La présentation de la Religion divine : l'Islam par le monde biblique : l'Intolérable !

Pour preuve :

LE CORAN ASSIMILÉ AVEC UNE IDÉOLOGIE ATHÉE DU MONDE BIBLIQUE : LE NAZISME ! 


Pic by Jay D. Dyson (noter au passage où est mis la croix gammée !)

ISLAM associé  à :

ISLAM = FASCISME/NAZI

SECONDE PARTIE

"Une nation qui produit de jour en jour des hommes stupides achète à crédit sa propre mort spirituelle." Martin Luther King Extrait de "La force d’aimer"
   Retour au néant. « Pour mieux combattre les Palestiniens, il faudrait s'inspirer des méthodes de l'armée allemande lors de l'assaut contre le ghetto de Varsovie », a suggéré un officier israélien opérant dans les Territoires occupés lors d'un briefing, rapporte le journal israélien Maariv (traduit dans Courrier International du 14 février), qui ajoute que le chef d'état-major général, Shaul Mofaz, ne l'a alors nullement désapprouvé. (Source : F&D du 1er au 15 mars 2002. N° 127).
   Faits troublants. Escradrons de la mort juifs. Après des années d'atermoiements, les autorités judiciaires allemandes, notamment le procureur général de Nuremberg qui a refusé de céder aux pressions, Klaus Hubmann, viennent finalement d'ouvrir une enquête criminelle sans précédent sur les escadrons de la mort juifs, dont nombre sont devenus cadres du Mossad, responsables de l'assassinat de personnes suspectées d'être des nazis après la Seconde Guerre mondiale. L'affaire avait débuté il y a deux ans lorsque deux Israéliens âgés, Leipe Distel et Joseph Harmatz, membre du Nokim (mot hébreu pour Les Vengeurs), avaient revendiqué avec satisfaction, dans une enquête télévisée, avoir appartenu à un escadron de la mort, dirigé depuis Tel-Aviv, qui avait pour charge, entre autres, d'empoisonner à l'arsenic des milliers de prisonniers allemands détenus dans un camp américain proche de Nuremberg. S'étant fait embaucher à la boulangerie du camp, il leur fut fourni de l'arsenic en grande quantité, destiné à imbiber 3 000 miches de pain, qui constituaient la nourriture de base des prisonniers. On ignore encore aujourd'hui si il y eut des morts mais les registres ont conservé la trace de plusieurs centaines de prisonniers gravement malades à l'estomac. Pour Harmatz, 74 ans, «nous, les juifs, nous avons agi avec la morale pour nous. Les Juifs ont un droit à se venger des Allemands.» Quant à Rafi Eitan, ancien directeur des opérations du Mossad, il résume ainsi les actions du Nokim, qui se comptèrent sans doute par centaines : « Ils ne s'embarrassaient pas de procès. Ils se contentaient d'exécuter tous les nazis qu'ils trouvaient. Pour eux, les actes se justifiaient au regard de la règle biblique : Oeil pour oeil, dent pour dent." » Depuis Tel Aviv, Harmatz trouve cette enquête «ridicule» : « Ces des gens idiots. De toute façon, je ne reconnais pas l'Allemagne. Et je n'ai certainement pas l'intention d'y aller. Et les autorités israéliennes ne lui permettront jamais de venir ici pour nous interroger. Nous en avons assez des interrogatoires des Allemands. » (Source : F&D du 15 au 20 avril 2002. N° 130).
   Extradition nulle et non avenue. Remarquable n° de la revue belge, Le Révisionniste pour une vision historique objective (BP 256, B-Bruxelles 5, Belgique) qui consacre l'essentiel de son n° au camp d'extermination (après 1945) de Zgoda (Pologne), dirigé par le commandant Solomon Morel, actuellement réfugié en Israël et poursuivi pour crimes contre l'humanité (mais que l'Etat hébreu se refuse à extrader). (Source : F&D du 15 au 31 octobre 2002. N° 140).
   "Les juifs en tant qu'individus sont de grandes personnalités – talentueux, ambitieux, intelligents, rapides. En tant que peuple, cependant, je ne les placerai pas aussi haut. Mais les juifs savent comment haïr". Cette opinion – autorisée – a été émise par Ariel Sharon, dans une interview accordée le 1er février au quotidien israélien Yedioth Aharonoth, et citée le lendemain dans le Los Angeles Times. Elle prend toute sa valeur 20 siècles plus tard à la lumière des paroles rapportées sur les gens de la Thora dans le Coran et de la Tradition… 

SOUMIS = CRIMINELS ?

   La lutte qui s’est engagée est une lutte de longue haleine, qui concerne le monde islamique où qu’il soit car le message est d’une simplicité effrayante : les soumis (entendre : les musulmans) sont appelés, par monts et par vaux, gens criminels par les adversaires et détracteurs de la Religion divine : l'Islam ! Y voir ou espérer autre chose est la pire des inconsciences ! Quand les adversaires et détracteurs de l'Islam ont semé la haine dans le cœur des Fils d'Adam qui viennent de caricaturer le Messager de l'Islam, ils l’ont fait en connaissance de cause. Ce monde indigne auquelle la presse et les médias ont offert leur plume déshonorant du même coup leur métier à tout jamais…
   Les articles, revues, lois, pamphlets, interviews, anti-islamiques que dénonce l'observateur lucide, les émissions audiovisuelles à vous glacer d’effroi, tout ceci a contribué à la situation que le monde découvre aujourd’hui, en feignant de n’avoir rien vu venir.
   On rétorquera que les articles des opposants, adversaires et détracteurs de l'Islam cités ne sont pas sérieux, qu’ils sont utilisés au nom de la liberté d'expression et qu'ils ne sont pas à prendre à la lettre. Soit. Toutefois, nous mettons au défi quiconque se penchera sur leur contenu, d’en ôter les passages se référant au Coran ou à la Tradition, et de nous démontrer qu’ils ne sont pas assimilés aux pages de « Mein Kampf », d'Adolp Hitler !

   Voilà le danger auquel doit faire face le monde islamique. Il est aujourd’hui la seule Communauté confrontée directement à la haine et l'inimitié du monde biblique (croyants & incroyants). Le double langage qui consistait à parler un jour d'amitié, en coulisse pour ravir les esprits faibles, et de lutte le lendemain aux masses européennes bibliques chauffées à blanc, ne les a pas gêné outre mesure durant de longues années, pendant que les civils de Terre sainte tombaient les uns après les autres sous les bombes des "oiseaux de malheurs", chars..., soient expulsés de leurs terres... mis à l'index. 

   En ce qui concerne notre Communauté, les choses doivent être claires : se lèvera t-il un homme demain qui comprenne que l’on ne pourra jamais composer avec un peuple qui a pris en aversion sa religion ? Rayer l'Islam de l'espace européen, français, n’est pas seulement le rêve d’un homme biblique (croyant & incroyant). Celui-ci ne fait que cristalliser les haines en essayant de soulever l’ensemble du monde biblique contre le monde islamique.
   Et il n’est pas le seul. Démon, âme et désir c’est le même combat. La Palestine étant terre sainte depuis toujours, à leurs dires, les Arabes comme l'ensemble du monde islamique, entendez ceux qui sont venus y apporter l'Islam comme religion, sont des usurpateurs. Oubliés les siècles qui ont précédé l’annonce de la venue du sceau de la Prophétie, le Prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !) et de sa religion : l'Islam…

   Dans un monde qui voit le discours anti-religieux se libérer, qu’il soit membre du Partissisme de droite comme de gauche, la diabolisation de la Religion divine : l'Islam a de quoi nous effrayer. C’est devenu monnaie courante de fustiger les « croyants pratiquants », n’est-ce pas ô gens de la Bible ? Ô gens du Partissisme ? Ô gens de l'Idéologie régnante ? Ô gens de l'Athéisme et de la Mécréance ? Ô détracteurs de l'Islam ? 
   Quant au Faux-Messie qui rêve de dominer le monde avec ceux qui le suivront, il est écrit qu'un jour viendra où celui-ci régnera pour un temps sur le monde... Personne ne pourra plus dire, l’ayant vu, en chair et en os, à Jérusalem ; qu’il n’est pas avec le monde toranique, et qu'alors la Vérité ne triomphera pas sur l'Erreur...
   Devant ce défi que représente de notre temps la haine du croyant soumis pratiquant, l'homme de demain en Terre sainte ou ailleurs, aura la lourde tâche de défendre la Communauté partout dans le monde car ce ne sont plus les seuls arabes au Châm qui sont concernés. L’utopie qui voudrait que des amitiés soient possibles avec le monde biblique, au nom de la tolérance, ne doit pas faire baisser la garde. Sinon, il ne restera de notre religion que le nom !

