Croyances

COSMOLOGIE, CRÉATION, UNIVERS. 

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU, Allaha,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Thalès : "L'eau est la cause matérielle de toutes choses".

Paroles de Philosophes de l'Antiquité sur l'eau...


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Suite page 2

   Cosmologie. Composition de l’Univers.

   Autre cas à signaler parmi les Philosophes anciens : Thalès. Qu’on en juge :

La philosophie de la nature de Thalès[5], connue surtout grâce à Aristote[6] (qui la tient lui-même de sources intermédiaires[7]), fait de l'eau le principe matériel (αρχή : arche) explicatif de l'univers, d'où procèdent les autres éléments : air, feu et terre. Accordant une vitalité à cette matière unique et universelle, il estime que l'eau est le principe de toutes choses, que la terre n’est que de l’eau condensée, l’air de l’eau raréfiée, et qu’en dernière analyse tout se résout en eau. Aristote résume ainsi la pensée de Thalès et la prépondérance donnée à l'eau au sein de celle-ci[8] :

« Thalès, le fondateur de cette manière de philosopher, prend l'eau pour principe, et voilà pourquoi il a prétendu que la terre reposait sur l'eau, amené probablement à cette opinion parce qu'il avait observé que l'humide est l'aliment de tous les êtres, et que la chaleur elle-même vient de l'humide et en vit ; or, ce dont viennent les choses est leur principe. C'est de là qu'il tira sa doctrine, et aussi de ce que les germes de toutes choses sont de leur nature humides, et que l'eau est le principe des choses humides. Plusieurs pensent que dès la plus haute antiquité, bien avant notre époque, les premiers théologiens ont eu la même opinion sur la nature : car ils avaient fait l'Océan et Téthys auteurs de tous les phénomènes de ce monde, et ils montrent les dieux jurant par l'eau que les poètes appellent le Styx. En effet, ce qu'il y a de plus ancien est ce qu'il y a de plus saint ; et ce qu'il y a de plus saint, c'est le serment. Y a-t-il réellement un système physique dans cette vieille et antique opinion ? C'est ce dont on pourrait douter. Mais pour Thalès on dit que telle fut sa doctrine[9]. »

La raison de ce choix pour l'eau provient semble-t-il de l'importance de celle-ci dans la croissance et la nutrition des choses vivantes, de son rôle central dans le quotidien des Milésiens et des observations qu'on prétend qu'il a faites en Égypte quant à l'importance du Nil et des autres fleuves qui faisaient l'objet de cultes[10]. Cependant, l'originalité de Thalès est de faire de cette explication mythologique[11] un principe de connaissance physique mais aussi métaphysique ; en effet, l'unité de l'élément eau est aussi l'unité du monde comme le résume le doxographe Aetius : « Thalès et son école : le monde est un ». L'eau comme principe universel d'explication n'est présent que dans la pensée de Thalès ; « on n'en trouve pas d'écho dans le monde grec », si bien qu'il s'agit certainement d'une conception rapportée des pays à l'Est de la Grèce[12]. (fr.wikipedia.org)

Soudain le jour devint nuit. Cet événement avait été prédit par Thalès, le Milésien, qui avait mis en garde les Ioniens, donnant précisément l'année de l'éclipse. Les Mèdes et les Lydiens cessèrent leur combat dès qu'ils observèrent le changement, et furent de suite anxieux d'établir les termes de la paix.

  
L'eau est selon Thalès le principe explicatif de toute chose

   Thalès. Version islamique.

   Sharahstani de dire le concernant : Il fut le premier à s’adonner à la philosophie à Milet. Il dit : Le monde a un Créateur dont les intellects ne perçoivent pas la nature (ṣifa) du point de vue de son être[13] (huwiyya) même, on ne le conçoit que du point de vue de ses effets. Il est Celui dont on ne connaît pas le nom, ni l’être à plus forte raison, sinon en tant qu’il agit, qu’il crée, qu’il fait exister les choses. Nous en concevons donc aucun nom en nous tournant vers son essence, mais bien en nous tournant vers la nôtre.

