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les ouvrages bibliques
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oint de divinité[1]
excepté Allah[2]
le Très Haut. Que les meilleures salutations[3]
soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la
Prophétie[4].
Le futur Israël
La situation des gens du
monde toranique, en terre de Palestine. Témoignage d’un rav
cabaliste. La croyance du monde toranique.
Nous avons vu que, dans certains cercles, la croyance du monde toranique est la suivante :
-
Apparition du Messie (prétendu),
-
Préposé à une tâche particulière pour un [prétendu]
renouveau universel : un Juif,
-
Délégué de la Divinité dans le monde : le
peuple d’Israël.
« Lorsque cette ascension sera totale,
l’Autre Côté se videra des étincelles, le pouvoir des forces du
Mal s’effondrera et alors percera la lumière du Messie[5].
Selon cette conception, l’avènement de la libération
est un processus d’une progression établie et suivie. Cet événement
ne viendra pas à l’improviste, comme un soudain bouleversement ou
comme le résultat de l’apparition et de l’œuvre du roi Messie,
mais il sera le signe de l’achèvement du processus ascensionnel des
étincelles qui se prolonge dans l’enchaînement des siècles.
L’homme préposé à cette tâche est un Juif et le
peuple d’Israël est le délégué de la Divinité dans le monde.
Cet élément est mis beaucoup plus en relief dans la Kabbale
lourianique que chez les anciens Kabbalistes. Cette conception apporte
un sens nouveau à l’exil des Juifs parmi les nations. »
Second élément : l’exil. Et son interprétation
serait comme suit :
« Sous cet aspect, l’exil n’est plus un châtiment
mais une mission sacrée. Dans les pays des autres nations sont enfermées
des étincelles de sainteté, arrivées des écorces. Le peuple juif
doit connaître l’exil parmi ces nations, pour libérer ces étincelles
de leur prison. Il doit s’exiler de nation en nation et les
traverser toutes. A ce sujet, la Kabbale lourianique exprime cette
conception militante et extrême : Israël, en exil, se compose
en quelque sorte de soldats dont le combat sacré oppose la Divinité
à l’Autre Côté.
Remarques. Point de vue qui fait partie du monde de
l’imaginaire. Car pour se réaliser, il faudrait que cela soit :
une parole divine, ou une parole biblique 2) que le monde toranique,
au sein de ces nations, est une tenue irréprochable. Or, est-ce le
cas ? Les gens du monde toranique sont-ils de vrais croyants ?
De vrais pratiquants et observateurs de leur Culte ? Qu’on
re-lise l’Histoire ?
La question du pourquoi de l’exil.
« Deux réponses sont données, dans la Kabbale
lourianique[6],
à la question du pourquoi de l’exil. Elles sont, dit Isaïe Tishby,
complémentaires.
La première présente l’exil comme le symbole des événements
et des situations mystérieuses, dans le domaine de la Divinité. Elle
octroie une grandeur supérieure à la douleur de l’exil, comparé
à un phénomène qui reflète et concrétise la vie de la Divinité.
La seconde présente l’exil en tant que réalité
externe comme une mission qui permettrait d’atténuer l’amertume
des souffrances du peuple juif et de soutenir ses espoirs en une libération
prochaine et totale[7]. »
(Op. cit.).
Remarques : Nous dirons nous que le monde
kabbaliste reprend à son compte une certaine vision de sa propre
communauté. Il se berce et continue à bercer les gens dans
l’illusion... L’exil, la destruction du deuxième Temple, ont été
un signe évident pour les gens de la Synagogue. L’ont-ils compris ?
Nullement. Le symbole des évènements avait été clairement dévoilé
pourtant par le divin Créateur (Coran XVII 2-8). Il n’y avait aucun
secret en cela. Mais le peuple d’Israël n’aura montré que peu de
foi en Ses paroles. Pire ! Une fois de plus, il se révoltera
envers Ses décrets. La sentence allait tomber. Elle sera lourde en
conséquences. Qu’on en juge :
Premièrement :
Dorénavant la notion de « peuple élu », de « peuple
choisi », etc., cessera à jamais. Secundo : le Temple sera
détruit. Troisièmement : la Terre promise allait changer de
mains. Quatrièmement : Et cette sentence sera la plus
humiliante, le Livre et la Prophètie allaient, eux aussi, changer de
mains. Le prétendu droit d’aînesse sera et allait être
aboli à jamais.
