Croyances

COSMOLOGIE, CRÉATION, UNIVERS. 

Selon les Écritures.

Au nom de DIEU, Allaha,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


Empédocle, le philosophe. Études et connaissances.


   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Suite page 1

   Cosmologie. Composition de l’Univers.

   Les éléments du monde. Les quatre éléments retenus.

   On a dit à ce sujet :

  • L’eau est un des quatre éléments avec le feu, la terre et l’air qui étaient vus par Bouddha comme les éléments de base de l’univers. Les caractéristiques de l’eau dans ce système sont le lien, le transport, la transmission, la communication, la synthèse. Les molécules d'eau s'allient et se délient des milliards de fois à chaque seconde. Du point de vue de l'unité dans l'approche symbolique, les quatre éléments forment une unité, 1, qui peut être perçue comme la quintessence des quatre éléments. Dans cette perception, la symbolique de la terre (le solide, la structure), du feu (la température) et de l'air (le mouvement) peuvent être vus dans l'eau. (fr.wikipedia.org)
  • Le monde toranique. Isaac Abravanel : La Torah enseignerait alors que si le fond des eaux a reçu la forme des ténèbres, la surface des eaux a reçu la forme de l’air. C’est ce que signifie le verset « et le souffle de D. planait à la surface des eaux », c’est-à-dire sur la face supérieure de ces éléments. La même matière première s’est donc vue impartir en sa partie médiane la forme de l’eau, en sa partie supérieure celle de l’air, et en sa partie inférieure celle des ténèbres. Quant à l’air, puisqu’il est le plus important des quatre éléments et aussi le plus subtil, il est attribué à D. L’élément feu n’est pas mentionné dans cette explication, car l’opinion des anciens était que le feu n’est pas un élément[5] et qu’il n’y a que trois éléments distincts par leurs qualités : l’eau, la terre et l’air. C’est pourquoi ces trois éléments se sont associés et ont engendré chacun une sorte d’animal : la terre a donné naissance aux animaux marchants, l’eau aux animaux nageants, et l’air aux animaux volants. En revanche, on ne trouve pas d’animal issu du feu, car celui-ci n’a engendré aucune existence. La Torah n’a donc mentionné que les trois éléments fondamentaux perceptibles à nos sens et dont personne ne peut nier la réalité, et a omis le feu dont il est plus facile  de douter et plus difficile de vérifier l’existence. Je reviendrait ailleurs plus longuement sur ce sujet. C’est aussi la raison pour laquelle on ne trouve mentionnés dans tous les Écrits saints que les trois éléments : eau, terre et air, comme on peut le voir dans ce passage du livre d’Isaïe où il est dit (Is. 40:12) : « Qui a mesuré l’eau dans le creux de sa main, qui a pris les dimensions du ciel à l’empan, qui a mesuré la poussière de la terre… Qui a pesé le souffle de D. », ou dans ces versets du livre de Job (28:24-25) : « Car Ses regards portent jusqu’aux confins de la terre ; tout ce qui est sous les cieux. Il le voit. Lorsqu’Il donna au vent son équilibre et détermina la mesure des eaux[6]. »

   Cosmologie. Composition de l’Univers.

   Le monde du Sabéisme d’Europe d’antan. On a dit à ce sujet :

L’eau est un des quatre éléments classiques mythiques avec le feu, la terre et l’air, et était vue par Empédocle comme l’élément de base de l’univers. Les caractéristiques de l’eau dans ce système sont le froid et l’humidité.

Histoire

À l’origine il s’agissait d’une hypothèse de certains philosophes grecs présocratiques et notamment d'Empédocle au Ve siècle av. J.-C., selon laquelle tous les matériaux constituant le monde seraient composés de quatre éléments, dont chacun est représenté par un symbole différent dans la tradition alchimique :

  • la Terre (symbole ) ;
  • l'eau (symbole ) ;
  • l'air (symbole ) ;
  • le feu (symbole ).

Chaque substance présente dans l’univers serait constituée d’un ou plusieurs de ces éléments, en plus ou moins grande quantité. Ce qui expliquerait le caractère plus ou moins volatil, chaud, froid, humide, ou sec (= les quatre qualités élémentales) de chaque matière. La théorie repose sur des arguments philosophiques et spéculatifs.