   (…) Chose étonnante, on rapporte de Thalès la première créature est l’eau. Il dit : L’eau reçoit toute forme, et d’elle [le Créateur] a créé toutes les substances, « les cieux, la terre et ce qui est entre eux » ; elle est la cause (‘illa) de toute créature, la cause de tout ce qui est composé à partir de la matière corporelle. Il énonce que de l’eau solidifiée fut engendrée la terre et que de sa décompression fut engendré l’air ; du [plus] pur de l’air fut engendré le feu, de la fumée et de la vapeur fut engendré le ciel ; l’embrassement produit par l’éther furent engendrées les étoiles. Celles-ci tournèrent autour du centre comme ce qui est causé (musabbab) tourne autour de sa cause (sabab), parce que le désir de lui est installé en elles. / Il dit : L’eau est mâle, la terre est femelle, et elles sont en bas ; le feu est mâle ; l’air est femelle, et ils sont en haut…

   Il appert de ces indications que, lorsque Thalès dit : L’eau est la première créature, il veut dire seulement qu’elle est le principe des composés afférents aux corps [célestes], non le principe premier d’entre les êtres d’en haut. Mais, estimant que la Matière Prime accueille chaque forme, c’est-à-dire qu’elle est la source de toutes les formes, il lui assigna dans le monde corporel (ḡismî) une image qui lui correspondît en ce qu’elle accueillerait toutes les formes ; il ne trouva pas pour tenir ce rôle d’élément (‘unṣur) comparable à l’eau et il en fit donc la première créature parmi les êtres composés et il en fit sortir les deux catégories de corps, célestes et terrestres. Or [il est écrit] au Livre Premier de la Torah que le principe de la création est une substance que créa Dieu le Très Haut ; ensuite il la regarda d’un regard imposant : ses parties se liquéfièrent et elle devint de l’eau ; puis il s’éleva de l’eau une vapeur semblable à de la fumée et Dieu en créa les cieux ; puis il apparut sur la surface de l’eau une écume semblable à l’écume de la mer et Dieu créa la terre, qu’il fixa ensuite au moyen des montagnes[14] . (Op. cit.).

   Sources de Thalès.

   Pour appuyer ce qui est dit sur l’élément « eau », il apparaît très clairement que la Torah de cette époque lointaine n’avait pas subi toutes les malversations que les gens de la Synagogue et de la Torah lui feront subir par la suite. A cette époque lointaines, les Prophètes d’Israël existent en Palestine, on vivait sous l’ère toranique. Il en sera ainsi jusqu’à l’arrivée des prophètes Zacharie et son fils (sur eux la Paix !), du sceau des Prophètes d’Israël[15], le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !). Et les Sept Sages, piliers de la Sagesse, ne sont pas Fils d’Israël mais ont vécu sous l’époque toranique. Nuance !
   Présenter ainsi Thalès et les autres Sages de l’Antiquité bouleversent les données de bon nombre de gens du monde biblique (toranique & évangélique), européen ; les gens d’entre eux qui se sont donnés au fil des siècles pour religion l’Athéisme, la Mécréance, l’Agnosticisme, le Laïcisme, le Sécularisme, le Rationalisme, la Théophobie, etc.

   Le Coran, la Norme, l’exégèse.

   Une chose[16] qui apparaît très clairement dans le texte coranique : les animaux ont tous été créés à partir de l’eau[17]. Ceci n’apparaît pas dans la Torah entre les mains des gens de la Synagogue et de la Torah. Pas plus que dans le monde des chercheurs et des scientifiques[18] du monde biblique et autre.
   Deuxième chose importante, tout Fils d’Adam a été créé de deux eaux (ou semences) : mâle et femelle[19]. A l’inverse de la Torah, la création de l’être humain se trouve mentionné, décrit et détaillé dans le texte coranique. Qu’on en juge :


