux la Paix !), ni de ceux qui viendront après
eux. La religion prêchée depuis Adam est l'Islam uniquement.
Et le Judaïsme en tant que secte, par contre,
apparaîtra après la révélation de la Torah. Selon nos
sources, il se fractionnera en 71 sectes. Abou Horeirah rapporte que le
messager de Dieu (sur lui Prière et Paix !) a dit : "Les
prophètes sont frères, issus de mère différente, leur
religion est unique." [38] Dieu a parlé avec Moïse et
avec les 70, non jamais avec le peuple d'Israël lui-même :
les 600 000 mille présente (dit-on). Ne pas confondre ! [39] La logique humaine, yéhudie. Pour Dieu rien n'est nécessaire, obligatoire.
Il est un dieu libre, qui n'a rien à voir avec la
contrainte, l'obligation. [40] Venant du divin
Législateur, ce n'est pas une règle. De plus, Il n'a aucun
ordre à recevoir de Ses créatures, et surtout Il n'a pas de
compte à leur rendre. [41] L'épisode du Sinaï est
unique parce ce que leur Seigneur y révéla la Torah.
Toutefois, après elle l'Evangile était également annoncé, et
il fut et sera révélé au Séïr. Tout le peuple n'y sera pas convié, l'exemple du
Sinaï ne sera pas renouvelé. Au Sinaï, la Torah fut acceptée dans la douleur, le
peuple, au départ, n'en voulait pas. En effet, lorsqu'il vit
les lois drastiques s'y trouvant, il refusa d'emblée ce
Livre divin. Voir notre étude. Lire... Donc pas de quoi pavoiser pour ce peuple à la
"nuque raide", note le Savant ! [42] Maïmonide est une référence
pour bon nombre de synagogues non pour le monde de l'Islam
traditionnel. Il était avant tout un philosophe, un docteur,
un anti-islam. Il nourrissait une haine viscérale contre
l'Islam et le sceau de la Prophétie comme pour le Messie et
sa religion. Et ses adeptes et affidés de le suivre. Dire de
Moïse au sujet des miracles : "mais ne constituaient pas
une preuve de sa prophétie", dénote d'un esprit obtus. Lire... [43] Paroles en l'air. Le
reproche fait par leur Seigneur c'est justement d'avoir
donné foi à la Magie au détriment de la foi aux miracles et
aux signes divins. N'ont-ils pas accusé injustement David et
Salomon d'être (d'avoir été) des magiciens (Coran II 102) ?
Pratiquer la Magie, n'est-ce pas s'associer avec les
diables, les génies malfaisants, Satan ? N'est-ce pas aussi
avoir un engouement très particulier pour le pouvoir, la
domination des autres, du pouvoir en place ? De corrompre
autrui ? [44] Parole de mécréance. Les
prophètes ne faisaient ces miracles qu'en moyennant la foi.
Car l'exécution de miracle(s) devait s'accompagner
nécessairement de l'obéissance du prophète messager
en exercice, Le peuple de Pharaon a-t-il cru aux miracles ?
