Holocauste : Ancien sacrifice biblique dans lequel
la victime animale était brûlée par un Feu céleste.
oint
de divinité[1]
excepté Allah
le Très Haut. Que les meilleures salutations
soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie.
Les Fils d’Israël et les Judaïsés ont-ils tué vraiment les prophètes
?
Une partie des Écritures bibliques l’affirme. Dans le Coran, cette mention
est souvent faites. Schalom Ben-Chorin, fidèle à la croyance de sa communauté,
n’y croit guère. Qu’on en juge :
« Peut-on vraiment dire, comme le fait Paul, que les juifs ont
tué les prophètes ? A ce propos, notons que la tradition, attribue
également à Jésus une parole imputant à « Jérusalem » le meurtre
des prophètes.
Ce reproche figure d’ailleurs dans le Talmud, mais non pas de manière
aussi générale : il se limite à un certain prophète Zacharie, qui ne
serait d’ailleurs pas identique au prophète du même non cité dans l’Écriture.
En réalité, il est historiquement
faux de dire que les prophètes ont été tués.
Nous avons certes entendu parler du martyr d’Isaïe, mais l’information
émane d’un écrit apocryphe. Apparemment aussi le témoin inconnu dont
parle le Deutéro-Isaïe, celui qu’il appelle le « serviteur
de Yahvé », a-t-il été tué. Mais de nombreux prophètes sont sans aucun
doute morts dans leur lit, en dépit de leur non-conformisme.
Lorsque finalement Paul affirme que les
juifs « ne plaisent pas à Dieu »,
il va plus loin que les prophètes qui ont eux, aussi parfois évoqué
la colère divine à l’encontre d’Israël. A cet égard, la formulation
suivante d’Isaïe me semble caractéristique : « Un court instant
je t’ai délaissée, et avec une grande tendresse je veux te recueillir.
Dans un transport de colère je t’ai, un instant, dérobé ma face ; désormais
je t’aimerai d’une affection sans bornes, dit ton libérateur, l’Éternel »
(Is 54,7-8). Il y a là une dialectique de la colère et du pardon, de
la condamnation et de la clémence,
qui est entièrement absente dans le passage précité de Paul.
...Lorsque Paul déclare que les juifs « sont
ennemis
de tous les hommes »[13],
il semble certes se trouver en accord avec un antisémitisme
notoire comme Tacite, qui évoque lui aussi l’attitude hostile des juifs
à l’égard de tous les non-juifs. Mais en réalité la remarque de Paul
a un sens différent et davantage théologique. Dans son esprit, il s’agit
d’une hostilité tout à fait spécifique, à savoir des entraves mises
par les juifs à sa propre activité missionnaire... (Op.
cit. p. 187-8).
Conclusion : Les
paroles s’envolent, mais les écrits restent. Exemples :
1°) Ce que dit la Bible à propos d’Elie,
le prophète : Seigneur, ils ont tué Tes prophètes, rasés tes
autels, et moi je suis resté seul et ils en veulent à ma vie !
(Bible. Rm. 11/3).
2°)
Apostrophes
à Jérusalem (Bible. Mt. 23/37-39 ; 23/33-36). Annonce de sa destruction.
« Jérusalem, Jérusalem, toi qui tues les prophètes et
lapides ceux qui te sont envoyés,… » Et avant cela,
le Messie aurait dit aux Fils d’Israël : « Il est écrit :
Ma maison
sera appelée une maison de prière. Mais vous, vous en faites
un repère de brigands ! » (Bible. Mt. 21/13). Après le
Messie, le Temple ne sera-t-il pas désert, un lieu où les gens viendront
y jeter leur détritus ? Et aux Fils d’Israël, il ne leur restera
alors de dire :
« Béni soit celui qui vient
au nom du Seigneur. » Soit, après le Messie, le Prophète Ahmad-Mohammad
(sur lui Prière et Paix !), c’est-à-dire avec Son commandement
et Sa loi.
3°)
Malgré toutes les attaques dont sera l’objet le Sceau de la Prophétie
et ses Compagnons de la part de la communauté juive de Médine, le Saint
et Seigneur d’Israël et des mondes leur adresse, à travers Sa
révélation, un encouragement pour qu’ils fassent grâce. Pas de haine
et aucune rancune. Et qu’ils ne leur tiennent pas rigueur de leur conduite.
Pas de poursuites. Voilà ce qui tranche nettement avec le comportement
du monde toranique tout au long des siècles.
