Histoire sainte toranique, biblique.

HISTOIRE SAINTE, HISTOIRE DES NATIONS DISPARUES. 

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU, Allaha
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Les nations aujourd'hui disparues : Les Amalécites (العماليق).
Leur rapport avec le Prophète Abraham et les Prophètes de la Torah :
De Mochè au sceau des Prophètes d'Israël,
Le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !).
Amalek (עֲמָלֵק), l'homme mythique et insurrectionnel des rabbanim.


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

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   Noms de personnages inconnus.

   Il nous faut continuer maintenant notre étude et recherche avec les personnes bibliques du chapitre 14 de la Genèse. Exemples : 1. Amrafel, roi de Sennaar (14 1). Pour Rachi : C’est Nimrod (!). Autre : Amraphel. Ce nom ne s'explique pas d'après l'hébreu ; il est sans doute d'origine babylonienne, mais n'a pas été retrouvé dans les inscriptions[5]. Donc, mystère insondable pour le monde biblique. 2. Tid‘al, roi de Goyim. Rachi : Roi de peuples ( !). 3. Melchisédech. Rachi : Et Malki-Tsèdeq Le midrach explique : c’était Chem, le fils de Noa‘h (Nedarim 32b)[6] ( !!!).
  Nous dirons : Parmi ces trois personnages cités, on nomme un certain Amrafel. Et pour l’homme de la Synagogue, ce serait Nimrod en personne. Pourquoi ? Que vient-il faire en cette terre de Châm ? Après le départ d’Avraham d’Irak, il n’aura plus de contact avec ce roi, et inversement.
    Tid‘al, roi de Goyim. On a dit : Thidéal ne se retrouve pas dans les inscriptions et n'a pas de sens en hébreu. Les LXX lisent Targal (il suffit en hébreu de changer une lettre), mot qui, dans les langues touraniennes, signifie grand chef.
   Goïm, mot hébreu signifiant nations. La traduction grecque de Symmaque le rend par les Scythes. D'après cela, le grand chef des hordes scythes venues du Nord aurait aussi fait partie, comme vassal, de l'armée du roi d'Elam.
   Selon d'autres, Goïm serait le nom d'un peuple spécial, soit les Goïm établis dans les montagnes d'Ephraïm (Josué 12.23), soit les Gouti, ou Kouti, population d'une contrée située sur les frontières de la Médie.
   Nous avons vu que les habitants anciens de cette contrée du monde étaient les Amalécites. Partie restante du peuple de ‘Ad, des Arabes. Parmi les Amalécites, les commentateurs de noter que certains d'entre eux vivaient dans les montagnes...
   Enfin, l’homme mystérieux : Melchisédech. Personnage important pour le monde biblique. Pour le monde de la Synagogue, Avraham vient de la lignée de Sem. Le Ramban dit : La Torah nous indique qu’Abraham figurait parmi ceux pouvant témoigner que Dieu avait créé le monde tout seul. En effet, Abraham était âgé de cinquante huit ans quand Noé mourut ; Abraham conversa avec Noé ; il lui parla de son père Lamek qui avait vu Adam créé par Dieu. Abraham raconta à ses enfants le récit du déluge et de l’arche. Isaac et Jacob virent Sem fils de Noé, qui se trouvait dans l’arche. Il leur conta le récit du déluge. Jacob le transmit ensuite à ses enfants. Voilà pourquoi le verset mentionne le nom de Sem et celui de ses enfants. (Gen. 10:1). (op. cit.).
   Ainsi, on voit là les Sémites, une branche d’entre eux, tous réunis selon le Ramban. Dans ce cas, et si cela est vrai, comment Abraham et ses enfants n’ont-ils pas vu les Amalécites et les deux prophètes arabes entre Noé et Abraham : Hoûd et Salih (sur eux la Paix !) ? Ce récit du Ramban est un tissu de mensonge. Un mensonge de plus à mettre au compte des rabbanim.

   Les lieux. 

   Autre problème soulevé également par les historiens et chercheurs : les lieux toraniques. Exemples : Selon l’exégète évangéliste :
   Jusqu'à Dan. C'est par cette ville, au pied du Hermon, au nord de la Palestine, que passèrent aussi plus tard les armées babyloniennes quand elles envahirent le pays (Jérémie 4.15 ; 8.16). Le nom de Dan, comme ceux de Béthel (12.8) et de Hébron (13.18)[7], doit être employé ici par anticipation ; car cette ville porta le nom de Laïs jusqu'au moment où les Danites s'en emparèrent (Juges 18.27 et suivants). Faut-il conclure de là que ce récit a été composé seulement après cette époque ? Non ; car nous avons trouvé de nombreux indices de sa très grande ancienneté, même relativement aux autres récits de la Genèse. Il faut donc admettre que le nom de Dan a été substitué plus tard au nom primitif, en vue de la lecture publique ; à moins pourtant qu'on ne préfère appliquer ici ce nom de Dan à la ville de Dan-Jaan dans le pays de Galaad, au-delà du Jourdain (2 Samuel 24.6). Les rois auraient dans ce cas passé le Jourdain entre le lac de Génésareth et. l'embouchure du fleuve.
