Histoire sainte toranique, biblique.

ALLIANCE, ENGAGEMENT, PACTE. 

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU, Allaha
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


L’« alliance entre les morceaux » (ברית בין הבתרים).


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Suite Page 9

« Seigneur ! montre-moi comme Tu revivifies les morts ».

   Récit, épreuves et demandes d’Avraham (sur lui la Paix !) à son Seigneur. La Maison de Dieu et la Terre sainte pour une "partie" de la descendance abrahamique en terre d’Arabie.

    Ce que le texte coranique rapporte à ce sujet. Qu’on en juge :

124. [Et souvenez-vous] quand son Seigneur eut éprouvé Abraham[5] par certaines paroles[6], et qu’il les eut accomplies parfaitement, Il (le Seigneur) lui dit : « En vérité, Je vais faire de toi un dirigeant[7] pour les gens[8] ». Il (Abraham) dit : « Et de ma descendance[9] ? » Il (le Seigneur) dit : « Mon pacte[10] ne s’applique pas aux injustes[11] ».

125. [Et souvenez-vous] quand nous fîmes de la Maison[12] un lieu de retour et un asile pour les gens - Adoptez donc pour lieu de prière, ce lieu[13] où Abraham se tint debout – Et Nous fîmes un pacte[14] avec Abraham et à Ismaël : « Purifiez[15] Ma Maison[16] pour ceux[17] qui tournent [autour d’elle], y font retraite pieuse, s’y inclinent et s’y prosternent.

126. [Et souvenez-vous] quand Abraham dit : « Seigneur ! fais de cette cité[18] un lieu de sécurité, et fais attribution des fruits[19] à ceux qui parmi ses habitants auront cru en Dieu et au Jour dernier ». Il (le Seigneur) dit : « Et quiconque mécroira, alors Je lui concèderai une courte jouissance [ici-bas], puis Je le contraindrai au châtiment du Feu [dans l’au-delà]. Et quel mauvais devenir ! »

 127. [Et souvenez-vous] quand Abraham et Ismaël élevaient les assises[20] de la Maison[21] : « O notre Seigneur, accepte, de notre part ! Car c’est Toi l’Audient, l’Omniscient.

128. Notre Seigneur! Fais de nous deux Tes Soumis[22], et de notre descendance une communauté qui Te sois soumise[23] ! Et montre nous nos rites et accepte de nous le repentir. En vérité, Toi, Tu es Celui qui revient sans cesse, le Très-Miséricordieux.

129. Notre Seigneur! Suscite-leur un messager[24] parmi eux, pour leur réciter Tes versets[25], leur enseigner le Livre et la Sagesse, et les purifier[26]. Car c’est Toi certes le Puissant, le Sage !

130. Qui donc aura en aversion la religion[27] d’Abraham, sinon celui qui sème son âme dans la sottise ? Car très certainement Nous l’avons choisi en ce monde ; et, dans l’au-delà, il est certes du nombre des gens de bien[28]. Coran II 124-130.

    Les épreuves auxquelles Avraham fut soumis, aboutirent par faire de lui un élu de son Seigneur. Et à Lui d’en faire un Imam, un Dirigeant, un exemple vivant à suivre… pour les gens. Quant à sa descendance[29], il fut mis des conditions drastiques la concernant de la part de son Seigneur…
   Puis à Lui de décrire à Avraham comment Il veut (voulait) que la Ka’bah, Sa Maison soit, à savoir : le symbole par excellence du Monothéisme ! L’endroit où viendront les gens de toute part pour s’y recueillir, y accomplir la
circumambulation et y adorer… Et à Avraham d’invoquer son Seigneur pour qu’Il nourrice ses habitants...
   Lors de l’élévation de Sa Maison, à Avraham et son fils d’invoquer leur Seigneur pour qu’Il agrée leurs actions, fasse d’eux des gens soumis à Lui,
et de leur descendance une communauté qui Lui sois soumise, qu’Il leur apprenne enfin comment accomplir le Pèlerinage à Sa Maison.

   Épilogue.

    L’invocation d’Avraham (sur lui la Paix !) pour cette partie de sa descendance ne va pas s’arrêter là. En effet, il va demander plus encore : Notre Seigneur! Suscite-leur un messager[30] parmi eux, pour leur réciter Tes versets[31], leur enseigner le Livre et la Sagesse, et les purifier[32]. Car c’est Toi certes le Puissant, le Sage !
   Des siècles se succèderont. Et à son Seigneur d’exaucer sa demande : de ce lieu bénit naîtra le sceau de la Prophétie auquel il sera révélé le sceau des Écritures, le Coran. Et la boucle sera bouclée. Et surtout là où se trouvera cette descendance d’Ismaël, à elle de ne pas connaître les déboires[33] des Fils d’Israël, leurs proches. De ne pas devenir la risée, l’opprobre des nations…

   Drame chez les Fils d’Israël.