« Que l’homme regarde donc de quoi il a été créé ! Il a été créé d’une eau éjaculée[20] sortie d’entre lombes et côtes[21]. »




« Et Il (Dieu) a commencé la création de l’homme (Adam) à partir d’argile[22] ; puis a créé sa progéniture à partir [d’une mixtion[23]] d’une eau faible[24]. Puis, Il l’a créé (Adam) et lui a insufflé de Son esprit. Et Il [Dieu] vous a assigné[25] l’ouïe et les yeux et les cœurs[26]. Pour peu que vous soyez reconnaissants[27] ! »

 

   Puis, au divin Créateur de faire apparaître un quatrième système[28] pour montrer aux Fils d’Adam Sa science[29], Son pouvoir, Sa capacité, Sa toute-puissance. Le quatrième système sera de mettre au monde un enfant sans une semence mâle. Cas du fils de Marie. Par cette création, le Seigneur du Cosmos montrera que les théories[30] et les lois humaines ne sont parfois que vanité, prétention[31]. Et les Fils d’Israël et leurs scientifiques (docteurs, généticiens, naturalistes, etc.) de l’époque ne comprendront rien de cette création surprenante et miraculeuse, sauf un petit nombre[32]. Ils se diviseront au sujet du sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) ; s’égareront[33] et égareront[34]. Et ils resteront ainsi jusqu’au retour du fils de Marie en terre de Palestine, note le Savant.  (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] On a dit : Thalès de Milet, appelé communément Thalès (en grec ancien : Θαλῆς ὁ Μιλήσιος / Thalễs ho Milếsios), est un philosophe et savant grec né à Milet vers -625 et mort vers -547 dans cette même ville (Lucien de Samosate 2015, p. 46, note 7.). (fr.wikipedia.org).
[6] Thierry Houlle, 2010, Note 3, p. 101.
[7] Kirk, Raven et Schofield 1995, p. 94.
[8] Thierry Houlle, 2010, p. 97-98.
[9] Thierry Houlle, 2010, p. 97-98.
[10] Thierry Houlle, 2010, p. 99.
[11] L’auteur de ces lignes croit que ce qui est dit sur les éléments fait partie des contes, des légendes. Foi boiteuse, dira le Savant !
[12] Kirk, Raven et Schofield 1995, p. 97.
[13] Al-Jurjânî : L’Ipséité, le Soi. C’est la Réalité inconditionnée (ḩaqîqa muṭlaqa) enveloppant toutes les réalités dans le Mystère absolu (gayb muṭlaq), comme le noyau (nawâ) contient l’arbre (ṧajara). (Op. cit.).
[14] Suite : C’est comme si Thalès de Milet n’avait fait que recevoir sa doctrine de ce tabernacle de la prophétie : / et ce qu’il affirme à propos de la Matière Prime, qui est la source des formes, ressemble beaucoup à la Table Gardée dont il est question dans les Livres divins, puisqu’elle contient tous les statuts des connaissables, les formes des êtres et l’histoire et l’histoire des choses engendrées (kâ’inât) ; et l’eau, selon le second propos [de Thalès], ressemble beaucoup à l’eau sur laquelle repose le Trône de Dieu : « Et Son Trône étant sur l’eau » / (Op. cit. T. II).
   Voir pour le verset cité : Coran XI 7.
[15] Pour les rabbanim, le dernier des prophètes à leur peuple serait plutôt Malachie ! Nous savons tous que les Fils d’Israël, sauf un petit nombre, ne reconnaîtront pas les prophètes Zacharie et son fils, le fils de Marie (sur eux la Paix !). Pas plus qu’ils ne reconnaîtront l’Évangile du Nom, Allaha. Livre divin révélé au Messie (sur lui la Paix !). Fait inconnu des gens de l’Évangile, suivants de Paul.
[16] Remarque : Références du monde de la Synagogue et de la Torah : La Torah (cinq livres) + deux Talmuds (Babylone & Jérusalem), et d’autres ouvrages.
   Dans leurs ouvrages, la ‘tradition orale’ n’est autre que les paroles et commentaires des rabbanim, sages (khakham) rapportés dans les Talmuds sur leurs prophètes dont Mochè. Aucune parole direct de leurs prophètes.
   Références du monde de l’Évangile, de Paul, les évangiles (au pluriel dont certains évangiles dits apocryphes) + le livre des Actes de Pierre et de Paul, les lettres de Paul.
