Le Mahdi, l'homme de toutes les inconnues

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Sauveur, le Mahdi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Fils d'Isaac

 

 

 

 

 

 

 

 

Notes

La fin des temps est-elle proche ? La fin des jours (hébreu אחרית הימים a'harit hayamim), la "dernière ère" chez les gens de la Bible dont le monde de la Torah. Comparaison des sources avec l'Islam traditionnel. .    

Dans nos conversations privées, un thème revient souvent : la fin des temps. Quels sont ses signes avants-coureurs ? Quels sont les personnages importants qui y participeront ? Leurs noms sont-ils mentionnés dans les Ecritures, la Tradition ? Quel sera leur tâche ? Et enfin qui est ce personnage de l'Islam traditionnel dénommé le Mahdi ? Un nom qui exprime le parfum, la personnalité cachée de celui qui le porte. Quel rôle jouera-t-il avec le sceau des Prophètes d'Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) ?
   La fin du monde, ce qu'en dise réellement les gens de la Bible (toranique + évangélique), d'une part, de l'Islam traditionnel d'autre part. Comparaison.


Le Mahdi, l'Âge d'Or - le Nouvel Âge -
    المهدي العصر الذهبي -- العهد الجديد


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Le Mahdi, Commandeur des Croyants.

    Ils ont dit :

    L’Imâm Shawkânî écrit : « Le nombre de paroles (prophétiques) relatives au Mahdî s’élève à cinquante. Les uns sont authentiques, d’autres bons et d’autres faibles. Ces hadiths sont largement concordants entre eux, de manière indubitable et sans équivoque. D’ailleurs, il n’en faut pas tant pour qu’un hadith soit considéré comme étant à large concordance, et ce, quelle que soit la définition de la large concordance qu’on peut prendre dans les ouvrages traitant des fondements du Hadith. En outre, il existe une multiplicité de récits de Compagnons qui annoncent clairement la venue du Mahdî, lesquels récits sont très probablement imputables au Prophète car il n’y a aucune place pour l’ijtihâd dans ce genre de questions ».

   Dans son traité doctrinal intitulé Lawâmi` Anwâr Al-Bahiyyah, Safârînî écrit : « La croyance au Mahdî fait partie intégrante de la doctrine traditionniste (sounnite) ». Il dit à un autre endroit de son livre : « Plusieurs paroles sont rapportées au sujet du Mahdî. Les récits faisant état de sa venue sont si nombreux que leur sens atteint le degré de la large concordance ».

    Le Mahdi. L'homme de Justice. Sa description et son rôle au sein de la Communauté à la fin des temps. L'âge d'or.

    Avant l’arrivée du FAUX-MESSIE apparaîtra, selon les Savants, aussi l’homme dénommé : le Mahdi[5], Vicaire des Croyants soumis en son époque. Ce Vicaire sera un descendant de la famille de l’Envoyé de Dieu (sur lui Prière et Paix !), par Fatimah[6] sa fille. Son nom reprend celui de l’Envoyé de Dieu[7], il a pour ancêtre Hasan fils de ‘Ali fils du père de Tâlib[8]. Il lui sera fait allégeance entre l’angle [de la pierre noire] et la station [d’Abraham][9]. Il a le front large (ou clair) et le nez aquilin. Les gens qui tireront le plus grand bénéfice de sa présence[10] seront les gens de Koûfa. Il partagera les richesses en toute équité et jugera les affaires litigieuses avec justice. Lorsqu’un homme lui dira : “O Mahdi fais-moi un don”, il recevra autant d’argent que son manteau pourra contenir[11].  

   On dit aussi, qu’il apparaîtra alors que la terre aura été emplie de tyrannie et d’injustice ; il l’emplira à son tour d’équité et de justice[12]. Il apparaîtra à une époque où la Religion sera éclipsée. Il se couchera, une nuit, sans science, sans générosité ni courage et sera au matin l’homme le plus savant, le plus généreux et le plus courageux : il sera préparé [à sa mission] en une seule nuit[13]. La victoire sera sa compagne[14] et il assumera sa fonction[15] cinq, sept[16] ou neuf ans[17]. Il marchera sur les traces[18] de l’Envoyé de Dieu (sur lui Prière et Paix !) et ne commettra pas de faux pas. Un ange, que le Mahdi ne verra pas, est chargé de le protéger. Ses actes seront conformes à ses paroles et ses paroles seront conforment à sa science : il connaîtra ce à quoi il devra faire face. Il conquerra la “Ville byzantine” en prononçant le takbîr[19] accompagné de 70000 soumis tous descendants[20] d’Isaac[21].