   Ce nouvel épisode sera vécu comme un drame au sein des Fils d’Israël, des Yéhudim, au sein de ceux qui refuseront le sceau de la Prophétie (sur lui Prière et Paix !). Jusqu’au dernier moment on espèrera que le sceau de la Prophétie (sur lui Prière et Paix !) s’aligne sur leurs revendications[34], leur point de vue, infléchisse sa position. Mais rien n’y fera ! Un petit nombre de gens[35] de la Torah d’Arabie se démarquera toutefois de la majorité d’entre eux et viendra rejoindre, suivra le sceau de la Prophétie (sur lui Prière et Paix !). Les anticonformistes voulurent se faire entendre, ils voulurent comploter contre le sceau de la Prophétie (sur lui Prière et Paix !), attenter à sa vie[36], lui faire la guerre. C’était sans compter sur leur Seigneur, Lequel veillait sur lui ! Ils vécurent enfin comme un drame le fait d’être soumis à un impôt[37] : la capitation[38]. De se voir relégué au second plan, disgracié[39] ! Pourtant, ils ne purent l’empêcher, et l’Histoire sainte est là pour nous le prouver au cas où ceux-ci feignent de l’ignorer, le cachent ! Ils étaient de ceux qui mécrurent aux signes divins. Ne méditeront-ils pas alors sur cette Parole divine :


« 130. Qui donc aura en aversion la religion d’Abraham, sinon celui qui sème son âme dans la sottise ? Car très certainement Nous l’avons choisi en ce monde ; et, dans l’au-delà, il est certes du nombre des gens de bien. » ?

Selon le fils d'Abbas, en effet :  "Les gens des diverses religions étaient en controverse : les gens de la Thora affirmaient aux autres : Notre Livre est le meilleur des Livres [révélés] ; il a été révélé avant le vôtre et notre prophète [Mochè] est le meilleur des prophètes !
   Les gens de l'Évangile disaient la même chose.
   Enfin les gens de l'Islam disaient : Il n'y pas d'autre religion que l'Islam, notre Livre [le Coran] abroge tous les Livres [antérieurs] et notre Prophète est le Sceau des prophètes. Vous avez reçu et nous avons reçu l'ordre de croire en votre Livre et nous, nous mettons de surcroît le nôtre en pratique.
   Dieu jugea entre eux en révélant ces versets : "Il n'en est pas selon vos suppositions ni selon les suppositions des Gens du Livre : quiconque fait un mal sera sanctionné en conséquence..." Puis Dieu fit connaître les meilleurs parmi les gens des différentes religions  en disant : "Qui donc est de meilleure religion que celui qui soumet sa face à Dieu en agissant parfaitement et suit la dictation [40] d'Abraham de façon orthodoxe ? or Dieu pris Abraham pour Ami intime[41]".

   Dahhaq a dit lui aussi : "Les gens des diverses religions rivalisaient de fierté.
   Les Yéhudim disaient : "Notre Livre est pour Dieu le meilleur et le plus noble des Livres et notre prophète Mochè est pour Dieu le meilleur des prophètes : Dieu lui a directement parlé et s'est entretenu seul à seul avec lui, aussi notre religion[42] est-elle la meilleure des religions !

   Les Nazaréniens disaient : "Ichoua[43], fils de Marie, est le sceau des envoyés[44], Dieu lui a accordé la Thora et l'Évangile et si Moché[45] avait vécu à son époque il l'aurait suivi, aussi notre religion est-elle la meilleure des religions !
   Les Mages[46] et les impies-dissimulateurs (les mécréants) arabes[47] disaient [chacun pour leur part] : "Notre religion est la plus ancienne[48] et la meilleure des religions !"
   Enfin les [gens] soumis[49] disaient : "Mohammad, notre prophète, est le Sceau des et le seigneur des prophètes ; le Discernement[50] est la dernière révélation que Dieu fit descendre d'auprès de Lui et il est le "garant" de tous les autres Livres révélés, aussi l'Islam est-il la meilleure des religions !
   Dieu les départagea en faisant connaître Sa préférence par la révélation suivante : "Il n'en est pas selon vos suppositions ni selon les suppositions des Gens du Livre..." jusqu'à "... Dieu prit Abraham pour Ami intime". (Coran IV 123-125). 