4°)
La communauté toranique semble n’avoir jamais compris que leurs véritables
ennemis en fait sont leurs âmes et surtout le Démon.
Le lien de sang.
Au Prophète de déclarer : "En vérité, Dieu créa le monde et
quand Il eût terminé, le Lien de Sang se leva et dit :" Ceci est
la station de celui qui cherche refuge contre toute rupture."
Dieu
dit : « Si ! Ne serais-tu pas satisfait que Je Me lie avec ceux
qui te sont unis et que Je Me sépare de ceux qui ont rompu avec toi
?
Il
dit : « Si ! »
Il a dit: "Il en sera ainsi pour toi !
Ensuite
le messager de Dieu (exalté soit-Il !) dit : Récitez si vous le désirez
: Est-il possible, qu'investis de pouvoir vous causiez le désordre sur
terre et rompiez les Liens du Sang. Ceux-là Dieu les maudit, les rend
sourds et aveugle leurs regards. Ne méditeront-ils point le Coran ou
ont-ils des cœurs verrouillés ?" (Coran. II
27; XIII 25)
L’Alliance cachée. Rite ancien.
Quand vint le Prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !), à la
communauté juive d’Arabie de lui dire :
« Ceux-là
mêmes qui ont dit : « Vraiment Dieu, dans Son pacte, nous a enjoint
de ne pas croire en un messager tant qu'il ne nous a pas apporté une
oblation que le feu consume. »
- Dis : « Mais les
messagers avant moi sont venus avec les preuves, et avec ce que vous
dites
! Pourquoi donc les avez-vous tués, si vous êtes véridiques ? »
S'ils te traitent de menteur,
les prophètes avant toi ont très certainement été traités de menteurs,
qui étaient venus avec des preuves et le Psautier
et la lumineuse Prescription.
Toute
âme goûtera la mort. Mais c'est seulement au jour de la Résurrection
que vos salaires vous seront payés pleinement. Quiconque donc est écarté
du Feu et introduit au Paradis, très certainement voilà le gagnant.
Car la vie présente n'est qu'un objet de jouissance trompeuse. (Coran
III 183 ; Thora: Gén: 15: 17; Lév. 9: 23-24; I Rois, XVIII, 38).
Commentaires :
«
Ceux qui ont dit : "Vraiment Dieu… de ne pas croire en un messager..."
» Le sens est le suivant : Dieu a aussi entendu les paroles de ceux
qui ont prétendu qu'il leur a recommandé (awçâ_hum)
de ne pas croire en un prophète si celui-ci ne leur vient pas de la
façon suivante : « avec une oblation qu'un feu vienne dévorer ».
"qurbân" (oblation) est le maçdar du verbe "qaraba"
(approcher) et désigne ce par quoi le serviteur se rapproche (taqarraba)
de son Seigneur.
En ce temps- là, le fait que le feu [il s'agit d'un feu céleste] vienne
dévorer un oblat était le signe que celui qui effectuait l'oblation
était sincère et véridique dans la cause qu'il défendait ou dans ce
qu'il disait.
...D'après
le fils de ‘Abbâs, ce passage fait allusion au fait suivant : « [Autrefois,
chez les Juifs] lorsqu'un homme faisait une aumône [sous la forme d'une
offrande] et que celle-ci était acceptée, un feu descendait du ciel
et la consumait
»
Dieu s'adresse ensuite à Son Prophète :
O Muhammad ! « Dis-leur : II y eut pourtant
avant moi des envoyés qui vinrent avec des preuves évidentes... pourquoi
donc les aviez-vous tués si vous étiez sincères ? » En d'autres
termes, Dieu ordonne ici à Son Prophète de dire aux Juifs de Médine
qui le contestent : vous n'êtes pas sincères lorsque vous parlez des
prophètes qui m'ont précédé puisque vous les tuâtes en dépit des Signes
qu'ils vous avaient manifestes et dont vous dites à présent que c'est
Dieu qui vous recommanda de les leur demander pour croire en eux. C'est
donc là une preuve de manque de sincérité de votre part et de même,
vous n'êtes pas sincères avec Mon Prophète, car vous dissimulez ce que
vous savez au sujet de sa fonction.