    A ce sujet, Abou Horairah rapporte ces propos du Prophète (sur lui Prière et Paix !) :

   « Avez-vous entendu parler d’une ville[22] dont une partie est située dans la mer et l’autre sur la terre[23] ?
   - Oui, répondirent les Compagnons de l’Envoyé de Dieu. Le Prophète reprit :
   - L’Heure n’aura pas lieu tant qu’elle n’aura pas été attaquée par soixante-dix mille des Fils d’Isaac[24]. Quant ils l’aborderont ils ne feront pas usage de leurs armes. Ils ne lanceront point de flèches, mais ils crieront :
   - Il n’est pas de divinité en dehors de Dieu et Dieu est le plus Grand ! Alors la partie qui est située dans la mer tombera.
   Il n’y a pas de divinité en dehors de Dieu et Dieu est le plus Grand ! alors la partie qui est située sur terre tombera à son tour. Au troisième appel, la ville leur sera ouverte ; ils y enteront et se partageront le butin. C’est à ce moment que leur sera annoncée l’apparition de l’Antichrist. Ils laisseront immédiatement toutes choses et retourneront sur leurs pas. » (Mouslim). (à suivre).
                                                                                                                    La guerre contre les Byzantins - Les Fils jaunes.

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !
 

[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Ali fils du père de Talib et le fils de Mas’oud, entre autres compagnons, rapportent que le Prophète (sur lui Prière et Paix !) a dit : « S’il ne restait de ce monde qu’un jour, alors Dieu allongera ce jour pour y envoyer un homme de ma progéniture. Son nom sera pareil à celui de mon père ; il remplira la terre de justice et d’équité autant qu’elle aura été emplie auparavant d’injustice et d’oppression. » (Rapportés par le père (Abou) de Dawoud et autres.).
   D'après Abou Said al-Khoudri (que Dieu l’agrée !) le Messager de Dieu a dit : " Il y a parmi les membres de notre communauté quelqu'un derrière lequel Ichoua’ (Jésus) priera". (Rapporté par Abou Nouaym dans Akhbar al-Mahdi. (voir al-Djami as-Saghir 5/219, hadith 5796).
   « Le Mahdi attendu » dans la croyance chiite a une connotation toute autre. Pour eux, le Mahdi dont ils attendent le retour est leur douzième imam, Muhammad Ibn al-Askari, qui se serait caché en l’an 874 dans une grotte à Samarra alors qu’il n’avait que cinq ans. Ne pas confondre ! Si ce nom est sur toutes les lèvres, il ne signifie pas pour tous la même chose.
[6] La mère de Salamah affirme avoir entendu le Messager d'Allâh dire: "Le Mahdi est issu de ma descendance par la voie de Fatima". (Abou Davoud 11/373, Ibn Madja 2/1368)
[7] ‘Abd Allah fils de Mas’oud rapporte ces propos du Prophète (sur lui Prière et Paix !) : « Ce monde ne prendra pas fin sans que les Arabes n’aient eu la royauté, en la personne d’un homme de ma famille, dont le nom sera identique au mien [Mohammad fils d’Abd Allah.  (Ahmad 5/199 n°3573)
   Selon une autre variante : "Son nom est identique au mien et celui de son père l'est à celui du mien". (Abou Dawoud 11/370)
[8] D’après le père d’Ishâq Sabi’i, ‘Ali, regardant son fils Hasan, a déclaré : “Mon fils que voilà est un seigneur (sayyid), comme l’a dit le Prophète (sur lui Prière et Paix !). De ses reins sortira un homme qui portera le nom de votre Prophète : il lui ressemblera physiquement [sans pouvoir l’égaler en perfection] morale. Il emplira la terre de justice”. » (le père de Dawoud).
[9] Dans l’enceinte de la Ka’bah (Coran III 97). La station d’Abraham, au sens courant du terme, désigne un endroit de l’enceinte de la Ka’bah où il s’est tenu. Inconnu du monde biblique, voir ignoré.
[10] Ou “les gens les plus heureux de sa venue”.
[11] Allusion à la parole prophétique : « (…) Lorsqu’un homme viendra à lui cherchant un don, il lui donnera autant que son manteau peut contenir. » (Tirmidhi).
[12] Voir à ce sujet la parole prophétique le concernant. « Le Mahdi est un de mes descendants, il a le front large et le nez aquilin. Il emplira la terre d’équité et de justice après que la tyrannie et l’injustice auront régné sur elle. Il régnera 7 ans. » (Rapporté par le père de Sa’ïd Khoudri, le père de Dawoud n°4265, Al-Hakim 4/557 qui a dit : "C'est une parole (hadith) authentique selon les conditions de Mouslim", Sahih al-Djami n°6736).
