Histoire sainte toranique, biblique.

HISTOIRE SAINTE, HISTOIRE DES NATIONS DISPARUES. 

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU, Allaha
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Les nations aujourd'hui disparues : Les Amalécites (العماليق).
Leur rapport avec le Prophète Abraham et les Prophètes de la Torah :
De Mochè au sceau des Prophètes d'Israël,
Le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !).
Amalek (עֲמָלֵק), l'homme mythique et insurrectionnel des rabbanim.


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

    Suite page 2

   Avraham version toranique (suite).

    Quand les gens de la Synagogue et de la Torah nous font connaître Avraham dans la Torah, livre de la Genèse, il a déjà 75 ans, mais n’est pas porté à notre connaissance ce qu’il faisait comme enfant et après cela jusqu’à cet âge avancé.
   C’est pour cela qu’on nous dit notamment : L’histoire d’Abraham commence lorsque D.ieu lui parle pour la première fois. Cela signifie qu’Abraham a passé toute sa vie sans prophétie, sans aucune sorte de confirmation venue du dehors l’assurant que son intuition du monothéisme était correcte, et cela nous apprend beaucoup sur le dévouement d’Abraham à la vérité. (lamed.fr).

   Le Rabbin Ken Spiro d’écrire le concernant :

Dans un monde entièrement païen[5], Abraham a choisi de voir la réalité d’un Dieu unique et de se consacrer à la mission au besoin, au péril de sa vie  de présenter cette réalité à la conscience humaine. Il a fait cela non pas parce que D.ieu a besoin que les gens meurent pour Lui, mais parce que c’est une réalité[6].
Lorsqu’un homme dialogue régulièrement avec D.ieu, il n’a pas de difficulté à vivre dans cette réalité, mais il doit déployer de grands efforts pour qu’elle s’accorde avec sa propre conviction. Cela nous donne une petite indication de la grandeur du personnage qu’a été Abraham et de son immense idéalisme. Cela ne lui a rien fait de se tenir « de l’autre côté », et c’est ce que veut dire le mot ‘ivri (« Hébreu »).
Voilà pourquoi j’ai appelé Abraham le « proto-Juif ». C’est depuis Abraham que nous voyons cet idéalisme cette tendance intransigeante à vouloir « changer le monde » dans la personnalité juive[7].
Abraham a transmis cette tendance à ses descendants[8], et ceux-ci ont été au premier rang de presque toutes les avancées majeures, les grandes causes et les mouvements sociaux de l’histoire mondiale. Les Juifs ont non seulement reçu un nombre de prix Nobel[9] sans rapport avec leur importance numérique, mais ils ont été à la tête de mouvements comme le communisme, le socialisme, le féminisme, les droits civils, les syndicats de travailleurs, etc. Voici ce qu’écrit à leur sujet l’historien non juif Ernest Van den Haag :
Si on leur demandait de dresser la liste des hommes qui ont le plus dominé les courants de pensée du monde moderne, beaucoup de personnes éduquées nommeraient Freud, Einstein, Marx et Darwin. De ces quatre, seul Darwin n’était pas juif. Dans un monde où les Juifs ne représentent qu’une partie infime de la population, quel peut bien être le secret de leur importance démesurée dans l’histoire de la culture occidentale[10] ? (Ernest Van den Haag, The Jewish Mystique).

    Version coranique.

   Elle diffère. L’histoire d’Abraham commence avec le roi en place : Nemrod. Lorsqu’il l’invitera, lui et son peuple, à la reconnaissance et l’adoration du divin Créateur. Exacerbé par son attitude envers leurs idoles, lui et son peuple, voudront le brûler sur un énorme bûcher… lequel toutefois ne lui causera aucun dommage de la part de son Seigneur. En effet, nous savons tous que l’élément « feu » peut avoir une action positive ou négative, une action dévastatrice. Positive quand on se sert de lui pour faire la cuisine, se chauffer. Dévastatrice quand il ravage les forêts et brûle tout ce qu’il y a devant lui… Brûle les gens lors d’incendie, etc.
   A l’époque, partie des gens de cette contrée, gens du monde du Dualisme, adorent le Feu dit sacré. C’est-à-dire croit dur comme fer qu’il existe en lui un pouvoir indépendant du divin Créateur. Mais en jetant Avraham dans le feu, ils ne s’attendaient pas qu’il en ressorte vivant, indemne ! Car le Maître de cet élément n’est-ce pas le divin Créateur ? Et quelque soit son action, il ne peut agir qu’avec l’aval, le commandement de son Créateur. Rien ne Lui échappe[11] ! Ainsi, il devint, pour Avraham, “fraîcheur et paix” comme mentionné dans le Texte sacré[12] !
   En vérité, l’idéal et la pensée d’Avraham était de changer la donne à l’époque, « changer son père, son peuple et son roi ». Seul un nombre limité d’individus le suivra. Plus tard, il demandera à son Seigneur de lui montrer comment Il ressuscite les morts[13].
   Toute la vie d’Avraham se passera dans le foi au Dieu Unique : comment l’adorer et le servir. En clair, rien à voir avec la conception des gens de la Synagogue et de la Torah comme décrit ci-joint, gens de l’Évangile également.
   Pour le Croyant soumis, le prophète Avraham (sur lui la Paix !) reste un exemple par excellence à suivre[14] en paroles, actions, comportement. Et lui-même a délégué à chaque Croyant soumis de le suivre, de lui ressembler, de le représenter auprès de tous les Fils d’Adam sans exception. Il a mené sa mission dans son pays, sa terre natale, au péril de sa vie. Voyant qu’aucune personne de son peuple répondait à son appel, il quittera[15] sa terre natale vers une autre terre, vers d’autres cieux et horizons. Il voudra, certes, « changer le monde » mais uniquement dans la personnalité soumise, à l’image de ce qu’il était lui-même par rapport à son Créateur : un être soumis à Lui[16]. Sa religion et celle de ses huit garçons sera la même qu’Adam et Noé[17] : la Soumission ; non jamais une des religions bibliques comme mentionné dans le Texte sacré. Avraham a transmis cette religion, cette tendance, cette croyance à ses descendants et ceux-ci de s’y appliquer selon leur possibilité[18].