Le monde toranique
n’allait-il pas alors goûter l’abaissement et une profonde
humiliation ? La Bible originelle n’allait-elle pas abaisser un
peuple qui, pendant des siècles, bénéficiait de faveurs divines ?
Ce qu’il n’acceptera jamais. Qu’on lise et re-lise, à ce sujet,
les paroles coraniques. Les récits concernant la communauté juive de
Médine et de ses alentours. Le monde de la Synagogue essaiera, mais
en vain, de changer (son cours et) le cours de l’Histoire. On
cachera même à la communauté bon nombre de choses, comme par
exemple, l’histoire du Faux-Messie. Qu’il sera et viendra à la
fin des temps. Sera du monde toranique, juif. Qu’il dominera, pour
un temps, le monde. Qu’il ramènera, réellement, tous ceux et
toutes celles qui se réclameront du judaïsme, en terre sainte.
Qu’il achèvera sa course devant le Temple de Jérusalem. Qu’il
sera enfin tué par le Nazaréen, (entendre) le Messie fils de Marie
(sur lui la Paix !). Celui-là même que le monde toranique a
(avait) pris en haine ainsi que sa mère.
Témoignage d’un rav cabaliste. La croyance du monde
toranique rappelée
Shimon Vinokour[8].
La situation actuelle dans le pays n'est pas simple. Certains la
qualifient de préoccupante, d'autres disent que la fin du monde a
commencé, ou que le pays peut s'en sortir, ou encore, qu'il n'y a pas
d'issue. Ces réflexions illustrent notre quotidien alarmant. Nous
parlons aujourd'hui avec le rav Mikhael Laitman, cabaliste, auteur de
16 ouvrages de Cabale. Je me souviens qu'il y a environ six mois, le
journal "Les Nouvelles" a publié un article dans lequel le
rav Laitman avertissait que des événements allaient se produire dans
six mois. Rav Laitman, s'il vous plaît, vous qui avez prévu les événements
déjà à cette date, comment voyez-vous la situation actuelle dans
notre pays ?
Rav
Laitman. Je vois la situation comme le résultat de l’enchaînement
naturel d'événements. Depuis son commencement, l'Histoire de
l'humanité a pour principe moteur d'obliger notre peuple à remplir
ses fonctions, sa mission, au niveau du monde, fonctions et mission
qui nous ont été confiées par l’en-haut. Nous avons l'obligation
d'acquérir la connaissance des mondes spirituels, de prendre entre
nos mains les rênes de la conduite de l'univers, d’enseigner cette
conduite aux peuples des nations pour que, tous ensemble, et l'humanité
entière, puissions accéder à une existence optimale, éternelle et
parfaite.
Peut-être que cela sonne comme un conte, mais la
nature de notre monde actionnée par la force divine nous y conduit,
et nous n'aurons pas d'autre issue que d'accepter de remplir cette
mission. Au 20-ème siècle, notre génération a plus que pleuré,
mais en ce début du 21-ème siècle, notre peuple connaîtra encore
bien plus de souffrances s'il ne prend pas conscience de ce qu’il
lui est demandé de faire.
Le monde sent bien que le peuple juif détient une
sorte de secret, le monde attend quelque chose du peuple juif. Au lieu
de prendre connaissance de ce que nous devons faire, nous nous mêlons
des affaires de tout un chacun. Nous essayons de faire se développer
le monde au lieu de l’élever spirituellement et de lui donner vie.
Remarques. On peut se demander d’où détient-on
de telles paroles ? De la Bible ? Nullement. De la prétention
des gens de la Synagogue ? Sûrement. La mission des Fils
d’Israël (et non des Juifs) a débuté avec Youssouf[9]
(sur lui la Paix !), pour se terminer avec le Sceau des prophètes
d’Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !). Et en
aucun cas, le mission des Fils d’Israël avait un caractère
universel. Et les Écritures anciennes l’attestaient[10].
