HISTOIRE
SAINTE - TERRE SAINTE - CHÂM.
Au nom de DIEU,
Allaha,
Le TOUT-MISÉRICORDIEUX,
le TRÈS-MISÉRICORDIEUX !
Que les meilleures salutations soient
sur les Messagers et Prophètes divins !
Hébreu,
Hébreux. Différentes explications du terme "hébreu".
On
a dit : L’hébreu (en héb.
Ivri עברי -
עברית
ivrit) est une langue appartenant à la branche centre-nord de la
famille des langues sémitiques. Elle est étroitement apparentée à
l'arabe et aux langues araméennes...
L'hébreu est la langue de la Bible hébraïque (en
héb. תנ"ך tanakh), de la Mishnah et de la
plupart des livres apocryphes (en héb.
ספרים חיצוניים sefarim
hitsoniyim) et des manuscrits de Qumran (en héb.
ספרים גנוזות sefarim guenouzot) découverts
dans les grottes du désert de Judée entre 1947 et 1956.
Dans la Bible, notamment dans le premier livre Genèse ((בראשית
"Bereshit"), chapitre 14, verset 13 : on trouve "אברם
העברי" ("Avram ha-'ivri"),
il s'agit d'Abram, avant qu'il ne devienne Abraham (en héb.
אברהם avraham) mais le texte ne
fait aucune mention de la langue parlée par celui-ci et ses
descendants. d'aucuns pensent que le terme hébreu viendrait de
l'expression "מעבר לנהר : me-'ever la-lahar" (de l'autre côté
du fleuve) qui désigne l'origine d'Abraham. (Source : wikipedia.org).
On a dit : Selon la tradition juive, de l'hébreu ivri, dérivé de Eber,
descendant de Sem qui était le fils de Noé, ou de ever, "au-delà"
[du fleuve Euphrate].
Un Hébreu est une personne appartenant au peuple des Hébreux. La Bible
nomme Hébreux les tribus sémitiques semi-nomades qui vivaient en Syrie
depuis le XIXe ou XVIIIe siècle avant JC et qui, après avoir traversé
l'Euphrate, se sont installées en terre de Canaan (la Palestine) sous
la conduite d'Abraham. Cet épisode est relaté par la Genèse, Chapitre
XII. Ceux qui plus tard s'installèrent en Egypte avec Joseph furent
contraints à l'esclavage (L'Exil) jusqu'à ce que Moïse les libère et
les amène sur la Terre Promise. A partir du VIe siècle, ils se désignent
comme les Judéens d'où dérive le mot "juif"(1).
Dans les Évangiles, les Hébreux sont les Juifs de Palestine qui
parlent l'araméen.
L'hébreu est aussi la langue, d'origine sémitique, de l'ancien peuple
d'Israël (de la Bible Hébraïque) ainsi que la langue officielle de l'État
actuel d'Israël.
(1) ce serait plutôt l'inverse.
Autre : Hébreux, Israélites, Juifs…
Précisions : en se référant à la Bible, les
populations qui franchirent le Jourdain pour entreprendre la conquête de
Canaan étaient nommées « Hébreux ». Après le passage du Jourdain ils
reçoivent le nom d’ «Israélites ». Aujourd’hui on continue à appeler
leur langue l’hébreu, de même qu’on emploie l’adjectif
hébraïque.
(1) ce mot "juif" (repenti), les Fils
d'Israël le recevront officiellement au Sinaï, après leur adoration du
"Veau d'or". Ceux qui commirent cette faute grave, ne pourront entrer en
Terre sainte. Elle leur sera interdite. Ce sont leurs enfants qui y
entreront. Au fil des siècles, le monde de la Synagogue perdra le sens
de ce mot, involontairement ou volontairement. Ce qui donnera court
ensuite à toutes les fantaisies concernant sa signification. La
falsification étant pratiquée à grande échelle, elle contaminera
l'ensemble de la Bible... La faute venant au départ des 70 choisi par
Mochè (Moïse) (sur lui la Paix !). Certains d'entre eux. Par la suite,
elle fera tâche d'huile au sein des gens de la Synagogue, ...des
Dignitaires religieux du monde de l'Evangile. Mais tous refusent
(refuseront) de re-connaître les faits (Coran II 75 ; IV 46 ; V 13, 41).