Les philosophes présocratiques ont imaginé une essence première en toute chose. Thalès, le premier à chercher l'élément premier, choisissait l'eau ; Héraclite voyait dans le feu l'élément premier à l'origine de toute matière[7] ; Anaximène, lui, envisageait l'air comme essence de toute chose ; enfin, Empédocle, au début du Ve siècle avant notre ère, admit que les quatre éléments réunis composaient l'univers. Pour Démocrite, l'univers était composé d'« atomes » (en grec « a-tomos », qui ne peut être coupé), c'est-à-dire de particules microscopiques insécables et éternelles, qui composeraient la matière comme des briques forment un mur et qui auraient la forme générale de l'objet (rond, pointu, concave...)[8].

(…) L'ordre ou la hiérarchie des éléments est également sujette à interprétation. D'après la première interprétation présentée ci-dessus, Empédocle nomme les éléments dans l'ordre suivant, sans expliquer pourquoi : Feu, Air, Terre et Eau. Aristote, se fondant sur l'idée que la chaleur s'élève et qu'il y a toujours de la terre sous l'eau, établit la série : Feu, Air, Eau et Terre.

La complétude de ce système est également discutable. Combien d'éléments y a-t-il ? Le jeune Aristote et l'auteur de l'Épinomis ajouteront un cinquième élément, qui est donc la quinte essence : l'Éther ; ce dernier élément, qui constitue la substrat des corps célestes, n'est pas soumis à la génération et à la corruption, aux changements de qualité ou de dimension, et il se déplace, non en ligne droite comme les autres, mais en cercle (Aristote, Du ciel, I, 2, 3), ce qui explique le mouvement circulaire des étoiles (en réalité dû à la rotation de la Terre). (fr.wikipedia.org)

   Empédocle. Avis.

 Sharahstani d’écrire à son sujet[9] : Il est du nombre des grands [philosophes], de l’avis de tous en matière de sciences sa vue était pénétrante, en matière d’actions sa conduite était aimable. Il vécut à l’époque du prophète David, sur lui soit le salut, il alla vers lui et apprit de lui la science[10] ; il fréquenta le sage Luqmân[11] et recueillit de lui la sagesse ; puis il revint enseigner en Grèce.

   Il dit : Du Créateur Très Haut l’être (huwiyya), et rien d’autre, a toujours existé ; il est la Science pure, il est la Volonté pure, il est la Générosité, la Gloire, / la Puissance, le Bien, le Vrai ; non que ce soient là des vertus (quwâ) nommées de ces noms, mais elles sont lui et lui les est toutes ensemble, Créateur seulement sans qu’il ait créé à partir d’une chose, sans qu’aucune ait été avec lui[12]. Il créa donc la chose simple, qui est le principe des [choses] simples et de l’intelligence, c’est la Matière Prime ; puis il multiplia les choses simples à partir de cette première créature simple, une et première ; puis à partir des [choses] simples il fit exister les [choses] composées. Il est le créateur de ce qui est une chose et de ce qui ne l’est pas, l’intellectif, le discursif, l’intuitif ; c’est-à-dire qu’il est le créateur des contraires et des opposés intelligibles, imaginaires et sensibles. Empédocle dit : Le Créateur Très Haut créa les formes, non par mode d’une volonté qui aurait commencé mais selon qu’il est cause, sans plus, et qu’il est la Science et la Volonté. Ainsi donc le Créateur a créé les formes en ce seul mode qu’il est leur cause. Mais la cause est indépendante de l’effet (fa-l’illa wa-lâ ma’lûl) ; sinon l’effet serait avec la cause selon un accompagnement (ma’iyya) essentiel, / et s’il est possible de dire qu’un effet est [ainsi] avec sa cause, alors dans ces conditions l’effet n’est pas autre que sa cause et [on pourra dire] que l’effet n’a pas plus de titre que la cause d’être un effet, sans que la cause ait plus de titre que l’effet d’être causée. [Puisque cela n’est pas] l’effet est donc subordonné à la cause et la suit, et la cause est cause de toutes les causes, c’est-à-dire cause [de proche en proche] de tout effet qui lui est subordonné ; donc nécessairement l’effet n’est pas avec la cause absolument d’aucune façon, sinon les mots de cause et d’effet seraient vides de sens.

