Historia

CANAAN, CHÂM, TERRE SAINTE. 

Patrimoine islamique.

Au nom de DIEU, Allaha,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !

Louange à Allah, Seigneur des mondes, Prière et Paix sur Ses messagers et Ses prophètes, et sur tous ceux qui suivent Sa guidée !


L'Esplanade des Mosquées.
Le joyau du monde islamique que le monde toranique enviât, envie.
Patrimoine exclusif du monde islamique.
Lieux saints de l'Islam en terre de Ch
âm, Canaan, Terre sainte.
La Maison sainte -
בית המקדש - القُدس - بيت المقدس إيلياء,


Promenade, visite au coeur des Lieux saints du monde islamique en Terre sainte, au Qouds, à Baitoul-Maqdis, à Jérusalem...
Site, plan, constructions anciennes, architecture, art, sculpture, écritures, mosaïques, vitraux, éclairages, etc.

   

 


المسجد الاقصى المبارك بكامل مساحته للمسلمين لا يحق لأحد ان يضعه على طاولة
L'Esplanade des Mosquées. Superficie non négociable avec autrui...
notamment concernant le monde biblique (toranique & évangélique)
Et administration uniquement sous responsabilité du monde islamique.

L'Extrême Mosquée.



Pureté à Celui qui, une nuit,

fit voyager Son esclave,
de la Mosquée Sacrée à l'Extrême Mosquée
dont nous avons béni l'alentour,
afin de lui faire voir certains de Nos signes !
C'est Lui, vraiment, qui entend, qui observer.
(Coran XVII 1)

Temple ou Mosquée ? Lequel terme employer pour le monde des Croyants soumis ?
L'exemple des communautés anciennes.

   Dans notre étude, nous voyons apparaître un bon nombre de termes, mots, qui ont leur importance. Pour le monde biblique (toranique & évangélique), d'une part, de l'Islam traditionnel d'autre part. Exemples de mots qui peuvent prêter à confusion pour bon nombre de gens mal informés : Temple. Toutefois, le Texte sacré de mentionner des lieux de culte. Qu'on en juge :


« ...si Dieu ne repoussait pas les gens par les autres, auraient été démolis les ermitages, les synagogues, les églises et les mosquées où le nom de Dieu est beaucoup rappelé. Dieu, certes, secourra ceux qui Le secourent ; Dieu, en vérité, est puissant, majestueux. » (Coran XXII 40).  

   Pour les grammairiens, linguistes, commentateurs sont mentionnés quatre sortes de lieux de culte : صَوَامِعُ - بِـيَعٌ - صَلَوَاتٌ - وَمَساجِدُ. Soit :

 { صَوَامِعُ } جمع صَوْمعة، وزنها فَوْعلة، وهي بناء مرتفعٌ حديدُ الأعلى؛ يقال: صمّع الثريدة، أي رفع رأسها وحدّده. ورجل أصمع القلب أي حادّ الفِطنة. والأصمع من الرجال الحديد القول. وقيل: هو الصغير الأذن من الناس وغيرهم. وكانت قبل الإسلام مختصة برهبان النصارى وبعبّاد الصابئين ـ قاله قتادة ـ ثم استعمل في مئذنة المسلمين.

 

Les ermitages (صَوَامِعُ). Lieux très élevés et réservés au moines. Également lieux d'adorations des Sabéens. Ceci d'après Qatâdah. Plus tard, ce genre de construction sera employé (comme modèle) pour faire l'appel à la Prière, par les gens soumis.

 والبِيَع جمع بِيعة، وهي كنيسة النصارى.

  Les églises (البِيَع) des gens de l'Évangile, nazaréniens.

 { وَصَلَوَاتٌ } قال الزجاج والحسن: هي كنائس اليهود؛ وهي بالعبرانية صَلُوتا. وقال أبو عبيدة: الصلوات بيوت تبنى للنصارى في البراري يصلون فيها في أسفارهم، تسمّى صلوتا فعرّبت فقيل صلوات.