Juif, Hébreu, Israélite : précisions.
Yehoudi : mot hébraïque signifiant
judéen, c.-à-d. du pays de Juda (Judée) au sud de l'Eretz Israël (pays
d'Israël). Il a désigné ensuite les habitants de Samarie, au nord du
pays, et tous ceux qui pratiquaient la religion juive après l'exil à
Babylone (1) (VIe s. av. J.-C.).
(1)
On peut s'étonner de cette
précision que semble vouloir absolument nous donner le narrateur.
Veut-il nous cacher quelque chose ? S'agit-il de
Judée, en Palestine ou de la
Judée-Ispahan, en Iran ? Ne
l'oublions pas, le monde toranique a voulu donner au Messie fils de
Marie les prérogatives du Faux-Messie par excellence ! Tout cela est-ce pour
tronquer partie de son histoire ? Jamais, partie d'entre eux, n'a pu
accepter que le Livre et la Prophétie passe de leurs mains aux mains des
Fils d'Ismaël.
Selon les historiens, c'est le nom donné
par les Juifs en captivité. Ils avaient emmené avec eux de l'eau
et de la terre de Jérusalem. Chaque fois
qu'ils s'arrêtaient à un endroit, ils les comparaient avec la terre et
l'eau de l'endroit où ils s'arrêtaient. Arrivés en terre d'Ispahan, ils
constatèrent que la terre et l'eau avaient le même poids que celles du
lieu saint. Il deviendra : Judée (la
Juive)-Ispahan. Ils s'y installèrent, s'y marièrent et y eurent leurs
descendances.
Pourquoi le silence de la Synagogue sur ce sujet brûlant ? De même
leurs frères en religion : les gens de l'Évangile ? Certes, partie
d'entre eux, est dans l'attente du Messie, du roi qui doit rassembler le
monde toranique, et venir avec eux en Terre sainte.
Selon le fils de Mâdja : "…La terre entière sera soumise à l'épreuve
; c'est sur ces entrefaites qu'apparaîtra le Faux-Messie, du côté d'Ispahan,
dans une campagne connue sous le nom de "la juive"
[soit : la Judée]. Il sera monté sur un âne
stérile, semblable à un mulet ; la distance qui sépare ses oreilles sera
de cinquante coudées.
De même : "Soixante-dix mille juifs d'Ispahan, portant le Tayâlisan
(voile empesé fait de mousseline), ils suivront le Faux-Messie."
(Transmis par Mouslim).
Et aussi : "Le Faux-Messie apparaîtra en Orient, dans une terre
appelée Khurasan (région de l'Iran
oriental) et sera suivi par des peuples dont le visage sera semblable à
des boucliers martelés." (Transmis par Ahmad et Tirmidzî).
Le faux-Messie (ou pour les gens de la Synagogue : le Messie tout
court). Les gens de la Synagogue le voit du côté des Fils d'Esaü, Rome.
Et bon nombre des gens de l'Évangile suivent cette croyance rabbinique.
Le siège de l'Antéchrist n'est-ce pas Rome, le Vatican ? La plupart des
sectes occultes, loges, gens du Dualisme rejoignent cette idée et
croyance rabbinique. La vérité semble toutefois être tout autre. N'en
déplaise aux détracteurs de la Religion divine ! Peut-on changer le
court de l'histoire ? Les partisans du libre-arbitre le croient, les
gens de la Prédestination, nullement.
Conclusion. L'exil en Babylonie a marqué beaucoup de gens
des Fils d'Israël et des Judaïsés. C'est un point noir dans leur
histoire. La colère du Saint et Seigneur d'Israël et des mondes en leur
encontre fut terrible...
Et aussi : En français, on appelle « juifs » (du latin
judaeus, de Juda) les israélites rescapés des guerres et
déportations en Assyrie et à Babylone (VIIIème au Vième siècle avant
notre ère), essentiellement donc des habitants du territoire de l’ancien
royaume de Juda et leurs compatriotes restés en Babylonie. Leur religion
reçoit alors le nom de « judaïsme » (cf. ; Encyclopédie des
religions, F. Lenoir et Ysé Tardan-Masquelier, Bayard. P. 245)
Nous dirons : Nullement. La religion officielle restera :
la Religion divine : la Soumission. Ceci jusqu'à l'arrivée du sceau des
Prophètes d'Israël, le Messie, fils de Marie (sur eux la Paix !). Entre
lui et le sceau de la Prophétie, le Prophète Mohammad (sur eux la Paix
!) aucun prophète (7 siècle). Le Judaïsme pourra alors avoir les
coudées franches et faire surface. Il regroupera, en son sein, tous les
opposants au Messie, fils de Marie, et, plus tard, les opposants au
sceau de la Prophétie, le Prophète Mohammad (sur eux la Paix !). Ne pas
confondre !
