Au nom de DIEU, Allaha,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !
Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !
L'Esplanade des Mosquées.
Le joyau du monde islamique que le monde toranique enviât, envie.
Patrimoine exclusif du monde islamique.
Lieux saints de l'Islam en terre de Châm, Canaan, Terre sainte.
La Maison sainte - בית המקדש - القُدس - بيت المقدس - إيلياء,
Promenade, visite au coeur des Lieux saints du monde islamique en Terre sainte, au
Qouds, à Baitoul-Maqdis, à Jérusalem...
Site, plan, constructions anciennes, architecture, art, sculpture, écritures, mosaïques, vitraux, éclairages, etc.
المسجد الاقصى المبارك بكامل مساحته للمسلمين لا يحق لأحد ان يضعه على طاولة
L'Esplanade des Mosquées. Superficie non négociable avec autrui... notamment concernant le monde biblique (toranique & évangélique) Et administration uniquement sous responsabilité du monde islamique.
Comment doit-on appeler la Ville de Dieu ? En Terre sainte : Aliya, Salem, Jérusalem,
Kedesha, Qouds (Saint), Baitoul-Maqdis... ?
Jérusalem. En terres bibliques d'Europe et d'ailleurs, on nous parle toujours et encore de Jérusalem. Normal, nous sommes en terres bibliques. Le Croyant soumis de parler, lui, du Qouds, de Baitoul-Maqdis uniquement et cela quand bien même sa langue maternelle n'est pas l'arabe.
Monde biblique : toranique & évangélique.
On nous dit : Jérusalem (ou Salem, également nommée Hiérosolyme ou Solyme en ancien français ; יְרוּשָׁלַיִםYerushaláyim en hébreu... ; arabe : القدسal Quds ou اورشليمÛrshalîm... Étymologie : Jérusalem est mentionnée pour la première fois dans les textes égyptiens dits « d'exécration » (XXe et XIXe siècles av. J.-C., à la période où l'Égypte a vassalisé Canaan) sous le nom de Rushalimu. La prononciation exacte du nom égyptien ne ressort pas clairement des hiéroglyphes (on trouve aussi Urushalimu ou d'autres variantes). On peut supposer que le nom de la ville reflète le culte du dieu Shalem (en) ou Shalimu car il était courant alors d'appeler les cités du nom du dieu local. Le nom de Jérusalem se réfère donc au culte du dieu des Cananéens, Shalem était un dieu populaire dans le panthéon ouest sémitique, divinité de la création, de l'exhaustivité, et du soleil couchant. Comme la première syllabe de Jérusalem vient de uru, qui signifie « fondation » ou « ville fondée par », le sens du nom primitif est donc « fondée par Shalem », ou « sous la protection de Shalem ». Une étymologie détaillée était donnée en 1859par Sander et Trenel. Le nom de « Shalem » provient de deux racines chaldéennes : YeRu (« ville », « demeure ») et ShLM, qui a donné les mots salaam en arabe et shalom en hébreu. Cette racine ShLM signifie aujourd'hui « paix », mais le sens initial est celui de la complétude, de l'achèvement, d'où dérive ultérieurement la notion de paix. (...) La vieille ville de Jérusalem (Hébreu: העיר העתיקה, Ha'Ir Ha'Atiqah, Arabe: البلدة القديمة, al-Balda al-Qadimah, Arménien: Հին Քաղաք, Hin K'aghak' ) est constituée de quatre quartiers qui sont entourés dans leur ensemble par les murailles de Jérusalem. Sa surface totale ne dépasse pas 0,86 km2. (fr.wikipedia.org).
Monde de l'Islam traditionnel.