« par conséquent, s'ils te traitent
de menteur... ». Le verset comporte un réconfort pour le Prophète,
car Dieu lui rappelle que d'autres envoyés furent traités avant lui
comme il l'est présentement par les Juifs et les Nazaréniens, et pourtant
ces envoyés apportèrent « les preuves évidentes » de leur fonction
: des preuves irréfutables, des démonstrations éclatantes pour la raison
et des miracles ; ils apportèrent aussi :
"az_Zubur"
= « les Textes ». Le terme "zubur" est le pluriel de "zubûr"
qui signifie "texte ou livre" (kitâb). Tout "livre"
(kitâb) est un "zubûr".
"al_Kitâb
al-munîr" = « le Livre lumineux » qui rend la vérité
évidente et claire a celui qui ne la distinguait pas bien. Il s'agit
ici de la Thora et de l'Évangile.
«
Toute âme goûte la mort » : Dieu veut dire ceci : ces Juifs qui
inventent les choses dont il vient d'être question et dont l'audace
envers leur Seigneur vient d’être évoquée auront la même destinée (maçîr)
que les autres créatures : toutes reviendront vers Dieu car II a imposé
la mort à toutes. O Muhammad ! ne t'attriste donc pas si ces Juifs ou
d'autres qu'eux te traitent de menteur" ; d'autres envoyés furent
contestés avant toi : tu as en eux un exemple et un réconfort ! Quant
à ceux qui les contestèrent et inventèrent des choses à Mon sujet, ils
revinrent vers Moi et J'ai donné a chacune de ces âmes la sanction de
ses actes, car « au Jour de la Résurrection vous ne
recevrez tous que vos salaires » rétribuant vos actes (...)".
«
et la vie immédiate n'est que jouissance de l’illusion » c'est-à-dire
: la vie immédiate avec ses plaisirs, ses parures et ses vanités est
une jouissance que l'illusion (ghurûr) vous procure et qu'elle vous
fait apprécier, or cette illusion n'est qu'une tromperie éphémère qui
perd toute réalité lorsqu'arrive une épreuve" (...)
Ce que les gens de la Torah nous cachent.
Certains Juifs s'excusent de leur mécréance en lui, sur un rite très
ancien: ils veulent que soit établi pour eux et devant eux la loi du
sacrifice, de l’oblation par le Feu céleste. En clair, qu'il fasse comme
d’autres prophètes du monde toranique. Toutefois, ils se gardent bien
de mentionner la totalité de la phrase contenue dans la Thora et qui
était :
"(Ceci)
jusqu'à ce que vienne le Messie et Mohammad. Sont-ils
venus, alors à vous de croire en eux sans (leur demander) d’oblation".
Conclusion :
Comment dire après cela que les gens du monde toranique ne sont pas
des cachotiers ? Mais c’était penser sans la vigilance divine.
L’Alliance divine selon le monde toranique.
"Ceci est le sang de l'alliance que l'Eternel a conclue avec vous
touchant toutes ces paroles."
(Ex. 24: 8) Selon le monde rabbinique : Le mot hébreu "bérit",
alliance, a pour racine : b,r,t, couper, diviser. Le bérit a été tout
d'abord la victime coupée en morceaux, servant de signe au traité conclu;
puis ce mot a été employé pour signifier alliance d'un peuple avec un
autre; un pacte d'amitié entre deux individus; un contrat de mariage.
Il est enfin devenu le terme technique employé pour parler de l'alliance
d'un caractère tout particulier, du convenant établi entre Dieu et son
peuple.
L’Alliance divine reconduite selon le monde de l’Évangile.
Le dénommé Paul nous déclare-t-il pas :"Il s'ensuit que la première
alliance elle-même n'a pas été inaugurée sans recours au sang"
(Bible. Héb. 9: 18; Thora: Ex. 24: 6-8). (à
suivre)
Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable
divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il
est employé couramment pour les gens de l’Evangile de langue arabe.
En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme
un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur
et Maître de l’Univers.
Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse
miséricorde, etc., formules propres à l’Islam traditionnel.
Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant
un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme
une demande de pardon pour les créatures.
Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils
d’Abraham (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il
est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers
divins.
et ceci s’adresse à l’ensemble des gens de la Thora. Le reproche fait
à ces gens, c’est qu’ils n’ont jamais condamnés, disent les commentateurs
coraniques, ouvertement et publiquement ces mauvaises actions de leurs
ancêtres. Et n’avons pas, à travers cet écrivain, un exemple frappant
? Selon lui, son peuple est blanc comme neige ! Pourtant, la vérité
semble être toute autre. Et l’histoire est là pour nous le rappeler.