On a dit :
 
وقال ٱبن عباس: قال رؤساء اليهود: والله يا محمد لقد علمت أنا أولى الناس بدين إبراهيم منك ومن غيرك، فإنه كان يهودياً وما بك إلا الحسد؛ فأنزل الله تعالى هذه الآية. * تفسير الجامع لاحكام القرآن/ القرطبي.
 
   Le fils d’Abbas a dit : Les chefs des Yéhudim dirent : Par Dieu, ô Mohammad ! Tu as appris que nous sommes plus en droit des gens d’être de la religion d’Abraham, que toi et d’autres que toi ! Il était un yéhudi, et de toi rien d’autre que la jalousie (d’en être jaloux) ! Dieu fit alors descendre ce verset (Coran III 68). (Qortobi).

   Avraham yéhudi ? Quelle religion se réclamait-il, appelait-il en son temps ?

    Jacob ben Isaac d’écrire : Et les âmes qu’ils ont faites à Haran (Gen. 12 :5). A Haran, Abraham rassembla beaucoup de biens, et des serviteurs qu’il emmena avec lui. Il aurait dû d’abord choisir une ville où demeurer et ne pas tout emporter ainsi. Mais Abraham s’abandonnait à la volonté de Dieu qui devait lui donner un bon pays. Il partit donc aussitôt accompagné par toute sa famille en emportant la totalité de ses biens. L’explication de « ce qu’ils ont faites à Haran » est la suivante : Abraham convertit au judaïsme les hommes et Sarah convertit les femmes[19], puis ils les emmenèrent avec eux[20]. Isaac agit de la même façon comme le dit le verset : « Jacob demeure en terre des résidences de son père », ce qui signifie que Jacob s’installa dans le pays où son père Isaac avait convertit ses voisins[21]. Jacob fit de même, comme le dit le verset : « Jacob dit à sa maison, à tout ce qui est avec lui ; chassez les Elohim[22] étrangers qui sont en votre sein[23] », ce qui signifie : finissez-en avec l’idolâtrie…[24] (op. cit.).
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
   A la lumière du Coran, on voit que tout cela est foutaise, un mensonge de plus à mettre sur le compte des rabbanim ! Le Yéhudisme est une innovation de la Soumission non jamais la Religion divine elle-même du saint NOM. De plus et surtout, ce terme n’apparaîtra qu’après la révélation de la Torah au Sinaï. Ceci certaines personnes de la Synagogue et de la Torah l’acceptent, d’autres non. Et aux ergoteurs, le Seigneur des Patriarches d’y répondre et d’y apporter un formel démenti[25].

   La vision du monde par le monde biblique lui-même, toranique entre autre. Une vision biaisée. Leur amour sans borne pour ce bas monde.

   Cette une vision biaisée, note le Savant. Et la pire des choses, note encore le Savant, c’est d’y assimiler un homme prophète comme Avraham (sur lui la Paix !) comme signifié :
   "Abraham a transmis cette tendance à ses descendants, et ceux-ci ont été au premier rang de presque toutes les avancées majeures, les grandes causes et les mouvements sociaux de l’histoire mondiale. Les Juifs ont non seulement reçu un nombre de prix Nobel sans rapport avec leur importance numérique, mais ils ont été à la tête de mouvements comme le communisme, le socialisme, le féminisme, les droits civils, les syndicats de travailleurs, etc."
   En parlant ainsi, n’est-ce pas porter atteinte à l’intégralité, le respect, la dignité d’un prophète comme Avraham (sur lui la Paix !) ? Nous savons tous que le grand péché du monde de la Synagogue et de la Torah c’est l’amour insatiable qu’il porte pour ce bas monde et ce qu’il contient[26]. C’est le reproche fait notamment à leurs ancêtres par de nombreux de leurs prophètes dont le sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !). Et c’est justement cet amour insatiable qui le poussera à donner au divin Créateur des Associés, des Semblables, des Égaux, à tomber dans l’Associationnisme, note le Savant. Exemple avec un métal précieux comme l’or, et à Mikha[27] de les faire chuter de haut[28] ! Autre grand péché de la part de leurs ancêtres : D’avoir mécru aux signes et miracles divins[29], d’avoir donné foi à la Magie[30] !