[13] Selon ‘Ali : « Le Mahdi fait partie de ma famille ; Dieu le préparera [à sa mission] en une seule nuit. » (Ahmad). Ce qui détruit la prétention, la parole de ceux qui prétendre souvent, à une certaine époque de leur vie, l'avoir vu, rencontré. Qu'il est vivant, parmi nous ! Le moment venu, son Seigneur le manifestera.  
[14] Selon Aboû Horairah et la mère de Salamah, le Mahdi recevra à Makkah (La Mecque) un pacte d’allégeance entre l’angle de la pierre noire et la station d’Abraham (sur lui Prière et Paix !). Et selon une parole prophétique rapportée par le fils de Mas’oud et par d’autres compagnons, il apparaîtra à la fin des temps au Couchant extrême (maghrib al-aqçâ), et portera la victoire devant lui sur une distance de quarante milles. Sur ses étendards blancs et jaunes seront inscrits des « chiffres » et le nom suprême de Dieu. Aucun de ces étendards ne sera mis en déroute : ils se dresseront pour partir en campagne à partir d’une montagne du Couchant [maghreb (1)] connue sous le nom de Mâsna, et seront confiés à un groupe auquel Dieu a promis le soutien et la victoire : Ceux-là constituent le parti de Dieu. Le parti de Dieu n’est-il pas assuré du succès ? (Coran LVIII 22. d’après l’Imam Qortobi). Et Dieu est plus Savant !
(1) le maghreb : ouest, coucher du soleil, occident, nom donné actuellement à un pays : le Maroc. Par extension, nom donné à l’Afrique du Nord. Partie s’étalant de l’Egypte jusqu’au Maroc, lequel représente le Couchant extrême. C’est aussi le Couchant islamique (nommé par les nationalistes arabes et autres tendances politiques : le maghrib al-‘araby du fait que pour eux les Berbères sont gens de descendance arabe !?), terre occupée naguère par les gens de Byzance. 
   Une parole (hadith) citée par Mouslim insiste sur le rôle de défense de la vérité assumé par les gens du Maghreb en les désignant par l’expression ahl algharb “gens du Couchant”.
   D’après Sa’d fils du père de Waqqâs : « Les gens du Couchant ne cesseront d’assumer la défense de la vérité jusqu’à l’Heure dernière. » (Mouslim).
   Cette dernière parole n’évoque pas le rôle particulier vis-à-vis de l’Antichrist, mais il éclaire d’un sens nouveau si on le rapproche de cette autre parole du Prophète :
   D’après ‘Imrân fils de Hasîn : « Un groupe de ma communauté ne cessera de lutter pour faire triompher la vérité et de résister à ceux qui leur sont hostiles jusqu’à ce que le dernier d’entre eux combatte l’Antichrist. » (Aboû Dawoud et Hakim qui le déclare authentique).
   Certains commentateurs considèrent que l’expression “ghrab” est susceptible de désigner le Châm, la Grande Syrie. Mais lorsqu’on rapproche les deux paroles précédentes citées par Mouslim, il paraît plus vraisemblable d’assimiler les deux termes “ghrab” et “maghrib” car le bilad al-châm représentait pour le Prophète le nord et non l’ouest. C’est ce que montre une parole où le Prophète cite, entre autres, al-châm et al-maghrib comme étant des endroits différents : 
   D’après le fils de Mas’oud : « Je vous mets en garde contre sept séditions qui apparaîtront après ma mort :
   Une sédition venant de Médine, une autre venant de Makkah (La Mecque), une autre du Yémen, une autre de Châm, une autre du Levant (al-machriq)), une autre du Couchant (al-maghrib) et une autre venant du cœur de la Syrie, ce sera celle du Sofiâni. » (Hakim qui le déclare véridique).
   Quoi qu’il en soit Souyouti cite dans son commentaire du Coran un évènement qui ne laisse aucune ambiguïté sur l’emploi du mot “maghrib” :
   « Peu de temps après la disparition du Prophète, sa fille Fatimah remit quelques dirhams à sa servante, lui demanda de se rendre au marché et d’y clamer : “Qui veut accepter une aumône de la fille du Prophète ?” Et de demander à celui qui l’aura acceptée de se présenter devant elle. Et la servante de s’exécuter. L’homme fut un pauvre parmi ces indigents venus du Couchant (marghib), de la région occupée par les Berbères. Fatimah lui raconta que son père lui avait prédit que ses deux fils Hasan et Hussein connaîtront le martyr et que leurs enfants s’enfuiraient au Couchant (maghrib), qu’ils trouveraient asile et protection auprès des Berbères. » (Cité par Mohammad Benchili, La Venue du Mahdi, p. 64, éd. Tawhid, Lyon, 2002).