Iliya. Verse et controverse. Concernant ce nom : Iliya à la ville de Qouds : (كما أطلق على مدينة القدس اسم إيلياء، نسبة إلى إيلياء بن ارم بن سام بن نوح عليه السلام،) , il a été donné par rapport à un descendant de Noé (sur lui la Paix !). Ainsi a-t-on dit : Iliya fils Aram fils de Sam (Sem) fils de Noé (عليه السلام). Ce nom n'apparaît toutefois pas dans la Torah (Gen. 10 23). Plus tard, ce nom se retrouvera à l'époque de l'Empereur Hadrien. Il y restera jusqu'à l'arrivée du Commandeur des Croyants, 'Omar fils de Khattab (que Dieu l'agrée !).
Dans l'Islam traditionnel, "Jérusalem" est un terme inconnu puisqu'il appartient exclusivement au monde biblique (toranique & évangélique). La langue sacrée des gens de l'Islam étant l'arabe, le terme "Jérusalem", en arabe, n'apparaît pas. En place et lieu apparaît un tout autre terme : Bait - Almaqdis (بيت المقدس ), qui traduit donne : Maisonsainte. Ce terme apparaît clairement avec le voyage nocturne du Prophète (sur lui Prière et Paix !) en cette ville accompagné par l'Ange Gabriel. Où au temps du Commandeur des Croyants, 'Omar fils de Khattab (que Dieu l'agrée !).
Avec le traité conclu avec les gens de la Bible de l'époque, un autre terme apparaît clairement dans les sources : les gens d'Iliya (إيلياء, ʼĪlyāʼ). Qui traduit signifie : La Ville d'Ïl, de Dieu (وفي معجم البلدان: "(إيلياء) بكسر أوله واللام وياء وألف ممدودة اسم مدينة بيت المقدس، قيل: معناه بيت الله.). Avant la venue de l'Islam, les gens d'Arabie dont de Makkah commerçaient avec les gens du Châm, Canaan.
Iliya (إِيلِيَاء), la Ville de Dieu.
Extraits :
Cause autre que cette ville a été appelé de cet autre nom. Ka'b a dit : Ne dénommé pas Baitoul-Maqdas Iliya. Appelez-là plutôt par son nom : Iliya est une fille de la ville.
Plusieurs paroles prophétiques mentionnent le terme Iliya.
D'après Abou Horairah (رضياللهعنه), le Messager de Dieu (صلىاللهعليهولسم) a dit : « Ne voyager rien que pour trois mosquées : la Mosquée Ka'bah, ma mosquée et la Mosquée d'Iliya... » (Mouslim).
Lors de l'Ouverture de Baitoul-Maqdas à l'Islam, à l'époque du Commandeur des Croyants, 'Omar fils de Khattab (رضياللهعنه), an 15 de l'Émigration (638) ; le nom de la ville n'était pas Jérusalem mais Iliya. Et les gens soumis de l'époque changeront alors son nom en Baitoul-Maqdas (بيتالمقدس), non en Jérusalem (version biblique).
Autre nom courant : le Qouds (القدس) ou la Maison de la Paix (دارالسلام) ou la Ville de la Paix (مدينة السلام).
Celle Ville, et conformément aux Écritures entre les mains des gens de la Bible d'alors, ne sera pas prise par la force, l'épée. Les habitants de l'époque engageront des négociations et les clés de la Ville seront remises au Commandeur des Croyants, 'Omar fils de Khattab (رضياللهعنه). Ce sera une grande perte pour les gens de la Bible de l'époque notamment de Byzance.
بيد أن هناك رواية أخرى عن سبب تسمية المدينة بهذا الاسم؛ فعن كعب أنه قال: "لا تُسَمُّوا بيت المقدس إيلياء ولكن سموه باسمه؛ فإن إيلياء امرأة بنت المدينة"[4].