C’est avec la venue du Sceau de la Prophètie, le Prophète Mohammad
(sur lui Prière et Paix !) (que le monde toranique refusera
d’ailleurs de reconnaître) qu’on pourra parler réellement
d’universalité, confié par l’en-haut, des sept cieux[11]. Sa Communauté (faite
d’hommes et de femmes de toutes langues, de toutes couleurs) aura
l’obligation de transmettre du Sceau de la Prophètie, ne serai-ce
qu’un verset coranique. De prendre entre ses mains les rênes de la
conduite de l'univers, d’enseigner cette conduite aux peuples des
nations pour que, tous ensemble, et l'humanité entière, puissions
(puissent) accéder à une existence heureuse dans ce monde et dans
l’autre.
Oui, le monde sent bien que le peuple juif détenait,
naguère, une sorte de secret[12],
le monde attend quelque chose du monde toranique[13].
Au lieu de prendre connaissance de ce qu’ils devaient faire, le
monde toranique a dévoyé. Pour preuve :
Et quand leur vint de
Dieu un Livre[14]
confirmant ce qu'ils avaient déjà[15],
alors qu'auparavant[16]
ils[17]
cherchaient la victoire sur les mécréants[18],
quand donc leur vint cela même qu'ils reconnaissaient[19],
ils le mécrurent. Eh bien, malédiction de Dieu sur les mécréants !
Comme est vil[20]
ce contre quoi ils ont troqué leurs âmes[21]
! Ils mécroient en ce que Dieu a fait descendre[22],
révoltés[23] à l'idée que[24]
Dieu, de par Sa grâce[25],
fasse descendre la révélation sur ceux de Ses esclaves[26]
qu'il veut. Ils se sont donc acquis colère sur colère[27].
Or il est pour les mécréants[28]
un châtiment avilissant[29]
!
Et quand on leur
dit : « Croyez à ce que Dieu a fait descendre[30]
», ils disent. « Nous croyons à ce qu'on nous a fait descendre à
nous[31]
». Et ils mécroient au reste[32],
à cela même qui, étant vérité, confirme ce qu'il y avait déjà
par-devers eux[33].
Dis[34]
: « Pourquoi tuiez-vous donc les prophètes de Dieu[35],
auparavant, si vous étiez croyants[36]
? » (Coran II 89/91)
Le Prophète a dit :
" Le monde est beau et verdoyant. Le Seigneur vous y a mis comme
Ses représentants. Faites attention à ce que vous faites. Lorsque le
monde fut offert au peuple d'Israël, il s'est perdu dans l'amour des
bijoux, des femmes, du parfum et des beaux vêtements[37]".
Et au rav de poursuivre :
« Au cours de mes rencontres avec de nombreux
responsables spirituels du monde, j'ai entendu la même plainte, la même
réclamation à l'égard de notre peuple, à savoir : " pourquoi
est-ce que vous ne construisez pas le Troisième Temple[38]
? Pourquoi est-ce que vous ne remplissez pas la mission qui vous a été
confiée[39]
? C'est vous qui devez enseigner au monde[40]
de quelle manière ressentir la Racine de la Vie[41],
comment rechercher le sens de l’existence[42].
Remarques. L’esprit, la vie, les gens du monde toranique
connaissent-ils ce que cela signifie ? Nullement. Naguère, ils
ne le comprirent pas à travers deux prophètes : le Messie fils
de Marie et le fils de Zacharie (sur eux la Paix !). Pour preuve,
nous savons tous que le fils de Maris est l’"esprit
[provenant] de Dieu"[43]
et le fils de Zacharie détient la "Vie". Or, de même que
l’"esprit"
et la "vie" sont indissociables, de même ces deux prophètes,
Ichoua (sur lui
la Paix !) et Hou
Yèhyè[44]
(sur lui la Paix !), sont inséparables, étant donné que tous deux
supportent ensemble la charge de ce mystère.
Et de poursuivre : C'est à travers le peuple juif
que la Lumière descend dans le monde[45].
C'est dans votre Torah qu'il est dit que vous devez être une lumière
pour les nations, pour les peuples[46].
Où peut-on trouver tout cela chez vous ?"
Ces réclamations ne sont pas sans fondement. Le
malheur, c'est que le peuple juif ne connaît pas sa mission, il ne
sait pas en quoi il est coupable vis à vis du monde. C'est ce que
nous devons expliquer d’abord.