   Rachi : Jusqu’à Dan[8] A cet endroit, la vigueur d’Avram a décliné[9], parce qu’il a vu que ses descendants (I Melakhim 12, 29) y élèveraient un jour un veau d’or (Sanhèdrin 96a)[10].
   Nous dirons : Comment peut-on employer des noms de lieux par anticipation ? Faire dire : A cet endroit, la vigueur d’Avram a décliné… ? En quoi le prophète Avraham (sur lui la Paix !) est responsable de sa descendance dans la lignée d’Isaac ? L’assigner et l’assimiler au péché de Jéroboam ? A la lumière du Coran, nous savons que dans cette lignée, le prophète Avraham (sur lui la Paix !) savait lui-même qu’il y aurait des élus comme des damnés (Coran II 124, 134, 141 ; LVII 26, etc.). Comme il savait que personne ne porterait, au jour des Comptes, les fautes d’autrui (Coran LIII 38). Preuve que la copie de la Torah entre les mains du monde biblique est une copie bien tardive. Copie qu’un scribe sans scrupule tronquera pour suivre ses passions qu’une fois la science lui est (était) parvenue.
   Autre cas : Béla, qui est Tsoar : qui est aujourd'hui Tsoar. L'auteur connaît encore l'ancien nom de Tsoar[11], qui n'est mentionné nulle part ailleurs dans la Bible.
   Rachi : Bèla’ C’est le nom d’une ville, [et non celui de son roi, non mentionné dans le texte].
   Autre : Hoba, probablement à vingt heures de marche au nord de Damas, sur les confins du désert ; là se trouve encore aujourd'hui une source de ce nom.
   Rachi : Jusqu’à ‘Hova Il n’existe pas d’endroit du nom de ‘Hova, mais c’est Dan[12] que l’on appelle ‘Hova (« ville coupable »), à cause de l’idole qui s’y dressera un jour (Targoum yonathan).
   Deux avis diamétralement opposés. Et comment se peut-il qu’on trouve dans la Torah des lieux et des noms de lieux inconnus par l’exégète biblique ? Preuve que l’authenticité d’une telle guerre et ses motifs, reste un mensonge de l’Histoire sainte des Fils d’Israël. Preuve aussi que la Torah entre les mains du monde biblique n’est pas la Torah originelle révélée à Mochè au Sinaï. Elle n’est qu’un livre tronqué aux mains de ceux qui l’ont changée de fond en comble : Les rabbanim eux-mêmes, note l’observateur.
   Fontaine du Jugement : ancien nom de Kadès, venant de ce qu'il y avait là une source près de laquelle on consultait l'oracle. Le nom de Kadès (de kadasch, être saint) montre qu'il y avait réellement là un sanctuaire[13].
   Cette localité est célèbre dans l'histoire sainte par le séjour qu'y firent les Israélites avant d'entrer dans le pays de Canaan ; comme Elath, elle était sans doute pour les rois d'Orient un point important : elle était la clef de la route d'Orient en Egypte. D'après Nombres 13, Kadès ne devait pas être éloignée de la frontière méridionale de Juda.
   Rachi : ‘Ein-Michpat qui est Qadéch Ainsi nommée parce que Mochè et Aharon y seront jugés (lehichafét) un jour à cause de la source (‘ein). Il s’agit des eaux de Meriva, des eaux de la querelle (Bamidbar 20, 13). Le Targoum Onqelos suit le sens littéral : il s’agit du lieu où les gens du pays se réunissaient pour chaque jugement[14].
   Nous dirons : La parole de Rachi fait froid dans le dos : «  …Mochè et Aharon y seront jugés… ». Les prophètes ne seront pas jugés pour les fautes, les faux-pas, les péchés des Fils d’Israël. Par contre, notent les Savants et commentateurs, seront jugés les Fils d’Israël pour avoir enfreints les Ordres divins et les ordres de leurs prophètes… Ne pas confondre ! Secundo : Abraham partit de là pour la contrée du midi ; il s’établit entre Kadès (Qadesh) et Schur, et fit un séjour à Guérar. (Génèse, 20 : 1)[15].
   Nous avons vu précédemment : Il viendra habiter, dans un premier temps au Puits des sept[16], à Beer-shev’a. Un différent va l’opposer à ses habitants, il devra le quitter… Il viendra demeurer dans un autre lieu dénommé Qatta (قَطً) ou Qitta (قِطً), lieu se trouvant entre Ramallah (رام الله) et Iliya (إيليا), la ville de Dieu[17]. Quant au prophète Lot (sur lui la Paix !), il viendra habiter, lui, au Moutafakah[18] (المؤتفكة)[19].