  Les synagogues (صَلَوَاتٌ) des yéhudim, d'après Zajjaj et Hasan. En hébreu : saloûtâ. Le père de 'Oubaidah : Maisons que construisent les Nazaréniens dans les déserts. Ils y prient lors de leurs voyages.
    Les Mosquées (مساجد).

   Résumé : Ils existent des variantes entre les commentateurs et grammairiens concernant ces lieux de cultes autres que les mosquées. Au VIIème siècle, ces noms et termes étaient connus des communautés vivants sur place, en Arabie. On verra que le "terme" mosquée, par exemple, est attribuée spécialement à la Communauté mohammadienne à cette époque. De plus, le terme "Temple" n'existe pas dans le Texte sacré.  
   "...si Dieu ne repoussait pas les gens par les autres", les lieux de prières légiférés par chaque prophète [en son temps] auraient été démolis. Ainsi les synagogues auraient été détruites au temps de Mochè (sur lui la Paix !), les églises au temps du Messie (sur lui la Paix !), les mosquées au temps de Mohammad (sur lui Prière et Paix !).   
   Autre (Qortobi) : "...si Dieu ne repoussait pas les gens par les autres", soit par le combat, la "guerre sainte" (الجهاد), la Vérité aurait été supplantée dans chaque communauté.   (ثم قوّى هذا الأمر في القتال بقوله: { وَلَوْلاَ دَفْعُ ٱللَّهِ ٱلنَّاسَ } الآية؛ أي لولا القتال والجهاد لتُغُلِّب على الحق في كل أمة.). Au temps des prophètes comme mentionné ci-dessus.

TEMPLE هيكل.

   Temple. Étymologie. Du latin templum. Arabe, هيكل. Pour le monde biblique, ce mot est défini ainsi en général : Édifice antique qui était consacré au culte d'un dieu ; lieu où l'on s'assemble pour l'exercice du culte. Le Temple est donc réservé, son emploi et exercice au départ, aux gens du Dualisme et du Sabéisme. Car sa notion embrasse, au passage, un endroit où l'on trouve une multitude de dieux à servir et à adorer. Également à servir à bon nombre d'activités.  
  
Avraham (sur lui la Paix !) entrera dans le Temple des idoles de son peuple pour aller les briser. Ce récit est mentionné dans les commentaires sur la Torah non dans le texte officiel lui-même. Ce qui fait jaser, au passage, bon nombre de gens de l'Évangile. Pourquoi ? Parce que ces descendants sémites adoraient une autre Divinité que le divin Créateur à l'époque ? Pour le Texte sacré coranique, c'est dans le Texte sacré qu'on retrouvera ce récit d'Avraham.
  
  
Les Associateurs arabes transformèrent la Ka'bah en une sorte de temple où on venait pour y adorer une multitude de dieux, de divinités. Ils avaient souillés, eux et leurs ancêtres, ce Lieu sacré. A tort, les gens de la Bible et leurs historiens et commentateurs, leurs ancêtres ; en font (en on fait) dans leurs recherches, écrits un Temple ancien dédié à la lune ! Pure calomnie et abomination de leur part ! Car il est bien entendu qu'il est interdit pour tout Fils d'Adam soumis d'adorer autre que Lui !  
  
Les planètes (Coran XLI 37, etc.) ne sont-elles pas des créatures créées par le divin Créateur ? et non créées par elles-mêmes comme le suggère à tort et ose le prétendre bon nombre de chercheurs et scientifiques du monde biblique (toranique & évangélique) avec comme base une croyance athée, erronée et sans fondement dite de l'"évolution" ?! Lesquelles personnes refusent obstinément, au passage, de croire, comme les gens du Bouddhisme et bon nombre de gens du Rationalisme et de la Philosophie, de l'Idéologie, en un Dieu Unique, en un Dieu Créateur ! Estimant que le monde a toujours existé et qu'il existera toujours...!  Quant aux planètes, elles Lui obéissent et s'inclinent devant Lui bon gré malgré (Coran XIII 15 ; XXII 18 ; XLI 38 ; LV 6, etc.). Ces mêmes gens, à l'instar des Arabes associateurs de l'époque ancienne (Coran XXV 60), dont les humanistes du monde biblique de notre temps ; qui refusent obstinément de se prosterner devant Lui, de L'adorer Lui seul, Le servir Lui seul,, Lui obéir Lui seul ! L'aimer Lui seul ! 