Les Juifs descendent des Hébreux
israélites résidant en Judée. Ils sont désignés comme Hébreux
dans le Livre de l'Exode (1), et se dénomment couramment enfants d'Israël.
Toutefois, au sens premier,
-
L'Hébreu est un descendant d'Eber. On peut être Hébreu
sans être Juif : c'est le cas de Terah, Loth, Ismaël, et même
Abraham (le terme "juif" n'existe pas à leur époque). On
peut aussi être Juif sans être Hébreu : c'est le cas des
convertis au judaïsme.
-
L'Israélite est un descendant, biologique (pour autant qu'il ait
maintenu ses croyances) ou spirituel, du patriarche Jacob qui, après
avoir vaincu un ange, reçut le nom d'Israël. La majorité des Israélites
n'habitaient pas Juda, et ne se conformaient pas au judaïsme. Les
Samaritains, bien que d'ascendance israélite, n'ont pas été
reconnus comme tels par les Judéens revenant de l'exil babylonien.
L'Israélite n'est pas forcément israélien :
Bien qu'Israël abrite la plus grande communauté juive du monde,
selon un recensement effectué en 2006, on peut être Juif sans être
Israélien, ce qui est le cas de tous les Juifs vivant hors d'Israël (à
l'exception des ressortissants israéliens, etc.). On peut être Israélien
sans être Juif, puisqu'il y a des Israéliens chrétiens, musulmans, et
même depuis peu agnostiques. On peut enfin être Juif et vivre sur la
terre d'Israël, en refusant la nationalité israélienne.
Le Juif est donc un "Judéen", c'est-à-dire
un descendant des Hébreux et appartenant au peuple juif (1), c'est aussi le
religieux : religion et peuple étant lié. Si c'est un converti on
en parlera uniquement en terme religieux, la religion du judaïsme comme
celle de l'islam ou du bouddhisme. Israélite par hérédité ou
par adoption, vivant selon les lois, coutumes et croyances du royaume de
Judée, dont la capitale était Jérusalem.
Enfin, dans la dimension "ethnique" du terme, les Juifs
(2)
descendent des citoyens du royaume de Juda, mais pas obligatoirement de
la tribu de Juda : la première mention du terme Juif (Yehoudi)
dans le Livre d'Esther désigne Mordekhaï, qui appartenait à la tribu
de Benjamin, qui était fédérée par la Judée ; les Lévites et
les Cohanim descendent de Lévi et non de Juda ; pour conclure, de
nombreux Israélites revinrent à Juda et se fondirent à la population.
(Source : judipedia.com).
(1) Définition boiteuse et fausse. En
effet, Les Fils d'Israël étaient des Hébreux, par rapport à leur langue
officielle : l'hébreu. Le terme "juif" (repenti), lié ensuite à
une secte : le Judaïsme, apparaîtra après l'adoration du "Veau d'Or" par
les Fils d'Israël. Tous les Prophètes du Saint et Seigneur d'Israël et
des mondes, Allaha, prêcheront aux Fils d'Israël comme religion
officielle la Soumission et non le Judaïsme. Ne pas confondre ! Le
Judaïsme s'est construit au fil des temps sur le mot juif = repenti,
après que les Fils d'Israël se soient repentis d'avoir adoré le "Veau
d'Or" au lieu d'Hachem. Le Judaïsme est donc devenu une secte de l'Islam
(ou de la Soumission). La Religion officielle du divin Créateur, prêchée
et enseignée par tous les Prophètes (sur eux la Paix !) est, était et
sera : la Soumission. Elle est la seule Religion agréée par Lui (Coran
III 19 , 85 ; V 3 ; VI 125 ; XXXIX 22).
N'en déplaise aux détracteurs de la Religion
divine : l'Islam !