   L’illusion du monde biblique, toranique.

   Le monde de la Synagogue et de la Torah vit dans un monde d’illusions dévastatrices pour lui et ses affidés, aussi est-il un monde d’inconscients et d’insouciants, d'ignorants, note l’observateur. Nous savons tous que ce monde est tombé en disgrâce depuis qu’il a fait faux bond, a été infidèle aux Alliances passées avec le divin Créateur[31] ! Bien qu’il s’en défende, nie l’évidence ! Loin de la foi véritable et de la vérité, le monde et ce qu’il contient se voit donc ouvert à lui, l’Au-delà inaccessible, fermé. C’est pour cela que ses membres se donnent corps et âme pour ce bas monde et ce qu’il contient. Et pour lui la recherche de titres, de places, de prix en tout genre, de gratifications… Et combien le prophète Avraham (sur lui la Paix !) est au-dessus de tout cela ! A lui, au contraire, la recherche de l’Au-delà et de la proximité et l’agrément de son Seigneur. D’avoir une place, un rang élevé auprès de Lui ! Rien de commun avec ce que prétend tendre et défendre le Yéhudisme et ses adeptes. Entre « aimer » ce bas monde et l’Au-delà, il faut nécessairement faire un choix. Et dans ce domaine, il semble que le monde de la Synagogue et de la Torah a fait un choix qui va à l’encontre de ce que veut (voulait) leur divin Créateur, Ses prophètes et messagers.
   Parmi les paroles du sceau des Prophètes d’Israël, le Messie (sur eux la Paix !) à ses suivants, on cite :
   « En vérité je vous le dis, vous désirez ni ce monde ni le prochain. » Ils dirent : « Prophète de Dieu, explique-nous cette question, car nous pensions que nous aimions l’un des deux. » Il dit : « Si vous aviez désiré ce monde, vous auriez obéi au Seigneur du monde, qui tient les clés de ses trésors dans Ses mains. Si vous aviez désiré l’autre monde, vous auriez obéi au Seigneur qui le possède, et Il vous l’aurait donné. Mais vous ne voulez ni l’un ni l’autre[32]. »
   De même : Les Fils d’Israël critiquaient Ichoua’[33] pour sa pauvreté. Il leur dit : « Misérables que vous êtes, vous avez été égarés par les riches. Avez-vous déjà vu quelqu’un qui désobéisse à Dieu en recherchant la pauvreté ? » (op. cit.)
   Aussi : Ichoua’ a dit : « Satan accompagne le monde. Sa tromperie accompagne la richesse. Son pouvoir de séduction accompagne le caprice. Son pouvoir suprême accompagne les appétits. » (op. cit.).
   Nous savons tous que les Fils d’Israël n’ont jamais accordé une valeur quelconque à ce genre de paroles du sceau des Prophètes d’Israël (sur eux la Paix !). Au contraire, à eux de les prendre en aversion, de les écarter de leurs écrits. Se démarquer du monde, s’en éloigner le plus possible… ne faisant pas partie de leurs habitudes au quotidien, note l’observateur, et ceci depuis des lustres. D’où les critiques sévères de leurs opposants à leur encontre. Au fil des siècles n’ont-ils pas rejoints des gens comme Mikha, Coré ? Ainsi, la soif de ce bas monde et ce qu’il contient les perdra dans ce monde et dans l’Autre, note le Savant. Quant aux gens de l’Évangile, ils se sont laissés entraîner, envoûter par les paroles mielleuses des gens de la Torah de nos jours, note encore l’observateur. Le renoncement comme leurs ancêtres le vivaient n’étant plus leur viatique, leur pain quotidien ! Ainsi, la course pour l’ici-bas et ce qu’il contient a bel et bien commencé pour le monde biblique (toranique & évangélique), note l’observateur[34].

   Causes. Prétentions du monde biblique, toranique.