Nullement. Et qu'est-il advenu de lui ? [45] Ce qui est faux. Le verset
toranique a subi de plein fouet une altération. Exemple avec
le mot hébreu "TaCHTIT", « mot »
altéré par le faussaire. Qu'on en juge : Dans la Bible, il s’agit
d’un mot hébreu : TaCHTIT. Le verset, nous dit Ange-Mathieu
Mezzadri, de la Bible (Exode 19/17) utilise en hébreu le mot
TaCHTIT (partie inférieure d’un objet, bas) qui contient la
racine TaCHT (sous) d’où la lecture que propose rabbi Abdimi
fils de Hama fils de Hassa. Sens apparent mais au
figuré. Dans la Thora, ne
lisons-nous pas : "...et ils s'arrêtèrent
au bas de la montagne." (Ex. 19: 17) Sens caché mais au sens
propre. Et en commentaire, et
selon la version biblique des faits : "Suivant le sens littéral
: au pied de la montagne. Mais le Midrach explique que la
montagne a été arrachée de sa base et s'est incurvée
au-dessus d'eux comme ferait une coupole. Et Dieu a dit : Si
Israël accepte la Thora, c'est bien. Si non, Je ramène le
monde à son toho-bohu." (Rachi) Lire la suite : ... [46] Disons plutôt, le faussaire
de la Torah dit, a dit... En vérité, leur Seigneur a pris un
engagement ferme avec les Fils d'Israël à travers Ses
Ecritures. Engagement non tenu, non respecté (Coran IV
154-155). Peuple connu pour avoir été infidèle à leur
Alliance avec leur divin Législateur et Seigneur. Leur
Histoire sainte l'atteste, de même leurs Ecritures, la
Bible, l'Evangile, le Coran. Comment après cela peut-il
prétendre être un peuple de vrais croyants ? Le peuple élu
de Dieu à l'exclusion de tout autre peuple de la planète
Terre ? Il était ce "peuple" sous l'ère de la Torah, mais
dirons-nous ce temps est révolu. Après l'ère de la Torah est
venue celle de l'Evangile. Et enfin, l'ère du Coran, notre
époque. Il en sera ainsi jusqu'au "retour" du Messie en
Terre sainte... Abou Horeirah rapporte que le
messager de Dieu (sur lui Prière et Paix !) a dit : "Les prophètes sont frères,
issus de mère différente, leur religion est unique. Je suis l'homme le plus proche
de Ichoua, fils de Marie, car il n'y aura aucun prophète
entre lui et moi et il sera mon vicaire par rapport à
ma communauté. Il descendra donc et lorsque vous le verrez,
reconnaissez-le :
Il sera de taille moyenne, d'un teint brun clair, les
cheveux lisses comme s'ils étaient humides, revêtu de deux
pièces d'étoffe aux reflets jaunes, il brisera la croix [les
crucifix], tuera le "porc" [domestique ou sauvage : le
sanglier], répandra des biens en abondance et combattra les
hommes jusqu'à ce qu'ils acceptent la Soumission (l'Islam)
en sorte que Dieu fera périr le "Messie de l'égarement", le
Menteur, l'Imposteur et la "Sécurité" descendra sur terre en
sorte que les lions s'égayeront avec les chameaux, les
tigres avec les vaches, les loups avec les moutons ; les
jeunes gens joueront avec les serpents sans mal pour les uns
ou les autres ; Ichoua restera quarante ans sur terre après
quoi il mourra et les [gens] soumis prieront sur lui et
l'enseveliront". Les gens de la Synagogue et de
la Torah sont dans l'attente de ce genre de prophéties.
