Histoire en Terre sainte |
DESTRUCTIONS ET GÉNOCIDES EN TERRE SAINTE |
Selon les Écritures. |
Paroles
d'insensé
: Rafraîchir l'arbre de la liberté avec le sang des tyrans. Le Bal des Vampires
oint de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4]. Dans le Livre divin, au
Saint et Seigneur d’Israël et des mondes de décrire le monde biblique
et le monde associateur : Pourquoi ? La réponse :
"C'est qu'il y a parmi eux des prêtres et des moines, et qu'ils
ne s'enflent pas d'orgueil. Souvenir de mémoire. Vers 613-4. Défaite des Byzantins[15]. Lesquels représentent le monde évangélique de l’époque. La province nord de l’Arabie, la province de Châm[16] passe sous l’occupation des Perses[17]. Jérusalem est occupée. Des évènements tragiques vont s’y passer. Nous le verrons ci-après. 624. Victoire d’Héraclius sur les Sassanides. Retour du monde évangélique d’Europe en Terre promise, la province de Châm. Tout ceci sera révélé au Prophète de l’Islam (sur lui Prière et Paix !). Ces évènements historiques se sont vraiment passés. Le témoignage en est rapporté dans le Livre divin. Pour preuve :
" Au nom de Dieu le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux L’esprit de vengeance. L’occupation de la terre de Châm par les troupes de Perse, va permettre de faire revivre certaines tensions, voire des règlements de compte entre le monde toranique, d’une part, et le monde évangélique d’autre part. L’Histoire biblique : une histoire tronquée ! A Israël Adam Shamir d’écrire dans « L’Autre visage d’Israël » : « Le sentiment d’être éternellement vertueux et victime, renforcé par une version faussée de l’Histoire, est une source de maladie mentale, une obsession commune à de nombreux juifs modernes. Cette obsession intoxique les juifs, et leur donne une force particulière pour répandre leur version des faits. D’une certaine manière, cette grave distorsion de la réalité transforme les juifs en gagnants hystériques de la lutte idéologique. Toutefois, même si elle représente une stratégie victorieuse, c’est une maladie mentale, un danger pour l’âme des juifs et pour la vie des autres… […] Les événements tragiques de 614 doivent être rapportés dans le respect de la vérité historique, car cela aidera les Juifs à soigner leur illusion paranoïaque. […] Lorsqu'elle est censurée, l'Histoire présente une fausse image de la réalité. Admettre le passé est une étape indispensable sur la voie de l'équilibre mental.» Le réservoir de Mamilla. Peut-on continuer à cacher, à dissimuler la Vérité ? Nullement. Le monde toranique, de la Synagogue, a voulu dissimuler de nombreuses vérités historiques. Pourtant, qui pourra empêcher la Vérité de se manifester ? La venue en terre de Châm du monde toranique ne sera-t-elle pas cause d’une manifestation de nombreuses vérités. Et parmi elles, le drame de Mamilla. Blessures qui ne se referment pas. A
ce sujet, à Israël Adam Shamir de nous faire découvrir et de nous entretenir
d’une histoire ancienne, de plus de 13 siècles. D’une histoire jetée
aux oubliettes. Pourtant… Pour preuve : En 614, la Palestine faisait partie de l'empire byzantin, qui avait succédé à l'empire romain. C'était une terre prospère, à prédominance chrétienne, où l'agriculture était bien développée, les eaux canalisées et les terrasses soigneusement aménagées. Les pèlerins affluaient en masse vers les lieux saints. Les édifices construits par Constantin, le Saint-Sépulcre et l'Ascension au Mont des Oliviers figuraient au nombre des merveilles du monde réalisées par l'homme. Les solitudes de Judée étaient adoucies par quatre-vingts monastères où l'on collectionnait des manuscrits précieux et où l'on