[15] Les avis sont partagés concernant le temps de son vicariat. Alors que certains le voient plutôt court, d’autres ont un avis différent. Et Dieu est plus Savant ! L’Envoyé de Dieu (sur lui Prière et Paix !) n’a pas précisé la durée du Vicariat du Mahdi, et l’a laissée indéterminée entre cinq et neuf ans…
[16] Aboû Sa’id rapporte ces propos du Prophète (sur lui Prière et Paix !) : « Le Mahdi est un de mes descendants ; il a le front large, le nez aquilin ; il emplira la terre d’équité et de justice, tout comme elle avait été le théâtre de l’iniquité et de la tyrannie. Il régnera sept années. » (Aboû Dawoud). Il sera entouré de conseillers.
[17] Autre variante : Selon l’Imam Qortobî : le Mahdî passera vingt années au Maghreb, douze à Koûfa (Irak), douze à Médine et six à Makkah (La Mecque).  De plus, il pourrait n’être informé de sa mission qu’à l’âge de 51 ans.
   Aussi : . le Mahdî règnera pendant quarante ans : dix au Maghreb, douze à Koûfa, douze autres à Médine et enfin les six dernières à Makkah (La Mecque). Il sera frappé d’une mort soudaine.
   De même : « Nous avons vu précédemment dans une parole (prophétique) rapportée par la mère de Salamah et Aboû Horairah que le Mahdî recevra des serments d’allégeance entre l’angle [de la pierre noire] et la station [d’Abraham], cela pourrait faire croire qu’il ne lui sera pas fait allégeance avant ce moment ; cela est pourtant faux. En effet, d’après une parole rapporté par le fils de Mas‘oûd et d’autres compagnons, le Mahdî apparaîtra à la fin des temps au Couchant (maghrib) « extrême » et portera la victoire devant lui sur une distance de quarante milles. Sur ses étendards blancs et jaunes seront inscrits des signes dont le Nom suprême de Dieu. Aucun de ses étendards ne sera mis en déroute : venant du littoral, leur point de départ vers l’Orient se fera à partir d’une montagne appelée « Masna » au Maghreb (selon Al-idrîsî (1099-1166), il s’agit d’une petite ville proche de Fès : voir Nuzhat al-mushtâq fî ikhtirâq al-âfâq). Les étendards du Mahdî seront confiés à un groupe avec lequel Dieu s’est engagé par un pacte à leur accorder la victoire : ce sont là les partisans de Dieu. Ô partisans de Dieu ne sont ils pas les heureux gagnants » (Tadhkira de Qortobî. p 348, Ed. Dâr Al-jîl, Beyrouth, 1986).  
   Souyoutî déclare dans une épître qu’il consacre aux paroles (ahadith) sur le Mahdi qu’il ne connaît pas de source justifiant les affirmations de Qortobi.
   Ibn Khaldûn rapporte que beaucoup de gens, jusqu’à son époque, attendaient la venue du Mahdî dans la forteresse (ribât) de Mâssa au Maroc et s’y rendaient dans l’espoir de le rencontrer et de lui prêter allégeance.
   Dans son ouvrage ‘Tadhkira’, Qortobî ajoute les précisions suivantes : « Si le Mahdi apparaît au Couchant (maghrib), ainsi que le laissent supporter certaines paroles (ahadith), les gens d’Andalousie (Espagne) se porteront à sa rencontre et lui demanderont son soutien à la péninsule ibérique reconquise par les mécréants. Le Mahdi ralliera alors la plupart des tribus du Couchant (maghrib) et réussira à constituer une armée de 80 000 hommes prêts au combat pour la reconquête de l’Andalousie. Ils traverseront la mer pour débarquer à Homs qui n’est autre que Séville. Le Mahdî prononcera alors une prédication particulièrement éloquente qui soulèvera les Soumis d’Andalous (Andalousie - Espagne). Ces derniers passeront aussitôt un pacte avec lui, puis ils se prépareront à affronter les Byzantins…»
   Concernant le rôle que les gens du Couchant (maghrib) joueront dans le soutien au Mahdi, on peut citer la parole suivante :
   D’après Nafi’ fils de ‘Otayba : « Nous étions en campagne militaire avec l’Envoyé de Dieu (sur lui Prière et Paix !) lorsque des gens venant du Couchant (maghrib), portant des vêtements de laine, se portèrent à sa rencontre et vinrent le rejoindre près d’une butte de terre. Ils se tinrent debout alors que l’Envoyé de Dieu (sur lui Prière et Paix !) était assis. Je me dis en moi-même : “Vas te placer entre eux et lui afin qu’ils n’attentent pas à sa vie !” Puis je me dis : “Sans doute veut-il s’entretenir secrètement avec eux.” Je me plaçai tout de même entre eux et le Prophète et j’ai retenu quatre choses qu’il a dit lors de cet entretien et que je peux énumérer :