   Troisièmement : Les faussaires du texte toranique nous ont habitué à brouiller les pistes. Ainsi, la répétition d’histoire, de doublons, est chose courante dans la Bible. Exemples : Selon le texte toranique, Mochè (sur lui la Paix !) de connaître deux Pharaons[20] (Ex. 1 8 et 2 23). Idem pour le fils de Marie, deux rois (Mat. 2 16, 19). Ici, par deux fois on fait mentir volontairement le prophète Avraham (sur lui la Paix !) : Torah. Gen. 12 13 et 20 2. Selon nos sources, cet incident se passera une seule fois et en terre d’Égypte[21]. Et avec les chapitres de la Torah : 12 et 20, nous avons en réalité à faire à un scribe faussaire. Quatrièmement : « et fit un séjour à Guérar ». Guérar[22] que l’exégète situe à : Ville Philistine au sud de Gaza. En fait, « et fit un séjour à Guérar » a été volontairement ajouté par le scribe faussaire[23].

   Le change Guérar.

   Pour contrecarrer Hagar et son fils, leur influence, et montrer la valeur de Sarah et sa supériorité sur Hagar ; le monde de la Synagogue et de la Torah ont cru bon d’inventer un récit cousu de mensonge[24]. D’inventer l’impossible pour se donner le change ! Qu’on en juge :
   Premièrement : Selon Jacob ben Isaac (Gen. 21:1) : Le Midrach écrit[25] : Comment se fait-il qu’il en soit ainsi ? L’explication est : Le Saint, béni soit-Il, se dit : Sarah s’est trouvée dans la maison de Pharaon[26] puis celle d’Abimelech[27]. Elle en est sortie pure. Comment ne pas se souvenir d’elle afin qu’elle puisse enfanter ? (op. cit.).
   On note au passage, que cette parole est bien des rabbanim non jamais du saint Nom, par ces mots : « se dit »[28]. Deuxièmement : Ce récit présumé se passe[29], selon le texte toranique, après la destruction de Sodome et ses environs. Or avant cela, Avraham et son épouse savaient déjà qu’ils auraient un enfant donc nul besoin d’une confirmation nouvelle. Ils avaient été prévenus bien auparavant (Gen. 18 1-19). De plus, et à partir de là, nul besoin de renouveler le récit avec un dénommé Abimelech. Le choix du divin Créateur ayant été fait, décrété, ceci depuis la Table gardée. Troisièmement : Hagar, c’est l’Afrique, l’Égypte, le monde copte. Sarah, c’est la province nord de l’Arabie, Châm, Canaan, la Palestine, le Terre sainte, l’Irak. Le choix des gens de la Bible (toranique & évangélique) se portera sur une femme dite : libre. Quant au choix divin, il se portera uniquement sur une femme délaissée, une femme esclave, ancienne princesse[30] : Hagar. Laquelle mettra au monde un enfant saint de corps et d’esprit[31], un prophète du saint NOM au même titre que son père. Et au Jour des Comptes, les réfractaires auront tout loisir de constater qui à tort et qui a raison ! Mais ce Jour-là, il y aura des grincements de dents, des regrets et des pleurs… Quatrièmement : Une fois de plus il faut rappeler (voir rabâcher) par quoi va être compensé la perte du lieu qui l’a vu naître, à savoir, par un enfant prophète : Ismaël. Après sa venue en terre d’Égypte, le prophète Avraham (sur lui la Paix !) de voir la réalisation de son espoir et voeu en Ismaël (sur lui la Paix !). Quant aux gens de la Bible, par pure jalousie, ils refuseront ce Décret divin. Ils continueront à le combattre jusqu’au retour du Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) en Terre sainte, au Qoûds, à Kedesha, à Jérusalem. Et au Jour des Comptes, le Juge Suprême de juger les gens de la Bible ce sur quoi ils divergeaient. (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Voir : levangile. Com, chapitre Gen. 14.
[6] L’exégète évangélique d’écrire (18) : Melchisédek : roi de justice. Ce personnage, à la fois roi et prêtre, selon l'ancienne coutume phénicienne, communiquait à son peuple les ordres de Dieu et offrait à Dieu les sacrifices et les prières du peuple. Les commentateurs juifs et les rabbins ont fait bien des suppositions sur ce personnage mystérieux que nous ne rencontrons qu'ici et dont nous ne connaissons ni l'origine ni l'histoire subséquente.