   Or le premier effet [du Créateur] est la Matière (‘unṣur) ; la deuxième effet, [causé] par la médiation [de la Matière], est l’Intellect ; le troisième, [cause] par leur médiation, est l’Âme ; ce sont des êtres simples et omniprésents. Ce qui vient après eux, ce sont des êtres composés.

   (…) On rapporte qu’Empédocle a dit : Le monde est composé de quatre éléments (usṭuqsât[13]) et au-delà il n’y a rien qui soit plus simple qu’eux[14].

   Conclusion.

   Empédocle reste un être à étudier surtout s’il a vécu au temps de l’ère toranique, à l’époque du prophète David (sur lui la Paix !)[15]. Empédocle n’est pas un fils d’Israël[16], les gens de la Synagogue et de la Torah n’ont donc aucun intérêt à parler de lui et mentionner son nom dans leurs écrits. Les annales du monde biblique dont le monde toranique en particulier, n’aiment, eux, entretenir leur lecteur uniquement sur la branche sémite d’où est issu Isaac (sur lui la Paix !). Enfin, deux prophètes[17] sont peu aimés des gens de la Synagogue et de la Torah : Le prophète[18] roi David (sur lui la Paix !) et le sceau des Prophètes[19], le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !). Et pourtant à chacun d’eux sera révélé un Livre divin[20]. N'en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux adversaires et opposants de la Religion divine : la Soumission !  (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Très important. De ce fait, le monde biblique dont toranique ignore complètement de quoi fut créé le Démon (que Dieu le maudisse !), le monde des génies et les démons.
   Quant aux philosophes du monde biblique, ils s’aligneront sur les philosophes grecs.
[6] V. Commentaire du récit de la création. Edit. Verdier.
[7] Penchait vers le Démon, Lucifer, Iblis (que Dieu le maudisse !).
[8] Suite : C'est à l’époque des croisades, au XII
e siècle en Terre Sainte, et de la reconquista en Espagne, que le savoir des Grecs et la théorie aristotélicienne des éléments a pénétré en Occident par l’intermédiaire des Arabes. Or, ces derniers ont essentiellement conservé dans leurs écrits l'enseignement d'Aristote. Celui de Démocrite ne s'est pas transmis, et aujourd'hui encore, nous ne connaissons les textes de Démocrite que de manière lacunaire, à travers ce que certains auteurs, en particulier Aristote, nous en disent. Les scolastiques du Moyen Âge reprendront ces spéculations sur la quaternité de la nature à leur compte et l’incluront dans leur vision chrétienne du monde. (fr.wikipedia.org)
   « par l’intermédiaire des Arabes ». L’époque où la présence islamique était en terre ibérique. C’est l’époque de gens comme Averroès ou ibn  Ruchd… lequel reste une référence pour le monde biblique, non jamais pour l’Islam traditionnel.
[9] V. Livres des religions et des sectes. Traduction Jean Jolivet et Guy Monnot. Edit. Peeters/UNESCO.
[10] A ce stade là, il reste une référence.
[11] Un chapitre du Coran porte son nom : XXXI. Personnage inconnu du monde biblique.
[12] N.t.T. : D’après Qifṱi, 16, Empédocle aurait été le premier à professer un rigoureux monothéisme ; Ibn Abï Uṣaibi’a le rapproche sur ce point d’Abû l-Huḏayl (‘Uyûn, I, 36-37). Voir aussi Muntaḫab, B 87, D 7-8).
   Voilà là un avis qui tranche singulièrement avec l’avis souvent exposé et répandu par le monde biblique d’Europe qui voudrait : 1) que la foi en un Dieu Un (et en l’occurrence aussi en un dieu Créateur) et le Monothéisme sont l’apanage exclusif du monde toranique à cette époque lointaine. Dans ce milieu, on ne tolère pas en effet que d’autres Fils d’Adam puissent partager ceci. 2) Le cercle des Philosophes d’Europe est fier de ses philosophes et le présente à leurs élèves et affidés comme gens de la mythologie égypto-gréco-romaine. Gens du Sabéisme d’antan, gens athées, mécréants, associateurs. Ainsi, en terres d’Europe biblique, foi et philosophie ne seraient s’accorder, faire bon ménage. L’un tirant vers le Haut, le Paradis, l’autre vers le Bas, le Feu éternel. Par contre, le Politique et une certaine philosophie de faire bon ménage, le bon dieu, depuis 1789 (exemple de l’Hexagone), ayant été ‘viré’ du Ciel, de la Terre, de l’espace public, selon leurs dires, les dires des révolutionnaires !
Dans Paris Maçonnique : « ...La symbolique révolutionnaire cachait mal une religion antédiluvienne : la Liberté de Lemot n’était qu’un des nombreux masques d’Isis, la Veuve, la mère des Fils de la lumière. Osiris de substitution, Louis XVI allait être la victime sacrificielle de rites remontant à la nuit des temps : « La tête de l’homme qui roule dans le panier, éclaboussée de sang, se substitue au globe éclatant qui roulait dans les cieux : tel est le sacrifice humain, d’une aveuglante clarté, par lequel l’Homme établit son règne sur la Terre en même temps qu’il vide les cieux de la présence divine ». (Op. cit.). Elémire Zolla, qui dans son ouvrage « Sorties du monde » (« Uscite dal mondo », éd. Adelphi, Milan, 1992, p.468) écrit : « Pour sa sociologie du sacré, chaque guerre civile pratique une effusion de sang gratuite et atroce ; la République tire sa force du rite de magie noire que fut la décapitation de Louis XVI. » A méditer clame Lucifer en transes !
   Présentation d’Empédocle. Exemple :
  