priait. Les Pères de l'Eglise, saint Jérôme de Bethléem, Eusèbe et Origène de Césarée étaient encore présents dans les mémoires. Jean Moschos, l'un des meilleurs écrivains palestiniens, l'égal des Prophètes Mineurs, venait de terminer son Pré spirituel. Il y avait aussi une petite communauté juive prospère, principalement à Tiberias, sur les rives de la mer de Galilée. Ses docteurs venaient d'achever leur version du Talmud qui codifiait leur foi, le judaïsme rabbinique. Mais pour les instructions, ils s'en remettaient à la communauté juive dominante de Babylone, alors sous domination perse. II En 614, les juifs de Palestine s'allièrent à leurs coreligionnaires babyloniens pour prêter main forte aux Perses dans leur conquête de la Terre sainte. 26 000 Juifs participèrent à l'offensive. Après la victoire perse, les Juifs ont perpétré un holocauste massif des Gentils[25] de Palestine. Ils ont incendié les églises et les monastères, tué les moines et les prêtres, et brûlé les livres. La charmante basilique des Poissons et des Pains de Tabgha, l'église de l'Ascension sur le Mont des Oliviers, l'église Saint-Etienne en face de la porte de Damas et Notre-Dame de Sion sur la colline du même nom ne sont que quelques-uns des édifices religieux qu'ils détruisirent. De fait, très peu d'églises ont réchappé au désastre. La Laure de Saint-Sabas, site extraordinaire niché dans la vallée très profonde du Wadi al-Nar, n'a dû son salut qu'à sa situation reculée et aux rochers escarpés qui l'entourent. L’église de la Nativité a survécu par miracle : lorsque les juifs donnèrent l'ordre de la détruire, les Perses refusèrent. Ils avaient cru voir, dans la mosaïque représentant les rois mages au-dessus du linteau, le portrait de rois perses. Mais
le pire de ces crimes n'est pas la dévastation. Lorsque Jérusalem se
rendit aux Perses, des milliers d'habitants chrétiens furent faits prisonniers
et menés à l'abattoir, tout près du réservoir de Mamilla. L’archéologue
israélien Ronny Reich écrit : En d'autres termes, les juifs payèrent une grasse rançon aux soldats perses pour s'emparer des Chrétiens et les massacrèrent avec délectation au réservoir de Mamilla qui « débordait de sang ». Dans la seule ville de Jérusalem, les juifs massacrèrent entre 60 000 et 90 000 chrétiens palestiniens, ce qui correspondrait, à l'heure actuelle, à 1,5 million de morts. En effet, la Terre comptait alors, selon l’Encyclopaedia Britanica autour de 300 millions d'habitants, soit vingt fois moins qu'aujourd'hui. Quelques jours plus tard, ayant compris l'ampleur du massacre, les soldats perses empêchèrent les juifs de poursuivre leurs exactions. III II faut rendre justice à l'archéologue israélien Ronny Reich de n'avoir pas cherché à accuser les Perses du massacre, comme on le fait couramment aujourd'hui. Il admet que « l'empire perse n'avait pas de fondement religieux et était effectivement enclin à la tolérance religieuse ». Il est évident que ce brave homme aurait quelques difficultés à publier des articles dans le New York Times. La correspondante de ce journal en Israël, n'hésiterait pas, elle, à décrire ce massacre comme « un acte de représailles des Juifs ayant souffert sous la férule des Chrétiens ».
L'holocauste des Palestiniens
chrétiens de 614 a fait aussi couler beaucoup d'encre, et vous le verrez
assez bien décrit dans les livres anciens. Quant aux guides modernes
et aux livres d'histoire, la censure est passée par-là. Dans son exposé
brillant sur la « Justification juive »[26],
Elliot Horowitz a décrit comment presque tous les historiens juifs occultent
les faits et récrivent l'histoire. La dissimulation perdure de nos jours.