   “Vous combattrez la Péninsule arabe et Dieu vous donnera la victoire, puis la Perse et Dieu vous donnera la victoire, et enfin vous combattrez l’Antichrist et Dieu vous donnera la victoire.” » (Mouslim).
   Pour Qortobî, le pacte d’allégeance que recevra le Mahdî au Maghreb explique pourquoi il sera réticent lors du pacte qui se déroulera dans l’enceinte de la Kaaba. C’est ce qui apparaît dans la parole (hadîth) citée par l’Imâm Ahmad :
   « D’après la mère de Salamah (que Dieu l’agrée) : le Prophète (sur lui Prière et Paix !) a dit :
   « Un différent éclatera à la mort d’un Vicaire [khalifah] et un homme s’enfuira alors de Médine pour rejoindre Makkah (La Mecque). Des gens viendront le trouver, et l’entraîneront contre son gré [à la Kaaba ] pour y passer avec lui un pacte d’allégeance entre l’angle [de la pierre noire] et la station [d’Abraham]. Un troupe sera alors envoyée contre lui de Châm, mais le désert l’engloutira entre Médine et Makkah (La Mecque). Quand les gens verront cela, les Abdâl (1) de Châm viendront se rallier à lui et que des groupes venus d’Iraq passeront un pacte d’allégeance avec lui. Puis apparaîtra un Qoraichite dont les oncles maternels seront apparentés à la tribu de Kalb, et qui enverra contre cet homme une troupe qui sera mise en défaite par ses partisans ; voilà ce qui adviendra de la troupe de Kalb…. Les gens pratiqueront à [nouveau] la Tradition (sounnah) de leur Prophète. De ses chameaux, l’homme (le Mahdî) répandra l’Islam sur terre ; il demeurera sept années parmi les Soumis, puis il mourra et ils feront la prière mortuaire sur lui »
(1) Abdâl : catégorie de spirituels dont la présence assure la pérennité du monde.
[18] Bien qu’il soit de sa famille, il le suivra. D'après Abd Allah fils de Mas'oud, le Messager d'Allâh a dit : "Le monde n'arrivera à son terme avant qu'un homme de ma descendance ayant le même nom que moi ne règne sur les Arabes". (Ahmad 5/199 n°3573).
   Selon une autre variante : "Son nom est identique au mien et celui de son père l'est à celui du mien". (Abou Dawoud 11/370)
[19] Par le simple fait de dire : Dieu est le plus Grand (Allahou Akbar) !
[20] Remarque importante quand on sait combien les gens de la Torah détestent les descendants d’Esaü et Esaü lui-même. Qu’on en juge :
   La Torah nous dit que Jacob et Esaü se haïssent avant même de naître, dans le ventre de leur mère ils se battent déjà. Elle nous apprend aussi qu’ils sont morts le même jour et qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. Les midrashim expliquent qu’Esaü, c’est Rome et le christianisme, "l’Evangile des ghettos" dit que Jésus est le guilgoul (résurrection de l'âme) d’Esaü, on notera qu'en hébreu Esaü et Jésus peuvent s’écrire avec les mêmes lettres.
   (…) Jacob avant de mourir a béni ses enfants et dit à Dan “que Dan soit un serpent sur le chemin, un python sur la route qui mord les talons du cheval, en renversant celui qui le chevauche, c’est en ta délivrance que j’ai espérée D!”. Cette bénédiction est une allusion à Samson qui est un descendant de Dan, dont Jacob, décu prophétiquement qu'il ne fût pas le messie, termine sa bénédiction  “c’est en ta délivrance que j’ai espéré Hashem”. Toutefois,  les midrashim disent que Shimshon lors de la venue du messie va ressusciter, et qu'il ira “déraciner les pieds d’Edom du Mont Seir”. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre le fait que Dan mord le talon du cheval que chevauche Edom,ennemi juré de Jacob.
   Pourquoi Shimshon et Dan sont-ils comparés dans la bénédiction de Jacob à un serpent?
Il semble que Jacob veuille faire une allusion à la malédiction que D adresse au serpent, après qu'il ait fait fauter Eve en l'incitant à manger de l’arbre de la connaissance: “je mettrais la haine entre toi et le serpent, il te mordra le talon et toi tu lui écraseras la tête”. Encore une histoire de haine, de pied et de tête. Remarque : après la faute du premier homme le serpent a perdu ses pieds et rampe sur son ventre...