   Theodor Herzl avait promulgué le 12 juin 1895 " Nous ferons disparaître comme par enchantement (...) la population sans le sou de l’autre côté de la frontière (...) tout en lui refusant tout emploi dans notre pays. " (Raphael Patai, ed, "Les Carnets complets de Theodor Herzl" (The Complete Diaries of Theodor Herzl) (New York, 1960), page 88.). Avis aux amateurs !

   Au divin Créateur de révéler : 
  
« Désignerons-nous des Soumis comme des criminels ? Qu'avez-vous ? Comment jugez-vous ? Est-ce que vous avez un Livre où vous étudieriez, où en vérité vous trouveriez à coup sûr ce que vous choisiriez ? Ou bien est-ce que vous avez obtenu de Nous des serments valables jusqu'au jour de la Résurrection, qui obtiendraient vraiment ce que vous jugez ? » (Coran LXVIII 35-39) 
   Et aux criminels, quel sort les attendent (Coran LIV 47, etc.).

Vous avez dit "sémite" !

   Sens. Selon Oxford Universal Dictionary : le mot sémite a été employé pour la première fois en 1875, et décrit une personne qui appartient à la race englobant presque tous les peuples des descendants de Sem, le fils de Noah, d’après la Genèse, chapitre 10, de l’Ancien- Testament, et dont la langue maternelle est une langue sémite - d’où les Akkadiens, les Phéniciens, les Hébreux, les Araméens, les Arabes, les Assyriens…
   L'année de grâce évangélique 1800 et plus, est loin de donner naissance à un siècle futur de "Lumières", comme voudrait tant nous l'expliquer les partisans de l'Idéologie régnante, gens du Partissisme, de la Philosophie et autres ! C'est plutôt l'inverse que constate l'observateur chez le monde biblique d'Europe ! L'Émancipation de la tutelle divine ne donnera-t-elle pas à certains des ailes pris d'un Démon endiablé, des airs diaboliques... ? Pour certains, l'antisémitisme et l'antisionisme sont d'origine musulmane, à l'instar de David Saphira (voir ci-joint). D'autres, estiment, qu'on ne peut évidemment pas parler d’ « antisémitisme » de la part d’Arabes qui sont eux-mêmes des Sémites. Il faut donc parler d’anti-judaïsme, ce qui constitue une approche religieuse et non pas ethnique du problème.   

Nous dirons : Le problème du monde toranique, du monde de la Synagogue en particulier, et vis-à-vis du monde arabe, est de deux ordres, selon nos pieux Savants :
   1) familiale et par extension
   2) religieux

Leur négationnisme.
   Leur négationnisme est patent, note l'observateur lucide. Cette volonté de nier, par exemple, l'existence d'un Dieu unique pour tous, ou d'une divinité : Dieu du ciel et de la terre, est propre aux gens de la Synagogue. Pour preuve :

   Le Behaye, Toldot Itzhak et le Ramban écrivent : Quand Abraham était en terre d'Israël, il disait que Dieu régnait sur la terre d'Israël. Abraham affirmait cela en opposition aux dieux des idolâtres ; hors de cette terre, les païens adoraient les idoles, c'est pourquoi Abraham dit : « Dieu des cieux qui m'a pris de la maison de mon père et de mon pays natal. » Dieu du ciel car, hors de la terre d'Israël, Dieu était reconnu uniquement comme Dieu du ciel et pas comme celui de la terre. (Le commentaire sur la Torah. Jacob ben Isaac. Edit. Verdier).  

   Les Savants reconnaissent que c'est là une habitude, une coutume rabbinique, de chez les gens de la Synagogue que de faire mentir leurs Patriarches et leurs Prophètes (sur eux la Paix !) ! Aussi, Le décrivent-ils d'une façon qui ne convient pas à Sa dignité, à Son rang ! En vérité, combien le Prophète Avraham (sur lui la Paix !) est au-dessus de ce qu'ils décrivent et lui associent ! Secundo : le Coran réfute pareille allégation (Coran XIII 16, etc.) ! Troisièmement : une telle parole ne sera-t-elle pas reprise par les gens du Dualisme (loges, sectes occultes, etc.) ? Et pour les gens du Partissisme de 1789, le divin Créateur se verra-t-il pas : 1) retirer toute autorité sur l'ensemble de Ses créatures, 2) être ni le Dieu du ciel et de la terre ? Répétons-le donc encore et sans cesse : « Un peuple qui a renié son Dieu et son Livre saint est un peuple mort... » !

   Autre négationnisme.

   De même, le monde de la Synagogue nie à la création un père commun : Adam (sur lui la Paix !) ? N'a-t-on pas écrit à ce sujet :

   Les âmes des Juifs sont des parties de Dieu, de la substance de Dieu, de même qu'un fils est la substance de son père. (Traité Sela 262a)    
   Aussi une âme juive est-elle plus chère, plus agréable à Dieu que toutes les âmes des autres peuples de la terre. (Sela I.C. et Sefa Fol 4)       
   Les âmes des autres peuples descendent du démon et ressemble à celle des animaux. Le Goy est une semence de bétail. (Traité Jebammoth. Sefa et Sela id. Sepher Hannechamma. Fol. 221. Col. 4. Jalqût. Fol 154b)     
   Tous les Goyim vont en enfer. (T. Sepher Zerov Hamor. Fol 27b et Bachai 34. Masmia Jesua. Fol 19. Col. 4)    
   Les Juifs auront l'empire temporel et le monde entier. (Perus Hea-misma. Ad Tr. Sab. Ic.)

   En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, Dieu le Père (le Seigneur) est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !

   Place des autres peuples selon le monde de Synagogue. Ses dérives.

   Mais dirons-nous aussi, que pensent le monde toranique, dont le monde de la Synagogue, des autres peuples, tribus, nations du monde ?  

   Dieu a mesuré la terre, il a livré les Goyim aux Juifs. (Baba Quamma. Fol. 37b.)    
   Les Goyim ont été créés pour servir le Juif jour et nuit. Dieu les créa sous forme d'homme en l'honneur du Juif car il ne peut convenir à un prince (et tout compatriote de Juda, le pendu, est un prince) d'être servi par un animal sous forme de quadrupède. (Sepher Nedrash Talpoth).    
   Note : Goys, Goyim : entendre : personnes non-juives. Ne faisant pas partie du monde de la Torah. 

   En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, Dieu le Père (le Seigneur) est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent ! Peut-on imaginer, de notre temps, qu'un peuple en serve un autre ? Y aurait-il un problème de castes comme dans l'Hindouisme ? Être abaissé au niveau animal, est-ce là l'enseignement des prophètes Mochè et Haroun (sur eux la Paix !) ? N'est-ce pas les faire mentir et menteurs ? Commanderaient-ils la turpitude et le blâmable à leur peuple ? Vraiment l'enseignement du monde toranique est loin de l'enseignement des Prophètes (sur eux la Paix !). Très loin même.

Le monde de la Synagogue. Ses prétentions. L' infaillibilité du monde de la Synagogue. Leur abus.

Paroles qui font froid dans le dos. Exemples :

   Celui qui méprise les paroles des rabbins est digne de mort.     
   Il faut savoir que les paroles des rabbins sont plus suaves que celles des prophètes. (Midras Misle, fol. 1).
  