   Les uns ont vu en lui un ange du ciel ; d'autres, le patriarche Sem, qui, d'après la chronologie de la Genèse, doit avoir survécu de trente-cinq ans à Abraham lui-même. D'après notre récit, nous voyons simplement en Melchisédek l'un des derniers représentants de la croyance monothéiste primitive qu'il partage encore avec Abraham. En effet le Dieu Très-Haut qu'il adore est reconnu par Abraham comme un seul et même Dieu avec celui qu'Abraham adore sous le nom de Jéhova (verset 22). C'est comme un représentant vénérable de cet ancien ordre de choses qu'Abraham, l'initiateur de la nouvelle économie, lui paie la dîme. Le sacerdoce qu'il exerçait, il le tenait de sa piété personnelle ; et c'est sous ce l'apport que l'épître aux Hébreux le compare à Jésus, qui, lui aussi, n'était pas sacrificateur par droit d'hérédité, mais par la puissance de la vie indissoluble qui était en lui (Hébreux 7.16). De plus, dans le Psaume 110, il est présenté comme le type du Messie, en ce qu'il réunissait les deux charges de la royauté et de la sacrificature, qui restèrent strictement séparées par la loi durant tout le cours de l'ancienne alliance. (op. cit.).
   Donc les gens de la Synagogue et de la Torah ne sont donc pas les premiers qui instituèrent le Monothéisme de l’époque. Ils étaient devancés par ce personnage mythique : Melchisédech et ses suivants. Encore une fois ne pas oublier, au passage, que deux prophètes existent entre Noé et Abraham : Hoûd et Salih (sur eux la Paix !). Un peuple : les Amalécites, peuple sémite.
   Reste un problème à élucider : La dîme. Est-ce l’impôt légal exigé par le Seigneur ? Qu’elle est l’origine de la dîme ? Au regard du texte toranique, on parlera bien d’un butin mais il apparaît comme un butin de ‘guerre’. Qu’on en juge : Et Abram lui donna la dîme de tout le butin (Gen. 14 20). Rachi de commenter : Les jeunes gens Mes serviteurs, qui m’ont accompagné, et aussi : « ‘Anér, Echkol et Mamré ». Il est vrai que seuls mes serviteurs ont participé aux combats, ainsi qu’il est écrit : « lui et ses serviteurs... il les frappa » (verset 15). Cependant, ‘Anér et ses compagnons sont restés aux bagages pour garder le camp. Ils prendront donc aussi leur part. Le roi Dawid a pris exemple sur Avram (Beréchith raba 43, 9) lorsqu’il dit : « Telle la part de celui qui est allé au combat, telle la part de celui qui est resté aux bagages : ils partageront également ! » (I Chemouel 30, 24). C’est pourquoi, il est écrit : « De fait, à partir de ce jour (littéralement : « de ce jour et plus haut »), il en fit pour Israël une loi et une règle » (I Chemouel 30, 25). Il est écrit wama’la (« et plus haut »), et non wehala (« par la suite »), pour bien marquer que la règle remontait à l’époque d’Avram.
   Et quelle loi existe-t-il à cette époque concernant le ‘butin de guerre’ ? Nous savons que pour les Fils d’Israël, le butin de guerre n’est pas licite pour eux. Ils ne peuvent (pouvaient) en profiter. Il fallait le réunir en un lieu, puis au prophète d’implorer leur Seigneur ; si celui-ci était accepté : un feu du ciel le consommait. Règle pour eux jusqu’à la fin du monde. Toutefois, le prophète n’étant plus qui pourra implorer leur Seigneur ? Leur rabbanim ? Nullement.
[7] On a dit : Le nom d’Hébron dans la Genèse (XIII. 18, XXXV. 27, XXXVII. 14) est le nom d’un village qu’on appelait précédemment Kariat Rabâ ; il fut donné aux Israélites, eux-mêmes, après leur entrée en Palestine sous Josué, comme il est dit au chap. XIV. du livre qui porte son nom. ces versets ne peuvent donc pas être de Moïse, mais bien d’un individu qui aurait vécu à une époque postérieure à l’entrée en Palestine, et au changement du nom primitif. De même dans le 14e verset du 14e chap. de la Genèse, il y a le nom de Dan, petite ville qui ne fut fondée que du temps des Juges. Or, après la mort de Josué les enfants d’Israël conquirent la ville de Leith, et en tuèrent les habitants. Ils la brûlèrent, et à sa place fondèrent une nouvelle ville à laquelle ils donnèrent le nom de Dan. Ce fait est prouvé par le 18e chap. du livre des Juges ; il s’en suit que ce verset aussi n’est pas de Moïse. Horne dit : “Il se peut que Moïse ait écrit les villages de Rabâ et Leith, et quelques copistes aient altérés ces passages en adoptant Hébron et Dan”. Il est étonnant que des gens, doués d’une aussi haute intelligence, soient réduits à faire usage de ces futiles arguments, tout en avouant les altérations, ce qui prouve qu’ils reconnaissent leurs Livres saints comme ayant été susceptibles de corruption. (Manifestation de la Vérité. Rahmatoullah Al Hindi).