    A entendre et à en lire, et comme dit de ce monde : "et ceux-ci ont été au premier rang de presque toutes les avancées majeures, les grandes causes et les mouvements sociaux de l’histoire mondiale. Les Juifs ont non seulement reçu un nombre de prix Nobel sans rapport avec leur importance numérique, mais ils ont été à la tête de mouvements comme le communisme, le socialisme, le féminisme, les droits civils, les syndicats de travailleurs, etc."
   Peut-être mais à quel prix ? Leur Émancipation voulue[35] a fait des ravages parmi eux et ceux qui se sont joints à eux[36]. La plupart de leurs idéologies dont ils se réclament, aiment se réclamer ; ont pour base la Mécréance, c’est-à-dire d’être des damnés au jour des Comptes ! Exemples avec ce qu’on cite : le communisme, le socialisme, le féminisme, les droits civils, les syndicats de travailleurs, etc. Dans ce genre de milieu est-on en son début et en final croyant ou théophobe, croyant ou antithéiste, croyant ou athée, croyant ou mécréant, croyant ou sans religion, croyant ou anticlérical, croyant ou libre penseur,  etc. ? Remerciant des bienfaits divins accordés ? Pratiquant de son culte ? Secundo : citer des gens comme Freud, Einstein, Marx et Darwin[37] apporte quoi comme bienfaits à l’humanité ? Max[38], par exemple, a combien de mort, lui et son idéologie, à son actif, sur sa conscience[39] ? De plus, sera-t-il parmi les élus ou les damnés au jour des Comptes[40] ? Et qu’est devenue son idéologie ? Son emprise sur le monde ? Troisièmement : Comme nous savons tous, le divin Créateur a lié les bonnes actions du Fils d’Adam à la foi[41]. La foi sans les œuvres, les bonnes actions, est nulle auprès du divin Créateur et inversement les œuvres, les bonnes actions sans la foi sont déclarées nulles[42]. Ceci le monde biblique (toranique & évangélique) de le mésestimer, de ne pas le prendre en considération[43]. A les entendre et à en lire, leur monde respectif des croyants et des incroyants finiront tous à entrer au Paradis !? Quatrièmement : Ceci expliquant en partie cela : Même son de chofar pour Avraham (sur lui la Paix !). Étant de leur sang, de leur confession selon leur prétention, croyant et incroyant finiront tous au Paradis[44] ! C’est peut-être oublier un peu trop vite la demande qu’il fit à son Seigneur et concernant justement sa descendance[45] (Coran II 124). L’affiliation génétique permettrait-elle d’entrer sans encombres au Paradis ? Le monde toranique le croit dur comme fer, mais ce n’est que pure illusion, fantasmes, note le Savant. Cinquièmement : Le monde et ce qu’il contient a été créé pour nous et nous pour l’Au-delà, note encore le Savant ! Ceci le monde toranique ne semble pas le croire sincèrement. Bon nombre de gens d’entre eux ne croit pas réellement et sincèrement en la Résurrection, pas plus qu’à une rencontre réelle avec leur divin Créateur. Ils désespèrent des gens des tombeaux[46] ! D’où leur appel de pied pour qu’on les suive[47] ! Sixièmement : Pour l’Islam traditionnel, le monde de la Torah reste un monde insoumis à leur Créateur et Seigneur. D’où les termes familiers dans leur langage courant et journalier, leur jargon politique, comme : révolution[48], révolutionnaire, révolte, murmures, gens à la nuque raide, etc. Dans leur Histoire sainte, comment ont-ils agi auprès de leur Créateur et Seigneur ? Auprès de Ses envoyés, prophètes et messagers ? Ont-ils obtempérés aux ordres divins et suivis leurs Prophètes[49] ? Qu’on relise bien l’Histoire sainte des Fils d’Israël ! Secundo : Dans le monde et en terres bibliques d’Europe, le monde de la Synagogue et de la Torah n’est-il considéré, par ses propres adversaires et opposants, comme étant derrière toute révolte, toute révolution, tout renversement de pouvoirs en place, scandales, désastres économiques et autres, perversion, prévarication, turpitudes, la source de tous les maux, etc. ? Est-il aimé ou mal aimé par les Fils d’Adam n’étant pas de leur confession, de leur religion ? Septièmement : Tombé en disgrâce et désuétude auprès de leur Créateur, le monde toranique, et concernant le côté religieux ; n’a aucun rôle à jouer dans l’humanité et ceci contrairement à leur prétention. Leur rôle[50] s’est arrêté à tout jamais avec la Révélation du Coran, la sortie du sceau de la Prophétie comme annoncé dans leurs Écritures, leurs Prophéties. N’en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux opposants et adversaires de la Religion divine : la Soumission ! (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Associateur est plus adéquat.