La crainte du rabbin est la crainte de Dieu. (Yadchaz hileh Talmud Thora, perq 5-1)    
   Les rabbins ont la souveraineté sur Dieu. (Traité 6 Madkatan 16)    
   Celui qui étudie le Talmud ne tombera jamais dans le besoin mais il y puisera l'art de tromper. (Tr. 19 Sota 216).    
   Si les Juifs suivent le Talmud ils mangeront pendant que les Goys travailleront. Sinon ils travailleront eux-mêmes. (Tr. Beras chor 351-b)  
 

   Le monde de la Synagogue a élevé ses dignitaires : sages, rav, rabbins, docteurs, talmudistes, cabalistes,  etc., bien au-dessus du Saint et Seigneur d'Israël et des mondes ! Dans l'Islam traditionnel, ce sont les Savants qui sont invités à craindre leur divin Créateur, et non l'inverse  (Coran XXXV 28). En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, Dieu le Père (le Seigneur) est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent ! Secundo : la religion biblique, et selon la parole coranique, a été construite sur la perversité et la transgression. Pour preuve :  


  

Traduction :

   « Et tu verras [ô Mohammad] beaucoup d'entre eux concourir en péché, l'outrepassement et la consommation avide des gains de leur vénalité. Combien mauvais est donc mauvais ce qu'ils oeuvrent ! 
   Pourquoi les rabbins et les docteurs ne les interdisent-ils pas de parler en péché et d'être avides des gains de leur vénalité ? Combien est donc mauvais ce qu'ils oeuvrent ! » (Coran V 62-63)

   On rapporte, selon les commentateurs, qu'à cet endroit le terme "ithm" (péché) est à prendre dans le sens de "koufr" (impiété-dissimulatrice) ; en réalité, il désigne ici toutes les formes de désobéissance. Le terme "oudwan" (outrepassement) désigne le fait de passer outre, en quelque domaine que ce soit, à toute "limite normative" (hadd) instituée par Dieu. 

   "Combien mauvais est donc mauvais ce qu'ils oeuvrent !" Dieu blâme à présent les rabbins et docteurs parmi les Juifs en leur rappelant combien mauvais aussi est ce qu'ils font, eux, lorsqu'ils s'abstiennent d'interdire aux autres Juifs de se livrer à de tels actes de désobéissance, notamment lorsqu'ils ne leur interdisent pas « de dire des paroles de péché » : de prononcer par exemple des jugements contraires à l'ordre de Dieu à propos de la lapidation et du paiement du prix du sang ou d'affirmer de surcroît que c'est là le jugement même de Dieu. 
   Dieu les blâme aussi de ne pas les empêcher « d'être avides [des gains] de leur vénalité (souht) » combien mauvais est ce que font ces rabbins et docteurs lorsqu'ils ne les empêchent pas de se laisser soudoyer pour modifier leur jugement ou pour affirmer des choses contraires à la vérité. 

   Et dans un autre verset :
   « Ho, les croyants ! Beaucoup de docteurs et de moines, en vérité, dévorent les biens des gens, au nom du faux, et empêchent [font barrage pour accéder au/] du sentier de Dieu. » (Coran IX 34)

   "Beaucoup... les biens des gens" Selon les commentateurs, ceux-là mangent les biens de l'ici-bas moyennant la religion, leurs rangs et leur présidence des gens. A l'époque de l'Ignorance, les rabbins juifs recevaient des cadeaux, tributs, taxes. Quand Dieu envoya Son prophète, ils continuèrent dans leur égarement et leur dénégation, dans l'espoir de préserver ces privilèges. 
   "empêchent..." En plus de l'illicite qu'ils mangent, ils empêchent les gens de suivre la Vrai, en couvrant le Vrai par le faux, et en disant qu'ils appellent au bien, alors qu'ils appellent en vérité au Feu. 

   Le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, Dieu le Père (le Seigneur), commanderait-Il la turpitude, le mal, le blâmable à travers Ses prophètes-messagers (sur eux la Paix !) ? Nullement. Tel n'est pas le cas de ceux qui viendront après eux et se réclameront d'eux ! Exemple des Dignitaires religieux du monde bibliques (toranique + évangélique). Paroles du Messie (sur lui la Paix !) à leur encontre. 

Le monde toranique et l'Europe. 

Selon David Saphira, le monde islamique est peu fréquentable. Pour preuve :

A la lueur de ces réflexions et des évènements historiques commémorant la quarantième année de Nostra Aetate, les conclusions s'imposent d'elles-mêmes. L'antisémitisme d'origine musulmane et l'antisionisme viscéral ne pourront être sérieusement combattus s'il ne s'ouvre pas en France ou ailleurs un début de dialogue interreligieux comme il s'en est ouvert avec la chrétienté, au lendemain de la plus grande extermination du Peuple Juif par des peuples d'origines chrétiennes.

   Question : Qu'est-ce que l'anti-sémitisme d'origine [prétendue] musulmane ? Et où puise-t-il sa source ? A entendre partie du monde biblique, la réponse est toute trouvée : dans le Coran ! Et comprendre, toujours selon le monde toranique : le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes qui a révélé la Bible (originelle) + le Coran, est donc une divinité anti-sémite par excellence ? ! Combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes est au dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent ! 

   Ils ont dit.

   Anti-sémite. Autrefois, ce mot avait un sens particulier. Mais l'entrée de l'Islam dans le paysage cultuel des Gaules, change la donne. Jean Izoulet d'écrire notamment dans les années 1926 : 
Il y a deux Antisémitismes principaux :
1° L'Antisémitisme philosophique et politique, qui accuse les Juifs de saper, de miner, de ruiner, chez nous, la Religion et la Patrie ; 
2° L'Antisémitisme moral et économique, qui accuse les Juifs de perturber les mœurs commerciales et financières de la Chrétienté.
Et souvent les deux Antisémitismes se conjuguent, [...]. 
[...] Je voudrais réviser un procès de vingt siècles. 
D'où vient l'animosité entre Israël et la chrétienté ? De bien des causes, sans doute. Mais la principale, quoi qu'on en dise, est et reste la question religieuse. 
Je sais bien que beaucoup le nient avec véhémence, que beaucoup vont déclarant : « Entre Israël et la chrétienté, la question religieuse n'est rien, c'est la question ethnique qui est tout. »
Le juif peut avoir telle ou telle religion, qu'il voudra : peu importe ; de cela nous n'avons leure ; cela nous regarde pas. 
Mais le Juif est d'une autre race que nous, d'un autre sang que nous ; et c'est cela qui nous regarde
Le Juif est un sémite, non un aryen ; le Juif est non d'Europe, mais d'Asie. Qu'il retourne donc en Asie, car notre fibre et la sienne ne sauraient s'accorder. 
Telle est la thèse de l'antisémitisme actuel. (Paris, capitale des religions. Edit. Albin Michel. 1926).  

   Jean Izoulet d'écrire encore : Le conflit Judéo-chrétien ne peut prendre fin que par la double révision du procès du Christ : 
1° Révision de la condamnation matérielle du Christ par Israël ; 
2° Révision de la condamnation morale d'Israël par la Chrétienté. (Paris, capitale des religions. Edit. Albin Michel. 1926).
 

   L'organe des sionistes russes en exil à Paris, Rassvet, écrivait en 1922 : « Les bolcheviks juifs contribuent eux-mêmes à la montée de l'antisémitisme en Russie soviétique par leur conduite souvent déplacée. C'est la vérité vraie. » N'est-ce pas la parole divine :
"Nous avions pris l'engagement des Fils d'Israël, très certainement, et Nous leur avions envoyé des messagers. Mais chaque fois qu'un messager leur apporte ce que leurs âmes ne désirent pas, ils traitent les uns de menteurs et ils tuent les autres." (Coran V 70, etc. ; Bible. I Rois 9/10, 14 ; Néh. 9/26 ; Mt. 23/30-31 ; Lc. 11/47, 51 ; Rom. 11/3). Les rabbis, rav et sages refusent de reconnaître tout ceci. Selon eux, les Fils d'Israël et les Judaïsés n'ont tué personne d'entre les prophètes d'Israël. 

   Soljenistsyne cite Salomon Lourié qui, en 1920, en était arrivé au même point que B. Lazare : « Le cours des évènements confirmait de façon éclatante la justification des conclusions auxquelles il était arrivé, à savoir que la cause de l'antisémitisme résidait chez les Juifs eux mêmes » 

   Grigori Landau, homme toranique et émule de B. Lazare, disait à propos de ses congénères : « Ils soupçonnent et accusent d'antisémitisme toutes les nationalités qui nous entourent. Ceux qui expriment des opinions défavorables aux Juifs sont considérés, par eux comme des antisémites déclarés et ceux qui ne le font pas, comme des antisémites cachés. »

   Question : Comment le monde de la Synagogue, talmudique, perçoit-il, par exemple, Ismaël et Esaü ?

   Pour Esaü... 