[8] Dan (en hébreu: דן - justice). On a dit : Le livre de l'Apocalypse, attribué à l'apôtre Jean, cite les douze tribus d'Israël au chapitre 7, verset 4 et suivants, sans mentionner la tribu de Dan (mais en citant comme tribus à part entière celle de Manassé, descendant de Joseph). Certains Pères de l'Église en ont conclu que c'est de cette tribu que devait sortir l'Antéchrist. (fr.wikipedia.org)
[9] Énorme faute et énorme péché de parler ainsi d’un prophète ! La décence et la règle nous interdise formellement de parler ainsi des Prophètes du Seigneur d’Adam ! On voit bien que les gens de la Synagogue et de la Torah ont peur d’assumer leur propre faute. Ils cherchent à la fuir leur responsabilité. Et pour s’excuser, ils voudraient dire qu’Avraham savait ce qui se passerait pour le lignée d’Isaac et c’est pourquoi il se rend, c’est rendu lui-même aux lieux et places où les Fils d’Israël ont fauté, péché après lui !
   Mais encore une fois pourquoi associer ce qui n’a pas raison d’être ? Les Fils d’Israël n’étaient, ne sont que des êtres créés, des humains ; et comme êtres humains ils ne sont pas à l’abri de ce qui arrivent à leurs semblables, à l’ensemble des Fils d’Adam. Ne tombons pas dans l’absurdité, la xénophobie, la démagogie, la désinformation, la prétention, l’arrogance du monde de la Synagogue et de la Torah qui ose prétendre à travers des phrases comme suit :
   ″Dieu impose aux Juifs une norme de conduite très élevée parce qu'ils ont une responsabilité unique dans l'histoire humaine. Le monde ne parviendra pas à la perfection sans les Juifs et si, à Dieu ne plaise, les Juifs le vouaient à la destruction, c'est toute l'humanité, et pas seulement le peuple juif, qui serait damné. C'est pour cette raison que la Bible emploie des expressions particulièrement vigoureuses pour définir certains principes.″ (lamed.fr).
   C’est oublier leur disgrâce depuis plus de 14 siècles. Qu’ils le veuillent ou non, ils ont perdu toute prérogative divine. Ils restent, resteront jusqu’à la venue du « oint-roi » (leur messie attendu), puis la venue du sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) qui le tuera ; l’objet de la Colère du NOM, d’Ilohîm. N’en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux opposants et adversaires de la Religion divine : la Soumission !
[10] Soit : A Béthel : à la frontière sud, comme Dan à la frontière nord, afin d'épargner au peuple un trop grand déplacement. (op. cit.).
[11] On a dit : La Disparition de Tsour
« Tu lui diras [à Pharaon] : Hachem, D-ieu des Hébreux m’a envoyé vers toi… » (Exode 9 – )
Rabbi Eliazar ben Pedath nous enseigne que Hachem punira, à l’époque du Machia’h, Tsour – qui fut à l’origine de la destruction du Beth-Hamikdach – de la même manière qu’Il a puni les Egyptiens, ainsi qu’il est annoncé dans Isaïe (23 – 5) : « Tout comme les nouvelles arrivées d’Egypte semèrent la terreur, ainsi seront celles venant de Tsour. »
L’Egypte fut frappée par la transformation des eaux du Nil en sang, ainsi le sera-t-il du sort des fleuves de Tsour, ainsi qu’il est dit (Isaïe 34 – 9) : « Les fleuves d’Edom se changeront en poix, sa poussière en soufre ; ainsi, son pays sera comme de la poix en feu qui ne s’éteindra ni la nuit, ni le jour, et d’où s’échapperont sans cesse des colonnes de fumée. »
Un feu dévastera Tsour jour et nuit, car elle empêcha Israël d’étudier la Torah dans l’esprit du verset (Josué 1 – 8) : « Tu le méditeras jour et nuit. » Et, puisque Tsour fit disparaître la colonne de fumée du Beth-Hamikdach, elle partira en fumée.
De plus, il est écrit (Isaïe 66 – 6) : « Une grande rumeur s’élève de la ville, une grande rumeur sort du Temple ; c’est la voix d’Hachem qui paie leur salaire à Ses ennemis. » Cette voix nous rappelle qu’au moment de la destruction du Temple, de terribles voix s’élevèrent de la ville de Yérouchalayim et du Beth-Hamikdach, ainsi qu’il est écrit (Lamentations 2 – 7) : « On a poussé des cris dans la Maison de l’E-ternel… » Midrash Rabba ).
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[12] Est-ce une façon de Rachi de signaler son incapacité de répondre ? Dan se retrouve plus haut comme vu.