La Ka'bah. الكعبه

   L'origine de la Ka'bah, son lieu, sa fondation, est d'origine divine, du divin Créateur. Avec Adam, le divin Créateur fera descendre Sa religion, un lieu dès le départ pour y adorer et Le servir comme il se doit, et ceci dès le premier jour de la descente de l'homme sur terre. Et à Sa première Demeure d'être installer en terre d'Arabie. Ce qui a pour objet de faire murmurer, jaser et mettre en colère bon nombre de gens de la Synagogue et de la Torah. Lesquels refusent absolument de voir Jérusalem et le Temple de Salomon, selon eux, passer au degré second ! Être relégué au second plan !

Magisme et Sabéisme...

   Les gens du Magisme (ou du Dualisme) emprunteront également ce terme dans leur jargon : "Temple". A l'instar, à notre époque, des gens d'Hiram, sectes occultes, etc. De même, les gens du Sabéisme pour qui les corps célestes sont considérés comme étant des "temples"...

Monde biblique.

   Monde biblique : toranique & évangélique.
   On emploie des termes spécifiques pour chaque religion biblique. Exemples : Gens de la Torah et leurs sectes : La synagogue. On a dit concernant ce terme : Le terme Synagogue (Grec, "sunagôgon", lieu de rassemblement, traduction du terme hébraïque beit knesset) désigne des lieux de culte et d'étude juifs. Ce dernier rôle a si bien caractérisé les synagogues du monde ashkénaze qu'on les appelle en Yiddish shul (prononcer "shoule", cf. allemand "Schule", école). (fr.wikipedia.org).
   Nous avons vu plus haut que le terme (كنيسة) (kanîsah) est employé aussi en arabe. Les termes arabes et hébreux étant proches en signification. Et chez les gens de l'Évangile, en langue arabe, c'est ce terme qui prévaut. Toutefois, à l'époque de la Révélation, c'est le terme (صَلُوتا) (saloûtâ) qui prévaut au sein des gens de la Torah de l'époque, en terre d'Arabie. En terres d'Europe biblique, chaque communauté biblique d'avoir des noms spécifiques pour leurs lieux de culte. Aucun ne ressemble à l'autre, excepté le terme "temple".

      Notons également, et au passage, qu'une salle du Temple de Salomon porte un nom spécial : Héikhal. palais divin. - Héir kol péné hammizra'h. moment où la lumière du jour jaillit sur tout l'orient. - Hékhal haqqoddéche. Saint sanctuaire du Saint. nom donné à l'armoire dans laquelle on range les rouleaux de la Torah. et devant laquelle se placent les cohanim pour donner leur bénédiction. Le nom fait référence au hékhal du Temple. réservé aux Cohanim (modia.org). D'où : Temple. Autre : le Saint (Heikhal ou Qodech), était un lieu où d'autres personnes pouvaient pénétrer. Le nom propre de cet espace - qui ne doit pas non plus être prononcé - est le Chem Adnout (Aleph-Daleth-Noun-Yod). (idixa.net).

   Les gens de l'Évangile et leurs sectes : l'église (catholiques, protestants, et orthodoxes), ou également temple comme mentionné.