   Voir tout d'abord ce que des enfants juifs pensent des Arabes en Terre sainte, à notre époque ! De même, ce que pensent le monde de la Synagogue d'Ismaël, fils d'Avraham (sur eux la Paix !). Le monde biblique refuse absolument de le reconnaître de la Maison de la Prophétie, d'être un prophète du Saint et Seigneur d'Israël et des mondes au même titre que les autres ! Et à eux d'inventer, en leurs commentaires de la Torah notamment, toute une série de légendes invraisemblables. Qu'on en juge : 

   Commentaire (Gen. 16:4) : Abraham se rendit auprès d'Hagar qui fut enceinte. Hagar dit à Sarah qu'elle ne devait être vraiment pieuse car Abraham était marié depuis des nombreuses années, mais elle n'avait pas de descendants. Elle ajouta : « Moi, je suis allée une seule fois avec lui et me voilà enceinte. » Hagar rabaissa sa maîtresse. Sarah dit à Abraham : « Regarde la honte dont je suis accablée, la servante m'a déshonorée et blasphémée et tu restes coi ! Puisse Dieu te le faire payer. » Sarah expliqua également à Abraham : « Tu aurais dû prier pour nous deux afin que nous ayons d'autres enfants, or tu as seulement prié pour toi. » Tu as dit : JE M'EN VAIS SANS ENFANT (Gen. 15:2), mais tu ne m'as pas mentionnée. »
   YHVH JUGERA ENTRE MOI ET TOI (Gen. 16:5). Sarah fit en sorte que l'enfant porté par la servante meure. Elle lui jeta un mauvais sort alors qu'il était dans le corps de sa mère. Nos sages en concluent : Celui qui sollicite le jugement de Dieu contre quelqu'un, cela se retourne contre lui. Sarah pécha à cause des paroles qu'elle proféra : aussi mourut-elle quarante-huit ans avant son heure. Elle aurait dû vivre aussi longtemps qu'Abraham. Il dit à Sarah : « Prends ta servante et fais-en ce que tu veux. » Aussitôt Sarah la tourmenta, lui infligeant toutes sortes de souffrances ; elle l'accabla d'un dur labeur. Hagar ne devait plus jamais aller dans le lit avec Abraham. Le Ramban écrit : Comme Abraham laissa la servante se faire maltraiter et que Sarah la harcela, les enfants d'Hagar dominèrent ceux d'Abraham et de Sarah qui, plus tard, à leur tour, les tourmentèrent. La servante s'enfuit de la maison de Sarah. Un ange vint et la retrouva dans les champs. 

   Les gens de la Synagogue présentent ici une de leurs Matriarches, en l'occurrence Sarah, d'une façon invraisemblable ! N'apparaît-elle pas comme une femme pleine de méchancetés ? Envers son époux et envers sa servante ? Combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, Dieu le Père (le Seigneur), est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent ! 
   Pour le monde toranique, Yichmaël [Ismaël] n'est pas un Prophète du Saint et Seigneur d'Israël et des mondes ! Il est plutôt, au départ, une sorte d'enfant usurpateur, ayant en lui de nombreux défauts. Ex.: Sarah vit qu'Ismaël était débauché, commettait des assassinats et adorait les idoles. Elle dit à Abraham : "Chasse la servante et son fils." (PRE 30). Étonnant pour un fils de Prophète comme Avraham (sur eux la Paix !) d'être traité de débauché, un assassin et un adorateur d'idoles ? En vérité, combien les Prophètes (sur eux la Paix !) sont au-dessus de ce qu'ils décrivent et leur associent ! 

   Toldot Itzak pose également une autre question : Est-il possible qu'un maître comme Abraham n'ait pas donné à son fils de bonnes volailles pour se nourrir en route mais uniquement du pain et une outre d'eau ? L'explication est : le Saint, béni soit-Il, dit à Abraham : « Ce que Sarah te demande de faire avec la servante, fais-le. » Sarah avait dit : « Chasse-les, elle et son fils. » Abraham n'avait donc pas la possibilité de leur donner de bonnes nourritures. Quand on chasse quelqu'un, on lui donne uniquement du pain et une outre d'eau. (Gen.21.9.)      
   Toldot Itzhaq écrit : Ismaël, d'un ton naturel brutal, ne voulait pas quitter la maison d'Abraham ; il refusait d'obéir à son père ; Abraham dut l'attacher sur les épaules d'Hagar. Il est écrit : « Il la congédia », ce qui signifie qu'Abraham renvoya seulement Hagar. On peut alors se poser la question : on devrait lire « Il les congédia », à savoir il les renvoya tous les deux, l'enfant et la servante. L'explication est : Ismaël était attaché sur Hagar. Quand elle fut chassée, l'enfant le fut également. 

   A la lumière du Coran et de la Tradition, nous savons tous que ce sont là des récits et des interprétations du monde de la Synagogue, non toranique. N'émanant, en aucune manière, du Nom Béni, de Hachem, Elohîm. 

   Autres récits, autres propos tout aussi légendaires. 

   Le Behaye écrit : Abraham ne donna que de l'eau et du pain. En effet, il devina, grâce à son don prophétique, qu'Ismaël deviendrait un ennemi d'Israël. (!!!) En vérité, combien le prophète Avraham (sur lui la Paix !) est au-dessus de ce qu'ils décrivent et lui associent ! Un prophète, comment pourrait-il est ennemi d'un peuple ? Ne serai-ce pas plutôt l'inverse ?  
   Contrairement à l'idée reçue, il n'existe aucune sorte de perfidie avec Yichmaël. Par contre, au Seigneur des mondes de révéler à l’encontre des Judaïsés : « Et lorsque ton Seigneur proclama que jusqu’au jour de la Résurrection Il susciterait très certainement contre eux quelqu’un qui leur voudrait le pire châtiment ! ... » (Coran VII 167).
   Le fils d’Abbas a dit à propos du châtiment dont il est question dans ce passage : « C’est la capitation (l’impôt dit de capitation) dont il est question dans ce passage : « C’est la « capitation » et ceux qui leur infligeront ce châtiment c’est Mohammad (sur lui Prière et Paix !) et sa communauté, et ce, jusqu’au jour de la Résurrection ».
   Sa’îd [fils de Djoubair] a dit a propos de ce verset : « Il s’agit des gens du Livre (de la Bible) contre lesquels Dieu a envoyé les Arabes lever le tribut (en arabe, kharâdj) jusqu’au jour de la Résurrection. Jamais prophète n’imposa de tribut à l’exception de Mochè (sur lui la Paix !), qui ne leva toutefois le tribut que pendant treize ans après quoi il cessa de le faire, et à l’exception du Prophète (sur lui Prière et Paix !).
   Commentaire (Gen. 21:17) : L'ange dit à Hagar de ne pas avoir peur ; le Saint, béni soit-Il, avait entendu la plainte de l'enfant. « De l'endroit où il gît. » Ismaël deviendra impie et infligera des tourments à Israël ; les anges dirent : « Maître de l'univers, comment peux-tu avoir pitié alors que, plus tard, il tuera Israël en l'assoiffant (ce qui est faux. Voir à ce sujet notre article, note 12) ? » Le Nom Béni répliqua « De l'endroit où il gît », c'est-à-dire : actuellement Ismaël est un juste et J'agis comme pour tout le monde ; Je le juge tel qu'il est maintenant et non pas en fonction de ce qu'il fera dans l'avenir (Gen.R 53, PRE 30, Ex. R. 3.2). Il ne sied pas d'être un "impie" et de vouloir faire du mal à autrui pour un futur prophète du Saint et Seigneur d'Israël et des mondes. Notons au passage, que pour le monde biblique, Ismaël n'est que le fils d'Avraham (sur eux la Paix !), en aucun cas un prophète de Hachem ! Ce que l'Islam traditionnel réfute !     
   « Il vaudrait mieux noyer ces prisonniers, si possible dans la Mer Morte, car c'est le point le plus bas du globe.» Déclaration du Chef de l'Union nationale et ministre israélien des infrastructures nationales, Avigdor Lieberman, après la libération de prisonniers palestiniens. (Source : F&D, n° 157) Ah oui ! Et dans quelle partie de la Torah trouve-t-on pareille injustice ? Et combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent ! 
   Le Ramban (Iguéreth Téman) se plaint très amèrement de la conduite déloyale des Arabes envers la communauté juive :
"Et vous, mes frères, sachez que le Saint béni Soit-Il nous a précipités du fait de nos grandes fautes au sein de ce peuple, à savoir le peuple de Yichmaël. Leur méchanceté à notre égard est très forte, ils usent de toute leur intelligence pour nous faire du mal et nous rendre haïssable possible. Cela, suivant le décret divin à notre égard, "nos ennemis sont une race à part" (Devarim/Deutéronome 32, 21), à savoir qu'on ne peut imaginer que se lève contre Israël un peuple aux sentiments plus hostiles à son égard, ni de nation qui n'ait cherché à nous faire plus de mal et à nous diminuer, à nous affaiblir et à nous faire haïr plus qu'eux, au point que même le roi David, que la paix soit sur lui, lorsqu'il a vu par inspiration divine prophétique tous les tourments qu'ils allaient faire subir au peuple juif, s'est mis à crier et à pleurer, empruntant le langage du peuple devant le mal que les fils de Yichmaël allaient faire, en disant (Tehilim/Psaumes 120,5) : "Malheur à moi, car j'ai résidé dans les tentes de Méchekh, vécu dans les tentes de Kédar". Il a choisi spécifiquement de parler de Kédar parmi les autres peuplades de Yichmaël, parce que Mahomet descend de ces fils de Kédar, comme le prouve sa biographie. Daniel, pour sa part, ne parle de notre abaissement et de notre affaiblissement que par le fait de la royauté de Yichmaël, qu'elle disparaisse rapidement ! Ne dit-il pas (8,10) : "Elle grandit jusqu'à l'armée du Ciel, elle jeta à terre une partie de cette armée et une partie des étoiles, et les piétina" [Selon les autres commentaires, c'est de la Grèce qu'il est question. Cette explication du Ramban est assez surprenante, puisque tous les auteurs se demandent pourquoi il n'est pas question de Yichmaël dans les prophéties de Daniel, or voici que le Ramban identifie là cette nation dans les versets. Il est impossible d'établir la thèse de cet auteur sans avoir une explication ordonnée des versets selon sa compréhension, or elle n'existe pas à notre connaissance.] Nous sommes encore en train de supporter leur joug, leur perfidie et leurs mensonges au-delà de nos forces, car un homme normal n'est pas capable de supporter cela."  

