Napoléon le héros des cultes

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Napoléon le héros légendaire de la liberté des cultes,

en terre des Gaules

Commentaires :

Dans cette gravure, on note une fois de plus la présence de ce "Triangle" du monde du Dualisme : du monde des Loges, de l'Occultisme, de la Cabbale, du Satanisme, etc. Il a pris la place de la Lumière divine. Mais dirons-nous, comment les Dualistes, les gens de l'Obscurantisme, etc., pourraient-ils illuminer le monde de leur prétendue lumière ? avec quoi ? La seule confession qui peut-être ravie, reconnaissante envers l'Empereur, ce sont les gens du monde toranique... Vient ensuite, les gens de la Réforme, et enfin les gens du Dualisme : les loges, les sectes occultes, les adversaires de la religion, les athées, les mécréants, les associateurs, les pervers, les sans-religion, les prévaricateurs, le monde philosophique, les idéologues, etc. Non, le monde de l'Islam traditionnel ne peut faire partie de ce monde... Et combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !

Un peu d’histoire.

On a dit : En 1807, le général Napoléon Bonaparte – qui s’était autoproclamé empereur des Français, Roi d’Italie, Protecteur de la Confédération du Rhin, … - obligea les Juifs a réunir leur Grand Sanhédrin, lequel ne s’était plus réuni depuis… la prise de Jérusalem par les Arabes ! L’administration impériale – qui s’inquiétait de l’emprise des israélites sur les départements de l’Est de la France - voulait obliger les Juifs à se mouler dans le système en adoptant des noms de famille et en renonçant à différentes pratiques (dont l’usure). Le Sanhédrin (formé de 45 rabbins et 26 laïques selon la tradition dite « des 71 ») eut à se réunir pour la première fois le 26 juillet 1807 dans la grande salle St Jean (Paris – illustration ci-dessus). A cette époque, il y avait environ 40.000 Juifs en France (dont plus de 30.000 dans les seules régions d’Alsace et de Lorraine). A paris, leur nombre était de l’ordre de 500 en 1789 mais était déjà passé à 3.000 en 1808.

Sans être antisémite au sens classique du terme, Bonaparte détestait les Juifs pour des raisons tenant plus à la politique et à l’économie qu’à la religion ou à la race. C’est ainsi que Pelet de la Lozère a consigné des propos tels que : «… Les deux beaux départements d’Alsace à la merci de la nation la plus vile… des villages entiers ont été expropriés par les Juifs…ils ont remplacé la féodalité…ce sont de véritables corbeaux, des chenilles, des sauterelles… ils ravagent la France ! ». C’est Regnauld de Saint Jean D’Angély qui fut chargé de préparer une loi visant à « franciser » les Juifs et ce, selon les instruction de Bonaparte qui voulait « arrêter le mal en l’empêchant, en changeant les Juifs ».

C’est ainsi que naîtront les décrets du 17 mars 1808 - que les Juifs nommèrent « décrets infâmes » - ainsi que la loi du 3 septembre 1807 relative contre les pratiques usuraires. Citons encore le décret du 20 juillet 1808 imposant aux Juifs d’adopter un nom de famille...

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