[6] Mourir pour la Religion divine n’a jamais été dans l’optique des Fils d’Israël, des Yéhudim… La guerre sainte, pour eux, c’est pas leur idéal, leur souci... Exemple avec leurs aïeux : Pour entrer en Terre sainte, il fallait combattre les Amalécites ;  ce qu’ils refusèrent de faire (Coran V 20-26). Alors la sanction fut terrible de la part de leur Seigneur. Pour combattre pour le faux (la Mécréance et l’Athéisme, la philosophie et l’idéologie athées et mécréantes, la Magie, le Partissisme, la Dictature, etc.), ce n’est pas la même chose, ils sont prêts, note l’observateur. Exemple : En Terre sainte et Palestine de nos jours, note encore l’observateur ! Et dans pareil cas, ils sont prêts à mettre à feu et à sang la Terre sainte, Canaan, le Châm ; et tout cela au nom du faux sous couvert du saint NOM !?
[7] Abraham était un fils d’Adam, un descendant de Sem, mais nullement un homme de confession yéhudie comme voudrait nous le faire croire et entendre le monde de la Synagogue et de la Torah (V. Coran III 67, etc.). Il ne prêcha nullement le Yéhudisme à ses huit garçons, à sa descendance : enfants, petits enfants, etc.
[8] Non jamais. Il n’était pas un adorateur de ce bas-monde comme le sont les gens du Yéhudisme (Coran II 96). Son seul souci était d’amener les gens à la foi, à l’adoration du Créateur, à Lui obéir, à être gens du Paradis. A notre époque, demande le Savant, est-ce le souci premier du monde de la Synagogue et de la Torah vis-à-vis des Fils d’Adam n’étant pas de leur confession ? Ou est-ce le souci de les déchristianiser ou de les désislamiser, d’en faire des associateurs, des gens du Feu infernal ? Là est tout le problème, note le Savant ! Nous avons vu que selon le monde toranique : Mohammad évoque « la » religion d’Abraham. Il semble ignorer que selon la tradition juive, le Patriarche en enseigna deux : une à tous les peuples et une autre plus étendue, à son fils Isaac. (Une lecture juive du Coran. Haï Bar-Zeev). A entendre : la religion de Noé ne serait pas la même que tous les Prophètes du divin Créateur !? Où va-t-on ?
[9] Ce qu’ils raffolent, note l’observateur. Avoir une place élevé auprès des Fils d’Adam non auprès de leur Créateur et Seigneur.
[10] Aucun secret puisque leur Seigneur a ouvert pour eux les portes de ce bas monde et fermé les portes de l’Au-delà, comme dit. Ce qui fait que ce bas monde est à leur disposition…
[11] Il maîtrise la situation et l’a sous son commandement.
[12] Coran XXI 69.
[13] V. Coran II 260. Fait inconnu de la Torah.
[14] Coran LX 4 ; XXXIII 21.
[15] Un choix de sa part, nullement un Ordre divin comme exprimé dans la Torah (Gen. 12 1). Nuance notoire !
[16] V. Coran II 131.
[17] V. Coran III 33 ; IV 163 ; VI 84 ; XXXIII 7 ; XLII 13.
[18] Exemple avec Joseph fils de Jacob (Coran XII 37-38).
[19] Rachi commente aussi : « Abraham convertissait les hommes, et Sarah les femmes » (Gn 12, 5). On a dit :
   Le Sifrè s'exprime ainsi à propos de l'enseignement d'Abraham :
   "Avant qu'Abraham, notre père, ne vint au monde, le Saint béni soit-Il ne régnait que sur les cieux tel qu'il est dit :
   "L'Ét'ernel, le D'ieu des cieux, qui m'a retiré de la maison de mon père..." Mais vint Abraham, notre père, et le fit régner sur les cieux et la terre, comme il est dit :
   "Je t'adjure par l'Ét'ernel, D'ieu du ciel et de la terre."
   Le Sifrè met l'accent sur le fait que si les hommes contestaient la divinité de D'ieu sur terre en accordant aux astres, aux luminaires et aux forces naturelles un pouvoir divin, ceux-ci, en revanche, reconnaissaient bien volontiers l'autorité de D'ieu. Le soleil et la lune obéissaient aux ordres divins. Incontestablement, D'ieu régnait sur les cieux.
   Mais, avec Abraham, le monde des hommes apprit peu à peu à connaître D'ieu et à L'accepter en tant que Maître du monde.
   Le Yalqout Chimôni, citant le texte :
   "Abraham prit Saraï, son épouse, Lote, fils de son frère, et tous les biens, les âmes qu'ils avaient faites à Harane...", souligne :
   "Si toutes les nations du monde s'unissaient pour créer, ne serait-ce qu'un moustique et lui insuffler une âme, elles n'y arriveraient point et tu dis pourtant "toutes les âmes qu'ils avaient faites à Harane ?" Il s'agit néanmoins de prosélytes ! Si tel est le cas, pourquoi le texte dit "les âmes qu'ils avaient faites" ? C'est pour t'enseigner quiconque ramène un idolâtre [à D'ieu] est considéré comme s'il l'avait créé. Cependant, pourquoi n'a-t-on pas dit "qu'il a faites" au lieu de "qu'ils ont faites" ? Rav Houna répond : Abraham ramenait les hommes et Sara, les femmes."
   Ainsi, la mission d'Abraham et de Sara fut de procéder au redressement moral et religieux de l'humanité. À ce titre, Abraham méritait d'être associé au Créateur. Car ramener un idolâtre à D'ieu, c'est l'aider à découvrir sa véritable essence. (netiv-david.com)
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[20] Gen.R. 40.14.
[21] Gen. 37:1. Megurei, demeurer et ger, converti, voir ARNA 12, ARNB 26, Gen.R. 39.14.
[22] Dieux.
[23] Gen. 35:2.