   Pour le monde de l'Évangile, suivant la secte (ou le schisme) qu'on se réclame ; on parlera alors d'église ou de temple. D'où ce propos : "Dans le sens le plus courant en francophonie européenne aujourd'hui, en particulier dans les milieux d'héritage calviniste, le temple est l'édifice religieux – ou, plus généralement, le lieu de culte régulier – des protestants (quoique les protestants, tant réformés que luthériens, d'Alsace et de Moselle ainsi que de Suisse parleront plus souvent d’église, de même que les Canadiens)." (fr.wikipedia.org).
   Monde biblique : toranique & évangélique.
   Le Temple, absolument, désigne en général plusieurs endroits dont en premier :
le Temple de Jérusalem, ou premier Temple, édifié par Salomon.
   Définition de "Naos".
Origine du mot "Naos" : Vient du mot primaire 'naio' (demeurer). Utilisé pour le temple à Jérusalem, mais seulement pour l'édifice sacré lui-même, (ou sanctuaire) constitué du Lieu Saint, et du Saint des Saints). Dans le Grec classique, c'est le sanctuaire où se trouvait l'image d'or, pour le distinguer de tout le bâtiment.
  
Philon d'Alexandrie et le Nouveau Testament utilisent aussi le terme proseuque (proseuchè) du grec ancien προσευχή prière puis lieu de prière. Autre : Substantif masculin. 1752 (Trév.). Il s'agit d'un emprunt au latin proseucha « synagogue » et au grec προσευχή (proseuchè) « prière », « lieu de prière » et en particulier « synagogue », de προσεύχομαι « adresser une prière », de πρός « vers » et ευχομαι « adresser une prière, un vœu ». Le terme grec proseuchè dérive du verbe grec proseukhomai, prier, le substantif est presque un néologisme pour désigner la prière, ainsi dans les Septante et chez Josèphe, avant de recevoir parfois un sens local : la maison de prière. Aussi : Philon d'Alexandrie parle ensuite des émeutes contre les Juifs à Alexandrie en Égypte, émeutes durant lesquelles les proseuques furent détruits ou souillés et dans lesquels on mit des statues de Caius, l'empereur romain Caligula. (Philon d'Alexandrie, Légation à Caius, 119-134)
(fr.wikipedia.org).
   Enfin, nous avons vu qu'au VIIème siècle, le monde de l'Évangile d'Arabie d'employer le terme (
بيع)  (biya'ou). Et de nos jours, le monde arabe de l'Évangile d'employer le terme (كنيسة), (kanîsah), en parlant de ses églises.

Islam traditionnel.

   Monde de l'Islam traditionnel.
   En terres d'Europe biblique, le mot arabe (masdjid - مسجد) a été traduit par les arabophones, les orientalistes : mosquée(s). D'ailleurs, on nous dit : "Le nom mosquée, attesté en 1550 dans la langue française, est un emprunt à l’italien mosche(t)a, par le truchement de l'espagnol mezquita, venant lui-même de l’arabe مسجد masjid, lui-même emprunté à l'araméen masged. Il dérive d’une racine proto-sémitique signifiant « poser le front au sol » et rappelle qu’il s’agit d’un lieu de prosternation. Le terme jâmiʾ (جامع jāmîʾ), « lieu de réunion », désigne quant à lui une grande mosquée où se fait la réunion du vendredi."  De même : "Le mot arabe masjid signifie l’endroit du culte et dérive du verbe sajada (racine « s-j-d, » signifiant « se mettre à genoux ») en référence aux gestes exécutés pendant les prières. Le mot « m-s-g-d » est apparu en araméen dès le Ve siècle, et le même mot est trouvé plus tard chez les Nabatéens avec la signification « endroit du culte ». Apparemment, ce mot araméen aurait à l’origine signifié « stèle » ou « pilier sacré »." (fr.wikipedia.org).