Le texte fondateur se trouve chez Empédocle (vers 460 av. J.-C.):
   « Connais premièrement la quadruple racine
   De toutes choses : Zeus aux feux lumineux,
   Héra mère de vie, et puis Aidônéus,
   Nestis enfin, aux pleurs dont les mortels s'abreuvent. » (Empédocle, fragment B 6 : Les présocratiques, Gallimard, coll. « Pléiade », 1988, p. 376).).
   Ce texte peut être interprété de deux manières différentes : on peut penser que Zeus, dieu de la lumière céleste, désigne le Feu ; Héra, son épouse, l'Air ; Aidônéus (Hadès), dieu des enfers, la Terre ; et Nestis (Poséidon) l'Eau. Mais Stobée, lui, y associe à Héra la Terre (principe féminin) et à Aidônéus l'Air (principe masculin).
Empédocle ajoute aux quatre éléments matériels deux forces spirituelles. Diogène Laërce le dit à propos d'Empédocle : « Ses théories étaient les suivantes : il y a quatre éléments, le feu, l'eau, la terre et l'air. L'Amitié les rassemble et la Haine les sépare » (VIII, 76).
L'ordre ou la hiérarchie des éléments est également sujette à interprétation. D'après la première interprétation présentée ci-dessus, Empédocle nomme les éléments dans l'ordre suivant, sans expliquer pourquoi : Feu, Air, Terre et Eau. Aristote, se fondant sur l'idée que la chaleur s'élève et qu'il y a toujours de la terre sous l'eau, établit la série : Feu, Air, Eau et Terre.
La complétude de ce système est également discutable. Combien d'éléments y a-t-il ? Le jeune Aristote et l'auteur de l'Épinomis ajouteront un cinquième élément, qui est donc la quinte essence : l'Éther ; ce dernier élément, qui constitue la substrat des corps célestes, n'est pas soumis à la génération et à la corruption, aux changements de qualité ou de dimension, et il se déplace, non en ligne droite comme les autres, mais en cercle (Aristote, Du ciel, I, 2, 3), ce qui explique le mouvement circulaire des étoiles (en réalité dû à la rotation de la Terre). (fr.wikipedia.org).
  « on peut penser que Zeus, dieu de la lumière céleste, désigne le Feu… »
   Le monde biblique (toranique & évangélique) et un certain monde philosophique dont il se réclame, semblent tous deux confondre – Feu - et – Lumière ! Cette confusion se retrouve avec Moïse et le récit du ‘buisson ardent’. Pour le texte toranique entre les mains du monde biblique, Moïse voit un feu (et : L'ange de l'Éternel lui apparut dans une flamme de feu, au milieu d'un buisson. Ex. 3 2).
   Pour le commentateur coranique, ce qui semble apparaître au loin, c’est un feu. Mais il sera vu, de plus près, par Moïse en une lumière. Car Feu et Lumière ne sauraient se rassembler et avoir une même signification (à l’inverse du monde toranique). Dieu est la Lumière des cieux et de la Terre (Coran XXIV 35), soit le Guide. Ses Écritures sont une lumière (Coran V 25, 44) Il sort les gens du Ténèbre à la Lumière (Coran II 257). On ne saurait dire de même de l’élément Feu et de sa présentation.