[13] Un sanctuaire, il ne pouvait en avoir qu’à Jérusalem. Ville appelée – Kedesha -, en arabe le Qoûds. Rappelons ce qui a été dit : Abraham viendra demeurer dans un autre lieu dénommé Qatta (قَطً) ou Qitta (قِطً), lieu se trouvant entre Ramallah (رام الله) et Iliya (إيليا), la ville de Dieu. Jérusalem aura beaucoup de noms dans les Écritures.
[14] Le sens n’est pas le même du tout.
[15] Selon le commentateur toranique, après la destruction de Sodome, Avraham sera amené à changer de lieu. Jacob ben Isaac d’écrire à ce sujet : Abraham quitta ce lieu (Gen. 20 :1). Abraham vit que la ville de Sodome avait été détruite. Il reprit donc la route car plus personne ne passait par cette ville. Il ne pouvait plus recevoir d’hôtes ; sans compter que des rumeurs sur la mauvaise réputation de Loth circulaient dans son entourage parce qu’il avait couché avec ses filles ; Abraham en avait honte et voulut s’éloigner de Loth. Il alla résider dans la ville de Gerar (Gen.R. 55.1-4).
   En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
   Nous avons vu où Avraham s’installa après son retour d’Égypte. Quant à Loth le prophète, ce sont de lourdes accusations que les gens de la Synagogue et de la Torah font porter sur lui !. Accusations dont il est pur. Loth était un prophète avant tout. Et aucun prophète ne peut faire, se laisser aller à de tels péchés ! Tel n’est pas le cas des Fils d’Adam, des Fils d’Israël.
[16] Hébreu : Beer-Sheva. On a dit : Beer-Sheva, Be'er Sheva ou Bersabée ou Beersheba (en hébreu : בְּאֶר שֶׁבַע, puits du serment ou puits des sept ; arabe : بِئْرْ اَلْسَبْعْ Biʼr as-Sabʻ).
[17] Entendre : en jargon théologique, biblique : Jérusalem.
[18] Ensemble de villes détruites par le divin Créateur au temps du prophète Lot : Sodome, etc.
[19] V. Le fils d’Athir, Kâmil.
[20] Le texte toranique de parler d’un roi + du Pharaon. Le texte coranique de Pharaon uniquement. Nuance ! Le texte coranique voit en celui qui fit (fera) mourir les enfants des Fils d’Israël (et non des Yéhudim), le même qui mourra dans les flots du fleuve ou de la mer. Le texte coranique de retracer la “vrai histoire” de cet évènement passé et concernant les prophètes Mochè et Aharon (sur eux la Paix !) jusqu’à leur venue en face de la Terre sainte. Le texte toranique ayant été profondément remanié, censuré par les faussaires, les gens de la Synagogue et de la Torah.
[21] D’ailleurs, l’exégète évangélique d’écrire sur (Gen. 20) : Ce morceau appartient au document appelé le second élohiste, qui est renfermé dans le document jéhoviste, mais qui cependant emploie toujours le nom d'Elohim. Ce récit présente de frappantes analogies avec le récit jéhoviste 12.10-20 ; aussi plusieurs interprètes ont-ils estimé que ces récits n'étaient que deux traditions différentes du même fait. Voir nos conclusions sur ce point à la fin du chapitre.
   (…) Les deux scènes pareilles, celle du chapitre 12 et celle-ci, présentent donc des différences très considérables, qui ne permettent pas de les identifier. Quant à l'analogie qui existe entre elles, il faut se rappeler qu'elles reposent toutes deux sur un arrangement pris d'avance entre Abraham et Sara et dont l'effet devait se reproduire chaque fois que les circonstances y donnaient lieu.
   [Pour nous, cet incident se produira qu’une seule fois]
   Sans doute, Sara était maintenant plus âgée d'une vingtaine d'années ; mais, à cette période de l'histoire de l'humanité, son âge était l'équivalent de celui d'une femme de nos jours âgée de quarante à cinquante ans.
   La culpabilité d'Abraham est considérablement aggravée par cette répétition de la même faute, surtout si l'on songe à la leçon qu'il avait reçue la première. fois. Mais nous retrouvons ici le caractère de toute l'histoire sainte, qui n'hésite jamais à mettre dans tout leur jour les fautes de ses héros. (levangile.com)
    Comme on le voit, l’exégète évangélique à l’instar de son frère le rabbin, n’hésite pas d’égratigner, au passage, le prophète Avraham, de l’abaisser, de s’attaquer à sa personnalité. Et ici, nous ne sommes pas dans un film. Il ne faut pas confondre héros d’un film et héros (prophète(s)) de l’Histoire sainte des Fils d’Israël. Le premier fait partie du rêve et de l’imagination, le second de la Maison de la Prophétie ; et il est interdit de parler de défauts, de fautes, de péchés des Prophètes du SAINT NOM. Ils sont infaillibles et immunisés, placés sous la Haute Protection divine. Ce qui n’est pas le cas du reste des Fils d’Adam.