حدثني محمد بن سعد، قال: ثني أبي، قال: ثني عمي، قال: ثني أبي، عن أبيه، عن ابن عباس، قوله: { لَّيْسَ بِأَمَـٰنِيِّكُمْ وَلا أَمَانِىِّ أَهْلِ ٱلْكِتَـٰبِ }... إلى: { وَلاَ نَصِيراً } تحاكم أهل الأديان، فقال أهل التوراة: كتابنا خير من الكتب، أنزل قبل كتابكم، ونبيُّنا خير الأنبياء. وقال أهل الإنجيل مثل ذلك. وقال أهل الإسلام: لا دين إلا الإسلام، كتابنا نسخ كل كتاب، ونبينا خاتم النبيين، وأمرتم وأُمرنا أن نؤمن بكتابكم، ونعمل بكتابنا. فقضى الله بينهم فقال: { لَّيْسَ بِأَمَـٰنِيِّكُمْ وَلا أَمَانِىِّ أَهْلِ ٱلْكِتَـٰبِ مَن يَعْمَلْ سُوءاً يُجْزَ بِهِ } وخير بين أهل الأديان فقال: { وَمَنْ أَحْسَنُ دِيناً مِمَّنْ أَسْلَمَ وَجْهَهُ لله وَهُوَ مُحْسِنٌ واتَّبَعَ مِلَّةَ إِبْرٰهِيمَ حَنِيفاً وَٱتَّخَذَ ٱللَّهُ إِبْرٰهِيمَ خَلِيلاً } * تفسير جامع البيان في تفسير القرآن/ الطبري.

حدثنا يحيـى بن أبي طالب، قال: ثنا يزيد، قال: أخبرنا جويبر، عن الضحاك في قوله: { لَّيْسَ بِأَمَـٰنِيِّكُمْ وَلا أَمَانِىِّ أَهْلِ ٱلْكِتَـٰبِ } قال: افتخر أهل الأديان، فقالت اليهود: كتابنا خير الكتب وأكرمها على الله، ونبينا أكرم الأنبياء على الله موسى، كلمه الله قَيَلاً، وخلا به نجيًّا، وديننا خير الأديان. وقالت النصارى: عيسى بن مريم خاتم الرسل، وآتاه الله التوراة والإنجيل، ولو أدركه موسى لاتَّبَعَهُ، وديننا خير الأديان.

وقالت المجوس وكفار العرب: ديننا أقدم الأديان وخيرها. وقال المسلمون: محمد نبينا خاتم النبيين، وسيد الأنبياء، والفرقان آخر ما أنزل من الكتب من عند الله، وهو أمين على كلّ كتاب، والإسلام خير الأديان. فخير الله بينهم، فقال: { لَّيْسَ بِأَمَـٰنِيِّكُمْ وَلا أَمَانِىِّ أَهْلِ ٱلْكِتَـٰبِ }. * تفسير جامع البيان في تفسير القرآن/ الطبري.

   Et dans ce commentaire, le prophète Abraham se voit mentionné. Comme le rappelle Tabari dans son commentaire :

   Si quelqu’un nous demande ce que signifie ici cette “Amitié intime” (khoullah - الخُلة) dont Abraham fut gratifié, nous répondrons ceci : de la part d’Abraham (sur lui Prière et Paix !), cette “Amitié intime” signifie qu’il n’éprouvait de l’hostilité, de la colère, de l’amitié ou de l’affection qu’en fonction de Dieu et en ayant Lui seul en vue.

   De la part de Dieu cette “Amitié intime” envers Abraham consista, d’une part, en ce qu’Il le soutint contre ceux qui tentèrent de lui nuire comme le fit Nemrod qui voulut le faire brûler[51] ou encore le roi d’Égypte lorsqu’il voulut s’en prendre à sa femme[52] : Dieu le sauva du feu et lui donna un argument décisif sur Nemrod lors de la controverse avec lui[53]. D’autre part, en ce que Dieu fit de lui l’ “Imâm” (l’Archétype, le Guide) de Ses esclaves qui devaient venir après lui et leur “parangon” (qoudwa - قدوة) sous le rapport de l’obéissance et de l’adoration. C’est là le sens de l’“Amitié intime” [envers Abraham (sur lui la Paix !)]…

القول في تأويل قوله تعالى: { وَٱتَّخَذَ ٱللَّهُ إِبْرٰهِيمَ خَلِيلاً }.

يعني بذلك جلّ ثناؤه: واتخذ الله إبراهيم وليًّا.

فإن قال قائل: وما معنى الخُلة التي أعطيها إبراهيم؟ قيل: ذلك من إبراهيم عليه السلام العداوة في الله والبغض فيه، والولاية في الله والحبّ فيه، على ما يُعرف من معاني الخلة. وأما من الله لإبراهيم، فنصرته على من حاوله بسوء، كالذي فعل به إذا أراده نمروذ بما أراده به من الإحراق بالنار، فأنقذه منها، وأعلى حجته عليه إذ حاجه، وكما فعل ملك مصر إذ أراده عن أهله، وتمكينه مما أحبّ، وتصييره إماماً لمن بعده من عباده وقدوة لمن خلقه في طاعته وعبادته، فذلك معنى مخالّته إياه. * تفسير جامع البيان في تفسير القرآن/ الطبري.