وورد اللفظ في العديد من الأحاديث النبوية؛ منها – على سبيل المثال – ما رواه مسلم عن أبي هريرةَ – رضي الله عنه - أَنَّ رَسُولَ اللَّهِ -صلى الله عليه وسلم- قَال: ((إنَّما يُسافَرُ إلى ثلاثةِ مساجدَ: مَسجدِ الكَعْبَةِ، ومسجدي، ومسجدِ إِيلِيَاءَ)).[5] رقم الحديث: 9513
(حديث مرفوع) أَخْبَرَنَا أَبُو عَبْدِ اللَّهِ الْحَافِظُ , أَخْبَرَنِي أَبُو النَّضْرِ الْفَقِيهُ ، ثنا إِبْرَاهِيمُ بْنُ إِسْمَاعِيلَ الْعَنْبَرِيُّ , ثنا هَارُونُ بْنُ سَعِيدٍ الأَيْلِيُّ , ثنا ابْنُ وَهْبٍ , حَدَّثَنِي عَبْدُ الْحَمِيدِ بْنُ جَعْفَرٍ ، أَنَّ عِمْرَانَ بْنَ أَبِي أَنَسٍ , حَدَّثَهُمْ أَنَّ سَلْمَانَ الأَغَرَّ حدَّثَهُ أَنَّهُ ، سَمِعَ أَبَا هُرَيْرَةَ ، يُخْبِرُ أَنَّ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ , قَالَ : " إِنَّمَا يُسَافَرُ إِلَى ثَلاثَةِ مَسَاجِدَ ، مَسْجِدِ الْكَعْبَةِ ، وَمَسْجِدِي ، وَمَسْجِدِ إِيلِيَاءَ , وَالصَّلاةُ فِي مَسْجِدِي أَحَبُّ إِلِيَّ مِنْ أَلْفِ صَلاةٍ فِي غَيْرِهِ ، إِلا مَسْجِدَ الْكَعْبَةِ " ، رَوَاهُ مُسْلِمٌ فِي الصَّحِيحِ ، عَنْ هَارُونَ بْنِ سَعِيدٍ الأَيْلِيِّ ، وَثَبَتَ فِي ذَلِكَ عَنْ أَبِي سَعِيدٍ الْخُدْرِيِّ , وَغَيْرِهِ ، عن النَّبِيِّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ .
وجاء الفتح الإسلامي لبيت المقدس في عهد الخليفة عمر بن الخطاب - رضي الله عنه - سنة 15 للهجرة 638 من الميلاد، وكان سكانها الأصليون عربًا مسيحيين ووثنيين من الآراميين والعموريين والكنعانيين واليبوسيين، وكان لا يزال اسمها (إيلياء) حيث ورد في العُهدة العُمرية التي قدَّمها الخليفة لأهلها.
وغيّر المسلمون العرب اسم المدينة من (إيلياء) إلى بيت المقدس - وهو المشهور - أو القدس أو دار السلام أو مدينة السلام، وامتاز المسلمون عن غيرهم من الفاتحين بأنَّهم لم يأخذوا المدينة عنوة بالحرب بل صلحًا، وحضر الخليفة بنفسه لتسلُّمها إكرامًا لأهلها وتأكيدًا على المكانة السامية التي تحتلها في الإسلام، وأمَّن أهلها على أنفسهم ومالهم وكنائسهم، ولم يهدم أماكن العبادة، وأعطى أهل المدينة عهدًا خطيًّا بذلك سمِّي"بالعهدة العمرية"، التي تُعتبر وثيقة مهمَّة تحترم حقوق الإنسان وتصلح أن تكون أساسًا لقواعد القانون الدولي.
[4] انظر "معجم البلدان" 5 / 167.
[5] صحيح مسلم؛ حديث رقم3452.
Noms de Jérusalem après sa destruction, an 69/70.