(2) Les Fils d'Israël, par rapport à
l'Etat de Judée, étaient donc des 'Judéens' et non des "Juifs".
Car, et contrairement à l'idée reçue, la religion de Mochè (sur lui la
Paix !), des Patriarches, sera la Soumission, jamais le Judaïsme. Et de
Mochè jusqu'au Messie, fils de Marie, sceau des Prophètes d'Israël, une
seule religion régnera en maître et en Terre sainte, parmi les Fils
d'Israël : la Soumission. Secundo : Le Livre d'Esther est un livre
d'histoire, non un livre divin. Son autorité ne peut être reconnu.
Toutefois, il ne peut que confirmer notre approche sur le terme "juif",
qu'il apparaîtra qu'après les évènements du "Veau d'or" et la
destruction du premier Temple.
Origine du terme "Hébreu"
Le nom "Hébreu" est donné
pour la première fois à Abram afin de le distinguer de ses voisins,
les Amorites (Gn 14:13).
Ces textes (références : Gn
39:13,14,17 ; 41:12 ; Ex 1:16 ; 1Sam 4:6,9 ; Gn
40:15 ; Ex 1:19 ; 2:7 ; Yonas(Jonas) 1:9 ; Gn 43:32 ;
Ex 1:15 ; 2:11-13 ; 1Sam 13:3-7.) soulignent que le terme
"Hébreu" était déjà familier aux Égyptiens du XVIIIe siècle
av. n.è.
Cela semble indiquer qu’Abraham, Isaac
et Jacob étaient déjà bien connus sur une grande étendue, de sorte
que l’appellatif "Hébreu" était devenu facile à reconnaître.
Quelque six siècles plus tard, les
Philistins désignaient encore les Israélites par le nom" Hébreux
". À l’époque du roi Saül, "Hébreux" et "Israël"
étaient des termes équivalents (1Sam 13:3-7 ; 14:11 ; 29:3).
Le livre de Jérémie (VIIe siècle av.
n. è.) montre que le terme "Hébreu" était à l’époque
l’équivalent de "Juif" (Jr 34:8,9,13,14).
Plus tard, les auteurs grecs et romains
ignorèrent le mot "Israélites" et parlèrent plutôt
d’"Hébreux" ou de "Juifs".
Signification du terme " Hébreu"
Il y a trois origines possibles dont une
seule est pleinement en accord avec les écritures.
• le nom vient du radical "avar",
qui signifie "passer, passer à côté, traverser". Ce terme
s’appliquerait donc à Abraham comme celui que Dieu prit "de
l’autre côté du Fleuve [Euphrate]" (Jos 24:3). Les traducteurs
de la Septante comprenaient ainsi ce terme, si bien qu’en Genèse
14:13, ils parlèrent d’Abraham comme de "l’émigrant"
plutôt que de "l’Hébreu".
• ce nom désigne ceux qui séjournent,
c’est-à-dire qui "sont de passage", pour les distinguer des
résidents ou des immigrés (voir l’utilisation de "avar" en
Gn 18:5 ; Ex 32:27 ; 2Ch 30:10). Certes, les Israélites menèrent
une vie nomade pendant un temps, mais ce n’était plus le cas après
la conquête de Canaan. Cependant, le nom "d’Hébreux"
continua de leur être donné.
• Selon un troisième avis, qui
s’harmonise bien avec les éléments bibliques, le nom "Hébreu"
(Ivri) dérive de celui d’Éber (Évèr), arrière-petit-fils de Sem
et ancêtre d’Abraham (Gn 11:10-26). Il est vrai qu’on ne sait rien
d’Éber, si ce n’est qu’il est un des chaînons dans la généalogie
entre Sem et Abraham.
Il semblerait donc que le terme Ivri (Hébreu)
s’applique à tous ces descendants qui pourraient à bon droit se réclamer
d’Éber comme ancêtre. Certains biblistes laissent entendre que c’était
peut-être le cas à l’origine, mais qu’au fil du temps l’usage de
ce nom fut restreint aux Israélites, les plus éminents des Ébérites,
ou Hébreux. Voilà qui ne serait pas sans parallèle dans les Écritures.
Bien que de nombreux descendants d’Abraham
n’aient pas été israélites, tels les Édomites, les Yishmaélites
et aussi ses descendants par sa femme Qetoura, ce sont les Israélites
qui sont appelés de manière distinctive la "semence d’Abraham"
(Ps 105:6 ; Is 41:8 ; voir aussi Mt 3:9 ; 2Co 11:22) (1).