   La prétendue "Alliance entre les morceaux", une alliance tronquée ?

   Sans aucun doute. Selon les gens de la Synagogue et de la Torah : La première alliance que D a fait avec le peuple d’Israël, c’est l’alliance "d’entre les morceaux". Cette alliance a été faite par D sur la demande d’Avraham[54]. Avraham avait demandé explicitement à D de faire une alliance avec lui. Avraham voulait que D lui assure, par un pacte, que c’est sa descendance qui prendrait possession de la terre d’Israël
   Après le récit de la guerre[55] des quatre rois contre les cinq, à laquelle participa Abraham, la parachath Lekh lekha contient celui que l’on a l’habitude d’appeler « l’alliance entre les morceaux » ( Berèchith 15, 1 et suivants).
   Hachem y promet à Abraham une descendance abondante ainsi qu’une terre, celle de Canaan.
Cependant, Abraham demande des preuves : « Comment saurai-je que j’en hériterai ? » (verset 8).

La littérature talmudique et midrachique développe abondamment ce dialogue du patriarche avec Hachem[56] :
« Et si mes descendants pèchent devant Toi[57], agiras-Tu à leur encontre comme Tu as agi contre la génération du Déluge et celle de la Tour de Babel ?
  
 Non, répondit Hachem.
  
 Maître de l’univers, reprit Abraham, fais-moi savoir comment j’en hériterai !
  
 Prends pour Moi une génisse de trois ans d'âge et une chèvre de trois ans d'âge (verset 9).
  
 Soit, insista le patriarche. Mais les sacrifices ne les feront bénéficier de Ta clémence qu’aussi longtemps que le Temple existera. Qu’en sera-t-il lorsqu’il sera détruit ?
  
 J’ai déjà rédigé pour eux dans la Tora l’ordre des sacrifices, et chaque fois qu’ils le réciteront, Je le compterai comme s’ils les avaient offerts devant Moi, et Je leur pardonnerai pour toutes leurs iniquités » ( Ta‘anith 27b).
  
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
   Cette "Alliance" avait donc, et selon les rabbanim, un sens, un but très précis et très particulier comme dit : Avraham voulait que D[58] lui assure, par un pacte, que c’est sa descendance qui prendrait possession de la terre d’Israël… Comment ? Selon le plan divin, selon la version des rabbanim !
   A la lumière de la Révélation, nous voyons que la demande d’Avraham avait un rapport direct avec la Te’hiyat Hamétim (ou la “Résurrection” des morts) seulement. Aucun rapport avec le texte toranique actuel entre les mains du monde biblique. Certes, le plan divin parlait d’une possession effective d’une terre pour une "partie" de la descendance d’Avraham ; mais cela devra se passer en terre d’Arabie non jamais en terre de Châm, de Canaan[59] comme le veut (le voudrait) le monde biblique, leurs dires, coutumes et interprétations tendancieuses. Le texte biblique a donc été remanié au goût et aux couleurs du monde toranique. A été transformé par les rabbanim pour justifier l’injustifiable : une terre pour la descendance d’Isaac ! et surtout de Jacob ! sans Ésaü, sans Ismaël, sans les Fils de Quetoura ! On voit là la jalousie du monde biblique (toranique & évangélique), notent les Savants, envers leurs propres frères, gens de leur famille, de la famille abrahamique...
   Enfin, une « alliance » réelle et effective, celle-ci ayant été prise depuis des siècles au Sinaï[60] ; laquelle est (reste) suspendue comme l’épée de Damoclès[61] au-dessus de chaque tête d'individu du monde biblique, et ceci jusqu’au « retour » du Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) en Terre sainte, à Kedesha, au Qoûds, à Jérusalem. Et que veut spécialement le Seigneur d’Adam pour les gens de la Bible (toranique & évangélique) ? Sinon leur conversion, comme le rappel toujours et encore leurs propres Écritures ! 