   Parmi les anges, figure Samael qui a deux fois plus d’ailes que les autres et qui est aussi deux fois plus jaloux d’Adam, qui "chevauche le serpent comme on chevauche un cheval, pour le contrôler et faire fauter Eve". Or Samael, nous dit le Midrcsh ailleurs, c’est l’ange d’Esaü, avec lequel Jacob s’est battu. La dialectique Jacob - Esaü évoque donc une dialectique, Adam - Samael, qui milieu tourne autrour de femme/ serpent /cheval. (Levi Strauss s’amuserait bien ici à faire de l’interprétation ethnographique).
   Ce Midrach veut en fait mettre en opposition Samael, "obligé de chevaucher le serpent comme un cheval, d'habiter de son esprit comme lorsque quelqu’un est pris par un démon”, et Adam capable quant à lui d'apprivoiser les animaux en les objectivant par le nom et par le langage.
   (…) L’étude de la Torah est aussi un discours par rapport auquel on prend position pour se retrouver soi même, faire des métaphores du texte et le paraphraser, c’est donner du sens au texte et l’expliquer, pourtant on sait que plus on parle, plus on explique, plus on ouvre des questions, et plus on met à distance le langage. C’est pour cela que le Talmud Avodah Zarah dit que le messie ne peut venir que lorsque la civilisation occidentale d’Esaü aura régné sur le monde pendant 9 mois.
   Le Maharal y voit les 9 mois de grossesse de la civilisation occidentale chrétienne qui accouche du messie après avoir exploité toutes les possibilités du langage et de la pensée, et avoir fini par s’identifier par opposition à elle. La venue du messie dépend du renouveau constant de la Torah, lié au renouveau du langage occidental. C’est aussi pour cela que Jacob ne peut tuer Esaü qu’après sa propre mort, il doit d’abord s’ouvrir à la séduction du langage avant de s’en débarrasser.  (yerouchalmi.web.officelive.com)
   Pour une autre approche sur Esaü : Lire... A rappeler que pour nous, la prétendu cécité du prophète Jacob (sur lui la Paix !) ne saurait être.
[21] D’Isaac, le prophète naîtra deux jumeaux. Le second Jacob (Ya’qob) sera aimé des gens de la Synagogue et de la Torah. Le premier Esaü sera détesté, sera déclaré hors-la-loi par eux, mis à l’index. Il suffit de lire ce qu’on écrit sur lui pour s’en rendre compte. Qu’on en juge :
   Jacob et Ésaü, les fils jumeaux d’Isaac et Rebecca, personnifient l’éternelle rivalité de l’esprit et de la matière, de la pensée et de la force brutale, de la parole et de l’épée. Jacob était un « homme intègre, celui qui résidait dans les tentes de l’étude » (Genèse 25, 27) ; Ésaü fut « un chasseur habile, un homme des champs » ( ibid.). « La voix est la voix de Jacob, et les mains sont les mains d’Ésaü » (Genèse 27, 22). (Targoum Yonathan sur Genèse 50, 13)
   Le Midrach raconte que lorsque la procession funéraire de Jacob atteignit la Caverne de Makhpélah à Hébron, le lieu de sépulture d’Avraham, Sarah, Isaac et Rebecca, ils rencontrèrent Ésaü et ses hommes leur barrant le chemin. Ésaü clama que la seule place qui restait était la sienne, par héritage, puisque Jacob avait déjà pris possession de la sienne quand il avait enterré sa femme Léah dans la caverne. Quand les enfants de Jacob maintinrent que leur père avait acheté à Ésaü sa place, Ésaü le nia. La transaction avait été mise par écrit mais l’acte était resté en Égypte et l’on envoya le rapide Naphtali le chercher. ‘Houchim, le fils sourd de Dan, demanda pourquoi il y avait toute cette agitation et, quand il apprit qu’Ésaü retardait l’enterrement de son vénérable grand-père, il en devint furieux. D’un puissant coup de son épée, ‘Houchim trancha la tête d’Ésaü qui roula dans la Caverne de Makhpélah et vint reposer sur la poitrine d’Isaac où elle demeure jusqu’à ce jour. C’est ainsi que « la tête d’Ésaü repose sur la poitrine de Isaac ». (fr.chabad.org).