   Le Ramban devrait plutôt nous dire, et concernant David, le prophète (sur lui la Paix !) :  


Traduction :
   "Ceux des Fils d'Israël qui ont impies-dissimulateurs (ont mécru) ont été exécrés par la bouche de David et de Ichoua (Jésus) fils de Marie. Parce qu'ils désobéissaient. Et ils transgressaient, en effet,  sans s'interdire entre eux ce qu'ils faisaient de blâmable. Combien est mauvais, certes, ce qu'ils faisaient !  
   Tu verras beaucoup d'entre eux se faire les affidés de ceux qui sont impies (mécréants). Combien est mauvais, certes, ce qu'ils se sont préparés à eux-mêmes ! De sorte que Dieu (Hachem) s'est mis en colère contre eux ! Et dans le châtiment ils demeureront éternellement. 
   S'ils croyaient en Dieu (Hachem) et au Prophète (Mohammad) et ce qui a été descendu vers lui (le Coran), ils ne les auraient pas pris pour affidés, mais un grand nombre d'entre eux sont sortants (prévaricateurs). (Coran V 78-81).  

   Dieu, que Son invocation soit exaltée, dit à son Prophète (sur lui Prière et Paix !) : à ces Nazaréniens (chrétiens) que Dieu vient de d'écrire, dis : n'exagérez pas au point de dire à propos du Messie autre chose que la vérité, mais ne tenez pas non plus des propos comme en tinrent les Juifs qui prétendirent qu'il n'était pas bien guidé et qui dirent des choses odieuses au sujet de sa mère !  
   Tous ceux qui tinrent des propos d'impiété de ce genre « ont été exécrés » par Dieu, par la bouche de Ses prophètes et de Ses envoyés.  
   Le fils d'Abbas a dit à propos de ce passage : « Ils ont été exécrés par toutes les bouches [des prophètes] : à l'époque de Mochè (Moïse) ils ont été exécrés dans la Torah ; à l'époque de David ils ont été exécrés dans le Psautier ; à l'époque de Ichoua (Jésus) ils ont été exécrés dans l'Évangile ; à l'époque de Mohammad (sur eux la Paix !) ils ont été exécrés dans le Coran. » 
   « sans s'interdire... » Le fils de Mas'oud rapporte que le Messager de Dieu (sur Lui Prière et Paix !) a dit : « Il arrivait chez les Fils d'Israël qu'un homme qui voyait son frère commettre un péché lui interdise de s'y livrer en le réprimant, mais que ce qu'il l'avait vu faire ne l'empêchât nullement le lendemain d'en faire son intime et son commensal. Lorsque Dieu vit un tel comportement de leur part, Il fit que leurs cœurs se heurtent les uns les autres et Il les exécra par la bouche de Ses prophètes David et Ichoua, fils de Marie "et cela du fait qu'ils ont désobéi et qu'ils transgressaient".  
   Par Celui dans la main de se trouve mon âme, vous ordonnerez le convenable, vous interdirez le blâmable et vous reprendrez celui qui commet de mauvaises actions sans suivre ses idées sinon Dieu fera que vos cœurs se heurtent et Il vous exécrera comme Il les a exécrés ! »  
   « Combien mauvais est ce que leur présentera leur âme »  
   Selon les commentateurs, il faudrait voir dans ce passage une métonymie : pour accentuer la gravité des actes blâmables commis par ces êtres, les choses sont dites comme si c'étaient les âmes qui présenteront "le Courroux divin" alors qu'en réalité elles ne présentent que les actes effectués ici-bas et qui leur attireront l'Ire divine. 
   « ... mais un grand nombre d'entre eux sont sortants » c'est-à-dire qu'ils sortent de l'obéissance à Dieu pour s'adonner à la désobéissance et qu'ils sont des gens qui considèrent comme licites des paroles et des actes que Dieu (Hachem) leur a interdits. 
   A noter enfin, que le monde de la Synagogue ne reconnaît absolument pas comme prophètes : David et Salomon (sur eux la Paix !). Selon eux, un prophète ne peut être roi et prophète à la fois (Coran II 102 et commentaires) ! Combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, Dieu le Père (le Seigneur) est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent ! 

Circoncision contre circoncision ? Querelle ?

   Com. (Gen. 16:17) : Selon Behaye : L'ange dit à Hagar : « Retourne dans la maison de Sarah et humilie-toi sous ses mains. » Un autre ange vint ensuite qui déclara à Hagar : « Tu auras un fils que tu devras appeler Ismaël (Ismaël, « celui que Dieu entend » ; de chema, entendre, écouter) car Dieu a entendu ton cri. Ce fils sera un homme sauvage. Il châtiera tous les gens qui, en retour, le châtieront. » (...) Drôle de description pour un futur prophète ! 
   Le Hizkuni écrit : "Abraham avait engendré Isaac" ; il fut nommé Abraham avec un h après avoir été circoncis (Gen. 17:5, PRE 29.). Alors seulement, il engendra Isaac. Ce ne fut pas le cas avec Ismaël qui naquit alors qu'Abraham était encore incirconcis. Isaac est donc d'une bonne ascendance puisque venu au monde d'un père circoncis. Toldot Itzhak dit exactement la même chose. (Gen. 25:19).
   Com. (Gen. 22:1). Une autre interprétation dit : Ismaël se vanta devant Isaac en disant : « On m'a circoncis à treize ans et j'ai pas protesté ; pourtant rien ne m'en empêchait. Toi Isaac, on t'a circoncis à huit jours alors que tu n'avais pas encore d'intelligence pour te défendre. » Isaac répliqua : « Tu te vantes à propos d'un membre de ton corps mais si le Saint, béni soit-Il, désirait tout mon corps, eh bien je le lui donnerais. » Entendre : il sera offert en sacrifice, selon le monde biblique, à Hachem. 
   Selon Elie Munk : « Puisse Ismaël, subsister devant toi ». (...) Selon R. Simon ben Yohaï : Hélas pour Sarah qui a tardé si longtemps d’avoir un enfant. Elle fit à Abraham la proposition d’épouser Agar et c’est à cause de cette proposition que l’heure fut favorable à la servante. Elle put hériter d’une partie de ses droits et elle donna un fils à Abraham. Et lorsque celui-ci reçut l’annonce de Dieu concernant Isaac, il s’écria : Puisse Imaël subsister devant toi ! Abraham s’était attaché à Ismaël au point que Dieu lui promit : Quant à Ismaël, je t’exauce, vois, je le bénis, etc. Puis, il grandit, il fut circoncis et entra dans l’alliance sacrée avant la naissance d’Isaac. Pendant quatre cents ans le patron des fils d’Ismaël intervint auprès du Seigneur pour réclamer leur part d’héritage divin en raison de la circoncision, au même titre que les fils d’Isaac. Mais il lui fut répondu : La circoncision de ceux-ci est effectuée correctement, la vôtre non. (Ismaël, circoncis à 13 ans, subit l’ablation du prépuce, mais ne voulut plus supporter le rabattement de la peau ; ses descendants conservèrent la forme incomplète (...). En outre, ceux-ci portent le sceau de la circoncision dès l’âge de huit jours : vous ne le portez que bien plus tard. Néanmoins, Dieu leur accorda une part de la Terre sainte et il permit aux enfants d’Ismaël d’y régner tandis qu’elle fut longtemps désertée. Ce règne, qui leur donna le pouvoir de tenir à l’écart les enfants d’Isaac, dura aussi longtemps que dura le mérite de la circoncision partielle. Mais au terme de l’évolution historique, les fils d’Ismaël livreront des guerres féroces sur terre, sur mer et à proximité de Jérusalem. » (Zohar).