Ruines du cardo d'Ælia Capitolina dans la vieille ville de Jérusalem
Aelia Capitolina
On a dit : Ælia Capitolina (en latin : Colonia Ælia Capitolina) est le nom donné à Jérusalem par l'empereur Hadrien (Ælius Adrianus), après qu'il l'a en partie rebâtie en 131 et fait occuper par une colonie romaine. Origine du nom : « Aelia » vient du nom gentilice de la famille d'origine d'Hadrien, Aelius, alors que « Capitolina » indique que la nouvelle cité est dédiée à Jupiter Capitolin, dieu suprême pour lequel Hadrien avait une dévotion particulière et pour lequel les Romains construisirent un temple sur le site du Temple de Jérusalem. Histoire : L'établissement de cette cité résulte de l'échec de la révolte de Bar Kokhba entre 132 et 135 en Judée. En représailles Jérusalem est entièrement détruite. Le nom latin « Aelia » est la racine étymologique du mot arabe « Iliya (إلياء) », qui est un des premiers noms arabes de la ville de Jérusalem.(fr.wikipedia.org).
Aelia Capitolina est le nom donné par les Romains à Jérusalem après que tous les gens de la Torah en furent chassés. Nom arabe, Iliya. Nom utilisé dans la Tradition dans Bokhari , le Mouwatta, Mouslim...
Conclusion.
Les gens de la Bible de Terre sainte, ont gardé, au VIIème siècle de l'ère évangélique, pour nom de la Ville sainte : Aelia Capitolina (إيليا كابيتولينا). Normal, note le commentateur, à l'époque n'est-ce pas Byzance qui commande cette région du monde ? N'est-ce pas le monde de l'Évangile d'Europe ? Ville qui basculera sous l'autorité des gens de l'Islam, d'Arabie, conformément aux Écritures anciennes, la Bible. Erreurfatale. A cause de leurs péchés, le monde toranique perdra la Terre sainte. Le Décret divin tomba et personne pour le changer ! Ceci était clairement notifié dans la Torah originale (Coran XVII 2-8). Et aux gens de la Torah et de la Synagogue de le censurer, de le cacher au monde. Et par leur cause, à un endroit aussi saint, aussi sacré, le monde du Sabéisme (de l'Empire italien) d'alors édifiera un temple dédier à Jupiter que détruira plus tard, dit-on, Constantin ! L'abomination sera lavée, une fois pour toute, par le venue de l'Islam dans cette contrée du monde. Par le "messie" (roi) mentionné dans les Écritures anciennes ; c'est-à-dire le
Commandeur des Croyants, 'Omar fils de Khattab (رضياللهعنه).
Le monde de l'Évangile n'a pas jugé bon de garder intact, de préserver les lieux et endroits du monde toranique. En effet, Jérusalem, comme Ville sainte, n'a pas la même signification pour lui. Pour lui, n'est-ce pas l'épouse du Messie fils de Marie, celui qui fréquenta le Temple pour eux aux côtés des prophètes Zacharie et son fils (sur eux la Paix !) ? Renommée. C'est bien avec les gens de l'Islam que la Ville sainte retrouvera renommée, grandeur et pureté. Ainsi, haut lieu du Monothéisme en Terre sainte, au Châm, elle retrouvera une nouvelle vie, une nouvelle jeunesse...
Baitoul-Maqdis. Ce nom se retrouve-t-il dans le monde biblique ?
Et en hébreu comment traduire
Baitoul-Maqdis (بيتالمقدس)
Monde biblique : toranique & évangélique.
La traduction arabe de Baitoul-Maqdis (بيتالمقدس) en hébreu donne aussi : BeitHamikdach (בֵּית - הַמִּקְדָּש) : Maison sainte.
Jérusalem
Arabe بيت المقدس Baytul-Maqdis, Baytul-Muqaddas, Jérusalem, "Maison sainte".
Le Temple de Jérusalem ou le Saint Temple (hébreu: בֵּית־הַמִּקְדָּשׁ, moderne: pari HaMikdash, Tiberium: Beṯ HamMiqdāš, ashkénaze: Beis HaMikdosh; Arabe: بيت القدس: المقدس Beit al-Quds ou بيت : Beit al-Maqdis).