C’était bien sûr à cause de l’action de Dieu envers eux liée à
l’alliance abrahamique. Cependant, le fait même que Dieu les
constitua en nation, leur donna en héritage le pays de Canaan et leur
accorda des victoires sur de nombreux ennemis puissants, distingua assurément
les Israélites non seulement des autres descendants d’Abraham, mais
aussi de tous les autres descendants d’Éber. Il se peut également
que la plupart de ces descendants aient perdu leur identité d’"Ébérites"
en se mêlant par des mariages à d’autres peuples.
Dès lors, il se pourrait fort bien que
la mise en évidence d’Éber dans les listes généalogiques ait été
un moyen pour Dieu d’indiquer que la bénédiction de Noé sur Sem
s’accomplirait surtout sur les descendants d’Éber (2).
D’ailleurs, les événements postérieurs
démontrèrent que les Israélites furent les principaux bénéficiaires
de cette bénédiction. Cette mention expresse d’Éber pouvait aussi
servir à indiquer dans quelle lignée viendrait la Semence promise
mentionnée par Yahwah dans la prophétie de Genèse 3:15, Éber y
devenant un chaînon précis entre Sem et Abraham. Cette explication
s’harmoniserait avec le fait que Yahwah est appelé "le Dieu des
Hébreux".
(1) Ceci selon l'interprétation des gens de la Synagogue ou des
Dignitaires religieux de l'Evangile (voir ci-après).
(2) Nous nous disons plutôt
: Les promesses divines seront avec la femme Délaissée,
Agar, mère d'Ismaël (sur lui la Paix !). Avec Abraham (sur lui la Paix
!) deux rameaux apparaîtront : celui d'Isaac et celui d'Ismaël (sur
eux la Paix !). Tous deux seront prophètes du Saint et Seigneur
d'Israël et des mondes. Ce que reconnaîtront nullement les gens de la
Bible, excepté pour Isaac (sur lui la Paix !) !
La langue hébraïque,
son origine
L’hébreu appartient à la famille des
langues que parlèrent la plupart des descendants de Sem et quelques
autres, c’est pourquoi cette famille de langues est dite sémitique.
Puisque Dieu ne confondit pas le langage
de Noé et de Sem au temps où l’on commença à édifier présomptueusement
la tour de Babel, on peut raisonnablement conclure qu’ils parlaient la
langue sémitique originelle, de laquelle sortirent plus tard les
nombreuses variétés de cette famille de langages.
L’hébreu est la branche principale de
la famille sémitique, il est vraisemblable que ce fut la langue en
usage dans le jardin d’Éden. Jacob parlait l’hébreu, mais Laban
qui parlait l’araméen en vogue de son temps, se servait d’autres
mots que lui pour exprimer la même idée (Gen 31:47). Les caractères hébraïques
furent employés pour écrire l’histoire de la création et une ébauche
de l’histoire de l’humanité pendant les 2500 années écoulées
depuis l’Éden.(Source : Voir...).
Nous dirons : La langue hébreue langue du Paradis Eden ? Pour les
commentateurs bibliques, sans doute. Pour les commentateurs coraniques :
nullement. Ce sera plutôt l'arabe.
Le pays des Hébreux
(...) Il y a une ``légende'' concernant la dénomination de ce que nous
appelons Erets Israël. La Bible l'appelle ``pays de Canaan'' parce
qu'au temps des Patriarches, il était occupé (1) par les Cananéens (Gen.
XIII, 7). En fait, dans le récit de la Genèse (XL, 15), il est appelé
``pays des Hébreux''. Ce terme est employé par Joseph, en prison en
Egypte, lorsqu'il raconte son histoire aux ministres du Pharaon tombés
aussi en disgrâce : ``J'ai été volé du ``pays des Hébreux''.
Les ministres du Pharaon comprennent de quoi il s'agit, et pourtant qu'y
avait-il en ce temps là comme Hébreux au pays de Canaan? Jacob
et ses fils. Cela signifie qu'à l'époque, il y avait une donnée
culturelle et que ce pays était connu comme celui des Hébreux. De la même
manière, pendant deux mille ans, alors que les Juifs étaient en exil,
on savait que leur pays était la ``Palestine'', nom donné par les
Romains à la Judée. Or, les Juifs étaient partout - sauf ici (en dépit
d'une petite minorité), mais tout le monde savait que la Palestine était
le pays juif.