[24] Cette idolâtrie ne les quittera pas après leur sortie d’Égypte, ils voudront déjà adorer des dieux à côté de leur Seigneur (Coran VII 138). Puis, au Sinaï, les Fils d’Israël, en l’absence de Mochè, adoreront le veau en métal précieux de Mikha. Puis, à leur retour de Babel, ils prendront ‘Ozair (Esdras) comme fils de leur Seigneur (Coran IX 30). Puis, le fils de Marie et iront jusqu’à adorer leur Seigneur mais en lui (Coran V 72) !
[25] V. Coran II 132 ; III 68, etc.
[26] V. Coran II 96. Lire… ; Lire…
[27] Arabe coranique, Samiry.
[28] Et non Aaron le frère de Mochè comme dit dans la Torah entre leurs mains.
[29] Coran IV 155 et sv.
[30] Coran II 102.
[31] Surtout du fait qu’il a censuré de la Torah le sceau de la Prophétie, le Prophète Ahmad (sur lui Prière et Paix !), sa description, ses attributs, les attributs de sa communauté. Qu’il a refusé de croire en lui, de le reconnaître, de le suivre comme demandé expressément au Sinaï, à leurs lointains ancêtres (Coran VII 156-157) ! Puis renouvelé par le sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) (Coran LXI 6).
[32] Ahmad fils d’Hanbal, Le livre de l’Ascétisme (alzouhd).
[33] Biblique, francisé, Jésus.
[34] Dans « Paris, capitale des religions » : […] Le Judaïsme croit à l’immense valeur de la vie terrestre, et, par conséquent, au Salut terrestre, au Royaume de Dieu sur Terre.
   Le Christianisme, au contraire, croit à l’insondable néant de la vie terrestre, et, par conséquent, se rejette vers le Salut céleste, ou Royaume de Dieu dans le Ciel. (Op. cit.).
   De même : Certes, je le répète, je sais bien qu’après la haute époque du Judaïsme mosaïste, la Vie future s’introduit plus ou moins dans Les Trois Judaïsmes ultérieures, le Judaïsme alexandrin, le Judaïsme médiéval, le Judaïsme moderne.
   Mais elle a beau apparaître dans le Talmud, ou dans la Cabbale, elle a beau apparaître dans Mendelsshon et dans son nouveau Phédéon : pour les Chrétiens, le Judaïsme consiste essentiellement dans le Mosaïsme.
   Et il est vrai que, dans le Mosaïsme, la Vie future brille par son absence, quoi qu’en puissent penser et dire d’ingénieux et fervents exégètes, tels que, par exemple, M. le commandant Lipman, dans son récent livre, […], et qui est intitulé : La loi de Moïse, commentée par un croyant du XX° siècle. (Op. cit.).
[35] En terres évangéliques d’Europe notamment. Cette émancipation permettra entre autre de les faire entrer de plein pied dans la vie active dont le (la) politique. Ayant donné foi à la Magie, ils sont donc subjugués par le (la) politique, l’esprit de domination à l’instar de Pharaon.
[36] Le Sécularisme et le Laïcisme en ont fait des gens de l’Athéisme, de la Mécréance et de l’Agnosticisme, de la Théophobie, de l’Antithéisme, de l’Idéologie athée, etc.
[37] Pour les opposants au Yéhudisme, ce personnage sert toutefois leurs intérêts même s’il n’est pas du Yéhudisme. N’égare-t-il pas les Fils d’Adam loin de la foi, du sentier de Dieu avec ses croyances et son enseignement satanique ? Au jour des Comptes, il sera questionné sur ce qu’il a fait et dit. De même ses partisans et ses suivants. L’Émancipation des scientifiques en a fait au fil des siècles de dangereux prédateurs, sorciers, note l’observateur. Exemple : l’atome. Combien de morts au Japon ? Et ceux qui commirent cet acte odieux ont-ils été jugés ? Et l'aviateur qui déposera cette bombe au-dessus de la tête de ces gens, sera-t-il un élu du Paradis ou un damné du Feu infernal pour l'Éternité de l'Éternité ? Et comment prétendre après cela que l'Évangile est le vrai Livre saint des gens de l'Évangile ? Où est l'enseignement du Messie, l'humanisme ? Les gens de l'Évangile de langue anglaise d'être de piètres gens, note l'observateur !
[38] On a dit : Maurice Murrey, juif. Ce Juif de France a écrit dans son livre « L’Esprit juif » les propos suivants : « Par le sang et par la tradition Karl Marx appartient corps et âme au Judaïsme. Karl Marx et Rothschild représentent les deux extrêmes, mais comme on le dit souvent, « les extrêmes se touchent ».
Marx et Rothschild personnifient tous deux l’idéal juif élevé à sa plus haute puissance. Plus les masses s’éloignent du Christianisme, plus elles deviennent juives et cela visiblement. L’idéalisme régénérateur juif prépare peut être pour le XXème siècle une révolution désastreuse. Chaque manifestation intense de l’idéalisme proprement juif en Europe a coïncidé avec des soulèvements, des meurtres et des rébellions. »
[39] En jargon politique, dit-on, deux esprits les animent : le nationalisme et le socialisme. Deux idéologies athées qui, contrairement à l’idée reçue, ne leur apportera rien dans ce monde et dans l’Autre. Sinon que mépris de la plupart des Fils d’Adam et leur perte dans l’Au-delà. Ces deux idéologies ont dévastées, naguère, l’Europe biblique d’est en ouest. Elles ont en aucun cas apporté le bonheur de leur propagande réciproque. Et à Lucifer d’être en transe !