L'Histoire de l’humanité est organisée de l'en-haut
sous l'action des forces divines[47]
qui conduisent l'humanité entière vers un but bien déterminé. Ces
forces agissent tout d'abord sur le peuple juif parce que celui-ci est
au premier rang. Le peuple juif est le premier à devoir se hisser sur
les degrés spirituels, à acquérir la connaissance des mondes
spirituels[48],
à apprendre à conduire notre univers, notre futur. C’est ce qui
est exigé du peuple juif[49]. Ceci est réalisable
parce que le peuple juif dispose de la méthode qui permet de maîtriser
la science[50]
relative à la conduite de l'univers[51].
Remarques : La Communauté sainte (kahal kadosh),
n’en déplaise au monde biblique, c’est la Communauté du Sceau de
la Prophètie. Et ainsi est l’interprétation des Écritures[52].
Secundo : La force divine ne peut agir « d'abord sur le
peuple juif ». Comment une telle force pourrait-elle agir
sur un peuple qui a encouru la colère divine ? Qui a perdu son
droit d’aînesse ? De plus, le divin Créateur et Législateur
ne commande nullement à Ses créatures la turpitude et le blâmable.
Troisièmement : la fin du cycle divin veut qu’on parle non
d’un peuple reconnu mais des peuples (ou nations)
formant la Communauté sainte, la Communauté du Sceau de la Prophètie..
Notion[53]
qui appartient donc aux Étrangers[54].
Ne pas confondre.
Et au rav de déclarer :
Cette
méthode est appelée "Hokhmat haKabbalah", la "Science
de la Cabale", la science qui permet de connaître la structure
de notre monde et des mondes spirituels[55],
la façon dont ils peuvent être conduits par l'homme. En ayant cette
connaissance[56], nous pourrons conduire
correctement les mondes spirituels[57]
de façon à ce qu'il émane de ceux-ci les consignes les plus
optimales et les plus bienveillantes à l'égard de notre monde[58].
C'est ce que le monde attend du peuple juif. Tant que
celui-ci ne se conduira pas dans l'intention de parvenir à ce but, la
nature[59]
l'y poussera par toutes sortes de souffrances : par le biais de ses
voisins, de luttes, de guerres, de maladies, jusqu’à ce qu'il
accepte de remplir sa fonction.
Remarques : Désolé, mais contrairement à l’avis du rav, le monde n’attend rien du monde toranique. N’est-ce pas un monde qui voit en la Déesse Nature un pouvoir hors du divin Créateur ! S’il y a « souffrances : par le biais de ses voisins, de luttes, de guerres, de maladies, » c’est uniquement du fait de leurs péchés[60]. Nullement « jusqu’à ce qu'il accepte de remplir sa fonction ». Le croire, n’est-ce pas Le faire mentir ? Faire mentir les prophèties, la parole des prophètes du monde biblique ? Du Nazaréen, le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !). Ne pas confondre.
[1]
Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable
divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2]
En langue arabe, Allah.
En hébreu, ïl. Nom
divin, il est employé couramment pour les gens de l’Evangile de
langue arabe. En français, le terme Dieu
est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt
comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de
l’Univers.
[3]
Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée,
lui fasse miséricorde, etc., formules propres à
l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la
« prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde
et la « prière » angélique comme une demande de
pardon pour les créatures.
[4]
Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël,
fils d’Abraham (sur
eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la
Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5]
Sondage : 49,9% d’Israéliens ne croient pas à la
venue du Messie. C’est en tout cas le résultat d’un sondage
rendu public au début de l’été en Israël (V. Revue : Actualités
des Religions. 19/09/2000. N°19)
[6]
Selon Isaïe Tishby : David Louria. Le livre de David Louria
(1798-1855), célèbre Sage de Pologne qui défendit l’antiquité
du ZoHaR, présente une option toute différente. (Op. cit.).