   Pour l'Alliance de la Circoncision : Alliance, selon les commentateurs, où ils seront infidèles. Et en aucun cas, les Fils d'Ismaël ne réclamèrent une part d'héritage.  

   Héritage de la Terre sainte.

   Héritage pour les Fils d'Ismaël, et par extension des Arabes (où habitants du désert d'Arabie), impossible. Pour preuve : 
   Dieu d'abord pleure tous les jours la faute qu'il a commise en envoyant son peuple en exil. (Traité Berachot. Fol. 3a). Les larmes, les pleurs, etc., sont le propre de l'être humain, non de l'Incréé ! Pureté à Lui ! Et à Lui aucun peuple particulier. Un humain n'est pas supérieur, au regard de Dieu, à un autre humain, sauf par sa piété. Pour d'autres légendes, voir note 22.
   Selon le Talmud (Ibid. Fol. 4a) : "Dieu n'a pas de colère" se rapporte aux Juifs, et l'autre parole : "Dieu se met en colère" s'adresse aux peuples de la terre. (V. Le Juif talmudiste.) Comme Dieu est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent ! 
   Toldot Itzak écrit : Ismaël se moqua lors du festin organisé par Abraham pour Isaac. Il s'exclama : « Quelle est donc cette fête ? Pourquoi un si grand festin pour Isaac plus que pour moi ? Je suis le premier né et j'hériterai de deux parts. » C'est pourquoi Sarah dit : « Chasse la servante. Pas question qu'elle et son fils héritent. (!!!) » 
   Com. (Gen. 22:5). Jeunes serviteurs (avadim), restez ici avec l'âne car vous êtes semblables à lui. Pirqué de Rabbi Eliezer dit : les jeunes se disputèrent. Ismaël s'exclama : « On va sacrifier Isaac et moi, j'hériterai de tout. » Eliezer répondit : « Tu as été chassé avec la servante, donc tu n'hériteras de rien. » Une voix céleste se fit entendre : « Vous n'hériterez pas. » Serviteurs comparable à un animal comme l'âne ! Comment le monde toranique réfléchit-il ? 
   Com. (Gen. 25:5). Il ne donna rien aux enfants d'Hagar. Or la Guemara nous dit (B.B. 139a) : On ne doit pas priver d'héritage un fils, y compris un mauvais fils, afin de donner ses biens à un autre enfant. Ils doivent tous hériter de manière équitable. L'explication est la suivante : quand Hagar est devenue la femme d'Abraham, elle était une jeune servante d'Egypte. Or, les enfants d'une servante sont exactement comme leur mère ; ils ne peuvent donc pas hériter. Une autre interprétation dit : Hagar s'appelait Quetourah car ses actions étaient belles comme l'encens (de quetourah, encens, voir TJBO. Gen. 25.1, PRE 30). Pourtant Rachi écrit dans un passage précédent : Hagar retourna dans le temple des idoles. L'explication est : elle se repentit et alors on la nomma Quetourah.  

   Version que ne retiennent pas nos commentateurs et Savants. Le prophète Avraham (sur lui la Paix !) a bien eu trois épouses (ou quatre), et non deux. Secundo : La Mère des Croyantes, notre Matriarche, Hagar (que Dieu lui fasse miséricorde !) n'a jamais approché les idoles. Elle était de confession islamique, une pure monothéiste comme son époux. Dire et affirmer le contraire, n'est-ce pas mentir et la faire mentir ? Combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, Dieu le Père (le Seigneur) est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent ! Troisièmement : Lorsque Sarah mourut, Avraham (sur lui la Paix !) se maria avec Quetourah. Elle était la fille de Yaqtan, des canaanites. Elle enfantera 6 enfants : Nafchan et Maran (ou Lafchan et Zimran - biblique : Zimrân, Yoqshân), Madiân, Midn (biblique : Medân), Nachq, Souhr (biblique : Yishbaq et Shuah - Tabari : Yaqsan, Zimrân, Madiân, Yasbaq, Souh Basr). Les Berbères descendent de Nafchân. Et les gens de Madian sont le peuple de Choaib (biblique : Jethro, le beau-père de Moïse), fils de Madiân. On dit aussi qu'après Quetourah, Avraham (sur lui la Paix !) épousera une autre femme dénommée : Hadjoûn fille de Ahîr (ou selon une autre variante : Ahbr ou Habr). Ceci selon le fils de Athir dans son ouvrage : l'intégral dans l'histoire. Et Dieu est plus Savant !  Quatrièmement : Aucun prophète ne laisse d'héritage après sa mort. Tel n'est pas le cas du commun des mortels. Quatrièmement : Dans la Bible, nous lisons que le Saint et Seigneur d'Israël dit à Abraham (sur lui la Paix !) :

"Lève tes yeux et, du lieu où tu es, regarde au nord et au sud, à l'est et à l'ouest ; tout le pays que tu vois Je le donnerai à toi et à ta postérité pour toujours". (Gn. 13: 14-15).
Si cette vision a été accordée à Abraham (sur lui la Paix !), son Seigneur l'accordera également à son descendant, son fils Ahmad-Mohammad (sur lui Prière et Paix !). Selon le fils de Madjah, de Tzoban serviteur du Messager de Dieu (sur lui Prière et Paix !), le Messager de Dieu (sur lui Prière et Paix !) a dit :
"On a rassemblé pour moi l'Est et l'Ouest de la terre. Et il m'a été donné deux trésors : le jaune (ou le rouge) et le blanc (c'est-à-dire : l'or et l'argent). Et il m'a été dit :
"Ton royaume, certes, s'étendra selon ce qui a été rassemblé pour toi..."

Selon une autre version : On a rassemblé pour moi la terre : Alors ne t'a-t-on pas démontré ses levants et ses couchants ? Le royaume de ma communauté s'étendra donc selon ce que j'ai vu d'étendue.
L'Imam Nowawy (que Dieu lui fasse miséricorde !) commentant cette parole a dit : deux trésors, c'est-à-dire le trésor du roi de Perse et celui du roi de Byzance. Mon royaume ou ton royaume : soit l'Irak et Châm.

L'héritage du Messager de l'Islam (sur lui Prière et Paix !) sera les nations. Le cœur des gens. Ils croiront en lui et se convertiront. A partir de là, l'Empire islamique sera très vaste. Il comprendra des gens de toutes langues, de toutes couleurs, de toutes tribus, de toutes nations. N'en déplaise aux détracteurs de l'Islam ! 
Quant au monde toranique, sa prétention est grande et son interprétation des textes bibliques est loin d'être parole biblique. Selon Nathan Weinstock : « La mystique sioniste n'a de cohérence que par référence à la religion moïsiaque. Supprimez les concepts de "Peuple Élu" et de "Terre promise" et le fondement du sionisme s'effondre » (Le sionisme contre Israël, p. 315).