De récentes publications israéliennes accusent les Perses, comme elles
rendent les Maronites libanais responsables des massacres de Sabra et
Chatila. Horowitz écrit : Horowitz montre qu’en général,
et de façon notoire, les écrits juifs, historiques et idéologiques,
tentent de tout justifier et sont peu dignes de foi. Bien entendu, tous
les Juifs ne sont pas ainsi ; Horowitz, Finkelstein et d’autres
individus extraordinaires le prouvent, mais ils seraient les premiers
à confirmer ce qui est écrit ici. Le sentiment d’être éternellement
vertueux et victime, renforcé par une version faussée de l’Histoire,
est une source de maladie mentale, une obsession commune à de nombreux
juifs modernes. Cette obsession intoxique les juifs, et leur donne une
force particulière pour répandre leur version des faits. D’une certaine
manière, cette grave distorsion de la réalité transforme les juifs en
gagnants hystériques de la lutte idéologique. Toutefois, même si elle
représente une stratégie victorieuse, c’est une maladie mentale, un
danger pour l’âme des juifs et pour la vie des autres… Les événements tragiques de 614 doivent être rapportés dans le respect de la vérité historique, car cela aidera les Juifs à soigner leur illusion paranoïaque. Sans cette connaissance réelle des événements, il est impossible de comprendre, par exemple, les dispositions du traité conclu en 638 entre les habitants de Jérusalem et le calife Omar ibn Khattab. Dans le Sulh al-Quds, nom sous lequel on connaît ce traité de capitulation, le patriarche Sofronius exige, et le puissant dirigeant arabe accepte, de soustraire la population de Jérusalem à la férocité des juifs.
Le
génocide de 614 après Jésus-Christ a été le plus effroyable, mais il
n'a pas été le seul génocide perpétré par les Juifs à cette époque chaotique.
Bien que l'histoire biblique de la conquête de Canaan par Josué ne soit
qu'un conte, elle a influencé les âmes juives d'alors. Au VIIe siècle,
les Juifs étaient puissants et les génocides nombreux. En 610, les Juifs
d'Antioche massacrèrent les chrétiens. L'historien juif Graetz a écrit
: IV Après la conquête arabe,
une majorité de Palestiniens juifs ont accepté le message de l'envoyé
d'Allah, tout comme la majorité des Palestiniens chrétiens quoique pour
des motifs différents. Pour les chrétiens du lieu, l'islam était une
sorte de christianisme nestorien sans les icônes, sans l'intervention
de Constantinople et sans les Grecs (aujourd'hui encore, la soumission
de l'Eglise palestinienne à l'Eglise grecque continue de poser problème
aux Chrétiens du pays). V
Pourquoi les juifs d'aujourd'hui se sentiraient-ils coupables
des forfaits de leurs ancêtres ? Aucun fils n'est responsable des péchés
de son père. Israël aurait pu transformer le charnier de Mamilla,
sa chapelle byzantine et ses mosaïques, en un petit mémorial, rappelant
à ses citoyens une page effroyable de l'histoire de leur terre, mais
aussi les dangers du sentiment de supériorité qui conduit au génocide.
Mais les autorités israéliennes ont préféré démolir le tombeau et le
transformer en parc de stationnement. Et nul ne s'est insurgé contre
ce geste.
Conclusion. Le Prophète de l’Islam que peut-il nous rapporter ? sinon la vérité révélée par le divin Créateur et Seigneur de l’Univers. Le comportement des Judaïsés lors de l’occupation perse a été dénoncé, à l’époque, à l’Empereur Héraclius. Ce qui tendra un peu plus les relations entre le monde biblique. Mais peut-on faire table rase sur le passé ? Nullement. Et dans ce monde, par la grâce divine, il existera toujours des hommes pour faire apparaître, au grand jour, la vérité dissimulée. L’exemple de l’Irak est là pour nous le rappeler. Dans la Bible, et concernant les Fils d’Israël, au Saint et Seigneur d’Israël et des mondes de nous parler d’un « petit nombre » d’entre eux. Un petit nombre qui relèvera la tête et défiera, le moment venu, ceux hostiles à la vérité. Que le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée ! [1]
Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable
divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement. Point
de divinité, de dieu que Dieu ! *Droits de reproduction et de diffusion réservés ; © Le Carrefour
de l’Islam |
Copyright
© 2001 Le Carrefour de l'Islam. Tous droits réservés.
Cette page a été mise à jour le
17/05/07
.