[7]
Selon Flavius Joshèphe : Que si l'on veut considérer tout
ce que je viens de dire, on verra que les hommes ne périssent
que par leur faute, puisqu'il n'y a point de moyens dont Dieu ne
se serve pour leur salut et pour faire connaître par divers
signes ce qu'ils doivent faire. Ainsi les Juifs, après la
forteresse d'Antonia, réduisirent le Temple à un carré,
quoiqu'ils ne puissent ignorer qu'il était écrit dans les
Livres saints que la ville (de Jérusalem) et le Temple
seraient pris lorsque cela arriverait. Mais ce qui les porta
principalement à s'engager dans cette malheureuse guerre fut
l'ambiguïté d'un autre passage de la même Ecriture, qui
portait que l'on verrait en ce temps-là un homme de leur contrée
commander à toute la terre. Ils l'interpellèrent en leur faveur,
et plusieurs mêmes des plus habiles y furent trompés ; car cet
oracle marquait Vespasien, qui fut créé empereur lorsqu'il était
dans la Judée. Mais ils expliquaient toutes ces prédictions
à leur fantaisie, et ne connurent leur erreur que lorsqu'ils en
furent convaincus par leur entière ruine." (La
guerre des
Juifs contre les
Romains. p. p. 280-282 ;
chap. 30-31).
[8]
Interview mené par S. Vinokour, réalisateur (13.11.2000) Traduction
: N. Baron, Bnei Baruch, Paris.
[9]
Francisé, biblique : Joseph. Les Fils d’Israël,
les Hébreux, sont apparus sur terre après le prophète Jacob
(sur lui la Paix !). Avant cela, on ne saurait parler de Judaïsme.
[10]
Le dénommé Paul aurait dit à ce sujet :
"Sachez-le donc : c'est aux goîm
qu'a été envoyé le salut
d'Elohîm.
Eux, ils l'acceuilleront".
Après ces paroles, les Juifs se retirèrent, discutant
for entre eux. (Bible. Act. 28: 28-29).
[11]
Soit du divin Créateur.
[12]
Que le Livre et la Prophètie passeraient en d’autres mains.
Voilà le secret !
[13]
qu’il dise la vérité sur ces choses du passé, de son passé.
[14]
le Coran.
[15]
la Thora.
[16]
la mission prophétique. S'adresse à la communauté juive
d'Arabie (Médine, Khaibar, etc.).
[17]
les Juifs de Médine.
[18]
les associateurs arabes de Médine. En effet leut invocation fasse
à leurs ennemis était la suivante : O Dieu ! Secoure-nous par le
Prophète envoyé à la fin des temps. Celui que nous trouvons
mentionné avec ses attributs dans la Thora ! Et ainsi, ils étaient
secourus. Ils disaient entre autre à leurs ennemis : Est venu le
temps où sortira, avec confirmation de ce que nous disons, un
Prophète. On vous fera la guerre, avec lui, comme il fut fait
naguère avec Aad, Thamoud et Irâm…
[19]
le Prophète. Lequel serait des Fils d'Ismaël.
[20]
en arabe, biçà et na'm sont deux verbes au passé.
Ils sont employés pour l'éloge ou l'inverse. D'où : comme est
vil ce qu'ils ont choisi pour eux-mêmes lorsqu'ils ont changé la
vérité par l'erreur. Autre sens : ils ont acheté soit,
la vente, le troque. Et le sens du verset serait alors : Comme est
vil ce contre quoi ils ont troqué leurs âmes, c'est-à-dire, ils
ont choisi la mécréance et ont donc sacrifié leurs âmes pour
le Feu…
[21]
ils ont choisi l'égarement. Le résultat sera qu'ils seront pour
le Feu éternel.
[22]
le Coran.
[23]
par pure jalousie. Le but cherché de cette personne est que Dieu
lui retire tout bien. Telle est le but de la jalousie.
[24]
Révolté à l'idée que... Littér. : par révolte contre
(ceci) : que Dieu fasse descendre (la révélation) sur ceux...
[25]
la Prophétie et l'Ecriture.
[26]
ici Mohammad.
[27]
selon le fils d'Abbas et Moudjâhid : Première colère divine :
à cause de la perte de la Thora et son changement par les
falsificateurs. Deuxième colère divine : la mécréance de
Mohammad et le Coran. Selon Qatâdah : leur mécréance envers le
Messie et l'Evangile. Deuxième colère : leur mécréance envers
Mohammad et le Coran. Selon Soddy : leur adoration du Veau, deuxième
colère : leur mécréance pour Mohammad.
[28]
ceux qui nient la prophétie de Mohammad, d'entre l'ensemble des
créatures du monde.
[29]
le Feu éternel.
[30]
le Coran.
[31]
la Thora et cela nous suffit…
[32]
Ils mécroient au reste, c'est-à-dire au Coran,
confirmateur de la Bible. — Littér. : ils mécroient ce qui est
en dehors de cela, alors que ceci est le droit (la vérité),
confirmateur de ce qu'il y a avec eux.