   Références de l’Islam traditionnel. Le Coran + la Tradition (ou la Norme) + le consensus.
   La ‘tradition orale’ rapporte de nombreuses paroles du sceau de la Prophétie et de ses compagnons. Chose inconnue dans le monde biblique (toranique & évangélique), aucun propos de leurs prophètes et compagnons. Seulement et éventuellement des commentaires sur eux par les rabbanim ou autres Dignitaires religieux, exégètes…
[17] Le texte coranique : « Dieu a créé toute bête à partir de l'eau. Les unes se déplacent sur le ventre, d'autres marchent sur deux pieds et d'autres sur quatre. Dieu crée ce qu'Il veut. En vérité, Dieu, sur toute chose, est Omnipotent » (Coran XXIV 45).
   Fait inconnu de la Torah, la Bible. De même, la propriété vivifiante de l'eau se retrouve dans maints versets.
[18] Ce qui met à mal leur théorie sur l’évolution. Le singe, tant aimé, à pour origine l’eau. L’humain, Adam a pour origine la terre, l’humus. Ne pas confondre ! Ces deux espèces de la création n’ont donc pas un tronc commun (Hominisation). Une théorie nouvelle voudrait dire d’ailleurs son contraire : l’animal singe descend (descendrait) de l’homme !
   Le texte coranique mentionne que les Fils d’Israël qui transgressèrent la Sabbat, au temps du prophète David (sur lui la Paix !), furent métamorphosés en pourceaux et en singes (Coran II 65 ; V 50 ; VII 166 + commentaires). Deux animaux abjects au regard de la Loi.
   Quand les gens de la Torah de Médine apprendront cela, leur colère sera au comble et se demanderont qui avait bien pu informé le sceau de la Prophétie à ce sujet ? Car c’était un secret bien gardé par les rabbanim mais que leur Seigneur dévoilera au grand jour. Idem avec le récit de la Mense (chapitre V du Coran 112-115 + commentaires.). Ceux qui mécrurent en sa descente réelle furent métamorphosés en singes et en pourceaux. Ce récit n’est pas relaté par les gens de l’Évangile. En place et lieu, on parlera plutôt d’un dernier repas du fils de Marie avec les Douze. La censure du monde biblique étant passée par là.
[19] Sperme mâle : Passe bien pour le masculin, mal pour le féminin en terres bibliques d’Europe. Lire…
   Pour l’Islam traditionnel :
D'après Mère Soulaym (que Dieu l’agrée !) le Prophète (sur lui Prière et Paix !) a dit : « L'eau de l'homme est blanc et dense et celle de la femme jaune et fine.» (Mouslim).
[20] Goutte de sperme : XVI 4, comme en onze textes.
[21] Coran LXXXVI 5-7.
[22] Coran + Bible sont d’accord sur ce sujet. Ceci à l’inverse du monde scientifique (biblique et autre) qui voit là plutôt un rôle pour la déesse dame Nature ! Gens associateurs qui associent au Créateur une déesse à Lui ! A l’instar des gens du Sabéisme d’antan lesquels font entrer dans la création des cieux et de la terre, des mi-dieux, des hommes ; une suite innombrable de « dieux » ou de « déesses » ! Enfin, comme les gens d’autres religions dont le Bouddhisme, le Dualisme (sectes occultes, gens des loges, franc-maçonnerie, de la Kabbale, etc.), le Laïcisme pour ne citer qu'eux ; le monde scientifique minimise ou efface d'un seul trait le rôle réel du divin Créateur dans Sa Création ! Rôle primordial que le croyant soumis ne saurait mettre aux oubliettes, en question ! Et en aucun cas le monde s’est créé par lui-même ou est éternel. Toute chose à un début et toute chose à une fin, note le Savant !
[23] Soit : D’une goutte [de sperme] (mâle + femelle) qui donnera par la suite des enfants mâles et femelles. 
[24] Ainsi pour la plupart des commentateurs. Nassafî : ({ مّهينٍ } ضعيف حقير) : faible, méprisable. Pour de plus amples informations sur ce sujet voir les commentaires.
[25] A sa descendance…
[26] Trois choses indispensables. D’où le remerciement que doit faire tout fils d’Adam.
  