  
Rappelons au passage deux choses importantes négligées ou mis en sourdine par le monde biblique en général et leur service d'information et de propagande. Premièrement : Des langues comme l'arabe, l'hébreu, l'araméen, le syriaque, etc., sont les langues soeurs. Ce qui signifier que l'une n'a donc pas besoin de l'autre pour s'exprimer. Secundo : Des langues comme le syriaque, l'hébreu, l'araméen, l'arabe sont devenues, selon le Décret divin, langues sacrées. Ce qui exaspère bon nombre de gens de l'Évangile. En effet, le grec et le latin n'ont jamais été la langue du Messie fils de Marie (sur lui la Paix !). Question : Pourquoi leurs ancêtres ont-ils détruits les textes sacrés dans la langue du Messie ? De quoi avaient-ils peur ? Leurs ancêtres ne commettront-ils pas là le plus grand crime comme l'humanité ?
   Monde de l'Islam traditionnel.
  
Mosquée est le terme courant employé en Arabie, au Châm, Irak... Le second, « lieu de réunion » est plus employé par les gens d'Afrique du Nord en langage courant. On remarque que le terme "synagogue" et le terme "djâmi'a" (جامع jāmîʾ) sont proches de sens.
   Le terme arabe (masdjid - مسجد), de ce nom dérive donc le mot français "mosquée" dont le sens premier, dit-on, est le plus souvent totalement perdu de vue. "Masdjid" est le nom de lieu du verbe "sadjada" (سَجَدَ) qui signifie s'incliner, se prosterner (non s'agenouiller, forme et sens du jargon biblique). Le nom d'action de ce verbe est "soudjo
ûd" (سُجُود) (inclination complète, prosternation). La "mosquée", ce terme peut-être compris dans l'extension possible de son sens fondamental : lieu d'inclination ou de prosternation vers Dieu, oratoire. Pour le grammairien et le linguiste, "Mosquée" est donc, en français, un terme conventionnel, technique (إصطِلاح). Le sens devra être défini comme expliqué.
   "Mosquée sacrée" (المسجد الحرام) (Coran II 144). Les termes "masdjid al-h
arâm" désigne la Ka'bah (Le Cube) et son enceinte. P. Godé d'écrire à ce sujet : Pour la période antérieure au rétablissement par le Prophète du Culte pur en ce lieu, il est préférable de traduire ces termes par Temple sacré, qui évoque un lieu où l'adoration n'a pas nécessairement la forme proprement musulmane actuellement connue. Pour la période qui suit ce rétablissement du Culte abrahamique, et l'institution de la Maison sacrée comme lieu d'orientation des prières, on peut, sans inconvénient traduire par "Mosquée sacrée". Bien que le sens du mot dont il dérive ne soit pas connu, l'image qu'il invoque en français correspond à un aspect du "Masjid al-Harâm".
   De même : La traduction en fonction des significations fondamentales du terme "masjid" serait ; oratoire sacré ; dans l'Oratoire sacré (Masjid al-Hara
âm) se trouve la Maison sacrée (Bayt al-Harâm) et dans l'Oratoire éloigné (Masjid al-Aqçâ) se trouve la Maison du "Lieu saint" (Baiyt al-Maqdis) qui est le nom de Jérusalem. 

   Monde de l'Islam traditionnel.
   Concernant maintenant la deuxième "Demeure" du divin Créateur sur terre, en Terre sainte, à Baitoul-Maqdis, au Qouds, à Jérusalem (biblique) ; le texte coranique mentionne clairement le terme de "Mosquée"  (masdjid - مسجد) non jamais celui de Temple (هيكل) ceci en parlant précisément de la Mosquée de Salomon (sur lui la Paix !). Différence notoire et inconnue du monde biblique (toranique & évangélique). Ce qui se comprend étant donné que celui-ci ne connaît pas, dans sa prière, la position inclinée à même le sol, ou avec les temps, a perdu cette position définitivement. Suite aux décisions de leurs Dignitaires religieux respectifs.

Poser le front à même le sol.