[33]
la Thora.
[34]
dis-leur, répond-leur ô Mohammad :…
[35]
Pourquoi donc tuiez-vous les Prophètes... ? — Comparer
avec l'invective de Jésus contre les Pharisiens et les Scribes,
dans Bible. Matthieu XXIII 29-32.
[36]
en la Thora, et que votre attitude négative a eu pour résultat
le massacre des Prophètes (sur eux la Paix !). Ce que constestent
vigoureusement bon nombre de gens de la Thora à notre époque.
Pour eux, aucun prophète est mort de mort violente ! L'Evangile
et le Coran se basant sur des sources non fiables et propageant,
à travers cela, à une campagne honteuse d'antisémitisme !!! Le
Coran, comme on le voit, confirme bien les propos tenus par le
Messie, fils de Marie (sur lui la Paix !). Et le Coran comme
l'Evangile dévoile bien le rôle criminel de certaines gens du
peuple d'Israël. D'autres, parmi le peuple, ont donc cherché à
les couvrir. Quel sera alors leur péché ?
[37]
le goût du luxe, la mode…
[38]
Le monde toranique n’a plus de mission. il fut construit bien
avant eux, par les Fils d’Ismaël, et conformément aux prophéties. Après l’ouverture de la terre de Châm à l’Islam,
l’expulsion des Byzantins, des gens de l’Évangile de cette
partie du monde, l’époque de l’empereur Héraclius. Et après
la venue de ‘Omar fils de Khattab, second vicaire (que Dieu
l’agrée !) à Jérusalem.
[39]
Le monde toranique n’a plus de mission.
[40]
Nullement. Pure prétention !
[41]
dans ce monde et dans l’autre. Tout ceci ne sera-t-il pas accordé
au Sceau de la Prophètie, au Prophète Mohammad ? C’est
lui qui restaurera le vrai Monothéisme. Et c’est lui qui
recevra les clefs de la science.
Selon Eliphas Lévi : Dieu est le seul postulatum
absolu de toute science, l’hypothèse absolument nécessaire qui
sert de base à toute certitude, et voici comment nos anciens maîtres
ont établi sur la science même cette hypothèse certaine de la
foi : l’Être est. Dans l’Être est la vie. La vie se
manifeste par le mouvement. Le mouvement se perpétue dans l’équilibre
des forces. L’harmonie résulte de l’analogie des contraires.
Il y a ; dans la nature, loi immuable et progrès indéfini…
Changement perpétuel dans les formes, indestructibilité de la
substance, voilà ce que l’on trouve en observant le monde
physique… (La Kabbale).
[42]
L’existence à un sens : le divin Créateur a créé ce
monde pour nous, et nous, nous avons été créés pour l’au-delà.
[43]
et non « une partie » de Dieu comme l’enseigne à
tort les adeptes du Tri Théisme (ou de la Trinité). L’Islam
traditionnel refuse une telle conception et croyance.
[44]
Selon Tirmidhî : "Ceci parce que l’esprit (rûh) est la vie de l’être et que la lumière est la vie du
coeur. Aussi, si l’esprit s’affaiblit, le corps s’affaiblit.
Ne vois-tu pas que l’homme, s’il dort, s’il est malade, ou
encore s’il perd connaissance, ne peut ni bouger ni se relever,
pourtant, l’esprit n’a pas diminué en lui. Il en est ainsi
pour le coeur. Si le pouvoir de la lumière s’enroule sur lui-même
et se replie, le coeur s’affaiblit et se dessèche jusqu’à en
mourir. Il en est de même pour l’arbre : s’il est privé
d’eau, il tombe malade jusqu’à se dessécher. La lumière
pour le coeur est comme l’eau pour la terre et comme l’esprit
pour le coeur.