[13] Mot d’origine grecque, il s’agit de l’élément du composé (usṭuqus).
[14] Encore une fois, on remarquera que le monde biblique d’Europe, le cercle de leurs Philosophes dont ils se réclament, se garde bien de présenter Empédocle ainsi. Preuve aussi que ses œuvres ou écrits seront soumis à la censure au fil des siècles. Et Dieu est plus Savant !
[15] Ce que relate pas les Annales bibliques.
[16] Un handicap sérieux pour lui. Il peut-être considéré comme éventuellement un roûm (byzantin), descendant d’Ésaü. Cette branche sémite que les gens de la Synagogue et de la Torah tente coûte que coûte de faire disparaître de la circulation, de leurs écrits, tant leur haine et leur animosité envers Ésaü sont sans limite, note l’observateur.
[17] V. Coran V 78-79 + commentaires.
[18] La majorité du monde biblique (toranique & évangélique) reconnaît David que comme roi des Fils d’Israël à son époque. Roi et prophète à la fois : nullement !
[19] Pour les gens de la Synagogue, le sceau des prophètes d’Israël serait plutôt Malachie ! Ils refusent de reconnaître les prophètes Zacharie et son fils, le Messie (sur eux la Paix !). Les gens de l’Évangile, suivants de Paul, reconnaissent Zacharie, certes, comme prêtre, son fils comme prophète. Quant au sceau des Prophètes d’Israël, le Messie fils de Marie, les suivants de Paul l’élèveront au niveau d’un dieu incarné, un fils de la Divinité non jamais comme un prophète messager aux Fils d’Israël, un homme prophète ! Aussi, au sceau des Écritures, le Coran de démentir et de réfuter leurs dires (Coran IX 30 ; V 17, 72, 116, etc.).
[20] Soit : le Psautier pour David (Coran IV 163 ; V 78 ; XVII 55, etc.), l’Évangile (au singulier) pour le Messie. Les gens de la Synagogue et de la Torah ne reconnaissent pas ces deux Livres révélés comme Livres divins révélés à leur peuple : les Fils d’Israël.
   Les gens de l’Évangile, de Paul, aiment mentionner le Psautier, sans plus. Et concernant l’Évangile, ils parleront d’évangiles (au pluriel), et en aucun cas de livre révélé aux Fils d’Israël. D’ailleurs, ils ignorent tout sur l’endroit, le lieu où fut révélé ce Livre divin au Messie.



On a dit : La barbe ne fait pas le philosophe... la sandale d'Empédocle, si !


Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

*Droits de reproduction et de diffusion réservés ; © Le Carrefour de l’Islam
  Usage strictement personnel. L'utilisateur ne peut traduire, exporter, publier tout document du site sans autorisation préalable. L’utilisateur du site reconnaît avoir pris
connaissance du droit d’usage, en accepter et en respecter
    les dispositions.
         Politique de confidentialité du site.


Retour au menu

Copyright © 2001 Le Carrefour de l'Islam. Tous droits réservés.
Cette page a été mise à jour le
01/05/17.

annuaire