Rappel. Selon Haaretz, 31 décembre 1995, Israël Shahak d’écrire sur Adam : ...Quittons un instant le problème de la source de ce devoir, et concentrons nous plutôt sur le sens des mots “être humain” [“Adam” en hébreux] dans la loi religieuse juive. Je ne sais pas si le rabbin entend le dicton talmudique bien connu qui sert de base à l’ensemble de la loi religieuse juive : “Vous (les Juifs) êtes appelés être humains (Adam), mais les nations du monde (c’est-à-dire les non-Juifs) ne sont pas appelés êtres humains (Adam)” ce qui limite l’usage du concept “êtres humains (Adam)” aux juifs uniquement...
   Ce concept sur Adam, père de l'humanité, sans exception, grâce à Dieu, se retrouvera avec la Religion divine : la Soumission ! Le monde de l'Évangile d'imiter leurs frères de religion, les gens de la Torah, de traduire dans leurs Écritures par fils de l'homme. Adam père de l'humanité, après la découverte par le monde biblique de nouvelles terres ; posera le problème de savoir si les gens des Amériques (Amérindiens), par exemple, étaient des humains et avaient une âme ! Chez les gens de la Bible de langue française (toranique & évangélique), on évoque Adam et Ève surtout avec tout ce qui a un rapport avec la nudité, le nudis
me (cf. Torah. Genèse 2, 25). Ainsi dira-t-on de l'homme nu, dénudé : il est comme Adam ! Ce qui est une abomination, un péché, une faute grave d'assigner à Adam et son épouse ce qui ne saurait être, note le Savant !
[27] Coran XXXII 7-9. Et comble d’horreur à la suite de cela vous mécroyez au lieu de remercier !?
[28] Les trois autres : Adam créé à partir de la Terre, son épouse à partir de lui. Leurs enfants à partir de leur semences respectives, etc.
[29] Le mécréant (ou l’athée ou l’agnostique ou le sans religion ou le théophobe ou le laïc, etc.) croit qu’en une seule science : la sienne ! Celle émise, à notre époque, des milieux scientifiques, des humains. Il refuse et écarte d’office toute science émanant de son divin Créateur. Il croit en l’Homme, en sa capacité, clame-t-il haut et fort ! Comme leurs scientifiques, ils croient que tout est explicable ! Que toute science humaine peut tout, prouver tout, subvenir à tout ! Être à la pointe du progrès, libérer l’homme d’un dieu inexistant, d’une religion contraignante ! Et à eux d’enseigner cela à leurs enfants, à l’école, en leurs cercles, lors de rencontres, débats, etc. Et combien le diable banni (que Dieu le maudisse !) est ravi d’avoir pour adeptes pareilles gens, clame Lucifer !
   Idem pour le monde biblique (toranique & évangélique). Si ce qui est dit dans le Coran est en accord avec la Bible, on l’accepte toutefois mais avec réserve, du bout des dents... Si ce qui est dit entre en contradiction avec le texte biblique, on le rejette sans explication, d’office ! Et on n’invite nullement à lire le Coran, à l’étudier.
   Le monde biblique dont le monde toranique en particulier a le visage tourné vers leurs chercheurs, historiens, philosophes, intellectuels. Si ce qui est dit de la part du monde islamique est conforme à leurs dires, on peut éventuellement l’accepter comme tel. Bien que ces derniers ne croient pas véritablement aux miracles et signes divins (Coran IV 155), ils croient volontiers aux miracles et aux merveilles de la Nature, de leurs maîtres… Leur amour pour ce bas monde est tel que bon nombre de gens de la Bible n’a que peu d’amour pour leur divin Créateur… Pareille attitude les éloignant un peu plus de Lui, font qu’ils Lui attribuent (attribueront) des Associés, des Semblables, des Égaux dans l’Univers. Voir l’Histoire sainte des Fils d’Israël !