Qui est réellement ce prophète, les commentateurs bibliques se perdent
en conjectures. Selon les gens de l'Evangile : Il est généralement
admis que Jésus parlait ici de Zekaria "le fils de Yehoïada le
prêtre". (2Ch 24:20-22.) C'est la conclusion la plus logique,
car, le livre des Chroniques étant le dernier livre inscrit sur la
liste du canon juif traditionnel, Abel était ainsi le premier et Zekaria
le dernier des hommes justes que les Écritures hébraïques disent avoir
été assassinés. Selon 2 Chroniques 24:21, Zekaria fut mis à mort "dans
la cour de la maison de Jéhovah". L'autel de l'holocauste était
situé dans la cour intérieure, hors du sanctuaire et face à l'entrée
de celui-ci. Cela correspondrait au lieu où Jésus situa l'événement,
" entre le sanctuaire et l'autel ". 2. Les mots " fils
de Barakia " ne se trouvent pas dans le récit de Luc, et le Codex
Sinaiticus (original) les omet dans celui de Matthieu. On a émis l'idée
que Yehoïada, le père d'un Zekaria qui fut assassiné, portait deux
noms différents, comme c'est le cas d'autres personnages de la Bible.
— Comparer Mt 9:9 avec Mc 2:14 ; Mt 10:2, 3. - 3.
Il
apparaît ici que le Messie veut parler uniquement du père de Yahya
(Jean), lequel mourra en martyr. La logique, c'est qu'il mentionne
ce nom après ceux de Jérémie, etc. Ceci, la Bible se garde bien de
mentionner le martyr de Zacharie (Zakariya, en arabe).
Parole d’une extrême gravité. L’écrivain tente de minimiser le rôle
passé de ses coreligionnaires.
autre parole d’une extrême gravité. L’hostilité des juifs envers leurs
prophètes n’est pas à mettre en doute. Tout prophète qui faisait (ou
aurait fait) comme ces derniers le voulaient, serait le bienvenu.
Dans le cas contraire, il sera (ou serait) immanquablement traité
de menteur, pire, on n’hésitera pas à attenter à sa vie. Tout cela
au nom de la liberté de culte et d’expression.
cela suite à leurs mauvaises actions. Du meurtre des prophètes, etc.
(Coran IV 155-161).
Isaïe, reprit par Paul est censé dire
aussi : Tout le jour J’ai tendu les mains vers un peuple désobéissant
et rebelle. (Bible. Rm. 10/21). Et ce n’est pas l’arrivée du Nazaréen,
comme le nomme le monde toranique, qui arrangera l’affaire. Le Temple
sera détruit, le peuple contraint à l’exil.
cela est logique. Au temps d’Isaïe, on parlera d’un « retour »
prochain sur la Terre promise. Tel n’est pas le cas après le Messie
fils de Marie. N’oublions pas aussi qu’après lui, le Livre et la Prophétie
passeront aux mains des Fils d’Ismaël...
Dans « Mémoires d’Hadrien », on dit : « Un
séjour d’une semaine à Peluse s’employa tout entier à tenir la balance
égale entre les Grecs et les Juifs, incompatibles éternels. (...)
J’essayais de démontrer aux Grecs qu’ils n’étaient pas toujours les
plus sages, aux Juifs qu’ils n’étaient nullement les plus purs. Les
chansons satiriques dont ces Mellènes de basse espèce harcelaient leurs
adversaires n’étaient guère moins bêtes que les grotesques imprécations
des juiveries. Ces races qui vivaient porte à porte depuis des siècles
n’avaient jamais eu la curiosité de se connaître ni la décence de
s’accepter. (Op. cit. Marguerite Yourcenar. Tellas Stabilita.
Edit. Plon.).
Si ces informations sont
exactes, le climat était plutôt tendu à l’époque. N’oublions pas que
la destruction du Temple, plus l’expulsion des gens de la Thora de
Palestine et de Jérusalem, n’allait nullement arranger les futures
relations entre les gens de la Thora, d’une part, et les gens du Paganisme
d’autre part. L’arrivée de Constantin, fondateur du Christianisme
avec Paul, n’allait jamais créer un climat de confiance entre ces
deux nations antagonistes...
parole lourde de conséquences. « Certes, Nous avions déjà
pris l’engagement des Fils d’Israël, et Nous leur avions envoyé des
messagers. Mais chaque fois qu’un Messager leur vient avec ce qu’ils
ne désirent pas, ils en traitent certains de menteurs
et ils en tuent d’autres. » (Coran V 70). De
même : « Tu trouveras (ô Mohammad) certainement que
les Judaïsés et les associateurs sont les ennemis les
plus acharnés des croyants... » (Coran V 82).