   Que le Seigneur nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Avraham (sur lui la Paix !) éprouvé par son Seigneur ceci est reconnu par le monde biblique (toranique & évangélique).
[6] Arabe, (بِكَلِمَاتٍ).
[7] Arabe, Imam (إِمَاماً - الإمامة). Les gens de la Bible prendront Avraham (sur lui la Paix !) seulement comme Patriarche. Non comme un prophète de leur Créateur. Et ils prendront Melchisédech comme leur guide…
[8] Fait inconnu par le monde biblique. En place et lieu, le monde biblique de prendre comme symbole et comme guide : Melchisédech.
[9] Avraham (sur lui la Paix !) aura une nombreuse descendance.
[10] Sens voulu. Plusieurs sens selon les commentateurs : 1) la Prophétie, c’est-à-dire : Ma Prophétie… ; 2) Imâmah, c’est-à-dire : Mon Imamah… ; 3) Foi, 4) miséricorde, 5) la religion, 6) obéissance, 7) engagement, 8) la sécurité.
   On a dit : Peut s’employer aussi pour l’Ordre divin. Ex. : Coran III 183 ; XXXVI 60. Rien à voir avec le mot « alliance » (en français biblique) et le sens voulu par le monde biblique.
[11] Notamment pour l’Au-delà. A entendre et à en lire : Tous les gens de la Bible (toranique & évangélique), sans exception, sont gens du Paradis (croyants & mécréants). Pour les premiers, selon le droit du sang. Pour les seconds, selon la mort du Christ en croix, du sang versé, selon Paul. Mais une chose est sûre, et comme le dit une de leurs chansons, d’un de leurs auteurs : Nous irons tous au Paradis !
"On ira tous au paradis mêm' moi Qu'on soit béni ou qu'on soit maudit, on ira Tout' les bonn' soeurs et tous les voleurs Tout' les brebis et tous les bandits On ira tous au paradis..." (Michel Polnareff).
   On a dit :
Le Judaïsme enseigne qu’il y a une géhenne, qui est identifiée à la fosse en flammes dont il est question en Is 30, 33, et un lieu de bénédiction, le Gan Eden (Jardin des Délices), et c’est tout. Il est dit que les méchants, sauf cas exceptionnels, passent douze mois dans la géhenne, après quoi ils entrent au Gan Eden pour y goûter en compagnie des justes, selon le mot d’un rabbin, la splendeur de la Shekhinah (Présence divine) et la vie éternelle. Il ne s’agit pas d’une existence inactive. Commencée dans cette vie, la coopération avec Dieu pour Son dessein dépasse, dans la pensée juive, la vie terrestre. Même après que l’individu s’est dépouillé de son apparence périssable, son esprit immortel continue de progresser, accroissant le trésor de force morale qui avance la consommation du dessein éternel de Dieu. [...] Le Gan Eden n’est d’ailleurs pas réservé au seul Israël. Dans la doctrine juive, une récompense attend dans l’Au-delà les pieux des nations du monde. Le Judaïsme fait dépendre le salut de la bonne conduite et, en conséquence, toutes les nations ont part aux bénédictions de la vie future. (Epstein, pp.134-135)
  En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
   « Mon pacte.. injustes. » Soit : aucun engagement est pris pour les injustes dans l’Au-delà qu’ils ne seront pas châtiés pour leurs crimes : associationnisme, mécréance, athéisme, etc. Ils ne seront pas à l’abri de servir de combustible pour le Feu infernal ! Quant à ce monde, ils pourront y vaquer toutefois comme bon leur semble. Secundo : Et aucun engagement pour ceux de la semence d’Avraham qui seront injustes envers eux-mêmes. Troisièmement : Dans la descendance d’Avraham et d’Isaac, il y aura des élus et des damnés. Et cette annonce a été faites à Avraham dès le début : « Et nous lui fîmes bonne annonce d’Isaac comme prophète d’entre les gens de bien. Et Nous versâmes, sur lui et sur Isaac, plénitude et bénédiction. Il y a cependant, dans leur descendance à eux deux, le bienfaisant et le malfaisant (injuste) manifeste envers soi-même. (Coran XXXVII 112-113). Tous ne seront donc pas de leur semence habitants du Paradis. Et ceci contrairement aux paroles et aux prétentions du monde de la Synagogue et de la Torah.
[12] Entendre : la Ka’bah.
[13] Comme lieu de prière… Dans la prière, il y a plusieurs stations : la station debout, inclinée…
[14] P. Godé : Le sens du verbe “ahida” (d’où ‘ahidnâ - عَهِدْنَآ) est “prendre un pacte” (‘ahd - عهد). On a dit : Autre sens : Nous ordonnâmes… ou : Nous avons révélé…
[15] Cette purification consiste à éliminer les idoles dites “çanam” et “wathan” et à la purifier de tout culte associant d’autres divinités à Dieu.
   Lisân : Deux types d’idoles : 1) celle qui est appelée “çanam” représente une forme précise, taillée dans la pierre ou le bois ou faite de métal 2) tandis que l’idole “wathan” n’a pas de forme déterminée. Le Lisân (encyclopédie arabe) rapporte également que chaque tribu arabe possédait une “çanam” spécifique qu’ils adoraient et appelaient “inâth” (Cf. Coran IV 117), ce terme désignant toute chose inerte en pierre ou en bois.