[30] Ce qu’ils ne savent pas, c’est que nombre de secrets sont en dame Nature, en dehors des lois ou théories établies par le fils d’Adam. Ses secrets sont connus par Celui qui a créé l’Univers. Et Il les dévoile à qui Il veut d’entre Ses créatures. Encore faut-il, qu’une fois partie de Ses secrets lui sont accordés, à sa portée ; il ne devienne pas comme Coré ! Ou se défile comme Pharaon !
[31] A l’époque du fils de Marie, les Fils d’Israël se donnaient aux sciences dont la médecine, la génétique, etc. Ils se croyaient invincibles, arrivés au summum de leur pouvoir ! La naissance du fils de Marie va bousculer tout cela. Le fait qu’il pouvait, avec la permission de Dieu, guérir les gens de maladies incurables, donner la vie à une forme d’oiseau, ressusciter réellement les morts, dévoiler le secret de leurs cœurs (Coran III 49) ; tout cela allait bouleverser leur vie, mettre à mal leurs sciences dont la médecine, leur foi.
[32] La création d’un prophète sans l’intervention d’une semence mâle avait été mentionné dans la Bible originelle, dit-on. Elle sera censurée par les descendants des gens de la Synagogue et de la Torah. La Bible actuelle n’en fait pas mention.
[33] En disant entre autre que l’enfant de Marie n’était autre qu’un bâtard, fils d’une bâtarde (Coran XIX 28). Origène (185-254), dans le « Contra Celsum » dit :
   « La mère de Jésus a été chassée par le charpentier qui l’avait demandée en mariage, pour avoir été convaincue d’adultère et être devenue enceinte des œuvres d’un soldat romain nommé Panthèra. Séparée de son époux, elle donna naissance à Jésus, un bâtard. La famille étant pauvre, Jésus fut envoyé chercher du travail en Égypte ; et lorsqu’il y fut, il y acquis certains pouvoirs magiques que les égyptiens se vantaient de posséder » (C.C. I, 32 5. Cf. I, 28 10, 33 19 et 69 20. Cf. R.C. p. 355).
   « La Virginité de Marie ? Une aberration. La Bible ? Un tissu de mensonges.
  
Les théologiens ? Des pédants qui "froncent le sourcil" pour se donner l'air important.
  
Non, les femmes ne sont pas moins intelligentes que les hommes.
  
Non, les gens d'église ne devraient pas jouir de si grands biens mais, se contenter d'un peu de bouillon; non, les espagnols n'ont pas bienfait de découvrir l'Amérique, car ils ont violé la vie d'autrui. » - GIORDANO BRUNO (1548 - 1600) –
  
En vérité, combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !
[34] Les gens de l’Évangile à travers Paul. Certains croient en la création miraculeuse du fils de Marie. Mais ils mécroient lorsqu’ils voient en lui un dieu incarné, un dieu de la trinité, un fils à Lui ! De même, lorsqu’ils croient en des croyances fausses et erronées comme l’Incarnation, le Trithéisme (ou la trinité ou triade), que le Messie est co-éternel, co-créateur, co-égal, consubstantiel à Lui !
   En vérité, il n'était qu’un homme prophète messager aux Fils d’Israël (Coran III 49), et sa mère qu’une personne véridique (Coran V 75).

L'eau primordiale (« Noun ») en hiéroglyphes.




Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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02/05/17 .

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