Toutefois, et comme on peut le constater, l'hébreu (ou les gens de la Synagogue) attribue "BeitHamikdach" au Temple même de Salomon qui doit, selon eux, surgir de terre ou descendre du ciel. Tel est son nom ! Le premier voit le
Temple construit de mains d'hommes, le second, de la main du NOM (Hachem) ! Deux opinions qui s'affrontent perpétuellement dans le monde de la Synagogue et de la Torah. C'est-à-dire, ceci ne concerne pas la Ville sainte de Jérusalem. Et ce Temple construit qui descend du Ciel se retrouve dans les Écritures du monde de l'Évangile : Apoc./Rév. 21 9-24. Preuve d'une influence des rabbanim de l'époque.
Baitoul-Maqdis, en arabe, n'a pas le même sens. Les sources mentionnent que le Prophète (sur
lui Prière et Paix !) est venu en personne à Baitoul-Maqdis, accompagné de l'Ange Gabriel. Qu'il descendra de sa monture pour venir prier, avec les Prophètes, dans l'Extrême Mosquée, la Mosquée de Salomon. Le décor n'est pas le même donc, ni la signification. Il y a eu donc une substitution des noms de la part des gens de la Synagogue et de la Torah. Le récit biblique est donc un récit tronqué, falsifié, corrompu, soumis à la censure.
Il apparaît en effet clairement que Baitoul-Maqdis (بيتالمقدس) en
arabe donne en hébreu le même sens : BeitHamikdach (בֵּית - הַמִּקְדָּש) : Maison sainte.
Simplement le monde de la Synagogue et de la Torah ne
l'entendent pas de la même oreille ! Pure jalousie de
leur part !
Et en hébreu comment traduire
alqouds (القدس).
La Sainte
En hébreu,
les termes, KEDESHA
et KADESH,
signifient littéralement « saint » ou « sacré ».
Selon Robert Ambelain : N'oublions pas en effet
que le véritable nom de la ville [Jérusalem]
était tenu secret, imprononçable : Kedesha,
« la Sainte ». On disait simplement
Iéroushalaïm (Jérusalem), comme on
subsistait Adonaï (Seigneur), au Nomimprononçable, Iaweh, tétragramme
divin. (R. Ambelain.Les lourds secrets du
Golgotha).
Nous avons vu ci-joint le cas de :
Baytul-Maqdis
Arabe بيت المقدس Baytul-Maqdis, Baytul-Muqaddas, Jérusalem, "Maison sainte".
Le Temple de Jérusalem ou le Saint Temple (hébreu: בֵּית־הַמִּקְדָּשׁ, moderne: pari HaMikdash, Tiberium: Beṯ HamMiqdāš, ashkénaze: Beis HaMikdosh; Arabe: بيت القدس: المقدس Beit al-Quds ou بيت : Beit al-Maqdis).
Le lieu central du temple de Jérusalem (Beit
Hamiqdach) ou sanctuaire (michkan) était la
tente dite du Rendez-vous ou de la Rencontre (Ohèl
Moëd). Elle était divisée en deux espaces
inégaux séparés par un voile.
dans le Saint des Saints (Qodech
Qodachim ou Devir) se trouvait l'Arche sainte
(Aron Haqodech) et
son tabernacle. C'est le lieu d'un des noms
de Dieu : le nom propre imprononçable (Yod-Hé-Vav-Hé,
dit aussi Chem Havayah, ou Chem Hameforach, qui
est le Nom explicité ou tétragramme). Seul le
grand prêtre pouvait y pénétrer une fois par an,
le jour de Yom Kippour.
le Saint (Heikhal ou Qodech), était
un lieu où d'autres personnes pouvaient
pénétrer. Le nom propre de cet espace - qui ne
doit pas non plus être prononcé - est le Chem
Adnout (Aleph-Daleth-Noun-Yod). (idixa.net)
Nous voyons là un autre cas de
substitution
pratiqué par le monde de la Synagogue et de la
Torah. Jérusalem devenant un nom d'emprunt ! Et
il ne peut-être = à Qouds (comme vu). Le monde
biblique faisant remonter, lui, le vocable
"Jérusalem" avec un homme inconnu :
Melchisédech. Quant à l'Islam traditionnel
de prendre pour exemple : Avraham (sur lui la
Paix !). Non jamais un homme dont l'histoire
reste inconnue, une légende des rabbanim.