(1) le terme
"occupé" ici n'a pas de sens ni sa place. "il était
habité...", tout simplement. Le Saint et Seigneur d'Israël et des
mondes ne crée pas une chose pour la détester ensuite. A l'instar de
l'idée véhiculée par les gens de la Synagogue. Secundo : le mot
"juif" (soit "repenti") apparaît
(rappelons-le), dans
l'Histoire des Fils d'Israël, après l'adoration du "Veau
d'Or" et suite au châtiment divin qui s'en suivit. Avant cela, la terre
de Châm (ac. Jordanie, Syrie, Liban et Palestine) était habitée par
des gens divers dont les Amélicites.
Troisièmement : "la Palestine était le pays juif". La
Religion divine, n'en déplaise aux détracteurs de la religion, est une
: la Soumission. Cette religion sera la religion de tous les Prophètes,
sans exception. Depuis Adam jusqu'au sceau de la Prophétie (sur eux la
Paix !). Et les prophètes Mochè et son frère Aaron ont prêché à
leur peuple la Religion divine : la Soumission (ou en arabe, l'Islam).
Alors Fils de la Soumission ou Fils de Mikha (Michée-Samiri) ? Quant à
la Palestine, les gens de la Synagogue en feront un "pays"
juif, sous-entendu : de confession juive. Notons que dans le Coran, les
termes "Fils d'Israël" et "Judaïsés" (gens qui se
sont faits juifs, rattachés au judaïsme) sont des termes courants et employés par le Saint
et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha. Quatrièmement : Après le
second exil, la destruction du second Temple, les Fils d'Israël et les
Judaïsés seront dispersés parmi les nations. Le Saint et Seigneur
d'Israël et des mondes avait promis aux gens de la Torah de compenser
la perte du Temple par la venue prochaine du Prophète annoncé dans les Écritures. Est-il
venu ? La communauté juive d'Arabie (qui représentait le monde toranique à l'époque) refusera de croire en lui et de le suivre (Coran
II 89). Sauf un petit nombre. La promesse du Saint et Seigneur d'Israël
et des mondes étant véridique, ce sont les Fils de la Délaissée,
Agar, a qui reviendra l'honneur de re-construire le Temple de
Jérusalem. Ainsi le décret divin !
Les Hébreux étaient en exil dans la civilisation de Babel d'où est
sorti
Abraham. Que faisaient-ils en Babylonie ? Il faut d'abord
restituer ceci : les Hébreux étaient en diaspora dans la
civilisation de Babel - dont le roi était Nemrod. Lorsque cette
civilisation est devenue totalitaire - (...) - une famille des Hébreux, rescapée d'Our Kasdim (la
fournaise de Kasdim), la famille d'Avram (il ne se nomme pas encore
Abraham) quitte Babel et revient au pays de ses ancêtres (ancêtre
d'Abraham : Ever, lui-même descendant de Sem). Or, pour les
historiens, Abraham serait un Mésopotamien qui, magiquement, se découvre
Hébreu. Cela n'a aucun sens. C'est très frappant de voir qu'Our Kasdim
(Ur) est très exactement à la frontière entre le Koweit et l'Irak. (Source :
Pensée
juive).
(1) Nous dirons : Interprétation toute particulière. La Bible n'étant
pas une référence pour nous, pas plus que ce nom biblique Ever. Le
pays d'Abraham (sur lui la Paix !) était bien là où il est né.
N'oublions pas l'époque où nous vivons. Le roi de l'époque appelle
son peuple à toute adoration sauf à celle du divin Créateur. Deux
religions existent à l'époque : le Sabéisme et le Magisme (ou le
Dualisme). Comme Dictateur et Père de la Dictature, Nemrod voulut
prouver à Abraham qu'il détenait la vie et le mort sur ses individus,
le pouvoir absolu ! Peine perdue (Coran II 258) ! Depuis sa jeune
enfance, Abraham avait un goût pour le Monothéisme pur. Il n'hésita
pas à détruire les idoles que le roi et son peuple adoraient. Nemrod
le fera jeter dans un bûcher. Mais son Seigneur, Maître du feu, fera
qu'il devienne une fraîcheur et une paix pour Son serviteur Abraham
(sur lui La Paix !) (Coran XXI 69).