   Rappel : La différence entre le culte associateur (chirk) et l’idolâtrie est que le premier implique une “association” d’autres divinités dans le culte rendu à Dieu, alors que l’idolâtrie est la seule adoration des idoles. Les Arabes associateurs de les associer à leur Créateur pour se rapprocher de Lui.
   Ainsi, aux gens de la Bible (toranique & évangélique) de parler toujours et encore de la seconde non jamais de la première. Ne sont-ils pas des Associateurs ? N’ont-ils pas associé des Associés, des Semblables à Lui ? Des Égaux à Lui dans Son essence, dans Ses attributs, dans Ses actes, dans Son Royaume des Cieux et de la Terre, dans Son héritage ? Ne pratiquent-ils pas le Culte de Dulie pour se rapprocher de leur Créateur comme les gens du Sabéisme d’antan ?
   Au départ, et selon les commentateurs, les gens ont fait des images et des statues de leurs êtres chers, leur notables. Puis, ils les ont adorés en les associant au Culte du divin Créateur. Une abomination, note le Savant, un acte for condamnable et répréhensible !
[16] La Ka’bah.
[17] Qui font la circumambulation…
[18] Makkah.
[19] Le Lieu saint est un lieu où l’on trouve de nombreux fruits venant de tout lieu… Et ceci suite à la demande d’Avraham (sur lui la Paix !).
[20] Tout en invoquant leur Seigneur.
[21] La Ka’bah. Fait inconnu de la Torah, de la Bible.
[22] Les gens de la Synagogue et de la Torah voudraient faire passer Avraham pour un des leurs, le père de leur religion, leur Patriarche non jamais un prophète. Quant à Ismaël un être malsain, violent, insupportable… En aucun cas un prophète du Créateur ! Sa mère, une adoratrice d’idoles ! Et aux gens de l’Évangile de les suivre dans leur dérive !
[23] Soit : non une communauté yéhudie (Torah) et non nazarénienne (chrétienne) (Évangile). Une communauté religieuse non attachée à… la religion des gens de la Bible. Ne se réclamant pas de la Bible mais plutôt du Coran.
[24] Le sceau de la Prophétie.
[25] Coraniques.
[26] Du péché de l’Associationnisme, de la Mécréance et de l’Athéisme…
[27] On a dit : Le Judaïsme n'est pas une religion mais un état, une confession. On naît juif si l'on est de mère juive. Le fait d'être juif est indépendant de toute pratique religieuse. (…) C'est à tort que l'on parle de religion, pour le Judaïsme, il faut parler de confession. (philo5.com).
   Toutefois, tel n’est pas la définition de leur Seigneur ! Pour preuve ce verset : Coran II 130 (cité ci-contre).
[28] En langage théologique du monde de la Synagogue et de la Torah des justes.
[29] Soit : huit enfants de trois épouses.
[30] Le sceau de la Prophétie.
[31] Coraniques.
[32] Du péché de l’Associationnisme, de la Mécréance et de l’Athéisme…
[33] Faux-pas, exodes, humiliations, emprisonnements, destruction de la Mosquée de Salomon, etc.
[34] Dont la demande territoriale au Châm, à Canaan. Prier vers Kedesha, Jérusalem et non Makkah. Prendre comme lois les lois toraniques et non les lois coraniques. Accepter la Torah et non prendre le Coran comme NOUVELLE-TORAH. Respecter le sabbat, le samedi et non prendre le vendredi comme jour saint de la semaine…
[35] Ce groupe de gens à l’époque, fait de notables religieux (rabbanim, sages, etc.) et de gens divers, sera considéré comme des apostats, des traîtres, des renégats par les autres gens de la Torah d’Arabie refusant leur conversion. Et sur eux s’abattra la Colère d’Hachem, du NOM béni (selon le jargon biblique).
[36] Les Yéhudim d’Arabie ont voulu empoisonner le sceau de la Prophétie (sur lui Prière et Paix !) à travers une femme. Ils ont voulu également profiter d’une rencontre pour le tuer. Ils s’allièrent avec les Arabes associateurs pour le combattre, combattre sa religion. Ils allèrent jusqu’à trahir le pacte qui les unissaient avec lui. La sentence divine ne se fera pas attendre les concernant : Les uns seront chassés de la Terre d’Arabie, les autres tomberont sous la peine capitale. 
[37] Impôt divin imposé aux gens de la Bible pour faire apparaître clairement à ces deux religions que la seule Religion agréée par le divin Créateur est uniquement la Soumission, l’Islam (Coran III 29, 85 ; V 3 ; VI 125 ; LXI 7). Que le divin Créateur n’est pas divisé en Trois ou en une multitude de religions qu’Il agréerait !