Conclusion.
Les rabbanim sont tenus au "secret" concernant
leur Histoire sainte et leur religion : le Yéhudisme.
Toutefois, l'hébreu, l'arabe, sont des langues soeurs.
L'écriture seule peut changer quelque peu. Ainsi, le
vocable "qouds" existe bel
et bien en hébreu et désigne ce que le monde (toranique
& évangélique) à l'habitude d'appeler communément : "Jérusalem-Iéroushalaïm".
Nom d'emprunt.
Melchisédech, l'homme fantôme !Melchisédec, roi de Salem,Melchisédec, roi de Salem,Melchisédec, roi de Salem, L'homme sémite par excellence du nationalisme yéhudi,Melchisédec, roi de Salem,Melchisédec, roi de Salem,Melchisédec, roi de Salem,
du monde toranique,
L'homme de la prêtrise pour le monde de l'Évangile.
Pourquoi ce changement de nom de la part du monde de la Synagogue ? Tout simplement pour le rattacher au récit toranique et légendaire de Melchisédech ou Melki-Tsedeq. Récit d'une haute importance pour le monde biblique (toranique & évangélique). De là, le début de leurs croyances dont celle relative aux "Sacrifices" ; "sacrifice" d'animaux pour les premiers, "sacrifice" humain en la personne du Messie fils de Marie, pour les seconds. Melchisédec, roi de Salem,Melchisédec, roi de Salem,Melchisédec, roi de Salem, Selon le texte toranique, Melchisédech est roi de Salem (soit selon le midrach : c’était Chem [Sem-Sam), le fils de Noa‘h (Nedarim 32b)., Chalém étant la future Jérusalem (Torah. Gen. 14 18-20). Selon Rachi : Quant au midrach (Beréchith raba 43, 6), il trouve ici une allusion aux oblations et libations que les fils d’Avraham y offriront un jour. Selon les Écritures du monde de l'Évangile, et d'après Paul qui évoque dans "l’épître aux Hébreux (7, 1-3) à nouveau cette figure symbolique du Christ, « prêtre selon l'ordre de Melchisédech ». Fait référence aussi, et selon les exégètes, à la nouvelle alliance, à l'eucharistie ; Melchisédech est surtout pour le monde évangélique le premier prêtre à mettre en place l'offrande du pain et du vin, symboles toujours utilisés aujourd'hui. Enfin, Melchisédech selon la signification de son nom, est roi de justice, ensuite roi de Salem, c'est-à-dire, roi de paix (Heb. 7 2). Il indique le lieu où Melchisédek fut roi, et semble-t-il, l'ancien nom de Jérusalem. Le nom de ce roi est donc lié à la ville de Jérusalem. Pour notre part, nous avons vu que le nom de ce lieu était Iliya, nom donné par un des fils de la descendance de Noé (sur lui la Paix !).
But de la Création.
Pour les gens de la Synagogue, le but de la création, nous dit-on, est lié étroitement à une "Demeure" à construire et où leur divin Créateur viendra pour y "demeurer", habiter parmi eux. Pour les gens de l'Évangile, Dieu est "descendu" en Terre sainte, S'est incarné en Marie puis, est apparu sous la forme du Messie aux Fils d'Israël. Il est venu "habiter" parmi Son peuple, mais celui-ci l'a rejeté. Le Christ, selon Paul, est Dieu fait homme ! Pour les premiers, l'orant adorera son lieu de culte car pour lui son Seigneur et Sa gloire y résident réellement. Pour les seconds, se référant aux Fils d'Israël au temps du Messie (sur lui la Paix !) ; ils adoreront bien leur Seigneur mais "en" le Messie ! Se conformant ainsi à la demande de leur maître Paul qui voit en sa personne un nouveau Temple véritable de la présence divine !