Selon Jacob ben Isaac (Deut. 29:27) : Quand le peuple d’Israël agira mal, Dieu l’extirpera de sa terre et le jettera sur une terre étrangère. Dans la Torah, le lamed de vayach’likhem (les a jetés) est grossi pour montrer que le pouvoir et la domination sont ôtés au peuple juif.

   Que conclure ? 

   L'enseignement et l'environnement sont donc propices ici pour une propagation d'une telle haine et inimitié envers deux fils de la descendance d'Abraham (sur lui la Paix !) : Ismaël et Esaü. Il n'a rien de biblique en cela. Et le monde de la Synagogue semble avoir oublié : Éléazar de Modi’in (Abot III,15) : « Celui qui profane les choses saintes, qui affecte du dédain pour les fêtes religieuses, [...] qui enfreint l’Alliance de notre père Abraham et qui donne une fausse interprétation de la Loi divine, un tel homme, eût-il étudié la Loi et exercé de bonnes oeuvres, n’aura point part à la vie future. » 

   Autre négationnisme.

   Le monde de la Synagogue nie également d'autres Livres divins révélés autre que la Torah ? Cette prétention d'attendre enfin un Messie autre que le Faux-Messie. D'être toujours un peuple investi d'une mission universelle. Tout cela, le monde toranique ne l'enseigne-t-il pas ?     
   Selon le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, les Fils d'Israël et les Judaïsés sont en fait "révoltés" à l'idée que Dieu (Hachem), de par Sa grâce, fasse descendre la Révélation sur de Ses esclaves qu'Il veut (Coran II 89), en l'occurrence ici les Fils d'Ismaël (et par extension le monde arabe) ! D'où leur haine et jalousie... envers le monde islamique tout entier.      

   Les Fils d'Ismaël.

   On ne peut évoquer le monde toranique sans évoquer, en tout premier, le monde d'Ismaël, et par extension, le monde du Désert, le monde arabe. La rivalité entre les Les Fils d'Ismaël et les Arabes de souche sémitique et le monde toranique remonte à l'apparition d'Ismaël et, après lui, du Messager de l'Islam, le Prophète Mohammad (sur eux la Paix !), de l'Islam, en terre d'Arabie. Les tribus juives d'Arabie ne croyaient-elles pas, ne voyaient-elles pas que le sceau de la Prophétie viendrait des Fils d'Israël et des Judaïsés, non des Fils d'Ismaël ? Pourtant, elles étaient dans l'attente du "Prophète attendu" et mentionné, noir sur blanc, dans leurs Écritures ? Viendrait-il, "alors qu'auparavant ils cherchaient la victoire sur les mécréants, quand donc leur vint cela même qu'ils reconnaissaient, ils le mécrurent. Eh bien, malédiction de Dieu sur les mécréants !" D'où cette remontrance et réprimande divine à leur écart :  

Traduction :
   « Comme est vil ce contre quoi ils ont troqué leurs âmes ! Ils mécroient en ce que Dieu (Hachem) a fait descendre, par révolte contre (ceci) : que Dieu, de par Sa grâce, fasse descendre la révélation sur ceux de Ses esclaves qu'Il veut. Ils se sont donc acquis colère sur colère. Or il est pour les mécréants un châtiment avilissant ! » (Coran II 89/90)

D’après le fils d’Abbas, « ils [les Fils d’Israël, les Judaïsés] ont encouru ainsi la Colère divine pour avoir nié la vérité de ce Prophète après avoir déjà encouru la Colère divine pour avoir négligé la Thora »

Cha’bî a dit : « Au jour de la Résurrection, les hommes seront répartis en quatre demeures spirituelles : il y aura celui qui aura « nié et couvert » la vérité de Jésus tout en croyant à Mohammad et qui n’aura qu’une seule récompense. Il y aura celui qui aura nié et dissimulé la vérité de Jésus et celle de Muhammad et qui encourra Colère divine sur Colère. Il y aura enfin l’associateur arabe [de l’Ignorance], qui aura nié la vérité de Jésus mais qui sera mort avant la venue de Mohammad et qui n’encourera qu’une seule Colère ».

D’après d’autres commentateurs, la première Colère divine encourue par les Juifs est due à leur rejet de l’Évangile et de Jésus [voir au verset II 87] et d’après d’autres, elle est due au fait que certains d’entre eux s’adonnèrent au culte du Veau d’Or [voir II 54]. Tous sont unanimes pour considérer que la seconde Colère divine est due à leur attitude de « mécréance » (koufr), c’est-à-dire de négation et de dissimulation à l’égard de Mohammad (sur lui Prière et Paix !). 

   Les deux alliances.

   L'idée de deux alliances : Agar et Sarah, n'a-t-elle pas été reprise par un dénommé Paul (Bible. 4 21-31) ? Et à lui de faire aligner ses adeptes sur le monde toranique, le monde de la Synagogue. Pourtant sa parole : 

   "Réjouis-toi, stérile qui n'enfantais pas, éclate en cris de joie, toi qui n'as pas connu les douleurs ; car nombreux sont les enfants de l'abandonnée, plus que les fils de l'épouse." (Bible. Gal. 4 21-31). 

   ne correspond en rien avec sa signification véritable. En effet, et selon les commentateurs, ce discours divin s'adresse à la Mecque (Makkah). On l'a fait ressembler ici à une femme stérile d'entre les femmes, tout simplement parce qu'après le prophète Ismaël, elle n'aura pas d'autre prophète que le sceau de la Prophétie, le Prophète Mohammad (sur eux la Paix !). Tel n'était pas le cas de Jérusalem, terre des Prophètes (sur eux la Paix !). Ou selon une autre interprétation : la stérile représente ici "Jérusalem" où demeurait les enfants d'Isaac, vue que sa mère Sarah était au départ, et avant son enfantement, stérile.
   "car plus nombreux sont les fils de la délaissée (ou de l'abandonnée)..." Par rapport à ceux de Jérusalem. C'est-à-dire par là, les gens de la Vérité seront plus nombreux que ceux de l'Erreur, de l'Égarement. N'en font pas partie (comme gens de la Vérité) les gens de la Bible (toranique + évangélique). N'en font partie que ceux qui suivent véritablement la Torah, et à eux d'être "un petit" nombre par rapport au monde islamique. Toutes les communautés, en vérité, sont bien moindre que le monde islamique. Suivant la parole prophétique : En vérité, j'espère que vous serez le triple des gens du Paradis. Autre signification : les fils de la délaissée, c'est-à-dire Hagar et ses enfants. Ils seront nombreux. Leur terre de prédilection : l'Arabie. Auront en héritage, les anciennes communautés... "Abandonnée" : c'est-à-dire loin de sa famille, des siens. Concerne Hagar, elle était à la fois loin de sa famille, en Égypte, et loin de son époux, Avraham (sur lui la Paix !), au Châm. Autre signification : Et à la fin des temps, elle et ses enfants seront choisis de préférence, par le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, Dieu le Père (le Seigneur), à la femme libre et ses enfants, Sarah. Tel sera le dessein et le décret divin à leur encontre. Lesquels seront rejetés en bloc par le monde biblique.         

   Les deux alliances. Il y a là une allégorie : ces femmes représentent deux alliances ; la première de croire mais en demandant des preuves (des miracles) aux prophètes-messagers : c'est Sarah et elle correspond à Jérusalem. La deuxième de croire en l'invisible (sans demander pour cela des preuves que l'on voit) (Coran II 3), c'est Hagar et elle correspond à la Mecque actuelle. Et les enfants de la promesse viennent de Hagar. Aussi, sommes-nous devenus, à travers elle, gens de la Vérité, libres. N'en déplaise au monde biblique !      