Elles sont, notent les Savants, uniquement pour la
Communauté mohammadienne. N'en déplaire aux ergoteurs, aux
critiques et adversaires de la Religion divine : l'Islam ! [47] V. Coran
III 183 ; cf. Thora: Gen: 15: 17; Lév. 9: 23-24; I Rois,
XVIII, 38. Voir notre étude : Lire.... [48] Leur contradiction avec les
prophètes et leurs signes amena ces derniers à utiliser la force contre les représentants de Dieu (exalté
soit-Il !) en Terre sainte, le meurtre sans droit. [49] Le monde toranique n'aura
gardé, en ses écrits, sur l’"oblation qu'un Feu céleste
consume" que le récit sur le prophète Elie. Selon leurs
livres de leurs rois, ne lit-on pas : "36 Et à l’heure où l’on offre l’oblation, Élie le
prophète s’approcha et dit : Éternel, Dieu d’Abraham,
d’Isaac et d’Israël, qu’il soit connu aujourd’hui que tu es
Dieu en Israël et que je suis ton serviteur et que c’est par
ta parole que j’ai fait toutes ces choses. 37 Réponds-moi,
Éternel, réponds-moi, et que ce peuple sache que toi,
Éternel, tu es Dieu et que tu as ramené leur cœur ! 38 Et le
feu de l’Éternel tomba et consuma l’holocauste et le bois,
et les pierres et la poussière, et huma l’eau qui était dans
le fossé. 39 Et tout le peuple le vit et ils tombèrent sur
leurs faces et dirent : C’est l’Éternel qui est Dieu ! C’est
l’Éternel qui est Dieu ! 40 Et Élie dit : Saisissez les
prophètes de Baal et qu’il n’en échappe pas un ! Et ils les
saisirent et Élie les fit descendre au torrent de Kison et
les égorgea là." (I. Rois 18). N'est pas cet exemple et cette
loi qui régissent le rite sur l’"oblation qu'un Feu
céleste consume" ? Loi qui demeure en vigueur mais que le
monde de la Synagogue a cru bon d'effacer de la Torah pour
la remplacer par d'autres lois. Ne sont-ils pas là coupables
du crime de lèse-majesté ? De crime contre l'humanité ? [50] Tel n'est pas le cas de nos
jours. La loi du "retour" de chaque yéhudi en Terre sainte
étant restreinte : La communauté yéhudie étant formée de
plusieurs sectes ou tendances qui ne s'entendent pas,
divergent entre eux en permanence... ce qui empêche un
retour effectif pour tous ! Le seul et unique individu qui
pourra retourner avec l'ensemble des Yéhudim, n'est autre
que le messie attendu (roi oint). Est-il venu, alors à lui
de regrouper l'ensemble des gens de la Synagogue et de la
Torah autour de lui et de venir avec eux à Jérusalem. Là, il
rencontrera le Messie fils de Marie qui le poursuivra et
l'exécutera, selon nos sources. [51] Argument développé par les
gens de la Synagogue. Argument non retenu par l'Islam
traditionnel. [52] Réfutation. On a dit : Dans «
Chalom Jésus ! », Jacquot Grunewald d’écrire notamment : « Peut-on vraiment dire,
comme le fait Paul, que les juifs ont tué les prophètes ? A
ce propos, notons que la tradition, attribue également à
Jésus une parole imputant à « Jérusalem » le meurtre des
prophètes. Ce reproche figure d’ailleurs dans le Talmud,
mais non pas de manière aussi générale : il se limite à un
certain prophète Zacharie, qui ne serait d’ailleurs pas
identique au prophète du même non cité dans l’Écriture. En réalité, il est
historiquement faux de dire que les prophètes ont été tués.
Nous avons certes entendu parler du martyr d’Isaïe, mais
l’information émane d’un écrit apocryphe. Apparemment aussi
le témoin inconnu dont parle le Deutéro-Isaïe, celui qu’il
appelle le « serviteur de Yahvé », a-t-il été tué. Mais de
nombreux prophètes sont sans aucun doute morts dans leur
lit, en dépit de leur non-conformisme. Lorsque finalement Paul
affirme que les juifs « ne plaisent pas à Dieu », il va plus
loin que les prophètes qui ont eux, aussi parfois évoqué la
colère divine à l’encontre d’Israël. A cet égard, la
formulation suivante d’Isaïe me semble caractéristique : «
Un court instant je t’ai délaissée, et avec une grande
tendresse je veux te recueillir. Dans un transport de colère
je t’ai, un instant, dérobé ma face ; désormais je t’aimerai
d’une affection sans bornes, dit ton libérateur, l’Éternel »
(Is 54,7-8). Il y a là une dialectique de la colère et du
pardon, de la condamnation et de la clémence, qui est
entièrement absente dans le passage précité de Paul. ...Lorsque Paul déclare
que les juifs « sont ennemis de tous les hommes », il semble
certes se trouver en accord avec un antisémitisme notoire
comme Tacite, qui évoque lui aussi l’attitude hostile des
juifs à l’égard de tous les non-juifs. Mais en réalité la
remarque de Paul a un sens différent et davantage
théologique. Dans son esprit, il s’agit d’une hostilité tout
à fait spécifique, à savoir des entraves mises par les juifs
à sa propre activité missionnaire... (Op. cit.