   Et que devient l’Europe biblique de nos jours ? Et vers quoi le monde biblique de langue anglaise, par exemple, le conduit-il de nos jours ? Nous savons tous que les gens de l’Est et de l’Ouest de l’Europe se réclament tous de la Bible. Pourtant, il n’existe aucune fraternité entre eux ! Tous ont en leurs mains des armes destructives comme la bombe nucléaire avec laquelle ils se menacent mutuellement et journellement. Où est donc cette fraternité qu’ils prétendent entre eux ? Ne prétendent-ils pas suivre et être gens de la Religion véritable ? Dans ce cas, est-ce leur religion qui leur ordonne d’agir ainsi, de se faire peur réciproquement, de se faire mal, de se terroriser et terroriser les nations du monde n’étant pas de leurs confessions ? Où est-ce Lucifer le maudit ? Le sécularisme et le laïcisme menaceraient-ils, eux aussi, la paix mondiale ? Qu’on regarde son passé et voir quoi ils appellent de nos jours ! Et personne n’est dupe de leur supercherie, note l’observateur !
[40] Quelle réponse peut apporter à cela le monde de la Synagogue et de la Torah ? Leurs défenseurs, affidés, fans, sympathisants, partisans… ?
[41] Coran CIII.
[42] Tout fils d’Adam qui fait une bonne action sans croire, en reçoit la récompense en ce bas monde. Et rien pour lui dans l’Au-delà, il reste un damné.
[43] Généralement, la secte et le monde du Protestantisme considère le monde de l’islam comme un monde de damnés pour l’Éternité de l’Éternité, du Feu infernal. Bien que croyant à un seul dieu, leurs œuvres, toujours selon lui, leurs serviront à rien !
[44] Voir ce que disaient les gens du Yéhudisme lors de la Révélation : Coran II 80.
   On a dit : Le Judaïsme enseigne qu’il y a une géhenne, qui est identifiée à la fosse en flammes dont il est question en Is 30, 33, et un lieu de bénédiction, le Gan Eden (Jardin des Délices), et c’est tout. Il est dit que les méchants, sauf cas exceptionnels, passent douze mois dans la géhenne, après quoi ils entrent au Gan Eden pour y goûter en compagnie des justes, selon le mot d’un rabbin, la splendeur de la Shekhinah (Présence divine) et la vie éternelle. Il ne s’agit pas d’une existence inactive. Commencée dans cette vie, la coopération avec Dieu pour Son dessein dépasse, dans la pensée juive, la vie terrestre. Même après que l’individu s’est dépouillé de son apparence périssable, son esprit immortel continue de progresser, accroissant le trésor de force morale qui avance la consommation du dessein éternel de Dieu. [...] Le Gan Eden n’est d’ailleurs pas réservé au seul Israël. Dans la doctrine juive, une récompense attend dans l’Au-delà les pieux des nations du monde. Le Judaïsme fait dépendre le salut de la bonne conduite et, en conséquence, toutes les nations ont part aux bénédictions de la vie future. (Epstein, pp.134-135) (morim.com).
   On constate, à la lumière du Coran, qu’après plus de 14 siècles, les croyances du Yéhudisme restent les mêmes. Pas d’évolution !
[45] Il (Dieu) dit : « Mon pacte ne touche pas les prévaricateurs. » (Coran II 124).
[46] On le voit à travers leur Histoire sainte. Exemples : 1) Avec l’Alliance entre les morceaux. Leurs ancêtres changèrent ce récit d’Abraham qui voulait connaître comment son Seigneur ressuscitait les morts. 2) Avec le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !). Avant sa venue, on nous dit qu’il existait des sectes d’entre les Fils d’Israël qui ne croyaient pas en la Résurrection, une autre vie après la Mort. Est-il venu ? La plupart des Fils d’Israël ne croira pas au miracle de la Résurrection des morts opéré par le fils de Marie ? Ils diront que ces miracles ne sont qu’œuvre de la Magie. Qu’il était lui-même un fin magicien, lui et sa mère, qu’il a abusé du Nom divin et du peuple d’Israël (Coran LXI 6) ?
[47] On a dit : Bernard Lazare, juif. Dans son livre « L’antisémitisme et ses causes » publié à Paris en 1894, l’historien juif nous dit ceci : « Animé de ce vieux matérialisme hébraïque qui rêva perpétuellement d’un paradis réalisé sur la terre et repoussa toujours la lointaine et problématique espérance d’un Eden après la mort. » (page 346)
« La philosophie du Juif fut simple. N’ayant qu’un nombre restreint d’années à lui dévolues, il voulut en jouir et ce ne furent point des plaisirs moraux qu’il demanda, mais des plaisirs matériels propres à embellir, à rendre douce son existence. Comme le paradis n’existait pas, il ne pouvait attendre de Dieu, en retour de sa fidélité, de sa piété, que des faveurs tangibles, non des promesses vagues bonnes pour des chercheurs d’au-delà, mais des réalisations formelles, se résolvant en un accroissement du bien-être. N’ayant aucun espoir de compensation future, le Juif ne pouvait se résigner au malheur de la vie ; ce n’est que fort tard qu’il put se consoler de ses maux en songeant aux béatitudes célestes. Aux fléaux qui l’atteignaient il ne répondait ni par la fatalisme musulman, ni par la résignation chrétienne mais par la révolte. » (page 307)