   Depuis l'apparition de l'homme sur terre, le Croyant soumis et pratiquant est invité à « poser le front au sol », à même le sol. Preuve d'une soumission et d'une humilité complètes devant / au divin Créateur ; ce que rejeta le diable banni à exécuter devant Sa créature : Adam (Coran II 34, etc.). Même son de cloche pour les Associateurs arabes de l'époque de la Révélation. Le mot arabe "سَجَدَ" signifie, non « se mettre à genoux » simplement, mais se courber jusqu'à terre en signe d'adoration, et venir y « poser le front au sol », non jamais de se coucher à même le sol, de se mettre à plat ventre à l'instar des Hindous devant le Feu sacré. Plus tard, le monde biblique de faire disparaître donc de leurs prières cette position obligatoire dans leurs prières (sauf pour quelques sectes d'Orient pour le mode évangélique). Le monde toranique a gardé une certaine forme de la prosternation tombée toutefois en désuétude au cours des siècles. Dont on dit : "Dans le judaïsme nous nous prosternons allonges au sol, pieds et mains allonges que dans le Temple. Or celui ci est détruit, jusqu'a sa reconstruction on ne le fait pas. Certains a Yom Kippour (plutôt chez certaines communautés ashkénazes) on fait un semblant de cela en se prosternant a certains moment en mettant les genoux au sol et la tête au sol (sur un tissu) (cheela.org). 
  
En place et en lieu, les lieux de culte du monde biblique (toranique & évangélique) se verront emplis peu à peu de mobilier, de bancs, de chaises, de prie-Dieu (pour partie du monde évangélique). On voit ici l'importance de la prosternation, à même le sol, devant son Créateur pour le monde de l'Islam traditionnel. Un Temple ne peut répondre à cette fonction d'où la valorisation de la Communauté mohammadienne d'un "Lieu des Prosternations" (Mosquée) pour adorer en toute sincérité le Dieu, Un, Unique, Créateur, Pardonneur et Miséricordieux.

TEMPLE ou MOSQUÉE, que choisir ? 

   Pour la "Seconde Demeure" du divin Créateur sur Terre, en Terre sainte, le terme toujours à employer pour le Croyant soumis sera donc : Mosquée. Car tel est le langage coranique (Coran XVII 1), l'enseignement prophétique, la directive et demande des Savants.  
  
Nous savons tous que la Ka'bah est la première "Demeure" du divin Créateur sur Terre, laquelle se trouve en terre d'Arabie. Pour la "Mosquée de Salomon" (sur lui la Paix !) (ou l'Extrême Mosquée), elle sera à jamais que la "Seconde Demeure" du divin Créateur sur terre, en terre de Châm, en Terre sainte, en Canaan. N'en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, aux adversaires et opposants de la Religion divine !   
  
Le terme "Temple" ne serait prévaloir pour ces lieux de Culte sinon qu'en jargon biblique ou des gens d'Hiram, de même les gens du Dualisme et du Sabéisme, les gens de la Bible se réclamant du d'idéologies athées comme le républicanisme, le sécularisme, l'humanisme, etc. Pour eux, pour leurs morts et vivants, on remarquera qu'ils parleront de lieux saints appelés : Temples, car le Paganisme est de rigueur chez eux, de même la Théophobie, l'Antithéisme, l'Athéisme et la Mécréance. Exemple avec la "révolution" dites de 1789 où l'on verra dresser le "Temple de la Raison", élevé, nous dit-on, pour inviter le bon peuple de l'Hexagone, dont celui de Paris en particulier, à adorer un autre dieu que le Créateur de l'Univers, leur Créateur !  A cette époque, aux gens de la Théophobie, gens d'Hiram, gens de l'Athéisme de la Mécréance, gens de la Synagogue et de la Torah, partie du monde de l'Évangile affilié à eux : gens du Protestantisme et ses sectes et ramifications ; à tous ces gens de jubiler lors de la chute de la Monarchie et l'Église en place, l'Église catholique ! Demain, la nouvelle religion du monde biblique en l'Hexagone ne sera-t-il pas l'Athéisme ou le Noachisme ou le Laïcisme ? Et aucun d'entre eux d'inviter les gens de leurs communautés, de leurs peuples, à la vraie religion, à Religion divine : l'Islam ! En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !    (à suivre)

 

   

 


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02/02/14 .

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