   Avant la venue de la Vérité, nous étions asservis aux injustices des hommes. Mais la Justice divine venue, nous ne sommes plus sous une loi d'essence humaine et ses injustices. Il n'y a ni blanc ni rouge ni jaune ni noir, il n'y a ni esclave ni homme libre, il n'y a aucune race supérieure à une autre, il n'y a ni riche ni pauvre, il n'y a ni homme ni femme ; car tous sont égaux devant la Justice divine, la Loi d'essence divine. Mais si vous appartenez à la Communauté mohammadienne, vous êtes Fils d'Abraham par la gnose, "lequel vous a nommés « Soumis » (Coran XXII 78), héritiers selon l'invocation d'Avraham (Coran II 129) et la bonne nouvelle du Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) (Coran LXI 6). Comprenez-le donc : ceux qui se réclament d'Avraham, ce sont ceux dont le divin Créateur a dit : « En vérité, les plus en droit d'être d'Abraham, c'est bien ceux qui l'ont suivi [dans sa doctrine et sa tradition], ainsi que ce Prophète-ci [Mohammad], et ceux qui ont cru [en lui]. Et Dieu (Hachem) est le patron des croyants. » (Coran III 68). Il est le Soutien (naçir) de ceux qui croient à Muhammad et à sa fonction prophétique contre ceux qui s'opposent à eux parmi les gens des autres traditions (milal) et autres religions. Le fils de Mas'oud rapporte que le Messager de Dieu a dit : « Chaque prophète a, parmi les autres prophètes, des soutiens (woulat) et, parmi eux, mon soutien (waliya) est mon père (aïeul), l'Ami intime de mon Seigneur (Avraham) » Puis le Prophète de réciter ce verset (...). 

   Le divin Créateur rejette les thèses et arguments du monde biblique (toranique + évangélique). Selon le fils d'Abbas : Le Chef des Juifs dit : Par Dieu ! ô Mohammad, tu as su que je suis le plus en droit d'être de la religion d'Abraham que toi et d'autres que toi. Il n'était qu'un judaïsé, qu'as-tu, sinon d'être jaloux ! Et c'est alors que ce verset fut révélé.  
   "c'est bien ceux qui l'ont suivi..." c'est-à-dire qui suivent sa Voie en reconnaissant que Dieu est Unique et en Lui vouant un culte pur et sincère, qui observent Ses normes et respectent Ses dispositions légales et qui sont "droits" et "soumis" à l'égard de Dieu. Avraham (sur lui la Paix !) était un "être droit" (hanîf) : c'est-à-dire, notent les commentateurs, un être droit (moustaqîm) à l'égard de la grande Voie de la Vérité qu'il a reçu l'ordre de suivre, « et soumis (mouslim) » c'est-à-dire : le cœur "soumis et effacé devant Dieu", les membres soumis en toute humilité devant Lui et parfaitement disposés à accomplir les obligations imposées par Lui". Ceci à l'inverse de bon nombre de gens du monde biblique, dont les gens de la Synagogue, Paul et ceux qui se réclament de lui.

   Avènement de la foi. Le divin Créateur informe aussi (Coran II 69-74) sur la jalousie du monde toranique à l'encontre des gens soumis et leur mauvaise intention de les égarer,  comme Il les informe sur les fâcheuses conséquences qu'ils auront à subir, sans qu'ils en soient conscients. Puis Il leur dit qu'ils sont dans le tort, quand ils dénient Ses signes, dont ils connaissent bien la véracité.   
   Leur jalousie, à l'instar de notre époque, les a entraînés de telle sorte qu'un groupe d'entre eux se sont convenus de manifester une fausse croyance, dans le but de susciter des doutes néfastes chez les faibles d'entre les gens soumis (entendre : musulmans, de l'arabe mouslim).    
   Les gens de la Torah disaient au temps de la Révélation : Ne croyez pas « que quelqu'un ait obtenu quelque chose de semblable à ce que vous avez obtenu » c'est-à-dire : ces Juifs disent encore à ces gens de ne pas croire (comme de notre temps, le monde de la Synagogue) que quelqu'un d'autre qu'eux ait obtenu quelque chose de semblable à ce qu'ils ont obtenus eux-mêmes, à savoir la Torah, et ils leur disent aussi de ne pas croire que quelqu'un pourra argumenter auprès de leur Seigneur contre eux et contre leur foi car, disent-ils, par les faveurs que Dieu (Hachem) leur a disposées, Il les a honorés bien plus qu'Il n'a honoré ceux qui voudraient argumenter contre eux [en l'occurrence le Prophète et ses Compagnons].     
   Dieu révèle ensuite à Son envoyé la réplique qu'il convient de leur donner sur ce point : dis-leur que rien de tout cela ne leur revient mais qu'« en vérité la faveur est dans la main de Dieu... »
   Il intervint pour demander à Son prophète de dire que c'est Lui qui guide le cœur des croyants à la parfaite croyance, par la descente des signes explicites, les preuves incontestables. Il lui ordonne aussi de dire que toute la grâce se trouve dans Sa main et qu'Il l'attribue ou l'interdit à qui Il veut ; c'est Lui qui possède la manne de tout, de la croyance, de la science, c'est Lui qui en donne la jouissance à qui Il veut. Car Il est immense, savant. Dieu a privilégié les gens soumis d'une grâce illimitée, indescriptible, en honorant leur Prophète (sur lui Prière et Paix !), en les guidant par lui à la plus accomplie des Lois.   

   Nous aussi, durant notre ignorance, nous étions asservis au Démon et à ses légions. Mais quand vint la plénitude du temps, et conformément aux Écritures anciennes : la Bible, le divin Créateur et Législateur envoya Son sceau, afin de nous amener à la Vérité, à la foi en l'invisible, à la Maison de la Paix. 
   Jadis, dans l'ignorance, nous fûmes asservis à des dieux qui au vrai n'en sont pas, exemple du dieu de l'argent ; mais maintenant que vous avez connu la Vérité : le divin Créateur, comment retourner encore à ces élément sans force ni valeur, auxquels avec le Démon (que Dieu le maudisse !) à nouveau, comme jadis vos ancêtres, vous voulez vous asservir ? Ne méditerons-nous pas sur cette parole divine : « Une partie des gens du Livre (la Bible) » : des Gens de la Torah et des Gens de l'Évangile, « a envie de vous égarer », vous les croyants : ils aimeraient vous éloigner de la Soumission (islam) et vous ramener à l'une des formes de dissimulation (koufr) qui est la leur, ce qui causerait votre perte. L'égarement (dalâla) est ici la perdition (halâk) ; or « ils n'égarent qu'eux-mêmes » : ils ne font que perdre leur propre âme (...) par une telle tentative de même qu'ils se perdent en transgressant l'engagement qu'ils prirent avec Dieu (Hachem) de suivre Mohammad et de le reconnaître comme prophète (Coran VII 156-7, LXI 6. Bible. 18/15-21 ; Je. 1 21, 14 15-6, 15 26-7, 16 7-16, etc.).    
   « O Gens du Livre ! Pourquoi êtes-vous impies-dissimulateurs [mécréants] à l'égard des Signes de Dieu ? » O vous, les Juifs et les Nazaréniens (chrétiens) [qui font partie du groupe de ceux qui cherchent à égarer les croyants] pourquoi niez-vous les Signes que Dieu vous a révélés dans Son Livre par l'intermédiaire de Ses prophètes [Mochè (Moïse) pour la Torah et le fils de Marie pour l'Évangile] et alors même que vous êtes témoins de la vérité de ces Signes ? (Coran II 69-74).

   Conclusion.  

   L'homme toranique, surtout s’il se dit du "peuple" élu, a toujours rêvé de conquérir le monde. L'homme évangélique, lui aussi, a toujours rêvé de conquérir le monde, mais pour une toute autre raison. Exemple, pour le monde évangélique d'Athènes, "Demain à Constantinople", se dit dans chaque prière ! L'homme biblique, européen, est un guerrier, un conquérant, avant d’être un « homme de l'Évangile ». On ne peut évoquer les liens intimes entre les gens de la Torah et en particulier les gens de l'Évangile, sans évoquer la personnalité de celui qui doit apparaître à la fin des temps : le Faux-Messie ou le Messie-Menteur. Cette croyance d'un Messie à attendre n’est pas sans effet, puisqu’elle est revendiquée par le monde de la Synagogue, comme elle est revendiquée par la plupart des gens du monde toranique, et que la croyance de la Synagogue : "Demain à Jérusalem", gèrent encore la société et la démarche du monde toranique, où la logique du "peuple" élu se rendant avec le Messie à Jérusalem prévaut encore. Enfin, la figure emblématique de ce Messie futur est aujourd’hui revendiquée par le monde de la Synagogue comme celle d’un héros dont le modèle perdure en dépit ou en raison de son engagement pro-satanique. Il faut donc rappeler l’idéologie et les actions entreprises par le Messie-Menteur pour appréhender ce qu’un tel modèle implique comme programme.

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Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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