(...) Le premier à comprendre, à saisir, à aimer Jérusalem, c'est bien Jésus. Le premier à comprendre le signe de ce temple, à en connaître toute la force et la puissance, c'est certainement Jésus. Et l'on comprend aussi que ce qui a précédé l'annonce de la destruction de Jérusalem par Jésus, c'est d'abord qu'Il a pleuré sur Jérusalem, Il a pleuré sur cette ville. Et le cœur de cette ville, le temple, bien sûr comme le dit l'évangile, Il n'est pas le seul à poser son regard sur le temple et à voir qu'il est orné de belles pierres. Mais Lui, voit au-delà de ces pierres. Il voit qu'Il est lui-même ce que ce temple lui renvoie, c'est sa propre image, Il est lui-même le temple, Il est lui-même cette présence de Dieu parce qu'il est le Seigneur. C'est pourquoi lorsqu'Il parle du temple, Il ne parle peut-être pas d'abord du temple de pierre qui va être détruit, mais Il parle de ce temple qu'Il est lui-même. Il est le temple, mais Il est aussi comme le dira saint Paul, la tête de ce corps, de cette nouvelle Jérusalem qui est l'Église. L'Église présence de Dieu, mais L'Église présence de Dieu parce que le corps déchiré du Christ sur la croix va révéler toute la plénitude de la vie et du don qu'il fait à son Épouse, à la nouvelle cité, faisant de ce corps, de chacun de ses membres, des pierres vivantes pour construire désormais dans l'histoire des hommes ce véritable temple, cette véritable présence. (moinesdiocesains-aix.cef.fr)
Pour le fils d'Adam soumis, pareilles croyances ne saurait être. Le divin Créateur "n'habite" pas dans un Temple fait de matériaux divers, fait de mains d'hommes, par Ses propres créatures, pas plus qu'au milieu de celles-ci. Même son de cloche pour le monde de l'Évangile, leur Créateur n'habite pas, n'habitera jamais dans un corps humain en la personne du sceau des Prophètes d'Israël, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) ou tout autre corps créé. Croire aux croyances du monde biblique dans ce domaine, n'est-ce pas mécroire ? Porter atteinte à Sa dignité, Son honneur et Sa grandeur ? Pratiquer l'Associationnisme (chirk) ?
Pour l'Islam traditionnel, le but de la Création est que les créatures adorent leur divin Créateur en pleine connaissance de cause, Le connaissent et reconnaissent comme leur Divinité seule et unique à adorer, Le remercient (Coran LI 56). Des lieux comme la Ka'bah, la Mosquée prophétique à Médine, l'Extrême Mosquée au Qouds, tout lieu du Culte sur la terre ; ne sont pas des "demeures" où le divin Créateur "habite" ou y "réside" réellement ; mais des lieux où l'orant vient uniquement y prier, y accomplir des adorations, Le rappeler, Le supplier, L'implorer. Et au Croyant soumis d'adorer le Seigneur de ces lieux, non les lieux eux-mêmes. Ne pas confondre !
Quel terme employer
donc pour la "Ville de Dieu" en Terre sainte ? Pour la capitale du Châm, de Canaan ? Jérusalem, le Qouds, Baitoul-Maqdis ?
Pour tout Fils d'Adam soumis et dont la langue maternelle n'est pas l'arabe, la capitale de Terre sainte devra se dénommer : Baitoul-Maqdis ou le Qouds. Et pour le monde biblique (toranique & évangélique) francisé : Jérusalem. En effet, nous ne sommes pas à adorer ce qu'ils adorent. Et eux n'en sont pas à adorer ce que nous adorons. A eux leur religion et à nous notre religion ! N'en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux adversaires et opposants de la Religion divine ! (à suivre)
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