Abraham (sur lui la Paix !) comprendra très vite que son
peuple ne voudra pas le suivre, lui obéir. Au Monothéisme pur, il voudra
rester à la religion de leurs pères.
Voyant cela, Abraham (sur lui la Paix !) quittera la terre
qui l'a vue naître pour d'autres terres, d'autres cieux. Il ne
cherchera pas la confrontation. Il cherchera, au contraire, que le
contentement de son Seigneur. Et pour lui d'autres horizons allaient
s'ouvrir...
Ce ne sont pas les 'Hébreux' qui seront en exil (version
biblique), se sera uniquement Abraham, sa famille, Lot et sa famille. Ce
petit nombre de croyants avec les Prophètes : Abraham et Lot (sur eux
la Paix !). Une partie de gens parlant la langue hébreue, l'autre
partie (le peuple) ayant choisie, elle, de rester à ses
adorations.
Enfin, le cheval de bataille des gens de la Synagogue et du
monde toranique, n'est-ce pas la terre ? L'amour de l'ici-bas ? Un but
qui va à l'encontre de l'enseignement prophétique. Les gens de la
Synagogue appellent toujours et encore vers le bas, ce sont des gens
amoureux de la planète Terre. Les Prophètes, eux, d'appeler les gens vers le
haut, à la terre du Paradis. L'un est passager, l'autre éternel. En
vérité, combien le Saint Et Seigneur d'Israël et des mondes est
au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !
Hébreux
terme, venant d'Eber (descendant de Sem, l'un des 3 fils de Noé)
ou de Hapirou ou Habirou (les errants), utilisé en Égypte aux XIIIe et
XIIe s. av. J.-C. : peuple apparu vers 2500 av. J.-C.
Autre
: "... Les anciens
cananéens qui ont appelé les enfants d'Abraham et d'Israël Jacob (Ivrim)
: ceux qui venaient " de l'autre côté de , du... fleuve de l'Euphrate ou
du Jourdain ; les Egyptiens les nommaient les "Rhapinou" et les
considéraient comme des bandes armées de nomades qu'ils craignaient..."
Nous dirons : Cela s'applique donc uniquement pour
les descendants d'Abraham et de Jacob (sur eux la Paix !). Pour ceux qui
émigrèrent avec le prophète Abraham (sur lui la Paix !). Eux de parler
l'hébreu. Ne s'appliquera pas pour la branche d'Ismaël (sur lui la Paix
!).
Autre définition :
"...étranger. Il ne demeure pas au même endroit. Il est constamment
en route. Depuis les temps d'Horus, il combat, il n'a pas la victoire,
il n'est pas vaincu !"
Nous dirons : C'est d'ailleurs une définition qu'on
donnera au mot 'messie' (massih). A la recherche d'un endroit pour vivre
en toute quiétude sa foi.
"...L'hébreu fut donc la langue du peuple juif tant que celui-ci
demeura sur sa terre, c'est-à-dire jusqu'à la destruction du Premier
Temple de Jérusalem. De plus, la tradition rabbinique enseignait que
l'hébreu était la
langue
de sainteté (lashon hakodesh), avec laquelle le monde avait
été créé (Bereshit Rabba 18:4)" (fr.wikipedia.org).
Nous dirons : L'hébreu langue de Révélation, sans
doute. Avec "laquelle le monde avait été créé", ceux qui prétendent cela, étaient-ils
vivants, présents, pour attester cela ? Ce sont là que des paroles des
gens de la Synagogue, rien de plus rien de moins....
Conclusion.
L'hébreu est une langue. Une partie de la
descendance du Prophète Abraham (sur lui la Paix !) parlera cette
langue. Ce sont les Fils d'Israël et les Judaïsés. A notre époque, ceux
qui ont, parmi les gens du Judaïsme, choisi de la prendre comme langue
maternelle ou seconde langue. C'est une langue sacrée. Dans cette langue
sera révélé la Torah donné au Prophète Mochè (Moïse) (sur lui la Paix
!). C'est une des langues de la Révélation.
(à suivre)
Point
de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes,
ultima necat. »
Nous
ne le dirons jamais assez.
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