[38] Naguère, quand un prophète venait à son peuple il n’avait qu’un choix : croire ! S’il refusait, il serait anéanti jusqu’au dernier. Cas du peuple de ‘Ad et de Thamoûd, peuple de Cho’aib. Telle était la Loi divine ancienne. Quand vint le Coran, la loi fut assouplie pour les gens de la Bible (toranique & évangélique). Une invitation à embrasser l’Islam est lancée. Le peuple est mis alors devant un choix : 1) il accepte d’emblée l’Islam. 2) Il refuse de se convertir. Le peuple peut alors accepter de payer en contrepartie un impôt, la capitation. Il passe ainsi sous protectorat de l’État. Il peut vaquer à ses occupations journalières, fréquenter ses lieux d’adorations, parler sa langue… En contrepartie, l’État s’engage à assurer sa protection. Un statut est alors élaboré les concernant. En accordant ce statut spécial, le divin Législateur veut par là les inciter à leur conversion, note le Savant. Ainsi, un délai est accordé… pour leur propre conversion. 3) Refus des deux cas précédents. La peine capitale est alors prononcée pour les personnes masculines. Elle ne concerne pas les personnes âgées, les femmes, les enfants, les dignitaires religieux. Les personnes restantes sont réduits à l’esclavage. Telle est la Loi divine !
   A notre époque, au monde biblique (toranique & évangélique – croyants & incroyants) de crier au scandale, à l’injustice… Et aux mécréants du monde biblique de tonner de la voix et d’en profiter pour dénigrer au passage, vilipender la Religion divine et ses adeptes croyants et pratiquants !
   Pour le monde biblique dont les gens de la Torah en particulier, cette position est insoutenable car elle rejette la Bible et ses lois. Pour ces derniers, un seul Livre divin fut révélé avec des lois divines : la Torah. Lois perpétuelles jusqu’à la fin du monde… Ce qui signifie que la Révélation d’un Livre nouveau avec des lois divines nouvelles, est déclaré caduc par le monde de la Synagogue et de la Torah. Rejette l’idée que le salut du monde vient des "Yéhudim" exclusivement comme exprimé dans les Textes mis en place par les rabbanim. Rejette l’idée qu’un seul peuple est élu auprès du Créateur : le peuple de Jacob, d’Israël à l’exclusion de tout autre peuple de la planète ! Rejette l’idée que le Yéhudisme est la seule confession, religion du NOM !
   La disgrâce étant tombée réellement sur les gens de la Bible, sur les Fils d’Israël, encore une position insoutenable pour les gens de la Synagogue et de la Torah. Pourtant, le crime de leurs ancêtres a été dévoilé au grand jour par la Révélation : Censure faite par eux sur les noms du sceau de la Prophétie, ses attributs, sa mission prophétique, sa venue annoncée dans les Écritures (Coran VII 156-157 ; LXI 6). Les attributs de sa communauté (Coran XLVIII 29). Pour leur divin Créateur péché insupportable, impardonnable s’ils se repentent pas, se convertissent pas !
[39] Voir notre étude : Lire…
[40] En arabe, (مِلَّةَ) millah. Soit : la religion révélée et dictée à Avraham (sur lui la Paix !).
[41] En arabe, (خَلِيلاً) khalil.
[42] A notre époque, le Yéhudisme et ses sectes préfèrent parler plutôt de confession non de religion. Raison. Le mot « religion » n’existant pas, selon les rabbanim et grammairiens, en langue hébreue de notre temps !
[43] Araméen. Jésus, francisé biblique. Arabe coranique : ‘Is[s]a.
[44] Entendre : d’Israël. Ce qui signifie, au passage, que pour les gens de l’Évangile de l’époque, le Messie (sur lui la Paix !) était bien le sceau des Prophètes d’Israël et non pas Malachie comme le prétendent, à tort, les gens de la Synagogue et de la Torah. Point capital !
[45] Copte. Biblique, francisé : Moïse. Arabe coranique : Moussa.
[46] Ou les dualistes. Religion de la Perse ancienne.
[47] Lesquels, bien qu’ils croyaient en Dieu, n’hésitaient pas à lui donner des Associés, des Semblables dans Sa royauté !
[48] Ce genre de langage se retrouve jusqu’à nos jours. Les gens de la Torah essaient, comme les gens de l’Évangile, de faire jouer auprès des peuples et des gens de l’Islam leur ancienneté : Au point de vue peuple, communauté religieuse, Livres révélés, la Bible. C’est oublier bien vite que le monde arabe existait bien avant les Fils d’Israël. Qu’Ismaël était prophète auprès de son peuple bien avant les Fils d’Israël… Et à eux de rejeter tout cela, de nier l’évidence ! Enfin, c’est refuser de reconnaître officiellement de leur part que le Prophète Ahmad est le sceau de la Prophétie (sur lui Prière et Paix !), le Coran, le sceau des Livres divins !
[49] Entendre : (المسلمون), mouslimoûn. Gens de l’Islam.
[50] Soit : le Coran.
[51] Coran XXI 68-69. Fait connu du monde de la Synagogue et de la Torah. Inconnu par les gens de l’Évangile. Parfois récit tourné en dérision par eux, compris pour un récit légendaire des rabbanim...