C’est à cause de cela que le Prophète Yahya (Hou Yèyè-Jean)
a été appelé Yahyâ (il vit) car il n’avait pas commis de
fautes et qu’il ne pensait même pas à en commettre. Il
n’avait pas commis une seule action qui l’assombrisse, le
voile ou isole de lui la Connaissance en repliant et en enroulant
sur elle-même sa lumière, qui retienne la puissance de la lumière
ou en prive le coeur et dessèche. Telle est sa situation et Dieu
dit à ce sujet : « Pour qu’il avertisse tout homme vivant
que la parole se réalisera contre les mécréants (Coran XXXVI
70). (Il désigne par : il vit) celui dont le coeur est tout
entier vivifié par la lumière de la Connaissance, par son
rayonnement sur lui qui le fait s’enflammer. Par contre, celui
dont la lumière est voilée, plongée dans la ténèbre ou repliée,
si cette situation dure, son coeur est privé de sa quantité de
lumière." (Le Livre de
la Profondeur des choses. p. 275).
[45]
Faux. C’est à travers les Fils d’Ismaël (et par extension le
monde arabe). Puis,
l’ensemble de la Communauté.
[45]
Nullement. Cette prophètie s’adressait, à l’origine, à un
autre peuple : les Fils d’Ismaël.
[46]
Nullement. Cette prophètie s’adressait, à l’origine, à un
autre peuple : les Fils d’Ismaël.
[47]
Il n’y a qu’un seul Dieu et Une seule force : La sienne.
[48]
Matériels, sans doute. Spirituels, nullement.
[49]
Nullement. Ce qui est exigé du peuple juif, n’était-ce pas
qu’il transmette au monde que le Livre et la Prophètie se
trouvent dorénavant entre les mains des Fils d’Ismaël (et par
extension des Arabes) ? Secundo : la venue du Sceau de
la Prophètie annoncée, noir sur blanc, dans la Bible.
L’engagement a été pris naguère, mais… Israël, une fois de
plus, ne se montrera-t-il pas infidèle à ses alliances. ?
Qu’on re-lise la Bible ! Qu’on étudie l’Histoire
sainte d’Israël !
[50]
Matérielle, sans doute. Divine, nullement. Elle appartient
uniquement et seulement au divin Créateur.
[51]
Cela reste à prouver !
[52]
Paul revendiquera cette communauté pour ses suivants.
[53]
Le mot Tribu appartient au mondes des Fils d’Israël, de même
au monde Arabe. Pour les autres peuples ou peuplades, on parlera
plutôt de nation. Ex.: pour l’Europe.
[54]
Les goïm.
[55]
Selon Eliphas Lévi : Bereschith veut dire « genèse ».
Mercavah signifie « chariot » par allusion aux roues
et aux animaux mystérieux d’Ezéchiel.
Le Bereschith et le Mercavah résument la science de
Dieu et du monde.
Je dis « science de Dieu », et pourtant
Dieu nous est infiniment inconnu. Sa nature échappe complètement
à nos investigations. Principe absolu de l’être et des êtres,
on ne peut le confondre avec les effets qu’il produit et l’on
peut dire, tout en affirmant son existence, qu’il n’est ni
l’être ni un être. Ce qui confond la raison sans l’égarer
et nous éloigne à jamais de toute idilâtrie. (La Kabbale).
[56]
En dehors de la Torah ? Dans le Coran, ne parle-t-on d’un
homme possédant la science du Livre : la Torah (Coran
XXVII 40), au temps de Salomon, le prophète (sur lui la Paix !)
? En dehors du Livre divin existerait-il une autre science ?
Si oui, laquelle ?
[57]
Que de prétentions ! Qu’on nous en apporte les preuves !
[58]
toutes ces consignes ne se retrouvent-ils pas dans le Livre divin :
le Coran ? Pourquoi, pour le monde de la Torah, chercher
ailleurs ?
[59]
la nature par elle-même ne peut rien faire. Seul le Seigneur de
la nature peut la faire bouger.
[60]
Dans le livre Keli Yakar,
il est écrit : Le peuple juif porte trois noms : Israël, Jacob
et Yechouroun. Le Saint, béni soit-Il, dit : « Si Je prends
les trois dernières lettres de ces trois noms, cela forme le mot lavan
(blanc) », ce qui signifie : grâce aux mérites de Jacob,
les péchés d’Israël seront blanchis et pardonnés. Si le
peuple juif persiste à pécher, alors les lettres du mot lavan
s’inverseront pour composer le mot naval
qui veut dire « avili » et « impie ». Le
verset dit d’ailleurs ; Car ils sont une génération de
perversions (Deut. 32:20). Israël est un peuple qui a transformé lavan en naval. (Op.
cit. p. 932).
Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant
omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
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