   On a dit : Alors que les Juifs s'opposent à la puissance romaine, apparaît (probablement dans l'école d'Aqiba, vers 132) l'idée qu'Israël et Rome sont frères car ils sont issus de Jacob et d'Esaü. Telle est l'origine du surnom le plus courant de Rome (Esaü-Edom), laquelle est appelée aussi dans les sources rabbiniques "l'empire scélérat". L'exégèse des chapitres XXV-XXVII de la Genèse subit le contrecoup de l'identification d'Esaü avec Rome. L'infériorité morale du fils aîné d'Isaac est fortement accentuée et les vices qu'on lui prête sont ceux que l'on reproche traditionnellement à Rome. C'est cependant lui qui détient la puissance matérielle en ce monde: entouré de ses chefs (comme en Gen. XXXVI), il règne par l'épée, ce qui pose le douloureux problème de la rétribution. Le fondement de l'identification d'Esaü-Edom avec Rome n'est pas à chercher selon nous dans une quelconque relation avec Hérode, Iduméen ami de Rome, comme on l'a souvent écrit, mais dans les nombreuses prophéties dirigées contre Edom qui assurent Israël d'une revanche en lui promettant que si Esaü possède ce monde, lui aura le monde futur.
   Autre : L’antagonisme ressenti par les enfants d’Isaac remontait au temps où ils étaient dans le sein de leur mère et persista tout au long de leur existence. Leur rivalité est devenue, dans la conscience juive, le symbole du conflit permanent qui oppose Israël à ce qui n’est pas lui si bien que les péripéties vécues par ces deux figures bibliques ont souvent été interprétées à la lumière d’une situation ultérieure où Israël a dû faire face aux nations. Cette mémoire séculaire a entretenu une tension trans-historique qui, avec le temps, a pris les proportions d’un conflit cosmique. (un-echo-israel.net)
   Nous dirons : Cet antagonisme a un nom, n’est-ce pas l’enseignement négatif des gens de la Synagogue ? Ils ont aimé Jacob et ont détesté Esaü. Eux seuls sont responsables de cette lutte fratricide. Et la venue du sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) n’a fait qu’amplifier cet abîme. D’ailleurs reconnu entre Rome (Esaü) et Jacob : Sachant qu’il avait rédigé l’article ‘Jésus’ dans l’Encyclopédie Hébraïque dont il était aussi l’éditeur, je me permis de lui rappeler que nous avions en commun la foi en un Dieu créateur et rémunérateur. Ce à quoi il répondit : “Il n’en est rien ! Notre Dieu n’est pas un Dieu qui crée et rémunère mais un Dieu législateur. Il est Celui qui nous a donné la Tora en prescrivant les commandements. C’est pourquoi, le refus de la Tora par les chrétiens nous encourage à voir dans le christianisme une sorte d’antijudaïsme.” Avant d’en prendre congé, je ne pus m’empêcher de lui avouer : “Jusqu’à présent, je pensais que les juifs et les chrétiens pouvaient tout de même se réclamer d’un patrimoine commun, mais à t’entendre parler, il semblerait au contraire qu’un abîme nous sépare.” Peu porté à dorer la pilule, il se contenta d’ajouter : “C’est la pure vérité !” (Op. cit.).
   Vingt siècles sont passés pour les gens de l’Evangile, et la lutte fratricide entre les gens de la Torah, d’une part, et les gens d’Esaü (Rome – Vatican) d’autre part, demeure. Les gens de la Torah, malgré toutes leurs démarches, n’arrivent pas à faire incliner Esaü (Rome) devant eux… A faire qu’une amitié sincère les unisse… Qu’Esaü enfin cesse de leur réclamer, lui aussi, son droit d’aînesse (Héb. : Bekhora) ! Cette relation conflictuelle, cette tension dite ‘tension trans-historique qui, avec le temps, a pris les proportions d’un conflit cosmique’, ne cessera  véritablement qu’avec le ‘retour’ du Messie fils de Marie sur terre. N’en déplaise aux critiques, opposants et adversaires de la Religion divine !
[22] Constantinople – Byzance - Istanbul. Le fils de Qatîl rapporte : « Nous étions chez ‘Abd Allah fils de ‘Omar quand quelqu’un lui demanda :
   Laquelle des deux villes, Rome ou Constantinople, sera-t-elle prise en premier ? ‘Abd Allah se fit alors apporter un coffret muni d’un anneau, dont il tira un écrit ainsi rédigé : « Nous étions chez l’Envoyé de Dieu (sur lui Prière et Paix !), quand on lui demanda :
   - Laquelle de ces deux villes, Rome ou Constantinople, sera-t-elle prise en premier ? L’Envoyé de Dieu répondit :
   - C’est la ville d’Héraclius, c’est-à-dire Constantinople, qui sera prise la première. » (Ahmad).