[52] Récit mentionné dans la Tradition, commentaires…
[53] Coran II 258.
[54] A la lumière du Coran, nous voyons que les "morceaux" mis sur les monts, serviront à Avraham pour qu’il découvre comment son Seigneur ressuscite les morts, comment ce miracle se passera au Jour des Comptes. Et aucun des "morceaux" comprendra de la chair animal comme signifié dans le texte toranique. Donc aucune demande territoriale sera faite, exprimée, revendiquée par le prophète Avraham (sur lui la Paix !) avec ce miracle de la Résurrection des morts, ici des oiseaux. Lesquels, au passage, ne représente en rien ce que les rabbanim ont osé interpréter à leur manière.
   Crime contre l’humanité. Ceux qui ont osé falsifier l’Histoire sainte d’Avraham (sur lui la Paix !) porte une lourde responsabilité et devront se justifier le Jour des Comptes ! Et quelle place de tels individus peuvent-ils espérer dans l’Au-delà de la part de leur Seigneur ?
[55] Guerre restant à élucider, prouver. Les contractions existantes prouvent là encore une falsification de texte. Et Dieu est plus Savant !
[56] Où le Saint NOM. Pour appuyer leurs demandes et revendications, le monde toranique n’hésite un instant à impliquer leur Créateur, leurs Prophètes, leurs Écritures dans leurs mensonges et falsifications. Comme ci-joint !
[57] Amalgame de textes et de récits concernant le prophète Avraham (sur lui la Paix !). Toutefois, et comme le signale le texte coranique (Coran I 124), les rabbanim font poser la question à Avraham : Et ceux qui pèchent parmi ma descendance, les miens ? Une peur règne donc parmi le monde biblique.
[58] Écrire : “Dieu” en entier, même en une langue autre que l’hébreu, est jugé comme indécent dans certaines sectes du Yéhudisme. On préfère l’emploi de diminutif ainsi que pour le Tétragramme, les noms divins du Créateur...
[59] Notons que dans les prophéties bibliques : la terre de Canaan, la Terre sainte, l’Esplanade des Mosquées doivent en hériter les Fils d’Ismaël, les Fils de l’Islam jusqu’à la fin du monde.
   A toute époque, le monde biblique (toranique & évangélique) tenteront de changer la donne, de changer le cour de l’Histoire sainte, de leur propre Histoire sainte en leur faveur. Aller à l’encontre du plan et décrets divins. Exemples : Les Croisades, exemple des Yéhudim en Terre sainte à notre époque depuis 1948. Qu’ils sachent tous que s’ils complotent, leur Créateur et Seigneur est le meilleur des comploteurs pour rendre vain leur complot et espoir dans cette partie du monde ! Et pour parler leur langage : Qu’ils se gardent de tenter leur Seigneur, de Le provoquer ! Qu’ils se rappellent et méditent tous de l’Histoire de Pharaon ! Qu’est devenue sa royauté, lui-même ? A quoi sa « politique » l’a-t-il mené ? Il fondait beaucoup d’espoirs mais… en allant à l’encontre du plan et du décret divins. Résultat ? Il fut, lui et son peuple, du nombre des perdants ! Leur force, leur richesse, leur pouvoir, leur armée et armement, la « politique » de Pharaon, tout cela fut cause de leur perte…
[60] Devant des milliers de gens présents des Fils d’Israël. Après l’adoration du veau de Mikha, à savoir : la foi obligatoire en Ahmad, le sceau de la Prophétie (sur lui Prière et Paix !) (Coran VII 156-157) lorsqu’il apparaîtra. Alliance, pacte renouvelé par le sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) quelques siècles plus tard (Coran LXI 6). Rappeler cela aux intéressés ne fait que croître en leurs coeurs, pour bon nombre d’entre eux, que colère, exaspération, rébellion et mécréance... Pourtant !
[61] Un danger constant pour eux s’ils n’obtempèrent pas ! Un danger dans ce monde et dans l’Autre !
   L’épée de Damoclès. Avoir une épée de Damoclès au-dessus de la tête.
   On a dit : Denys, tyran de Syracuse, vivait dans un château cerné d’une fosse et sans cesse sous la surveillance de nombreux gardes. Denys, qui était toujours inquiet, se trouva des courtisans qui devaient le flatter et le rassurer. Parmi eux, Damoclès, roi des orfèvres, ne cessait de flatter son maître sur la chance qu’il avait d’être le tyran de Syracuse. Agacé, celui-ci lui proposa de prendre sa place le temps d’une journée. Au milieu du festin, Damoclès leva la tête et s’aperçut qu’une épée était suspendue au-dessus de lui, et n’était retenue que par un crin de cheval. C’est pourquoi depuis le 19ème siècle, on parle d’une "épée de Damoclès" pour décrire une situation particulièrement dangereuse ou pénible. (linternaute.com).



Coq Gaulois doré


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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