[22] Selon le texte toranique : Les limites des Cananéens allèrent depuis Sidon, du côté de Guérar (Gerar), jusqu'à Gaza, et du côté de Sodome, de Gomorrhe, d'Adma et de Tseboïm, jusqu'à Léscha. (Gen. 10 19).
   Abraham partit de là pour la contrée du midi ; il s'établit entre Kadès et Schur, et fit un séjour à Guérar (Gerar). Abraham disait de Sara, sa femme : C'est ma soeur. Abimélec, roi de Guérar (Gerar), fit enlever Sara. (Gen. 20 1-2).
   Il y eut une famine dans le pays, outre la première famine qui eut lieu du temps d'Abraham; et Isaac alla vers Abimélec, roi des Philistins, à Guérar (Gerar). Et Isaac resta à Guérar (Gerar). (Gen. 21 1, 6)
   On comprendra facilement qu’on veuille faire ressembler absolument, entre eux, des récits de la famille d’Avraham et de sa descendance par Isaac. Et avant qu’un des siens se déplace, le scribe faussaire a pris soin d’y faire déplacer en tout premier lieu Avraham (sur lui la Paix !) !? Pourquoi ? 
[23] Ce récit se passant après la destruction de Sodome. Et, ô étonnement, on fait dire : Gen. 20 « 3 Le Seigneur visita Abimélec dans un songe nocturne… » !? A cette époque très retirée, deux prophètes sont dans cette contrée du Châm : Avraham et Lot (sur eux la Paix !). Et comment un roi peut-il visiter en songe par le Roi des rois ? D’autant, et lorsqu’on nous dit, dans les commentaires, qu’Avraham (sur lui la Paix !) avait peur d’inviter les rois de son temps ? Quand Celui-ci visita les Fils d’Israël au temps du sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) ; les gens de la Synagogue et de la Torah, leurs ancêtres, refusèrent de le croire, de le reconnaître, de le suivre ! Idem pour les sceau de la Prophétie (sur lui Prière et Paix !) ! Les représentants des peuples ont-ils plus de valeur aux yeux des gens de la Synagogue et de la Torah que les gens de la Maison de la Prophétie : les prophètes du SAINT NOM !?
   Les commentateurs de trouver une raison d’être : Abimelech était un juste ! II dit: "Seigneur ! frapperais-tu donc aussi un peuple innocent ? (Gen. 20 4). Selon Jacob ben Isaac : Abimelech demanda : « Si quelqu’un est un juste, le tueras-tu lui aussi comme tu l’as fait pour la génération du déluge et de la tour de Babel ? » Le Behaye écrit  Abimelech dit : « Un gentil » ; « Si Toi, Dieu, Tu fais périr le roi, mon peuple se vengera et tuera Abraham le juste. En quoi suis-je coupable des paroles d’Abraham disant que Sarah est sa sœur ou des paroles de Sarah avouant que son frère est Abraham ? » (op. cit.).
   Rachi : Tuerais-tu donc aussi un peuple juste Même « juste », tu le tuerais ? Peut-être est-ce ta manière d’agir : détruire les peuples sans aucun motif ? C’est bien ce que tu as fait à la génération du déluge et à la génération de la tour de Bavel ! J’affirme que tu les as tués pour rien, tout comme tu veux me tuer moi-même ! (Beréchith raba 52, 6).
   Et surtout ici un point important (Gen. 20 7) : Car il est prophète Et donc il sait que tu ne l’as pas touchée (Beréchith raba 52, 8). C’est pourquoi « il priera pour toi ».
   Ce qui signifie qu’en Egypte, Avraham n’était pas un prophète quand le roi voulut abuser de son épouse ! En Egypte, il ne pouvait rien pour Sarah. Ici, tel n’est pas le cas : Abraham intercéda auprès d’Elohim et Elohim guérit Abimelech, sa femme et ses servantes qui purent enfanter (Gen. 20 :17). Abraham pria afin qu’Abimelech soit guéri par le Saint, béni soit-Il, avait fait en sorte que les hommes de sa maison ne puissent ni avoir d’enfants, ni uriner, ni déféquer. Abraham pria et tous guérirent (PRE 27, Gen.R. 52.13). (op. cit.).
   Enfin, on voit là que la Palestine a plus de valeur auprès du scribe faussaire que l’Égypte elle-même ! Pourtant, que venait faire le prophète Avraham en Égypte ? La réponse : Prendre au passage une future épouse dont la descendance mettra au monde le vrai et futur Sauveur de l’Humanité, le sceau de la Prophétie (sur lui la Paix !). On comprend que pareille chose ne pouvait plaire à ceux qui le prendront en haine et inimitié, parmi les gens de la Synagogue et de la Torah.