   Le 29 mai 1453 figure traditionnellement parmi les dates clé de l'Histoire évangélique d’Europe occidentale. Ce jour-là, Constantinople tombe aux mains du sultan ottoman Mehmet II. La prise de Constantinople stupéfia les esprits. Personne ne la croyait possible. Chacun, en tout cas, comprit qu’avec la chute de Byzance une page était définitivement tournée dans l’histoire du monde biblique. Les historiens datent de cet événement la fin de la longue période historique appelée faute de mieux Moyen Âge. Il marque la fin de l'empire byzantin, et aussi la fin du moyen age.
   Rappel. On a dit : Abû Ayyûb Al-Ansari était d'un cœur tendre qui aimait le Prophète (sur lui Prière et Paix !). Il était aussi généreux, propriétaire des dattiers qu'il cultivait, il partageait sa récolte avec les autres. Il était également un héros de guerre. Il ne renonçait à aucune bataille du temps du Prophète ni au temps des conquêtes islamiques jusqu'au règne de Mu'âwiya.
   Mu'âwiya (Vème Vicaire) prépara une armée pour la conquête de Constantinople sous le commandement de son fils Yazîd. Abû Ayyûb (49H/669), qui était alors âgé, sortit pour la bataille et tomba malade. Il demanda au commandant de l'armée de porter sa dépouille et de l'enterrer aux murs de Constantinople. En effet, il mourut dans cet état.
   Les Soumis attaquèrent l'ennemi plusieurs fois jusqu'à ce qu'ils atteignirent les murs de Constantinople, en portant Abû Ayyûb. Là-bas, ils creusèrent une tombe et l'enterrèrent.
   La perte de cette ‘ville sainte’ pour les gens de l’Evangile (dit orthodoxes) sera ressentit douloureusement. Mais dirons-nous, n’est-ce pas là que la réalisation de la Prophétie ? Chaque jour, ils prieront (gens de l'Orthodoxie du monde de l'Evangile) pour qu’ils retournent en elle : Demain à Constantinople, disent-ils !
   Suivant la description faite ci-joint, à la fin des temps, cette ville sera donc prise par les Roûm (Byzantins). Puis, elle sera reprise par les gens de l’Islam. Et Dieu est plus Savant !
[23]Ou selon l’Imam Nawawi, et Qadhi ‘Iyad, (que Dieu leur fasse miséricorde !), de la descendance d’Isma’il (sur lui la Paix !).
[24] Langage quelque peu différent. Quant il s’agit de mentionner les troupes du FAUX-MESSIE (messie-roi, monde toranique), on parle toujours, dans la Tradition, qu’il sera suivi, assisté, de personnes yehoudim, c’est-à-dire de gens ‘repentis’. Gens se réclamant du judaïsme, de confession judaïque. Ici, on parle tout autrement lorsqu’il s’agit de Fils d’Isaac, qui conquerront Constantinople avec le Mahdi. Ne pas confondre !   
   Les Roûm (les Byzantins), selon les historiens, sont présentés comme étant les descendants directs d’Esaü, fils d’Isaac, fils d’Avraham. Et avant le ‘retour’ du Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) sur terre, il apparaît qu’un nombre plus ou moins important rejoindra le Mahdi et l’assistera dans sa tâche. Tel ne sera pas l’attitude des Yehoudim (Repentis) ! A à eux de se maintenir dans leur ligne de conduite habituelle, ligne prescrite par les gens de la Synagogue. Et à eux de rejoindre le roi-messie tant attendu, lequel les conduira à leur perte dans ce monde et dans l’autre…
   Enfin, on notera que les griefs et les attaques du monde de la Synagogue et de la Torah sont toujours dirigés contre l’Italie (Rome – le Vatican), non jamais contre Byzance, le monde grec. Pourquoi ? Actuellement, les gens de l'Italie et de la Grèce sont en majorité des nazaréniens (chrétiens), gens de l'Evangile, de la Bible. Les gens de la Synagogue feraient-ils de la différence entre gens de l'Evangile de Rome et d'Athènes ? Il est vrai, dans un cas comme dans l'autre, ils auront à souffrir de leurs exactions dans leur passé, au temps du Sabéisme, le Paganisme. Mais c'est bien d'entre les gens de la Torah que surgira le FAUX-MESSIE, l'ennemi du sceau des Prophètes d'Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !). En aucun cas, et contrairement à l'idée reçue, des gens d'Esaü. Ne pas confondre !      


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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15/06/09 .

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