p. 187-8). « L’assassinat de Zacharie :
Matt 23, 35. Dans le Talmud (Guittin 57b), on rapporte au
nom de Rabbi Yeochoua ben Kor’ha, tana de la cinquième
génération, le récit d’un « ancien parmi les gens de
Jérusalem » : le sang de Zacharie criait vengeance alors que
les troupes de Nabuchodonosor détruisaient le premier Temple
de Jérusalem en -586. Le Livre des Lamentations (2,20)
raconte que l’ennemi mettait à mort « prêtre[s] et
prophète[s] dans le sanctuaire de l’Éternel » mais,
remarquant l’usage du singulier, le Talmud veut reconnaître
dans cette forme collective un seul personnage à la fois
prêtre et prophète, assassiné autrement en ces lieux voués à
la sainteté. Pour punir ce crime, Nabuchodonosor aurait
massacré la population de Jérusalem, ce que le Midrach
raconte en termes surréalistes : au sanctuaire, le sang du
prêtre-prophète continuait de bouillir. Pour l’arrêter,
Nabouzaradan, général et bourreau de Nabuchodonosor, se mit
à massacrer sur place les prêtres, les jeunes filles et les
enfants de Jérusalem. Comprenant enfin que le sang d’une
ancienne victime demandait vengeance, il implora le pardon
pour ses propres forfaits et se convertit... Dans l’Écriture
(II Ch 24,20 et suiv.), il n’y a qu’un seul personnage,
victime d’un meurtre, qui ait été à la fois prêtre et
prophète : Zacharie, fils du grand prêtre Yehoyada,
assassiné sur l’ordre du roi Joas. (...) Enseignait-on, au
temps de Jésus, la déduction scripturaire sur « le »
prêtre-prophète assassiné ? Dans ce cas, les massacres
perpétrés par Nabouzaradan n’auraient pas suffi à Jésus ? Il
continuerait à réclamer le prix de l’assassinat ! On peut
raisonnablement conjecturer que Jésus n’est pas l’auteur du
propos. La Bible de Jérusalem, selon laquelle le texte de
Matthieu vise effectivement Zacharie fils de Yehoyada, admet
que la mention de « Barachie » peut désigner le père de
Zacharie, pourrait être une « glose de copiste ». Barachie,
ou plutôt Berakhia, était le père de Zacharie bien connu qui
appartient, lui, au groupe des douze petits prophètes de la
Bible hébraïque et dont le premier verset du Livre de
Zacharie nous livre la généalogie : « Zekharia, fils de
Berakhia, fils d’Iddo. » Si, comme tout porte à le croire,
il s’agit du personnage mentionné dans Néhémie 12, 16
(« famille d’Iddo Zekharia »), ce Zacharie appartenait
également à la tribu des prêtres. Mais rien n’indique que sa
mort fût violente. Et, pour cause d’anachronisme, sa
présence ne peut s’accorder avec le récit du Talmud puisque
Zacharie fils de Berakhia prophétisa après la destruction du
Temple, au retour de l’exil ! On notera que les versets
parallèles dans Luc (11,49) font simplement mention de
Zacharie, sans précision généalogique… » (Op. cit.
note.). Concernant l'assassinat de
Zacharie et son fils, voir notre étude : Lire... ; Lire... ; Lire... [53] Hébreu, Yahadout. [54] Parole d'une extrême
gravité ! [55] Idem.
Point de divinité, de dieu que Dieu ! « Vulnerant omnes, ultima necat. » Nous ne le dirons jamais assez. Explicit totus liber.