« Donc la conception que les Juifs se firent de la vie et de la mort fournit le premier élément à leur esprit révolutionnaire. Partant de cette idée que le bien c’est à dire le juste devait se réaliser non pas outre-tombe puisqu’outre-tombe il y a le sommeil jusqu’à la résurrection des corps, mais pendant la vie ils cherchèrent la justice et ne la trouvant jamais, perpétuellement insatiables, ils s’agitèrent pour l’obtenir. » (page 314)
« Sans la loi, sans Israël pour la pratiquer, le monde ne serait pas. Dieu le ferait entrer dans le néant et le monde ne connaîtra le bonheur que lorsqu’il sera soumis à l’empire universel de cette loi, c’est-à-dire à l’empire des Juifs. » (page 8)
« Le bonheur se réalisera par la liberté, l’égalité et la justice. Cependant si parmi les nations celle d’Israël fut la première qui pensa à ces idées, d’autres peuples à divers moments de l’Histoire, les soutinrent et ne furent pas pour cela des peuples de révoltés comme le peuple juif. Pourquoi ? Parce que si ces peuples furent convaincus de l’excellence de la justice, de l’égalité et de la liberté, ils n’en tinrent pas leur réalisation totale comme possible au moins dans ce monde, et par conséquent ne travaillèrent pas uniquement à leur avènement. Au contraire les Juifs crurent non seulement que la justice, la liberté, l’égalité pouvaient être les souveraines du monde, mais ils se crurent spécialement missionnés pour travailler à ce régime. Tous les désirs, toutes les espérances que ces trois idées faisaient naître finirent par se cristalliser autour d’une idée centrale : celle des temps messianiques, de la venue du Messie qui devait être envoyé par Yahvé pour asseoir sa puissance terrestre souveraine. » (page 322)
« Tel qu’il était avec ses dispositions, avec ses tendances, il était inévitable que le Juif jouât un rôle dans les révolutions : il l’a joué. » (page 329)
« Les Juifs furent toujours des mécontents. Je ne veux pas prétendre par là qu’ils furent simplement des frondeurs ou des opposants systématiques à tout gouvernement, mais l’état des choses ne les satisfaisaient pas. Ils étaient perpétuellement inquiets dans l’attente d’un mieux qu’ils ne trouvaient jamais réalisé. » (page 305)
« Les causes qui firent naître cette agitation qui l’entretinrent et la perpétuèrent dans l’âme de quelques Juifs modernes, ne sont pas des causes extérieures telle que la tyrannie effective d’un prince, d’un peuple, ou d’un code farouche. Ce sont des causes internes c’est à dire qui tiennent à l’essence même de l’esprit hébraïque. A l’idée que les Juifs se faisaient de Dieu, à leur conception de la vie et de la mort, il faut demander les raisons des sentiments de révolte dont ils furent animés. » (op. cit.)
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[48] L’insoumission des Fils d’Israël commencera au Sinaï lorsqu’ils abhorrèrent de manger toujours le même aliment qu’on leur servait (Coran II 61). Et au Sinaï, ils prendront comme nom nouveau : Yéhudim. Nom qui leur restera après l’adoration du veau de Mikha. Et aux rabbanim de faire de ce nom une religion : le Yéhudisme. Laquelle religion se fractionnera en 71 sectes. Elle sera une innovation de l’Islam et non l'inverse. 
[49] V. Coran II 61, 87, etc.
[50] On le voit avec ce rappel à l’ordre de leur Seigneur aux Yéhudim d’Arabie : O Fils d’Israël, rappelez-vous Mon bienfait  dont Je vous ai comblés lorsqu’en vérité Je vous donnai excellence au-dessus des mondes. (Coran II 47, 122 ; VII 140 ; XLIV 32 ; XLV 16).
   On voit que la phrase est au passé. Leur Seigneur de le leur rappeler. « Je vous donnai excellence au-dessus des mondes ». Et cette époque est maintenant passée, révolue. A l’époque de leurs ancêtres uniquement : « Je vous donnai excellence ». Après la Révélation du sceau des Écritures, le Coran, les Fils d’Israël ont vu l’arrêt d’être un ‘peuple’ à Lui, le ‘peuple élu’ selon leur jargon théologique, et en hébreu, kahal kadosh, « la communauté sainte ».
. Et ceci contrairement à l’enseignement et aux prétentions des gens de la Synagogue et de la Torah qui voudraient démentir la Parole divine…
   Tabari. Dans ce passage "Je vous ai favorisés par rapport aux mondes", l’expression "aux mondes" (alamina - العَالَـمِينَ) est au pluriel et désigne les catégories d’êtres ayant vécu à la même époque que ces anciennes générations des Fils d’Israël.
   Le père d’Aliya interprète ainsi ce passage : « Je vous ai favorisés par rapport “aux mondes” par le royaume (الـملك), les Messagers (الرسل) et les Livres (الكتب) que Je vous ai donnés en ce temps-là, et qui n’ont pas été donnés aux autres hommes de ces époques. Et à chaque époque est (sera) une formation “de monde” » (فإن لكل زمان عالـماً.).




Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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