En
clair, ils n’ont que haine et inimitié envers les croyants soumis.
Et cela, quand bien même ils se disent être encore, et à la face du
monde, le « peuple élu » du Saint et Seigneur d’Israël et
des mondes ! Dogme que l’Islam traditionnel rejette.
mot à la mode de notre temps. On oublie que ce mot appartient aussi
bien au vocabulaire des Fils d’Israël qu’à celui des Fils d’Ismaël
ou aux Fils d’Esaü, etc. Pourquoi le “limiter” absolument qu’à une
fraction particulière des descendants de Sem, fils de Noé ?
C’est le Messie qu’on fait parler ainsi. Il s’adresse aux Fils d’Israël.
le Temple de Jérusalem.
Quant au Sceau de la Prophétie, son nom est, lui, Le béni dans les
Ecritures anciennes. Pour preuve : « Car, je vous le dis
: vous ne me verrez plus désormais avant que vous disiez (ou selon
Luc : "avant que[vienne le jour où] vous direz : Béni
celui qui vient [soit Ahmad-Mohammad] au nom du Seigneur
[c’est-à-dire avec Son commandement et Sa loi] ! (Bible. Mt. 23:39
; Lc.13:35) ».
Et cela, contrairement aux prétentions des exégètes bibliques, cela
ne s’adresse pas au fils de Marie.
avec ce que vous dites : ce rite du sacrifice par le feu.
S'ils le traitent de menteur (ô Muhammad)...
Zoboûr, le Livre, mot syriaque. Les gens de la Synagogue ne
croient pas que le Psautier a été révélé à David (sur lui la Paix !).
Selon eux, il était roi en Israël, non prophète en Israël ! Ce
serait plutôt l’œuvre d’autres gens…
dans le sens d’ordonner, recommander.
"qorbân" désigne ici sous un certain rapport l'oblation,
en tant qu'acte rituel, et sous un autre, l'oblat, ce qui est ainsi
offert en oblation. Il ne s'agit donc pas ici pour les prophètes d'apporter
une offrande devant ces gens, mais de venir devant eux en effectuant
un rite spécial d'oblation où la consumation par un feu céleste de
l'oblat devait être le signe de leur véridicité.
N'a-t-on
pas écrit et concernant un dénommé Corneille : (l'ange) qui entra
chez lui :
"Tes
prières et tes aumônes sont montées devant Dieu en oblation ..."
(Actes: 10 : 4)
Et
en note : "En oblation ou en offrande de souvenir : terme biblique
liturgique technique (azkarah en hébreu) du cérémonial israëlite (voir
Thora. Lév. 2:2) pour désigner la portion de l'oblation qui était
brûlée.
Chose au quel mécroira le monde toranique, rabbinique. Et par ricochet
le monde de l’Évangile, à travers Paul. Nous le verrons par la suite.
Les Juifs demandaient donc en quelque sorte une preuve équivalente
de la part du Prophète. Voir aussi Bible. Genèse 15/9-17 ; le
cas de l’offrande d’Abraham consumée par un feu céleste et marquant
l’alliance entre Dieu et lui.
Selon la Torah : Mochè prit le sang, le répandit sur le peuple
et dit : "Ceci est le sang de l'alliance que l'Eternel a
conclue avec vous touchant toutes ces paroles." (Ex. 24: 8).
Rite
entaché de Paganisme. L’Alliance divine sera prise à travers la Torah.
Refusant de l’accepter, il leur dit : "Et quand Nous avons
pris votre alliance et brandi sur vous le Mont : Tenez ferme ce que
Nous vous avons donné et souvenez-vous de ce qui s'y trouve"!...
Peut-être auriez vous été pieux!" (Coran II 63).
de
même :
"Et quand Nous avons brandi au-dessus d'eux le Mont,
comme si c'eût été une ombrelle ; ils pensaient que ça allait tomber
sur eux, "Prenez avec force ce que Nous vous donnons, et rappelez-vous
ce qui s'y trouve. Peut-être serez-vous pieux ?" (Coran VII 171).
Mais
ceci, les rabbis ne refuseront-ils pas de le reconnaître ?
.
Point
de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant
omnes, ultima necat. »
Nous
ne le dirons jamais assez.
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