   Quant à la façon de parler du fils d’Adam avec son Créateur, elle est correcte pour / selon les rabbanim. Selon eux, on a le droit de s’adresser ainsi au Créateur, de Le réprimander, etc. Chose impensable pour tout Croyant soumis ! A Lui de nous questionner, nous réprimander, et non l’inverse (Coran XXI 23 ; XVI 56, etc.) ! On voit là le fossé qui nous sépare entre les gens de la Synagogue et de la Torah, d’une part, et nous gens de l’Islam traditionnel d’autre part.
[24] Nous avons vu que le prophète Avraham quitte sa terre natale et sa perte sera compensée par un enfant d’une femme prise d’Égypte. Pour le monde biblique (toranique & évangélique), il fallait inventer quelque chose de semblable car le texte toranique montre l’inquiétude d’Avraham (sur lui la Paix !) de se voir partir sans avoir d’héritier, d’enfant. Étant entendu, et sur l’ordre de Sarah, une femme esclave ne peut hériter. Le change sera Guérar. Et autour de Guérar on va inventer une légende purement rabbinique pour contrecarrer Ismaël (sur lui la Paix !). Rappelons, au passage, que parmi ses huit garçons, deux seront prophètes du saint NOM : Ismaël et Isaac (sur eux la Paix !). Et le fait qu’Ismaël sera élevé à ce grade ne fera qu’augmenter rancœur, haine et mécréance dans le cœur des gens de la Bible. Ceux-ci ne voulant pas qu’un bienfait divin touche Ismaël et sa mère, leur descendance… Les gens de la Bible proposent et à leur Seigneur de disposer, note l’interlocuteur !
   Enfin, on hérite pas des prophètes de biens matériels comme voudrait l’avancer ou le faire comprendre et croire les gens de la Synagogue et de la Torah. L’héritage sera uniquement du Livre et de la Prophétie. Dans la branche d’Isaac ceci sera écrit pour un temps : de Mochè (Torah), en passant par David (Psautier), et enfin le sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) (l’Évangile). Puis, et sur Décrit du saint NOM, le Livre et la Prophétie passeront de leurs mains aux mains des Fils d’Ismaël (le Coran). Il en sera ainsi jusqu’à la fin du monde.
[25] Gen.R. 53.6.
[26] Ibn Athir le classe parmi les premiers Pharaons.
[27] Reste à savoir qui est réellement ce personnage mystérieux et légendaire du monde de la Synagogue ? Ne l’oublions pas, selon Jacob ben Isaac : Le jour du sevrage d’Isaac (Gen. 21 :8). Le jour où fut sevré Isaac, on prépara un festin. Le Behaye dit : Pourquoi Abraham n’organise pas une cérémonie pour la circoncision ? L’explication est : il attendit jusqu’au sevrage puis il conduisit Isaac chez un rabbin. Il fit alors un festin pour pouvoir se réjouir avec son fils de la joie de la Torah.
   [C’eût été raisonnable si l’auteur mentionne son nom, le nom mémorable de ce rabbin légendaire ! Comme idiotie et absurdité, on trouve pas mieux, note le Savant. Avraham étant prophète, il n’a nullement besoin d’un tel personnage. De plus, aux rabbanim d’apparaître après la Révélation de le Torah, non avant.]
   Le Midrach écrit : Sem, Eber et Abimelech participèrent au festin en l’honneur d’Isaac. (op. cit.).
   Ceci, c’est la version tronquée des rabbanim non jamais celle de la Torah originelle. On sait, dans ces temps mémoriaux, que les gens vivaient très très longtemps. Toutefois, et lorsqu’il s’agit de parler des Prophètes du divin Créateur, il faut être plus circonspect, réservé, enclin à éviter absolument le mensonge. Et cela manque cruellement pour les gens de la Synagogue et de la Torah, notent les Savants. D’ailleurs, ne dit-on pas, note l’observateur, dans le monde biblique, qu’il n’y a pas plus menteur qu’un rabbin.
[28] L’auteur de ces lignes fait du Créateur une créature non jamais une divinité au sens propre du mot ! Il le fait réfléchir à l’instar de Sa créature ! Preuve que le monde des rabbanim est un monde où l’Anthropomorphisme et la Corporéité règnent en rois.
[29] Est censé se passer…
[30] Et vraie princesse. Tel ne sera pas le cas de Sarah. Son nom, selon les grammairiens, ne signifiait pas « princesse », mais celle qui ne peut avoir d’enfants, la stérile.
[31] Le monde de la Synagogue ne le présente pas ainsi (voir pour cela les commentaires). De plus, il refuse, comme le monde de l’Évangile (de Paul), de le reconnaître comme un prophète du NOM. Ce que l’Islam traditionnel réfute. Il n’est pas simplement fils d’Avraham (sur eux la Paix !) mais encore prophète du Nom qui sera envoyé aux Amalécites et gens du Yémen.



version biblique


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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06/01/15 .

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